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Pédiatrie

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Douleurs et enfant – La codéine, pas avant 12 ans et sous conditions

Les évènements indésirables graves, voire les décès rapportés suite à l’administration de codéine à des enfants (et nouveau-nés allaités dont la mère avait pris de la codéine) ont impliqué de nouvelles modalités de prescription de cet antalgique. La HAS a réalisé une fiche mémo sur la prise en charge médicamenteuses de la douleur aiguë et prolongée et/ou chronique chez l’enfant. Objectifs ? Proposer des alternatives à l’utilisation de la codéine dans les situations cliniques problématiques. Explications de Karine Petitprez*, du service des bonnes pratiques professionnelles à la HAS.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de santé


La prise en charge de l’otite moyenne aiguë chez les enfants de six mois et plus

L’otite moyenne aiguë (OMA) continue d’être une infection courante chez les jeunes enfants. Les maladies plus bénignes, qui sont généralement causées par des bactéries ou des virus moins virulents, guérissent tout aussi rapidement avec ou sans la prise d’antibiotiques. Un tympan bombé, particulièrement s’il est jaunâtre ou hémorragique, est un signe très sensible d’OMA d’origine bactérienne et un critère diagnostique important d’OMA.

Voir en ligne : société canadienne de pédiatrie.


Israël, Précurseur dans la recherche sur l’Autisme

... une nouvelle étude du scientifique de l’Institut israélien Weizmann pourrait permettre de diagnostiquer l’autisme grâce à un test olfactif, avant même que l’enfant ait acquis la parole. Cette découverte surprenante, menée par la Doctorante Liron Rozenkrantz et le professeur Noam Sobel, de l’Institut Weizmann de Rehovot, va surtout permettre d’accélérer la pose du diagnostic, afin de faire gagner un temps précieux, pour traiter les enfants porteurs du syndrome.

Voir en ligne : Par Elsa Lesma.


Les produits antimicrobiens à domicile

Les antimicrobiens sont des produits chimiques qui peuvent réduire la transmission de microbes comme les bactéries, les virus et les champignons. Les agents de blanchiment au chlore, qui peuvent détruire les bactéries nuisibles, font partie des produits antimicrobiens. De nombreux produits contenant des antimicrobiens sont vendus en vue d’un usage domestique. Les produits ménagers courants, comme le savon pour les mains et le détergent à vaisselle, sont offerts sous forme « antimicrobienne ». De plus, de nombreux produits, comme les jouets et les ustensiles de cuisine, sont publicisés comme étant traités avec des produits antimicrobiens.

Voir en ligne : Société canadienne de pédiatrie


Résurgence de la coqueluche : que faire ?

Causée par Bordetella pertussis ou par Bordetella parapertussis, la coqueluche est une maladie exclusivement à transmission humaine, très contagieuse, endémique, avec une gravité toute particulière chez le nourrisson de moins de 6 mois, où elle est responsable de décès. Son incidence augmente ces dernières années de manière généralisée, ce qui nécessite une accentuation de la suspicion, des mesures diagnostiques, de la prise en charge et de la prévention.

Voir en ligne : René Tabin - Centre Hospitalier du Valais Romand, Sion


Mal de gorge et amygdalite

Votre enfant souffre d’un mal de gorge (pharyngite) quand il se plaint que celle-ci est douloureuse. Sa gorge peut alors être sèche ou sensible ou le démanger. La pharyngite et l’amygdalite sont des infections douloureuses de la gorge. On parle d’amygdalite si ce sont principalement les amygdales qui font mal et de pharyngite si c’est surtout la gorge qui est douloureuse.

Voir en ligne : AboutKidsHealth


Sténose du pylore du nourrisson

généralités, clinique, radiologie, biologie, formes cliniques, étiologie - pathogénie, traitement, complications, résultats

Voir en ligne : Université de Rouen, Faculté de Médecine


Qu’est-ce que la sténose du pylore ?

La sténose du pylore se produit lorsque l’ouverture entre l’estomac et l’intestin est bloquée. Cette ouverture est appelée le pylore . Il y a un muscle autour de cette ouverture. En temps normal, ce muscle permet, lorsqu’il se contracte, de garder la nourriture dans l’estomac et, lorsqu’il se détend, il laisse la nourriture passer de l’estomac à l’intestin. Cette affection est plus courante chez les garçons que les filles.

Voir en ligne : aboutKidsHealth


Déterminants des consultations pour rhinopharyngite de l’enfant d’âge préscolaire en médecine générale

La rhinopharyngite est une maladie bénigne, qui évolue spontanément vers la guérison. Le traitement recommandé est purement symptomatique : paracétamol et lavage des fosses nasales1. C’est pourtant le 2e résultat de consultation le plus fréquent en médecine générale2. La raison pour laquelle les patients consultent n’est pas toujours claire pour les médecins généralistes. Identifier dans la littérature les raisons pour lesquelles les parents amènent leur enfant en consultation en cas de rhinopharyngite. L’objectif secondaire était de proposer aux médecins une grille de lecture permettant de résumer ces raisons

Voir en ligne : exercer


Les poux. Eviter d’en attraper, savoir si on en a, s’en débarrasser

A base de dessins accompagnés de légendes simples, ce document destiné aux parents répond à trois questions : Comment savoir si votre enfant a des poux ? Comment s’en débarrasser ? Que faire pour que votre enfant n’ait pas de poux ?

Voir en ligne : INPES - Institut National de Prévention et d’Education pour la SantéN


Attention aux vaporisateurs et autres humidificateurs !

L’Association Pédiatrique d’Israël a publié une forte mise en garde contre l’utilisation de vaporisateurs ( humidificateurs ) dans les chambres d’enfants. Les médecins ont précisé qu’il n’y a aucune preuve que ces machines soient efficaces et qu’elles peuvent, en revanche, représenter un risque pour la santé, et parfois même, s’avérer fatales. La principale menace qui inquiète les médecins est la maladie du légionnaire, un type de pneumonie grave, causée par une bactérie qui vit principalement dans l’eau.

Voir en ligne : Telavivre


En quoi consiste la maladie de Crohn ?

L’appareil gastro‑intestinal (GI) est un tube musculaire enroulé sur lui‑même. Il s’étend de la bouche à l’anus. On l’appelle aussi tube digestif puisque c’est la voie par laquelle les aliments cheminent dans l’organisme. La maladie de Crohn (MC) est une forme de maladie intestinale inflammatoire (MII). Elle entraîne une inflammation de l’appareil gastro intestinal (GI). L’inflammation est une réaction d’une partie de l’organisme qui devient rouge, enflée et douloureuse. Chez les personnes atteintes de la MC, toutes les parties de l’organisme servant à transformer les aliments que vous consommez à compter du moment où vous vous les mettez dans la bouche jusqu’à leur expulsion par l’anus – peuvent s’enflammer.

Voir en ligne : AboutKidsHealth


La rougeole en France

Entre janvier 2008 et mai 2012, plus de 22 000 cas de rougeole ont été déclarés en France. L’incidence la plus élevée a été observée chez les enfants de moins de un an, et plus de 50 % des cas ont été déclarés chez de jeunes adultes. Près de 5 000 patients ont été hospitalisés, dont 1 023 atteints de pneumonie, 27 d’encéphalite/myélite ; 10 patients sont décédés. Cette situation résulte d’une couverture vaccinale insuffisante, hétérogène, avec constitution progressive d’un réservoir de sujets réceptifs permettant la circulation du virus. Si la couverture avec deux doses de vaccin a augmenté pour les enfants, améliorer celle des jeunes adultes demeure un objectif majeur pour éliminer la maladie et, en particulier, pour pouvoir protéger les populations vulnérables ne pouvant être vaccinées (enfants de moins d’un an, patients immunodéprimés, femmes enceintes).

Voir en ligne : M/S médecine sciences


Pediadoc.fr | la santé de l’enfant en soins de premier recours

La prise en charge de la santé de l’enfant en soins de premier recours est une mission essentielle de l’offre de soins de proximité garantie à chaque enfant au sein de nos territoires. Cette prise en charge, de plus en plus prégnante en médecine générale et enjeu de Santé publique, a fait émerger une demande précise des internes spécialistes de médecine générale toulousains quant à une harmonisation des pratiques cliniques.

Voir en ligne : DUMG - Département Universitaire de Médecine Générale - Toulouse


La prise en charge du patient d’âge pédiatrique victime d’un traumatisme crânien aigu

Le traumatisme crânien responsable de lésions cérébrales est une cause importante de morbidité et de mortalité pendant l’enfance. La gravité de la lésion dépend du mécanisme du traumatisme, qui varie lui-même selon l’âge. Chez les patients d’âge pédiatrique, la majorité des traumatismes crâniens sont légers, n’exigent pas de traitement particulier et ne laissent aucune séquelle. Cependant, il est important de déterminer les personnes vulnérables aux lésions graves, qui ont donc besoin d’une évaluation particulière.

Voir en ligne : Catherine A Farrell ; Société canadienne de pédiatrie, Comité des soins de courte durée


Survenue de un ou plusieurs cas de gale. Conduite à tenir

La gale humaine est due à un arthropode, acarien, dénommé Sarcoptes scabiei. var. hominis. Il s’agit d’une maladie infectieuse contagieuse, d’expression dermatologique.
L’incidence de cette maladie a augmentée en France de 10 % depuis 2002. Cette estimation d’incidence est semblable à celle observée dans la plupart des autres pays occidentaux.

Voir en ligne : HCSP Haut Conseil de la santé publique


Comment protéger mon enfant de la grippe A H1N1 ? - cinq conseils

"Le virus A H1N1 est connu sous le nom de grippe porcine. C’est un nouveau virus qui se répand rapidement parce qu’il est très contagieux. Ce qui le rend différent des autres virus, c’est que les enfants et les adolescents n’ont encore jamais rencontré de virus comme celui-ci. Pour un enfant ou un adolescent, le risque d’être malade est élevé. Heureusement, la grippe A H1N1 est généralement une maladie légère qui guérit en quelques jours."

Voir en ligne : HUG - Hôpitaux Universitaires de Genève - Département de l’enfant et de l’adolescentSuisse2009


Scarlatine : définition, symptômes et modes de transmission

Maladie infectieuse due à une bactérie, la scarlatine se transmet par voie aérienne, ou encore par contact direct ou indirect. Cette affection provoque une forte fièvre, une inflammation de la gorge (angine) et une éruption cutanée. Elle touche surtout les enfants scolarisés de 5 à 10 ans pendant l’hiver, et rarement, les adultes.

Voir en ligne : Ameli-santé


Kinésithérapie respiratoire pour le traitement de la bronchiolite aiguë chez les enfants âgés de moins de deux ans

La bronchiolite aiguë est une infection respiratoire virale courante touchant les enfants âgés de moins de deux ans. La majorité d’entre eux souffrent d’une forme bénigne de cette maladie et n’ont pas besoin d’être hospitalisés. En revanche, ceux devant être hospitalisés ont parfois des difficultés à éliminer le flegme (sécrétions respiratoires formées de mucus épais et causées par l’infection). La kinésithérapie respiratoire a été proposée comme méthode permettant d’aider à l’élimination de ces sécrétions respiratoires et d’améliorer la respiration. Cette revue n’a trouvé aucune preuve concernant les effets bénéfiques cliniques de la kinésithérapie respiratoire chez les enfants atteints d’une bronchiolite aiguë.

Voir en ligne : Centre Cochrane Français


Testicule non descendu : diagnostic, contrôle, traitement

Le terme « cryptorchidie » signifie « testicule caché » ; dans le langage clinique, ce terme est utilisé pour désigner toutes les formes de testicule non descendu, ainsi que pour désigner une anorchidie ou une agénésie testiculaire. Dans la pratique quotidienne, les questions suivantes se posent : Un testicule est-il palpable des deux côtés ? Le testicule est-il situé dans le scrotum et y reste-t-il ? Si aucun testicule n’est palpable des deux côtés, il convient d’exclure un trouble du développement sexuel. Une classification clinique est disponible dans le tableau 1.

