Après un épisode collectif survenu en février 2011, impliquant un dispositif luminescent et survenu dans un groupe d’enfants, la Direction générale de la santé a saisi l’Institut de veille sanitaire et le Comité de coordination de la toxicovigilance, le 30 mars 2011, en demandant :
d’établir une analyse des effets toxicologiques de chaque type de produits ou articles luminescents, en se fondant sur les signalements reçus par les Centres antipoison et de toxicovigilance (CAPTV), au regard notamment de leurs types de composition ;
d’établir une analyse des produits les plus dangereux, en fonction des circonstances d’exposition, (contact, ingestion..., après cassure ou fuite de l’objet) et des populations exposées (par tranche d’âge, en particulier).