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Gastro-entérologie

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Prise en charge de l’hépatite C par les médicaments anti-viraux à action directe (AAD)

La commission de la transparence a estimé que SOVALDI apportait un service médical rendu (SMR) important dans l’indication de l’AMM (« en association à d’autres médicaments dans le trai- tement de l’hépatite C chronique de l’adulte »). Elle a aussi estimé qu’il apportait une amélioration du service médical rendu importante (ASMR II) dans la prise en charge des patients adultes infec- tés par un VHC, à l’exception des patients naïfs de traitement antiviral infectés par un VHC de gé- notype 3 chez lesquels l’apport thérapeutique est modéré (ASMR III)

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé


Traitements de la maladie hémorroïdaire

Les règles de prise en charge thérapeutique de la maladie hémorroïdaire demeurent classiques. En première intention, traitement médical quelque soit le grade de la maladie hémorroïdaire, plus particulièrement les grades 1 et 2. Traitement instrumental en cas d’échec du traitement médical ; avec une place particulière pour la ligature élastique d’emblée en cas de prolapsus unique complet. Le traitement le plus efficace de la maladie hémorroïdaire reste l’hémorroïdectomie pédiculaire.

Voir en ligne : SNFGE - Société Nationale Française de Gastro-entérologie


En quoi consiste la maladie de Crohn ?

L’appareil gastro‑intestinal (GI) est un tube musculaire enroulé sur lui‑même. Il s’étend de la bouche à l’anus. On l’appelle aussi tube digestif puisque c’est la voie par laquelle les aliments cheminent dans l’organisme. La maladie de Crohn (MC) est une forme de maladie intestinale inflammatoire (MII). Elle entraîne une inflammation de l’appareil gastro intestinal (GI). L’inflammation est une réaction d’une partie de l’organisme qui devient rouge, enflée et douloureuse. Chez les personnes atteintes de la MC, toutes les parties de l’organisme servant à transformer les aliments que vous consommez à compter du moment où vous vous les mettez dans la bouche jusqu’à leur expulsion par l’anus – peuvent s’enflammer.

Voir en ligne : AboutKidsHealth


Maladie cœliaque : encore sous-diagnostiquée

Avec une prévalence de 0,05 à 1% la maladie cœliaque toucherait en Europe environ 2 millions de personnes. Souvent pauci-symptomatique voire totalement silencieuse, la maladie cœliaque souffre d’un retard de diagnostic à l’origine de complications telles que le retard de croissance chez l’enfant, l’ostéoporose, l’infertilité, voire dans les cas les plus graves des tumeurs malignes. Cette maladie apparait à tout âge avec cependant deux pics de prévalence : chez l’enfant entre 6 mois et 2 ans puis chez l’adulte entre 20 et 40 ans. Les personnes prédisposées aux maladies dysimmunitaires (DID, thyroïdite...) sont plus à risque de développer une maladie coeliaque. La HAS (Haute Autorité de Santé) et l’ESPGHAN (European Society of Paediatric Gastroenterology, Hepatology and Nutrition) ont mis en place des recommandations pour améliorer le diagnostic souvent trop tardif.

Voir en ligne : FC2M


Pertinence Cholécystectomie

En raison : de l’augmentation du nombre des cholécystectomies et d’une variabilité géographique non expliquées ; de données récentes de la littérature sur la fréquence des plaies biliaires et leur impact sur la survie des patients ; la Haute Autorité de santé, la Fédération de Chirurgie Viscérale et Digestive, le Conseil National Professionnel d’Hépato-Gastroentérologie et le Collège de Médecine Générale souhaitent rappeler les points suivants concernant la pertinence des cholécystectomies

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé


Gastroentérologues : Acteurs de la prévention du cancer de l’estomac

La recherche puis l’éradication de la bactérie Helicobacter pylori constituent une méthode de prévention efficace contre le cancer gastrique, surtout lorsqu’elles sont mises en oeuvre tôt, c’est-àdire avant l’apparition d’une lésion gastrique précancéreuse. Pourtant, une étude réalisée en 2011 auprès de 300 gastroentérologues a montré la nécessité de rappeler la démarche de prévention du cancer de l’estomac.

Voir en ligne : L’Institut National du Cancer


Médecins traitants : Acteurs de la prévention du cancer de l’estomac

Le cancer de l’estomac représentait, en France en 2011, 6 438 cas de cancers et 4 433 décès1. Au moins 80 % des cancers de l’estomac sont dus à la bactérie Helicobacter pylori (la plupart des 20 % restants sont des cancers du cardia associés au reflux gastro-oesophagien). Cette infection persistante s’acquiert pendant l’enfance par transmission oro-orale. Elle toucherait en France de 20 à 50 % de la population avec une prévalence de 50 % pour les populations les plus âgées. Elle n’induit que rarement le développement d’un cancer de l’estomac (dans environ 1 % des cas). En revanche, certaines populations infectées par la bactérie Helicobacter pylori ont un risque de cancer de l’estomac plus important que d’autres comme les apparentés au 1er degré (parents, frères/soeurs, enfants) d’un patient ayant eu un cancer de l’estomac.

Voir en ligne : L’Institut National du Cancer


Révision des recommandations françaises sur la prise en charge de l’infection par Helicobacter pylori

Les ulcères duodénaux et gastriques sont des indications formelles de la recherche et de l’éradication de H. pylori. L’éradication de H. pylori favorise la cicatrisation et prévient la récidive des ulcères qu’ils aient été hémorragiques ou non. L’éradication de H. pylori fait partie de la prise en charge initiale de tous les lymphomes gastriques du MALT. Elle peut suffire à obtenir une rémission durable particulièrement en cas de lésion localisée (stade I de la classification de Ann Arbor) et d’absence de la translocation t(11\ ;18).

Voir en ligne : John Libbey Eurotext


Prévention du cancer colorectal

Le cancer colorectal (CCR) constitue un problème important de santé publique. Il s’agit d’un des cancers les plus fréquents et sa mortalité avoisine les 50%. Cet article fait le point sur les différentes méthodes de prévention et de dépistage au niveau de la population à risque moyen de développer un CCR. Vu son évolution lente à travers des lésions précancéreuses, il est judicieux de dépister des sujets à risque moyen et de surveiller les sujets à risque élevé.

Voir en ligne : Rev Med Suisse


Qu’est-ce que la cholécystite aiguë ?

La cholécystite aiguë est une réaction inflammatoire de la vésicule biliaire. Elle survient le plus souvent lorsque le canal vésiculaire est bouché par un calcul. Cette sorte de dépôt pierreux se forme le plus souvent chez les femmes, les personnes âgées ou en surpoids. La cholécystite aiguë est une forte inflammation de la vésicule biliaire. Cette pathologie, de nature infectieuse, est le plus souvent liée à la présence de calculs (ou "lithiases vésiculaires") dans la vésicule.

Voir en ligne : Ameli-santé


Qu’est-ce que la cirrhose du foie ?

La cirrhose est une maladie du foie qui endommage irréversiblement cet organe digestif. L’abus d’alcool en est la cause principale. Elle peut aussi survenir à la suite d’une hépatite virale chronique ou d’une maladie rare. La cirrhose est un ensemble de lésions diffuses et irréversibles du foie. Les tissus hépatiques sont envahis de fibrose, qui détruit la structure du foie et crée des nodules anormaux. La cirrhose peut être stable, ou bien évoluer. Mais elle ne peut pas régresser : une fois installée, elle est toujours définitive.

Voir en ligne : Ameli Santé


Qu’est-ce que la recto-colite hémorragique (RCH) ?

C’est une maladie inflammatoire chronique de l’intestin (MICI) atteignant le gros intestin (côlon) et sa partie terminale (le rectum et l’anus). L’origine précise de cette maladie est inconnue, plusieurs mécanismes sont probablement en jeu. La RCH n’est pas contagieuse. Les symptômes sont essentiellement digestifs avec des diarrhées sanglantes, accompagnées le plus souvent par des maux de ventre intenses.

Voir en ligne : Intégrascol


Prise en Charge de la Lithiase Biliaire

Depuis la conférence de consensus sur la lithiase vésiculaire de 1991, les techniques chirurgicales sous coelioscopie se sont développées et de nouveaux moyens diagnostiques sont apparus. Il est donc nécessaire d’actualiser les recommandations pour la prise en charge diagnostique et thérapeutique des malades atteints de lithiase vésiculaire et d’établir des recommandations sur la prise en charge de la lithiase de la voie biliaire principale

Voir en ligne : Société nationale française de gastroentérologie (SNFGE), octobre 2010.


Ulcères peptiques - Mise à jour 2011

Dans les pays industrialisés d’Europe de l’Ouest et d’Amérique du Nord, la prévalence des d’infections à H. pylori est en déclin. Les ulcères induits par l’acide acétylsalicylique (AAS) ou les anti- inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont un problème survenant chez les sujets âgés multimorbides. Une endoscopie est uniquement indiquée en première intention pour expliquer des symptômes épigastriques chez les patients de plus de 55 ans ou en présence de signes d’alarme

Voir en ligne : Forum Médical Suisse


Maladie de Crohn et colite ulcéreuse – l’essentiel pour les non-gastro-entérologues

Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI, en anglais inflammatory bowel disease ou en abrégé IBD) sont subdivisées en maladie de Crohn, en colite ulcéreuse et – si la MICI ne peut pas être classifiée de façon formelle – en colite indéterminée (qui est aussi depuis peu dénommée inflammatory bowel disease type unclassified dans la terminologie internationale). Les MICI se manifestent le plus souvent entre l’âge de 20 et 30 ans, mais en principe, la première manifestation peut survenir à tout âge (particulièrement pour la colite ulcéreuse). Comme il s’agit de maladies chroniques, les patients atteints de MICI peuvent également être amenés à consulter à tout âge.

