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L’abus de médicaments antitussifs opiacés et antihistaminiques H1, à des fins récréatives, a été mis en évidence chez des adolescents ou des jeunes adultes.L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) souhaite donc mettre en garde l’ensemble des acteurs concernés par la prise en charge sanitaire ou sociale de jeunes publics sur l’usage détourné de ces médicaments délivrés avec ou sans ordonnance.
L’IGAS a été saisie par la ministre des affaires sociales et de la santé, le 22 juin 2015, d’une mission d’enquête sur les spécialités pharmaceutiques contenant du valproate de sodium (Dépakine®, Dépakote®, Dépamide®, Micropakine® et génériques). Ces spécialités sont commercialisées sur le territoire français pour le traitement de l’épilepsie et des troubles bipolaires. Bien que le risque tératogène (malformations du foetus, retards neurodéveloppementaux) soit suspecté puis établi depuis les années 80, l’intérêt du médicament dans le traitement de l’épilepsie a parfois justifié la poursuite de son emploi lors de grossesses.
Inflammation et lésion du gros intestin en raison d’une irrigation sanguine insuffisante (colite ischémique) La pseudoéphédrine est un ingrédient médicinal retrouvé dans des produits en vente libre utilisés pour traiter l’obstruction des voies nasales en raison d’un excès de fluide ou de mucus (congestion nasale).
Les évènements indésirables graves, voire les décès rapportés suite à l’administration de codéine à des enfants (et nouveau-nés allaités dont la mère avait pris de la codéine) ont impliqué de nouvelles modalités de prescription de cet antalgique. La HAS a réalisé une fiche mémo sur la prise en charge médicamenteuses de la douleur aiguë et prolongée et/ou chronique chez l’enfant. Objectifs ? Proposer des alternatives à l’utilisation de la codéine dans les situations cliniques problématiques. Explications de Karine Petitprez*, du service des bonnes pratiques professionnelles à la HAS.
Paris, le vendredi 5 février 2016 - L’arrivée de l’épidémie de grippe annoncée le 1er février par l’Irsan (Institut de recherche pour la valorisation des données de santé) a été confirmée le 3 février par l’InVS dans la plupart des régions de la métropole. Le taux d’incidence, à 246 consultations pour syndrome grippal pour 100 000, est au dessus du seuil épidémique qui se situe à 193 cas pour 100 000. Selon l’Irsan, les régions les plus touchées sont la Normandie (394 cas), la Bourgogne - Franche-Comté (361), la Provence-Alpes-Côte d’Azur (356), les Pays de la Loire (306), puis la Bretagne (288). L’épidémie est un peu plus tardive que l’an passé.
Il est des sujets majeurs de santé publique nettement plus difficiles à aborder que d’autres. Personne ne conteste plus, aujourd’hui, la nocivité majeure de la consommation de tabac ni son caractère puissamment addictogène. Les choses sont plus complexes avec le cannabis, substance aux effets psychotropes également massivement consommée mais qui a longtemps été entourée d’un halo de « drogue douce ». Elle a aussi fait longtemps (et fait encore), en Occident, l’objet de campagnes visant à obtenir soit la dépénalisation, soit la légalisation de sa consommation. Des campagnes souvent soutenues par plusieurs familles politiques généralement situées à gauche.
Le baclofène est indiqué dans le traitement des contractures spastiques d’origine médullaire et cérébrale et bénéficie, depuis mars 2014, d’une recommandation temporaire d’utilisation (RTU) dans le traitement de l’alcoolodépendance. Des utilisations hors AMM du baclofène ayant été identifiées dans les troubles du comportement alimentaire et dans la prise en charge de régimes amaigrissants, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) déconseille formellement son utilisation dans ces situations, ainsi que dans toutes autres situations non couvertes par l’AMM ou la RTU.
