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Alerte Sanitaire

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Usage détourné de médicaments antitussifs et antihistaminiques chez les adolescents et les jeunes adultes - Point d’Information

L’abus de médicaments antitussifs opiacés et antihistaminiques H1, à des fins récréatives, a été mis en évidence chez des adolescents ou des jeunes adultes.L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) souhaite donc mettre en garde l’ensemble des acteurs concernés par la prise en charge sanitaire ou sociale de jeunes publics sur l’usage détourné de ces médicaments délivrés avec ou sans ordonnance.

Voir en ligne : ANSM Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé


Enquête relative aux spécialités pharmaceutiques contenant du valproate de sodium

L’IGAS a été saisie par la ministre des affaires sociales et de la santé, le 22 juin 2015, d’une mission d’enquête sur les spécialités pharmaceutiques contenant du valproate de sodium (Dépakine®, Dépakote®, Dépamide®, Micropakine® et génériques). Ces spécialités sont commercialisées sur le territoire français pour le traitement de l’épilepsie et des troubles bipolaires. Bien que le risque tératogène (malformations du foetus, retards neurodéveloppementaux) soit suspecté puis établi depuis les années 80, l’intérêt du médicament dans le traitement de l’épilepsie a parfois justifié la poursuite de son emploi lors de grossesses.

Voir en ligne : La Documentation Française


Produits en vente libre contenant de la pseudoéphédrine - Évaluation du risque potentiel

Inflammation et lésion du gros intestin en raison d’une irrigation sanguine insuffisante (colite ischémique) La pseudoéphédrine est un ingrédient médicinal retrouvé dans des produits en vente libre utilisés pour traiter l’obstruction des voies nasales en raison d’un excès de fluide ou de mucus (congestion nasale).

Voir en ligne : Santé Canada


Douleurs et enfant – La codéine, pas avant 12 ans et sous conditions

Les évènements indésirables graves, voire les décès rapportés suite à l’administration de codéine à des enfants (et nouveau-nés allaités dont la mère avait pris de la codéine) ont impliqué de nouvelles modalités de prescription de cet antalgique. La HAS a réalisé une fiche mémo sur la prise en charge médicamenteuses de la douleur aiguë et prolongée et/ou chronique chez l’enfant. Objectifs ? Proposer des alternatives à l’utilisation de la codéine dans les situations cliniques problématiques. Explications de Karine Petitprez*, du service des bonnes pratiques professionnelles à la HAS.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de santé


La grippe s’installe avec une souche prépondérante absente du vaccin

Paris, le vendredi 5 février 2016 - L’arrivée de l’épidémie de grippe annoncée le 1er février par l’Irsan (Institut de recherche pour la valorisation des données de santé) a été confirmée le 3 février par l’InVS dans la plupart des régions de la métropole. Le taux d’incidence, à 246 consultations pour syndrome grippal pour 100 000, est au dessus du seuil épidémique qui se situe à 193 cas pour 100 000. Selon l’Irsan, les régions les plus touchées sont la Normandie (394 cas), la Bourgogne - Franche-Comté (361), la Provence-Alpes-Côte d’Azur (356), les Pays de la Loire (306), puis la Bretagne (288). L’épidémie est un peu plus tardive que l’an passé.

Voir en ligne : JIM


Le cannabis ne doit plus être considéré comme une drogue douce (1)

Il est des sujets majeurs de santé publique nettement plus difficiles à aborder que d’autres. Personne ne conteste plus, aujourd’hui, la nocivité majeure de la consommation de tabac ni son caractère puissamment addictogène. Les choses sont plus complexes avec le cannabis, substance aux effets psychotropes également massivement consommée mais qui a longtemps été entourée d’un halo de « drogue douce ». Elle a aussi fait longtemps (et fait encore), en Occident, l’objet de campagnes visant à obtenir soit la dépénalisation, soit la légalisation de sa consommation. Des campagnes souvent soutenues par plusieurs familles politiques généralement situées à gauche.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse


Mise en garde sur l’utilisation hors AMM du baclofène dans les troubles du comportement alimentaire - Point d’Information

Le baclofène est indiqué dans le traitement des contractures spastiques d’origine médullaire et cérébrale et bénéficie, depuis mars 2014, d’une recommandation temporaire d’utilisation (RTU) dans le traitement de l’alcoolodépendance. Des utilisations hors AMM du baclofène ayant été identifiées dans les troubles du comportement alimentaire et dans la prise en charge de régimes amaigrissants, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) déconseille formellement son utilisation dans ces situations, ainsi que dans toutes autres situations non couvertes par l’AMM ou la RTU.