Voir en ligne : Klinik für Gastroenterologie und Hepatologie, Departement für Innere Medizin, UniversitätsSpital Zürich


Indications de la vidéocapsule du grêle

La vidéocapsule est devenue, entre 2000 à 2010, l’examen de référence pour l’exploration de la lumière de l’intestin grêle. Les indications validées par la HAS sont les suivantes :

  • saignement digestif inexpliqué par une endoscopie oesogastroduodénale et une coloscopie totale négatives ;
  • diagnostic positif de la maladie de Crohn (MC)

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Syndrome hémolytique et urémique (SHU) [ 18 août 2010 ]

Le syndrome hémolytique et urémique (SHU) est une maladie le plus souvent d’origine alimentaire, rare en France mais potentiellement grave aux âges extrêmes de la vie ; elle est la principale cause d’insuffisance rénale aiguë chez les enfants de moins de trois ans. C’est une maladie à déclaration obligatoire dans le cadre des toxi-infections alimentaires collectives.

Voir en ligne : DGS Direction générale de la santé


Quelles recherches d’anticorps prescrire dans la maladie cœliaque ?

La maladie cœliaque est une entéropathie inflammatoire chronique auto-immune provoquée par un antigène alimentaire, la gliadine du gluten (fraction protéique de céréales). Dans le cadre du diagnostic et du suivi de l’observance du traitement (le régime sans gluten), plusieurs tests sérologiques de recherche des anticorps produits au cours de la maladie ont été successivement développés. La HAS les a évalués et préconise une évolution des prescriptions.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé


Prise en charge des troubles gastriques

Les troubles digestifs sont très fréquents chez les patients qui ont été vus en première ligne. Il est important de dépister des pathologies plus graves telles que l’ulcère gastrique et duodénal, l’oesophagite de reflux ou l’oesophagite de Barrett et de déceler à temps les cancers rares de l’estomac et de l’oesophage. Chez les patients de plus de 55 ans qui présentent pour la première fois des troubles gastriques ainsi que chez les patients qui présentent des symptômes d’alarme tels qu’une perte de poids, des troubles de la déglutition et une anémie, une endoscopie immédiate est toujours indiquée.

Voir en ligne : CBIP - Centre Belge d’Information Pharmacothérapeutique


La coloscopie virtuelle : un examen de deuxième intention pour rechercher les cancers et polypes

La coloscopie virtuelle (CV) est une méthode d’exploration colorectale par scanner. Elle implique une préparation et une insufflation coliques, suivies d’une acquisition tomodensitométrique ; celle-ci permet la reconstruction informatique d’une image en deux et trois dimensions.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé


Prise en Charge de la Lithiase Biliaire

Depuis la conférence de consensus sur la lithiase vésiculaire de 1991, les techniques chirurgicales sous coelioscopie se sont développées et de nouveaux moyens diagnostiques sont apparus. Il est donc nécessaire d’actualiser les recommandations pour la prise en charge diagnostique et thérapeutique des malades atteints de lithiase vésiculaire et d’établir des recommandations sur la prise en charge de la lithiase de la voie biliaire principale. Quatre questions seront abordées :

Voir en ligne : Société Nationale Française de Gastroentérologie


La recto-colite hémorragique

La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec. La recto-colite hémorragique (RCH) est une maladie inflammatoire du rectum et du gros intestin (côlon). Elle se manifeste par une diarrhée accompagnée de sang et, le plus souvent, de douleurs abdominales intenses. De la fièvre et une perte de poids peuvent y être associées. La RCH évolue de manière imprévisible, généralement par poussées entrecoupées de périodes sans symptômes. Sa cause est inconnue.

Voir en ligne : Orphanet - Le portail des maladies rares et des médicaments orphelins


Dépistage de l’infection à Helicobacter pylori - Pertinence et populations concernées

Au terme de cette évaluation, un dépistage d’Helicobacter pylori en population générale asymptomatique présenterait des inconvénients, causés par le dépistage et les interventions, nombreux au regard d’avantages incertains.La HAS ne recommande donc pas le dépistage systématique de l’infection à Helicobacter pylori en population générale asymptomatique en France.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Explorations radiologiques et endoscopiques de l’intextin grêle

L’exploration de l’intestin grêle a connu simultanément deux essors importants eu égard aux progrès technologiques de l’endoscopie à travers la vidéocapsule et l’entéroscopie poussée ou à double ballon et de l’imagerie médicale centrée sur l’imagerie en coupe : échographie et ses développements doppler couleur et de contraste \ ; TDM et surtout IRM adaptées à l’intestin grêle sous le vocable entéroscanner ou entéro-IRM. La place respective de ces nouveautés est en cours d’évaluation selon la présentation des symptômes ou le type de lésion suspectée. La complémentarité des techniques endoscopiques et d’imagerie s’exprime au mieux dans les stratégies développées dans l’exploration de l’intestin grêle.

Voir en ligne : Service d’hépato-gastroentérologie, Service de radiologie, CHRU de Montpellier


Bon usage de l’analyse des pratiques pour prévenir les crises comitiales de sevrage alcoolique

• Quelles sont les difficultés auxquelles vous avez été confrontées en matière de sevrage alcoolique ?
La clinique Saint-Barnabé, spécialisée dans le traitement de l’alcoolisme et des addictions associées, prend en charge des personnes alcooliques qui ont décidé d’être sevrées. Traditionnellement, les accidents de sevrage (delirium tremens et crises convulsives [CC]) survenaient dans environ 10 % des prises en charge. Quand les recommandations sur le sevrage alcoolique, élaborées lors d’une conférence de consensus HAS/SFA en 1999, sont correctement appliquées (en particulier en utilisant des benzodiazépines), il est possible de faire tomber la fréquence de ces complications à 2 %.

Voir en ligne : Dr Nicole Hugon* – Médecin-chef de la clinique Saint-Barnabé – Marseille | HAS


Des mesures d’hygiène simples pour éviter les risques alimentaires liés aux campylobacters

Les campylobacters sont des bactéries très largement présentes dans le tube digestif des animaux, en particulier les volailles. Elles sont considérées comme l’une des principales causes de gastroentérites dans les pays industrialisés. Chez l’homme, elles se traduisent le plus souvent par des maux de ventre, des diarrhées et de la fièvre et guérissent spontanément dans la plupart des cas.

Voir en ligne : AFSSA Agence française de sécurité sanitaire des aliments


Coloscopie virtuelle. Méta-analyse des performances diagnostiques, indications et conditions de réalisation

En 2004, l’Agence Nationale d’Accréditation et d’Evaluation en Santé (ANAES) avait considéré que la seule indication validée de la coloscopie virtuelle correspondait à la situation de vidéo-coloscopie incomplète. Depuis, la coloscopie virtuelle a fait l’objet de progrès techniques et de nouvelles études cliniques et a parfois été présentée en date de cette évaluation comme l’alternative à la vidéo-coloscopie la plus aboutie. Dans ce contexte, ce rapport a pour objectif d’actualiser l’estimation des performances diagnostiques de la coloscopie virtuelle afin d’en préciser la place dans la stratégie d’exploration colique des patients soumis à un dépistage de lésions colorectales ou à un diagnostic de symptômes coliques.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Dépistage de Cancer Colorectal - Colonoscopie Virtuelle

Les néoplasies colorectales constituent la deuxième cause de décès par cancer aux USA et en Europe. On estime que le dépistage des polypes pré-cancéreux et leur exérèse pourrait réduire de 80% la mortalité par cancer colique. Par ailleurs, le taux de survie à 5 ans d’un cancer colique détecté et traité précocement, avant dissémination, est de 90 % à 5 ans. Malheureusement l’adhésion du public aux examens de dépistage existants est faible. Nous avons développé depuis 2002 une nouvelle technique non invasive (sans introduction d’une endoscope) d’exploration du côlon par scanner, la colonoscopie virtuelle. L’examen est précédé d’une préparation (cliquez) ayant pour but d’éliminer les matières résiduelles dans le côlon ou à défaut de marquer celles-ci par de la baryte ingérée lors des repas la veille.

Voir en ligne : Institut Jules Bordet Belgique


Côlon irritable : antidépresseurs ou psychothérapie ?

Quelle est l’efficacité des antidépresseurs et des psychothérapies versus placebo sur les symptômes du syndrome du colon irritable de l’adulte. Cette méta-analyse apporte quelques arguments en faveur de l’efficacité des antidépresseurs tricycliques et ISRS dans la prise en charge des symptômes du syndrome du côlon irritable. Les recommandations actuelles de les envisager en deuxième ligne de traitement sont donc confirmées, avec davantage de preuves pour les imipraminiques. Pour les psychothérapies, le niveau de preuve d’efficacité est beaucoup plus faible et la pertinence clinique du bénéfice observé est discutable, mais nous ne disposons pas d’études de bonne qualité dans cette indication.

Voir en ligne : Minerva


Gastroentérite

La gastroentérite est un trouble digestif fulgurant qui cause nausées, vomissements, crampes à l’abdomen et diarrhée. Elle affecte à la fois l’estomac et l’intestin, dont les parois deviennent temporairement enflammées. Dans la majorité des cas, cette affection est de courte durée. Les symptômes disparaissent au bout d’un à trois jours. La gastroentérite est provoquée par de nombreux virus, bactéries ou autres micro-organismes qui contaminent la nourriture ou l’eau. L’intensité des symptômes varie selon la cause.

Voir en ligne : PasseportSanté.net


Traitement de la diarrhée ou de la colite associée au Clostridium difficile

Prévalence de porteurs asymptomatiques :

  • 1 % dans la population générale
  •  5%enCHSLD - 10 % d’acquisition/semaine d’hospitalisation pour atteindre un plateau de 50 %
  • Infection de la muqueuse du côlon par le C. difficile, une bactérie anaérobie Gram+ productrice de spores.
  • Principalement transmise par les spores présentes dans l’environnement du patient, d’où l’importance du lavage des mains. • L’émergence clinique de l’infection est précipitée par la prise d’antibiotiques chez les porteurs asymptomatiques.
  • La majorité des patients répondent à un premier traitement, 25 % connaîtront une récidive.

Voir en ligne : CDM - Conseil Du Médicament Québec


L’OMS et l’UNICEF lancent une campagne pour le traitement de la diarrhée

Les agences des Nations Unies pour la santé et pour l’enfance ont lancé mercredi une campagne pour prévenir des millions de morts dues à la diarrhée dans le monde en développement. « C’est une tragédie que la diarrhée, qui n’est rien de plus qu’un ennui dans le monde développé, tue près de 1,5 millions d’enfants chaque année », a déclaré la directrice exécutive du Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), Ann Veneman.

