L’immunodépression induite par la chimiothérapie entraîne un risque accru d’infections et particulièrement d’infections sévères mettant en jeu le pronostic vital. Certaines de ces infections peuvent être prévenues par des vaccins, en particulier dirigés contre le pneumocoque, la grippe. Ces vaccins ont donc un intérêt potentiel chez l’immunodéprimé.
Certains patients en bon état général porteurs de cancers bronchiques traités par chimiothérapie "au long cours" (cas des chimiothérapies de maintenance par exemple) sont susceptibles de voyager dans des zones à risque (fièvre jaune, choléra, hépatite A…).