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Dernier ajout : 18 avril.

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Gluten : maladie cœliaque ou intolérance au gluten

Cette maladie s’appelle aussi « intolérance au gluten ». C’est une forme d’allergie, c’est-à-dire une réaction inappropriée du système immunitaire, au niveau intestinal, qui ne se manifeste que si l’enfant mange du gluten. Le gluten est une protéine contenue dans le blé, l’orge, le seigle et l’avoine. Notre système immunitaire est chargé de lutter contre les virus, les bactéries, les champignons microscopiques, pour éviter ou limiter les infections. Dans le cas d’un rhume, par exemple, la guérison se fait toujours en quelques jours, non pas parce que le virus a disparu spontanément, mais parce que le système immunitaire a fabriqué des anticorps qui le détruisent.

Voir en ligne : integrascol

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La gale est-elle en augmentation en France ? État des lieux à partir de diverses enquêtes régionales et nationales 2008-2010

La gale est une parasitose hautement contagieuse, le plus souvent bénigne mais pour laquelle des retards de diagnostic et de prise en charge peuvent engendrer de nombreuses difficultés pour les patients et leur entourage. Suite à de nombreux signaux suggérant une recrudescence de la gale en France, nous avons effectué un état des lieux en regroupant les résultats de différentes études réalisées entre 2008 et 2010 par l’Institut de veille sanitaire (InVS) et/ou les Cellules de l’InVS en région (Cire). Ces études incluent des enquêtes effectuées auprès des partenaires locaux (notamment les Directions départementales des affaires sanitaires et sociales (Ddass) et les Comités de lutte contre les infections nosocomiales (Clin)) complétées par des estimations de consommations de produits scabicides.

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire

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La neurofibromatose 1 ou maladie de Von Recklinghausen

La neurofibromatose 1 (NF1) est une maladie génétique assez fréquente (1 cas sur 3000 naissances). Elle se révèle progressivement par des taches sur la peau et des tumeurs bénignes (non cancéreuses), les neurofibromes, qui se développement à partir de la gaine des nerfs, pouvant générer des complications locales en fonction de leur taille et de leur localisation. D’autres symptômes sont possibles mais plus rares : difficultés d’apprentissage, atteinte des voies visuelles, lésions osseuses…

Voir en ligne : Intégrascol

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Antihypertenseurs en 2010 : les anciens et les modernes.

’hypertension artérielle est un des principaux facteurs de risque cardiovasculaire et son traitement réduit ce risque. Cinq classes d’antihypertenseurs sont recommandées en première intention, en monothérapie ou en combinant certaines d’entre elles : les diurétiques thiazidiques et apparentés, les bêta-bloquants, les antagonistes calciques, les inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine et les antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II.

Voir en ligne : Revue Médicale de Bruxelles

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Cadre de référence pour le dépistage et la surveillance médicale en santé au travail

Le cadre de référence s’adresse à tous les acteurs en santé au travail qui s’intéressent au dépistage ou à la surveillance médicale, plus spécifiquement aux professionnels (médecins, infirmières, hygiénistes, audiologistes, agents de recherche, etc.) et aux gestionnaires du RSPSAT. Cet ouvrage se veut un guide pratique auquel pourront se référer ceux qui prescrivent ou qui souhaitent que des tests de dépistage soient prescrits aux travailleurs. Il leur permettra de fonder leurs décisions sur des critères explicites, basés sur des connaissances scientifiques et des principes éthiques.

Voir en ligne : Institut national de santé publique du Québec

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Enjeux de santé publique reliés à l’étatisation des jeux d’argent sur Internet

La société d’État a annoncé en novembre son intention d’élargir le champ de ses activités commerciales aux jeux d’argent sur Internet (JAI). Les connaissances actuelles définissent les JAI comme une modalité de jeu dont la dangerosité pourrait dépasser celle des AÉJ (appareils électroniques de jeu). Selon une perspective de santé publique, il est vraisemblable d’anticiper une augmentation du jeu problématique dans la population et chez les adeptes du jeu en ligne.

Voir en ligne : Elisabeth Papineau | Institut national de santé publique du Québec,

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La kinésithérapie respiratoire de désencombrement dans le syndrome pulmonaire obstructif chronique : état de la question en 2011.

Pendant des années, la kinésithérapie respiratoire de désencombrement a été assimilée à la seule technique du drainage postural, percussions et vibrations. Cependant, les effets secondaires, les contre-indications et le manque de preuve scientifique de cette technique ont forcé la réflexion et le développement d’autres techniques plus confortables et sans effet délétère. Si l’ensemble de ces techniques démontrent une efficacité comparable en termes d’amélioration de la clearance mucociliaire, la littérature est unanime sur le peu d’effets de ces techniques à court terme et à long terme sur la fonction respiratoire et sur les gaz sanguins artériels.

Voir en ligne : C. Opdekamp - r Revue Médicale de Bruxelles

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Les principales nouveautés du calendrier des vaccinations 2013

Cette Semaine de la vaccination est aussi le moment de découvrir les nouveautés du calendrier des vaccinations 2013. Elaboré par le ministère chargé de la santé après avis du Haut conseil de la santé publique, il sera rendu public dans son intégralité par la ministre chargée de la santé, à l’occasion de la Semaine, qui débute le 20 avril. Nous souhaitons aujourd’hui porter à votre connaissance ses principales nouveautés.

Voir en ligne : Semaine européenne de la vaccination

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Handicap visuel de l’enfant et de l’adolescent

Ce guide, initiative de la Mission Handicaps de l’AP-HP sur le handicap visuel de l’enfant et de l’adolescent, aborde de très nombreux aspects. Fruit des réflexions et du travail d’équipes et d’auteurs multidisciplinaires, il s’adresse à un très large public, allant des professionnels de la santé aux patients ou leur famille, en passant par les travailleurs sociaux. Les sujets traités portent sur l’annonce du handicap visuel, sa prise en charge et sa rééducation au long cours, la législation qui l’entoure, la scolarisation et l’intégration de l’enfant ou de l’adolescent malvoyant. Il est complété par un annuaire précieux et très complet où l’utilisateur trouvera les adresses des services d’ophtalmologie pédiatriques, des établissements de soutien et de scolarisation ainsi que celles des associations de patients déficients visuels.

Voir en ligne : AP-HP

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Effets sanitaires du bisphénol A et Connaissances des usages du bisphénol A

Ce document synthétise d’une part les travaux du groupe de travail « Perturbateurs endocriniens et Substances Reprotoxiques » et présente d’autre part les éventuels compléments du Comité d’Experts Spécialisés.

Voir en ligne : ANSES Agence nationale de sécurité sanitaire Alimentation Environnement Travail

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Nausées et vomissements - Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance

Les nausées correspondent à une sensation de malaise ou d’’inconfort au niveau de l’’estomac qui se traduit par un écoeurement ou une envie de vomir. Le vomissement est un réflexe mécanique de défense de l’’organisme, pour forcer l’’expulsion du contenu de l’’estomac, par exemple en réponse à une indigestion

Voir en ligne : AFSSAPS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Allergies cutanéo-muqueuses chez l’enfant et l’adulte : urticaire

Diagnostiquer une urticaire aiguë et/ou chronique chez l’enfant et chez l’adulte.
Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

Voir en ligne : Annales de Dermatologie et de Vénéréologie

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Arrêt de travail pour maladie (Vos droits et démarches)

Lors d’une consultation pour maladie, le médecin décide de prescrire un arrêt de travail. Il remplit à cet effet un avis d’arrêt de travail (formulaire Cerfa n°10170*04 , fourni par les organismes d’assurance maladie), que l’assuré complète ensuite, avant de le transmettre dans les délais à la Sécurité sociale et à son employeur.

Voir en ligne : Service-public - la Documentation française

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AVC et traumatismes crâniens : des médecins israéliens parviennent à réparer les lésions cérébrales

Nouvel espoir pour les patients atteints de lésions cérébrales : des chercheurs de l’université de Tel-Aviv ont découvert que le traitement par oxygène hyperbare aide à récupérer des facultés cognitives comme la mémoire et la capacité de concentration, des années même, après la survenue d’un traumatisme crânien ou d’un accident vasculaire cérébral, (AVC). Les lésions cérébrales résultant de traumatismes crâniens ou d’AVC sont causes de graves dommages, aussi bien physiques que psychologiques et cognitifs.

Voir en ligne : Dr. Sivan Cohen-Wiesenfeld | siliconwadi.fr

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Bulletin épidémiologique grippe. Point au 29 janvier 2013.

Augmentation importante des consultations et hospitalisations pour grippe mais diminution du nombre de cas graves admis en réanimation
Situation épidémiologique en probable lien avec l’augmentation de la part des virus B dans la circulation virale

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire


Bulletin épidémiologique grippe. Point au 8 octobre 2010.

Les points clés au 08/10/2010

  • Epidémie de grippe en cours à l’Ile de la Réunion
  • Démarrage de l’épidémie en Guyane à confirmer
  • Rares cas sporadiques de grippe en métropole

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire

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Cancers et tabagisme passif - Fiche repère

"Le tabagisme est responsable de 13 cancers, dont le plus mortel est le cancer du poumon. Ses effets néfastes ne sont donc plus à démontrer. En ce qui concerne le tabagisme passif, il est également responsable de cancers du poumon et de nombreuses autres maladies avec un certain nombre de maladies non-néoplasiques, telles que les maladies coronariennes, les symptômes respiratoires chroniques, et la mort subite du nourrisson"

Voir en ligne : INCa - Institut National du Cancer


Changeons nos pratiques

Chacun connaît Donald Berwick. Il est l’une des personnalités phares des politiques de qualité/sécurité ébauchées puis mises en œuvre au cours des trente dernières années. Médecin, également diplômé d’Administration des affaires publiques et finalement spécialisé en pédiatrie – le tout sur le campus d’Harvard – Donald Berwick s’est impliqué dès le début des années 80 dans ces questions de qualité/sécurité.

Voir en ligne : Pr Jean-Michel Chabot, Dr Rémy Bataillon, Dr Philippe Cabarrot & Dr Jean-François Thébaut | HAS

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Conseils médicaux aux voyageurs

Recommandations médicales par pays - Actualités - Epidémies et nouvelles médicales urgentes dans le monde Conseils Santé - Recommandations et informations générales : maladies, vaccins, préparatifs, paludisme…Lieux de vaccination - Centres de vaccination fièvre jaune en Suisse - Expatriés et Humanitaire - Conseils aux expatriés, missions humanitaires

Voir en ligne : Safe Travel

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Conseils pratiques sur les affections thyroïdiennes

Quelque 200 millions de personnes dans le monde ont une maladie de la thyroïde sous une forme ou sous une autre. Pourtant, avant que la Fondation canadienne de la Thyroïde ne soit créée en 1980, il n’existait en Amérique du Nord aucun organisme de vulgarisation pour éduquer le public à ce sujet et l’inciter à soutenir la recherche en ce domaine. Il est possible de soigner la plupart des désordres thyroïdiens ; cependant, une maladie thyroïdienne que l’on ne soigne pas risque d’avoir des conséquences très néfastes sur d’autres parties du corps. En éveillant davantage l’attention du public et en lui apprenant à mieux comprendre les troubles thyroïdiens, les malades et leurs proches sauront réagir d’une manière plus utile face à ces maladies qui prennent parfois une tournure inquiétante. Ainsi, les personnes averties seront plus aptes à signaler à leur médecin les indices d’un dérèglement possible de leur thyroïde, car le diagnostic est quelquefois difficile à établir et la maladie peut évoluer très lentement dans ses premières phases.

Voir en ligne : Fondation canadienne de la thyroïde

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Dangers des benzodiazépines : risques connus et données récentes

Les benzodiazépines ont longtemps été considérées comme étant la thérapie de choix dans maints troubles neuropsychiatriques. Elles sont actuellement plus controversées et d’autres substances jugées moins dangereuses les ont remplacées. Cet article passe en revue les caractéristiques des différentes benzodiazépines commercialisées en Belgique et leurs indications actuelles. Abus et dépendance sont décrits, de même que les dangers de l’utilisation de ces molécules dans certaines populations ou situations spécifiques. De nouvelles données font craindre un risque nettement augmenté de décès lors d’une prise chronique. Finalement, des conseils d’usage rationnel et de sevrage sont exposés

Voir en ligne : Revue Médicale de Liège

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Des réponses aux questions que vous vous posez à propos de l’Arthrose

L’arthrose est l’affection des articulations la plus fréquente. Les premiers symptômes apparaissent généralement vers 40-50 ans, et plus de la moitié des personnes en sont atteintes à des degrés divers après l’âge de 50 ans. Au vu du vieillissement de la population, on peut s’attendre à une importante augmentation de la fréquence de l’arthrose au cours des années à venir.

Voir en ligne : Planète Santé

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Dispositif arrêté pour les vacances de Noël et du Jour de l’An pour la vaccination contre la grippe A(H1N1)

Conformément aux instructions du Président de la République, la campagne de vaccination s’est poursuivie les samedi 19 et dimanche 20 décembre. Le nombre de centres ouverts montre que la mobilisation du dispositif est restée élevée ; compte tenu du début des vacances scolaires, le nombre de personnes vaccinées samedi et dimanche a été moins important que les deux week-ends précédents, tout en restant conséquent.

Voir en ligne : info’ pandémie grippale

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Etat des lieux de la permanence des soins en janvier 2010

Pour la 7ème année consécutive le Conseil national de l’Ordre des médecins a entrepris une enquête nationale sur la permanence des soins, assurée par les médecins généralistes et les modalités de son organisation. L’enquête 2010 démontre une nouvelle fois que les médecins continuent à assumer vis-à-vis de la population leurs responsabilités professionnelles sur l’ensemble du territoire national. L’érosion du volontariat est pourtant là et constituera un défi pour les Agences Régionales de Santé (ARS).

Voir en ligne : onseil National de l’Ordre des Médecins

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Etes-vous trop gros ? : L’indice de masse corporelle

Voir en ligne : prevention.ch

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Fondation Santé et Radiofréquences

"La Fondation « Santé et Radiofréquences » est une fondation reconnue d’utilité publique par décret du 10 janvier 2005 ; a pour mission d’encourager les efforts de recherche concernant les effets sur les personnes des ondes électromagnétiques radiofréquences et de diffuser les connaissances sur ce sujet à destination du public, des pouvoirs publics, des médecins, des professionnels... Elle permet de mutualiser les fonds disponibles nécessaires au financement de ces actions et de mettre en place une évaluation indépendante des projets qui lui sont soumis

Voir en ligne : Fondation Santé et Radiofréquences

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Fondation Santé et Radiofréquences

"La Fondation « Santé et Radiofréquences » est une fondation reconnue d’utilité publique par décret du 10 janvier 2005 ; a pour mission d’encourager les efforts de recherche concernant les effets sur les personnes des ondes électromagnétiques radiofréquences et de diffuser les connaissances sur ce sujet à destination du public, des pouvoirs publics, des médecins, des professionnels... Elle permet de mutualiser les fonds disponibles nécessaires au financement de ces actions et de mettre en place une évaluation indépendante des projets qui lui sont soumis

Voir en ligne : Fondation Santé et Radiofréquences

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Fraudes à l’assurance maladie

Voir en ligne : Les Echos

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Guide des conduites à tenir en cas de maladie transmissible dans une collectivité d’enfants

Les mesures d’évictions scolaires étaient définies par l’arrêté du 3 mai 1989 relatif aux durées et conditions d’éviction et aux mesures de prophylaxie à l’égard des élèves et du personnel dans les établissements d’enseignement et d’éducation publics et privés en cas de maladie contagieuse (journal officiel du 31 mai 1989). Cependant la mise en œuvre de certaines des mesures définies par cet arrêté n’était plus adaptée et de ce fait mal appliquée. Une révision de cet arrêté, prenant en compte l’évolution des connaissances scientifiques et des avancées thérapeutiques en matière de traitement curatif et prophylactique, a été demandée par le Conseil supérieur d’hygiène publique de France (CSHPF), section des maladies transmissibles et confiée à un groupe de travail.

Voir en ligne : Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports [français]

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Guide pour une démarche stratégique de prévention des problèmes de santé psychologique au travail

Les problèmes de santé psychologique au travail connaissent une croissance importante avec l’intensification du travail. Les impacts se font sentir dans la société, les organisations, auprès des individus, et ce, dans tous les secteurs économiques. Heureusement, un nombre grandissant d’organisations tentent d’intervenir avant même que les conséquences soient considérables. Toutefois, il existe encore peu d’information et d’outils pratiques permettant de mener une démarche préventive pour agir sur les problèmes de santé psychologique au travail. Ce guide propose donc une démarche, des outils et des recommandations simples pour les intervenants dans les organisations qui désirent entreprendre une démarche de prévention rigoureuse et efficace.

Voir en ligne : IRSST - Institut de Recherche Robert-Sauvé en Santé et en Sécurité du Travail

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Hématurie microscopique

L’hématurie isolée est définie par l’excrétion d’une quantité anormale d’érythrocytes dans l’urine, caractérisée par l’absence de signes cliniques ou de résultats de laboratoire permettant au praticien de s’orienter vers une cause spécifique,

Voir en ligne : HUG Hôpitaux Universitaires de Genève ]

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Infection humaine par le nouveau virus grippal A (H1N1) : observations cliniques lors d’une flambée en milieu scolaire ŕ Kobe (Japon), mai 2009

Au 11 juin 2009, 74 pays avaient notifié à l’OMS un total de 28 774 cas d’infection par le nouveau virus grippal A (H1N1) confirmés au laboratoire, dont 144 décès. L’épidémie, qui a débuté dans la Région des Amériques, s’est propagée dans toutes les Régions de l’OMS, à l’exception de la Région africaine. Le Japon a été l’un des premiers pays à détecter des cas sporadiques importés en Asie ; la Nouvelle Zélande1 a été le premier pays de la Région du Pacifique occidental à notifier des cas.

Voir en ligne : OMS Organisation Mondiale de la Santé - 30 janvier 2003

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L’arthrose et le travail

L’arthrose fait partie de la famille des maladies rhumatismales et se distingue par le fait qu’elle est au départ reliée à la dégénérescence des tissus de l’articulation, avec réaction inflammatoire éventuelle, alors que d’autres formes de maladies rhumatismales, telle l’arthrite rhumatoïde, sont d’emblée des maladies inflammatoires.

Voir en ligne : Dr Michel Dupuis - Physiatre à l’Hôpital Notre-Dame de Montréal

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L’hernie discale peut-elle évoluer spontanément vers la guérison ou la chirurgie est-elle la seule réponse adaptée ?

Vous vous interrogez sur le fait que l’hernie discale puisse évoluer spontanément vers la guérison.
Rhumatismes.net, le site, « élaboré par l’équipe médicale et paramédicale du pôle ostéo-articulaire de l’hôpital Cochin (Assistance Publique-Hôpitaux de Paris), qui a pour objectif d’améliorer l’information relative aux principales maladies rhumatismales » affirme qu’effectivement il peut y avoir guérison spontanée

Voir en ligne : Cité de la santé

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L’Union Européenne interdit la médecine par les plantes à partir du 1er avril 2011

A compter du 1er avril 2011, la vente de tous les produits à base de plantes médicinales sera interdite sur le territoire de l’Union européenne…s ‘ils ne sont pas au bénéfice d’une autorisation !

Voir en ligne : CareVox

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La composition du régime alimentaire et l’obésité chez les Canadiens adultes

On n’a pas encore établi de façon définitive si certains nutriments ont une incidence sur la situation d’obésité. La présente étude a pour but de déterminer s’il existe une association entre l’obésité et les pourcentages relatifs de lipides, de glucides, de protéines et de fibres dans le régime alimentaire des Canadiens.

Voir en ligne : Statistique Canada

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La cyberdépendance - Etat des connaissances, manifestations et pistes d’intervention

Cet état des connaissances se veut un texte de référence relativement à l’intervention auprès des personnes présentant des problèmes liés à l’utilisation d’internet. pour les besoins de ce texte, nous nommerons ce phénomène « cyberdépendance ».

Voir en ligne : Centre Dollard-Cormier (Canada)

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La maladie de Parkinson ici et maintenant, une étude de cinquante cas

Les conceptions physiopathologiques et la prise en charge de la maladie de Parkinson idiopathique ont beaucoup évolué depuis une dizaine d’années. Nous présentons une analyse de 50 patients examinés en 2007, fournissant un "cliché" actuel de l’’affection dans notre région.

Voir en ligne : N. Skelton (1), M. Cornette - Revue Médicale de Liège

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La personne de confiance

La loi du 4 mars 2002 a institué la personne de confiance. Cette notion s’inscrit dans un contexte qui fait référence explicitement à deux valeurs éthiques centrales : la dignité de la personne et le respect de l’autonomie de la personne. Ce rapport rappelle : Qui peut être désigné personne de confiance. Comment désigner la personne de confiance. En quelles circonstances

Voir en ligne : CNOM - Conseil National de l’Ordre des Médecins

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La pression artérielle et sa mesure clinique

Les normes de la pression artérielle sont déduites des études épidémiologiques et des essais d’intervention thérapeutique ayant démontré le bénéfice dutraitement antihypertenseur pour prévenir la morbimortalité cardiovasculaire. En se fondant sur ces données, les différents guidelines publiés et l’OMS, on peut retenir les définitions suivantes :
PRESSION ARTERIELLE NORMALE DE L’ADULTE : PA < 140-90 mmHg.
HYPERTENSION ARTERIELLE : PAS>=140 mmHg et/ou PAD>=90 mmHg.

Voir en ligne : L Poggi, B Vaïsse, F Silhol, K Bouchlaghen - Faculté de Médecine de Marseille

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Le plan antibiotiques

Le dossier Internet concernant le plan antibiotiques a été mis en place dans le cadre des réflexions sur le Plan national pour préserver l’efficacité des antibiotiques. Il a pour objectif de mettre à la disposition des professionnels de santé des informations actualisées sur les antibiotiques et les résistances bactériennes.

Voir en ligne : comité de pilotage du plan antibiotiques

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Le programme personnalisé de soins (PPS)

Un outil indispensable pour personnaliser la prise en charge des malades "Destiné à être remis à tous les malades dès le début de leur prise en charge, en relai immédiat du dispositif d’annonce, le programme personnalisé des soins (PPS) permet de formaliser la proposition de prise en charge thérapeutique."