Voir en ligne : ONU


Les Alcooliques Anonymes

Les Alcooliques Anonymes sont une association d’hommes et de femmes qui partagent entre eux leur expérience, leur force et leur espoir dans le but de résoudre leur problème commun et d’aider d’autres alcooliques à se rétablir. Le désir d’arrêter de boire est la seule condition pour devenir membre des AA. Les AA ne demandent ni cotisation ni droit d’entrée ; nous nous finançons par nos propres contributions. Les AA ne sont associés à aucune secte, confession religieuse ou politique, à aucun organisme ou établissement, ils ne désirent s’engager dans aucune controverse ; ils n’endossent et ne contestent aucune cause. Notre but premier est de demeurer abstinents et d’aider d’autres alcooliques à le devenir.

Voir en ligne : AA - France


Diagnostic biologique de pancréatite aiguë : LIPASE = OUI AMYLASE =NON

Devant un tableau clinique évocateur de pancréatite aiguë, le seul dosage biologique à visée diagnostique à réaliser est celui de la lipasémie. Une évaluation de la HAS* a confirmé la supériorité de ce dosage sur celui de l’amylasémie, qui n’a plus d’intérêt dans cette indication. Cette fiche revient sur les quatre principales conclusions de cette évaluation.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Diagnostic d’une dysphagie

La dysphagie est une sensation de blocage ou de gêne ressentie lors du passage des aliments dans l’œsophage. Elle impose toujours une endoscopie oeso-gastro-duodénale qui doit être effectuée de première intention pour éliminer une lésion organique de l’œsophage.

Voir en ligne : J.P. TRIBOULET – Chirurgie Digestive et Générale - medecine.univ


Dysphagie

La dysphagie peut se définir comme une difficulté de déglutition (connue dans ce cas sous le nom de dysphagie oro-pharyngée) ou comme une sensation de gêne ou de blocage des aliments lors de la déglutition pendant le passage de la bouche à l’estomac (on parle alors de dysphagie oesophagienne). La dysphagie est alors la “perception” d’une gêne lors du passage normal du bol alimentaire.

Voir en ligne : World Gastroenterology Organisation Practice Guidelines


Syndrome de malabsorption

On doit évoquer une malabsorption si on constate les signes cliniques suivants même en l’absence de diarrhée chronique, et d’autant plus que plusieurs d’entre eux sont associés :

  • une diarrhée chronique ;
  • une altération de l’état général, amaigrissement ;
  • des odèmes déclives ;
  • une anémie microcytaire ferriprive ;
  • des douleurs osseuses révélatrices d’une ostéomalacie ;
  • des crises de tétanie ;
  • un syndrome hémorragique sans insuffisance hépatocellulaire ni maladie hématologique connue ;
  • des altérations de la peau et des phanères (koïlonychie).

Voir en ligne : SNFGE Société Nationale Française de Gastro-entérologie


La maladie coeliaque

La maladie coeliaque est également appelée sprue et entéropathie au gluten. C’est une anomalie génétique qui, dès la naissance, provoque une intolérance au gluten, une protéine contenue dans le blé, le seigle et l’orge. La consommation d’aliments contenant du gluten cause des lésions appelées atrophies villositaires dans l’intestin grêle. Les « villosités » sont les projections digitiformes de l’intestin grêle au point d’absorption des aliments. Cette inflammation représente une sorte de trouble immunitaire qui peut affecter d’autres organes que l’intestin, par exemple, la peau ou le foie.

Voir en ligne : NASPGHAN - North American Society for Pediatric Gastroenterology, Hepatology, and Nutrition Etats-Unis


Gluten : maladie cœliaque ou intolérance au gluten

Cette maladie s’appelle aussi « intolérance au gluten ». C’est une forme d’allergie, c’est-à-dire une réaction inappropriée du système immunitaire, au niveau intestinal, qui ne se manifeste que si l’enfant mange du gluten. Le gluten est une protéine contenue dans le blé, l’orge, le seigle et l’avoine. Notre système immunitaire est chargé de lutter contre les virus, les bactéries, les champignons microscopiques, pour éviter ou limiter les infections. Dans le cas d’un rhume, par exemple, la guérison se fait toujours en quelques jours, non pas parce que le virus a disparu spontanément, mais parce que le système immunitaire a fabriqué des anticorps qui le détruisent.

Voir en ligne : integrascol


Syndrome de l’intestin irritable : Une approche globale

Le syndrome de l’intestin irritable (SII) est un trouble fonctionnel intestinal dans lequel des douleurs abdominales ou un inconfort digestif sont associés à la défécation ou à une modification de la fréquence des selles. Un ballonnement, une distension abdominale et des troubles du transit intestinal sont également fréquemment associés. (Dans plusieurs langues, les termes « ballonnement » et « distension abdominale » sont équivalents)

Voir en ligne : OMGE Organisation Mondiale de Gastro-Entérologie


L’hépatite auto-immune

L’hépatite auto-immune se définit comme une maladie inflammatoire chronique du foie de cause inconnue, pouvant survenir à tout âge. En l’absence de traitement, cette inflammation peut être responsable de nécrose, de fibrose et de cirrhose. L’hépatite auto-immune est associée presque toujours à des anomalies de l’immunité sous forme d’auto-anticorps, d’augmentation des gammaglobulines sériques. Dernière caractéristique : la sensibilité de l’inflammation hépatique aux médicaments immuno-suppresseurs, tout particulièrement aux corticostéroïdes.

Voir en ligne : par le Professeur Raoul Poupon | Hopital Saint Antoine - Paris


Stratégie d’action alcool : intensifier la prévention et du traitement des problèmes de santé liés à la consommation d’alcool

L’alcool est responsable de 45000 décès par an, dont 16000 sont dus à des cancers, 8200 à des affections digestives, 7600 à des maladies cardiovasculaires, 7700 à des accidents et traumatismes. Au total, l’alcool contribue à 14% des décès masculins et 3% des décès féminins. La mortalité a baissé régulièrement compte tenu de la baisse continue de la consommation d’alcool en France depuis 50 ans. Elle reste très inégalitaire en termes de catégories sociales et de disparités régionales.

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Sports [français]


Prise en charge en première ligne de la diarrhée aiguë chez l’enfant

La plupart des cas de diarrhée aiguë chez l’enfant évoluent spontanément de manière favorable et ne nécessitent pas de traitement médicamenteux. En première ligne, une réhydratation s’avère toutefois nécessaire en cas de risque de déshydratation ou en présence de signes de déshydratation. Dans ce cas, on optera de préférence pour une solution orale de réhydratation de faible osmolalité. Une antibiothérapie ne se justifie qu’exceptionnellement. Les antidiarrhéiques tels que le lopéramide et les adsorbants ne sont pas recommandés.

Voir en ligne : Folia Pharmacotherapeutica Belgique


Pancréatite aiguë - Conférence de consensus 25 et 26 janvier 2001 PARIS

La pancréatite aiguë (PA) est une affection parfois grave, nécessitant une prise en charge multidisciplinaire impliquant gastro-entérologues, chirurgiens, réanimateurs, anesthésistes, radiologues, urgentistes et biologistes. Chaque étape de sa prise en charge (diagnostic positif, choix des examens d’imagerie, diagnostic étiologique, appréciation de la gravité, place de l’antibiothérapie prophylactique, conduite à tenir devant la nécrose stérile ou infectée) est l’objet de controverses. Sur de nombreux points de litige, des études, souvent randomisées, sont maintenant disponibles. Il paraissait opportun d’essayer de dégager un consensus sur les pratiques recommandables en matière de prise en charge de la PA.

Voir en ligne : Société Nationale Française de Gastro-Entérologie


Comment je traite la pancréatite aiguë : revue de la littérature

L’article explique et compare les différents traitements de la pancréatite aiguë. Généralement, une pancréatite aiguë sévère requiert une prise en charge dans une unité de soins intensifs médicaux. Une intervention chirurgicale est indiquée en cas de nécrose infectée ou de complications sévères. Le rôle des antiprotéases et des antagonistes des cytokines reste controversé.

Voir en ligne : Rev Med Liege


Pancréatite aiguë

La pancréatite aiguë est une inflammation aiguë du pancréas qui a de nombreuses causes. L’incidence varie entre 5 et 50 pour 100 000 habitants avec une moyenne à 30 pour 100 000 chez l’homme et de 20 pour 100 000 habitants chez la femme. Il existe deux formes de pancréatite aiguë : la pancréatite aiguë bénigne, dite oedémateuse, et la pancréatite aiguë nécrosante, potentiellement grave. La migration d’un calcul biliaire dans le cholédoque ou une consommation chronique et prolongée d’alcool, représentent au total 80 % des causes. ]

Voir en ligne : SNFGE Société Nationale Française de Gastro-entérologie


Évaluation de l’amylasémie et de la lipasémie pour le diagnostic initial de la pancréatite aiguë

Le diagnostic positif de la pancréatite aiguë associe au moins deux facteurs caractéristiques : douleur abdominale évocatrice et/ou élévation des enzymes pancréatiques et/ou examens morphologiques (...) En 2009, la HAS préconise de ne plus doser l’amylasémie, seule la lipasémie doit être dosée pour le diagnostic biologique de la pancréatite aiguë

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Douleurs abdominales hautes – une approche possible

Les conditions neuroanatomiques de la perception de la douleur dans la cavité abdominale permettent d’attribuer les douleurs viscérales à l’abdomen haut, moyen ou bas, ce qui correspond aux territoires vasculaires des organes intra-abdominaux.

