La ministre des affaires sociales et de la santé a demandé au Conseil national du sida un nouvel Avis sur les problèmes posés par la commercialisation d’autotests de dépistage de l’infection à VIH. Cet Avis intervient dans un contexte marqué par l’évolution des stratégies de dépistage en France, avec l’utilisation de tests rapides d’orientation diagnostiques, réglementée depuis 2010, et par l’autorisation d’un autotest salivaire aux États-Unis par la Food and Drug Administration en juillet 2012.