Voir en ligne : PrimaryCare - Journal suisse de médecine de premier recours


Le point sur la vitamine D

Cet article se propose de répondre aux questions suivantes : Quelles sont les principales sources de vitamine D ? Quels sont les effets de la vitamine D sur le métabolisme osseux et sur la santé en général ? Comment définir une carence en vitamine D ? Qui dépister et comment prévenir et traiter le déficit en vitamine D ?

Voir en ligne : SSP - Société Suisse de Pédiatrie


L’alimentation du bébé de 0-12 mois

L’alimentation des premiers mois de vie est primordiale. Elle influence la croissance et le développement des tout petits ainsi que leur santé à long terme. L’aliment de référence pendant les 6 premiers mois de vie c’est le lait maternel, parfaitement adapté aux besoins du bébé et favorisant ainsi la meilleure santé possible. Si, toutefois, pour quelque raison que ce soit, l’allaitement maternel n’est pas possible, les laits pour nourrissons couvrent les besoins du bébé. Bien que le pédiatre vous guide et vous conseille dans le choix du lait le mieux adapté, de nombreuses questions se posent : préparation du biberon, choix des tétines, nombre de repas à proposer. A partir du 6ème mois, l’alimentation lactée ne suffit plus à couvrir tous les besoins de la croissance du bébé : c’est le moment d’entamer la diversification alimentaire. Commence alors toute une aventure pour le bébé et ses parents. Comment préparer son premier repas, à quel moment introduire de nouveaux aliments et que faire si bébé refuse ? Autant de questions que les parents se posent et auxquelles cette brochure essaye de répondre. Elle vous donnera des conseils pratiques et vous aidera à vous guider au mieux dans cette période de découverte que vous vivez avec votre enfant.

Voir en ligne : Portail Santé - Grand-Duché de Luxembourg


Définition et causes de la scoliose

La scoliose est une déviation permanente de la colonne vertébrale, liée à une rotation des vertèbres. Elle survient surtout dans l’enfance et l’adolescence, mais peut aussi se déclarer à l’âge adulte. Cette affection est parfois la conséquence d’une autre maladie ou d’une malformation. Toutefois, ses causes restent souvent inconnues.

Voir en ligne : Ameli-santé


Guide d’intervention - Pédiculose du cuir chevelu

La pédiculose du cuir chevelu (infestation causée par les poux de tête) est l’exemple typique d’un problème de santé publique qui nécessite la collaboration de tous les secteurs en cause pour arriver à une solution. Le présent document s’adresse principalement aux professionnels de la santé des CSSS, des services Info-Santé et des directions régionales de santé publique. Cependant, d’autres intervenants intéressés par le problème (pharmaciens, médecins de famille, pédiatres, personnel éducateur) pourront aussi trouver le document utile pour comprendre la démarche proposée.

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec


Une démangeaison incurable : Les poux

La pédiculose (infestation par des poux de tête, Pediculus humanus capitis) est l’infection parasitaire la plus courante chez les enfants1. Sa plus forte prévalence se trouve chez les enfants de 3 à 11 ans, plus souvent les filles, sans qu’il n’y ait de variation pertinente selon la saison, ni de lien avec le degré d’hygiène2.

Voir en ligne : College of Family Physicians of Canada

  • (Spécialités)
  • (Maladies, symptômes et pathologies)

Mon enfant a des Aphtes

Votre enfant se plaint de douleur dans la bouche et vous observez de petites lésions ulcérées (aphtes) sur ses gencives. Elles recouvrent la langue, le palais et parfois la face interne des joues. Elles sont très douloureuses. Si elles sont trop nombreuses, votre enfant n’arrive plus à se nourrir correctement. Ces lésions ulcérées guérissent d’elles-mêmes en une dizaine de jours

Voir en ligne : HUG Hôpitaux Universitaires de Genève.


La vaccination à l’adolescence : rôle des praticiens et des services de santé scolaire

Les consultations spontanées chez le médecin de famille étant relativement rares à l’adolescence, il semble justifié de dispenser les vaccinations pour les jeunes dans le cadre de l’école pour assurer une bonne couverture vaccinale. Les premiers résultats de la vaccination contre l’hépatite B en milieu scolaire sont très encourageants. En Suisse, les vaccins recommandés pour tous les 11-15 ans sont ceux de la diphtérie, du tétanos, de l’hépatite B et du méningocoque C. La vaccination contre la varicelle est réservée à des sujets avec anamnèse négative et, comme les vaccinations de rattrapage, sera plus généralement administrée hors du cadre scolaire. Tous les omnipraticiens et gynécologues devraient s’efforcer de vérifier et mettre à jour le statut vaccinal des adolescents chaque fois qu’ils sont consultés.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse


Les troubles du spectre de l’autisme - l’évaluation clinique

"Les présentes lignes directrices visent d’abord l’accessibilité à des ressources compétentes en matière d’évaluation des troubles autistiques chez l’enfant et l’adolescent. Bien que d’intérêt, l’aspect thérapeutique de ces troubles ne sera toutefois pas abordé. Ce document présente un cadre pour mieux guider la démarche clinique du médecin ou du psychologue. Il aborde, dans la première partie, des questions d’ordre général sur les troubles autistiques pour ensuite sensibiliser les médecins et les psychologues aux différents signes d’appel de ces troubles, que la clientèle qui présente un TED leur soit familière ou non."

Voir en ligne : CMQ - Collège des Médecins du Québec


Gastroentérite aiguë de l’enfant

La gastroentérite du nourrisson et du jeune enfant est fréquente. Elle peut être préoccupante lorsqu’elle entraîne une déshydratation. Les conseils aux parents sur la conduite à tenir sont primordiaux. La gastroentérite aiguë du nourrisson et du jeune enfant associe une diarrhée de survenue rapide (émission d’une quantité anormale, ≥ 3 par 24 heures, de selles de consistance liquide) à des vomissements et, inconstamment, à de la fièvre et/ou à des douleurs abdominales, le plus souvent dans un contexte épidémique.

Voir en ligne : Vidal Recommandations


Nouvelles modalités de prise en charge de la toux chez le nourrisson (enfant de moins de 2 ans)

L’Afssaps a mené une réévaluation des médicaments destinés à traiter la toux chez l’enfant de moins de deux ans. Une première phase a conduit en avril 2010 à contre-indiquer les médicaments mucolytiques, mucofluidifiants et l’Hélicidine® dans cette population. Cette démarche a ensuite porté sur les médicaments antihistaminiques de première génération ainsi que le fenspiride, dont la contre-indication chez le nourrisson vient d’être décidée et entrera en vigueur d’ici quelques mois. Il est de plus envisagé de contre-indiquer les suppositoires à base de dérivés terpéniques chez l’enfant de moins de trente mois.Le résultat de cette démarche de réévaluation conduit à proposer de nouvelles recommandations qui modifient en profondeur les modalités de prise en charge de la toux chez l’enfant de moins de deux ans.Dans ce contexte, l’Afssaps a élaboré plusieurs documents d’information, afin d’accompagner les professionnels de santé dans leur pratique et d’éclairer au mieux les parents.

Voir en ligne : Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé)

  • (Spécialités)
  • (Maladies, symptômes et pathologies)

Le traitement de la toux et du rhume : des conseils pour ceux qui s’occupent d’enfants et d’adolescents

Malgré l’utilisation généralisée de médicaments contre la toux et le rhume (MCTR) en vente libre, l’efficacité de la plupart des MCTR n’est pas démontrée chez les enfants. Une méta-analyse résumant les essais faisant appel aux MCTR en vente libre contre le rhume d’origine virale n’a permis de produire aucunes données probantes pour ou contre les médicaments en vente libre au sein des populations pédiatrique et adulte en matière de comparaison de la fréquence et de la gravité de la toux et de l’évaluation par les médecins. De plus, selon les données nord-américaines, les MCTR en vente libre pourraient s’associer à des erreurs de médication et à des événements indésirables qui entraînent des visites à l’urgence et même des décès. Le présent point de pratique fournit aux personnes qui s’occupent d’enfants et d’adolescents de l’information sur les données probantes à jour au sujet des traitements contre la toux et le rhume, y compris la consommation de liquide, l’air humidifié, les antihistaminiques, l’échinacée, le zinc, le miel et la vitamine C.

Voir en ligne : Ran D Goldman ; Société canadienne de pédiatrie, comité de la pharmacologie et des substances dangereuses


Surpoids et obésité de l’enfant et de l’adolescent. Recommandation pour la pratique clinique

L’objectif de ce travail est l’élaboration de recommandations de bonne pratique dans le but d’améliorer la qualité de la prise en charge médicale des enfants et adolescents ayant un surpoids ou une obésité. La prise en charge de l’obésité comporte les quatre axes suivants : - prévenir la prise de poids supplémentaire chez les sujets en surpoids ou ayant une obésité ; - prendre en charge la morbidité associée à l’obésité ; - favoriser la perte de poids ; - stabiliser le poids à long terme.
actualisation 2011 des recommandations de 2003

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Bronchiolite

La bronchiolite est une maladie virale du jeune enfant, qui touche principalement les enfants avant l’âge de 2 ans. Dans la très grande majorité des cas, la bronchiolite évolue de manière favorable, spontanément ou plus souvent avec l’aide d’une kinésithérapie. Dans de rares cas, la bronchiolite impose l’hospitalisation, afin de pouvoir surveiller la fonction respiratoire et, éventuellement, de mettre en œuvre des mesures de réanimation. Les décès imputables à la bronchiolite aiguë sont très rares (inférieurs à 1 %).

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire


La prévention de la varicelle : les recommandations à l’égard de la vaccination antivaricelleuse systématique à deux doses chez les enfants

La totalité des provinces et territoires canadiens disposent de programmes systématiques de vaccination antivaricelleuse à une dose depuis 2007, une stratégie qui a réduit considérablement les taux de varicelle. Cependant, on observe toujours des cas postvaccinaux, dont certains sont graves. Selon de plus en plus de données probantes, l’immunité à une dose du vaccin peut décliner dans la population vaccinée et la maladie peut se déplacer dans un groupe de personnes plus âgées, qui peuvent souffrir d’une maladie plus grave et d’un plus grand nombre de complications. Le présent document de principes expose les raisons d’une stratégie de vaccination à deux doses au Canada, de même que les recommandations justifiant un calendrier de vaccination antivaricelleuse à deux doses pour tous les enfants canadiens. Les enfants qui ont reçu une dose du vaccin et n’ont pas subi d’infection postvaccinale devraient se faire administrer une seconde dose du vaccin contre la varicelle. Le présent document de principes remplace celui de 2005 que la Société canadienne de pédiatrie a publié sur la prévention de la varicelle.

Voir en ligne : Société canadienne de pédiatrie, comité des maladies infectieuses et d’immunisation


La pneumonie chez les enfants et adolescents canadiens en santé : des points de pratique pour la prise en charge

La vaccination a réduit l’incidence de pneumonie bactérienne chez les enfants vaccinés, mais la pneumonie demeure courante chez les enfants en santé. À moins que ce soit tout à fait irréalisable, il faudrait effectuer une radiographie pulmonaire pour confirmer le diagnostic de pneumonie. Des facteurs comme l’âge, les signes vitaux et d’autres mesures de gravité de la maladie sont essentiels dans la décision d’hospitaliser ou non un patient. Puisque le Streptococcus pneumoniae continue d’être la principale cause de pneumonie bactérienne chez les enfants, la prescription d’amoxicilline ou d’ampicilline pendant sept à dix jours constitue le principal traitement empirique d’une forme non sévère de la pneumonie. Si on n’observe pas d’amélioration, il faut envisager des complications (empyème ou abcès pulmonaire). Il n’est pas recommandé de procéder à une radiographie pulmonaire systématique à la fin du traitement, à moins d’une indication clinique.