Voir en ligne : [Site éditeur INCa - Institut National du Cancer ]

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Le programme SOR Savoir Patient (Standards, Options et Recommandations pour le Savoir des Patients)

Le programme SOR SAVOIR PATIENT (Standards, Options et Recommandations pour le Savoir des Patients) est mené par l’Institut National du Cancer, en partenariat avec la Fédération Nationale des Centres de Lutte Contre le Cancer, la Ligue nationale contre le cancer , la Fédération Hospitalière de France, la Fédération Nationale de Cancérologie des centres Hospitaliers Régionaux et Universitaires, la Fédération française de Cancérologie des Centres Hospitaliers Généraux, l’Union Nationale Hospitalière Privée en Cancérologie et la participation de nombreuses sociétés savantes. Les SOR SAVOIR PATIENT sont des guides d’information sur différents cancers destinés aux personnes malades et à leurs proches. Les informations médicales contenues dans ces guides sont issues de documents scientifiques élaborés par des experts spécialistes du Cancer : Les Standards, Options : Recommandations (abrégés en SOR).

Voir en ligne : SOR

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Le psoriasis - Définition

Le psoriasis est une maladie de la peau chronique, non contagieuse, auto-immune et génétique. En Belgique, elle touche 1 personne sur 30, soit près de 300 000 personnes, et dans le monde, près de 125 millions de personnes. Comme le psoriasis est une maladie visible, elle a un impact sur la qualité de vie de la personne affectée. Celui-ci peut être important voire grave et ce, à différents niveaux : social, psychologique, affectif, professionnel, scolaire, financier,...

Voir en ligne : Psoriasis-Contact

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Le tabagisme, un fléau de santé publique : des professionnels de la santé engagés

Les effets du tabagisme sur la santé sont incontestables. Depuis plusieurs années et encore aujourd’hui, le tabagisme constitue l’un des plus sérieux problèmes de santé publique au Québec. L’usage du tabac entraîne plusieurs maladies chez les fumeurs et les non- fumeurs, en plus d’imposer un lourd fardeau au système de santé ainsi que des coûts sociaux considérables. Il constitue le principal fac- teur de risque des maladies chroniques les plus meurtrières, soit les maladies cardiovasculaires et les cancers. Plus de 10 000 Québécois meurent chaque année des conséquences du tabagisme.

Voir en ligne : Institut national de santé publique du Québec (INSPQ)

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Le vaccin contre la grippe saisonnière pourrait être assez efficace contre la grippe H1N1

Le vaccin contre la grippe saisonnière serait efficace contre le H1N1. Une étude mexicaine révèle que le vaccin 2008-2009 contre la grippe saisonnière serait assez efficace pour contrer le virus H1N1, notamment dans ses formes les plus sévères. Publiée dans le Britsh Medical Journal, l’étude a comparé 60 personnes atteintes par la maladie et 180 personnes ayant d’autres problèmes de santé

Voir en ligne : sympatico.ca

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Les calculs des glandes salivaires


La maladie dite lithiasique ( du grec "lithos" : pierre), fait référence à la présence dans les glandes salivaires principales, et plus rarement au niveau des glandes accessoires, d’un obstacle physique (le calcul), en l’occurrence constitué majoritairement de sels de calcium, dans la glande ou son canal excréteur. Les glandes les plus fréquemment atteintes (90 à 95 %) sont les glandes sous mandibulaires

Voir en ligne : Chirurgie maxillo-faciale et stomatologie du CHRU de Tours.

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Les cendres du volcan islandais pour l’instant sans danger pour la santé

20 avril 2010 - L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a indiqué mardi que les cendres projetées dans l’atmosphère depuis le 14 avril par l’éruption d’un volcan en Islande sont pour l’instant sans danger pour la santé des populations des pays que le nuage survole, excepté pour les gens situés aux alentours du volcan où les particules sont retombées au niveau du sol. Autour du volcan, « les grosses particules causent des irritations et les gens doivent prendre des précautions telles que porter des lunettes étanches, des masques et rester chez eux autant que possible », a déclaré un épidémiologiste environnemental de l’OMS, Carlos Dora, lors d’une conférence

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé

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Les hypoglycémies

Le taux de glycémie reflète un équilibre dynamique entre l’arrivée de glucose provenant de l’alimentation ou secrété par le foie et son utilisation. Les besoins élevés chez le nouveau-né et le jeune enfant, le peu de réserve hépatique, la complexité des mécanismes régulateurs expliquent la fréquence des hypoglycémies.

Voir en ligne : Métabolisme glucidique - C. Jézéquel - Institut Mère-Enfant, annexe pédiatrique, Hopital sud, Rennes

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Liste des actes et prestations sur Hémochromatose - Actualisation octobre 2008 - ALD n°17

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Maladies génétiques

Décrites mais pas encore totalement traitées Les maladies génétiques sont les maladies qui résultent de l’altération d’un gène.Maladies dites "rares", c’est-à-dire dont la fréquence est inférieure à un malade pour 2 000 personnes, elles représentent environ 80 % de celles-ci, soit environ 6 000 pathologies. Cinq nouvelles maladies génétiques sont décrites chaque semaine par les chercheurs. Elles touchent 1 à 2 % des naissances dans le monde, 10 millions de personnes en Europe. Les personnes qui en sont atteintes sont donc à la fois seules, isolées et très nombreuses. C’est pourquoi ces maladies constituent une véritable priorité de santé publique.

Voir en ligne : INSERM

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Mise à jour de la santé des voyageurs – Agence de la santé publique du Canada

La Division santé-voyage et santé liée à la migration surveille, vérifie, formule et diffuse de l’information et des recommandations sur la santé associée aux voyages internationaux afin de protéger la santé de la population canadienne et de soutenir les professionnels de la santé dans leur travail.
Nouveaux conseils de santé aux voyageurs : Maladie à virus Ebola en Sierra Leone
Nouveaux conseils de santé aux voyageurs : Maladie à virus Ebola en Libéria
Nouveaux conseils de santé aux voyageurs : Maladie à virus Ebola en Guinée
Mise à jour des conseils de santé aux voyageurs : Maladie à virus Ebola au Nigéria
Mise à jour des conseils de santé aux voyageurs : Maladie à virus Ebola au Sénégal
Mise à jour des conseils de santé aux voyageurs : Maladie à virus Ebola en République démocratique du Congo

Voir en ligne : Agence de la santé publique du Canada.

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Obésité. Problème de santé publique majeur

L’obésité est une vraie maladie touchant des millions de personnes de moins de 18 ans. Des enfants et des adolescents qui mangent trop ou qui mangent mal, qui grignotent entre les repas et qui ont délaissé le sport au profit de la télé. Avec 10, 20 ou 30 kilos en trop, la vie n’est plus la même : on doit s’habiller différemment, on ne peut plus courir sans s’essouffler, il faut supporter les moqueries des camarades. Pour les parents, le surpoids d’un enfant est toujours préoccupant.

Voir en ligne : HUG Hôpitaux Universitaires de Genève

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Ostéoporose : du diagnostic ostéodensitometrique à l’évaluation du risque absolu de fracture

En 1993, un groupe d’experts mandatés par l’Organisation Mondiale de la Santé a défini l’ostéoporose comme une maladie caractérisée par une masse osseuse abaissée, avec des défauts structuraux, conduisant à une fragilité osseuse augmentée et à un risque accru de fracture

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Pharmacologie de la maladie de Parkinson

La maladie de Parkinson est l’une des rares atteintes dégénératives du système nerveux central accessibles à la thérapeutique médicamenteuse. Aujourd’hui encore, la L-DOPA demeure le meilleur traitement symptomatique de cette maladie, presque 30 ans après sa commercialisation. Cependant, la nécessité d’une transformation intraneuronale en dopamine en constitue le point faible puisque, au cours de la maladie, la perte cellulaire altère les possibilités de synthèse et de stockage de ce neuromédiateur à partir du précurseur que constitue la L-DOPA.

Voir en ligne : Dr Philippe Le Cavorzin | Faculté de Médecine, Rennes

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Prévenir l’ostéoporose : à tout âge

L’os est un tissu vivant qui se renouvelle constamment. C’est lorsque l’équilibre entre la démolition et la reconstruction se brise que survient l’ostéoporose. En adoptant un régime de vie équilibré, vous mettez toutes les chances de votre côté pour prévenir l’ostéoporose. Dites-vous qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire !

Voir en ligne : Extenso Centre de référence sur la nutrition humaine

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Prise en charge des urgences allergiques sévères

RAPPORT L’anaphylaxie sévère se définit par l’association de symptômes cardio-vasculaires, respiratoires, cutanés et digestifs, d’apparition immédiate après le contact avec l’allergène, menaçant potentiellement la vie [13-16]. Les quatre expressions cliniques en sont le choc anaphylactique caractérisé par la survenue d’un collapsus cardio-vasculaire associé à des manifestations cutanées, respiratoires et digestives, la réaction systémique sérieuse portant sur deux organes ou plus, l’angioedème laryngé à risque de suffocation, le bronchospasme aigu. Dans plus du tiers des cas, le choc anaphylactique récidive dans les mois ou années suivantes [14].

Voir en ligne : Alain LARCAN* et Anne MONERET-VAUTRIN** - Académie Nationale de Médecine

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Qu’est-ce que le psoriasis ?

Le psoriasis est une maladie chronique qui affecte en premier lieu la peau. 95% des patients souffrent de psoriasis dit " vulgaire ", reconnaissable aux foyers circulaires ou ovales qui se forment à la surface de la peau. Ces foyers sont rubéfiés et commencent à desquamer au bout d’un certain temps. Ces modifications cutanées peuvent apparaître sur tout le corps, mais les zones les plus fréquemment touchées sont les coudes, les genoux et le cuir chevelu. Une démangeaison de la peau peut également être ressentie pendant les poussées aiguës.

Voir en ligne : SPVG - La Société Suisse du Psoriasis et du Vitiligo

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Recommandations canicule - version 2009

L’exposition prolongée à la chaleur est un stress important pour l’organisme, il peut être la cause initiale d’accidents graves tels que le coup de chaleur. Les fortes chaleurs peuvent aussi aggraver des maladies préexistantes, être responsables de maladies associées à la chaleur. La prise de certains médicaments peut aggraver les effets liés à la chaleur, en particulier chez des personnes à risques.

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Sports [français]

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Recommandations de l’academie nationale de medecine concernant la prevention des complications cardiovasculaires du diabete

La prévalence du diabète de type II s’élève régulièrement en France comme dans les autres pays industrialisés en raison de l’augmentation de l’obésité et du vieillissement de la population. On estime à près de 2.5 millions le nombre de diabétiques de type 2 de sexe masculin pour 52 % d’entre eux avec un âge moyen de 65 ans soit une prévalence de 4 %. La prévalence est particulièrement élevée dans les DOM TOM, notamment à la Réunion où elle atteint 17 % et à Tahiti où elle atteint près de 20 % chez les adultes

Voir en ligne : André Vacheron - Académie de médecine

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Recommandations pour la recherche des facteurs biologiques de risque dans la cadre de la maladie thromboembolique veineuse

L’objectif principal de ce travail, proposé par le groupe d’études sur l’hémostase et la thrombose (GEHT), est de définir au mieux les indications de recherche par test de laboratoire – biologie clinique – de facteurs biologiquement identifiables de risque (FBR) de MTEV.l’identification d’un FBR peut-elle contribuer à expliquer la survenue d’un épisode de MTEV ? (version française page 183)
• l’identification d’un FBR contribue-t-elle à mieux évaluer le risque de récidive après un événement TE veineux ?
• la connaissance de FBR chez un patient ayant déjà présenté une MTEV modifie-t-elle l’attitude à adopter en cas d’exposition future à une circonstance à risque TE ?
• faut-i• proposer une recherche de FBR en cas de TVP distale ou de TVS ?
• quel est l’intérêt du dépistage de FBR chez les sujets asymptomatiques (étude familiale) ?

Voir en ligne : SFMV Société française de médecine vasculaire

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Réévaluation des apports nutritionnels conseillés (ANC) en lipides : ni trop, ni trop peu

Pour prévenir les principales pathologies potentiellement liées aux habitudes alimentaires (maladies cardio-vasculaires, diabète, obésité, cancer), la règle première est d’équilibrer les apports et les besoins énergétiques. En l’absence d’excès d’apport énergétique, l’Afssa recommande aussi que la part de lipides atteigne 35 à 40 % ; une fourchette globalement respectée par les consommateurs français même si 43 % des adultes et 34 % des enfants la dépassent. Des apports nutritionnels conseillés pour les différentes catégories d’acides gras ont été définis afin de couvrir les besoins physiologiques mais aussi de prévenir certaines pathologies.

Voir en ligne : Afssa Agence française de sécurité sanitaire des aliments

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Risque de listériose en lien avec la consommation de saumon

La présence de la bactérie Listeria monocytogenes à un taux important a été mise en évidence dans le cadre d’un contrôle officiel chez un producteur sur du carpaccio de saumon, de saumon fumé et de saumon mariné. Ces produits, dont les dates limites de consommation vont jusqu’au 13 octobre 2010, ont été commercialisés sur le territoire national en magasins ou servis en restauration commerciale, notamment dans les enseignes Léon de Bruxelles, Disneyland Paris et pizza Pino, à partir du 20 septembre. Les lots de ces produits ont fait l’objet d’un retrait et d’un rappel du marché ainsi que d’une information des consommateurs par affichettes dès le 5 octobre,

Voir en ligne : DGS / Mission de l’information et de la communication / Département des urgences sanitaires

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Risque électrique. Avoir prise sur la prévention

La gravité des accidents liés au risque électrique reste élevée : près d’un décès sur 100 est dû à l’électricité en 2010. La prévention de ce risque touche de nombreux secteurs, en dehors de la production d’électricité et des réseaux de distribution d’énergie : tous les types de travaux, de la construction à la maintenance ou à l’utilisation d’installations sont susceptibles d’exposer les salariés au risque électrique.

Voir en ligne : INRS Institut National de Recherche et Sécurité

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Risques infectieux d’origine alimentaire

Botulisme
* Campylobacter * Choléra * Fièvres typhoides et paratyphoides
* Gastro - entérites aiguës virales
* Listériose
 * Maladie de Creutzfeldt-Jakob
 * Salmonelloses non typhiques
* Syndrome hémolytique et urémique
 * Toxi-infections alimentaires collectives

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire

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Stratégie de l’OMS pour la Promotion de l’Hygiène des Mains

Les infections associées aux soins (IAS) constituent une menace sérieuse dont l’impact économique pour les patients et les systèmes de santé dans le monde entier est significatif. Pourtant, la pratique de l’hygiène des mains – le simple fait d’assurer l’antisepsie des mains au moment opportun et de manière appropriée – permettrait de sauver des vies. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a développé les Recommandations de l’OMS pour l’Hygiène des Mains au cours des Soins*, basées sur l’évidence, pour aider les établissements de soins à promouvoir et améliorer l’hygiène des mains et ainsi réduire la fréquence des IAS.

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé

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Syndrome de l’intestin irritable : Une approche globale

Le syndrome de l’intestin irritable (SII) est un trouble fonctionnel intestinal dans lequel des douleurs abdominales ou un inconfort digestif sont associés à la défécation ou à une modification de la fréquence des selles. Un ballonnement, une distension abdominale et des troubles du transit intestinal sont également fréquemment associés. (Dans plusieurs langues, les termes « ballonnement » et « distension abdominale » sont équivalents)

Voir en ligne : OMGE Organisation Mondiale de Gastro-Entérologie

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"Je ne fume plus, je mange"

Vous avez décidé de cesser de fumer ? Bravo !
Vous trouverz ici quelques astuces et des adresses afin de rester non fumeur/se sans prendre de poids.

Voir en ligne : Les centres de Prévention Santé dans la canton de Vaud, dans le canton de Genève

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10 ans après, repenser les droits des personnes malades ?

Évoquer le concept de « démocratie sanitaire » c’est affirmer la mission politique de la fonction soignante au cœur de la vie de la cité mais également à ses marges, là où les vulnérabilités humaines aspirent au bénéficie d’une hospitalité dont chacun d’entre nous est comptable. L’exercice de cette démocratie s’impose comme une urgence. Une telle exigence aurait donc été certainement plus crédible si cette célébration des 10 ans d’une loi importante avait été accompagnée d’états généraux de la personne malade et de ses droits, ainsi que d’un projet de révision de la loi du 4 mars 2002. La démocratie sanitaire n’est peut-être pas encore comprise dans sa signification politique comme valeur constitutive d’une certaine idée du bien commun. La mobilisation de nos solidarités au service des personnes vulnérables dans leur confrontation à la maladie relève certes de droits, mais tout autant de responsabilités assumées ensemble.

Voir en ligne : Emmanuel Hirsch et l’équipe de l’Espace éthique Alzheimer

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92% des Français se soignent sans les conseils d’un médecin

Sondage 1001Pharmacies : quel est le premier reflex quand vous êtes malade ?
"Les Français n’ont-ils plus confiance en leur Docteur ? Alors que nous savons pertinemment qu’il peut-être très dangereux pour la santé de se soigner sans l’avis préalable d’un médecin, il semble que les Français prennent tous les risques en se fiant à leur propre jugement et consomment des médicaments non utilisés, sans ordonnance ou attendent leur rétablissement avec des recettes de grand-mère."

Voir en ligne : Cédric O’Neill, Pharmacien et co-fondateur de 1001Pharmacies.

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SAMU dans toute la France Tél : 15 ou 112 SAMU de PARIS Tél : 01 45 67 50 50

Voir en ligne : http://www.samu-de-france.fr/fr

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A propos de l’accouchement dans le secret

A l’occasion de la parution du rapport de la mission parlementaire récemment remis au premier ministre par son rapporteur, Madame Brigitte Barèges [1], sur l’accouchement dans le secret qui préconise, entre autres, de supprimer la possibilité pour une femme d’accoucher dans l’anonymat, accouchement dit sous X, tout en maintenant la possibilité d’accoucher dans le secret, l’Académie nationale de médecine confirme sa position déjà émise à deux reprises en 2000 (Bull. Acad. Natle Med., 2000, 184, 815-821) et 2006 (Bull. Acad. Natle Méd., 2006, 190, 1809-1825).

Voir en ligne : Roger HENRION

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À quoi sert ce comprimé d’iode ?

De la conception des centrales à leur exploitation, tout est mis en œuvre pour garantir une sécurité maximale. Même si il est peu probable, le risque d’un accident nucléaire doit être pris en compte. La prise d’iode stable (iodure de potassium), associée à la mise à l’abri, est un moyen de protéger efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient intervenir en cas d’accident nucléaire

Voir en ligne : www.distribution-iode.com.

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Aborder l’altitude en toute sécurité. Prévention du mal aigu des montagnes et des œdèmes d’altitude

Monsieur X se rend avec son épouse, hypertendue, et ses enfants pour un trek en Hima- laya, où il atterrit à 3500 m. Monsieur Y n’a qu’un gros w-e pour gravir le Mont- Blanc et prévoit donc de dormir au refuge à 3600 m dès le lendemain de son arri- vée à Chamonix. Ces personnes ne risquent-elles pas de souffrir de troubles de l’acclimatation à l’altitude, voire de certaines complications ? Que leur conseiller ? Que prescrire le cas échéant ?

Voir en ligne : medecineshare.com


Accès au dossier médical et aux informations de santé : les cas particuliers

Cette fiche se propose d’approfondir les situations plus particulières que constituent les demandes concernant le dossier médical des mineurs, des majeurs protégés, des personnes hospitalisées sous contrainte et des personnes décédées.

Voir en ligne : CISS - Collectif Interassociatif Sur la Santé

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Accident ischémique transitoire – une urgence médicale !

Un accident ischémique transitoire (AIT) se définit par un trouble neurologique fonctionnel de survenue aiguë, causé par une ischémie focale cérébrale, médullaire ou rétinienne, sans signe d’infarcissement à l’imagerie.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Accident vasculaire cérébral

L’objectif de ce guide est d’expliciter, pour les professionnels de santé, la prise en charge optimale et le parcours de soins des patients admis en ALD au titre de l’ALD 1 : accident vasculaire cérébral (AVC). Ce guide médecin est accompagné d’un guide à l’attention des patients, destiné à être remis par le médecin traitant et pouvant constituer un support de dialogue.

Voir en ligne : Guide HAS

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Accident vasculaire cérébral : prise en charge précoce

L’AVC est une urgence absolue
Tout déficit neurologique brutal transitoire ou prolongé impose l’appel immédiat du Samu Centre 15
Le médecin régulateur doit proposer en priorité tout patient ayant des signes évocateurs d’un AVC à une UNV
Les patients ayant des signes évocateurs d’un AVC doivent avoir très rapidement une imagerie cérébrale, autant que possible par IRM
Après avis neuro-vasculaire et si elle est indiquée, la thrombolyse doit être effectuée le plus tôt possible

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Accidents collectifs, attentats, catastrophes naturelles : Conduite à tenir pour les professionnels de santé

La recrudescence des sinistres faisant de nombreuses victimes en France impose dorénavant l’élaboration d’une organisation nationale pour dispenser des soins de qualité dans les plus brefs délais. L’alerte et la mise en jeu d’une organisation des secours doivent être déclenchées devant tout sinistre pouvant entraîner au moins dix blessés dans la région concernée. L’organisation permet une aide médicale urgente aux victimes, en coordination avec les sapeurs-pompiers et les services de police, que le plan Orsec soit mis en action ou non. Ce dossier est destiné avant tout aux professionnels de santé pouvant être amenés à participer à la prise en charge des victimes.

Voir en ligne : Direction Générale de la Santé, bureau SD6D

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Accidents d’exposition au risque de transmission du vih

Le risque lié à une exposition au VIH peut conduire à la prescription d’un traitement antirétroviral après exposition, ou traitement prophylactique. Au moment où le traitement prophylactique se discute, dans les heures suivant l’exposition, le risque de contamination est potentiel. Le traitement proposé au vu de l’évaluation de ce risque doit durer un mois. Le traitement après exposition au VIH se distingue du traitement de la primo-infection, dont l’indication est discutée sur la présence des marqueurs virologiques.

Voir en ligne : sante.gouv.fr

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Accidents de la route, des handicaps et des décès évitables

Problème de transport au premier abord, les accidents de la route constituent également un problème de santé publique : de santé par ses conséquences humaines, de santé publique car tout le monde utilise la route et risque sa santé et sa vie quotidiennement.