Voir en ligne : ANSM - Sécurité sanitaire des produits de santé


Etude de l’impact de la modification récente des méthodes de contraception sur la survenue d’embolies pulmonaires chez les femmes de 15 à 49 ans

La médiatisation des risques liés aux contraceptifs oraux combinés (COC) en décembre 2012 et le plan d’actions des autorités sanitaires qui a suivi, ont conduit à un changement des habitudes des femmes vis-vis de la contraception en France[1] . Les femmes françaises et les prescripteurs ont donc privilégié les COC 1ère et 2ème génération qui présentent un risque thromboembolique plus faible. L’étude menée par l’ANSM vise à évaluer l’impact de ces changements sur la survenue d’embolies pulmonaires chez les femmes en âge de procréer. Les résultats de cette étude suggèrent que ces évolutions récentes ont eu un effet bénéfique et immédiat : environ 341 hospitalisations pour embolies pulmonaires auraient ainsi été évitées en 2013.

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé


Ebola

La maladie à virus Ebola (autrefois appelée aussi fièvre hémorragique à virus Ebola) est une maladie grave, souvent mortelle chez l’homme. Quels en sont les symptômes ? Comment se propage-t-elle ? Quelles sont les recherches en cours ? Le virus Ebola est un virus mortel très contagieux. Quels sont les symptômes ? Après 2 à 21 jours d’incubation, la maladie se manifeste par des symptômes non spécifiques à cette maladie : fièvre, fatigue, douleurs musculaires et articulaires. Il évolue ensuite vers une phase caractérisée par des signes gastro-intestinaux (diarrhées sanglantes et vomissements), des signes respiratoires et parfois neurologiques. Dans 40 à 80% des cas, l’évolution est fatale.

Voir en ligne : INSERM


Dompéridone (Motilium) et morts subites en France : précisions et confirmation

Les réactions et les émotions soulevées par l’estimation par Prescrire du nombre de morts imputables à la dompéridone orale (Motilium° ou autre) en France en 2012 ont été nombreuses et de différentes natures. Prescrire publie une réponse détaillée en accès libre, disponible en cliquant le lien ci-dessous et résumée dans son numéro de juillet.

Voir en ligne : Prescrire


Bulletin GROG : 2014/5 du 27/01/2014 au 02/02/2014 Grippe : épidémique

Selon les données du Réseau des GROG – semaine 5 (du lundi 27 janvier au dimanche 2 février 2014) :

  • Selon les critères définis par le Réseau des GROG, la grippe est maintenant épidémique au niveau national et dans 10 régions métropolitaines (Auvergne, Bourgogne, Ile-de-France, Languedoc-Roussillon, Lorraine, Midi-Pyrénées, Picardie, Poitou-Charentes, PACA et Rhône-Alpes).

Voir en ligne : Grog - Groupes Régionaux d’Observation de la Grippe


Surdosage avec les spécialités contenant de la colchicine : Importance du respect des règles de bon usage - Point d’information

La colchicine (Colchicine Opocalcium® et Colchimax®) est notamment indiquée dans le traitement et la prévention de la crise de goutte. Le surdosage de colchicine provoque des effets indésirables graves. De nouveaux cas de décès sont rapportés pour des patients traités pour des accès aigus de goutte, principalement en raison d’un non respect des contre indications médicamenteuses, d’une prise en charge inappropriée des signes de surdosage (diarrhées, nausées, vomissements), ou encore en raison d’un non respect des posologies et des recommandations d’adaptation posologique notamment en cas d’insuffisance rénale.

Voir en ligne : ANSM - Sécurité sanitaire des produits de santé


Allopurinol et risques de survenue d’atteintes cutanées graves : rappels des précautions d’emploi et des règles de bon usage

L’allopurinol (inhibiteur de la xanthine oxydase) est notamment indiqué dans le traitement des hyperuricémies symptomatiques et dans le traitement de la goutte. Il s’agit d’un produit ancien, commercialisé depuis plus de 40 ans. Il est connu comme étant la première cause de toxidermies bulleuses graves en Europe et l’un des premiers pourvoyeurs de syndromes d’hypersensibilité médicamenteuse (DRESS - drug rash with eosinophilia and systemic symptoms).