Voir en ligne : Forum Med Suisse


Diarrhée passagère de l’adulte - Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance

La diarrhée se manifeste par une modification brutale de la fréquence et de la consistance des selles. En pratique, on parle de diarrhée lorsqu’il y a plus de 3 selles molles ou liquides par jour. D’autres signes peuvent être associés : nausées et/ou vomissements, douleurs abdominales (crampes), voire fièvre.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé


Constipation occasionnelle de l’adulte - Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance

La constipation se définit par la diminution de la fréquence des selles au-dessous de 3 par semaine. Cette définition ne constitue pas une règle absolue. En effet, la durée habituelle du transit (cheminement des aliments tout au long de l’intestin) et donc la fréquence des selles varient largement d’un individu à l’autre. Il est donc important de prendre en compte la sensation de malaise ou les troubles associés à ce ralentissement du transit.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé


Nausées et vomissements - Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance

Les nausées correspondent à une sensation de malaise ou d’’inconfort au niveau de l’’estomac qui se traduit par un écoeurement ou une envie de vomir. Le vomissement est un réflexe mécanique de défense de l’’organisme, pour forcer l’’expulsion du contenu de l’’estomac, par exemple en réponse à une indigestion

Voir en ligne : AFSSAPS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé


Un refus de greffe de foie crée la polémique au Royaume-Uni

Un jeune Britannique de 22 ans, atteint par une cirrhose après avoir abusé de l’alcool pendant la moitié de sa vie, est décédé après que les autorités médicales lui ont refusé une greffe de foie. Une décision qui fait grand bruit au Royaume-Uni. Fallait-il refuser de greffer un nouveau foie à un jeune homme alcoolique de 22 ans souffrant de cirrhose, parce que les autorités médicales n’avaient pas l’assurance qu’il ne boirait jamais plus ? La polémique est lancée, au Royaume-Uni, après le décès de Gary Reinbach, ce lundi.

Voir en ligne : Par Marie Simon - L’Express


Nausées

La nausée est un symptôme qui peut avoir de multiples origines telles la grossesse, les problèmes digestifs, la migraine, la dépression, etc. La nausée n’est pas une maladie mais possiblement le symptôme d’une maladie. Beaucoup de problèmes de digestion débutent par des nausées. Les nausées peuvent s’accompagner de vomissements. Les causes communes des nausées sont la grossesse, la prise d’alcool et la prise de médicaments.

Voir en ligne : Portail Québec


Thérapeutiques antiémétiques chez l’adulte associées à la chimiothérapie anticancéreuse

Les médicaments anticancéreux ont un potentiel émétisant variable, sur le plan de la sévérité des délais d’apparition et de la durée des nausées et vomissements. Les polychimiothérapies anticancéreuses rendent pratiquement systématique un traitement antiémétique. Le traitement antiémétique devra prendre en compte : 1°) le potentiel émétisant de chaque anticancéreux 2°) le délai d’apparition et la durée des symptômes 3°) les facteurs de risque personnel du patient L’efficacité du traitement devra être évalué au cours des différentes cures et adapté en fonction des résultats.

Voir en ligne : OMéDIT Centre Observatoire des Médicaments, des Dispositifs médicaux et des innovations Thérapeutiques de la région Centre


Efficacité de l’éradication de l’Helicobacter pylori sur le pyrosis et le reflux

Quelle est la prévalence du pyrosis (brûlant) et du reflux gastro-oesophagien chez des patients pour lesquels la présence d’Helicobacter pylori est mise en évidence versus ceux chez qui cette recherche est négative ? Quelle est l’efficacité, après deux ans, de l’éradication de l’Helicobacter pylori sur ces plaintes ?

Voir en ligne : Minerva


La maladie de reflux gastro-oesophagien chez les nourrissons et les enfants

Le reflux gastro-oesophagien (gastroesophageal reflux ; GER*) est défini comme un retour involontaire de contenu gastrique dans l’oesophage et constitue un problème fréquent en pratique pédiatrique. En l’absence de symptômes associés, le GER est un phénomène physiologique du nourrisson, et ne constitue pas une maladie : des mesures de diagnostic ou de traitement ne sont pas nécessaires1). Il faut dissocier la maladie de reflux (gastroesophageal reflux disease ; GERD), associée à des symptômes ou des complications du GER

Voir en ligne : SSP Société Suisse de Pédiatrie


Le reflux gastro-œsophagien : attitude pratique

Le reflux gastro-œsophagien (RGO) est un motif fréquent de la consultation pédiatrique, dont l’évolution est en général favorable chez le nourrisson. Son diagnostic peut le plus souvent être posé sur la base d’une anamnèse détaillée et d’un examen clinique. Dans ces situations, le traitement peut être initié au cabinet, sous forme de traitement prokinétique et antiacide, voire d’un traitement postural. Dans les situations où le patient présente une complication du reflux-œsophagite, symptômes respiratoires, stagnation pondérale – ou une mauvaise réponse au traitement – des investigations doivent être entreprises, qui seront choisies avec l’aide du spécialiste en fonction du tableau clinique. Dans de rares cas, ces examens mèneront à une indication chirurgicale.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse


Reflux gastro-oesophagien : IPP en continu ou à la demande ?

Quelle est l’efficacité d’un traitement par inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) donnés à la demande (c’est-à-dire en fonction des plaintes), versus traitement administré pendant des périodes fixes ou même en continu, sur les plaintes liées à un reflux gastro-oesophagien ?

Voir en ligne : Minerva


Le reflux gastro-oesophagien occasionnel de l’adulte - Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance

Le reflux gastro-oesophagien (RGO) est principalement lié à un mauvais fonctionnement de la partie inférieure de l’oesophage (conduit reliant la gorge à l’estomac) et/ou à une hernie hiatale (partie de l’estomac qui remonte dans le thorax). Il peut se manifester à tout âge...

Voir en ligne : AFSSAPS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé


Reflux gastrique ou « brûlements d’estomac »

Après un repas copieux et bien arrosé, vous ne vous sentez pas très bien au moment d’aller dormir. Votre estomac est rempli à craquer, vous avez des éructations (des rots) et vous sentez tout à coup un liquide amer vous remonter dans la bouche. Vous finissez par vous endormir, mais vous vous réveillez quelques heures plus tard avec une désagréable sensation de brûlement à l’estomac et derrière le sternum (au milieu de la poitrine), et un goût d’acidité dans la bouche.

Voir en ligne : Collège québécois des médecins de famille.


Recommandations d’éradication de Helicobacter pylori en 2008

La gastrite à Helicobacter pylori est associée à de nombreuses affections digestives et extradigestives. Sa responsabilité est bien établie dans les ulcères gastroduodénaux, l’éradication de H. pylori favorisant la cicatrisation des ulcères duodénaux et prévenant la récidive des ulcères gastriques et duodénaux et de leurs complications. H. pylori et les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont deux facteurs de risque indépendants d’ulcère.

Voir en ligne : ean-Dominique de Korwin, médecine interne, CHU, hôpital Nancy


Qu’est ce qu’une gastrite chronique ?

Le terme de gastrite chronique signifie la présence à l’examen histologique de la muqueuse gastrique, de lésions inflammatoires et atrophiques plus ou moins étendues (muqueuse antrale et muqueuse fundique) et plus ou moins sévères. La gastrite chronique est susceptible d’aboutir progressivement à la disparition des glandes gastriques (atrophie gastrique).

Voir en ligne : SNFGE Société Nationale Française de Gastro-entérologie


Pourquoi fait-on un ulcère gastrique ou duodénal ?

L’ulcère duodénal ou gastrique résulte d’un déséquilibre en un point précis de la muqueuse, entre des facteurs d’agression (sécrétions acide et peptique) et des facteurs de défense (mucus, épithélium de surface, vascularisation muqueuse, faculté de la muqueuse à s’opposer à la rétrodiffusion des ions H+ et prostaglandines). Il est généralement admis que dans l’ulcère duodénal, le facteur dominant est l’agression chlorhydropeptique alors que dans l’ulcère gastrique c’est l’altération de la muqueuse gastrique. Ce déséquilibre résulte de l’intrication de différents facteurs génétiques et d’environnement.

Voir en ligne : SNFGE Société Nationale Française de Gastro-entérologie


Les ulcères gastro-duodénaux

Maladie chronique, fréquente, caractérisée par une évolution par poussées récidivantes souvent périodiques. L’ulcère est localisé au niveau du bulbe duodénal dans l’immense majorité des cas. Il s’agit d’une perte de substance localisée de la paroi duodénale dont le diamètre moyen est de 8 mm (limite 5 mm > 2 cm). L’incidence est de 80 000 nouveaux cas en France par an. L’incidence a notablement chuté depuis 10 ans ainsi que la prévalence. Le ratio UG/UD et le sexe ratio se sont sensiblement égalisés aujourd’hui.

Voir en ligne : Professeur Jacques FOURNET - Faculté de Médecine de Grenoble


Les inhibiteurs de la pompe à protons chez l’adulte

Les IPP ont trois indications principales :
traitement du reflux gastro-oesophagien (RGO) et de l’oesophagite par RGO. prévention et traitement des lésions gastroduodénales dues aux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) chez les patients à risque. éradication d’Helicobacter pylori et traitement des ulcères gastroduodénaux.

Voir en ligne : has - Haute Autorité de Santé


Difficulté à avaler

Une difficulté à avaler peut avoir plusieurs causes, dont une infection, une sécheresse de la bouche ou encore une allergie. Elle peut être accompagnée de douleur. Dans la plupart des cas, il s’agit alors d’une irritation locale due à une infection virale ou bactérienne. Lorsqu’il n’y a pas de douleur, diverses raisons peuvent expliquer la difficulté à avaler. Selon la cause, la difficulté à avaler peut être ressentie au niveau de la gorge ou au milieu de la poitrine. Cette difficulté à avaler peut être plus importante avec la nourriture solide que liquide, ou le contraire. Une diminution de la production de salive peut causer une difficulté à avaler. Habituellement, dans cette situation, la sécheresse de la bouche est plus incommodante que la difficulté à avaler.

Voir en ligne : Portail Québec


Maladies inflammatoires de l’intestin

Les anti-inflammatoires COX-2 spécifiques paraissent être délétères dans les maladies inflammatoires de l’intestin au même titre que les AINS non sélectifs. L’utilisation de stéroïdes, d’immunomodulateurs ou d’infliximab dans la phase préopératoire ne semble pas augmenter les complications postopératoires. Des cas ont été rapportés de réactivation d’une hépatite B chronique après perfusion d’infliximab, suggérant que l’on devrait vérifier le status sérologique de l’hépatite B avant perfusion d’infliximab. L’adalimubab, un anticorps complètement humain dirigé contre le TNF-a, est efficace chez les patients qui ont perdu la réponse ou ne tolèrent plus l’infliximab. Il n’est pas encore disponible sur le marché pour l’indication de maladie de Crohn. L’aphérèse leucocytaire semble prometteuse dans la colite ulcéreuse.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse


Rectocolite hémorragique

  • Qu’est ce que la rectocolite hémorragique ?
  • Quels sont les symptômes de la rectocolite hémorragique (RCH) ?
  • Quels examens permettent le diagnostic de rectocolite hémorragique ?
  • Quels sont les aspects endoscopiques d’une rectocolite hémorragique ?
  • Existe t-il des manifestations non intestinales de la rectocolite hémorragique ?
  • Quelles sont les complications possibles de la rectocolite hémorragique ?
  • Comment évolue une poussée de rectocolite hémorragique ?
  • Existe t-il un lien entre rectocolite hémorragique et cancer ?
  • Quel est le traitement de la rectocolite hémorragique ?
  • Quelle est la place du traitement chirurgical dans la rectocolite hémorragique ?
  • Quelles différences entre rectocolite hémorragique et maladie de Crohn colique ?