Voir en ligne : ADSP

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Accidents vasculaires cérébraux ischémiques

Le diagnostic positif d’accident ischémique repose :

  • sur des critères cliniques : déficit focalisé d’apparition brutale, rapidement maximal ;
  • sur des critères tomodensitométriques (Scanner) : absence de sang sur l’examen tomodensitométrique sans produit de contraste pratiqué dans les premières heures.

Voir en ligne : A. BONAFE, C. MANELFE - Hopital Purpan - Toulouse A. de KERSAINT GILLY - Hopital Laennec - Nantes

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Accompagner le choix de l’allaitement maternel

Le dossier central de ce numéro est consacré à l’allaitement maternel : une quinzaine d’experts dressent un état des connaissances et des pratiques : approche sociologique de l’allaitement maternel, situation en France, bénéfices de l’allaitement pour la santé de l’enfant, rôle des professionnels dans l’accompagnement du choix de l’allaitement pour les mères

Voir en ligne : INPES Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé

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Acide folique avant le début d’une grossesse : une complémentation utile à votre bébé

Les " anomalies de fermeture du tube neural " (aussi connues sous le nom de spina bifida) sont parmi les plus fréquentes des malformations observées chez le nouveau-né (environ une naissance sur 1000) : elles se traduisent par des malformations de la partie basse de la moelle épinière, associées parfois à des anomalies neurologiques, voire à une véritable paraplégie (paralysie des membres inférieurs), et à des anomalies de développement des membres inférieurs.

Or une importante proportion de ces malformations est liée à un manque de vitamine B9 (acide folique), au cours des premières semaines du développement embryonnaire. Plusieurs études ont montré qu’une supplémentation en acide folique prise par la future maman dans cette période, réduit considérablement la fréquence de cette malformation.

Voir en ligne : SFTG Paris-Nord Société de Formation Thérapeutique du Généraliste

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Acné : un microbe dans la peau, mais pas seulement

Maladie du follicule pilosébacé, l’acné touche en France environ 15 millions de personnes : majoritairement des adolescents, mais aussi près de 20% des femmes adultes.

Voir en ligne : http://dermato-info.fr/Acne/Comprendre

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Acrosyndromes vasculaires

La vasomotricité cutanée présente une réactivité particulière au niveau des extrémités des membres, du fait de son rôle d’effecteur de la thermorégulation. C’est à ce niveau que s’expriment cliniquement les troubles vasomoteurs - avec ou sans lésion vasculaire anatomique -, que l’on regroupe sous le terme d’acrosyndromes vasculaires.

Voir en ligne : P. Carpentier - Faculté de Médecine de Grenoble

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Actions à mettre en œuvre au niveau local pour prévenir et faire face aux conséquences sanitaires propres à la période hivernale

Recommandations pour détecter, prévenir et maîtriser les conséquences sanitaires des pathologies hivernales et infectieuses, ainsi que l’impact sanitaire d’une vague de froid, et faire face à d’éventuels pics d’activité, en optimisant l’organisation de l’offre de soins, notamment en périodes de congés.

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Sports

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Activité de la grippe en Suisse : situation actuelle

L’évaluation épidémiologique de l’activité grippale saisonnière est basée sur les déclarations hebdomadaires de suspicion d’influenza transmises par les médecins Sentinella, sur les frottis pharyngés prélevés sur une partie des patients pris en charge par les médecins Sentinella déclarants ? frottis analysés au Centre National Influenza (CNI), à Genève ? et sur la déclaration obligatoire de confirmations de laboratoires. Les typisations effectuées par le CNI en collaboration avec le système de déclaration Sentinella permettent un suivi continu et détaillé des virus grippaux circulant en Suisse.

Voir en ligne : Centre National de Référence de l’Influenza

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Activité physique et obésité de l’enfant. Bases pour une prescription adaptée

L’augmentation de la fréquence de surpoids et d’obésité chez l’enfant est devenue une préoccupation importante pour les politiques de santé publique, en France comme en Europe et dans le monde. En France, selon les références utilisées, environ 16 à 18 % des enfants de 7 à 9 ans présentent un surpoids, dont 3 à 4 % sont obèses. Prévenir, dépister, prendre en charge : le triptyque qui constitue l’activité quotidienne du médecin s’applique particulièrement à cette pathologie.

Voir en ligne : Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports français

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Actualisation de la posologie des vaccins pandémiques contre la grippe A(H1N1)2009 actuellement disponibles en France - 11 décembre 2009

Suite à l’avis de l’Agence européenne des médicaments concernant les modifications apportées au résumé des caractéristiques du vaccin pandémique contre la grippe A(H1N1)2009 Pandemrix® en date du 3 décembre 2009, le Haut Conseil de la santé publique a actualisé ses recommandations concernant la posologie et l’utilisation des vaccins pandémiques :

Voir en ligne : Haut Conseil de la santé publique

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Actualisation de la revue de la littérature d’une recommandation en santé publique sur la « Détection précoce du mélanome cutané »

La HAS et l’INCa se sont associés dans un travail d’actualisation de la littérature faisant suite au rapport HAS 2006 sur la Détection précoce du mélanome cutané et des enquêtes de pratique auprès des professionnels de santé afin de redéfinir les facteurs de risque de mélanome cutané et le parcours de soins optimal pour la détection précoce de ce cancer cutané.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Actualisation de l’avis relatif aux recommandations sur les priorités sanitaires d’utilisation des vaccins pandémiques dirigés contre le virus grippal A(H1N1)v

Il est rappelé que l’objectif principal actuel de la vaccination contre la grippe pandémique A(H1N1)2009 est la réduction du risque de formes graves et de décès. Néanmoins la maîtrise de la dynamique épidémique reste souhaitable. Le Haut Conseil de la santé publique rappelle que toutes les personnes qui désirent être vaccinées devraient pouvoir l’être in fine. Toutefois, la balance bénéfice-risque de la vaccination doit faire l’objet de réévaluations fréquentes.

Voir en ligne : HCSP Haut Comité de la santé publique

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Actualisation de l’utilisation des vaccins pandémiques contre la grippe A(H1N1) - 27 novembre 2009

Suite à l’autorisation de mise sur le marché du vaccin pandémique A(H1N1) 2009 Panenza® le 16 novembre 2009 et à l’avis de l’Agence européenne du médicament (EMEA) en date du 19 novembre 2009, réaffirmant l’efficacité et la sécurité des vaccins pandémiques A(H1N1) 2009, le Haut Conseil actualise son avis du 28 octobre 2009.

Voir en ligne : Haut Conseil de la santé publique

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Actualisation des recommandations concernant les prothèses mammaires

A la suite d’un décès dû à un lymphome chez une femme porteuse d’implant mammaire produit par la société Poly Implant Prothèse (PIP), l’Afssaps actualise ses recommandations aux patientes et aux professionnels de santé, en lien avec la Direction générale de la santé et la Direction générale de l’offre de soins.
Pour répondre aux interrogations sur ce sujet, les autorités sanitaires rappellent qu’un numéro vert a été mis en place : N° : 0800 636 636 (Ouverture du lundi au samedi de 9h00/19h00)
voir aussi : Actualisation des recommandations pour les femmes porteuses de prothèses mammaires Poly Implant Prothèse (PIP) (Ministre du travail, de l’emploi et de la santé)

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Voir en ligne : Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé)

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Actualisation des recommandations pour les femmes porteuses de prothèses mammaires Poly Implant Prothèse (PIP) - 23 décembre 2011

Xavier BERTRAND, Ministre du travail, de l’emploi et de la santé, et Nora BERRA, Secrétaire d’Etat chargée de la Santé, actualisent les recommandations de prise en charge des femmes porteuses de prothèses PIP. A titre préventif et sans caractère d’urgence, ils souhaitent que l’explantation des prothèses, même sans signe clinique de détérioration de l’implant, soit proposée aux femmes concernées.

Voir en ligne : >Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé (Secteur Santé)

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Actualisation des recommandations pour les femmes porteuses de prothèses mammaires Poly Implant Prothèse (PIP) - 23 décembre 2011

Xavier BERTRAND, Ministre du travail, de l’emploi et de la santé, et Nora BERRA, Secrétaire d’Etat chargée de la Santé, actualisent les recommandations de prise en charge des femmes porteuses de prothèses PIP. A titre préventif et sans caractère d’urgence, ils souhaitent que l’explantation des prothèses, même sans signe clinique de détérioration de l’implant, soit proposée aux femmes concernées.

Voir en ligne : Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé (Secteur Santé)

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Actualisation du rapport sur les anticoagulants en France : Etat des lieux en 2014 et recommandations de surveillance

En 2013, environ 3 millions de personnes ont reçu au moins un médicament anticoagulant. Leur utilisation, qui concerne une population de plus en plus large, souvent âgée et fragile, est associée à un risque d’accidents hémorragiques dont la prévention et la prise en charge constituent un enjeu majeur de santé publique.

Voir en ligne : ANSM - Sécurité sanitaire des produits de santé

Sujets associés


Adaptations de la prise en charge de l’arrêt du tabac avec l’arrivée de la cigarette électronique ?

Réunis à l’initiative de l’OFT, dix experts de l’aide à l’arrêt du tabac ont travaillé depuis janvier pour aboutir progressivement à un consensus sur la conduite pratique à tenir par les professionnels de santé (impliqués ou non dans la prise en charge des fumeurs avec les méthodes validées – thérapies comportementales et cognitives, substituts nicotiniques et médicaments de prescription pour l’arrêt du tabac

Voir en ligne : OFT - Office Français de prévention du Tabagisme

Sujets associés


Adaptations des recommandations pour la pratique clinique

Devant le nombre croissant de publications scientifiques, les praticiens utilisent de plus en plus des synthèses scientifiques, dont les Recommandations pour la pratique clinique (RPC). L’application en pratique d’une RPC implique de tenir compte de deux contextes : celui du système sanitaire local et celui du patient. Les RPC ne pourront jamais remplacer l’expertise du médecin ! Le diabète représente un enjeu de santé publique et le canton de Vaud a mis sur pied le Programme cantonal Diabète (PcD), afin d’optimiser les soins aux patients diabétiques. Le PcD comporte de nombreux projets dont celui d’adapter des RPC de qualité aux besoins locaux. Nous présentons ici les avantages et limites des RPC dans le cadre du PcD ainsi que les méthodes d’adaptation tant au contexte sanitaire régional qu’à un individu donné.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

Sujets associés


Adénome de la prostate

Encore appelée hypertrophie ou hyperplasie de la prostate, cette tumeur bénigne, d’une extrême fréquence, peut être parfois responsable de complications graves : rétention d’urine et insuffisance rénale.
Encore appelée hypertrophie ou hyperplasie de la prostate, cette tumeur bénigne, d’une extrême fréquence, peut être parfois responsable de complications graves : rétention d’urine et insuffisance rénale.

Voir en ligne : Par François Pernin | Chirurgien urologue - Centre Hospitalier - Ajaccio - France.

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AFC - Association Française pour la Contraception

différentes méthodes de contraception (pilule, méthodes hormonales, stérilet, contraceptions d’urgence, préservatifs, méthodes naturelles) [France ]

Voir en ligne : contraceptions.org

Sujets associés


Agence européenne des médicaments mise à jour sur les contraceptifs combinés

L’Agence européenne des médicaments émet cette mise à jour en réponse à la croissance des reportages des médias sur les contraceptifs combinés et thrombo-embolie veineuse (caillots sanguins dans les veines). Il est bien établi que les contraceptifs combinés comportent un risque très rare de caillots de sang, et que le risque varie selon les types de contraceptifs combinés. Ces produits sont constamment et rigoureusement maintenu sous étroite surveillance. Il n’existe actuellement aucun nouvel élément de preuve qui indiquerait un changement au profil d’innocuité connu de tous les contraceptifs combinés commercialisés aujourd’hui. Par conséquent, il n’y a aucune raison pour une femme de cesser d’utiliser sa contraception.

Voir en ligne : Agence européenne du médicament

Sujets associés


Agents de la menace biologique

La liste suivante présente les principaux agents de la menace biologique. Vous trouverez pour chacun de ces agents une description de l’agent pathogène, les modes de contamination possibles, comment faire le diagnostic, les mesures de protection de santé publique, et la prise en charge médicale. Les dossiers décrivent l’état des connaissances scientifiques à leur date de rédaction.

Voir en ligne : Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports [français]

Sujets associés


Agine de poitrine

L’angine est une douleur dans la poitrine qui survient lorsque la circulation du sang dans une artère coronaire (artères nourricières du cœur) est insuffisante. En général, la douleur apparaît à l’effort et disparaît au repos en quelques minutes : c’est ce qu’on appelle l’angine à l’effort.

Voir en ligne : Guide Santé du gouvernement Québécois

Sujets associés


Agir comme médecin du travail face aux suicides professionnels

"le rôle du travail fortement sous évalué . Habituellement, on envisage un lien entre suicide et travail lorsque l’acte survient sur les lieux de travail et que l’auteur y laisse également une explication. Sur cette base, le nombre de cas, en France, s’élèverait à 500 suicides par an.

Voir en ligne : Dominique HUEZ, médecin du travail - A-SMT - Association Santé et Médecine du Travail

Sujets associés


Aide-mémoire : la tuberculose

Mode de transmission et histoire naturelle de la maladie
Symptômes et diagnostic
Traitement
Prévention et vaccination
Epidémiologie de la tuberculose

Voir en ligne : InVS Institut de veille sanitaire

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Air extérieur, air intérieur et santé

Malgré la réduction globale de la pollution atmosphérique, à l’exception du dioxyde de carbone, il y a consensus parmi les scientifiques pour admettre qu’il demeure une relation statistique plausible, entre les différents constituants de la pollution atmosphérique d’une part, et certaines maladies respiratoires et cardio-vasculaires à court et long terme d’autre part... Les conséquences sanitaires possibles de l’exposition aux polluants de l’air intérieur constituent un problème émergent.

Voir en ligne : Académie de médecine

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Alain Fischer, que savons-nous sur notre système immunitaire ?

Demain, votre médecin vous prescrira peut-être une analyse de votre virome, c’est à dire une détection systématique des virus présents dans votre plasma sanguin. Cette analyse servira à établir l’état de santé de votre système immunitaire. Un nouveau critère d’évaluation du potentiel de notre organisme à résister aux agressions extérieures par des bactéries ou des virus. Car le système immunitaire joue un rôle essentiel dans l’aptitude de notre corps à rester en bonne santé. Sans lui, pas de survie possible.

Voir en ligne : France Culture

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Albiom : Alsace biologie médicale

Percevoir en un seul regard l’évolution d’un taux de cholestérol sur la dernière année, être alerté au sujet d’un résultat anormal, comparer et croiser des résultats de biologie… Ces fonctionnalités sont au cœur du projet Albiom (Alsace biologie médicale). Albiom, mené par Alsace e-santé avec les laboratoires, les établissements et les professionnels libéraux, a pour but de permettre au patient, et à son médecin, de visualiser en ligne l’historique de ses résultats d’examens de biologie médicale, quelle que soit leur origine (structure hospitalière ou privée).

Voir en ligne : Alsace e-santé

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Alcool et santé : bilan et perspectives

La consommation d’alcool diminue régulièrement en France, cependant la proportion de personnes en difficulté avec l’alcool reste stable à 10 % de la population adulte. L’addiction à l’alcool est une maladie chronique et hautement récidivante en dépit des traitements, notamment en cas d’association avec un terrain anxieux ou dépressif. Elle entraîne de nombreuses complications hépatiques, cardiovasculaires et neurologiques ainsi que des cancers. L’étude de facteurs prédictifs ou de vulnérabilité à la dépendance est en cours pour améliorer sa prise en charge.
Dossier réalisé en collaboration avec le Pr Mickaël NAASSILA, Directeur de l’équipe Inserm ERI 24 Groupe de Recherche sur l’Alcool & les Pharmacodépendances (GRAP).

Voir en ligne : INSERM

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Alcoolisme : former les entourages des buveurs excessifs

Les malades alcooliques, alcoolo-dépendants, sont réputés peu observants et indisciplinés. Si on sait qu’ à 1 an, en structures institutionnelles, 45 à 80 % sont perdus de vue, on connaît mal le suivi ambulatoire. L’objectif de cette analyse a été d’évaluer le suivi d’alcooliques et leur assiduité, à moyen terme, dans un secteur d’activité mal connu, celui de consultations spécifiques d’alcoologie en cabinet de médecine générale. Seuls 17,8 % des patients sont perdus de vue à 2 ans. Cette étude montre en outre qu’une pratique alcoologique " de ville " est pertinente et économique.

Voir en ligne : www.parlersante.fr/

Sujets associés


Alerte à l’hantavirus en Californie

10.000 personnes pourraient avoir été en contact avec ce virus mortel, véhiculé par des souris, lors de leur séjour dans le parc américain de Yosemite. Six personnes ont contracté la maladie, deux en sont mortes. C’est une vague d’infections sans précédent dans un même endroit. Au moins six cas de syndrome pulmonaire à hantavirus (SPH), une maladie véhiculée par la salive ou les excréments de souris, ont été détectés aux États-Unis chez des touristes ayant séjourné dans un camping du Parc national de Yosemite, en Californie.

Voir en ligne : Le Figaro

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Algies faciales typiques et atypiques : du diagnostic au traitement

La douleur faciale est un symptôme fréquent dont l’étiologie est parfois difficile à identifier. Bien que l’interrogatoire et l’examen clinique permettent facilement le diagnostic de certaines entités cliniques bien définies (névralgie faciale, neuropathie faciale, algie vasculaire), un grand nombre d’affections de la face (sinusites, odontalgies, dysfonctionnement temporomandibulaire) peuvent emprunter certains symptômes de ces grands tableaux expliquant les difficultés diagnostiqu

Voir en ligne : M. Naveza, , , C. Créac’h, M. Koenig, P. Cathébras and B. Laurenta

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Algodystrophie de la main ou "syndrome douloureux régional complexe de type 1"

L’algodystrophie est une complication imprévisible qui peut survenir après n’importe quel traumatisme de la main ou du poignet, même mineur, et après n’importe quelle intervention chirurgicale sur la main, même mineure. Sa fréquence de survenue après une intervention chirurgicale, mal connue, est très variable ; ainsi, après une intervention pour maladie de Dupuytren, elle est estimée à 10% des cas chez l’homme, et 30% des cas chez la femme.

Voir en ligne : M. Revol, J.M. Servant Hôpital Saint-Louis

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Algodystrophie sympathiques réflexes

Un syndrome articulaire localisé associant des douleurs, des signes pseudo-inflammatoires et une ostéoporose et témoignant d’une réaction vaso-motrice et trophique locale de nature réflexe, sous la dépendance du sympathique, en réponse le plus souvent à une agression locale.

Voir en ligne : Pr. J.L. KUNTZ

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Algodystrophie, Algoneurodystrophie ou SDRC

Ce syndrome associe des douleurs d’une articulation ou d’une extrémité, responsables d’une impotence ; des troubles trophiques avec troubles vaso-moteurs et apparition retardée d’une déminéralisation de la croissance osseuse ; une fréquente migration à d’autres localisations. On distingue deux grands types d’algodystrophie, la forme post-traumatique (algodystrophie sympathique réflexe), (notamment) fréquente aux extrémités (mains, pieds) où la déminéralisation de la croissance osseuse est typiquement mouchetée et l’algodystrophie médicale (ostéoporose transitoire) dont le prototype est l’algodystrophie de la hanche et qui se manifeste sur les radiographies par une fragilisation du tissu osseux homogène.

Voir en ligne : Par AFMASA, Association Française des Malades Atteints du Syndrome d’Algodystrophie

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Alimentation saine. Recommandations du Guide alimentaire canadien

Une saine alimentation joue un rôle important dans la promotion de la santé et dans la réduction des risques de maladies chroniques. Les aliments nourrissent le corps et procurent l’énergie quotidienne nécessaire pour maintenir un mode de vie sain et actif. Une saine alimentation est à la base d’une bonne santé et un élément clé du développement humain sain, depuis la période prénatale jusqu’au troisième âge. En suivant les recommandations du Guide alimentaire canadien quant aux quantités et aux types d’aliments à consommer, vous pouvez combler vos besoins nutritionnels, réduire le risque de maladies chroniques et atteindre un état de santé globale et de bien-être.

Voir en ligne : Santé Canada

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Alimentation, nutrition et cancer : vérités, hypothèses et idées fausses

La nutrition est un déterminant majeur de l’état de santé. Il y a encore peu, cette dimension de santé publique était conçue en référence aux carences graves conduisant à divers types de malnutrition sévères, qui demeurent beaucoup trop fréquentes dans le monde. Les certitudes scientifiques aboutissant à des recommandations alimentaires et nutritionnelles de Santé Publique pour la prévention des cancers.
lire aussi : http://www.lequotidiendumedecin.fr/...

Voir en ligne : Programme national nutritionsanté (PNNS)

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Aliments et boissons allégés : qu’en penser ?

Les aliments et boissons allégés se multiplient sur le marché depuis de nombreuses années, tout d’abord pour des raisons économiques puis, de plus en plus esthétiques, sans cependant viser clairement de population définie. L’intérêt de ces produits n’est pas évident, raison pour laquelle il est difficile de s’en faire une opinion claire et objective sans être influencé par les messages marketing. Dans quelles circonstances peuvent-ils être une solution ? Pouvons-nous les conseiller ? Ont-ils une influence dans la perte ou le contrôle du poids ? Cet article propose quelques réflexions et suggestions quant à l’utilisation de ces produits spécifiques.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Allergie à l’ambroisie en août et septembre

L’ambroisie, dont le pollen provoque des réactions allergiques, est particulièrement active aux mois d’août et septembre dans la région Rhône-Alpes et les régions limitrophes. Les symptômes de l’allergie à l’ambroisie sont : rhinite (nez qui coule, qui démange, éternuements), conjonctivite (yeux rouges, irrités, gonflés) et dans 50% des cas, des symptômes respiratoires de gravité variable : trachéite (toux sèche) mais aussi asthme. Certaines personnes peuvent déclencher également des atteintes cutanées telles qu’urticaire ou eczéma.

Voir en ligne : DGS

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Allergie à la pénicilline, une affaire de gènes

Les allergies aux bêta-lactamines, en particulier la pénicilline, sont liées à une susceptibilité génétique qui modifie la reconnaissance de l’antibiotique par les cellules immunitaires. Cette découverte ouvre la voie à la recherche de marqueurs génétiques de prédiction et à l’utilisation d’antibiotiques adaptés chez les personnes allergiques aux pénicillines.