Voir en ligne : Société canadienne de pédiatrie, comité des maladies infectieuses et d’immunisation


Scoliose structurale évolutive

La HAS a publié en 2008 dans la série des guides médecins pour les ALD, un guide sur la prise en charge des scolioses idiopathiques évolutives. La détection la plus précoce possible d’une scoliose est un enjeu essentiel de la prise en charge. Le médecin traitant à toute sa place dans ce repérage. Il peut être aussi particulièrement impliqué en coordination avec les autres spécialistes de l’équipe multidisciplinaire pour le soutien du patient lors du traitement au long cours. De même sa participation est importante pour la surveillance d’une scoliose d’un adolescent devenu adulte. Suite aux propositions formulées par la HAS, les critères médicaux d’admission publiés par le décret n° 2011-77 du 19 janvier 2011 définissent la scoliose idiopathique structurale comme « évolutive », supprimant la référence à un angle ou a une maturation rachidienne.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Enfants et adolescents : troubles des conduites dans leur contexte

Une société ne peut se permettre d’ignorer les troubles et souffrances des enfants et des adolescents. Des éléments propres à ceux-ci, à leur famille ou à leur contexte de vie peuvent en effet menacer leur développement et influencer leur vie affective, leur manière de voir le monde et de l’appréhender, leurs relations à autrui ou leurs comportements. Ces derniers sont évidemment les plus manifestes et l’on parle alors de « troubles des conduites ». Ils sont néanmoins les signes extérieurs visibles de difficultés psychologiques et sociales sous-jacentes beaucoup moins perceptibles.

Voir en ligne : Conseil Supérieur de la Santé Ministère des Affaires Sociales, de la Santé publique et de l’Environnement]


Nora BERRA lance un appel à la mobilisation pour endiguer la recrudescence de la rougeole

« Nous sommes face à une recrudescence préoccupante de la rougeole » indique ce jour Nora BERRA, Secrétaire d’Etat chargée de la Santé. En effet, alors qu’en 2006 et 2007, une quarantaine de cas annuels était déclarée en France, l’épidémie s’est intensifiée pour atteindre 1544 cas en 2009 et 5021 cas en 2010. 3400 nouveaux cas ont déjà été détectés sur les deux premiers mois de l’année 2011.

Voir en ligne : Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé (Secteur Santé)<


L’examen psychologique et l’utilisation des mesures en psychologie de l’enfant

La volonté des psychologues de maîtriser les conséquences de leurs démarches diagnostiques en psychologie de l’enfant, de rendre publiquement compte de leurs actes professionnels et des réflexions qui les accompagnent, et de remettre en cause si nécessaire leurs pratiques, témoigne du souci d’améliorer la qualité des services rendus au public en général et aux personnes consultantes en particulier, d’accompagner les évolutions professionnelles et sociales, de renforcer la crédibilité des actes psychologiques et d’en garantir les compétences.

Voir en ligne : La FFPP, SFP, l’AFPEN, l’ACOP-F


Surpoids chez l’enfant et l’adolescent

Consultez et téléchargez ci-dessous les supports mis à votre disposition sur la prévention et la prise en charge du surpoids chez l’enfant et l’adolescent :

Voir en ligne : AMELI


Anorexie mentale : prise en charge

Ces recommandations de bonne pratique ont pour objectif d’aider à : repérer plus précocement l’anorexie mentale ;

  • améliorer l’accompagnement du patient et de son entourage ;
  • améliorer la prise en charge et l’orientation initiale des patients ;
  • améliorer la prise en charge hospitalière lorsqu’elle est nécessaire et la prise en charge post-hospitalière.
    Sont concernés : les préadolescents, les adolescents et les jeunes adultes.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Accompagner le choix de l’allaitement maternel

Le dossier central de ce numéro est consacré à l’allaitement maternel : une quinzaine d’experts dressent un état des connaissances et des pratiques : approche sociologique de l’allaitement maternel, situation en France, bénéfices de l’allaitement pour la santé de l’enfant, rôle des professionnels dans l’accompagnement du choix de l’allaitement pour les mères

Voir en ligne : INPES Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé


Les régimes végétariens chez les enfants et les adolescents

Un régime végétarien bien équilibré peut répondre aux besoins des enfants et des adolescents. Il faut toutefois s’assurer d’un apport calorique suffisant et prévoir une surveillance de la croissance. Il faut accorder une attention particulière à un apport suffisant de protéines et aux sources d’acides gras essentiels, de fer, de zinc, de calcium, de vitamine B12 et de vitamine D. Des suppléments peuvent être nécessaires en cas de régime strictement végétarien sans consommation de produits animaux. Les femmes enceintes et qui allaitent doivent également obtenir des conseils pour bien respecter les besoins nutritionnels du fœtus et du nourrisson. Des recommandations sont fournies. Les adolescents qui suivent un régime végétarien restreint ou d’autres régimes de ce genre devraient faire l’objet d’un dépistage de troubles alimentaires.

Voir en ligne : M Amit ; Société canadienne de pédiatrie, comité de la pédiatrie communautaire


Un système de surveillance écologique de la santé des enfants pour l’obésité infantile : étude de faisabilité

Les taux de prévalence de l’embonpoint et de l’obésité chez les enfants et les jeunes font de ce problème de santé publique une urgence1-4. Compte tenu de l’étiologie complexe de l’embonpoint et de l’obésité, du faible taux de réussite du traitement de l’obésité chez l’enfant et de l’absence d’un système de surveillance global de la santé infantile au Canada, une stratégie de surveillance écologique de la santé des enfants est nécessaire pour éclairer les recherches, les politiques et les pratiques liées à ce problème de santé publique

Voir en ligne : ASPC - Agence de santé publique du Canada


Qu’est-ce que la douleur ?

La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, associée à un dommage tissulaire présent ou potentiel, ou décrite en terme d’un tel dommage (définition de l’Association Internationale pour l’Etude de la Douleur). C’est une sensation universelle mais aussi une expérience intime à la personne qui l’éprouve, chacun ayant sa sensibilité propre à la douleur.

Voir en ligne : integrascol


Médicaments mucolytiques, mucofluidifiants : contre-indication chez l’enfant de moins de deux ans

L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a décidé de contre-indiquer, chez l’enfant de moins de deux ans, l’utilisation des médicaments mucolytiques, mucofluidifiants et de l’Hélicidine®. Ces médicaments, qui ont pour objectif de fluidifier les sécrétions bronchiques, peuvent en effet aggraver dans certains cas un surencombrement bronchique, en raison de la faible capacité des nourrissons à tousser pour éliminer les sécrétions produites. A la date du 29 avril 2010, ces médicaments ne seront donc plus délivrés en pharmacie pour les enfants de moins de deux ans.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé


Troubles du sommeil d’origine somatique chez l’enfant

Les origines somatiques les plus fréquentes dans cette tranche d’âge sont : une hygiène du sommeil insuffisante, des troubles du rythme circa- dien, le syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS), le syndrome des jambes sans repos (SJSR), des troubles psychiatriques, des épilepsies liées au sommeil, ainsi que la narcolepsie.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse


L’information médicale : vécu des enfants et des parents

L’analyse du vécu des parents et des enfants vis-à-vis de l’information médicale et de la communication permet de connaître leurs besoins et leurs demandes. L’information est un phénomène transactionnel interactif complexe. Elle met en jeu l’autonomie de l’enfant et de sa famille. Ils ont le droit de savoir. Mais il apparaît que, parfois, ils ne veulent pas tout savoir, ou ne veulent pas trop savoir. Il apparaît même que, pour certains, trop savoir est un facteur de stress. Respecter l’enfant et sa famille signifie leur permettre de savoir ce dont ils ont besoin. Ils doivent savoir qu’il n’y a pas de raison de ne pas tout leur dire. La connaissance de ces données permet aux équipes soignantes de mieux se positionner dans cet exercice quotidien, incontournable et parfois périlleux de l’information au malade et à sa famille. Le fait est qu’il n’y a aucune raison morale ou psychologique pour penser que des parents et leur enfant ne soient pas capables d’assumer des informations les concernant. « Les enfants et leurs parents ont le droit de recevoir une information sur la maladie et les soins adaptée à leur âge et leur compréhension, afin de participer aux décisions les concernant » (Charte de l’enfant hospitalisé. Unesco, OMS, 1989 \ ; art. 4).

Voir en ligne : Pierre Canouï - Hôpital Necker-Enfants Malades


Troubles du sommeil chez l’enfant 1

Au cours de son développement, un enfant sur trois présente un trouble du sommeil. Il s’agit la plupart du temps de manifestations comportementales causées par des évaluations inappropriées des besoins des enfants. Plus rarement, ces problèmes sont dus à des causes organiques comme des troubles respiratoires nocturnes, les reflux gastro-œsophagiens ou des troubles convulsifs.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse


Les résistances et refus aux traitements antalgiques chez l’enfant

Y a-t-il des problèmes de mauvaise observance voire de refus des traitements antalgiques chez l’enfant ? Même si des améliorations considérables ont été réalisées ces 20 dernières années, des résistances à l’administration, et la mise en œuvre des moyens de prévention et de traitement de la douleur peuvent persister et venir de l’enfant lui-même, des parents mais aussi des soignants. En effet, l’adhésion au traitement est un processus qui se construit à plusieurs : l’enfant, ses parents, les soignants.

Voir en ligne : Médecine thérapeutique / Pédiatrie.


Le pédiatre et les dents des tout petits

Les soins dentaires sont le besoin de santé le moins pris en compte chez les enfants1). Plusieurs arguments expliquent ce constat : • Le pronostic vital n’est qu’exceptionnellement mis en jeu. • L’amélioration générale au cours des dernières décennies des indicateurs de santé bucco-dentaire modère l’intérêt pour cette pathologie. Une altération de l’état de santé bucco-den- taire a des conséquences considérables : troubles de la mastication, de l’élocution, du sommeil et de la concentration, de l’esthétique et de l’image de soi ..

Voir en ligne : Service de stomatologie et de médecine dentaire, Policlinique Médicale Universitaire Lausanne


Asthme : des recommandations pour le nourrisson et le jeune enfant

Pourquoi avoir élaboré des recommandations sur l’asthme, spécifiques à l’enfant de moins de 36 mois ? Il existait des recommandations pour l’asthme de l’enfant plus âgé, mais pas pour celui de l’enfant de moins de 36 mois. L’un des objectifs majeurs de ces nouvelles recommandations est d’améliorer le diagnostic de l’asthme du petit enfant pour éviter le risque de sous-traitement ou de suivi inadapté. Avant l’âge de 36 mois, le mot « asthme » fait peur aux parents, car ils pensent que la maladie va durer toute la vie, et on parle plus volontiers de « bronchite asthmatiforme ». Or, la majorité de ces jeunes enfants ne restera pas asthmatique. Le deuxième objectif de ces recommandations est de préciser les stratégies diagnostique et thérapeutique à cet âge, en dehors des épisodes aigus.

Voir en ligne : Dr Caroline Latapy - HAS Haute Autorité de Santé


Nouvelles recommandations pour l’antibiothérapie prophylactique de l’endocardite chez l’enfant en Suisse

L’endocardite et l’endartérite infectieuse se définissent comme maladie infectieuse de l’endocarde mural ou valvulaire respec­ tivement de l’endothélium des grands vaisseaux (aorte/artère pulmonaire). Les germes classiques responsables de l’endo­ cardite bactérienne sont les streptocoques viridans oraux, les staphylocoques et les entérocoques, les champignons étant plus rarement associés à une endocardite.

Voir en ligne : Société suisse de cardiologie pédiatrique (SSCP)


Le sommeil de l’enfant – troubles du sommeil et investigations

Le rythme circadien est une qualité universelle, de l’être unicellulaire, des plantes et des animaux et concerne, avec une stabilité et une précision étonnantes, dépendantes d’une horloge biologique intérieure, des activités physiologiques très variées, comme l’alternance jour-nuit, l’alimentation, la température corporelle ainsi que la sécrétion d’hormones (mélatonine, cortisol, hormone de croissance, etc.).

Voir en ligne : Alexandre N. Datta*, Bâle ; Silvano Vella**, Berne Traduction : Rudolf Schlaepfer, La Chaux-de-Fonds


Manuel de prise en charge des enfants en situation d’urgence humanitaire

Ces lignes directrices mettent l’accent sur les soins prodigués au cours des phases aiguës et chroniques des situations d’urgence. La phase aiguë d’une situation urgence est caractérisée par le taux de mortalité brut et persiste tant que ce taux de mortalité brut est au moins le double du taux de mortalité initial, c’est-à-dire tant qu’il y a deux fois plus de personnes qui décèdent par jour qu’en temps normal. Dans l’Afrique subsaharienne, ce seuil est établi à un décès par 10 000 personnes par jour.

