AsthmeMaladies, symptômes et pathologies |
La prise des différents inhalateurs das les pathologies respiratoires, asthme ou BPCO, est souvent mal effectuée ce qui diminue l’efficacité du traitement. Sont présentées ici les gestes à réaliser afin que l’inhalateur soit correctement utilisé. De même, pour chaque inhalateur, les erreurs d’utilisation les plus courantes sont détaillées.
L’asthme est une inflammation chronique des bronches, entrainant leur hyperréactivité à certaines substances. La maladie se manifeste par des crises, sous forme de sifflements et de gênes respiratoires. Dans les cas les plus graves, ces crises peuvent nécessiter une hospitalisation. Les chercheurs constatent qu’il n’existe pas "un asthme", mais plusieurs formes de la maladie dont l’étude devrait conduire au développement de nouveaux traitements, plus ciblés.
Des médicaments de seconde intention sans démonstration de différence d’efficacité ou de tolérance entre eux Ces associations fixes ne sont à utiliser qu’en traitement continu de l’asthme persistant, modéré à sévère. Ces médicaments sont à prescrire en seconde intention dans les cas où les patients sont : insuffisamment contrôlés par une corticothérapie inhalée et un bêta-2 agoniste de courte durée d’action administrés par voie inhalée « à la demande » ; ou contrôlés par une corticothérapie inhalée associée à un bêta-2 agoniste de longue durée d’action par voie inhalée. Aucune de ces associations fixes n’a démontré d’avantage clinique par rapport aux autres.
L’asthme est une maladie chronique des voies aériennes. Le processus inflammatoire est constitué par différentes voies impliquant de nombreuses cytokines et médiateurs protéiques. en dépit des thérapeutiques existantes, les patients atteints d’asthme sévère présentent un risque élevé d’exacerbations sévères qui peuvent parfois être fatales et peu d’options thérapeutiques sont disponibles à l’heure actuelle
Avec une prévalence d’environ 7%, l’asthme est l’une des maladies chroniques les plus fréquentes en Suisse. Elle est caractérisée par une évolution fluctuante avec des périodes sans symptômes et des épisodes d’exacerbation pendant lesquels peut survenir un épisode aigu ou « crise d’asthme ». Le médecin praticien doit être capable d’en faire le diagnostic, d’en assurer la prise en charge, en particulier le suivi médicamenteux et les enseignements pratiques qui y sont associés, en collaboration avec la médecine spécialisée (pneumologie, allergologie).
Les associations fixes sont des traitements de seconde intention dans le traitement de fond des patients atteints d’asthme persistant pour lesquels l’administration par voie inhalée d’un médicament associant un corticoïde à un bronchodilatateur bêta-agoniste de longue durée d’action est justifiée, c’est-à-dire :
Handicap respiratoire d’un asthmatique au travail ; Les principaux métiers en cause ; Stratégie diagnostique pour le médecin généraliste ; Prise en charge médicosociale : déclaration-réparation au titre de la maladie professionnelle ; Déclaration-réparation au titre de la maladie professionnelle : les différentes étapes ; Prise en charge médico-sociale : MDPH-bilan de compétences ; Comment aider un asthmatique dans son orientation professionnelle ?
Les allergies respiratoires sont candidates au label « Grande Cause Nationale 2011 ».Aujourd’hui 1 Français sur 4 souffre d’allergies respiratoires, ils n’étaient que 4% en 1968 Les allergies respiratoires (rhinite et asthme allergiques), sont classées au quatrième rang des maladies mondiales par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Elles touchent, aujourd’hui, une personne sur quatre en France. Dans 15% à 20% des cas, la rhinite allergique est qualifiée de sévère en raison de sa récurrence, de son fort impact sur la qualité de vie et de sa résistance aux traitements symptomatiques.
Pourquoi avoir élaboré des recommandations sur l’asthme, spécifiques à l’enfant de moins de 36 mois ? Il existait des recommandations pour l’asthme de l’enfant plus âgé, mais pas pour celui de l’enfant de moins de 36 mois. L’un des objectifs majeurs de ces nouvelles recommandations est d’améliorer le diagnostic de l’asthme du petit enfant pour éviter le risque de sous-traitement ou de suivi inadapté. Avant l’âge de 36 mois, le mot « asthme » fait peur aux parents, car ils pensent que la maladie va durer toute la vie, et on parle plus volontiers de « bronchite asthmatiforme ». Or, la majorité de ces jeunes enfants ne restera pas asthmatique. Le deuxième objectif de ces recommandations est de préciser les stratégies diagnostique et thérapeutique à cet âge, en dehors des épisodes aigus.