Voir en ligne : INSERM

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Allergie aux venins d’hyménoptères (guêpes et abeilles) : nouveautés diagnostiques et prise en charge

Les réactions anaphylactiques aux venins d’hyménoptères sont fréquentes et, sous nos latitudes, concernent essentiellement les piqûres de guêpes et d’abeilles. Ces dernières années, les techniques de biologie moléculaire ont permis d’identifier et de séquencer les principaux composants des venins d’insectes et de produire les allergènes recombinants correspondants. Des tests permettant la détection d’IgE spécifiques dirigées contre ces allergènes recombinants sont depuis peu disponibles en routine clinique. Ils apportent une aide considérable dans la détermination de l’hyménoptère responsable d’une réaction anaphylactique, notamment lorsque les tests standards sont doublement positifs, à la fois pour la guêpe et l’abeille.

Voir en ligne : Revue médicale suisse

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Allergie aux β-lactamines

Les allergies aux antibiotiques à base d’un anneau β-lactame sont fréquentes. Cinq à 10% des patients décrivent un antécédent d’allergie à la pénicilline. Or seuls 10 à 15% de ces individus sont réellement allergiques à ce médicament. Ces patients seront dans la majorité des cas privés de tout antibiotique appartenant aux β-lactamines, au profit de quinolones notamment. Cet excès de prudence a un impact sur le coût des traitements mais aussi sur l’émergence de résistances des microorganismes. Un bilan allergologique qui comprend une anamnèse précise, des tests cutanés et parfois des tests de provocation permet dans la majorité des cas d’éclaircir la situation. Même en cas d’allergie avérée à un type de β-lactame, la plupart des patients pourront tolérer d’autres antibiotiques appartenant à cette famille. Cet article décrit l’attitude à adopter face à un antécédent anamnestique ou avéré d’allergie à une β-lactamine.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Allopurinol et risques de survenue d’atteintes cutanées graves : rappels des précautions d’emploi et des règles de bon usage

L’allopurinol (inhibiteur de la xanthine oxydase) est notamment indiqué dans le traitement des hyperuricémies symptomatiques et dans le traitement de la goutte. Il s’agit d’un produit ancien, commercialisé depuis plus de 40 ans. Il est connu comme étant la première cause de toxidermies bulleuses graves en Europe et l’un des premiers pourvoyeurs de syndromes d’hypersensibilité médicamenteuse (DRESS - drug rash with eosinophilia and systemic symptoms).

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

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Alzheimer : des chercheurs israéliens ont découvert un processus qui retarde le développement de la maladie

Des chercheurs de l’université de Tel-Aviv ont identifié un processus biologique qui freine le développement de la maladie d’Alzheimer, et nourrissent l’espoir de développer un médicament pour son traitement. On savait que la stimulation de l’activité cérébrale et physique est susceptible de ralentir le développement de la maladie d’Alzheimer. Des chercheurs de l’université de Tel-Aviv, en collaboration avec celle de Bar-Ilan, ont découvert l’origine biologique de ce phénomène, ouvrant la voie au diagnostic précoce de la maladie

Voir en ligne : Siliconwadi.fr

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Alzheimer : pourquoi les femmes sont plus touchées...

Une importante étude menée sous la direction du Prof. Ilana Gozes, de l’Ecole des neurosciences de l’Université de Tel-Aviv, titulaire de la chaire de recherche sur les facteurs de croissance et responsable du laboratoire de neuro-endocrinologie moléculaire de la Faculté de médecine de l’Université, révèle que l’action d’un gène spécifique, essentiel pour le développement du cerveau, provoque des tendances différentes entre les sexes dans les pathologies d’origine cérébrale, comme l’autisme et la maladie d’Alzheimer. Selon les chercheurs l’impact différent de ce gène chez les hommes et chez les femmes, explique pourquoi l’autisme est trois fois plus répandu chez les garçons que chez les filles, et le pourcentage de femmes plus élevé que celui des hommes parmi les patients atteints d’Alzheimer....

Voir en ligne : Siliconwadi.fr

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Alzheimer et les benzodiazépines

Début octobre, le scoop du magazine Sciences et Avenir jette l’effroi en pointant du doigt une famille d’anxiolytiques et de somnifères, les benzodiazépines, comme responsable de la survenue chaque année de 16 000 à 31 000 nouveaux cas d’Alzheimer en France. Doit-on alors envisager une interdiction des benzodiazépines ? s’interroge la Cité des Sciences et de l’Industrie dans un communiqué

Voir en ligne : Fédération Hospitalière de France

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ALZHEIMER Quels traitements non médicamenteux ?

La prise en charge non médicameteuse concerne à la fois la rééducation et la prise en charge de la personne atteinte dans son environnement et sa vie quotidienne. La pratique d’un entretien et d’une rééducation motrice par un kinésithérapeute est essentielle pour préserver l’autonomie. Elle est complétée pat des activités physiques réalisées en groupe et dont le bénéficie a été démontré sur le ralentissement de la perte d’autonomie.

Voir en ligne : Le Figaro Santé

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Amiante

L’amiante a été utilisée dans de nombreux matériaux et produits en raison de ses propriétés d’isolation acoustique, thermique, et de résistance à la chaleur. Cependant, ses effets sur la santé ont conduit à un contrôle et à une limitation progressive de son usage, et à des dispositions de protection des personnes exposées. Au 1er janvier 1997, l’usage de l’amiante a été interdit en France. Ce dossier regroupe des informations sur l’amiante et ses effets sur la santé. Une large part est consacrée aux obligations des propriétaires de certains immeubles bâtis qui doivent réaliser des repérages des matériaux amiantés et, le cas échéant, des travaux de désamiantage.

Voir en ligne : DGS Direction générale de la santé

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AMUHF Association des Médecins Urgentistes Hospitaliers de France

Voir en ligne : amuhf.com/

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Amygdalite (pharyngite)

L’amygdalite (ou pharyngite) est une infection très douloureuse de la gorge. Les amygdales sont deux gros bourgeons charnus qui se trouvent de chaque côté du fond de la gorge. Lorsqu’elles sont infectées, il devient très douloureux d’avaler, au point que les personnes atteintes doivent parfois cracher leur salive.

Voir en ligne : Guide Santé du gouvernement Québécois

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Amylose

L’amylose est un vaste groupe de maladies diagnostiquées histologiquement par la présence de dépôts protéiques insolubles dans les tissus. La classification des amyloses repose sur un éventail de signes cliniques et sur la nature biochimique de la protéine amyloïde impliquée dans la formation des dépôts. La grande majorité des amyloses sont des maladies multisystémiques et méritent souvent le qualificatif de généralisée ou diffuse. Les principaux organes concernés sont le rein, le coeur, le tube digestif, le foie, la peau, le nerf périphérique, l’oeil et en définitive, la quasi totalité des organes. L’évolution est le plus souvent sévère, avec destruction des organes atteints.

Voir en ligne : Pr Grateau G - CHU, Hôtel-Dieu, service de médecine interne

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Amyloses

physiopathologie, manifestations cliniques, atteintes et manifestations, causes, critères diagnostiques, évolution, pronostic, traitement

Voir en ligne : Pr Hachulla E - Faculté de Médecine Henri-Warembourg (Lille)

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Analyse critique et commentaire du rapport de L’INSERM sur la Migraine

Différencier mal de tête et migraine, insister sur le fait que les examens(scanner, IRM cérébral…) sont inutiles dans le diagnostic de la migraine, informer les malades que des traitements efficaces existent, arrêter la confusion fâcheuse entre facteurs déclenchants et cause de la maladie, donner plus d’importance à la migraine dans la formation des médecins, développer des recherches pour comprendre l’origine de la migraine et les mécanismes qui conduisent aux crises, et développer l’approche socio-économique du problème, telles sont les principales conclusions du rapport d’Expertise collective « Migraine ».

Voir en ligne : INSERM (Institut National de la Santé et de Recherche Médicale)

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Anémies du nourrisson et du grand enfant

1. Interpréter une numération formule sanguine et un myélogramme en fonction de l’âge. 2. Décrire la conduite de l’examen clinique chez un nourrisson pâle. 3. Enumérer les facteurs favorisant la survenue d’une anémie ferriprive du nourrisson. 4. Enumérer et interpréter les examens de laboratoire nécessaires pour confirmer une anémie par carence martiale. 5. Rédiger l’ordonnance du traitement d’une anémie ferriprive chez un nourrisson. 6. Enumérer les signes cliniques et biologiques d’hémolyse.7. Citer les causes d’anémie hémolytique acquise chez l’enfant. 8. Donner les signes cliniques et biologiques de la maladie de Minkowski-Chauffard et sa thérapeutique. 9. Donner les éléments anamnestiques, cliniques et biologiques de l’hémoglobinose S. 10. Donner les éléments anamnestiques, cliniques et biologiques de la thalassémie.

Voir en ligne : E. Le Gall | Institut Mère-Enfant, annexe pédiatrique, Hôpital sud, Rennes

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Anémies macrocytaires et carences en vitamine.

anémie macrocytaire, conduite à tenir - vitamine B12 et folates : carences, dosages ... - vitamine B12 et folates : indications, posologie et mode d’administration

Voir en ligne : Université de Rouen, Faculté de Médecine-Pharmacie France

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Anévrisme cérébral

L’anévrisme cérébral est une faiblesse de la paroi d’un vaisseau sanguin (artère) dans le cerveau, ce qui entraîne la dilatation de ce vaisseau. Avec le temps, cette dilatation cause l’étirement et l’amincissement de la paroi de l’artère. Les anévrismes peuvent se former dans différentes parties du corps, mais l’anévrisme cérébral se produit dans la tête, dans une artère qui alimente le cerveau en sang

Voir en ligne : Université McGill - Québec

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Anévrisme de l’aorte abdominale

1. Qu’est-ce que l’aorte ? 2. Qu’est-ce qu’un anévrisme de l’aorte ? 3. Evolution naturelle de l’anévrisme de l’aorte 4. Les origines 5. Les circonstances de découverte 6. Les examens diagnostiques 7. Le traitement

Voir en ligne : Service de Chirurgie Thoracique du Centre Hospitalier Universitaire Vaudois

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Anevrismes de l’aorte abdominale sous-rénale

Par définition, c’est la perte du parallélisme des bords d’un segment aortique déterminé. Ceci recouvre en fait deux types d’anévrismes bien différents :

  • les anévrismes "vrais"
  • les "faux" anévrismes

Voir en ligne : Pr. C. Rioux - Service de chirurgie thoracique et cardio-vasculaire - CHU de Rennes

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Anévrismes de l’aorte abdominale en France : proposer un dépistage ciblé opportuniste unique chez les hommes présentant des facteurs de risque

La Haute Autorité de Santé (HAS) a évalué la pertinence de la mise en place d’un programme de dépistage des anévrismes de l’aorte abdominale sous-rénale (AAA). La prise en charge et les traitements des AAA réduisant la mortalité liée à l’anévrisme à moyen et long terme, la HAS préconise la mise en place d’un dépistage ciblé opportuniste unique* par écho-doppler chez les personnes à risque. Le médecin le proposerait ainsi une fois aux hommes entre 65 et 75 ans fumeurs ou ayant été fumeurs ainsi qu’aux hommes entre 50 et 75 ans présentant des antécédents familiaux.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Anévrysme intracrânien

L’anévrisme est une anomalie de la paroi des vaisseaux caractérisée par la formation d’une bulle, résultant d’une faiblesse de la paroi de l’artère. Bien que l’anévrisme soit en règle général acquis, il est dans certaines situations associé à des maladies des tissus. Selon les différentes études, entre 2 à 4 % de la population sont porteurs d’un anévrisme cérébral. La découverte est soit fortuite, mais le plus souvent après une hémorragie qui se présente par des maux de tête exceptionnellement violents.

Voir en ligne : Centre Hospitalier Universitaire Vaudois Lausanne - Hospices - CHUV

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Angine - pharyngite aiguë

Ces recommandations concernent le diagnostic et le traitement de l’angine, appelée aussi pharyngite aiguë selon la terminologie anglo-saxone, à l’exclusion de toute pathologie chronique du pharynx. Les deux termes angine et pharyngite seront utilisés de façon équivalente dans le texte. Les recommandations (guidelines) énoncées concernent le cas du patient habituel, sans co-morbidités majeures. Elles ne peuvent pas prendre en considération tous les cas particuliers pour lesquels le médecin reste seul juge de l’attitude diagnostique et thérapeutique la plus appropriée.

Voir en ligne : conseil-scientifique.luxembourg

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Angine de poitrine

L’angine de poitrine n’est pas une maladie, mais un ensemble de symptômes qui se produisent quand le coeur ne reçoit pas suffisamment de sang. Le sang entre dans le coeur par deux artères appelées artères coronaires. Si elles rétrécissent au point que le sang ne peut plus atteindre le muscle cardiaque assez rapidement, le coeur souffre d’une douleur appelée angine de poitrine. Généralement, l’angine de poitrine est symptôme d’une insuffisance coronarienne. L’angine de poitrine est courante : elle affecte 1 personne sur 50. Elle est plus courante chez les personnes de plus de 50 ans, mais elle peut aussi affecter les jeunes.

Voir en ligne : NHS

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Angine de poitrine instable et syndromes coronariens aigus

L’angine de poitrine instable est une entité clinique à cheval entre l’angor stable et l’infarctus du myocarde constitué. Il s’agit par définition de l’ensemble des formes cliniques d’angine de poitrine pouvant évoluer à échéance de quelques heures ou quelques jours vers la constitution d’un infarctus du myocarde ou la survenue d’une mort subite. C’est une affection fréquente (plus de 200 000 cas hospitalisés par an en France), et une véritable urgence de prise en charge.

Voir en ligne : Professeur Jacques MACHECOURT

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Angine et rhinopharyngite chez l’enfant et l’adulte (consensus 2005)

D’après les recommandations de l’AFSSAPS (octobre 2005) en collaboration avec la HAS

Voir en ligne : AFSSAPS-HAS

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Angine ou pharyngite aiguë

60 à 90% des pharyngites ou angines sont d’origine virale. Seulement 25 à 40 % des pharyngites de l’enfant et 10 à 25% des pharyngites de l’adulte sont d’origine streptococcique, et nécessitent donc un traitement antibiotique.

Voir en ligne : Conseil Scientifique | L-1013 Luxembourg

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Angine streptococcique

L’angine streptococcique est l’infection bactérienne la plus répandue, responsable d’environ 15 % des maux de gorge diagnostiqués par les médecins. Elle est surtout courante chez les enfants, mais peut également toucher de nombreux adultes. On l’appelle angine « streptococcique », car elle est due aux bactéries appartenant à la classe des streptocoques du groupe A. On utilise parfois les initiales SGA, et certains médecins parlent d’infection de la gorge SGA.

Voir en ligne : canoe.com

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Angio-oedèmes (œdème de Quincke) : rarement d’origine allergique

L’angio-œdème (synonyme : œdème de Quincke) est un gonflement du derme, de l’hypoderme et/ou de la sous-muqueuse, de survenue aiguë et persistant jusqu’à 72 h. L’angio-œdème peut être associé à une urticaire.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Anorexie mentale

L’anorexie mentale est un trouble de l’alimentation qui affecte principalement les jeunes femmes. Les personnes souffrant d’anorexie ont une peur intense de prendre du poids et de perdre contrôle de la forme de leur corps.

Voir en ligne : NHS

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Anorexie mentale : prise en charge

Ces recommandations de bonne pratique ont pour objectif d’aider à : repérer plus précocement l’anorexie mentale ;

  • améliorer l’accompagnement du patient et de son entourage ;
  • améliorer la prise en charge et l’orientation initiale des patients ;
  • améliorer la prise en charge hospitalière lorsqu’elle est nécessaire et la prise en charge post-hospitalière.
    Sont concernés : les préadolescents, les adolescents et les jeunes adultes.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Anorexie ou boulimie

L’anorexie et la boulimie sont des désordres mentaux qui surviennent généralement à l’adolescence ou au début de l’âge adulte, plus fréquemment chez les femmes. L’anorexie et la boulimie peuvent tuer. Traiter l’anorexie et la boulimie dès le départ augmente les chances de guérison. La boulimie est beaucoup plus courante que l’anorexie. Certains hommes sont atteints d’anorexie ou, plus souvent, de boulimie. Toutefois, chez l’homme, la tendance à vouloir obtenir une musculature volumineuse à tout prix est plus fréquente que la recherche de la minceur.

Voir en ligne : Guide Santé du gouvernement Québécois

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Antennes de téléphonie mobile et santé publique : état des connaissances

Le réseau de la téléphonie mobile sans fil s’est considérablement développé au cours des dernières années. De nombreuses antennes émettrices-réceptrices sont érigées afin de permettre la transmission des informations sous forme de signaux entre les utilisateurs. La construction de ces antennes de téléphonie ou stations de base1 suscite certaines préoccupations auprès de la population quant au potentiel des risques à la santé liés aux radiofréquences émises par ces infrastructures.

Voir en ligne : Abdoulaye Diallo | Denis Gauvin | Institut national de santé publique du Québec

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Antibioprophylaxie de l’endocardite bactérienne

En avril 2007, l’American Heart Association (AHA) a publié une mise à jour des lignes directrices sur la prophylaxie de l’endocardite bactérienne. Ces lignes directrices de l’AHA diffèrent considérablement des précédentes, car beaucoup moins de patients sont ciblés pour la prophylaxie. Plus récemment, l’European Society of Cardiology (ESC) a aussi émis de nouvelles recommandations qui diffèrent de celles de l’AHA. Pour sa part, le National Institute for Health and Clinical Excellence (NICE) ne recommande plus aucune antibioprophylaxie. Même si ces trois associations présentent des positions assez différentes, toutes s’entendent pour dire que les données probantes en la matière sont peu nombreuses, que celles-ci reposent encore beaucoup sur des opinions d’experts et que la clientèle qui pourrait bénéficier d’une prophylaxie doit être restreinte.

Voir en ligne : INESSS - Institut national d’excellence en santé et en services sociaux

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Antibioprophylaxie pour les personnes ayant consommé un aliment contaminé par Listeria Monocytogenes ?

Avis du Conseil Supérieur d’Hygiène Publique de France (approuvé le 29 juin 1999) sur l’opportunité.
En raison de la rareté des cas survenant après consommation d’un aliment qui s’avère a posteriori contaminé, de la relative faiblesse du risque tel qu’il apparaît dans l’état actuel des connaissances et de l’absence d’élément scientifique en faveur d’un traitement antibiotique en l’absence de signe clinique, il n’y a pas lieu de recommander une antibioprophylaxie systématique en cas de consommation d’un aliment contaminé par Listeria monocytogenes. En revanche une information aux consommateurs est dans ce cas impérative, les invitant notamment à faire preuve de vigilance et à consulter sans délai devant l’apparition de fièvre, isolée ou accompagnée de maux de tête, survenant dans les deux mois qui suivent la consommation de l’aliment contaminé.

Voir en ligne : FMC eToile

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Antibiothérapie par voie générale dans les infections respiratoires basses de l’adulte et de l’enfant

Afin de limiter la survenue d’effets indésirables et l’émergence de plus en plus fréquente de résistances bactériennes, la prescription des antibiotiques doit être réservée aux seules situations cliniques où leur efficacité a été démontrée. Pour l’élaboration de ces recommandations en matière d’antibiothérapie, sont pris en compte les données les plus récentes d’épidémiologie microbienne et le spectre des antibiotiques.

Voir en ligne : AFSSAPS : Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé

Sujets associés


Antibiothérapie par voie générale dans les infections respiratoires basses de l’adulte

Cette Mise au Point a pour but de résumer la prise en charge des pneumonies communautaires et des exacerbations de bronchopneumopathies chroniques obstructives chez l’adulte.

Voir en ligne : afssaps

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Antibiothérapie par voie générale dans les infections respiratoires basses de l’adulte - Mise au point

L’Afssaps et la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF), en collaboration avec la Société Française de Pneumologie (SPLF) ont harmonisé leurs messages concernant la prise en charge antibiotique des infections respiratoires basses de l’adulte.

Voir en ligne : Afssaps - SPILF

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Antibiothérapie par voie générale dans les infections respiratoires basses de l’adulte - Mise au point

  • Le principal agent pathogène impliqué dans les pneumonies aiguës communautaires (PAC) est le pneumocoque (Streptococcus pneumoniae). La gravité des PAC liées à cette étiologie justifie de débuter en urgence une antibiothérapie efficace sur S. pneumoniae : amoxicilline 1 g x 3 par jour pendant 7 à 14 jours.
  • En cas de pneumonie aiguë communautaire survenant dans un contexte grippal, il est recommandé de prescrire l’association amoxicilline-acide clavulanique (pendant 7 à 14 jours), les bactéries à prendre en compte étant S.pneumoniae, Staphylococcus aureus, Haemophilus influenzae et les streptocoques du groupe A. Les bactéries « atypiques » semblent ne jouer aucun rôle dans ce contexte.

Voir en ligne : AFSSAPS : Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé<


Antibiothérapie par voie générale dans les infections respiratoires hautes de l’adulte et de l’enfant

Afin de limiter la survenue d’effets indésirables et l’émergence de plus en plus fréquente de résistances bactériennes, la prescription des antibiotiques doit être réservée aux seules situations cliniques où leur efficacité a été démontrée. Pour l’élaboration de ces recommandations en matière d’antibiothérapie, sont pris en compte les données les plus récentes d’épidémiologie microbienne et le spectre des antibiotiques. Ainsi, est-il possible que certains antibiotiques ayant l’AMM ne soient pas recommandés dans ce texte.

Voir en ligne : AFSSAPS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Antibiothérapie par voie générale en pratique courante : Infections respiratoires basses de l’enfant

Le diagnostic d’infection respiratoire chez l’enfant repose sur une triade symptomatique, fièvre, toux et difficultés respiratoires d’intensité variable. On distingue les infections des voies respiratoires hautes (au-dessus des cordes vocales) lors desquelles l’auscultation pulmonaire est normale, et les infections respiratoires basses (IRB) avec toux et/ou polypnée fébrile

Voir en ligne : Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé (Afssaps),

Sujets associés


Antibiothérapie par voie générale en pratique courante dans les infections respiratoires hautes de l’adulte et l’enfant

La prescription d’antibiotique DOIT ETRE PROSCRITE (au regard des conséquences individuelles et collectives qu’elle entraîne) dans les situations suivantes :

  • Rhinopharyngite, même en cas de sécrétions nasales d’aspect purulent ou mucopurulent
  • Angine à TDR négatif ou en l’absence d’utilisation de TDR
  • Otite congestive de l’enfant
  • Otite séromuqueuse de l’enfant
    Situations dans lesquelles IL EST RECOMMANDE de prescrire un antibiotique :

Voir en ligne : infectiologie.com

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Antibiotique per os et corticostéroïdes intranasaux pour la rhinosinusite aiguë ?

