Début octobre, le scoop du magazine Sciences et Avenir jette l’effroi en pointant du doigt une famille d’anxiolytiques et de somnifères, les benzodiazépines, comme responsable de la survenue chaque année de 16 000 à 31 000 nouveaux cas d’Alzheimer en France. Doit-on alors envisager une interdiction des benzodiazépines ? s’interroge la Cité des Sciences et de l’Industrie dans un communiqué