Depuis 10 ans, la cardiologie du sport a été enrichie par les progrès de la géné- tique et le développement croissant de l’IRM. Le suivi de larges cohortes a aussi relativisé le risque réel lié à l’activité physique pour certaines pathologies, notamment des canalopathies et les coronaropathies stabilisées. Ces nouvelles recommandations restent relativement conservatrices cependant, mais peuvent guider les habilitations au sport qui doivent rester avant toutes individualisées selon la pathologie et surtout le profil psychologique des athlètes pris en charge.