Cette étude effectuée en pratique de médecine générale montre que pour des patients se plaignant de rhinosinusite aiguë, l’amoxicilline, le budésonide intranasal ou l’association des deux n’est pas plus efficace qu’un placebo. Les recommandations actuelles restent donc valides : traitement symptomatique par paracétamol, spray nasal décongestionnant et inhalation de vapeurs humides, sans antibiotique à ce stade.

Voir en ligne : Minerva

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Antibiotiques contre les germes atypiques en cas de pneumonie

Le traitement antibiotique le plus adéquat en cas de pneumonie acquise dans la communauté (community acquired pneumonia,CAP) n’est pas établi avec certitude. Une des raisons en est la rareté de la pratique systématique des tests microbiologiques capables d’identifier l’agent bactérien responsable de cette affection. En plus du Streptococcus pneumoniae, des germes « atypiques » peuvent également être responsables d’une pneumonie acquise dans la communauté.

Voir en ligne : Analyse : S. Coenen | minerva-ebm.be

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Antibiotiques et grossesse - cas fréquents

Vous êtes seul pour superviser deux résidents de l’unité de médecine familiale, et c’est la soirée des femmes enceintes ! Vous angoissez déjà à l’idée de devoir affronter des situations particulières, l’obstétrique n’étant pas votre champ d’expertise principal. Vous sentez que vous glissez tranquillement hors de votre zone de confort.

Voir en ligne : Sophia Aouinati et Marie-Ève Lessard

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Antibiotiques et grossesse - cas fréquents

La culture d’urine est l’épreuve de référence pour le dépistage de la bactériurie asymptomatique. Toutes les patientes enceintes devraient subir un dépistage au premier trimestre (ou au moment de leur première visite prénatale si elle a lieu après).

Voir en ligne : Sophia Aouinati et Marie-Ève Lessard | Hôpital Maisonneuve- Rosemont

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Antibiotiques et pandémie grippale

Les antibiotiques sont destinés à agir sur les infections bactériennes. Ils n’ont donc pas de place dans le traitement curatif de la grippe, qui est une maladie virale. La grippe peut, parfois, se compliquer de surinfection bactérienne : • les bactéries responsables sont le plus souvent le pneumocoque, les staphylocoques dorés et Haemophilus spp.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Antigène spécifique de la prostate (PSA) : dosage en toute connaissance de cause

Le PSA est une protéase à sérine fluidifiant l’éjaculat et donc utile à la reproduction. Il est sécrété dans le sang aussi bien par les cellules épithéliales que par les cellules cancéreuses de la prostate. D’autres organes produisent du PSA mais en quantités négligeables. Des méthodes de mesure ultrasensibles peuvent par exemple en détecter des traces chez les femmes, en particulier produit par un cancer du sein. Dans le sang, il existe une fraction de PSA libre et une fraction lié à l’alpha1-antichymotrypsine, l’alpha1-trypsine et l’alpha2-macroglobuline.

Voir en ligne : Institut für klinische Epidemiologie, Universitätsspital, Basel

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Aphtes

Les aphtes sont des lésions muqueuses qui ne touchent pas les tissus profonds. Cette destruction localisée d’un territoire muqueux superficiel se caractérise par des ulcérations superficielles, avec un dépôt blanc-jaune au centre et un liseré rouge en périphérie. Les aphtes sont douloureux et souvent multiples. Ils apparaissent sur toutes les muqueuses, c’est à dire aussi bien buccales que génitales ou digestives (intestin).

Voir en ligne : Médecine et santé

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Aphtes

Les aphtes sont des ulcères de forme ronde qui se forment le plus souvent sur les muqueuses à l’intérieur de la bouche : sur la face interne des joues, sur la langue, sur la face interne des lèvres, sur le palais ou sur les gencives. Les personnes qui ont des aphtes dans la bouche de façon récurrente ont une stomatite aphteuse.

Voir en ligne : Passeport santé

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Aphtoses buccales

Le traitement des aphtoses buccales doit être adapté à des formes cliniques très différentes. Dans tous les cas, il est conseillé de supprimer ou de traiter les foyers infectieux bucco-dentaires et d’éviter les aliments connus du patient pour favoriser le déclenchement des aphtes. L’évolution des aphtes se fait spontanément vers la guérison, ce qui rend difficile l’analyse des essais thérapeutiques. En fait, il n’existe à l’heure actuelle aucun traitement spécifiquement curatif des aphtes buccaux. Les traitements proposés, qu’ils soient locaux ou généraux, ont pour but de soulager la douleur et d’accélérer la cicatrisation. Les médicaments utilisés en traitement de fond pour limiter la fréquence des récidives ont seulement un effet suspensif sur la maladie et ne sont pas constamment efficaces.

Voir en ligne : S. AGBO-GODEAU et H. SZPIRGLAS | Thérapeutique dermatologique

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Aponévrotomie à l’aiguille

  • Le Baron Guillaume DUPUYTREN.
  • Description de la maladie de Dupuytren.
  • En quoi consiste l’aponévrotomie à l’aiguille ?
  • La technique de ce traitement non-chirurgical.
  • Les résultats immédiats.
  • Conseils donnés aux patients.
  • La fasciotomie à l’aiguille est-elle aussi efficace que la chirurgie ?
  • Est-ce une technique dangereuse ?
  • Doit-on encore faire opérer les maladies de Dupuytren ?

Voir en ligne : Association pour l’étude et le traitement non-chirurgical de la maladie de Dupuytren - Hôpital Lariboisière, Paris

Sujets associés


APOROSE : Conception d’un site internet d’aide à la prise en charge de l’ostéoporose en soins primaires

APOROSE (Aide à la Prise en charge de l’OstéopoROSE) est un site destiné aux médecins généralistes, gratuit, indépendant de l’industrie pharmaceutique, actualisé régulièrement, en accord avec les recommandations nationales. APOROSE aborde tous les thèmes de la prise en charge de l’ostéoporose : prescription et interprétation de l’ostéodensitométrie ; enquête diagnostique ; évaluation du risque de fracture ; prise en charge des facteurs de risque de fracture ; traitement spécifique ; suivi.

Voir en ligne : GILBERT Raphaël

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Appendicectomie : Eléments décisionnels pour une indication pertinente - Rapport d’évaluation

Le diagnostic de l’appendicite est fréquent mais il reste difficile en raison du polymorphisme des symptômes, de l’absence de parallélisme anatomo-clinique et du caractère imprévisible de son évolution. Le risque principal d’une appendicite est l’évolution vers la perforation puis la péritonite généralisée qui met en jeu le pronostic vital : la mortalité est de 0,1% dans les formes non compliquées, elle est de 1,5 à 5% en cas de perforation appendiculaire. Le pronostic est directement lié à la précocité du diagnostic et du traitement.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Appendicite

L’appendice est un petit organe creux, de forme allongée, situé dans le ventre, en bas et à droite. Cet organe est rattaché à l’intestin, avec lequel il communique. On ne connaît pas sa fonction, et rien de grave ne se produit quand on l’enlève. L’appendicite est une inflammation de cet organe. Elle peut survenir à tout âge, mais on la retrouve surtout entre 10 ans et 30 ans. On estime qu’environ 1 personne sur 13 souffrira de l’appendicite au cours de sa vie, soit environ 7,5 % de la population.

Voir en ligne : Collège québécois des médecins de famille.

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Appendicite

On appelle appendicite une inflammation soudaine ou un gonflement de l’appendice. L’appendice est une structure en forme de tube qui part de l’endroit où le gros intestin (le colon) commence. Il est de la taille d’un crayon et est généralement long d’environ 7 cm (4 pouces). Pendant de nombreuses années, les scientifiques n’étaient pas certains de la fonction de l’appendice dans le corps. Maintenant, nous savons qu’il aide à la fabrication des immunoglobulines

Voir en ligne : Canoë Santé

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Apport de l’imagerie chez le traumatisé grave

Les traumatismes graves représentent un problème majeur de santé publique, au plan national et international. Avec 48 000 décès par an en France, ils sont la troisième cause de décès tous âges confondus et la première cause de décès des sujets de moins de 40 ans

Voir en ligne : Urgence Pratique

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Approche clinique d’une épaule douloureuse

Les tendinites simples : l’épaule douloureuse simple
Les perforations et ruptures tendineuses : épaule pseudo paralytique
Les calcifications de l’épaule : épaule hyperalgique
La capsulite rétractile ou épaule bloquée

Voir en ligne : Dr. OLIVRY Rhumatologue à Redon

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Approche du patient avec une pneumonie en extrahospitalier

Les patients se présentent devant leur médecin avec des symptômes et pas avec des diagnoses. Dans les atteintes des voies respiratoires inférieures, le symptôme caractéristique est la toux accompagnée ou pas par dyspnée, fièvre, expectorations, douleur, hémoptysie, spasmes. En face d’un tel patient, le médecin doit résoudre trois questions d’ordre diagnostique

Voir en ligne : Conseil Scientifique du Luxembourg

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Après l’intervention des varices - Informations et conseils sur les suites du traitement

• La douleur est habituellement modérée, bien calmée par des antalgiques courants. • Le premier lever a lieu l’après-midi/le soir de l’opération. • La marche est recommandée dès le lendemain. • Les douches sont autorisées dès le 4e jour. • La prescription d’anticoagulants (une injection par jour) est décidée cas par cas. • La reprise du travail a lieu entre le 7e et le 25e jour selon les cas. • Vous êtes revu en consultation 10 à 12 jours après l’intervention.

Voir en ligne : HUG Hôpitaux Universitaires de Genève

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Arrêt de travail après cure de hernie inguinale

Une étude prospective multicentrique a été entreprise pour évaluer la durée d’arrêt de travail effectif après cure de hernie inguinale.

Voir en ligne : Service de Chirurgie générale et digestive G.H. Bichat - Claude Bernard - Paris

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Arrêter de fumer

Identifier le statut tabagique du patient et le noter dans le dossier : To Ask (EBM Niveau B). « Fumez-vous ? »
Donner un conseil d’arrêt du tabac. Il sera clair, ferme et personnalisé. _ La relation avec le fumeur sera empathique et non confrontante : To Advise (EBM Niveau A).
« Je vous conseille d’arrêter de fumer. Je peux vous y aider. »
Évaluer la motivation à l’arrêt To Assess (EBM Niveau C) et la renforcer par un entretien de motivation de type... « Souhaitez-vous arrêter de fumer ? »

Voir en ligne : Dr Jeannine Gailly - SSMG- CEBAM (Centre Belge d’Evidence Medicine)

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Arrêter de fumer et ne pas rechuter : la recommandation 2014 de la HAS

Le tabac demeure un fléau inégalé de santé publique qui tue un fumeur régulier sur deux et fait perdre 20 à 25 ans d’espérance de vie. C’est la première cause de mortalité évitable en France. Les professionnels de santé - au premier rang desquels les médecins généralistes - doivent devenir de véritables partenaires anti-tabac des fumeurs qui veulent arrêter. Ils doivent engager une démarche active auprès de leur patient fumeur quel que soit le motif de consultation. La HAS fait le point sur les méthodes d’arrêt efficaces ainsi que sur la cigarette électronique. Considérant que les professionnels de santé sont insuffisamment informés et formés, la HAS propose des outils pratiques pour les aider à suivre et accompagner leurs patients.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Arrêter de fumer pour se sentir mieux rapidement

En arrêtant de fumer, vous agissez pour améliorer votre santé. Il n’est jamais trop tard ! Les bénéfices de l’arrêt du tabac interviennent presque immédiatement, puis durablement :

Voir en ligne : Ameli-santé

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Arrêts de travail : des référentiels de durée

Pour vous aider dans votre prescription d’arrêt de travail et faciliter le dialogue avec votre patient, des durées de référence vous sont proposées par pathologie ou intervention, après avis de la Haute Autorité de santé. Ces durées sont indicatives et, bien sûr, à adapter en fonction de la situation de chaque patient.

Voir en ligne : ameli.fr

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Arrêts maladie : état des lieux et propositions pour l’amélioration des pratiques

Le rapport comporte un état des lieux de la situation concernant les arrêts maladie : analyse des dépenses liées aux arrêts maladie, étude de la prescription, du processus de prescription et des problèmes posés, des déterminants individuels de la prescription. Des propositions pour l’amélioration de la pratique de prescription des arrêts maladie avec la recherche des outils disponibles de régulation et d’aide à la prescription, identifiées à partir d’une étude qualitative impliquant les différents acteurs concernés, sont également présentées.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Artériopathie oblitérante de l’aorte et des membres inférieurs

Artériopathie oblitérante des membres inférieurs

Objectifs Ce guide a pour objectif d’informer le patient admis en ALD, au titre d’une artérite des membres inférieurs ou artériopathie oblitérante des membres inférieurs (AOMI), sur les principaux éléments du traitement et du suivi. Il fournit également plusieurs sources d’informations complémentaires. Ce guide est remis par le médecin traitant et peut constituer un support de dialogue.

Voir en ligne : Guide patient sur l’artérite des membres inférieurs

Sujets associés


Artériopathie oblitérante des membres inférieurs

Ce guide a pour objectif d’informer le patient admis en ALD, au titre d’une artérite des membres inférieurs ou artériopathie oblitérante des membres inférieurs (AOMI), sur les principaux éléments du traitement et du suivi. Il fournit également plusieurs sources d’informations complémentaires. Ce guide est remis par le médecin traitant et peut constituer un support de dialogue.

Voir en ligne : HAS - Guide patient sur l’artérite des membres inférieurs

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Artériopathies des Membres Inférieurs

Les artériopathies des membres inférieurs sont réparties en 2 groupes : les artériopathies athéromateuses, les artériopathies inflammatoires.
L’athérome est la principale cause de mortalité et de morbidité des pays industrialisés. L’athérosclérose des artères est définie comme "l’association de remaniements de l’intima des artères consistant en l’accumulation focale de lipides, glucides complexes, sang et produits sanguins, tissus fibreux et dépôts calciques".
Les artériopathies inflammatoires : la maladie de Buerger ou thromboangéite oblitérante, la maladie de Takayasu, la maladie de Horton ou artérite temporale, la maladie de Behçet et la maladie de Kawasaki.

Voir en ligne : J.L. Magne - Faculté de Médecine de Grenoble

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Artérite - Qu’est-ce que s’est ?

Le terme artérite signifie aussi athérosclérose ou arthériopathie. Le suffixe "ite" suggère une idée d’inflammation. On préfère parler de maladie athéroscléreuse qui correspond comme on peut le voir sur la photographie à des dépots d’athérome dans la paroi des artères. Il s’agit de dépots de lipides favorisés par des taux sanguins élevés de "mauvais choléstérol" le cholestérol LDL.

Voir en ligne : SURGICALL

Sujets associés


Arthropathie microcristalline

Les rhumatismes microcristallins sont caractérisés par des dépôts intra-articulaires ou périarticulaires de microcristaux. Ces dépôts peuvent rester asymptomatiques ou être à l’origine d’accès inflammatoires aigus, ou parfois, d’arthropathies chroniques.

Voir en ligne : Université Lille 2

Sujets associés


Arthropathies Microcristallines (goutte, chondrocalcinose, rhumatismes à hydroxyapatite, alcaptonurie, ochronose, arthrpatie ochronotique)

Sujet complexe et diversifié que nous avons essayé de clarifier autour des 3 thèmes principaux : la goutte, la chondrocalcinose et le rhumatisme à hydroxyapatite. Ce sont des pathologies en pleine évolution comme le montre le sujet sur la goutte dans l’OPINION de Pr B. Mazières qui vient compléter le texte de P. Olive et de P. Valdiguié sur le même sujet. Le problème de la chondrocalcinose semble en pleine évolution avec la fréquence de formes secondaires, hyperparathyroïdie, hémochromatose génétique et la curieuse association avec l’hypomagnésémie du syndrome de Bartter et Gitelman. Le texte du Dr P. Olive laisse entrevoir l’alternative thérapeutique représentée par l’inhibition de l’IL-1

Voir en ligne : Observatoire du Mouvement

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Arthrose

• Comment ça vient ? • Pourquoi ai-je de l’arthrose, aurai-je pu l’éviter ? • Mes enfants auront-ils de l’arthrose ? • La pratique d’un sport peut-elle donner de l’arthrose ? • Si je suis en surpoids : dois-je maigrir ? • Existe t’il un lien entre arthrose et ménopause ? • Existe t’il un lien entre arthrose et ostéoporose

Voir en ligne : Expert : Pr B. Mazières | Société Française de Rhumatologie

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Arthrose

On appelle articulations les endroits où notre corps est capable de plier : les coudes, les genoux, etc. Les articulations comportent le plus souvent deux os dont les extrémités se font face et qui bougent l’un par rapport à l’autre. Pour faciliter le mouvement, les extrémités des os sont recouvertes d’un tapis élastique, le cartilage. De plus, une membrane (la membrane synoviale) entoure l’articulation et sécrète un liquide lubrifiant.

Voir en ligne : Portail Québec

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Arthrose de la cheville et du pied

"L’arthrose de la cheville et des articulations du pied est souvent mal connue et mal comprise. Les solutions chirurgicales proposées sont souvent disproportionnées. La biomécanique particulière de ce complexe articulaire aux fonctions multiples, d’amortissement, de répartition des pressions, d’adaptation du pied au sol doit être bien comprise

Voir en ligne : Observatoire du Mouvement

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Aspirine : Médicament du passé ? Médicament du futur ? Mise en garde avant son utilisation dans la maladie thromboembolique veineuse (MTEV)

Deux études publiées en 2012 dans le New England Journal of Medicine ont eu un retentissement important sur la planète maladie veineuse thromboembolique (MTEV) (WARFASA-1 et ASPIRE-2) [1, 2]. L’aspirine réduirait le risque de récidive de MTEV de 40 % versus placebo. L’aspirine qui a ses lettres de noblesse au niveau du cœur et des artères périphériques était rejetée avec vigueur dans la MTEV. Cependant, les études sur les antiplaquettaires, notamment l’aspirine avaient montré un effet modéré sur la prévention primaire du risque veineux post-opératoire, dans plusieurs études méta-analysées en 1994 [3] puis en 2000 avec l’étude PEP [4]. Depuis et jusqu’à très récemment, plus rien, d’autant plus que les nouveaux anticoagulants (NOAC) ont fait une apparition spectaculaire dans le domaine de la MTEV. En effet, fin juin 2013, Anderson et al. rapportent [5] dans un nouvel essai canadien qui a randomisé 786 participants (400 sous HBPM, 386 sous aspirine), essai qui comme tous les nouveaux essais avec l’aspirine n’a pas atteint ses objectif de recrutement puisqu’il était prévu initialement d’inclure plus de 1 100 opérés par groupe, que l’aspirine constitue une alternative efficace, bien tolérée et moins onéreuse à l’emploi des HBPM en prophylaxie des MVTE post-PTH.

Voir en ligne : John Libbey Eurotext

Sujets associés


Assistance médicale à la procréation

Vous désirez un enfant et vous vous posez des questions ; vous vous engagez dans une démarche d’assistance médicale à la procréation (AMP) ou vous êtes déjà en cours d’AMP : ce site vous est destiné. Il a été conçu pour vous accompagner, hommes et femmes, en complément du guide de l’assistance médicale à la procréation. Il vous apportera les principales informations pratiques et médicales dont vous avez besoin.

Voir en ligne : Agence de la biomédecine

Sujets associés


Assistance médicale à la procréation

Vous désirez un enfant et vous vous posez des questions ; vous vous engagez dans une démarche d’assistance médicale à la procréation (AMP) ou vous êtes déjà en cours d’AMP : ce site vous est destiné.

Voir en ligne : procreationmedicale.fr

Sujets associés


Association Française Contre L’Amylose

Association dont le but est de favoriser la recherche médicale sur l’amylose, améliorer la connaissance de cette maladie rare et développer les actions ...

Voir en ligne : www.amylose.asso

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Asthme : des recommandations pour le nourrisson et le jeune enfant

Pourquoi avoir élaboré des recommandations sur l’asthme, spécifiques à l’enfant de moins de 36 mois ? Il existait des recommandations pour l’asthme de l’enfant plus âgé, mais pas pour celui de l’enfant de moins de 36 mois. L’un des objectifs majeurs de ces nouvelles recommandations est d’améliorer le diagnostic de l’asthme du petit enfant pour éviter le risque de sous-traitement ou de suivi inadapté. Avant l’âge de 36 mois, le mot « asthme » fait peur aux parents, car ils pensent que la maladie va durer toute la vie, et on parle plus volontiers de « bronchite asthmatiforme ». Or, la majorité de ces jeunes enfants ne restera pas asthmatique. Le deuxième objectif de ces recommandations est de préciser les stratégies diagnostique et thérapeutique à cet âge, en dehors des épisodes aigus.

Voir en ligne : Dr Caroline Latapy - HAS Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Asthme : s’habituer à bien respirer, c’est mieux se soigner

Gènes respiratoires régulières, crises d’asthme fréquentes, c’est ce que vivent de nombreux patients asthmatiques. Un désagrément qui malheureusement peut aussi se solder par des complications graves avec une hospitalisation à la clef. Dans une étude1 récente consacrée aux personnes prenant fréquemment des médicaments contre l’asthme, l’Assurance Maladie estime que plus d’1 patient sur 4 serait concerné par ces problèmes. Pourtant, il existe des solutions simples pour faire totalement disparaître ces symptômes : mieux connaître sa maladie, suivre un traitement adapté et s’engager à le suivre tout au long de sa vie.