Voir en ligne : Collège des enseignants d’hépato-gastroentérologie.


Qu’est-ce que la maladie de Crohn ?

Cette maladie a été décrite pour la première fois en 1932 par le Dr B. Crohn. Il s’agit d’une maladie inflammatoire du tube digestif dont tous les mécanismes ne sont pas connus. Elle peut intéresser un segment de l’intestin ou plusieurs, de façon simultanée ou successive. C’est une maladie chronique avec une alternance de poussées inflammatoires et de périodes de rémission.

Voir en ligne : Intégrascol


La prise en charge de votre maladie de Crohn

La maladie de Crohn est une maladie inflammatoire qui peut atteindre une ou plusieurs parties du tube digestif. C’est une maladie chronique au cours de laquelle alternent périodes de poussées et d’accalmies. Les poussées se manifestent généralement par des douleurs abdominales, une diarrhée avec des glaires et parfois du sang, et souvent de la fatigue. La maladie peut aussi se traduire par des symptômes articulaires, cutanés ou oculaires.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Maladies inflammatoires cryptogénétiques de l’intestin

Le terme de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) est une appellation générale désignant un ensemble de lésions inflammatoires chroniques, d’étiologie inconnue, atteignant le tractus digestif. Ces affections sont récidivantes, atteignent certains segments du tube digestif avec des manifestations cliniques variées et souvent une évolution chronique peu prévisible. Ce terme recouvre la rectocolite hémorragique et la maladie de Crohn. Les lésions inflammatoires sont secondaires à une activation du système immunitaire intestinal en amont duquel des facteurs environnementaux (mode de vie, germes intestinaux, virus) et génétique (prédisposition) commencent à être mieux connus.

Voir en ligne : Dr J. Fournet - Faculté de médecine de Grenoble


Maladie de Crohn

  • Quelles sont les localisations digestives les plus fréquentes dans la maladie de Crohn ?
  • Quel est l’aspect caractéristique des lésions d’une maladie de Crohn ?
  • Quels symptômes peuvent faire évoquer une maladie de Crohn ?
  • Quels sont les signes radiologiques d’une maladie de Crohn ?
  • Quelle est l’évolution d’une maladie de Crohn ?
  • Quels sont les principes du traitement dans la maladie de Crohn ?
  • Quelles sont les conséquences d’une résection étendue de l’intestin grêle ?

Voir en ligne : Collège des enseignants d’hépato-gastroentérologie.


Ictère néonatal

Cet enfant nouveau-né est jaune, c’est banal, oui mais encore faut-il savoir systématiquement déjouer quelques pièges en tenant compte du contexte :

  • en Maternité, l’ictère peut révéler un conflit allo-immun méconnu, beaucoup plus rarement - mais à ne pas manquer - une rétention biliaire ;
  • en Néonatologie, tous les enfants prématurés sont jaunes, d’autant qu’ils sont plus prématurés, le problème est d’apprécier le surcroît de risque pour la voie auditive de cette hyperbilirubinémie ;
  • au Cabinet médical, c’est un ictère néonatal qui se prolonge, alors allaitement au sein ? Oui, c’est le cas échéant le plus probable, encore faut-il vérifier…

Voir en ligne : Professeur Pierre RAMBAUD - Faculté de Médecine de Grenoble


Diagnostic des ictères

Les ictères se différencient en ictères à bilirubine non conjugués représentés essentiellement par la Maladie de Gilbert dues à un déficit génétique de l’enzyme conjuguant la bilirubine et les hyper hémolyses, et les ictères à bilirubine conjugués.

Voir en ligne : Professeur Jean-Pierre ZARSKI - Faculté de Médecine de Grenoble


Ictère ("jaunisse")

  • Qu’est ce que la bilirubine ?
  • Que sont les acides biliaires ?
  • Quel est le rôle des acides biliaires ?
  • Quelles sont les principales causes d’une ictère à bilirubine non conjuguée ?
  • Qu’est ce que la maladie de Gilbert ?

Voir en ligne : SNFGE Société Nationale Française de Gastro-entérologie


Calcul biliaire (lithiase)

  • Quels sont les deux principaux types de calculs biliaires ?
  • La lithiase biliaire est-elle fréquente ?
  • Quels sont les principaux facteurs favorisant la formation de calculs biliaires cholestéroliques ?
  • Comment se forme un calcul biliaire ?
  • Comment se révèle un calcul biliaire vésiculaire ?
  • Qu’est ce qu’une crise de "colique hépatique" ?
  • Quel est le traitement symptomatique de la crise de colique hépatique ?

Voir en ligne : Collège des enseignants d’hépato-gastroentérologie.


Pathologie des voies biliaires

Méthodes diagnostiques.

  • Abdomen sans préparation (ASP)
  • Cholécystographie orale
  • Cholangiographie intraveineuse
  • Echographie

Voir en ligne : PJ VALETTE, P. FOUQUE, G. GENIN Hôpital Edouard Herriot - Lyon


La lithiase biliaire

La lithiase biliaire est habituellement cholestérolique. Elle atteint environ 25% de la population après 50 ans et surtout la femme. Elle est asymptomatique dans 80 à 90% des cas. Elle se manifeste sinon par une colique hépatique. Elle peut se compliquer d’une cholecystite aiguë ou d’un syndrome de migration avec angiocholite voire pancréatite aiguë biliaire. La cholecystectomie n’est proposée qu’en cas de deux crises de colique hépatique ou de complication. Le traitement endoscopique par CPRE avec sphincterotomie endoscopique doit être réalisé si le patient est âgé ou contre indiqué ou à distance d’une cholecystectomie.

Voir en ligne : Professeur Jean-Pierre ZARSKI - Faculté de Médecine de Grenoble


Hernie inguinale : de quoi s’agit-il ?

Cette affection fréquente correspond à une anomalie de la paroi musculaire abdominale, dont le mécanisme est le suivant : Chez le fœtus de sexe masculin, le testicule est un organe qui se forme à l’intérieur de la cavité abdominale. Au cours de la vie fœtale, le testicule va subir une migration : il quitte l’abdomen, pour descendre dans la bourse. Pour cela, il traverse la paroi abdominale au niveau de la région inguinale, passe par dessus le pubis, et descend dans le scrotum (Vous avez sans doute d’ailleurs entendu parler d’enfants dont les testicules " ne sont pas descendus "). L’orifice par lequel est passé le testicule s’appelle l’orifice inguinal. Il est situé au dessus du pubis, au niveau de l’aine. Il ne se ferme jamais complètement, car bien évidemment c’est par cet orifice que passent l’artère et les veines du testicule, ainsi que le canal déférent, qui emmène les spermatozoïdes depuis le testicule jusqu’à la prostate.

Voir en ligne : SFTG Paris-Nord Société de Formation Thérapeutique du Généraliste


Arrêt de travail après cure de hernie inguinale

Une étude prospective multicentrique a été entreprise pour évaluer la durée d’arrêt de travail effectif après cure de hernie inguinale.

Voir en ligne : Service de Chirurgie générale et digestive G.H. Bichat - Claude Bernard - Paris


Évaluation clinique et économique de la coeliochirurgie dans le cadre de la hernie de l’aine

L’évaluation économique documente le coût, le coût-efficacité et la qualité de vie de la coeliochirurgie cas par rapport à la chirurgie ouverte avec ou sans prothèse dans le cadre du traitement de la hernie inguinale. Sont documentés le coût de l’intervention, la durée d’hospitalisation, la reprise de l’activité professionnelle et la qualité de vie postopératoire. Aucun des travaux analysés intègre les coûts indirects et les coûts à long terme liés aux récidives, qui sont des éléments importants de décision.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Hernie inguinale, hydrocèle et kyste du cordon chez l’enfant

Hernie inguinale, hydrocèle et kyste du cordon sont des malformations fréquentes de l’enfant, liées à une anomalie de la fermeture du canal péritonéovaginal. Le testicule se forme en région lombaire. Il traverse le canal inguinal au septième mois de grossesse pour atteindre la bourse. Il suit dans cette migration le canal péritonéovaginal (CPV), ce dernier s’oblitère ensuite pour former le ligament de Cloquet. Chez la fille, il existe un canal analogue, le canal de Nuck, qui s’oblitère également.

Voir en ligne : Benjamin Frémond et Olivier Azzis Clinique Chirurgicale Infantile - CHU de Rennes


Hépatite B : ses causes, ses conséquences, sa prévention

"L’hépatite B est une maladie qui passe souvent inaperçue ’ jusqu’au moment de ses complications. Ainsi, peut-être ne savez-vous pas qu’avant la vaccination, l’hépatite B était responsable en Suisse de 2000 à 3000 infections chaque année et qu’aujourd’hui encore 20.000 personnes vivant en Suisse sont porteuses du virus de l’hépatite B, et donc contagieuses, parfois sans même le savoir..." [Suisse ]

Voir en ligne : SEVHep Groupe des Experts Suisses en Hépatites Virales


Prise en charge de l’hépatite chronique c - guide affections de longue durée

L’objectif du guide patient est d’expliquer au malade admis en ALD, au titre d’une hépatite C, les principaux éléments du traitement et du suivi. Il contient également une liste de contacts utiles. Ce guide lui est remis par le médecins traitant en même temps que le protocole de soins validé par le médecin conseil de la caisse d’Assurance maladie. Liste des actes et prestations.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Vivre avec une hépatite chronique B

L’hépatite chronique B est une maladie du foie qui peut présenter des répercussions plus larges : fatigue, problèmes de peau, douleurs articulaires, etc. Elle nécessite une surveillance régulière, car elle évolue plus ou moins rapidement selon les personnes et se complique parfois de cirrhose ou de cancer. La présence d’autres maladies (séropositivité au VIH, autre hépatite virale, hémochromatose, etc.) ou la consommation de drogues ou d’alcool accélère sa progression.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Hépatite B

L’hépatite B est une infection du foie causée par un virus ; elle fait partie des infections transmises par le sexe et par le sang (ITSS). La plupart des personnes atteintes par le virus de l’hépatite B (VHB) n’ont pas de symptômes et transmettent le virus sans le savoir. Le VHB est présent dans le sang, les sécrétions génitales et la salive des personnes infectées : Utilisez toujours une protection appropriée lors de vos relations sexuelles génitales, anales ou orales : condom, condom féminin ou digue dentaire. Ne partagez jamais de matériel d’injection de drogues.

