Il n’arrive pas souvent que des généraux d’armée changent de camp au milieu d’une guerre, mais lorsqu’une attaque du cancer est en cours cela peut amener un gène chargé de la défense de l’organisme à passer à l’ennemi. Or, les chercheurs de l’Institut Weizmann des Sciences en Israël ont découvert que la trahison de ce gène peut se produire de plus de façons qu’on ne le pensait auparavant.