Voir en ligne : Ameli Assurance Maladie En Ligne

Sujets associés


Asthme et Allergie

Le plan Asthme publié par le ministère français de la Santé en 2002, les recommandations éditées par l’ANAES sur l’éducation thérapeutique puis le suivi de l’asthmatique, l’inscription de cette maladie dans la Loi de santé publique ont été des faits marquants au cours de ces dernières années. La communauté médicale, pneumologique en particulier, a montré son implication dans la prise en charge de ce problème de santé publique. Mais l’allergie n’était pas assez prise en compte, alors même que la part lui étant attribuable est d’environ 50 à 60 %. La prévalence de l’asthme et des allergies

Voir en ligne : Conférence d’experts Société de pneumologie de langue française (SPLF 2007)

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Asthme infantile

L’asthme infantile est la maladie chronique la plus fréquente de l’enfance, affectant plus de 10 % de la population pédiatrique. 50 % des asthmes débutent dans l’enfance avant l’âge de 5 ans. Le sex-ratio est en faveur des garçons : 2/1. Depuis plusieurs années, il semble que la morbidité voire la mortalité augmente alors que des traitements efficaces sont disponibles suggérant un sous diagnostic et un sous traitement de l’asthme maladie. L’asthme de l’enfant est une affection évolutive dans la compréhension de sa physiopathologie, l’approche de son diagnostic et de son traitement. On peut considérer la maladie asthmatique comme un état constitutionnel dont les manifestations cliniques reconnaissent de multiples composantes étiologiques plus ou moins intriquées : allergiques, inflammatoires, infectieuses, neuro-végétatives ou phychiques.

Voir en ligne : E. Deneuville, C. Jézéquel | Institut Mère-Enfant, annexe pédiatrique, Hopital sud, Rennes

Sujets associés


Asthme professionnel – Stratégie d’information et de sensibilisation des médecins généralistes »

Handicap respiratoire d’un asthmatique au travail ; Les principaux métiers en cause ; Stratégie diagnostique pour le médecin généraliste ; Prise en charge médicosociale : déclaration-réparation au titre de la maladie professionnelle ; Déclaration-réparation au titre de la maladie professionnelle : les différentes étapes ; Prise en charge médico-sociale : MDPH-bilan de compétences ; Comment aider un asthmatique dans son orientation professionnelle ?

Voir en ligne : r SPLF - Société de Pneumologie de Langue Française

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Athérosclérose

L’athérosclérose se caractérise par le dépôt d’une plaque essentiellement composée de lipides (on parle d’athérome) sur la paroi des artères. A terme, ces plaques peuvent entrainer la lésion de la paroi artérielle (sclérose), conduire à l’obstruction du vaisseau, ou encore se rompre, avec des conséquences souvent dramatiques.

Voir en ligne : INSERM

Sujets associés


Attention aux Poux

Votre enfant a des poux ?

Voir en ligne : Comite Français d’Éducation pour la Santé -Swissweb

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Attention aux vaporisateurs et autres humidificateurs !

L’Association Pédiatrique d’Israël a publié une forte mise en garde contre l’utilisation de vaporisateurs ( humidificateurs ) dans les chambres d’enfants. Les médecins ont précisé qu’il n’y a aucune preuve que ces machines soient efficaces et qu’elles peuvent, en revanche, représenter un risque pour la santé, et parfois même, s’avérer fatales. La principale menace qui inquiète les médecins est la maladie du légionnaire, un type de pneumonie grave, causée par une bactérie qui vit principalement dans l’eau.

Voir en ligne : Telavivre

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Atterrissage contrôlé

En posant le pied à New York ou à New Dehli, nous devons faire face à la désynchronisation de nos horloges biologiques. En cause, le passage brusque par plusieurs fuseaux horaires. Fatigue, troubles de l’appétit, difficultés de concentration… Comment peut-on minimiser les effets du décalage horaire ? Le point avec le Dr Stephen Perrig, responsable du Laboratoire du Sommeil-EEG aux Hôpitaux universitaires de Genève.

Voir en ligne : Planète Santé

Sujets associés


Augmentation "importante" du nombre de cas de légionellose en 2010

— Le nombre de cas déclarés de légionellose a augmenté de 28% en France en 2010 (1.540 cas) par rapport à l’année précédente, venant interrompre la baisse constante amorcée en 2005, selon les dernières données publiées mardi par l’Institut de veille sanitaire (InVS). "L’augmentation du nombre de cas reste difficile à interpréter à ce jour", indiquent les auteurs de l’article dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH), précisant que des études complémentaires sont en cours.

Voir en ligne : AFP

Sujets associés


Augmentation du nombre de plaintes de patients… en Angleterre

Depuis une douzaine d’années, il existe en Angleterre une procédure qui permet à toute personne ayant reçu des soins du National Health Service (NHS) ou qui a utilisé les services de cette institution, de formuler une plainte avec l’assurance de recevoir une réponse argumentée dans les quatre semaines. Tous les ans, un rapport détaillé permet de suivre l’évolution quantitative et qualitative de ces plaintes. Le dernier rapport publié fin août 2010 a provoqué de larges débats. Les associations de patients sont montées au créneau et la presse grand public s’est largement fait l’écho de la controverse déclenchée par le rapport.

Voir en ligne : Dr Jean Brami | HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Autorisation de mise sur le marché du vaccin pandémique Panenza (sans adjuvant)

Dans le cadre d’une procédure commune à plusieurs Etats-membres, l’Afssaps vient d’accorder une autorisation de mise sur le marché au vaccin grippal pandémique Panenza. Il s’agit d’un vaccin sans adjuvant dont le processus de fabrication est proche de celui d’un vaccin contre la grippe saisonnière... L’Afssaps rappelle que le Haut Conseil pour la Santé Publique a recommandé dans son avis du 7 septembre 2009, l’utilisation de vaccins sans adjuvant chez les enfants âgés de 6 mois à 23 mois, les femmes enceintes et chez certaines personnes immunodéprimées (transplantations d’organes ou de cellules souches hématopoïétiques, maladies autoimmunes graves…).

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

Sujets associés


Avantages et désavantages des moyens de contraception

Le retrait | L’abstinence périodique | Préservatif | Le stérilet | micros pilules | minis pilules : Risques | minis pilules : Avantages | Contraceptifs de longue durée d’action

Voir en ligne : Planning Familial belge

Sujets associés


Avec la crème solaire, des coups de soleil en plus ?

Par leur capacité à empêcher les coups de soleil (mesurée par le Facteur de Protection Solaire – FPS), les crèmes solaires sont souvent proposées pour se protéger des dangers liés aux rayons UV. Mais chez les adeptes du bronzage, la crème est parfois synonyme d’un temps plus long passé au soleil. Et entraîne paradoxalement une augmentation du risque de mélanome.

Voir en ligne : www.soleil.info est édité par la Sécurité Solaire

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Avis concernant l’échange électronique de données relatives à la santé (protection de la vie privée)

Réponses de l’Académie royale de Médecine de Belgique au questionnaire envoyé par la Commission de la Protection de la Vie Privée concernant l’échange électronique de données relatives à la santé

Voir en ligne : Académie Royale de Médecine de Belgique

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Avis de biosécurité : Coronavirus humain Centre médical Erasmus (HCoV-EMC/2012)

Cet avis de biosécurité est émis par l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) pour aider les laboratoires à élaborer des procédures de biosécurité efficaces pour la manipulation des échantillons de coronavirus humain Centre médical Erasmus (HCoV‑EMC/2012), qui a récemment été découvert au Moyen-Orient. Le groupe de risque (GR) associé au HCoV-EMC/2012 est le GR 3.

Voir en ligne : Agence de la santé publique du Canada

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Avis de la HAS sur le projet de décret visant à la suppression de l’ALD hypertension artérielle

... Le Collège a observé que la suppression isolée de l’ALD 12 ne permettait pas d’œuvrer à l’homogénéité de prise en charge des situations cliniques associées à la prise en compte d’un risque cardio-vasculaire élevé (le diabète non compliqué est éligible au dispositif ALD alors que l’HTA sévère ne le serait plus). La HAS insiste sur le caractère essentiel que revêt pour elle la préservation d’une approche médicale cohérente....

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Avis du Conseil national de la consommation relatif aux prothèses auditives

Dans la continuité de l’action engagée par les consommateurs dans le domaine médical et paramédical, et en application du principe de l’accès des consommateurs à là santé le groupe de travail du CNC a étudié, conformément au règlement du Conseil national de la consommation, les modalités selon lesquelles il serait possible d’améliorer l’information préalable des consommateurs, ainsi que de résoudre les problèmes d’appareillage auditif rencontrés par ces derniers. Il s’est également penché sur les moyens à mettre en oeuvre pour une meilleure prévention des problèmes liés notamment à la presbyacousie.

Voir en ligne : Bulletin officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes

Sujets associés


Avis favorable sur les autotests de l’infection à VIH mais assorti de conditions

La ministre des affaires sociales et de la santé a demandé au Conseil national du sida un nouvel Avis sur les problèmes posés par la commercialisation d’autotests de dépistage de l’infection à VIH. Cet Avis intervient dans un contexte marqué par l’évolution des stratégies de dépistage en France, avec l’utilisation de tests rapides d’orientation diagnostiques, réglementée depuis 2010, et par l’autorisation d’un autotest salivaire aux États-Unis par la Food and Drug Administration en juillet 2012.

Voir en ligne : Conseil national du sida

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Avis relatif à la proposition de valeur guide de qualité de l’air intérieur pour le naphtalène

En zone tempérée, la population passe en moyenne 85% de son temps dans des environnements clos, principalement dans l’habitat. L’environnement intérieur offre une grande diversité de situations de pollution, avec de nombreux agents physiques et contaminants chimiques ou microbiologiques, liés aux bâtiments, aux équipements, à l’environnement extérieur immédiat et au comportement des occupants. A l’échelle internationale, l’Organisation mondiale de la santé s’est engagée à publier en 2009 des valeurs guides de qualité de l’air intérieur (Development of WHO Guidelines for Indoor Air Quality – conclusions d’un groupe de travail lors de la conférence du 23 - 24 Octobre 2006).

Voir en ligne : AFSSET - Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail

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Avis relatif à l’actualisation de la stratégie vaccinale grippe, saison 2010 -2011, suite à la déclaration officielle de fin de pandémie par l’OMS

Recommandations vaccinales pour la grippe saisonnière 2010-20114

  • Personnes âgées de 65 ans et plus.
  • Enfants à partir de l’âge de 6 mois et adultes, y compris les femmes enceintes présentant des facteurs de risque pour la grippe saisonnièreStratégie vaccinale grippe, saison 2010- 2011, suite à la déclaration officielle de fin de pandémie par l’OMS

Voir en ligne : HCSP - Haut Comité de la Santé Publique

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Avis relatif à l’augmentation des taxes sur le tabac en vue de réduire la prévalence du tabagisme en France

Par cet avis et pour faire suite à l’avis déjà formulé le 22 septembre 2010, le Haut Conseil de la santé publique souhaite souligner l’importance et préciser la mise en œuvre de l’un des outils les plus efficaces pour lutter contre le tabagisme, à savoir la taxation des produits du tabac. En effet, depuis janvier 2004, ce moyen de lutte contre le tabagisme n’a plus été utilisé ; seules des augmentations progressives de prix à l’initiative des industriels du tabac sont venues augmenter le prix des produits du tabac. Ces augmentations, chaque fois très insuffisantes, n’ont pas fait reculer le tabagisme en France. Force est d’ailleurs de constater que le tabagisme regagne du terrain en France, aussi bien en population générale [1], que chez les jeunes [2].

Voir en ligne : Haut Conseil de la santé publique

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Avis relatif à l’utilisation des antiviraux en période de circulation du virus grippal A(H3N2) pendant l’hiver 2011-2012

En réponse à la saisine urgente de la Direction générale de la santé en date du 27 février 2012, le Haut Conseil de la santé publique a pris en compte le contexte épidémique actuel de la grippe (données virologiques et épidémiologiques) :

  • circulation prédominante de virus de sous-type A(H3N2), ce sous-type n’ayant pas circulé dans la population française au cours des deux saisons précédentes ;
  • circulation parmi les virus A(H3N2) de virus antigéniquement variants par rapport à la souche vaccinale A/Perth/16/2009 ;
  • sujets âgés particulièrement touchés ;
  • proximité probable du pic épidémique (fin février-début mars 2012).

Voir en ligne : Haut Conseil de la santé publique

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AVIS relatif au vaccin Gardasil® et à la stratégie de prévention globale des cancers du col de l’utérus

Le ministre de la Santé a saisi le Haut Conseil de la santé publique en date du 16 septembre 2011 et l’interroge sur l’existence de données nouvelles susceptibles de :

  • remettre en cause l’efficacité du vaccin Gardasil® ;
  • justifier des recommandations particulières chez certaines femmes ;
  • remettre en cause la sécurité du vaccin ;
  • faire reconsidérer les places respectives du dépistage et de la vaccination dans la stratégie de prévention des cancers du col de l’utérus.

Voir en ligne : Haut Conseil de la santé publique

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Avis relatif aux moyens nécessaires pour relancer la lutte contre le tabagisme

Par cet avis, le Haut Conseil de la santé publique souhaite rappeler l’importance d’une action soutenue et réactualisée en matière de lutte contre le tabagisme, actif et passif. En effet, en amont des crises sanitaires, les problèmes posés par l’usage de tabac sont patents : nombre élevé de fumeurs en particulier chez les jeunes, facteur d’inégalité de santé, morbidité/mortalité fortes. Ils méritent une attention soutenue. Cet avis priorise des recommandations volontaristes. Par ailleurs, le Haut Conseil de la santé publique est conscient de la nécessité de poursuivre d’autres axes de prévention et d’intervention contre le tabagisme, tels qu’une prise en compte des facteurs psychosociaux facilitant l’usage de tabac, ou les liens avec les autres addictions.

Voir en ligne : HCSP - Haut Comité de la Santé Publique

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Avis relatif aux recommandations de vaccination contre la varicelle

Considérant d’une part, l’expérience américaine où la vaccination contre la varicelle a été introduite en 1996 et notamment les données de la surveillance épidémiologique mise en place par le CDC dans trois districts américains (Antelope Valley en Californie, Travis County au Texas et Philadelphie Ouest en Pennsylvanie, représentant une population de 1 241 375 personnes1)

Voir en ligne : Conseil supérieur d’hygiène publique de France

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Avis relatif aux recommandations sanitaires en matière de consommation d’alcool

En novembre 2007, l’institut national du cancer a publié une expertise collective sur « Alcool et risque de cancers : état des lieux des données scientifiques et recommandations de santé publique ». En 2009, la brochure « Nutrition et prévention du cancer » était diffusée. À la lumière de ces éléments et de l’ensemble des documents analysés dans la note annexée, Le Haut Conseil de la santé publique a examiné, à la demande de la ministre et de la direction générale de la santé, s’il y avait lieu de modifier les recommandations sanitaires actuelles en matière de consommation d’alcool.

Voir en ligne : HCSP Haut Conseil de la santé publique

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Avis relatif aux risques sanitaires liés à la consommation de chewing-gums dans lesquels de l’argile verte contenant des teneurs élevées en plomb et en dioxines

Le comité d’experts spécialisé « résidus et contaminants chimiques et physiques » estime que la mastication de chewing-gums contenant de l’Argile verte contaminée par des dioxines et du plomb n’est pas susceptible d’entrainer à elle seule un risque sanitaire notamment en raison de la faible absorption de ces composés par l’organisme. La contribution potentielle entrainée par la mastication de chewing-gums contenant de l’argile verte contaminée par le plomb serait comprise entre 7 et 14% de la dose de référence définie pour les enfants et les femmes en âge de procréer.

Voir en ligne : L’Agence nationale de la sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail - Anses

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Avis sur les problèmes éthiques liés aux diagnostics anténatals : le diagnostic prénatal (DPN) et le diagnostic préimplantatoire (DPI)

Au cours des dernières décennies, le champ de la médecine prénatale s’est transformé sous l’effet du développement des techniques issues de la génétique, de l’imagerie et de l’assistance à la procréation. Cette évolution a répondu à des attentes sociales légitimes en termes de soin et de prévention. Ainsi, grâce aux progrès de la médecine prénatale, le nombre d’interruptions médicales de grossesse après diagnostic prénatal de rubéole ou de toxoplasmose a nettement chuté, passant à quelques-unes aujourd’hui contre plusieurs centaines par an il y a peu encore.

Voir en ligne : CCNE - Comité Consultatif National d’Ethique - France

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Avis sur l’utilisation sécuritaire des porte-bébés souples et en bandoulière

Les risques de blessures associées à l’utilisation des porte-bébés semblent largement évitables dans la mesure où les parents prennent des précautions. Les décès sont très rares et nous disposons de peu d’informations sur leurs causes. L’avis recommande donc aux intervenants de promouvoir l’utilisation sécuritaire des porte-bébés souples et en bandoulière auprès des parents. Il leur fournit plusieurs consignes quant aux informations à partager avec les parents sur le choix et l’utilisation d’un porte-bébé. Il adresse également des recommandations aux établissements de santé et de services sociaux qui distribuent des porte-bébés afin que cela soit fait de manière sécuritaire. L’avis souligne aussi la pertinence d’une norme canadienne obligatoire pour les porte-bébés.

Voir en ligne : Institut national de santé publique du Québec

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Azilect, une nouvelle arme pour lutter contre la maladie de Parkinson

Fin août, lors du 12e congrès de la Fédération Européenne des Sociétés Neurologiques à Madrid, la société israélienne Teva s’est illustrée en présentant les résultats des tests cliniques de l’Azilect. Ce nouveau médicament, dédié aux patients atteints de la maladie de Parkinson, montre des résultats encourageants.

Voir en ligne : Teva Pharmaceutical industries

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Baclofène : un médicament qui « guérit » l’alcoolisme... Contexte et histoire de son utilisation dans cette indication

L’alcoolisme est une maladie très fréquente, grave et difficile à traiter. C’est une maladie dans le sens où la consommation répétée d’alcool modifie progressivement l’organisation de nombreux réseaux de neurones, de telle sorte qu’après un certain temps apparaît une compulsion irrésistible à boire qui est la conséquence directe de cette réorganisation pathologique de circuits neuronaux.

Voir en ligne : Renaudde Beaurepaire , Groupe Hospitalier Paul Guiraud, 94806 Villejuif

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Bartonella henselae et maladie des griffes du chat

La maladie des griffes du chat est une infection humaine émergente due à une bactérie qui s’appelle Bartonella henselae (anciennement dénommée Rochalimea henselae) et qui se manifeste le plus souvent par une adénopathie. L’identification de B. henselae n’a été obtenue qu’en 1992 par Regnery et col. qui ont montré que la plupart des patients atteints de maladie des griffes du chat, affection décrite en 1950 par Debré et col., et pour laquelle un agent étiologique (Afipia felis) avait été proposé en 1988, possédaient des anticorps dirigés contre les antigènes de B. henselae. Le débat sur l’agent étiologique de la maladie des griffes aboutira à la démonstration de la responsabilité prédominante de B. henselae dans cette affection. Bien que B. quintana ne soit pas considéré comme agent étiologique de maladie des griffes du chat, cette bactérie a été isolée du sang de patients présentant comme seuls signes cliniques la présence d’adénopathies périphériques fébriles.

Voir en ligne : IFR 48 Institut Fédératif de Recherche 48 Marseille

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Base de données européenne des cas d’effets secondaires suspectés déclarés pour les médicaments autorisés dans l’Union européenne.

Sur ce site internet, vous pouvez consulter des données sur les effets indésirables susceptibles d’etre liés à l’utilisation de médicaments, également appelés réactions indésirables suspectées aux médicaments, pour les produits pharmaceutiques autorisés dans l’Espace économique européen (EEE). Ces données sont présentées dans un format dénommé rapport électronique. Actuellement, les données ne concernent que des médicaments approuvés par la procédure centralisee d’autorisation de mise sur le marché.

Voir en ligne : Agence européenne des médicaments

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BASE DE DONNÉES PUBLIQUE DES MÉDICAMENTS

La base de données publique des médicaments permet au grand public et aux professionnels de santé d’accéder à des données et documents de référence sur les médicaments commercialisés ou ayant été commercialisés durant les deux dernières années en France. Cette base de données administratives et scientifiques sur les traitements et le bon usage des produits de santé est mise en œuvre par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), en liaison avec la Haute Autorité de santé (HAS) et l’Union nationale des caisses d’assurance maladie (UNCAM), sous l’égide du ministère des Affaires sociales et de la santé.

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

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  • (Sélection)

Basse pression (hypotension)

  • Mise en contexte
  • Motifs justifiant une consultation
  • Conseils pratiques
  • Prévention

Voir en ligne : Guide Santé du gouvernement Québécois

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Basse pression (hypotension)

Basse pression normale ou anormale ? L’expression « basse pression » peut prêter à confusion : on croit parfois qu’il est anormal d’avoir une pression artérielle inférieure à 120/80, mais c’est faux. En fait, la majorité des femmes minces ont une pression plus proche de 110/70, et même une pression de 90/60 peut être parfaitement normale pour une personne donnée. C’est pourquoi il est utile de mesurer à quelques reprises votre pression artérielle quand tout va bien : cela aidera votre médecin à savoir ce qui est VOTRE normale.

Voir en ligne : Guide Santé du gouvernement Québécois

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Benzodiazépines hypnotiques au long cours : un intérêt thérapeutique limité

Face à l’effet faible des benzodiazépines sur le sommeil et dans la continuité des actions menées par la HAS, la Commission de la Transparence (CT) a positionné au plus bas niveau d’intérêt les benzodiazépines hypnotiques et produits apparentés.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Benzodiazépines hypnotiques au long cours : un intérêt thérapeutique limité

Face à l’effet faible des benzodiazépines sur le sommeil et dans la continuité des actions menées par la HAS, la Commission de la Transparence (CT) a positionné au plus bas niveau d’intérêt les benzodiazépines hypnotiques et produits apparentés.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Biberons : comment les préparer et les conserver ? Utilisation des préparations en poudre pour nourrissons

Les conditions de préparation, de manipulation et de conservation des biberons sont essentielles et permettent d’éviter les contaminations microbiennes qui peuvent être à l’origine d’infections graves, notamment chez l’enfant prématuré ou de faible poids. En matière d’alimentation du nourrisson, l’allaitement maternel constitue la référence. Il est ainsi recommandé d’allaiter de façon exclusive jusqu’à six mois révolus, et si cela n’est pas possible au moins quatre mois. Cependant, même pour une durée plus courte, l’allaitement reste bénéfique pour l’enfant.