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé


Diclofénac par voie orale ou injectable Nouvelles restrictions d’utilisation liées à une augmentation du risque de thrombose artérielle - Point d’Information

Le diclofénac[1] (dont le médicament princeps est le Voltarène®) est un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) couramment utilisé pour soulager la douleur et l’inflammation.L’évaluation européenne du profil de risque cardiovasculaire des médicaments contenant du diclofénac[2] montre que l’augmentation du risque de thrombose artérielle est comparable à celui observé avec les inhibiteurs sélectifs de la COX-2 (Coxibs). Si le bénéfice du diclofénac reste supérieur au risque, cette évaluation a toutefois conduit à de nouvelles restrictions d’utilisation.

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé


Ruptures de stock et arrêts de commercialisation des médicaments

Cette rubrique recense les médicaments faisant l’objet de difficultés d’approvisionnement en France connues par l’ANSM.  Elle ne concerne que les médicaments à usage humain sans alternative thérapeutique disponible pour certains patients ou dont les difficultés d’approvisionnement à l’officine et/ou à l’hôpital, peuvent entraîner un risque de santé publique. Ces informations sont destinées aux professionnels de santé et aux patients. Le laboratoire responsable de sa commercialisation en France est l’interlocuteur privilégié des personnes souhaitant des informations complémentaires.

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé


Les antalgiques sur le banc des perturbateurs endocriniens

Paracétamol, aspirine et indométacine inhibent la production de testostérone chez l’adulte. Ce constat effectué par des chercheurs de l’Inserm incite à la vigilance chez les gros consommateurs d’antalgiques, notamment chez les sportifs de haut niveau.

Voir en ligne : INSERM


L’institut de veille sanitaire vient de mettre à jour la définition de cas pour les cas d’infection à nouveau Coronavirus.

Est considéré comme un cas possible toute personne ayant voyagé ou séjourné dans les pays listés ci-dessous (1), qui, au cours des 10 jours après son retour, a présenté des signes cliniques et/ou radiologiques de détresse respiratoire aigüe (SDRA) ou d’infection du parenchyme pulmonaire, avec une fièvre ≥38°C et de la toux, sans autre étiologie identifiée pouvant expliquer la pathologie. Pour les personnes immunodéprimées ou présentant une pathologie chronique, il faut considérer également la survenue d’un syndrome fébrile avec diarrhée et/ou tableau clinique sévère. Si vous êtes en présence d’un cas suspect lors de vos consultations, il vous est recommandé de mettre en place toutes les mesures de protection, en particulier, si cela est possible, d’isoler le patient. De plus, il est recommandé de ne pas adresser le patient directement au SAU mais de prendre contact systématiquement avec le SAMU-Centre 15 pour assurer la prise en charge et le transport dans les meilleures conditions de sécurité sanitaire et pour une hospitalisation directe en service spécialisé.
(1) Arabie Saoudite, Bahreïn, Emirats Arabes Unis, Irak, Iran, Israël, Jordanie, Koweït, Liban, Oman, Qatar, Syrie, Territoires palestiniens occupés, Yémen.

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire


Confirmation d’un cas de transmission interhumaine du nouveau coronavirus

A la suite de la confirmation d’un premier cas de nouveau coronavirus (NCoV), hospitalisé à Valenciennes puis à Douai puis au CHRU de Lille, l’enquête épidémiologique a permis d’identifier 124 personnes ayant été en contact avec le malade (entourage et contacts en milieu hospitalier). Deux d’entre elles étaient en cours d’investigation, il s’agit :

  • D’un membre de l’entourage du malade, qui est isolé à son domicile, dont les résultats négatifs ont été communiqués par l’Institut Pasteur.
  • De la personne qui a partagé du 27 au 29 avril la chambre du premier patient atteint d’une infection à coronavirus, au CH de Valenciennes, dont les résultats positifs viennent d’être confirmés. Cette personne, qui a été en contact prolongé et rapproché avec le premier patient, a été transférée ce jour en réanimation au CHRU de Lille.

