Le respect du secret médical est parfois délicat à imposer aux familles des patients, notamment dans le domaine de la cancérologie. Dans cette observation, une femme de 54 ans est prise en charge pour un adénocarcinome bronchique primitif de stade T1N0M0. Dès le début de la prise en charge, la patiente a fait savoir sa volonté de ne pas informer son entourage du diagnostic et de ses hospitalisations répétées.