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé


Nouvelles recommandations sur l’HTA de l’enfant et de l’adolescent : l’ESH comble un vide

Il y a deux ans, HTA-INFO soulignait que l’HTA de l’enfant et de l’adolescent était trop fréquemment sous-estimée.1 Aujourd’hui, l’heure est à la mise à disposition de nouvelles recommandations qui faisaient défaut jusqu’à présent... L’hypertension artérielle de l’enfant et de l’adolescent a gagné du terrain en médecine cardiovasculaire grâce au progrès de la physiopathologie et de la recherche clinique.

Voir en ligne : Société Française d’Hypertension Artérielle


Diagnostic d’une adénopathie périphérique

La découverte d’adénopathies superficielles, isolées ou multiples, est fréquente chez l’enfant et, il convient de rappeler que c’est entre 4 et 8 ans que le développement du système lymphatique est maximum. Alors que les ganglions ne sont en règle non palpables à la naissance, ils vont subir une augmentation de taille constante jusqu’à la puberté, puis régresser progressivement. Les ganglions cervicaux, axillaires et inguinaux sont plus facilement palpables chez l’enfant que chez l’adulte, sans revêtir obligatoirement un caractère pathologique. Si le plus souvent les adénopathies représentent une réponse transitoire à une infection locale ou générale, elles peuvent être le témoin d’une affection sévère à ne pas méconnaître, justifiant la ponction et la biopsie ganglionnaires. Toute corticothérapie aveugle doit être proscrite.

Voir en ligne : C. Bergeron - E. Le Gall | Institut Mère-Enfant, Hopital sud, Rennes


Neurofibromatose 1

La neurofibromatose 1 (NF1) ou maladie de Von Recklinghausen est une maladie qui se manifeste par des taches café au lait sur la peau et des tumeurs situées le long des nerfs, appelés neurofibromes. Selon la taille, le nombre et l’emplacement de ces neurofibromes, des complications peuvent survenir. C’est une des maladies génétiques les plus fréquentes. Ses manifestations sont extrêmement variables d’un malade à l’autre, allant des formes mineures pouvant presque passer inaperçues aux formes sévères.

Voir en ligne : Orphanet - Le portail des maladies rares et des médicaments orphelins


La neurofibromatose 1 ou maladie de Von Recklinghausen

La neurofibromatose 1 (NF1) est une maladie génétique assez fréquente (1 cas sur 3000 naissances). Elle se révèle progressivement par des taches sur la peau et des tumeurs bénignes (non cancéreuses), les neurofibromes, qui se développement à partir de la gaine des nerfs, pouvant générer des complications locales en fonction de leur taille et de leur localisation. D’autres symptômes sont possibles mais plus rares : difficultés d’apprentissage, atteinte des voies visuelles, lésions osseuses…

Voir en ligne : Intégrascol


La scoliose

La scoliose est une déformation de la colonne vertébrale entraînant une torsion du rachis (colonne vertébrale) et une déformation du thorax, de l’abdomen et des zones paravertébrales (proches du rachis). Elle est plus souvent idiopathiques (sans cause retrouvée) mais elle peut compliquer des affections invalidantes (neurologiques ou neuro-musculaires) risquant d’aggraver le handicap. Il existe des possibilités de traitements (kinésithérapie, appareillage, chirurgie) de plus en plus efficaces, mais contraignantes et provoquant des limitations fontionnelles de la colonne vertébrale (chirurgie). Le dépistage qui permet un traitement précoce est essentiel.

Voir en ligne : Dr Jean-Michel Bruandet - Médecin-chef, CRRF Marc Sautelet, Villeneuce d’Ascq (APF)


La femme enceinte et son bébé

La grippe est une infection respiratoire aigüe, très contagieuse, due aux virus influenza A ou B. Elle peut être grave, aussi bien pour vous que votre bébé : Vous pouvez courir des risques spécifiques en période de grippe saisonnière ou de pandémie grip- pale. Une prise en charge adaptée peut être nécessaire. Des modalités d’adaptation de vos conditions de travail sont possibles et des prestations sociales particulières vous sont ouvertes.

Voir en ligne : pandemie-grippale.gouv.fr


La coqueluche Guide d’intervention - Mise à jour 2009

Depuis la parution du dernier protocole provincial d’intervention pour le contrôle de la coqueluche (MSSS, 1999), cette maladie a suscité beaucoup d’intérêt et de controverse dans la communauté scientifique. En janvier 1998, un nouveau vaccin acellulaire plus efficace que le vaccin à cellule entière et ayant moins d’effets indésirables a été introduit au calendrier régulier de vaccination des enfants et depuis 2004, une dose de rappel est administrée aux adolescents. Ces changements ont entraîné une diminution notable de l’incidence de la coqueluche mais ne permettront pas d’éliminer cette maladie.

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Services sociaux [québécois]


Biberons : comment les préparer et les conserver ? Utilisation des préparations en poudre pour nourrissons

Les conditions de préparation, de manipulation et de conservation des biberons sont essentielles et permettent d’éviter les contaminations microbiennes qui peuvent être à l’origine d’infections graves, notamment chez l’enfant prématuré ou de faible poids. En matière d’alimentation du nourrisson, l’allaitement maternel constitue la référence. Il est ainsi recommandé d’allaiter de façon exclusive jusqu’à six mois révolus, et si cela n’est pas possible au moins quatre mois. Cependant, même pour une durée plus courte, l’allaitement reste bénéfique pour l’enfant.

Voir en ligne : Afssa Sécurité sanitaire des aliments


Un nouveau vaccin conjugué contre le méningocoque : Que devraient faire et savoir les médecins ?

Un vaccin conjugué quadrivalent contre le méningocoque de sérogroupes A, C, Y et W135 (MCV4 [Menactra, sanofi pasteur, Canada]) a été lancé au Canada en 2007 pour les personnes de deux ans ou plus. Le MCV4 ajoute trois sérogroupes aux vaccins conjugués contre le méningocoque de sérogroupe C, utilisé depuis plusieurs années. Les taux de méningococcies invasives du sérogroupe C ont fléchi depuis dix ans grâce au vaccin conjugué contre le méningocoque de sérogroupe C.

Voir en ligne : R Bortolussi, M Salvadori ; Société canadienne de pédiatrie, comité des maladies infectieuses et d’immunisation


Dépistage des troubles de l’audition chez l’enfant

La déficience auditive est le déficit sensoriel le plus fréquent à la naissance. C’est un problème de santé publique en raison des chiffres élevés de prévalence et de la répercussion sur le développement de la communication, sur la scolarité et l’insertion sociale ultérieure de l’enfant. Plus de 80% des surdités de l’enfant existent dès la naissance, mais ne peuvent être identifiées que par un dépistage à l’aide des méthodes objectives. Un enfant sur mille naît sourd profond, ce qui représente environ 25% des surdités présentes à la naissance. À 3 ans, la prévalence des surdités sévères et profondes est de 3/1000.

Voir en ligne : http://www.sfpediatrie.com/uploads/media/PDF_01.pdf


Dépistage des troubles visuels chez l’enfant

Le dépistage des troubles visuels, dès les premiers mois de la vie, peut permettre de repérer très tôt les situations à risque d ?amblyopie, cause la plus fréquente de mauvaise vision unilatérale chez l ?enfant. L ?objectif est de dépister, par des examens simples, réalisables par le médecin de l ?enfant, des anomalies pour la plupart réversibles sous traitement dans les toutes premières années de la vie, permettant de faire passer la prévalence de l ?amblyopie de 3% à 1%.

Voir en ligne : SFP - Société Française de Pédiatrie


Bronchiolite - Situation épidémiologique de la bronchiolite en France métropolitaine | Point au 1er octobre 2009

La saison automnale est généralement marquée par le début de la saison épidémique de bronchiolite chez les nourrissons1. La surveillance à partir des données enregistrées par les services hospitaliers d’urgence (réseau Oscour) a été encore renforcée avec un nombre plus important d’hôpitaux participants en 2009 (146 hôpitaux contre 112 en 2008 et 97 en 2007). La situation épidémiologique actuelle montre une augmentation du nombre de recours aux services hospitaliers d’urgence des enfants de moins de 2 ans pour bronchiolite. Le nombre de cas identifiés reste cependant limité avec moins de 50 passages par jour sur l’ensemble des hôpitaux participants et la dynamique actuelle est comparable à celle observée les années précédentes.

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire


Prise en charge médicamenteuse de la douleur aiguë et chronique chez l’enfant

La lutte contre la douleur est l’un des enjeux majeurs du système de santé, en particulier en pédiatrie. Ces nouvelles recommandations ont pour but de contribuer à l’harmonisation des pratiques pédiatriques. En effet, de nombreux progrès ont été réalisés dans le domaine de la prise en charge de la douleur.

Voir en ligne : http://www.afssaps.fr/Infos-de-secu...


Syndrome de malabsorption

On doit évoquer une malabsorption si on constate les signes cliniques suivants même en l’absence de diarrhée chronique, et d’autant plus que plusieurs d’entre eux sont associés :

  • une diarrhée chronique ;
  • une altération de l’état général, amaigrissement ;
  • des odèmes déclives ;
  • une anémie microcytaire ferriprive ;
  • des douleurs osseuses révélatrices d’une ostéomalacie ;
  • des crises de tétanie ;
  • un syndrome hémorragique sans insuffisance hépatocellulaire ni maladie hématologique connue ;
  • des altérations de la peau et des phanères (koïlonychie).

Voir en ligne : SNFGE Société Nationale Française de Gastro-entérologie


La maladie coeliaque

La maladie coeliaque est également appelée sprue et entéropathie au gluten. C’est une anomalie génétique qui, dès la naissance, provoque une intolérance au gluten, une protéine contenue dans le blé, le seigle et l’orge. La consommation d’aliments contenant du gluten cause des lésions appelées atrophies villositaires dans l’intestin grêle. Les « villosités » sont les projections digitiformes de l’intestin grêle au point d’absorption des aliments. Cette inflammation représente une sorte de trouble immunitaire qui peut affecter d’autres organes que l’intestin, par exemple, la peau ou le foie.

Voir en ligne : NASPGHAN - North American Society for Pediatric Gastroenterology, Hepatology, and Nutrition Etats-Unis


Gluten : maladie cœliaque ou intolérance au gluten

Cette maladie s’appelle aussi « intolérance au gluten ». C’est une forme d’allergie, c’est-à-dire une réaction inappropriée du système immunitaire, au niveau intestinal, qui ne se manifeste que si l’enfant mange du gluten. Le gluten est une protéine contenue dans le blé, l’orge, le seigle et l’avoine. Notre système immunitaire est chargé de lutter contre les virus, les bactéries, les champignons microscopiques, pour éviter ou limiter les infections. Dans le cas d’un rhume, par exemple, la guérison se fait toujours en quelques jours, non pas parce que le virus a disparu spontanément, mais parce que le système immunitaire a fabriqué des anticorps qui le détruisent.

Voir en ligne : integrascol


Votre jeune enfant et la grippe A(H1N1)

En cohérence avec le dispositif du plan national de prévention et de lutte contre la pandémie grippale, le ministère du Travail, des Relations Sociales, de la de la Famille, de la Solidarité et de la Ville marque son engagement auprès des parents de 1,2 million de jeunes enfants bénéficiant habituellement d’un mode d’accueil de la petite enfance

Voir en ligne : pandemie-grippale.gouv.fr


Santé de l’enfant. Propositions pour un meilleur suivi

Au cours du siècle dernier, la morbidité et la mortalité infantiles ont été de mieux en mieux maîtrisées. Cependant, les évolutions des modes de vie, de l’environnement écologique, économique et social ainsi que les progrès médicaux ont fait émerger de nouvelles problématiques de la santé physique et mentale. Des instances consultatives et en particulier la Conférence nationale de santé de 1997 ont pointé des aspects de la santé chez les enfants et adolescents (obésité, santé mentale…) devant être considérés comme prioritaires en santé publique.

