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Aussi loin que l’on remonte dans la littérature, on retrouve des récits relatant des accidents consécutifs à la fulguration chez l’homme ou chez l’animal. Aristote signale déjà des paralysies succédant immédiatement à un coup de foudre. La foudre était alors associée à la colère des dieux et à la notion de châtiment pour les fautes ou les péchés commis.