Voir en ligne : Direction Générale de la Santé


Avis de biosécurité : Coronavirus humain Centre médical Erasmus (HCoV-EMC/2012)

Cet avis de biosécurité est émis par l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) pour aider les laboratoires à élaborer des procédures de biosécurité efficaces pour la manipulation des échantillons de coronavirus humain Centre médical Erasmus (HCoV‑EMC/2012), qui a récemment été découvert au Moyen-Orient. Le groupe de risque (GR) associé au HCoV-EMC/2012 est le GR 3.

Voir en ligne : Agence de la santé publique du Canada


Premier cas confirmé de coronavirus en France - Point de situation et mise en place d’un numéro vert - 0 800 13 00 00 et joignable du lundi au samedi, de 9h à 19h

Un cas d’infection respiratoire aiguë liée au nouveau coronavirus (NCoV) a été signalé à l’Institut de Veille Sanitaire (InVS) par le Centre national de référence (CNR) de l’Institut Pasteur qui a procédé aux analyses virologiques. C’est le premier et seul cas confirmé en France à ce jour.
http://www.sante.gouv.fr/alertes-sa...

Voir en ligne : Ministère de la Santé


Renseignements pour le personnel et les employeurs du secteur de la santé - Nouveau coronavirus nCoV-EMC

Mise à jour : 7 mai 2013 Ces renseignements nécessitent une interprétation avertie et sont principalement destinés aux travailleurs de la santé et aux employeurs du secteur de la santé dans tous les établissements.

Voir en ligne : ministère de la Santé et des Soins de longue durée (Ontario)


Surveillance des infections liées au nouveau coronavirus (NCoV). Point au 3 mai 2013.

En septembre 2012, un nouveau coronavirus a été identifié chez deux patients présentant des pneumonies sévères et résidant en Arabie Saoudite et au Qatar. Suite à cette découverte, une surveillance a été mise en place sous la coordination de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et de l’European Centre for Disease Prevention and Control (ECDC) afin de détecter d’autres cas éventuels (OMS : http://www.who.int/csr/disease/coro... - ECDC : http://www.ecdc.europa.eu/EN/HEALTH...). En France, cette surveillance a été mise en place par l’Institut de veille sanitaire.

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire


Les prothèses mammaires implantables PIP : état des lieux un an après les dernières recommandations - Point d’information

A la suite des signalements d’un chirurgien, de signaux croissants de matériovigilance et après des échanges infructueux avec la société destinés à expliquer ces anomalies, une inspection de l’Agence[1] a été diligentée dans les locaux de la société PIP en mars 2010. Du fait du constat d’écarts majeurs par rapport à la réglementation et à la sécurité, le Directeur général a pris la décision de suspendre la mise sur le marché, la distribution, l’exportation et l’utilisation de ces implants. En décembre 2011, le ministre du travail, de l’emploi et de la santé et la secrétaire d’Etat à la santé ont indiqué qu’ils souhaitaient que l’explantation des prothèses PIP soit proposée aux femmes au cours d’un entretien avec leur chirurgien, même sans signe clinique de détérioration de l’implant. L’ANSM publie un état des lieux un an après cette recommandation.

Voir en ligne : http://ansm.sante.fr/S-informer/Actualite/Les-protheses-mammaires-implantables-PIP-etat-des-lieux-un-an-apres-les-dernieres-recommandations-Point-d-information


Eau en Bouteille : pas de polluant retrouvé dans 8 bouteilles sur 10

Une nouvelle étude réalisée par 60 Millions de Consommateurs (avril 2013) en partenariat avec la Fondation France Libertés confirme que l’eau que nous buvons peut être contaminée par différents résidus de pesticides et de médicaments. Si les prélèvements d’eau du robinet effectués sont inquiétants, les résultats concernant les eaux en bouteille sont plutôt rassurants, même si certaines ne seraient pas totalement indemnes de contamination.

Voir en ligne : Surf Prévention


EVRA (patch contraceptif) et risque de thrombose veineuse :

Les thromboses veineuses avec EVRA restent rares mais en l’absence d’études comparatives montrant un bénéfice supplémentaire pour le patch contraceptif, la prescription de COC de 1ère ou de 2ème génération contenant du lévonorgestrel est recommandée en première intention, lorsqu’une contraception hormonale combinée a été choisie.