Voir en ligne : INSERM


Vaccination anti-pneumococcique - Recommandations de la Direction générale de la santé

Les infections à Pneumocoque (Streptooccus pneumoniae) sont d’une grande fréquence, surtout aux âges extrêmes de la vie : le nourrisson et le sujet âgé. Le Pneumocoque est l’un des germes le plus souvent en cause au cours d’infection bactériennes des voies respiraloires Il peul être notamment responsable, selon l’âge, d’otites, de sinusites, de pneumonies, de septicémies, de méningites.

Voir en ligne : AMELI Assurance Maladie En Ligne


Prise en charge en première ligne de la diarrhée aiguë chez l’enfant

La plupart des cas de diarrhée aiguë chez l’enfant évoluent spontanément de manière favorable et ne nécessitent pas de traitement médicamenteux. En première ligne, une réhydratation s’avère toutefois nécessaire en cas de risque de déshydratation ou en présence de signes de déshydratation. Dans ce cas, on optera de préférence pour une solution orale de réhydratation de faible osmolalité. Une antibiothérapie ne se justifie qu’exceptionnellement. Les antidiarrhéiques tels que le lopéramide et les adsorbants ne sont pas recommandés.

Voir en ligne : Folia Pharmacotherapeutica Belgique


Puberté : du normal au pathologique

Médecins de famille, nous sommes parfois interpellés par des parents que le développement pubertaire de leur enfant inquiète. Si la plupart du temps, il n’y a pas d‘inquiétude à avoir, il ne faut pas manquer un retard ou une avancée pubertaires réels de même qu’une pathologie potentiellement grave dont l’absence de prise en charge peut avoir des conséquences non négligeables physiques ou psychologiques chez nos jeunes patients. Quand faut-il s’inquiéter ? Quelle mise au point est nécessaire ? Quel traitement appliquer ? Voilà les questions traitées par cet article.

Voir en ligne : Dr Patricia Eeckeleers


Grandir : De l’information pour les filles au sujet de la puberté

La puberté est une période au cours de laquelle ton corps passe par de nombreux changements : tu passes de l’enfance à l’adolescence, puis à l’âge adulte. La puberté ne se déclenche pas au même moment pour tout le monde, mais en général, elle commence entre 8 et 13 ans chez les filles. La puberté ne se produit pas du jour au lendemain. C’est un processus qui se poursuit pendant plusieurs années. Pour comprendre ce qui se passe, il est bon de connaître un peu le fonctionnement de ton corps :

Voir en ligne : Société canadienne de pédiatrie


Recommandations sur l’utilisation de Tamiflu® (oseltamivir) chez les nourrissons de moins de 1 an

06/08/2009 - Ces recommandations ont été établies dans le contexte de pandémie de niveau 6 de grippe A(H1N1) déclarée par l’OMS. Elles sont susceptibles d’être modifiées en fonction de l’évolution des données disponibles et des éventuelles modifications des caractéristiques du produit mentionnées dans l’Autorisation de Mise sur le Marché de Tamiflu®.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé


L’influence de l’obésité infantile sur le développement de l’estime de soi

Les répercussions du surpoids infantile sur la santé physique ont suscité beaucoup d’attention, mais les études de ses répercussions sur la santé mentale sont assez peu nombreuses. Le présent article porte sur les relations longitudinales entre le poids corporel et l’estime de soi chez un échantillon probabiliste représentatif de la population nationale d’enfants canadiens.

Voir en ligne : Statistique Canada


Avis sur l’utilisation sécuritaire des porte-bébés souples et en bandoulière

Les risques de blessures associées à l’utilisation des porte-bébés semblent largement évitables dans la mesure où les parents prennent des précautions. Les décès sont très rares et nous disposons de peu d’informations sur leurs causes. L’avis recommande donc aux intervenants de promouvoir l’utilisation sécuritaire des porte-bébés souples et en bandoulière auprès des parents. Il leur fournit plusieurs consignes quant aux informations à partager avec les parents sur le choix et l’utilisation d’un porte-bébé. Il adresse également des recommandations aux établissements de santé et de services sociaux qui distribuent des porte-bébés afin que cela soit fait de manière sécuritaire. L’avis souligne aussi la pertinence d’une norme canadienne obligatoire pour les porte-bébés.

Voir en ligne : Institut national de santé publique du Québec


Handicap visuel de l’enfant et de l’adolescent

Ce guide, initiative de la Mission Handicaps de l’AP-HP sur le handicap visuel de l’enfant et de l’adolescent, aborde de très nombreux aspects. Fruit des réflexions et du travail d’équipes et d’auteurs multidisciplinaires, il s’adresse à un très large public, allant des professionnels de la santé aux patients ou leur famille, en passant par les travailleurs sociaux. Les sujets traités portent sur l’annonce du handicap visuel, sa prise en charge et sa rééducation au long cours, la législation qui l’entoure, la scolarisation et l’intégration de l’enfant ou de l’adolescent malvoyant. Il est complété par un annuaire précieux et très complet où l’utilisateur trouvera les adresses des services d’ophtalmologie pédiatriques, des établissements de soutien et de scolarisation ainsi que celles des associations de patients déficients visuels.

Voir en ligne : AP-HP


Dépistage précoce des troubles de la fonction visuelle chez l’enfant pour prévenir l’amblyopie

L’amblyopie est une insuffisance uni ou bilatérale de certaines aptitudes visuelles, principalement de la discrimination des formes, entraînant chez l’enfant un trouble de la maturation du cortex visuel, irréversible en l’absence de traitement. Ces recommandations concernent le dépistage des troubles visuels chez l’enfant de moins de 6 ans.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Vaccination contre la varicelle et contre le zona

Les deux vaccins contre la varicelle disponibles en France sont des vaccins vivants atténués et dérivés de la souche Oka, utilisée au Japon depuis 1974. Ils sont indiqués chez les sujets sains à partir de douze mois selon un schéma à une dose jusqu’à douze ans. Au-delà, deux doses sont recommandées, espacées de quatre à huit semaines. Ces vaccins entraînent une séroconversion dans plus de 95% des cas et le maintien des anticorps au-delà de cinq ans.

Voir en ligne : Daniel FLORET | Université Claude Bernard Lyon 1


La varicelle

La varicelle, qui est causée par le virus varicelle-zona, est une infection très courante pendant l’enfance, qu’il est possible de prévenir. Généralement légère, elle se manifeste surtout chez les enfants, mais elle peut causer beaucoup d’inconfort. Les adultes qui l’attrapent peuvent toutefois devenir très malades. La varicelle est dangereuse pour les personnes qui ont des troubles du système immunitaire, comme ceux causés par la leucémie, par exemple, ou qui prennent des médicaments qui affaiblissent le système immunitaire, tels les stéroïdes.

Voir en ligne : Société canadienne de pédiatrie


La prévention de la varicelle chez les enfants et les adolescents

La varicelle est une maladie très contagieuse et très courante. Le taux d’attaque secondaire dans les familles s’élève entre 85 et 90 %, mais il est plus faible dans les écoles. En Amérique du Nord, 95 % des personnes qui ont atteint l’âge de 30 ans ont été infectées La varicelle infecte surtout les jeunes enfants. Environ 50 % des enfants de 5 à 9 ans, 20 % des enfants d’âge préscolaire et 20 % des enfants âgés entre 10 et 14 ans la contractent. Seulement 10 % des enfants > 15 à 19 ans en sont affligés et moins de 2 % des adultes.

Voir en ligne : Comité des maladies infectieuses et d’immunisation, Société canadienne de pédiatrie (SCP)


Ce qu’il faut savoir sur la varicelle

La varicelle est une maladie virale très contagieuse. Autrefois très répandue, son incidence a considérablement chuté grâce à la vaccination systématique des enfants. Avant l’arrivée du vaccin contre la varicelle, environ 4 millions d’enfants souffraient de la varicelle chaque année aux États-Unis, et elle causait 100 décès par année. La varicelle peut être grave, notamment chez les nourrissons, les adultes et les personnes dont le système immunitaire est compromis.

Voir en ligne : L’Hôpital de Montréal pour enfants


Vulvites et vulvo-vaginites de la petite fille

La vulvite est souvent signalée par la maman au décours de la consultation. Elle est parfois même un motif de consultation.
Ce signe clinique justifie un examen soigneux du périnée de la petite fille pour permettre de distinguer les vulvites simples des autres affections plus complexes.

Voir en ligne : Résumé : Nora GAUFFIER | SFTG (Collège de gynécologie du Centre-Val de Loire)


Spina bifida

Le spina bifida est un type de malformation qui apparaît au début de la formation du fœtus. Elle est connue comme un type de malformation du tube neural (MTN), dans laquelle ni le cerveau, ni la colonne vertébrale ne réussit à se développer normalement dans l’utérus. Il existe trois sortes de spina bifida, différenciées par la gravité de la malformation.

Voir en ligne : Santé Ontario


Acide folique avant le début d’une grossesse : une complémentation utile à votre bébé

Les " anomalies de fermeture du tube neural " (aussi connues sous le nom de spina bifida) sont parmi les plus fréquentes des malformations observées chez le nouveau-né (environ une naissance sur 1000) : elles se traduisent par des malformations de la partie basse de la moelle épinière, associées parfois à des anomalies neurologiques, voire à une véritable paraplégie (paralysie des membres inférieurs), et à des anomalies de développement des membres inférieurs.

Or une importante proportion de ces malformations est liée à un manque de vitamine B9 (acide folique), au cours des premières semaines du développement embryonnaire. Plusieurs études ont montré qu’une supplémentation en acide folique prise par la future maman dans cette période, réduit considérablement la fréquence de cette malformation.

Voir en ligne : SFTG Paris-Nord Société de Formation Thérapeutique du Généraliste


Recommandations pour la prévention des anomalies de la fermeture du tube neural

La prévalence des anomalies de fermeture du tube neural, essentiellement spina bifida et anencéphalie, concerne en France près de 1 naissance pour mille naissances vivantes et interruptions médicales de grossesse. Ces anomalies se constituent très tôt au cours de la grossesse, lors de la troisième et de la quatrième semaine de vie embryonnaire.

Voir en ligne : DGS Direction générale de la santé


Prévention du spina bifida par l’acide folique

Une prévention primaire des anomalies de fermeture du tube neural - spina bifida et anencéphalie en étant les 2 formes les plus fréquentes - par la prise d’acide folique durant la période périconceptionnelle, a prouvé son efficacité non seulement pour prévenir une éventuelle récurrence après naissance d’un premier enfant ou ftus atteint, mais aussi dans la population générale pour diminuer le risque de survenue de ces malformations

Voir en ligne : C. De Vigan, B. Raoult, V. Vodovar, J. Goujard - Registre des malformations congénitales de Paris


Propositions portant sur le dépistage individuel chez l’enfant de 7 à 18 ans

Ces propositions portent sur le dépistage individuel réalisé par le médecin dans le cadre du suivi de l’enfant. Elles ne répondent pas à une problématique de dépistage en population. Elles ne précisent pas la prise en charge au-delà du dépistage individuel.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Le dos de l’’enfant : à surveiller tout au long de la croissance

Les pathologies du rachis chez l’enfant surviennent généralement en période pré-pubertaire : vers 12-13 ans chez les filles (avant les premières règles), vers 13-14 ans chez les garçons (avant les signes de la puberté). C’est au cours de cette période de croissance rapide de la colonne vertébrale que l’enfant doit être contrôlé périodiquement. Cette surveillance rigoureuse permet de dépister les déformations vertébrales (scolioses, cyphoses) et de corriger suffisamment tôt un simple défaut postural. La médecine scolaire permet un bon dépistage, mais beaucoup d’enfants passent au travers. Il est donc important que le pédiatre, le médecin généraliste mais aussi les parents soient vigilants lors de l’examen des enfants.

Voir en ligne : docteur Jean Barthas, chirurgien orthopédiste à l’hôpital Saint-Joseph à Paris et secrétaire général de la Société Française de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique


Traiter la scoliose

Si vous avez la scoliose, cela veut dire que votre colonne vertébrale est courbée ou tordue au lieu d’être droite. Votre médecin vous suggérera le meilleur traitement en fonction de votre âge, de votre croissance encore à venir ainsi que du type et de l’ampleur de la courbure de votre colonne.