Voir en ligne : Afssa Sécurité sanitaire des aliments

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Bien choisir son produit solaire

L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) relance une campagne d’information pour favoriser le bon choix des produits solaires. A cette occasion, l’Agence met à disposition des professionnels de santé et du public sur son site Internet, un portail regroupant l’ensemble des données portant sur les produits cosmétiques qu’elle a publiées.

Voir en ligne : AfssAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Bien manger en attendant bébé

prise de poids, apports et besoins (en protéines, lipides, glucides, fer, folates, calcium, vitamine D), limiter les risques (de listériose, de toxoplasmose), prévenir les petits désagréments de la grossesse (nausées, vomissements, acidité gastrique, constipation), bien manger pour allaiter, exemple de menu

Voir en ligne : Swissweb

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Bien utiliser les antibiotiques

Dans le cadre de ses missions d’expertise, d’inspection, de contrôle, de surveillance et d’information ciblées sur les produits de santé, l’Afssaps contribue au bon usage des antibiotiques à plusieurs titres :

  • En évaluant les antibiotiques avant et pour la délivrance d’Autorisations de Mise sur le Marché (AMM), de même qu’en suivi post-AMM,
  • En élaborant ou en contribuant à l’élaboration à des recommandations sur le bon usage et/ou sur la sécurité d’emploi des médicaments,
  • En contrôlant le contenu des messages publicitaires élaborés par les laboratoires pour les antibiotiques,
  • Ou encore en suivant les ventes des antibiotiques.

Voir en ligne : Dossier thématique de l’AFSSAPS

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Bien-être et efficacité au travail – 10 propositions pour améliorer la santé psychologique au travail

Le 5 novembre 2009, le Premier ministre nous a demandé de lui proposer des mesures pour améliorer les conditions de santé psychologique au travail. Le présent rapport est le fruit de nos travaux, qui se sont déroulés du 15 novembre 2009 au 15 février 2010. Il ne s’agit pas d’un rapport d’experts mais de « praticiens » : notre ambition était de mettre notre connaissance pratique du monde des salariés et de l’entreprise au service de ce sujet.

Voir en ligne : LACHMANN Henri , LAROSE Christian , PENICAUD Muriel , MOLEUX Marguerite

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Bienvenue sur le site officiel du SAMU de Paris - Tél : 01 45 67 50 50

Ce site se propose de vous informer sur les missions et activités du Service d’Aide Médicale Urgente (SAMU) de PARIS, Assistance Publique Hôpitaux de Paris (APHP).

SAMU dans toute la France Tél : 15 ou 112

Voir en ligne : Samu

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Bilharziose

La bilharziose (ou schistosomiase) est une maladie provoquée par un ver parasite présent dans certaines eaux douces, essentiellement dans les zones tropicales et subtropicales. L’infection humaine se produit lors d’un contact de la peau avec des eaux douces infestées, au cours d’activités agricoles, domestiques ou de loisir. La bilharziose, maladie parasitaire la plus répandue après le paludisme, tuerait chaque année près de 300 000 personnes dans le monde. Il existe toutefois un traitement efficace et bien toléré

Voir en ligne : Ministère des Affaires sociales et de la Santé

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Bioéthique : une loi pour rien

Mères porteuses ? Non ! Recherches sur l’embryon ? Non ! Enfants conçus pour couples homosexuels ? Non ! Jusqu’à quand ? (...) Présentant il y a quelques jours à « la presse » le projet de révision de la loi de bioéthique elle a ainsi annoncé : « ce texte comporte un certain nombre de dispositions innovantes, mais aucune ne vient percuter les principes cardinaux ». Bigre. Elle aurait pu le dire autrement : voici une loi pour rien. Car ce texte est bel et bien la copie conforme de la loi de 1994 ; à quelques infimes détails pratiques près. Elle aurait aussi pu inciter à chercher le diable niché dans l’un de ces détails.

Voir en ligne : Jean-Yves Nau - Slate.fr

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Biomarqueurs associés à la dyspnée et douleurs thoraciques : quelle utilité clinique ?

La dyspnée et la douleur thoracique sont des motifs fréquents de consultations. Les biomarqueurs (CRP, procalcitonine, NT-proBNP, troponines, D-dimères) peuvent avoir un intérêt pour le diagnostic, le pronostic et le suivi de plusieurs pathologies. Il existe cependant de nombreux pièges et limitations entre la découverte d’un biomarqueur et son utilité en routine clinique. Il est indispensable de toujours évaluer une probabilité prétest sur la base d’une anamnèse et d’un status de qualité, de bien connaître les qualités intrinsèques et extrinsèques d’un test, et de déterminer un seuil de prise en charge. Un biomarqueur ne devrait être utilisé que s’il modifie la prise en charge du patient et qu’il lui apporte un bénéfice par rapport au patient chez lequel le biomarqueur n’a pas été dosé.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Bisphénol A : l’Afssa préconise le développement de nouvelles méthodes d’évaluation

Le bisphénol A (BPA) est utilisé depuis plus de 40 ans, dans de très nombreuses applications dont les matériaux au contact des aliments et de l’eau. Des évaluations de risque menées par les agences sanitaires - en particulier la FDA aux Etats-Unis, l’Efsa en Europe en 2008 - ont conclu, sur la base des données scientifiques disponibles, à l’absence de risque pour le consommateur dans les conditions d’emploi.

Voir en ligne : AFssa Agence française de sécurité sanitaire des aliments

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Bisphénol A, impact du chauffage au micro-onde

ActualitéLa toxicité du bisphénol A a été évaluée par différentes instances internationales et d’abondants rapports et articles scientifiques ont été publiés sur ce sujet. En 2006, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (AESA) a pour sa part rendu un avis sur la toxicité du bisphénol A qui établit une dose journalière tolérable (1) de 0,05 mg de bisphénol A par kg de poids corporel.

Voir en ligne : Afssa Sécurité sanitaire des aliments

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Bisphénol A, l’Afssa précise la période critique d’exposition

Sur la base des études toxicologiques analysées par le groupe de travail « Bisphénol A », l’Afssa précise dans son Avis du 2 mars 2010, que la période critique d’exposition au bisphénol A correspond à celle du développement du système nerveux et du système reproducteur. Cette période s’étend de l’exposition in utero (via la femme enceinte) jusqu’à l’âge de 3 ans. Toutefois, l’Afssa souligne que d’autres stades du développement de l’organisme sont également sensibles aux perturbateurs endocriniens, telle que la puberté (voire la pré-puberté), mais qu’à sa connaissance aucune étude de toxicité du bisphénol A n’a spécifiquement exploré ces périodes d’exposition.

Voir en ligne : AFSSA Agence française de sécurité sanitaire des aliments

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Bisphénol A : dossier rouvert à l’Afssa, Réseau environnement-santé auditionné

L’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) va reprendre ses travaux sur les effets du Bisphénol A, et auditionnera le Réseau environnement-santé, favorable à son interdition dans les plastiques alimentaires. "Ce groupe de travail devrait aboutir au début de l’année" 2010, a précisé Marc Mortureux.

Voir en ligne : Google - AFP

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Boire du café aide à prévenir la maladie de Parkinson

Selon des études menées auprès d’humains et d’animaux, la caféine pourrait réduire le risque de développer la maladie de Parkinson. Toutefois, il est encore trop tôt pour recommander la consommation de café ou de thé en prévention de cette maladie.

Voir en ligne : Extenso Centre de référence sur la nutrition humaine

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Bon usage de l’analyse des pratiques pour prévenir les crises comitiales de sevrage alcoolique

• Quelles sont les difficultés auxquelles vous avez été confrontées en matière de sevrage alcoolique ?
La clinique Saint-Barnabé, spécialisée dans le traitement de l’alcoolisme et des addictions associées, prend en charge des personnes alcooliques qui ont décidé d’être sevrées. Traditionnellement, les accidents de sevrage (delirium tremens et crises convulsives [CC]) survenaient dans environ 10 % des prises en charge. Quand les recommandations sur le sevrage alcoolique, élaborées lors d’une conférence de consensus HAS/SFA en 1999, sont correctement appliquées (en particulier en utilisant des benzodiazépines), il est possible de faire tomber la fréquence de ces complications à 2 %.

Voir en ligne : Dr Nicole Hugon* – Médecin-chef de la clinique Saint-Barnabé – Marseille | HAS

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Bonnes pratiques de l’aérosolthérapie par nébulisation

La nébulisation est utilisée en France de façon parfois inadéquate. Certains patients qui mériteraient de bénéficier de ces traitements n’en bénéficient pas, d’autres, nombreux, reçoivent encore des traitements par nébulisation inadaptés. Le groupe d’aérosolthérapie (GAT) de la Société de Pneumologie de Langue Française (SPLF) a revu en 2006 les recommandations des premières assises de la nébulisation de 1997.

Voir en ligne : B.Dautzenberg, M.H. Becquemin, J.P.Chaumuzeau, P. Diot,

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Borréliose de Lyme : démarches diagnostiques, thérapeutiques et préventives

En France, la borréliose de Lyme est une zoonose transmise par la piqûre d !une tique du genre Ixodes (Ixodes ricinus), et due à plusieurs espèces génomiques de Borrelia burgdorferi sensu lato, essentiellement B. garinii, B. afzelii, B. burgdorferi sensu stricto. Plusieurs classifications ont été proposées sur la clinique et l !évolution de l !infection.

Voir en ligne : Institut Pasteur - Centre d !Information Scientifique

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Botulisme

Depuis cette page, vous accédez à des informations concernant le botulisme comme arme biologique. Le botulisme est une intoxication due à une puissante neurotoxine bactérienne produite par des germes du genre Clostridium. Utilisées à des fins d’arme biologique, les toxines pourraient être dispersées par aérosol (voie respiratoire) ou contaminer un réseau d’eau potable. Leur toxicité est très élevée mais la plupart des cas guérissent s’ils sont traités immédiatement et correctement.

Voir en ligne : Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports [français]

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Bronchiolite

On appelle bronchiolite l’inflammation des bronchioles (les plus petites bronches, tuyaux apportant l’air aux alvéoles des poumons), généralement causée par un virus (le plus fréquent étant le VRS ou virus respiratoire syncytial). L’inflammation des bronchioles nuit au passage de l’air vers les poumons et la respiration devient rapide, parfois sifflante.

Voir en ligne : Portail Québec

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Bronchiolite

La bronchiolite est une maladie virale du jeune enfant, qui touche principalement les enfants avant l’âge de 2 ans. Dans la très grande majorité des cas, la bronchiolite évolue de manière favorable, spontanément ou plus souvent avec l’aide d’une kinésithérapie. Dans de rares cas, la bronchiolite impose l’hospitalisation, afin de pouvoir surveiller la fonction respiratoire et, éventuellement, de mettre en œuvre des mesures de réanimation. Les décès imputables à la bronchiolite aiguë sont très rares (inférieurs à 1 %).

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire

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Bronchiolite - Situation épidémiologique de la bronchiolite en France métropolitaine | Point au 1er octobre 2009

La saison automnale est généralement marquée par le début de la saison épidémique de bronchiolite chez les nourrissons1. La surveillance à partir des données enregistrées par les services hospitaliers d’urgence (réseau Oscour) a été encore renforcée avec un nombre plus important d’hôpitaux participants en 2009 (146 hôpitaux contre 112 en 2008 et 97 en 2007). La situation épidémiologique actuelle montre une augmentation du nombre de recours aux services hospitaliers d’urgence des enfants de moins de 2 ans pour bronchiolite. Le nombre de cas identifiés reste cependant limité avec moins de 50 passages par jour sur l’ensemble des hôpitaux participants et la dynamique actuelle est comparable à celle observée les années précédentes.

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire

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Bronchiolite : tout ce qu’il faut savoir pour limiter les risques de transmission

Chaque hiver, près de 30 % des enfants de moins de 2 ans sont affectés par la bronchiolite. La bronchiolite est une infection respiratoire des petites bronches. Due à des virus respiratoires très fréquents et très contagieux, cette épidémie saisonnière potentiellement grave pour les nourrissons débute généralement mi-octobre et se termine à la fin de l’hiver avec un pic durant le mois de décembre.

Voir en ligne : INPES - Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé

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Bronchiolite aiguë du nourrisson (1 à 24 mois)

Infection respiratoire basse la plus fréquente du nourrisson (0,5 à 2% de tous les nouveaux-nés hospitalisés) La plupart des nourrissons sont infectés le premier hiver, tous le sont en deux hivers.

Voir en ligne : RESPIR Serveur dédié à l’air, la respiration et les maladies respiratoires

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Bronchiolite respiratoire et bronchiolite respiratoire avec pneumopathie interstitielle

L’utilisation croissante de l’imagerie thoracique par tomodensitométrie dans la pratique médicale courante confronte de plus en plus le praticien à des cas de pneumopathie interstitielle. La bronchiolite respiratoire (respiratory bronchiolitis, RB) et la bronchiolite respiratoire avec pneumopathie interstitielle (respiratory bronchiolitis-associated interstitial lung disease, RB-ILD) sont deux atteintes pulmonaires liées au tabac. Cet article constitue une revue des connaissances actuelles relatives à l’épidémiologie, aux aspects cliniques, au pronostic et aux options thérapeutiques de la RB et de la RB-ILD.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

Sujets associés


Bronchite aiguë

On entend par bronchite aiguë une infection des voies qui transportent l’air de votre bouche et de votre nez à vos poumons (arbre bronchique). Lorsque ces voies sont infectées, elles enflent et produisent du mucus (flegme). L’inflammation des voies et le surplus de mucus entravent la respiration. Une bronchite est habituellement causée par le même virus que celui qui provoque le rhume.

Voir en ligne : CSSA Corporation des Sciences de la Santé de l’Atlantique

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Bronchite chronique : prévalence et impact sur la vie quotidienne

La bronchite chronique est définie par la présence d’une toux et d’une expectoration chroniques évoluant pendant plus de trois mois chaque année. Ces symptômes, généralement banalisés par les fumeurs et parfois également par les médecins, sont souvent les premiers signes d’une broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO).

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire

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Bronchite chronique et emphysème (MPOC)

Le nom « maladie pulmonaire obstructive chronique » ou MPOC désigne un ensemble de problèmes respiratoires graves et irréversibles. Les principaux sont la bronchite chronique et l’emphysème. Les symptômes débutent rarement avant la cinquantaine. Les personnes atteintes de MPOC toussent beaucoup et sont facilement essoufflées. Au fur et à mesure que la maladie progresse, les activités quotidiennes deviennent plus pénibles. Celles-ci doivent être réorganisées en fonction de l’énergie et du souffle disponibles.

Voir en ligne : PasseportSanté.net

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Bronchite et antibiotiques ne pas s’étouffer à en prescrire !

Vous êtes au service de consultation sans rendez-vous un froid vendredi après-midi de janvier. Votre salle d’attente est pleine de patients qui toussent, reniflent, crachent, éternuent, suffoquent et qui veu- lent une guérison rapide. Ils sont presque tous déjà allés à la pharmacie du coin pour acheter tous les produits miraculeux qu’ils ont vus à la télévision, dans les journaux ou sur Internet. Vous êtes leur der- nier espoir d’obtenir le soulagement de cette vilaine toux qui empoisonne leur quotidien. Depuis leur tendre enfance, ils croient que les antibiotiques font des miracles ! Ils pensent donc, pour la plupart, re- partir avec une ordonnance après avoir patienté des heures dans votre salle d’attente.

Voir en ligne : Karl Weiss | l’Université de Montréal.

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Bronchite et antibiotiques ne pas s’étouffer à en prescrire !

Vous êtes au service de consultation sans rendez-vous un froid vendredi après-midi de janvier. Votre salle d’attente est pleine de patients qui toussent, reniflent, crachent, éternuent, suffoquent et qui veu- lent une guérison rapide. Ils sont presque tous déjà allés à la pharmacie du coin pour acheter tous les produits miraculeux qu’ils ont vus à la télévision, dans les journaux ou sur Internet. Vous êtes leur dernier espoir d’obtenir le soulagement de cette vilaine toux qui empoisonne leur quotidien. Depuis leur tendre enfance, ils croient que les antibiotiques font des miracles ! Ils pensent donc, pour la plupart, re- partir avec une ordonnance après avoir patienté des heures dans votre salle d’attente.

Voir en ligne : Karl Weiss | l’Université de Montréal.

Sujets associés


Broncho-pneumopathie chronique obstructive et insuffisance respiratoire chronique

La broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO), maladie respiratoire chronique, est attribuable au tabagisme dans plus de 80 % des cas. Les autres facteurs de risque comprennent les expositions professionnelles, la pollution atmosphérique, l’exposition passive à la fumée de cigarette et des facteurs génétiques. La BPCO est la principale cause d’insuffisance respiratoire chronique. L’objectif de ce dossier est de présenter le dispositif de surveillance de la BPCO et de l’insuffisance respiratoire chronique.

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire

Sujets associés


Bruits ou sifflements dans l’oreille

La sensation d’entendre des bruits fictifs ou anormaux dans une seule oreille ou les deux est un problème courant. Ces sons, appelés acouphènes ou tinnitus, peuvent prendre diverses formes. Par exemple, certaines personnes entendront un bourdonnement (aigu ou grave), tandis que d’autres se plaindront de sonnerie, de grondement ou de sifflement. Ces sons peuvent être continus ou intermittents et parfois suivre le rythme des battements du cœur. Les acouphènes sont davantage fréquents lorsque les gens vieillissent.

Voir en ligne : Guide Santé du gouvernement Québécois

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Brûlures cutanées

Les brûlures peuvent être causés par des agents thermiques, électriques ou chimiques. Près de 70% des brûlures sont domestiques ; 90% ont une origine thermique et sont en rapport avec l’exposition à une flamme ou un liquide chaud. Dans 2/3 des cas, le brûlé est un adulte jeune ; dans 15% des cas un enfant.

Voir en ligne : Conseil National de l’Ordre des Médecins en collaboration avec la Direction de Médecine Scolaire et Universitaire

Sujets associés


Brûlures de la main chez l’enfant - Incidence du Poële à pétrole

Le poële à pétrole est revenu fréquemment comme cause de brûlures chez les petits enfants au cours de ces dernières années. Ceci a été constaté dans le Service des Brûlés, et il a donc été décidé d’évaluer plus précisément ce problème.

Voir en ligne : Docteur Jean-Marie VERBOIS | Institut Saint-Pierre - 34250 Palavas-Les-Flots

Sujets associés


Brûlures Etendues récentes - Diagnostic et traitement initial

Très fréquente, la brûlure superficielle peu étendue ne nécessite qu’un traitement par topiques locaux. Etendue cette atteinte plus ou moins profonde du recouvrement cutané peut mettre en jeu le pronostic vital. Un diagnostic précoce et un traitement rapidement entrepris sauvegarderont le pronostic et minimiseront la rançon cicatricielle et fonctionnelle.

Voir en ligne : Commission de soins d’urgence de la Société Française d’Etude et de Traitement des Brûlures

Sujets associés


Bufexamac (Parfenac) : retrait des autorisations de mise sur le marché

Le 27 juillet 2010, la Commission européenne a demandé le retrait de toutes les autorisations de mise sur le marché (AMM) des médicaments contenant du bufexamac. Cette décision fait suite aux recommandations émises par l’Agence européenne du médicament (EMA), en raison du risque élevé d’allergies de contact, parfois graves, avec le bufexamac. En conséquence, l’Afssaps retire l’AMM du Parfenac®, seul médicament concerné en France. Le Parfenac® ne sera plus disponible à compter du 14 septembre 2010.

Voir en ligne : AFSSAPS : Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé

Sujets associés


Bulletin Allergo-pollinique - remis à jour très réguliérement

Pollens : les caprices de la météo !

Voir en ligne : Réseau National de Surveillance Aérobiologique (R.N.S.A.)

Sujets associés


Bulletin de surveillance de la grippe - Les points clés au 15/12/2010

  • Confirmation de la hausse de l’activité grippale en France
  • Cas graves et décès liés au virus A(H1N1)2009 signalés au Royaume-Uni

Voir en ligne : Institut de veille sanitaire (InVS)

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Bulletin d’actualisation A(H1N1) de la Société de Réanimation de Langue Française

La grippe H1N1 a désormais atteint l’Europe. Les premiers patients ont été admis en réanimation dans notre pays. Personne ne peut dire encore quelle sera l’ampleur de la vague épidémique, mais l’expérience des pays de l’hémisphère sud a montré un afflux de patients présentant des atteintes pulmonaires graves dans les services de réanimation. Parmi ces patients, une forte proportion était constituée de patients jeunes, sans co-morbidité préexistante, atteints de syndromes de détresse respiratoire aiguë très sévères ayant requis une ventilation mécanique au minimum « protectrice » et, parfois, des assistances respiratoires extracorporelles. De plus, l’arrivée de ces patients atteints du virus H1N1 va coïncider avec la période hivernale habituelle de tension sur les services de réanimation déjà très sollicitées par les effets de la grippe saisonnière.

Voir en ligne : SRLF Société de Réanimation de Langue Française

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Bulletin épidémiologique grippe A (H1N1) 2009 / Point de situation au 18 août 2009

En métropole, la circulation du virus est avérée mais reste limitée. Les données de la « surveillance populationnelle » montre que le seuil épidémique n’est pas atteint. Du 10 au 16 août 2009, le nombre de consultations pour grippe clinique estimé par le réseau Sentinelles reste stable à 36 pour 100 000 habitants soit environ 22 000 consultations.

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire

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Bulletin épidémiologique grippe A (H1N1) 2009 / Point de situation au 22 septembre 2009

En métropole, la circulation du virus A (H1N1) 2009 se poursuit.
Du 14 au 20 septembre 2009, l’incidence des consultations pour grippe clinique estimée par le Réseau Sentinelles continue d’augmenter à 262 cas pour 100 000 habitants – le seuil épidémique est de 90 cas pour 100 000 habitants. L’excès de consultations pour grippe clinique cette semaine est estimé à 151 000 consultations (nombre de consultations supplémentaires par rapport à la moyenne des années précédentes pour la même semaine).