Voir en ligne : ANSM - Sécurité sanitaire des produits de santé


Cholestérol : attention danger !!

Associations de patients, sociétés savantes médicales et associations de lutte contre les maladies cardiovasculaires et neurovasculaires, se rejoignent pour exprimer leur plus vive inquiétude devant la réaction de nombreux patients qui, à la suite de deux livres récents, ont décidé d’interrompre leur traitement pour excès de cholestérol (statines) ou diabète (gliptines ou analogues). En France, vingt millions de personnes sont à risque de maladies cardio-neurovasculaires qui représentent la seconde cause de mortalité dans notre pays et la première chez les femmes.

Voir en ligne : Communiqué de presse de plusieurs sociétés savantes


Médicaments sous surveillance renforcée

Suite à l’identification de signaux de pharmacovigilance, une analyse approfondie du profil de sécurité de ces médicaments est en cours. Elle peut conduire à la prise de mesures adaptées (renforcement des précautions d’emploi et mises en garde, restriction des conditions de prescription et de dispensation, voire suspension ou retrait du produit).

Voir en ligne : ANSM - Sécurité sanitaire des produits de santé


Pour mieux soigner : des médicaments à écarter

Trop de médicaments à balance bénéfices-risques défavorable sont commercialisés.  Prescrire  publie une série de médicaments à écarter des soins, et à remplacer par de meilleures solutions, en attendant que les autorités de santé les retirent du marché.

Voir en ligne : Prescrire


Pour la sécurité des patientes, l’ANSM engage une procédure de suspension de l’AMM de Diane 35 et de ses génériques - Communiqué

Diane 35 est un médicament utilisé dans le traitement de l’acné et non un contraceptif. A l’issue de l’évaluation de l’ensemble des données disponibles, l’ANSM estime que le rapport bénéfice/risque de Diane 35 et de ses génériques est défavorable dans le traitement de l’acné, au regard notamment du risque thromboembolique veineux et artériel auxquels ils exposent les femmes traitées. De surcroît, l’usage important de ces médicaments en tant que contraceptifs n’est pas conforme et leur efficacité comme contraceptif n’a pas été démontrée par des études cliniques appropriées.

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé


Evaluation du risque lié à l’utilisation du phénoxyéthanol dans les produits cosmétiques (lingettes)

L’Ansm recommande pour les enfants de moins de trois ans : - une non utilisation du phénoxyéthanol dans les produits cosmétiques destinés au siège et ; - une restriction du phénoxyéthanol à la concentration de 0,4 % dans tous les autres types de produits (au lieu de 1 % actuellement). L’Ansm attire également l’attention sur le fait que toute limitation et/ou modification de la concentration finale en phénoxyéthanol dans les produits cosmétiques devra toutefois être compatible avec l’activité antibactérienne attendue pour un conservateur.

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé


La France bloque le vaccin antigrippal de Novartis (Agrippal)

Des particules blanches dans les seringues ont été découvertes en Italie et en Suisse. Pour le ministère de la Santé, il s’agit surtout d’une mesure de précaution. Après l’Italie, la Suisse, l’Allemagne et l’Autriche, la France a décidé de bloquer « par précaution » les lots de vaccins antigrippaux Agrippal de Novartis. Le ministère de la Santé précise avoir demandé à l’ANSM (agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) de « prendre des mesures préventives » sur les vaccins concernés commercialisés en France par le groupe pharmaceutique suisse.

Voir en ligne : Par Les Echos | 26/10 | 12:46 | mis à jour à 13:06


Syndrome pulmonaire à hantavirus (SPH)

Risques de contamination par hantavirus au Parc national de Yosemite (USA) : mise en place d’un numéro d’information des touristes français (2 septembre 2012)
Qu’est-ce qu’un hantavirus ?
Un hantavirus est un virus présent dans l’urine, la salive ou les excréments de rongeurs sauvages infectés. Il entraîne différentes maladies, dont une maladie pulmonaire rare, mais grave, appelée syndrome pulmonaire à hantavirus (SPH).