Il s’agit d’une maladie inflammatoire affectant les bronches. C’est une maladie chronique avec des périodes de crises (crise d’asthme). Certains facteurs (inhalation d’agent irritant, d’allergène, effort, émotion forte, infection respiratoire) déclenchent une diminution du diamètre des bronches, un gonflement de leurs parois et une production plus importante de sécrétions. Les bronches deviennent alors obstruées et le flux d’air est diminué. L’obstruction est réversible, spontanément ou avec la prise d’un médicament. Chez les personnes asthmatiques, les symptômes surviennent de manière plus ou moins fréquente et intense selon le degré de sévérité.
Gènes respiratoires régulières, crises d’asthme fréquentes, c’est ce que vivent de nombreux patients asthmatiques. Un désagrément qui malheureusement peut aussi se solder par des complications graves avec une hospitalisation à la clef. Dans une étude1 récente consacrée aux personnes prenant fréquemment des médicaments contre l’asthme, l’Assurance Maladie estime que plus d’1 patient sur 4 serait concerné par ces problèmes. Pourtant, il existe des solutions simples pour faire totalement disparaître ces symptômes : mieux connaître sa maladie, suivre un traitement adapté et s’engager à le suivre tout au long de sa vie.
L’asthme infantile est la maladie chronique la plus fréquente de l’enfance, affectant plus de 10 % de la population pédiatrique. 50 % des asthmes débutent dans l’enfance avant l’âge de 5 ans. Le sex-ratio est en faveur des garçons : 2/1. Depuis plusieurs années, il semble que la morbidité voire la mortalité augmente alors que des traitements efficaces sont disponibles suggérant un sous diagnostic et un sous traitement de l’asthme maladie. L’asthme de l’enfant est une affection évolutive dans la compréhension de sa physiopathologie, l’approche de son diagnostic et de son traitement. On peut considérer la maladie asthmatique comme un état constitutionnel dont les manifestations cliniques reconnaissent de multiples composantes étiologiques plus ou moins intriquées : allergiques, inflammatoires, infectieuses, neuro-végétatives ou phychiques.
De 100 à 150 millions de personnes dans le monde soit à peu près l’équivalent de la population de la Fédération de Russie souffrent d’asthme et leur nombre est en augmentation. Au niveau mondial, on enregistre plus de 180 000 décès par an dus à cette affection.
Les principaux antigènes de l’asthme
Symptômes
Que faire si on présente de tels symptômes
Prévention et traitement
Le plan Asthme publié par le ministère français de la Santé en 2002, les recommandations éditées par l’ANAES sur l’éducation thérapeutique puis le suivi de l’asthmatique, l’inscription de cette maladie dans la Loi de santé publique ont été des faits marquants au cours de ces dernières années. La communauté médicale, pneumologique en particulier, a montré son implication dans la prise en charge de ce problème de santé publique. Mais l’allergie n’était pas assez prise en compte, alors même que la part lui étant attribuable est d’environ 50 à 60 %. La prévalence de l’asthme et des allergies
En 2006, 6,26 millions de personnes en France métropolitaine déclarent avoir souffert d’asthme à un moment quelconque de leur vie et, parmi elles, 4,15 millions continuent à en souffrir, soit 6,7 % de la population. Les hommes sont globalement autant concernés que les femmes mais il existe des différences selon l’âge. Moins d’un asthmatique sur deux a recours à un traitement de fond, c’est-à-dire une thérapeutique indiquée pour réduire et maîtriser l’intensité des symptômes liés à l’hyperréactivité bronchique caractérisant cette maladie chronique.
Le Plan d’action pour les crises d’asthme - situation d’urgence est un outil pratique conçu pour aider les professionnels de la santé qui travaillent en milieu d’urgence ou qui sont susceptibles de côtoyer dans leur pratique des personnes aux prises avec une crise d’asthme.
mardi 15 mars 2016 |
Aucun renseignement médical d’ordre personnel ne peut être fourni par correspondance. Il faut consulter son médecin pour obtenir, après un entretien, un examen clinique et d’éventuels examens complémentaires, des recommandations et prescriptions personnelles et précises, notamment en matière de diagnostic et de traitement. |
Qui sommes nous Avis d'utilisation Maladies Spécialités Dossiers Bases de données |