Voir en ligne : Guide Santé du gouvernement Québécois


Hépatite C

L’hépatite C est une infection du foie causée par un virus, le VHC, dont il existe 3 variétés connues (les génotypes 1, 2 et 3). Le virus existe depuis longtemps, mais a seulement été identifié en 1989. Environ 70 % des personnes porteuses du virus de l’hépatite C n’ont pas de symptômes et le transmettent sans le savoir. Parmi les personnes infectées par le VHC, 20 % guérissent spontanément en 6 mois environ, mais 80 % restent porteuses à vie.

Voir en ligne : Guide Santé du gouvernement Québécois


Hépatite A

L’hépatite A est une maladie hépatique virale dont l’évolution peut être bénigne ou grave. Elle est transmise par voie féco-orale à l’occasion de l’ingestion d’un aliment ou d’une boisson contaminés par les fèces d’une personne affectée. C’est une maladie étroitement associée à un mauvais assainissement et à une hygiène personnelle déficiente, tel le fait de ne pas se laver les mains.

Voir en ligne : OMS - Organisation mondiale de la Santé


Recommandation "diagnostic hépatite aiguë virale"

Le diagnostic d’hépatite aiguë virale A, B ou C repose, selon le contexte clinique, épidémiologique et l’âge, sur e, sur la détection de l’IgM anti-VHA, de l’Ag HBs et des IgM anti-HBc,des Ac anti-VHC.

Voir en ligne : S.N.F.G.E Société Nationale Française de Gastro-Entérologie : Diagnostic Biologique


Hépatites et pas toi

Les dernières décennies ont vu l’apparition de nouvelles maladies qui se sont développées de façon endémique, causant des millions de décès sur tous les continents et l’invalidité des malades atteints.

Voir en ligne : Association Française de Lutte contre les Hépatites Virales


Virus des hépatites

Une hépatite correspond à une inflammation du parenchyme hépatique survenant en réponse à une agression et pouvant conduire à une nécrose hépatocytaire. Le terme d’hépatite virale est réservé aux hépatites provoquées par des virus à hépatotropisme dominant.

Voir en ligne : Pr ag. Anne Decoster,


Qu’est-ce qu’une hépatite (...)

Une hépatite est une inflammation du foie entraînant une destruction plus ou moins importante des hépatocytes, les principales cellules du foie. Lorsque cette inflammation est récente, on parle d’hépatite aiguë. Si elle dure depuis plus de six mois, on parle d’hépatite chronique.

Voir en ligne : hepatites-info-service


Information de base

Le but principal du SEVHep est de maintenir un réseau suisse de compétence dans le domaine des hépatites virales, qui se concentre à la fois sur les mesures préventives et la gestion des toutes les conséquences cliniques, de l’hépatite aiguë à chronique, de la cirrhose et du carcinome hépatocellulaire.

Voir en ligne : Groupe des Experts Suisses en Hépatites Virales SEVHep


Les hépatites virales

Les hépatites virales

Les hépatites virales sont des inflammations des cellules du foie liées à des virus : virus de l’hépatite A (VHA), de l’hépatite B (VHB) de l’hépatite C (VHC), de l’hépatite D (VHD), toujours associé au VHB, virus de l’hépatite E (VHE) etc. Pour obtenir des informations sur l’hépatite E, vous pouvez consulter le bilan d’activité du Centre national de référence des hépatites entéro-transmissibles 2002-2004, publié dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire

Voir en ligne : DGS Direction générale de la santé


Maladie hémorroïdaire

La maladie hémorroïdaire correspond à une dilatation veineuse progressive dans la région du canal anal. Elle représente une cause fréquente de consultation en médecine générale et en gastro-entérologie, puisqu’elle touche près de 50% de la population de plus de 50 ans. La maladie hémorroïdaire correspond à une dilatation veineuse progressive par dysplasie. Les facteurs favorisants sont : la constipation, la grossesse, la station debout prolongée, les repas épicés, les antécédents familiaux.

Voir en ligne : J-L. Faucheron - faculté de Médecine de Grenoble


Comprendre : Les hémorroïdes

Les hémorroïdes résultent de la déformation, I’exagération, de pelotons vasculaires normaux, présents à la partie moyenne et haute du canal anal, ultime portion du tube digestif. Ces pelotons vasculaires normaux, constants, constitués d’artères et de veines, sont regroupés en trois coussinets. Si la ou les causes des hémorroïdes ne sont pas clairement élucidées, nul doute que l’effort de poussée pour déféquer occupe une place essentielle dans leur genèse. Les hémorroïdes sont classées en trois stades, selon leur importance et leur situation, à l’intérieur du canal anal (stade 1) ou leur protrusion à l’extérieur, appelée procidence (stade 3).

Voir en ligne : Groupe Hospitalier Diaconesses Croix Saint Simon


Hémorroïdes

définition, symptômes, présence de sang dans les selles (étiologie), thrombose hémorroïdaire externe et interne (mécanisme, douleur, aspect, traitement), principales causes des douleurs anales [France ]

Voir en ligne : SNFGE Société Nationale Française de Gastro-entérologie


La maladie hémorroïdaire

Il s’agit de dilatations des veines de la région anale. Cette affection est source de divers symptômes : saignements de sang rouge accompagnant ou suivant la selle, douleurs anales, poussées oedémateuses (gonflement des hémorroïdes), prolapsus hémorroïdaire (saillie des hémorroïdes en dehors de l’anus), thromboses hémorroïdaire (formation d’un caillot dans une veine hémorroïdaire).

Voir en ligne : SFTG Paris-Nord Société de Formation Thérapeutique du Généraliste


Gastro-entérites aiguës - Prévention

Le mode de transmission oro-fécal principal des virus conditionne en grande partie les mesures de prévention et de contrôle des gastro-entérites virales basées sur l’application de mesures d’hygiène. Les mains constituent le vecteur le plus important de la transmission et nécessite de ce fait un nettoyage au savon soigneux et fréquent. De même, certains virus (rotavirus et norovirus) étant très résistants dans l’environnement et présents sur les surfaces, celles-ci doivent être nettoyées soigneusement et régulièrement dans les endroits à risque (services de pédiatrie, institutions accueillant les personnes âgées)

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire


Maladies diverticulaires

• Hernie de muqueuse en forme de sac, à travers la paroi musculaire du colon [25]
• Cette hernie se produit dans les endroits faibles de la paroi intestinale, où les vaisseaux sanguins peuvent pénétrer.
• Taille typique 5–10 mm
• Les diverticules sont en réalité de pseudo (faux) diverticules puisqu’ils ne sont formés que de muqueuse et de sous-muqueuse, couvertes de séreuse.

Voir en ligne : World Gastroenterology Organisation Practice Guidelines


Complications de la diverticulose sigmoïdienne : synthèse des recommandations

Les signes cliniques et biologiques de la diverticulite n’ont pas une sensibilité et une spécificité suffisante pour permettre une prise en charge thérapeutique adéquate. Ces signes non spécifiques (douleur abdominale, fièvre, troubles du transit, syndrome inflammatoire biologique) permettent néanmoins d’orienter vers le diagnostic de diverticulite que l’imagerie permet d’affirmer.

Voir en ligne : SNFGE Société Nationale Française de Gastro-entérologie


Maladie diverticulaire du colon

Affection extrêmement répandue dans les pays occidentaux.

  • Un diverticule est une hernie de la muqueuse et de la sous-muqueuse au travers de la musculature colique.
  • 5% des patients présenteront une complication de leur diverticulose.

Voir en ligne : Pr. Gosselin


La diverticulose colique

Petites hernies de la muqueuse colique à travers la musculeuse, repoussant la séreuse (ces petites hernies communique avec la lumière digestive colique).
Fréquence : augmentation avec l’âge : ? 30% à 60 ans et 50% > 70 ans. Nombre et topographie : nombre variable (1 diverticule à plusieurs centaines) : localisation sigmoïdienne, 80% des cas.

Voir en ligne : Professeur Jacques FOURNET - Faculté de Médecine de Grenoble


Diverticulose colique

  • Qu’est ce qu’un diverticule du côlon ?
  • Qu’est ce que la diverticulose colique ?
  • La diverticulose colique est-elle un problème fréquent ?
  • Quelles sont les complications possibles de la diverticulose colique ?
  • Qu’est ce qu’une diverticulite et une sigmoïdite ? Quels sont les symptômes habituels d’une sigmoïdite ?
  • Quels examens permettent de faire le diagnostic de sigmoïdite ?
  • En cas de rétrécissement du sigmoïde, peut-il s’agit d’un cancer ?
  • Quelle est l’évolution possible d’une sigmoïdite ?
  • Quel est le principe du traitement de la sigmoïdite diverticulaire ?

Voir en ligne : Collège des enseignants d’hépato-gastroentérologie.


Comprendre : la diverticulose colique

La diverticulose consiste en la présence de diverticules, généralement multiples, sur la paroi colique, surtout gauche et principalement sigmoïdienne. Un diverticule est une sorte de hernie de la muqueuse intestinale à travers la paroi musculaire (la musculeuse). Le côlon comporte, en effet, une muqueuse, une musculeuse, enveloppée d’une fine membrane péritonéale, la séreuse. La présence des diverticules est une anomalie, acquise au cours de l’existence.

