La mise en oeuvre du dispositif de vigilance relatif à l’assistance médicale à la procréation (AMP vigilance) a été confiée à l’Agence de la biomédecine par la loi de bioéthique d’août 2004. Cette nouvelle vigilance porte sur les incidents relatifs aux gamètes, embryons, tissus germinaux utilisés à des fins thérapeutiques, et les effets indésirables chez les donneurs de gamètes ou chez les personnes qui ont recours à l’AMP. Il s’agit d’un système de vigilance transversal pouvant impliquer d’autres dispositifs de surveillance épidémiologique. Une phase test a commencé depuis février 2007.