La médiatisation des risques liés aux contraceptifs oraux combinés (COC) en décembre 2012 et le plan d’actions des autorités sanitaires qui a suivi, ont conduit à un changement des habitudes des femmes vis-vis de la contraception en France[1] . Les femmes françaises et les prescripteurs ont donc privilégié les COC 1ère et 2ème génération qui présentent un risque thromboembolique plus faible. L’étude menée par l’ANSM vise à évaluer l’impact de ces changements sur la survenue d’embolies pulmonaires chez les femmes en âge de procréer. Les résultats de cette étude suggèrent que ces évolutions récentes ont eu un effet bénéfique et immédiat : environ 341 hospitalisations pour embolies pulmonaires auraient ainsi été évitées en 2013.
La maladie à virus Ebola (autrefois appelée aussi fièvre hémorragique à virus Ebola) est une maladie grave, souvent mortelle chez l’homme. Quels en sont les symptômes ? Comment se propage-t-elle ? Quelles sont les recherches en cours ? Le virus Ebola est un virus mortel très contagieux. Quels sont les symptômes ? Après 2 à 21 jours d’incubation, la maladie se manifeste par des symptômes non spécifiques à cette maladie : fièvre, fatigue, douleurs musculaires et articulaires. Il évolue ensuite vers une phase caractérisée par des signes gastro-intestinaux (diarrhées sanglantes et vomissements), des signes respiratoires et parfois neurologiques. Dans 40 à 80% des cas, l’évolution est fatale.
Les réactions et les émotions soulevées par l’estimation par Prescrire du nombre de morts imputables à la dompéridone orale (Motilium° ou autre) en France en 2012 ont été nombreuses et de différentes natures. Prescrire publie une réponse détaillée en accès libre, disponible en cliquant le lien ci-dessous et résumée dans son numéro de juillet.
Selon les données du Réseau des GROG – semaine 5 (du lundi 27 janvier au dimanche 2 février 2014) :
La colchicine (Colchicine Opocalcium® et Colchimax®) est notamment indiquée dans le traitement et la prévention de la crise de goutte. Le surdosage de colchicine provoque des effets indésirables graves. De nouveaux cas de décès sont rapportés pour des patients traités pour des accès aigus de goutte, principalement en raison d’un non respect des contre indications médicamenteuses, d’une prise en charge inappropriée des signes de surdosage (diarrhées, nausées, vomissements), ou encore en raison d’un non respect des posologies et des recommandations d’adaptation posologique notamment en cas d’insuffisance rénale.
L’allopurinol (inhibiteur de la xanthine oxydase) est notamment indiqué dans le traitement des hyperuricémies symptomatiques et dans le traitement de la goutte. Il s’agit d’un produit ancien, commercialisé depuis plus de 40 ans. Il est connu comme étant la première cause de toxidermies bulleuses graves en Europe et l’un des premiers pourvoyeurs de syndromes d’hypersensibilité médicamenteuse (DRESS - drug rash with eosinophilia and systemic symptoms).
Le diclofénac[1] (dont le médicament princeps est le Voltarène®) est un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) couramment utilisé pour soulager la douleur et l’inflammation.L’évaluation européenne du profil de risque cardiovasculaire des médicaments contenant du diclofénac[2] montre que l’augmentation du risque de thrombose artérielle est comparable à celui observé avec les inhibiteurs sélectifs de la COX-2 (Coxibs). Si le bénéfice du diclofénac reste supérieur au risque, cette évaluation a toutefois conduit à de nouvelles restrictions d’utilisation.
Cette rubrique recense les médicaments faisant l’objet de difficultés d’approvisionnement en France connues par l’ANSM. Elle ne concerne que les médicaments à usage humain sans alternative thérapeutique disponible pour certains patients ou dont les difficultés d’approvisionnement à l’officine et/ou à l’hôpital, peuvent entraîner un risque de santé publique. Ces informations sont destinées aux professionnels de santé et aux patients. Le laboratoire responsable de sa commercialisation en France est l’interlocuteur privilégié des personnes souhaitant des informations complémentaires.
