A partir du 2 janvier 2017, les médicaments à base d’olmésartan ne seront plus remboursés. Ces médicaments, à la différence de la plupart des autres médicaments de la classe des ARA II (ou « sartans »), n’ont pas démontré qu’ils agissaient sur les événements cardiovasculaires (infarctus, accidents vasculaires cérébraux) ou sur la mortalité. De plus, ils entrainent, de façon très rare mais grave, des entéropathies. Cet effet indésirable leur est spécifique.
C’est pourquoi il n’est plus justifié de les rembourser au titre de la solidarité nationale.