Une vingtaine d’essais cliniques sont en cours en Chine pour évaluer l’effet de cet antipaludéen, mais cette approche thérapeutique ne fait pas l’unanimité.
La course aux traitements contre le nouveau coronavirus a remis sur le devant de la scène la chloroquine (Nivaquine), un antipaludéen commercialisé depuis soixante-dix ans. En Chine, près d’une vingtaine d’essais cliniques sont en cours pour explorer l’efficacité de cette molécule ou d’un analogue, l’hydroxychloroquine (Plaquenil), chez des patients infectés par le SARS-CoV-2, selon le registre chinois des essais cliniques.
En France, une étude clinique vient d’être lancée par le professeur Didier Raoult, directeur de l’IHU Méditerranée Infection (Marseille).