Paracétamol, aspirine et indométacine inhibent la production de testostérone chez l’adulte. Ce constat effectué par des chercheurs de l’Inserm incite à la vigilance chez les gros consommateurs d’antalgiques, notamment chez les sportifs de haut niveau.
Est considéré comme un cas possible toute personne ayant voyagé ou séjourné dans les pays listés ci-dessous (1), qui, au cours des 10 jours après son retour, a présenté des signes cliniques et/ou radiologiques de détresse respiratoire aigüe (SDRA) ou d’infection du parenchyme pulmonaire, avec une fièvre ≥38°C et de la toux, sans autre étiologie identifiée pouvant expliquer la pathologie. Pour les personnes immunodéprimées ou présentant une pathologie chronique, il faut considérer également la survenue d’un syndrome fébrile avec diarrhée et/ou tableau clinique sévère. Si vous êtes en présence d’un cas suspect lors de vos consultations, il vous est recommandé de mettre en place toutes les mesures de protection, en particulier, si cela est possible, d’isoler le patient. De plus, il est recommandé de ne pas adresser le patient directement au SAU mais de prendre contact systématiquement avec le SAMU-Centre 15 pour assurer la prise en charge et le transport dans les meilleures conditions de sécurité sanitaire et pour une hospitalisation directe en service spécialisé.
(1) Arabie Saoudite, Bahreïn, Emirats Arabes Unis, Irak, Iran, Israël, Jordanie, Koweït, Liban, Oman, Qatar, Syrie, Territoires palestiniens occupés, Yémen.
A la suite de la confirmation d’un premier cas de nouveau coronavirus (NCoV), hospitalisé à Valenciennes puis à Douai puis au CHRU de Lille, l’enquête épidémiologique a permis d’identifier 124 personnes ayant été en contact avec le malade (entourage et contacts en milieu hospitalier). Deux d’entre elles étaient en cours d’investigation, il s’agit :
Cet avis de biosécurité est émis par l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) pour aider les laboratoires à élaborer des procédures de biosécurité efficaces pour la manipulation des échantillons de coronavirus humain Centre médical Erasmus (HCoV‑EMC/2012), qui a récemment été découvert au Moyen-Orient. Le groupe de risque (GR) associé au HCoV-EMC/2012 est le GR 3.
Un cas d’infection respiratoire aiguë liée au nouveau coronavirus (NCoV) a été signalé à l’Institut de Veille Sanitaire (InVS) par le Centre national de référence (CNR) de l’Institut Pasteur qui a procédé aux analyses virologiques. C’est le premier et seul cas confirmé en France à ce jour.
http://www.sante.gouv.fr/alertes-sa...
Mise à jour : 7 mai 2013 Ces renseignements nécessitent une interprétation avertie et sont principalement destinés aux travailleurs de la santé et aux employeurs du secteur de la santé dans tous les établissements.
En septembre 2012, un nouveau coronavirus a été identifié chez deux patients présentant des pneumonies sévères et résidant en Arabie Saoudite et au Qatar. Suite à cette découverte, une surveillance a été mise en place sous la coordination de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et de l’European Centre for Disease Prevention and Control (ECDC) afin de détecter d’autres cas éventuels (OMS : http://www.who.int/csr/disease/coro... - ECDC : http://www.ecdc.europa.eu/EN/HEALTH...). En France, cette surveillance a été mise en place par l’Institut de veille sanitaire.
A la suite des signalements d’un chirurgien, de signaux croissants de matériovigilance et après des échanges infructueux avec la société destinés à expliquer ces anomalies, une inspection de l’Agence[1] a été diligentée dans les locaux de la société PIP en mars 2010. Du fait du constat d’écarts majeurs par rapport à la réglementation et à la sécurité, le Directeur général a pris la décision de suspendre la mise sur le marché, la distribution, l’exportation et l’utilisation de ces implants. En décembre 2011, le ministre du travail, de l’emploi et de la santé et la secrétaire d’Etat à la santé ont indiqué qu’ils souhaitaient que l’explantation des prothèses PIP soit proposée aux femmes au cours d’un entretien avec leur chirurgien, même sans signe clinique de détérioration de l’implant. L’ANSM publie un état des lieux un an après cette recommandation.