Voir en ligne : Hôpital Croix Saint-Simon Paris


Les règles d’or : ce que chaque famille et chaque communauté sont en droit de savoir sur la diarrhée

La diarrhée tue l’enfant en faisant perdre beaucoup d’eau à son corps, ce qui provoque la déshydratation. Dès le début de la diarrhée, il est essentiel de donner à l’enfant beaucoup plus à boire que d’habitude. Il faut également lui donner sa ration alimentaire habituelle.

Voir en ligne : UNICEF


Diarrhée chronique

Emission moyenne quotidienne de plus de 300 g. de selles liquides ou non moulées ; le nombre d’exonérations, parfois normal, dépasse souvent 3/24 heures (le débit fécal normal est compris entre 100 et 250 g/24 h. et le coefficient d’hydratation est de 80 %). La chronicité est considérée à partir de 4 semaines. Les étiologies sont nombreuses et les mécanismes physiopathologiques variées.

Voir en ligne : J. Fournet - Faculté de médecine de Grenoble


Prise en charge de la diarrhée aiguë

Dans nos régions, la diarrhée aiguë est le plus souvent d’origine virale, et évolue presque toujours spontanément de manière favorable. La prise en charge consiste surtout à prévenir et traiter la déshydratation, particulièrement dans les groupes à risque (nourrissons et jeunes enfants, personnes âgées, personnes atteintes d’une affection chronique telle le diabète). Les solutions de réhydratation orale occupent une place importante dans le traitement de la déshydratation, et en prévention de celle-ci dans les groupes à risque. En cas de déshydratation grave, une hospitalisation s’impose avec souvent une réhydratation par voie intraveineuse. Les antibiotiques ne sont que très rarement indiqués en pratique ambulatoire. Les patients atteints d’une diarrhée grave (fièvre, altération de l’état général avec des selles sanguinolentes, tableau septique), certainement les enfants, doivent être hospitalisés ; les antibiotiques seront alors souvent administrés par voie intraveineuse.

Voir en ligne : Centre Belge d’Information Pharmacothérapeutique


Diarrhée chronique par accélération du transit

  • Qu’est ce qu’une diarrhée motrice ?
  • Comment fait-on le diagnostic de diarrhée motrice ?
  • Quelles sont les causes de diarrhée motrice ?
  • Quelle est la cause la plus fréquente de diarrhée motrice d’origine hormonale ?
  • Quels symptômes évoquent une intolérance au lactose ?
  • Pourquoi certains sucres de régimes peuvent-ils entrainer une diarrhée ?
  • Pourquoi faut-il toujours faire des biopsies coliques lors d’une diarrhée chronique ?
  • Quels sont les médicaments utilisés dans les diarrhées motrices ?

Voir en ligne : Collège des enseignants d’hépato-gastroentérologie.


Votre enfant a la diarrhée. Que faire ?

La gastro-entérite est une des maladies les plus fréquentes de l’enfant. Dans l’immense majorité des cas elle est bénigne, mais il faut la prendre en charge précocément afin d’en éviter les complications, en particulier la déshydratation. Elle repose sur la réhydratation orale (donc sur vous) et non sur les médicaments. Il est important de reconnaître les signes de gravité afin d’accélérer la prise en charge d’urgence.

Voir en ligne : SFTG PARIS-NORD


Diarrhée aiguë du nourrisson

La diarrhée aiguë est l’émission de selles anormalement fréquentes et liquides en dehors de tout contexte chronique évident. Fréquente chez le nourrisson pour lequel elles représentent un important motif de consultation, les diarrhées exposent à un risque de déshydratation aiguë, d’autant plus rapide et grave qu’elles sont associées à des vomissements. Les diarrhées aiguës du nourrisson relèvent de causes variées, dominées par les gastro-entérites aiguës infectieuses, en particulier virale, saisonnière et épidémiques. Certaines diarrhées sont microbiennes et doivent être identifiées, voire traitées. Enfin, il faut savoir évoquer d’autres causes. Le traitement est avant tout celui de la déshydratation, soit préventif, soit curatif. Il y a parfois un traitement étiologique à réaliser.

Voir en ligne : Professeur Dominique PLANTAZ - Corpus Médical de la Faculté de Médecine de Grenoble


Maladies gastro-intestinales associées à un voyage à l’étranger

Chaque année, des milliers de Canadiens en quête de soleil rapportent de leur voyage davantage que de beaux souvenirs. Nausées, crampes abdominales, vomissements et diarrhée peuvent être quelques uns des effets désagréables d’un séjour sous les tropiques. Bon nombre de voyageurs courent un risque élevé de contracter une maladie gastro-intestinale dans une destination tropicale ou sub-tropicale. La diarrhée, aussi appelée « tourista », est le problème médical le plus fréquent des Canadiens voyageant dans des pays en développement et autres destinations touristiques. La diarrhée des voyageurs est une infection intestinale causée par des bactéries, des parasites ou des virus transmis par l’eau ou les aliments contaminés.

Voir en ligne : Agence de la santé publique du Canada


Diarrhée avec ou sans vomissements

Un enfant a la diarrhée lorsque ses selles sont plus liquides et plus fréquentes que d’habitude. La diarrhée peut être accompagnée de fièvre et de vomissements. Chez l’enfant, la diarrhée et les vomissements peuvent entraîner la déshydratation. Pour prévenir la déshydratation, vous devez faire boire une solution de réhydratation orale à votre enfant.

Voir en ligne : Hôpital de Montréal pour enfants du Centre Universitaire de Santé Mc Gill


La surveillance des gastro-entérites aiguës en France métropolitaine

  • Situation épidémiologique des gastro-entérites aiguës en France métropolitaine.
  • Surveillance des gastro-entérites aiguës en France métropolitaine
  • Prévention
  • Références

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire


La grossesse sans la constipation

Jusqu’à 40 % des femmes enceintes souffrent de constipation à un moment ou à un autre pendant leur grossesse. Quelques conseils vous aideront à réduire cet inconfort si fréquent.

Voir en ligne : Extenso Centre de référence sur la nutrition humaine


Constipation chez l’enfant

Il y a plusieurs définitions de la constipation mais si un enfant a du mal à aller à la selle ou si l’opération est douloureuse, il faut alors le traiter. Les enfants ont souvent besoin de faire un effort pour excréter. S’il n’y a pas de douleurs, il n’y a pas besoin de s’inquiéter. Tout comme les adultes, les enfants peuvent avoir des routines excrétrices différentes. Ils n’ont pas forcément besoin d’excréter tous les jours.

Voir en ligne : SantéOntario.com


La Constipation - Pour que vos intestins fonctionnent en douceur

La constipation est une difficulté à évacuer les selles. Il se peut qu’elles soient très dures et qu’elles nécessitent des efforts importants. Ou encore, vous pouvez éprouver le besoin de faire une autre selle même lorsque vous venez d’en faire une.
À quelle fréquence dois-je aller à la selle ?
Tout le monde ne va pas à la selle tous les jours. Ne vous attardez pas à la publicité qui affirme qu’une selle par jour est synonyme de régularité. La « normale » varie de trois selles par jour à trois selles par semaine. Il se peut que la constipation s’installe lorsque vos selles deviennent beaucoup moins fréquentes que d’habitude.

Voir en ligne : Le Collège des médecins de famille du Canada


La constipation chez les enfants

  • Les selles de votre enfant sont dures ou petites et difficiles à éliminer.
  • Votre enfant passe régulièrement plusieurs jours sans avoir de selles normales.
  • Votre enfant produit des selles volumineuses et douloureuses à éliminer.
  • Des douleurs d’estomac, un manque d’appétit et une mauvaise humeur peuvent également être des symptômes de constipation.

Voir en ligne : NASPGHAN - North American Society for Pediatric Gastroenterology, Hepatology, and Nutrition


Constipation

Quelle est la définition de la constipation ?
Quels sont les principes du traitement de la constipation ?
Comment augmenter l’apport en fibres alimentaires ?
Pourquoi les fibres alimentaires diminuent-elles la constipation ?
Quel est le mode d’action des principaux laxatifs non toxiques ?
Certains laxatifs sont-ils dangereux ?
Quel traitement en cas de dyschésie rectale ?

Voir en ligne : Collège des enseignants d’hépato-gastroentérologie.


Constipation chronique

Plus souvent qu’une maladie organique, il s’agit d’un trouble fonctionnel d’une très grande fréquence. Un consensus existe quant à sa définition, caractérisée par la diminution significative du nombre d’exonérations par semaine, inférieur ou égal à 3, le caractère chronique étant défini par l’ancienneté du trouble, supérieur ou égale à 1 mois. Assez fréquemment, il coexiste une dyschésie recto-anale sur le plan séméiologique.

Voir en ligne : Professeur Jacques FOURNET - Corpus Médical de la Faculté de Grenoble


Prise en charge diagnostique et thérapeutique d’une diarrhée aiguë de l’adulte immunocompétent

Les diarrhées et colites aiguës infectieuses représentent toujours dans les pays développés un problème de santé publique. L’OMS définit une diarrhée aiguë par l’émission de plus de 2 selles très molles à liquides par jour depuis moins de 14 jours ; de même, une colite est dite aiguë lorsque son diagnostic est porté dans les six semaines suivant le début de la diarrhée.

Voir en ligne : Pierre Desreumaux - Service des Maladies de l’Appareil Digestif et de la Nutrition, CHU Lille


Traitement de la diarrhée associée au Clostridium difficile

Depuis quelques années, on assiste à une recrudescence de cas de diarrhées à Clostridium difficile. Cette infection est typiquement nosocomiale. Chez la population hospitalisée, 20% des patients auront un test de détection positif à C. difficile contre seulement 3% dans la communauté.( 1) Parallèlement, 99% des cas de diarrhée à C. difficile surviennent chez des patients hospitalisés ou qui quittent l’hôpital.(2) Selon des estimations effectuées en 1994, environ 2% des patients atteints de colite à C. difficile mourront des complications reliées.(3)

Voir en ligne : Folia Pharmacotherapeutica


Clostridium difficile : épidémiologie et prise en charge

Clostridium difficile est un agent pathogène responsable de diarrhées et colites associées à l’antibiothérapie. C. difficile est un bacille anaérobe Gram positif sporulé. Il existe différentes souches présentant des caractéristiques de virulence et des capacités de toxinogénèse très variables. Le mécanisme de survenue des diarrhées et colites dues à C. difficile est complexe et non complètement élucidé ; il est cependant admis que celles-ci ne sont pas liées au germe lui-même mais à la production de toxines. C. difficile libère deux exotoxines puissantes. La toxine A, en plus de son activité d’entérotoxine, possède, comme la toxine B, une activité cytotoxique. Des récepteurs spécifiques pour la toxine A ont été mis en évidence sur les membranes entérocytaires. Les deux toxines A et B entraînent une désorganisation des microfilaments cytosquelettiques, suivi d’une destruction cellulaire. Il s’ensuit une altération de la perméabilité des jonctions intercellulaires provoquant une augmentation de la perméabilité de la muqueuse intestinale, suivie d’une infiltration de la lamina propria par des neutrophiles.