Voir en ligne : Direction Générale de la Santé


Hantavirus : aucun cas en France

Le Samu de Paris a indiqué qu’il n’y avait eu à ce jour aucun cas de contamination de touristes français par l’hantavirus, qui a infesté des visiteurs du parc Yosemite, en Californie, et qu’une procédure avait été mise en place pour y faire éventuellement face.
Mise en place d’un numéro vert 0 800 636 636 - Information des touristes français

PDF - 80.9 ko

Voir en ligne : Le Figaro | AFP


Alerte à l’hantavirus en Californie

10.000 personnes pourraient avoir été en contact avec ce virus mortel, véhiculé par des souris, lors de leur séjour dans le parc américain de Yosemite. Six personnes ont contracté la maladie, deux en sont mortes. C’est une vague d’infections sans précédent dans un même endroit. Au moins six cas de syndrome pulmonaire à hantavirus (SPH), une maladie véhiculée par la salive ou les excréments de souris, ont été détectés aux États-Unis chez des touristes ayant séjourné dans un camping du Parc national de Yosemite, en Californie.

Voir en ligne : Le Figaro


Mise au point sur le bon usage des médicaments en cas de vague de chaleur

Les principales populations vulnérables en situation de forte chaleur sont les personnes âgées, les nourrissons et les enfants, les personnes atteintes d’une pathologie chronique nécessitant un traitement médicamenteux, en particulier lorsqu’elle est sévère, et les personnes dépendantes. L’isolement social accroît encore leur fragilité.

Voir en ligne : ANSM Agence nationale de sécurité du médicament


Avis relatif aux risques sanitaires liés à la consommation de chewing-gums dans lesquels de l’argile verte contenant des teneurs élevées en plomb et en dioxines

Le comité d’experts spécialisé « résidus et contaminants chimiques et physiques » estime que la mastication de chewing-gums contenant de l’Argile verte contaminée par des dioxines et du plomb n’est pas susceptible d’entrainer à elle seule un risque sanitaire notamment en raison de la faible absorption de ces composés par l’organisme. La contribution potentielle entrainée par la mastication de chewing-gums contenant de l’argile verte contaminée par le plomb serait comprise entre 7 et 14% de la dose de référence définie pour les enfants et les femmes en âge de procréer.

Voir en ligne : L’Agence nationale de la sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail - Anses


Actualisation des recommandations pour les femmes porteuses de prothèses mammaires Poly Implant Prothèse (PIP) - 23 décembre 2011

Xavier BERTRAND, Ministre du travail, de l’emploi et de la santé, et Nora BERRA, Secrétaire d’Etat chargée de la Santé, actualisent les recommandations de prise en charge des femmes porteuses de prothèses PIP. A titre préventif et sans caractère d’urgence, ils souhaitent que l’explantation des prothèses, même sans signe clinique de détérioration de l’implant, soit proposée aux femmes concernées.

Voir en ligne : >Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé (Secteur Santé)


Actualisation des recommandations concernant les prothèses mammaires

A la suite d’un décès dû à un lymphome chez une femme porteuse d’implant mammaire produit par la société Poly Implant Prothèse (PIP), l’Afssaps actualise ses recommandations aux patientes et aux professionnels de santé, en lien avec la Direction générale de la santé et la Direction générale de l’offre de soins.
Pour répondre aux interrogations sur ce sujet, les autorités sanitaires rappellent qu’un numéro vert a été mis en place : N° : 0800 636 636 (Ouverture du lundi au samedi de 9h00/19h00)
voir aussi : Actualisation des recommandations pour les femmes porteuses de prothèses mammaires Poly Implant Prothèse (PIP) (Ministre du travail, de l’emploi et de la santé)

PDF - 64.7 ko

Voir en ligne : Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé)


Questions - réponses sur les cas de syndrome hémolytique et urémique (SHU) en lien possible avec la consommation de steak haché surgelé [ 17 juin 2011 ]

Quelle est l’origine des cas de SHU signalés notamment dans le Nord-Pas-De -Calais ?
Les cas de syndrome hémolytique et urémique (SHU) signalés le 14 juin dans le Nord Pas de Calais sont dus à une infection à Escherichia coli (E. coli) producteur de shigatoxines. On peut retrouver ces bactéries sous diverses appellations : STEC (Escherichia coli produisant des shigatoxines) ou VTEC (Escherichia coli produisant des verotoxines).

Voir en ligne : Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé (Secteur Santé)



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jeudi 21 avril 2016

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