Considérant :
que le tabagisme en France provoque plus de 73 000 décès annuels ;
que la lutte contre ce fléau doit être une priorité de santé publique ;
que dans la cigarette électronique, l’apport de nicotine se fait sans combustion de feuilles de tabac de papier à cigarette, évitant ainsi l’inhalation d’oxyde de carbone et de nombreux produits toxiques (goudrons procancérigènes, hydrocarbures polycycliques, inducteurs d’inflammation de l’appareil respiratoire, ...) ;
que les données scientifiques publiées démontrent que la cigarette électronique constitue un élément important de la minimisation des risques ;