Voir en ligne : Didier Pittet, Genève, et Andreas F. Widmer, Bâle


Clostridium difficile

Le Clostridium difficile (C. diff) est une bactérie présente naturellement dans les intestins de 3 % des adultes et de 66 % des enfants. Le C. diff ne pose pas de problèmes chez les personnes en bonne santé. Cependant, certains antibiotiques utilisés pour soigner d’autres maladies peuvent modifier l’équilibre des « bonnes » bactéries dans les intestins. Lorsque cela se produit, la bactérie C. diff se multiplie et entraîne des symptômes tels que la diarrhée et la fièvre.

Voir en ligne : NHS


Colon irritable

On désigne par colon irritable un ensemble de symptômes chroniques, composé de maux de ventre et de perturbation des selles qui, bien que sans danger, peut s’avérer pénible au point d’affecter la qualité de vie des personnes atteintes. Contrairement à d’autres maladies intestinales (diverticulite, maladie de Crohn, colite ulcéreuse), le colon irritable est sans danger, et on n’y retrouve aucune anomalie de la muqueuse intestinale. Toutefois, il peut causer de l’inquiétude aux personnes atteintes.

Voir en ligne : Collège québécois des médecins de famille.


Les troubles fonctionnels intestinaux

Les troubles fonctionnels intestinaux sont-ils fréquents ?
Quelle différence entre colite et troubles fonctionnels intestinaux ?
Quels symptômes évoquent des troubles fonctionnels intestinaux ?
Qu’est-ce qu’une fausse diarrhée ?
Quels symptômes ne font pas partie des troubles fonctionnels intestinaux ?
L’examen clinique est-il typique dans les troubles fonctionnels intestinaux ?
Existe t-il des facteurs psychologiques liés aux troubles fonctionnels intestinaux ?
Quelle est l’évolution habituelle des troubles fonctionnels intestinaux ?
Pourquoi faire des examens dans les troubles fonctionnels intestinaux ?
L’analyse des selles est-elle utile dans les troubles fonctionnels intestinaux ?
Quel est le principes du traitement des troubles fonctionnels intestinaux ?
Quelle place pour les antispasmodiques dans les troubles fonctionnels intestinaux ?

Voir en ligne : SNFGE


Troubles fonctionnels intestinaux - diagnostic et prise en charge

Les troubles fonctionnels intestinaux (TFI), mieux connus sous le terme de « colopathie fonctionnelle » ou « syndrome du côlon irritable », sont attribués à un trouble de la sensibilité et de la motricité du côlon et touchent 15 à 20% de la population en France. Ils représentent la plus fréquente des affections intestinales et constitue donc un motif fréquent de consultation, non seulement auprès du gastro-entérologue, mais surtout auprès du médecin généraliste qui va jouer un rôle important dans la prise en charge de cette affection, tant sur le plan diagnostique et thérapeutique que sur le plan du suivi psychologique des patients qui en souffrent.

Voir en ligne : Dr Astrid Lièvre


Colite (généralités)

Le mot colite traduit des affections parfois très variées de cette partie du tube digestif.
La colite peut avoir 2 significations selon que l’on parle de colite aiguë ou chronique.
La colite aiguë possède diverses origines :
• Infectieuse (virale, bactérienne, champignon, parasite).
• Iatrogène (provoquée par des médicaments : laxatif irritant, antibiotiques).
• Radiothérapie (utilisation des rayons comme traitement).
• Problème circulatoire au niveau de la paroi intestinale, comme une diminution de l’arrivée du sang à ce niveau (ischémie).

Voir en ligne : Vulgaris-Médical


Troubles fonctionnels intestinaux

  • Syndrome de l’intestin irritable.
  • Troubles de l’ensemble de la sphère digestive + ou - extra-digestive (motricité, sensibilité, ± sécrétion).
  • Traduction clinique polymorphe : => Douleurs. => Ballonnements. => Troubles du transit.
  • Signes cliniques présents en alternance ou associés.
  • Cette définition exclut toute pathologie organique.

Voir en ligne : Pr Gosselin (Faculté de médecine de Rennes)


Le syndrome du côlon irritable

Au Canada, un Canadien sur cinq, majoritairement des femmes, souffre du syndrome du côlon irritable (SCI). Découvrez comment réduire les symptômes de cette condition inconfortable tant sur le plan physique que sur le plan social.

Voir en ligne : Extenso Centre de référence sur la nutrition humaine


Les Encéphalopathies Métaboliques

Une consommation excessive d’alcool est susceptible d’entraîner un dysfonctionnement et/ou des altérations du système nerveux central ou périphérique. L’action nocive de l’alcool peut s’expliquer par un effet toxique direct ou par le biais d’un état carentiel ou d’un dysfonctionnement hépatique. Dans certaines situations, l’alcool n’a pas de responsabilité exclusive, mais intervient comme facteur favorisant, éventuellement en fonction de dispositions génétiques. Il y a bien aussi, à côté de la dimension neurologique, une importante dimension psychiatrique.

Voir en ligne : Faculté de médecine d’Angers - Certificat de Neurologie-Neurochirurgie - Pr. J. EMILE


Cirrhose du foie d’origine alcoolique

La cirrhose alcoolique du foie est une dégénérescence des tissus du foie causée par l’absorption d’alcool. La cirrhose est un mode de réaction du foie à diverses agressions, ce qui signifie que l’alcool n’est pas le seul toxique susceptible d’entraîner une dégradation hépatique de type cirrhotique. 10 à 15 % seulement des alcooliques développent une cirrhose.

Voir en ligne : Vulgaris médical


Cirrhose alcoolique

Définition, Intérêt
Physiopathologie
Circonstances de Découverte
Diagnostic Positif
Diagnostics Différentiel, de Gravité, Pronostic
Evolution
Les complications et leur Traitement

Voir en ligne : www.medinfos.com


Objectifs, indications et modalités du sevrage du patient alcoolodépendant

Quelles sont les approches conceptuelles du sevrage ?
Quelles sont les indications et contre-indications du sevrage ?
Quelles sont les modalités du sevrage ?
Quelles modalités pratiques proposer lorsque l’alcoolodépendance est associée à une ou plusieurs substances psycho-actives ?
Quelles modalités pratiques proposer en cas d’association à d’autres pathologies ?
Quel traitement proposer devant un accident de sevrage ?

Voir en ligne : Conférences de consensus © SNFGE


Alcoolisme : former les entourages des buveurs excessifs

Les malades alcooliques, alcoolo-dépendants, sont réputés peu observants et indisciplinés. Si on sait qu’ à 1 an, en structures institutionnelles, 45 à 80 % sont perdus de vue, on connaît mal le suivi ambulatoire. L’objectif de cette analyse a été d’évaluer le suivi d’alcooliques et leur assiduité, à moyen terme, dans un secteur d’activité mal connu, celui de consultations spécifiques d’alcoologie en cabinet de médecine générale. Seuls 17,8 % des patients sont perdus de vue à 2 ans. Cette étude montre en outre qu’une pratique alcoologique " de ville " est pertinente et économique.

Voir en ligne : www.parlersante.fr/


Prise en charge thérapeutique de l’alcoolo-dépendance

La terminologie médico-sociale de la "prise en charge" s’applique avec beaucoup d’acuité à la démarche des soignants à l’encontre des malades de l’alcool. Elle rend compte en effet de cette action globale et continue, organisée sur le long terme en un projet thérapeutique impliquant souvent différents intervenants de manière séquentielle ou simultanée. Les médecins (généralistes, psychiatres, alcoologues, gastroentérologues, spécialistes, médecins du travail ou de santé publique), les psychologues, les travailleurs sociaux au les mouvements d’anciens buveurs exercent une véritable activité " de supporter " des malades en utilisant les registres du conseil, du soutien, de l’accompagnement ou du soin propre.

Voir en ligne : Philippe BATEL Unité de Traitement Ambulatoire des Malades Alcooliques (UTAMA) Hôpital Beaujon - Clichy


L’alcool et le foie

Que se passe-t-il quand une personne « prend un verre » ?
L’alcool agit sur tout le monde. Quand une personne prend un verre, l’alcool passe directement au travers de la paroi de l’estomac et de l’intestin dans le courant sanguin, d’où il est rapidement réparti dans tout le corps. Les femmes absorbent plus d’alcool de chaque consommation que les hommes. L’alcool modifie la fonction de toutes les cellules dans lesquelles il pénètre.

Voir en ligne : Fondation Canadienne du Foie


Prise en charge des complications chez les malades atteints de cirrhose

Ces recommandations ont pour objectif de diminuer la morbi-mortalité associée à la cirrhose par le traitement et la prévention secondaire des complications quelle que soit la cause de l’atteinte hépatique.

Elles abordent la conduite à tenir devant : une ascite (première poussée et ascite réfractaire) un syndrome infectieux (infection du liquide d’ascite en particulier) une hémorragie digestive haute des troubles de la conscience un carcinome hépatocellulaire une insuffisance rénale (syndrome hépatorénal en particulier) une dyspnée

Voir en ligne : Recommandation pour la pratique clinique de la Haute Autorité de Santé


Cirrhoses - Guide ALD n° 6 Liste des actes et prestations

L’objectif de ce guide est d’expliciter pour les professionnels de santé la prise en charge optimale et le parcours de soins d’un malade admis en ALD au titre de l’ALD 6 : cirrhose. C’est un outil pragmatique auquel le médecin traitant peut se référer, notamment au moment d’établir le protocole de soins conjointement avec le médecin-conseil et le patient

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de santé



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Mise à jour le
mercredi 11 mars 2015

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