Le 9 mai dernier, un groupe de chercheurs de l’Institut de santé publique, d’épidémiologie et de développement de Bordeaux publiait une énième étude sur l’impact possible des ondes de téléphones portable sur la santé. Comme souvent, on ne sait pas trop pourquoi une étude ressort plus qu’une autre dans la presse, mais l’AFP a décidé de mettre les gros titres pour cette dépêche qui a été reprise par la quasi-totalité des médias internationaux depuis hier.