L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation de l’environnement et du travail (Anses), ainsi que l’Institut national du cancer (Inca) et l’Agence nationale de santé publique (ANSP), ont été saisis le 17 mai 2018 par la Direction générale de la santé (DGS) afin de mettre à jour les données sanitaires sur le bronzage artificiel et, s’agissant de l’Anses plus spécifiquement, de réaliser une mise à jour synthétique de ses expertises sur les effets des expositions aux rayonnements ultraviolets artificiels sur la santé.