Une nouvelle étude réalisée par 60 Millions de Consommateurs (avril 2013) en partenariat avec la Fondation France Libertés confirme que l’eau que nous buvons peut être contaminée par différents résidus de pesticides et de médicaments. Si les prélèvements d’eau du robinet effectués sont inquiétants, les résultats concernant les eaux en bouteille sont plutôt rassurants, même si certaines ne seraient pas totalement indemnes de contamination.
Les thromboses veineuses avec EVRA restent rares mais en l’absence d’études comparatives montrant un bénéfice supplémentaire pour le patch contraceptif, la prescription de COC de 1ère ou de 2ème génération contenant du lévonorgestrel est recommandée en première intention, lorsqu’une contraception hormonale combinée a été choisie.
Associations de patients, sociétés savantes médicales et associations de lutte contre les maladies cardiovasculaires et neurovasculaires, se rejoignent pour exprimer leur plus vive inquiétude devant la réaction de nombreux patients qui, à la suite de deux livres récents, ont décidé d’interrompre leur traitement pour excès de cholestérol (statines) ou diabète (gliptines ou analogues). En France, vingt millions de personnes sont à risque de maladies cardio-neurovasculaires qui représentent la seconde cause de mortalité dans notre pays et la première chez les femmes.
Suite à l’identification de signaux de pharmacovigilance, une analyse approfondie du profil de sécurité de ces médicaments est en cours. Elle peut conduire à la prise de mesures adaptées (renforcement des précautions d’emploi et mises en garde, restriction des conditions de prescription et de dispensation, voire suspension ou retrait du produit).
Trop de médicaments à balance bénéfices-risques défavorable sont commercialisés. Prescrire publie une série de médicaments à écarter des soins, et à remplacer par de meilleures solutions, en attendant que les autorités de santé les retirent du marché.
Diane 35 est un médicament utilisé dans le traitement de l’acné et non un contraceptif. A l’issue de l’évaluation de l’ensemble des données disponibles, l’ANSM estime que le rapport bénéfice/risque de Diane 35 et de ses génériques est défavorable dans le traitement de l’acné, au regard notamment du risque thromboembolique veineux et artériel auxquels ils exposent les femmes traitées. De surcroît, l’usage important de ces médicaments en tant que contraceptifs n’est pas conforme et leur efficacité comme contraceptif n’a pas été démontrée par des études cliniques appropriées.
L’Ansm recommande pour les enfants de moins de trois ans : - une non utilisation du phénoxyéthanol dans les produits cosmétiques destinés au siège et ; - une restriction du phénoxyéthanol à la concentration de 0,4 % dans tous les autres types de produits (au lieu de 1 % actuellement). L’Ansm attire également l’attention sur le fait que toute limitation et/ou modification de la concentration finale en phénoxyéthanol dans les produits cosmétiques devra toutefois être compatible avec l’activité antibactérienne attendue pour un conservateur.
Des particules blanches dans les seringues ont été découvertes en Italie et en Suisse. Pour le ministère de la Santé, il s’agit surtout d’une mesure de précaution. Après l’Italie, la Suisse, l’Allemagne et l’Autriche, la France a décidé de bloquer « par précaution » les lots de vaccins antigrippaux Agrippal de Novartis. Le ministère de la Santé précise avoir demandé à l’ANSM (agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) de « prendre des mesures préventives » sur les vaccins concernés commercialisés en France par le groupe pharmaceutique suisse.
Risques de contamination par hantavirus au Parc national de Yosemite (USA) : mise en place d’un numéro d’information des touristes français (2 septembre 2012)
Qu’est-ce qu’un hantavirus ?