Voir en ligne : Hôpital de Montréal pour Enfants - Info-santé


Comprendre la scoliose

La scoliose est un problème qui entraîne une courbure et une torsion de la colonne vertébrale. On l’observe plus souvent chez les jeunes filles tôt à l’adolescence, mais les garçons peuvent aussi en souffrir. Personne ne sait vraiment ce qui provoque la scoliose, mais nous savons qu’elle n’est pas causée par le transport de sacs lourds ou les sports. Si une personne de votre famille (un parent, un frère ou une sœur) en souffre, vous pourriez être plus susceptible d’en souffrir vous aussi.

Voir en ligne : Hôpital de Montréal pour Enfants - Info-santé


La scoliose idiopathique juvenile et de l’adolescent

Il existe des "disparités" dans la qualité de la prise en charge des scolioses idiopathiques. C’est pourquoi nous avons regroupé dans ce numéro 53 de la "Lettre de MPR" les éléments reférends d’un traitement de rééducation et orthétique précoce, rigoureux adapté des scolioses juvéniles et de l’adolescent.

Voir en ligne : Association nationale des médecins spécialistes de rééducation, médecine physique et de réadaptation


Rougeole - Mise en contexte

La rougeole est l’une des maladies contagieuses donnant une éruption cutanée (« picots », « rash »). Parmi ces maladies, c’est celle qui cause le plus de complications et de décès. Le vaccin contre la rougeole fait partie du calendrier de vaccination des enfants du Québec. Habituellement, on ne retrouve donc chez nous que 1 ou 2 cas de rougeole par année, le virus étant contracté à l’étranger la plupart du temps.

Voir en ligne : Collège québécois des médecins de famille


Le rhume des foins

On appelle rhume des foins, l’allergie au pollen des arbres, des plantes herbacées, des graminées et de certains champignons. Cette allergie est saisonnière et revient chaque année. Elle apparaît le plus souvent entre 8 et 20 ans et a tendance à diminuer avec l’âge. Les enfants et les adolescents sont donc les plus touchés.

Voir en ligne : Hôpital de Montréal pour enfants


Le recours à des médicaments en vente libre pour soigner les symptômes du rhume

Qu’est-ce qu’un médicament en vente libre ? Quels sont les principaux médicaments en vente libre ? Les sirops contre la toux. Les décongestionnants. Les antihistaminiques. Les gouttes nasales ou les vaporisateurs nasaux. Les analgésiques et les médicaments pour soulager la fièvre. Les produits de santé naturels. Devrais-je utiliser des médicaments en vente libre lorsque mon enfant a le rhume ? Que dois-je faire si mon enfant a le rhume ?

Voir en ligne : Société canadienne de pédiatrie


Le rhume chez les enfants

• Pourquoi les enfants attrapent si souvent le rhume ? • Est-ce seulement un rhume ou quelque chose de plus grave ? • Comment se répand le rhume • Quand appeler un médecin • Le traitement des rhumes : Ce que peuvent faire les parents • Ce que peuvent faire les parents pour éviter les rhumes

Voir en ligne : Société canadienne de pédiatrie


Antibiothérapie par voie générale dans les infections respiratoires hautes de l’adulte et de l’enfant

Afin de limiter la survenue d’effets indésirables et l’émergence de plus en plus fréquente de résistances bactériennes, la prescription des antibiotiques doit être réservée aux seules situations cliniques où leur efficacité a été démontrée. Pour l’élaboration de ces recommandations en matière d’antibiothérapie, sont pris en compte les données les plus récentes d’épidémiologie microbienne et le spectre des antibiotiques. Ainsi, est-il possible que certains antibiotiques ayant l’AMM ne soient pas recommandés dans ce texte.

Voir en ligne : AFSSAPS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé


Lorsque le sinus en prend pour son rhume ...

« Mon pays,c’est l’hiver »,disait le poète.La saison froide ramène avec elle son cortège d’enfants au nez qui coule.Comment différencier le rhume banal de la rhinosinusite bactérienne ? Quelle est la place de l’imagerie dans le diagnostic ? L’antibiothérapie est-elle toujours nécessaire ?

Voir en ligne : Luc Laperrière et Johanne Gauthier - Fédération des Médecins Omnipraticiens du Québec


Rhinorrhée (écoulement nasal)

L’écoulement nasal ou rhinorrhée acqueuse, symptôme banal en ORL revêt toujours une valeur sémiologique qu’il soit isolé ou associé à d’autres symptômes comme une obstruction nasale, des éternuements, une rhinorrhée purulente ou des épistaxis.(saignements de nez)

Voir en ligne : Faculté de Médecine de Rennes


La maladie de reflux gastro-oesophagien chez les nourrissons et les enfants

Le reflux gastro-oesophagien (gastroesophageal reflux ; GER*) est défini comme un retour involontaire de contenu gastrique dans l’oesophage et constitue un problème fréquent en pratique pédiatrique. En l’absence de symptômes associés, le GER est un phénomène physiologique du nourrisson, et ne constitue pas une maladie : des mesures de diagnostic ou de traitement ne sont pas nécessaires1). Il faut dissocier la maladie de reflux (gastroesophageal reflux disease ; GERD), associée à des symptômes ou des complications du GER

Voir en ligne : SSP Société Suisse de Pédiatrie


Le reflux gastro-œsophagien : attitude pratique

Le reflux gastro-œsophagien (RGO) est un motif fréquent de la consultation pédiatrique, dont l’évolution est en général favorable chez le nourrisson. Son diagnostic peut le plus souvent être posé sur la base d’une anamnèse détaillée et d’un examen clinique. Dans ces situations, le traitement peut être initié au cabinet, sous forme de traitement prokinétique et antiacide, voire d’un traitement postural. Dans les situations où le patient présente une complication du reflux-œsophagite, symptômes respiratoires, stagnation pondérale – ou une mauvaise réponse au traitement – des investigations doivent être entreprises, qui seront choisies avec l’aide du spécialiste en fonction du tableau clinique. Dans de rares cas, ces examens mèneront à une indication chirurgicale.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse


Antibiothérapie par voie générale en pratique courante : Infections respiratoires basses de l’enfant

Le diagnostic d’infection respiratoire chez l’enfant repose sur une triade symptomatique, fièvre, toux et difficultés respiratoires d’intensité variable. On distingue les infections des voies respiratoires hautes (au-dessus des cordes vocales) lors desquelles l’auscultation pulmonaire est normale, et les infections respiratoires basses (IRB) avec toux et/ou polypnée fébrile

Voir en ligne : Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé (Afssaps),


Traitement de l’otite moyenne aiguë. La revanche des bonnes vieilles gouttes de mon enfance !

Dans l’otite moyenne aiguë OMA chez l’enfant de 6 mois à 12 ans, une approche d’observation et de traitement symptomatique durant 48 heures suivie, au besoin, d’une antibiothérapie selon l’évolution est efficace et comporte moins d’effets secondaires qu’une antibiothérapie immédiate.

Voir en ligne : Critique et Pratique, Université Laval, Faculté de médecine


Petit guide de l’otite moyenne aiguë. Quoi faire et ne pas faire ?

L’otite moyenne est une infection suppurative de l’oreille moyenne. Dans la plupart des cas, elle est secondaire aumauvais fonctionnement des trompes d’Eustache qui entrave le drainage normal de l’oreille moyenne des sécrétions du nez et de la gorge, ce qui cause l’accumulation de liquide et le développement de bactéries et des virus.

Voir en ligne : Le Clinicien revue de formation médicale continue


Les enfants et les otites

Les otites chez les enfants sont causées la plupart du temps par une infection de l’oreille moyenne (otite moyenne), une petite cavité de la grosseur d’un pois située directement à l’arrière du tympan. Les parents n’ont pas à s’inquiéter si leur enfant est aux prises avec ce type d’affection douloureuse, parce qu’elle ne provoque que très rarement de graves problèmes de santé et est très fréquente chez les enfants. En fait, deux enfants sur trois souffriront au moins une fois d’une otite avant leur 3e anniversaire.

Voir en ligne : Hôpital de Montréal pour Enfants du Centre Universitaire de Santé Mc Gill


Otite moyenne aiguë : Propositions pour la mise à jour de la prise en charge

L’otite moyenne n’est pas seulement l’une des maladies les plus fréquentes en pédiatrie, mais aussi l’indication la plus fréquente, pour la prescription d’une antibiothérapie en pratique ambulatoire1.L’augmentation du nombre d’otites mises en évidence, ainsi que l’émergence de plus en plus importante de résistances aux antibiotiques durant les dernières années a provoqué une remise en question fondamentale de la prescription d’antibiotiques lors d’otite moyenne, de la prévention de complications, du choix de l’antibiotique et de la durée du traitement. Une mise à jour du traitement de l’otite moyenne est proposée en se fondant sur des recherches récentes et sur l’analyse des informations correspondantes. Comme nous le démontrerons, cette prise en charge insiste sur la différence entre l’otite moyenne aiguë d’une part et le catarrhe tubaire d’autre part, et met en évidence les options et limites du traitement de première intention de l’otite moyenne aiguë par la seule analgésie, et du suivi de son évolution spontanée.

Voir en ligne : Société Suisse de Pédiatrie


L’antibiothérapie de l’otite moyenne aiguë

L’otite moyenne est l’infection de l’enfance contre laquelle on prescrit le plus d’antibiotiques. On s’interroge pourtant sur le traitement idéal de l’otite moyenne aiguë (OMA), et les avis sont partagés au sein du corps médical quant à plusieurs notions fondamentales. Le présent guide porte sur plusieurs points controversés au sujet du traitement antimicrobien de l’OMA et présente un avis consensuel à l’égard de chacun d’eux. Il convient de souligner qu’il reste beaucoup à apprendre sur la prise en charge de ce problème courant de l’enfance et que les recherches en cours imposeront peut-être la révision de ces avis dans un avenir rapproché. Ces recommandations doivent donc être perçues comme provisoires et tributaires de l’état actuel des connaissances.

Voir en ligne : Comité des maladies infectieuses et d’immunisation, Société canadienne de pédiatrie (SCP)


La migraine de l’enfant : actualités

Crise d’une durée de 1 à 48 heures
La céphalée présente au moins deux des caractéristiques suivantes : Localisation bilatérale. Pulsatile. Intensité modéré ou sévère. Aggravation par l’activité physique
Durant la céphalée, au moins une des caractéristiques suivantes : Nausée ou vomissement Photophobie ou phonophobie

Voir en ligne : Dr Daniel Annequin, Dr Barbara Tourniaire - Hôpital d’enfants Armand Trousseau - 75012 Paris


Les hypoglycémies

Le taux de glycémie reflète un équilibre dynamique entre l’arrivée de glucose provenant de l’alimentation ou secrété par le foie et son utilisation. Les besoins élevés chez le nouveau-né et le jeune enfant, le peu de réserve hépatique, la complexité des mécanismes régulateurs expliquent la fréquence des hypoglycémies.

Voir en ligne : C. Jézéquel - Institut Mère-Enfant, annexe pédiatrique, Hopital sud, Rennes


La maladie de Hodgkin (chez l’enfant)

La maladie de Hodgkin est une maladie maligne du système lymphatique observée surtout chez le grand enfant, l’adolescent et l’adulte jeune. La maladie de Hodgkin représente 15 à 30% des lymphomes malins de l’enfant et les enfants représentent 5 à 10 % des patients atteints de maladie de Hodgkin tous âges confondus. La maladie de Hodgkin est exceptionnelle avant l’âge de 2 ans et sa fréquence augmente avec l’âge. Elle est deux fois plus fréquente après 10 ans qu’entre 2 et 10 ans.

Voir en ligne : Département de Pédiatrie IGR


Qu’est-ce que le lupus érythémateux systémique (LES) ?

Le LES est une maladie auto-immune susceptible d’entraîner l’atteinte d’organes variés, spécialement la peau, les articulations, le système hématopoïétique et les reins. Le LES est une maladie chronique ce qui signifie qu’elle peut durer longtemps. Auto-immune signifie qu’il s’agit d’une maladie du système immunitaire qui va entraîner une atteinte des propres organes du patient.

