La maladie fibromateuse, très fréquente puisque touchant 40 à 50% de la population féminine de plus de 40 ans, est appréciée selon la taille, le nombre et la localisation du (ou des) fibrome (s). La conduite à tenir doit prendre en considération les critères ci-dessus mais également les desiderata de la patiente et notamment son souhait de bénéficier d’un traitement hormonal substitutif de la ménopause. C’est dire que chaque cas doit bénéficier d’un traitement personnalisé. Ceci explique qu’au cours des dernières années, on a vu se développer de nombreuses alternatives thérapeutiques au traitement monolithique qui existait auparavant.