Un hantavirus est un virus présent dans l’urine, la salive ou les excréments de rongeurs sauvages infectés. Il entraîne différentes maladies, dont une maladie pulmonaire rare, mais grave, appelée syndrome pulmonaire à hantavirus (SPH).
Le Samu de Paris a indiqué qu’il n’y avait eu à ce jour aucun cas de contamination de touristes français par l’hantavirus, qui a infesté des visiteurs du parc Yosemite, en Californie, et qu’une procédure avait été mise en place pour y faire éventuellement face.
Mise en place d’un numéro vert 0 800 636 636 - Information des touristes français
10.000 personnes pourraient avoir été en contact avec ce virus mortel, véhiculé par des souris, lors de leur séjour dans le parc américain de Yosemite. Six personnes ont contracté la maladie, deux en sont mortes. C’est une vague d’infections sans précédent dans un même endroit. Au moins six cas de syndrome pulmonaire à hantavirus (SPH), une maladie véhiculée par la salive ou les excréments de souris, ont été détectés aux États-Unis chez des touristes ayant séjourné dans un camping du Parc national de Yosemite, en Californie.
Les principales populations vulnérables en situation de forte chaleur sont les personnes âgées, les nourrissons et les enfants, les personnes atteintes d’une pathologie chronique nécessitant un traitement médicamenteux, en particulier lorsqu’elle est sévère, et les personnes dépendantes. L’isolement social accroît encore leur fragilité.
Le comité d’experts spécialisé « résidus et contaminants chimiques et physiques » estime que la mastication de chewing-gums contenant de l’Argile verte contaminée par des dioxines et du plomb n’est pas susceptible d’entrainer à elle seule un risque sanitaire notamment en raison de la faible absorption de ces composés par l’organisme. La contribution potentielle entrainée par la mastication de chewing-gums contenant de l’argile verte contaminée par le plomb serait comprise entre 7 et 14% de la dose de référence définie pour les enfants et les femmes en âge de procréer.
Xavier BERTRAND, Ministre du travail, de l’emploi et de la santé, et Nora BERRA, Secrétaire d’Etat chargée de la Santé, actualisent les recommandations de prise en charge des femmes porteuses de prothèses PIP. A titre préventif et sans caractère d’urgence, ils souhaitent que l’explantation des prothèses, même sans signe clinique de détérioration de l’implant, soit proposée aux femmes concernées.
A la suite d’un décès dû à un lymphome chez une femme porteuse d’implant mammaire produit par la société Poly Implant Prothèse (PIP), l’Afssaps actualise ses recommandations aux patientes et aux professionnels de santé, en lien avec la Direction générale de la santé et la Direction générale de l’offre de soins.
Pour répondre aux interrogations sur ce sujet, les autorités sanitaires rappellent qu’un numéro vert a été mis en place : N° : 0800 636 636 (Ouverture du lundi au samedi de 9h00/19h00)
voir aussi : Actualisation des recommandations pour les femmes porteuses de prothèses mammaires Poly Implant Prothèse (PIP) (Ministre du travail, de l’emploi et de la santé)
Quelle est l’origine des cas de SHU signalés notamment dans le Nord-Pas-De -Calais ?
Les cas de syndrome hémolytique et urémique (SHU) signalés le 14 juin dans le Nord Pas de Calais sont dus à une infection à Escherichia coli (E. coli) producteur de shigatoxines. On peut retrouver ces bactéries sous diverses appellations : STEC (Escherichia coli produisant des shigatoxines) ou VTEC (Escherichia coli produisant des verotoxines).
jeudi 21 avril 2016 |
Aucun renseignement médical d’ordre personnel ne peut être fourni par correspondance. Il faut consulter son médecin pour obtenir, après un entretien, un examen clinique et d’éventuels examens complémentaires, des recommandations et prescriptions personnelles et précises, notamment en matière de diagnostic et de traitement. |
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