Voir en ligne : Pediatric Rheumatology INternational Trials Organisation (PRINTO)


Lupus érythémateux disséminé chez l’enfant

Le lupus érythémateux disséminé (LED) à début pédiatrique est une maladie souvent sévère, dont la morbidité à long terme est importante. Il n’existe pas de recommandations spécifiquement pédiatriques concernant sa prise en charge. Le groupe d’étude du LED à début pédiatrique propose de telles recommandations concernant les examens complémentaires à réaliser lors du diagnostic et du suivi de la maladie. Celles-ci ont pour objectif de permettre d’adapter au mieux le traitement à la sévérité du LED et à la tolérance aux différentes thérapeutiques et d’éviter les examens inutiles.

Voir en ligne : Archives de Pédiatrie


Le dos de l’enfant : à surveiller tout au long de la croissance

Les pathologies du rachis chez l’enfant surviennent généralement en période pré-pubertaire : vers 12-13 ans chez les filles (avant les premières règles), vers 13-14 ans chez les garçons (avant les signes de la puberté). C’est au cours de cette période de croissance rapide de la colonne vertébrale que l’enfant doit être contrôlé périodiquement. Cette surveillance rigoureuse permet de dépister les déformations vertébrales (scolioses, cyphoses) et de corriger suffisamment tôt un simple défaut postural. La médecine scolaire permet un bon dépistage, mais beaucoup d’enfants passent au travers. Il est donc important que le pédiatre, le médecin généraliste mais aussi les parents soient vigilants lors de l’examen des enfants.

Voir en ligne : Docteur Jean Barthas, chirurgien orthopédiste à l’hôpital Saint-Joseph


Ictère néonatal

Cet enfant nouveau-né est jaune, c’est banal, oui mais encore faut-il savoir systématiquement déjouer quelques pièges en tenant compte du contexte :

  • en Maternité, l’ictère peut révéler un conflit allo-immun méconnu, beaucoup plus rarement - mais à ne pas manquer - une rétention biliaire ;
  • en Néonatologie, tous les enfants prématurés sont jaunes, d’autant qu’ils sont plus prématurés, le problème est d’apprécier le surcroît de risque pour la voie auditive de cette hyperbilirubinémie ;
  • au Cabinet médical, c’est un ictère néonatal qui se prolonge, alors allaitement au sein ? Oui, c’est le cas échéant le plus probable, encore faut-il vérifier…

Voir en ligne : Professeur Pierre RAMBAUD - Faculté de Médecine de Grenoble


La grande aventure du Sommeil

Faites la lumière sur le sommeil de vos enfants : Le sommeil des enfants expliqué aux enfants et aux adultes.Une enquête, des réponses, des conseils...

Voir en ligne : Dr Stéphane Noël - Députation Permanente de la Province de Luxembourg


Le sommeil du nourrisson

Le sommeil du nourrisson n’est pas toujours de tout repos... pour ses parents ! Ses rythmes ne sont pas ceux de l’adulte, et il faut du temps - et beaucoup de patience - pour que tout se mette en place. Le sommeil se conjugue et se décline en fonction de l’âge et de l’environnement. Les écueils sont nombreux. Mais les problèmes du sommeil du nourrisson ne sont pas une fatalité. Le bon sommeil s’apprend aussi. Et ce petit guide vous permettra, nous l’espérons, de mieux connaître l’organisation du sommeil dans les premiers mois de la vie.

Voir en ligne : Unité de Sommeil de l’enfant / Hôpital Lyon Sud


Diagnostic d’une macrocrânie

Le diagnostic d’une macrocrânie chez l’enfant conduit à envisager 4 grands cadres étiologiques : 1) les hydrocéphalies liées aux perturbations de circulation du liquide céphalo-rachidien, qui sont la cause principale de macrocrânie au cours des 2 premières années de vie et peuvent être responsables d’une hypertension intra-crânienne (HTIC) ; 2) les collections péricérébrales non traumatiques qui sont une cause fréquente de macrocrânie et ne sont en général pas responsables d’HTIC ; 3) les collections péricébrales traumatiques avec, principalement, les hématomes sous-duraux qui peuvent être responsable d’une HTIC ; 4) les mégalencéphalies où la macrocrânie est due à un développement excessif du parenchyme cérébral et ne s’associent pas à une HTIC.

Voir en ligne : Yann Mikaeloff, Service de Neuropédiatrie, Hôpital Saint-Vincent de Paul, Paris, France..


Les hydrocéphalies de l’enfant

L’hydrocéphalie est une distension progressive des cavités ventriculaires, provoquée par une anomalie soit de la production du liquide cérébro-spinal (LCS), soit de sa circulation ou de sa résorption

Voir en ligne : S. Peudenier, T. Dufour - Institut Mère-Enfant, Hopital sud, Rennes


Hydrocéphalies du nourrisson

L’hydrocéphalie est, en principe, une ventriculomégalie à pression intra-crânienne (PIC) élevée par obstacle à la circulation normale du LCR, à début anté ou post-natal, de type communicante ou non communicante, susceptible de comprimer le cerveau. Chez le nouveau-né, les possibilités de distension crânienne expliquent qu’il y ait d’autentiques hydrocéphalies à PIC normale ou presque normale.

Voir en ligne : P. Rambaud - Faculté de Médecine de Grenoble


Hydrocéphalie de l’enfant

Le mot hydrocéphalie vient du grec hudôr = eau et képhalê = tête. L’hydrocéphalie est un symptôme mécanique d’autres pathologies. L’avenir de l’enfant dépend principalement de la nature et de la gravité de cette pathologie

Voir en ligne : Intégrascol


Hernie inguinale, hydrocèle et kyste du cordon chez l’enfant

Hernie inguinale, hydrocèle et kyste du cordon sont des malformations fréquentes de l’enfant, liées à une anomalie de la fermeture du canal péritonéovaginal. Le testicule se forme en région lombaire. Il traverse le canal inguinal au septième mois de grossesse pour atteindre la bourse. Il suit dans cette migration le canal péritonéovaginal (CPV), ce dernier s’oblitère ensuite pour former le ligament de Cloquet. Chez la fille, il existe un canal analogue, le canal de Nuck, qui s’oblitère également.

Voir en ligne : Benjamin Frémond et Olivier Azzis Clinique Chirurgicale Infantile - CHU de Rennes


Hématuries de l’enfant

Symptôme très fréquent chez l’enfant pouvant être présent dans de nombreuses maladies et même en être le mode de révélation. Le diagnostic étiologique oblige donc à passer en revue une grande partie de la pathologie uronéphrologique. Cependant l’anamnèse, le tableau clinique et quelques examens simples permettent le plus souvent d’orienter l’enquête étiologique.

Voir en ligne : S. Taque, E. Le Gall - Institut Mère-Enfant, annexe pédiatrique, Hôpital sud, Rennes


Croissance et développement pubertaire du garçon

Bien des troubles bénins liés à la croissance inquiètent les parents et les jeunes adolescents qui viennent alors consulter le médecin. Il est important de rassurer ces derniers en adoptant une approche rigoureuse et en leur donnant des explications claires. Trop grand, trop petit, pas développé¿ quelles sont nos réponses ?

Voir en ligne : Médecin du Québec


Syndrome grippal chez l’enfant

Le syndrome grippal survient la plupart du temps à la fin de l’automne, en hiver ou au début du printemps, lors d’épidémies. Sa période d’incubation est de 24 à 72 heures. Les premiers symptômes de la grippe apparaissent très rapidement :

  • une fièvre de modérée à forte, accompagnée de frissons, de fatigue, de douleurs musculaires et articulaires
  • une toux sèche et creuse souvent accompagnés de vomissements, de douleurs abdominales et de diarrhée

Voir en ligne : Portail Québec


La fièvre Méditerranéenne Familiale ou maladie périodque

Qu’est-ce que c’est ?
La fièvre Méditerranéenne Familiale ( FMF) est une maladie génétique caractérisée par des accès récurrents de fièvre, accompagnés de douleurs abdominales et/ou de douleurs thoraciques, et/ou de douleurs et gonflements articulaires. La maladie affecte en général les populations d’origine Méditerranéenne et du Moyen – Orient, notamment les Juifs ( surtout Sépharades) Turcs, Arabes, et Arméniens. En France, elle est surtout connue sous le nom de « Maladie Périodique »

Voir en ligne : Pediatric Rheumatology INternational Trials Organisation (PRINTO)


Mise au point sur la prise en charge de la fièvre chez l’enfant

A la suite de l’identification d’effets indésirables rares, mais particulièrement graves, intervenus au cours d’un traitement de la fièvre chez l’enfant, certaines stratégies de prise en charge ont récemment été remises en cause. Vous trouverez dans cette rubrique les différents documents, tableaux et listes de médicaments élaborées par l’Afssaps concernant le traitement de la fièvre chez l’enfant.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé


La fièvre chez l’enfant

  1. Fièvre aiguë chez l’enfant
    Caractères en fonction de l’âge
    Signes d’accompagnement
    Conséquences et principaux signes
    L’hyperthermie majeure
    traitement de la fièvre
  2. Fièvre prolongée
    Définition et diagnostic
    Etiologie

Voir en ligne : E. Le Gall | Institut Mère-Enfant, annexe pédiatrique, Hopital sud, - Rennes


Les convulsions fébriles, qu’est ce que c’est ?

Ce sont des convulsions déclenchées par la fièvre, chez un nourrisson ou un petit enfant. L’enfant perd brièvement conscience, son corps (ou parfois une partie du corps seulement) est agité de mouvements, de tremblement involontaires. La crise est brève, durant une ou deux minutes au plus. Les convulsions se produisent le plus souvent lorsque l’enfant a une fièvre supérieure à 40°, mais on peut observer des crises a des températures plus basses, ou même qui précèdent la montée de la température.

Voir en ligne : (SFTG Paris-Nord)


Convulsions fébriles de l’enfant

La convulsion fébrile se manifeste généralement chez un enfant en bonne santé, lors d’une fièvre (température minimum de 38 °C) due à une infection banale : tout le corps de l’enfant est soudain secoué par des spasmes (contractions) musculaires symétriques ; ses membres s’agitent involontairement et de manière saccadée ; ses yeux, quelquefois, se révulsent.

Voir en ligne : Ameli.santé


Les enfants et les crises épileptiques - Guide pour garder des enfants épileptiques

Une crise veut dire que pendant une à deux minutes (ou seulement quelques secondes) un bref dérangement d’ordre électrique survient au niveau du cerveau à la manière d’un orage dans la nature. En dehors de ce dérangement, le cerveau travaille normalement. Toute personne peut subir une crise, p. ex, à la suite d’un accident ou d’une maladie. Quand on dit qu’un enfant est épileptique, cela veut dire qu’il subit plus facilement des crises que d’autres.

Voir en ligne : Association Suisse de Parents d’Enfants Epileptiques


Eczéma constitutionnel du nourrisson

Qualifié d’atopique (ou étrange) par SULZBERGER, il est remarquable par le terrain sur lequel il survient. Les ascendants ou collatéraux ont déjà souffert de manifestations semblables ou de même nature : oedème de Quincke, asthme, rhume des foins, ...
C’est essentiellement sur l’âge et la topographie des lésions que le diagnostic doit reposer :

  • l’eczéma n’apparaît pas habituellement avant 3 mois,
  • le début se fait à la face, sur les pommettes, le front. Jamais sur le cuir chevelu ou les sourcils, ni dans les plis ou aux abords immédiats des orifices naturels.

Voir en ligne : C. Jézéquel | Institut Mère-Enfant, annexe pédiatrique, Hopital sud, Rennes


L’eczéma chez les enfants : ennuyeux, mais soignable

Une irritation cutanée, avec rougeurs, démangeaisons et assèchement de la peau, apparaît dès les premières semaines de vie. Elle est signe d’un problème cutané ennuyeux, mais soignable appelé dermatite atopique, souvent mieux connue sous le nom d’eczéma. Les démangeaisons sont le principal symptôme de la dermatite atopique. Quand l’enfant ne cesse de gratter ou de frotter la région affectée, la peau peut devenir irritée, rugueuse et épaisse. Les zones de peau touchées par la dermatite atopique peuvent devenir rouges et suintantes.

