Vieillissement de la population,progression des maladies chroniques,baisse attendue des effectifs médicaux, voire pénurie localisée, souhait de nouvelles conditions d’exercice des médecins, forte demande de reconnaissance des professions paramédicales, maîtrise des dépenses de santé sont autant d’arguments qui plaident en faveur d’une nouvelle organisation des soins primaires en France.