Voir en ligne : L’Hôpital de Montréal pour enfants


Les règles d’or : ce que chaque famille et chaque communauté sont en droit de savoir sur la diarrhée

La diarrhée tue l’enfant en faisant perdre beaucoup d’eau à son corps, ce qui provoque la déshydratation. Dès le début de la diarrhée, il est essentiel de donner à l’enfant beaucoup plus à boire que d’habitude. Il faut également lui donner sa ration alimentaire habituelle.

Voir en ligne : UNICEF


Votre enfant a la diarrhée. Que faire ?

La gastro-entérite est une des maladies les plus fréquentes de l’enfant. Dans l’immense majorité des cas elle est bénigne, mais il faut la prendre en charge précocément afin d’en éviter les complications, en particulier la déshydratation. Elle repose sur la réhydratation orale (donc sur vous) et non sur les médicaments. Il est important de reconnaître les signes de gravité afin d’accélérer la prise en charge d’urgence.

Voir en ligne : SFTG PARIS-NORD


Diarrhée aiguë du nourrisson

La diarrhée aiguë est l’émission de selles anormalement fréquentes et liquides en dehors de tout contexte chronique évident. Fréquente chez le nourrisson pour lequel elles représentent un important motif de consultation, les diarrhées exposent à un risque de déshydratation aiguë, d’autant plus rapide et grave qu’elles sont associées à des vomissements. Les diarrhées aiguës du nourrisson relèvent de causes variées, dominées par les gastro-entérites aiguës infectieuses, en particulier virale, saisonnière et épidémiques. Certaines diarrhées sont microbiennes et doivent être identifiées, voire traitées. Enfin, il faut savoir évoquer d’autres causes. Le traitement est avant tout celui de la déshydratation, soit préventif, soit curatif. Il y a parfois un traitement étiologique à réaliser.

Voir en ligne : Professeur Dominique PLANTAZ - Corpus Médical de la Faculté de Médecine de Grenoble


Diarrhée avec ou sans vomissements

Un enfant a la diarrhée lorsque ses selles sont plus liquides et plus fréquentes que d’habitude. La diarrhée peut être accompagnée de fièvre et de vomissements. Chez l’enfant, la diarrhée et les vomissements peuvent entraîner la déshydratation. Pour prévenir la déshydratation, vous devez faire boire une solution de réhydratation orale à votre enfant.

Voir en ligne : Hôpital de Montréal pour enfants du Centre Universitaire de Santé Mc Gill


Utilisation des antidépresseurs chez l’enfant et l’adolescent

L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) diffuse une Mise au point sur le bon usage des antidépresseurs au cours de la dépression chez l’enfant et l’adolescent destinée aux professionnels de santé. Ce document rappelle que le traitement de première intention des troubles dépressifs est psychothérapique. La mise en place d’un traitement médicamenteux est possible dans certaines situations particulières, mais elle doit être accompagnée d’une surveillance étroite du patient et de la recherche de tout signe d’apparition d’un comportement suicidaire.

Voir en ligne : AFSSAPS : Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé


Les troubles dépressifs chez l’enfant : Reconnaître, Soigner, Prévenir.Devenir.

  • Comment RECONNAITRE les troubles dépressifs chez l’enfant ?
  • Comment SOIGNER les troubles dépressifs chez l’enfant ?
  • Peut-on PREVENIR les troubles dépressifs chez l’enfant ?
  • Quel est le DEVENIR à court et long terme de l’enfant présentant des troubles dépressifs ?

Voir en ligne : CONFERENCE DE CONSENSUS ANDEM 14 et 15 Décembre 1995 - Sénat


Recommandations vaccinales contre la coqueluche

Vaccination de rappel contre la coqueluche des enfants à 11-13 ans Le calendrier vaccinal français recommande (i) une primo vaccination à l’âge de 2, 3 et 4 mois, un rappel à l’âge de 16-18 mois et prévoit, depuis 1998, un rappel de vaccin coquelucheux entre 11 et 13 ans (ii).

Voir en ligne : HCSP Haut Conseil de la santé publique


Le point sur la coqueluche

Penser au rappel des adolescents et des adultes au contact des nourrissons. Lors d’une grossesse, il convient de s’assurer que les personnes, enfants, adolescents et adultes, qui vivront au contact de l’enfant à naître pendant ses 6 premiers mois de vie, sont correctement vaccinées contre la coqueluche (enfant à jour selon le calendrier vaccinal, personne ayant reçu une dose à l’âge adulte). A défaut, une vaccination devrait leur être proposée : la vaccination de l’entourage est à réaliser durant la grossesse et celle de la mère doit être différée immédiatement après l’accouchement, celle-ci pouvant être effectuée même en cas d’allaitement.

Voir en ligne : Les dernières recommandations du Haut Conseil de la Santé Publique et du Ministère de la Santé (19 mars 2008)


Constipation chez l’enfant

Il y a plusieurs définitions de la constipation mais si un enfant a du mal à aller à la selle ou si l’opération est douloureuse, il faut alors le traiter. Les enfants ont souvent besoin de faire un effort pour excréter. S’il n’y a pas de douleurs, il n’y a pas besoin de s’inquiéter. Tout comme les adultes, les enfants peuvent avoir des routines excrétrices différentes. Ils n’ont pas forcément besoin d’excréter tous les jours.

Voir en ligne : SantéOntario.com


La constipation chez les enfants

  • Les selles de votre enfant sont dures ou petites et difficiles à éliminer.
  • Votre enfant passe régulièrement plusieurs jours sans avoir de selles normales.
  • Votre enfant produit des selles volumineuses et douloureuses à éliminer.
  • Des douleurs d’estomac, un manque d’appétit et une mauvaise humeur peuvent également être des symptômes de constipation.

Voir en ligne : NASPGHAN - North American Society for Pediatric Gastroenterology, Hepatology, and Nutrition


Les enfants et les infections urinaires

Bien que les infections du tractus urinaire soient moins fréquentes chez les enfants que chez les adultes, elles ne sont quand même pas rares. On évalue qu’environ 3 pour cent des fillettes et 1 pour cent des garçons souffrent d’une infection du tractus urinaire avant l’âge de 11 ans. Mais certains chercheurs croient que ces chiffres sont inférieurs à la réalité, puisque de nombreux cas ne seraient pas diagnostiqués. Il est pourtant essentiel d’identifier et de traiter rapidement une infection du tractus urinaire chez un enfant, puisqu’elle peut causer de graves problèmes rénaux si elle n’est pas traitée.

Voir en ligne : L’Hôpital de Montréal pour enfants


Bronchiolite

On appelle bronchiolite l’inflammation des bronchioles (les plus petites bronches, tuyaux apportant l’air aux alvéoles des poumons), généralement causée par un virus (le plus fréquent étant le VRS ou virus respiratoire syncytial). L’inflammation des bronchioles nuit au passage de l’air vers les poumons et la respiration devient rapide, parfois sifflante.

Voir en ligne : Portail Québec


Infections ORL et bronchiques des jeunes enfants

"Voici des repères, des conseils et des fiches pratiques pour répondre aux questions que vous vous posez sur les maladies ORL et bronchiques. Un outil, conçu avec des pédiatres, pour vous aider à mieux comprendre ces maladies et à faire face, au quotidien, au nez qui coule, à la toux et à la fièvre des jeunes enfants dont vous vous occupez."

Voir en ligne : AMELI Assurance Maladie En Ligne


Bronchiolite aiguë du nourrisson (1 à 24 mois)

Infection respiratoire basse la plus fréquente du nourrisson (0,5 à 2% de tous les nouveaux-nés hospitalisés) La plupart des nourrissons sont infectés le premier hiver, tous le sont en deux hivers.

Voir en ligne : RESPIR Serveur dédié à l’air, la respiration et les maladies respiratoires


Prise en charge de la bronchiolite du nourrisson

L’objectif de cette conférence de consensus est de répondre aux six questions suivantes, posées au jury :
1. Quelle est l’histoire naturelle de la maladie ?
2. Quels sont les critères de l’hospitalisation ?
3. Quels traitements (hors kinésithérapie) proposer ?
4. Quelle est la place de la kinésithérapie respiratoire dans la prise en charge de la bronchiolite du nourrisson ? 5. Comment organiser les soins ? 6. Quels sont les moyens de prévention ?

Voir en ligne : Conférence de consensus - HAS Haute Autorité de santé


Le réseau bronchiolite Ile de France

L’objectif du réseau, qui regroupe 600 kinésithérapeutes et 350 médecins, est de permettre aux parents de pouvoir joindre très rapidement un professionnel de santé les week-ends et jours fériés. Deux numéros de téléphone (0,12 euro/mn) sont disponibles pour les médecins (0.820.800.880) et les kinés (0.820.820.603).

Voir en ligne : L ’Association des Réseaux Bronchiolite


Bronchiolite : tout ce qu’il faut savoir pour limiter les risques de transmission

Chaque hiver, près de 30 % des enfants de moins de 2 ans sont affectés par la bronchiolite. La bronchiolite est une infection respiratoire des petites bronches. Due à des virus respiratoires très fréquents et très contagieux, cette épidémie saisonnière potentiellement grave pour les nourrissons débute généralement mi-octobre et se termine à la fin de l’hiver avec un pic durant le mois de décembre.

Voir en ligne : INPES - Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé


Angine streptococcique

L’angine streptococcique est l’infection bactérienne la plus répandue, responsable d’environ 15 % des maux de gorge diagnostiqués par les médecins. Elle est surtout courante chez les enfants, mais peut également toucher de nombreux adultes. On l’appelle angine « streptococcique », car elle est due aux bactéries appartenant à la classe des streptocoques du groupe A. On utilise parfois les initiales SGA, et certains médecins parlent d’infection de la gorge SGA.

Voir en ligne : canoe.com


Angine et rhinopharyngite chez l’enfant et l’adulte (consensus 2005)

D’après les recommandations de l’AFSSAPS (octobre 2005) en collaboration avec la HAS

Voir en ligne : AFSSAPS-HAS


Anémies du nourrisson et du grand enfant

1. Interpréter une numération formule sanguine et un myélogramme en fonction de l’âge. 2. Décrire la conduite de l’examen clinique chez un nourrisson pâle. 3. Enumérer les facteurs favorisant la survenue d’une anémie ferriprive du nourrisson. 4. Enumérer et interpréter les examens de laboratoire nécessaires pour confirmer une anémie par carence martiale. 5. Rédiger l’ordonnance du traitement d’une anémie ferriprive chez un nourrisson. 6. Enumérer les signes cliniques et biologiques d’hémolyse.7. Citer les causes d’anémie hémolytique acquise chez l’enfant. 8. Donner les signes cliniques et biologiques de la maladie de Minkowski-Chauffard et sa thérapeutique. 9. Donner les éléments anamnestiques, cliniques et biologiques de l’hémoglobinose S. 10. Donner les éléments anamnestiques, cliniques et biologiques de la thalassémie.

Voir en ligne : E. Le Gall | Institut Mère-Enfant, annexe pédiatrique, Hôpital sud, Rennes


Asthme infantile

L’asthme infantile est la maladie chronique la plus fréquente de l’enfance, affectant plus de 10 % de la population pédiatrique. 50 % des asthmes débutent dans l’enfance avant l’âge de 5 ans. Le sex-ratio est en faveur des garçons : 2/1. Depuis plusieurs années, il semble que la morbidité voire la mortalité augmente alors que des traitements efficaces sont disponibles suggérant un sous diagnostic et un sous traitement de l’asthme maladie. L’asthme de l’enfant est une affection évolutive dans la compréhension de sa physiopathologie, l’approche de son diagnostic et de son traitement. On peut considérer la maladie asthmatique comme un état constitutionnel dont les manifestations cliniques reconnaissent de multiples composantes étiologiques plus ou moins intriquées : allergiques, inflammatoires, infectieuses, neuro-végétatives ou phychiques.

Voir en ligne : E. Deneuville, C. Jézéquel | Institut Mère-Enfant, annexe pédiatrique, Hopital sud, Rennes



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Mise à jour le
jeudi 21 avril 2016

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