Voir en ligne : INVS Institut de Veille Sanitaire

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Bulletin épidémiologique grippe A (H1N1) 2009 / Point de situation au 28 octobre 2009

En France métropolitaine
Une nette augmentation des recours aux soins pour grippe clinique en ville, selon le réseau Sentinelles et SOS Médecins, et à l’hôpital (Oscour®), se poursuit en Île-de-France et touche également, de façon moindre, les plus grands centres urbains. Selon les données du réseau des Grog et des Centres nationaux de référence Influenzae, le nombre de consultations pour grippe A (H1N1) 2009 est estimé à 167 000. Le taux de prélèvements positifs est beaucoup plus élevé que les semaines précédentes. Le nombre de signalements de cas hospitalisés en réanimation ou soins intensifs continue à croître. En semaine 43, 76 patients ont été hospitalisés, dont 22 cas graves. Ces éléments confirment l’intensification de l’épidémie de grippe A (H1N1) 2009 sur le territoire métropolitain.

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire

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Bulletin épidémiologique grippe A (H1N1) 2009 / Point de situation au 8 septembre 2009

En métropole, la circulation du virus A (H1N1) 2009 s’intensifie. Selon les données du réseau Sentinelles, du 31 août au 6 septembre 2009 (semaine 36), l’incidence des consultations pour grippe clinique est en augmentation à 83 cas pour 100 000 habitants et se situe légèrement au-dessus du seuil épidémique (80/100 000 habitants). Ce léger dépassement du seuil épidémique devra être confirmé la semaine prochaine pour marquer une réelle évolution.

Voir en ligne : INVS

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Bulletin épidémiologique grippe A (H1N1) 2009, point au 25 août 2009

En métropole, la circulation du virus est avérée mais reste limitée. Du 17 au 23 août 2009, l’incidence des consultations pour grippe clinique reste inférieure au seuil épidémique. Elle est estimée à 45 cas pour 100 000 habitants par le réseau Sentinelles, ce qui correspond à environ 28 000 consultations. Le nombre de patients vus en consultation de médecine de ville pour grippe A (H1N1) 2009 la semaine dernière est estimé à environ 4 500. Les incertitudes autour de cette estimation doivent conduire à interpréter ce résultat avec prudence.

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire

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Bulletin épidémiologique grippe. Point au 21 janvier 2015

  • Franchissement du seuil épidémique national
  • Début de l’épidémie à confirmer la semaine prochaine.
  • Moitié sud de la métropole plus touchée
  • La part de la grippe parmi les consultations est plus élevée dans la moitié sud de la métropole.
  • Majorité des virus grippaux A(H3N2) en France et en Europe
  • Ces virus grippaux sont connus pour provoquer des complications chez les personnes à risque.
  • Couverture vaccinale des populations à risque insuffisante et efficacité du vaccin à évaluer
  • Les virus B et A(H1N1) circulant sont identiques à la souche vaccinale ce qui n’est pas le cas pour la souche A(H3N2).
  • Augmentation de la mortalité chez les personnes de 85 ans et plus
  • La part attribuable à la grippe dans ces décès n’est pas connue.

Voir en ligne : InVS Institut de veille sanitaire


Bulletin épidémiologique grippe. Point au 28 janvier 2015.

Début de l’épidémie confirmé
Le seuil épidémique a été franchi en semaine 3 et 4, confirmant le début de l’épidémie grippale.
Ensemble de la métropole touchée
Toutes les régions observent une augmentation des consultations pour syndromes grippaux.
Majorité des virus grippaux A(H3N2) en France et en Europe
Ces virus grippaux sont connus pour provoquer des complications chez les personnes à risque.
Couverture vaccinale des populations à risque insuffisante et efficacité du vaccin à évaluer
Les virus B et A(H1N1) circulant sont identiques à la souche vaccinale ce qui n’est pas le cas pour la souche A(H3N2). Le vaccin reste le meilleur outil de prévention même si son efficacité contre A(H3N2) n’est probablement pas optimale.
Mortalité supérieure aux valeurs attendues
Cet excès de mortalité toutes causes touche essentiellement les personnes de 85 ans et plus. La part attribuable à la grippe dans ces décès n’est pas connue.

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire

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Bulletin GROG : 2014/5 du 27/01/2014 au 02/02/2014 Grippe : épidémique

Selon les données du Réseau des GROG – semaine 5 (du lundi 27 janvier au dimanche 2 février 2014) :

  • Selon les critères définis par le Réseau des GROG, la grippe est maintenant épidémique au niveau national et dans 10 régions métropolitaines (Auvergne, Bourgogne, Ile-de-France, Languedoc-Roussillon, Lorraine, Midi-Pyrénées, Picardie, Poitou-Charentes, PACA et Rhône-Alpes).

Voir en ligne : Grog - Groupes Régionaux d’Observation de la Grippe

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Burnout : mieux connaître l’épuisement professionnel

Bien que le burnout semble une problématique de santé au travail assez récente, ce concept n’est pas nouveau dans la mesure où il est apparu dans le milieu des années 1970. Mais que recouvre exactement le burnout ? Cet article est l’occasion de faire le point sur ce syndrome, d’examiner sa place dans le champ des risques psychosociaux et d’aborder l’utilité de ce concept pour les acteurs de la santé au travail.

Voir en ligne : INRS - Santé et sécurité au travai

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Calcul biliaire (lithiase)

  • Quels sont les deux principaux types de calculs biliaires ?
  • La lithiase biliaire est-elle fréquente ?
  • Quels sont les principaux facteurs favorisant la formation de calculs biliaires cholestéroliques ?
  • Comment se forme un calcul biliaire ?
  • Comment se révèle un calcul biliaire vésiculaire ?
  • Qu’est ce qu’une crise de "colique hépatique" ?
  • Quel est le traitement symptomatique de la crise de colique hépatique ?

Voir en ligne : Collège des enseignants d’hépato-gastroentérologie.

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Calcul des apports calciques quotidiens

Afin de vous permettre de calculer vos apports calciques quotidiens (quantité de calcium apporté chaque jour par votre alimentation), le GRIO met à votre disposition un outil de calcul en ligne : il s’agit d’un test mis au point par l’équipe scientifique du Centre hospitalier Universitaire d’AMIENS (*). Ce test ne prend que quelques minutes. Son exactitude dépend du soin appoté aux réponses. Vous pourrez en imprimer les résultats.

Voir en ligne : Groupe de Recherche et d’Information sur les Ostéoporoses

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Calendrier des vaccinations 2015

Le calendrier vaccinal fixe les vaccinations applicables aux personnes résidant en France en fonction de leur âge, émet les recommandations vaccinales générales et des recommandations vaccinales particulières propres à des conditions spéciales (risques accrus de complications, d’exposition ou de transmission) ou à des expositions professionnelles. Par ailleurs, le calendrier insère des recommandations vaccinales spécifiques pour les personnes immunodéprimées, leur entourage proche et les professionnels de santé à leur contact.

Voir en ligne : INPS Institut national de prévention et d’éducation pour la santé

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Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2009 selon l’avis du Haut conseil de la santé publique

La présentation du calendrier vaccinal change. Le but est de le rendre plus lisible : les vaccins sont présentés par ordre alphabétique et les différents aspects (recommandations générales, recommandations particulières et en milieu professionnel) sont traités dans le même chapitre. Les recommandations aux voyageurs ne sont plus abordées, un autre numéro du BEH leur étant spécifiquement consacré. Des tableaux synoptiques pour l’enfant, l’adulte, en milieu professionnel ainsi que les schémas de rattrapage sont proposés.

Voir en ligne : Bulletin épidémiologique hebdomadaire N° 16-17

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Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2011 selon l’avis du Haut Conseil de la santé publique

Le calendrier vaccinal 2011 introduit de nouvelles recommandations qui concernent les vaccinations contre la fièvre jaune, la grippe saisonnière, les infections invasives à méningocoque, les infections à papillomavirus humains (HPV) et la rougeole.

Voir en ligne : Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé

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Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2014

Pour lancer la semaine européenne de la vaccination, Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, a présenté aujourd’hui au centre de vaccination Charles Bertheau (Paris 13ème) les grandes lignes du calendrier vaccinal 2014, mis à jour sur la base des recommandations du Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP).

Voir en ligne : Ministère des Affaires sociales et de la Santé

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Calendrier du dépistage des cancers

Destiné à l’usage des professionnels de santé - État des connaissances au 1er février 2008

Voir en ligne : Institut National Du Cancer

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Calendrier vaccinal 2012 : « Chez les adolescents et les adultes jeunes, ne pas perdre une opportunité de mettre à jour le carnet de vaccination… »

Le Calendrier vaccinal 2012 vient d’être publié dans le BEH du 10 avril. Quelles en sont les nouveautés ? Cette édition 2012 comporte peu d’innovations : souvent les médecins trouvent qu’il y a trop de modifications, pour une fois ce n’est pas le cas.

Voir en ligne : Entretien avec le Pr Daniel Floret, président du Comité technique des vaccinations, membre du Haut Conseil de la santé publique (HCSP).

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Calmants et somnifères

Evitez les somnifères ou les calmants sauf si vous n’avez pas d’autres choix. En effet, si vous en prenez trop longtemps, vous pourriez devenir dépendant. Il existe d’autres manières de lutter contre les troubles du sommeil, l’anxiété ou le stress. Parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien et consultez les autres possibilités sur ce site.

Voir en ligne : SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement


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Campagne d’information sur les complications loco-régionales consécutives à la vaccination BCG.

Depuis l’arrêt de commercialisation du vaccin BCG avec applicateur multipuncture (Monovax®) en décembre 2005, le vaccin est aujourd’hui administré uniquement par voie intradermique (BCG SSI®). Ce changement de pratique a coïncidé avec une augmentation du nombre de réactions indésirables graves, notamment l’observation plus fréquente d’abcès locaux. Un plan national de gestion des risques (PGR) a été mis en place afin de minimiser le risque de survenue de ces manifestations indésirables.

Voir en ligne : AFSSA Agence française de sécurité sanitaire des aliments

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Canal carpien ou « tunnel carpien »

Les personnes atteintes du syndrome du canal carpien (« carpal tunnel syndrome » en anglais) présentent des engourdissements, des picotements et/ou de la faiblesse dans une main (en général au pouce, à l’index et au majeur), par suite d’une compression du nerf médian. Le nerf médian transporte les sensations d’environ la moitié de la main, du côté du pouce, et participe aux mouvements cette région. Pour traverser le poignet, le nerf médian doit franchir une zone étroite appelée canal carpien. Lorsque ce canal se rétrécit, le nerf est écrasé et fait mal son travail : il en résulte des engourdissements et/ou de la faiblesse.

Voir en ligne : Portail Québec

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Cancer colorectal : le médecin traitant acteur du dépistage organisé du cancer colorectal

En vue de réduire la mortalité par cancer colorectal, les pouvoirs publics ont mis en place un programme national de dépistage organisé du cancer colorectal pour les femmes et les hommes de 50 à 74 ans à risque moyen. Ce programme repose sur la réalisation d’un test de recherche de sang dans les selles tous les deux ans. Votre implication dans ce programme de dépistage est un facteur d’adhésion essentiel des personnes concernées et elle garantit à vos patients un conseil et une orientation adaptés à leur niveau de risque

Voir en ligne : L’Institut National du Cancer

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Cancer de la prostate « Dépistage » ou « détection précoce » ?

Comme dans de nombreux pays, le cancer de la prostate est le premier cancer de l’homme en France avec plus de 70 000 nouveaux cas en 2010. Son incidence a plus que triplé depuis l’utilisation intensive du dosage sérique du PSA au début des années 1980, sans doute aussi en conséquence du vieillissement de la population, de l’amélioration des techniques diagnostiques et de la déclaration des cas. Sa mortalité tient la troisième place avec 9 300 décès en 2009, soit 3 % des causes de décès chez l’homme après les cancers du poumon et du côlon-rectum. Si l’utilisation du dosage de PSA permet de diagnostiquer plus de cancers de la prostate, l’incertitude demeure, après les résultats contradictoires des deux grands essais randomisés PLCO et ERSPC publiés en 2009, quant à sa capacité à diminuer la mortalité [1, 2].

Voir en ligne : Paul Perrin , CHU La Pierre-Bénite, Service d’urologie, Lyon

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Cancer des voies aéro-digestives supérieures

L’objectif de ce guide, adressé aux médecins traitants, est d’expliciter la prise en charge optimale et le parcours de soins d’un patient admis en ALD pour un cancer des voies aéro-digestives supérieures. Méthode. Dans le cadre de l’élaboration des guides de l’ALD 30 « Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique », l’Institut National du Cancer (INCA) apporte son expertise et définit le contenu médical du guide ALD selon la méthodologie définie par la Haute Autorité de Santé et sous son pilotage.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Cancer du col de l’utérus - La Haute Autorité de Santé recommande la mise en place d’un dépistage national organisé

Saisie par la ministre de la santé, la Haute Autorité de Santé a évalué les différentes stratégies de dépistage du cancer du col de l’utérus, qui atteint chaque année en France 3 000 nouvelles femmes et en tue plus de 1000. Pour ce cancer de la femme jeune - celles de 40 ans sont les plus touchées, la HAS recommande aujourd’hui aux pouvoirs publics de mettre en place un dépistage national organisé afin de répondre à la nécessité d’un frottis cervico-utérin tous les 3 ans de l’ensemble des femmes de 25 à 65 ans.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Cancer du col de l’utérus : d’abord une question de dépistage méthodique

Le Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE), en collaboration avec l’Institut de Santé Publique (ISP), s’est penché sur l’utilité du frottis dans le dépistage préventif du cancer du col et plaide pour un encadrement de l’organisation du dépistage si les décideurs veulent réduire le nombre de décès par cancer du col en Belgique. Rien n’indique pour l’instant que la recherche du Papillomavirus humain (HPV) en dépistage primaire chez toutes les femmes cause plus de bien que de tort.

Voir en ligne : Le Centre fédéral d’expertise des soins de santé (Belgique)

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Cancer du poumon : Des chercheurs israéliens découvrent un nouveau type de radiothérapie

Avec l’ensemble des recherches pour trouver un remède pour le cancer, la radiothérapie est encore considérée par les experts comme l’un des traitements les plus fiables dans la lutte contre la maladie. En effet, des groupes tel que American Cancer Society classe la radiothérapie comme l’un des meilleurs traitements pour de nombreux types de cancer, avec la chirurgie, la chimiothérapie et d’autres formes courantes de traitement.

Voir en ligne : Siiconwadi.fr

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Cancer du Sein (principes de prise en charge)

Ce référentiel, dont l’utilisation s’effectue selon les principes déontologiques d’exercice personnel de la médecine, a été élaboré par un groupe de travail pluridisciplinaire de professionnels des réseaux de cancérologie de Lorraine, de Bourgogne et d’Alsace, ONCOLOR, ONCOBOURGOGNE et CAROL, en tenant compte des recommandations nationales, et conformément aux données acquises de la science au 10 août 2012. Les professionnels du réseau de cancérologie de Franche-Comté, ONCOLIE, ont assisté et participé au séminaire ainsi qu’à la relecture du document.

Voir en ligne : OncologiK

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Cancer Environnement

Portail officiel d’information sur les risques de cancers liés à l’environnement, les expositions professionnelles ou la nutrition. Site portail d’information des publics sur les risques de cancer en lien avec des expositions environnementales, professionnelles ou des comportements individuels. Les informations du site s’appuient sur une synthèse des données actuelles de la science.

Voir en ligne : Cancer Environnement

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Cancer et douleur : toutes les solutions

C’est vrai : le cancer et ses traitements peuvent occasionner des douleurs, mais elles peuvent aussi être efficacement soulagées. Autrefois considérées comme une fatalité, elles sont devenues un élément de premier plan de la prise en charge du cancer pour le bien-être et la qualité de vie des patients.

Voir en ligne : Institut Curie

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Cancer : Détection par l’haleine

Des chercheurs israéliens mettent au point un test de l’haleine, du même type qu’un alcootest, qui permet de détecter les cancers du poumon, du sein, des intestins et de la prostate. Un simple test de l’haleine mis au point par des chercheurs israéliens permet de détecter les cancers du poumon, du sein, des intestins et de la prostate.
Source :British Journal of Cancer

Voir en ligne : (Source : Radio-Canada)

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Canicule et chaleurs extrêmes

Vous trouverez sur cette rubrique en cas de fortes chaleurs, les outils de communication ainsi que les actions et les mesures mises en place par le ministère de la santé.
La plate forme téléphonique Canicule info service (appel gratuit) : 0 800 06 66 66 vous informe également du lundi au samedi de 08 h à 20 h.

Voir en ligne : Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé (Secteur Santé)

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Canicule et fortes chaleurs : comprendre les risques

La santé de chacun peut être en danger quand ces 3 conditions sont réunies :
il fait très chaud ;
la nuit, la température ne descend pas, ou très peu ;
cela dure plusieurs jours.

Voir en ligne : INPES Institut national de prévention et d’éducation pour la santé

Sujets associés


Canicule et médicaments

L’exposition d’un individu à une température extérieure élevée, pendant une période plus ou moins longue, sans possibilité de récupération, est susceptible d’entraîner de graves complications dues à une réponse insuffisante ou inadaptée des mécanismes de thermorégulation.

Voir en ligne : AFSSAPS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

Sujets associés


Canicule et produits de santé

L’exposition d’un individu à une température extérieure élevée, pendant une période plus ou moins longue, sans possibilité de récupération, est susceptible d’entraîner de graves complications dues à une réponse insuffisante ou inadaptée des mécanismes de thermorégulation.

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

Sujets associés


Carence martiale sans anémie – un sujet brûlant ?

Conséquences non hématologiques de la carence martiale : lesquelles sont confirmées, quand sont-elles importantes ? Les effets non hématologiques de la carence martiale sont connus depuis fort longtemps. Les problèmes cutanés et muqueux spécifiques ne se produisent la plupart du temps qu’avec une anémie manifeste. Baisse des performances physiques, troubles cognitifs, thermorégulation perturbée et fatigue ont eux aussi été décrits dans une carence martiale sans anémie et répondent à un traitement de fer.

Voir en ligne : Forum Med Suisse

Sujets associés


Carte à débit différé une solution pour éviter le tiers payant généralisé ?

Depuis 2006, le CIC-Crédit mutuel propose à ses clients qui ont souscrit auprès de lui une assurance santé de bénéficier d’une carte spécifique, leur permettant de ne voir les frais liés à des dépenses de santé débités uniquement après obtention de leur remboursement. Le dispositif fonctionne bien et satisfait dans la grande majorité des cas les titulaires de cette carte, ainsi que les professionnels de santé chez lesquels elle est utilisée.

Voir en ligne : JIM

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Cas de narcolepsie avec cataplexie notifiés en France à la suite d’une vaccination contre le virus de la grippe A/H1N1

Le 18 août 2010, la Suède a informé l’Agence européenne du Médicament (EMA) et l’ensemble des états membres, de la survenue de 6 cas de narcolepsie chez des enfants âgés de 12 à 16 ans, un à deux mois après une vaccination par Pandemrix®. En France, depuis le 23 août, 6 cas de narcolepsie avec cataplexie constatés chez des personnes ayant été vaccinées contre la grippe A/H1N1 ont été signalés à l’Afssaps. Ces données de pharmacovigilance font actuellement l’objet d’une évaluation par l’EMA en collaboration avec les autorités de santé européennes dont l’Afssaps. A ce stade, un lien entre la vaccination contre la grippe A/H1N1 et la survenue de narcolepsie n’a pas été établi.

Voir en ligne : AFSSAPS : Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé<

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Cas graves d’intoxications liées à la consommation de champignons, notamment d’amanites phalloïdes

Depuis la mi-septembre 2010, 14 cas d’intoxications liées à la consommation d’amanites phalloïdes ont été recensés par les centres antipoison, auxquels s’ajoutent 10 cas graves d’intoxication à d’autres champignons. Les conséquences sur la santé en ont été graves : troubles digestifs sévères, atteintes du foie ayant pu nécessiter une greffe. Ces intoxications ont conduit à des hospitalisations, pour la moitié d’entre elles en réanimation. Une personne est décédée.

Voir en ligne : DGS - Direction Générale de la santé

Sujets associés


Cas groupés de A(H1N1)2009 résistant à l’oseltamivir, USA et Grande-Bretagne

Les mutations des virus influenza surviennent soit spontanément soit par l’échange de matériel génétique avec d’autres souches soit sous la pression de sélection par des traitements antiviraux qui favorisent l’émergence de souches résistantes en éliminant les souches sensibles. La majorité de ces mutations n’a pas de conséquence sur la virulence ou les caractéristiques du virus.

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire

Sujets associés


Cas probable de syndrome de Guillain-Barré

Un cas probable de syndrome de Guillain-Barré a été signalé mardi dernier dans le cadre du dispositif de pharmacovigilance de la vaccination de la grippe A (H1N1). Il s’agit d’une forme modérée et uniquement sensitive, qui a évolué favorablement.

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Sports - l’hospitalisation et l’organisation des soins

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Cataracte - Qu’est-ce que c’est ?

Brève description Symptômes Causes Facteurs de risque Traitements Evolution et complications possibles Prévention Quand contacter le médecin ? Informations utiles au médecin Examens Références Voir l’indexation

Voir en ligne : Planète Santé

Sujets associés


Cataracte. Ce qu’il faut savoir

Connaître les signes d’appel d’une cataracte .Connaître les étiologies et pouvoir orienter le bilan clinique et paraclinique. Pouvoir expliquer au patient :le mécanisme de la baisse d’acuité visuelle, l’évolution de l’affection non traitée, les grandes lignes du traitement chirurgical, de quoi dépend la récupération d’une bonne vision, les suites et le suivi postopératoires.

Voir en ligne : CHU Pitié- Salpétriére

Sujets associés


Cataractes (opacification du cristallin)

La cataracte est une opacification du cristallin. Celui-ci, situé dans la partie avant de l’oeil, dirige la lumière vers la rétine dans la partie arrière, pour y former les images qu’on voit. La cataracte peut affecter le cristallin en partie ou en entier. Si la vue n’est pas trop embrouillée, il n’est pas nécessaire d’enlever le cristallin, mais, si l’opacité en affecte la partie centrale, il faudra peut-être l’extraire pour restaurer la vue.

Voir en ligne : Service d’information de la société canadienne d’ophtalmologie

Sujets associés


CCNE Comité Consultatif National d’Éthique pour les sciences de la vie et de la santé

« Le Comité Consultatif National d’Ethique pour les sciences de la vie et de la santé a pour mission de donner des avis sur les problèmes éthiques et les questions de société soulevés par les progrès de la connaissance dans les domaines de la biologie, de la médecine et de la santé. » Loi du 6 août 2004. La première mission du Comité est de produire des avis et rapports sur les questions dont il est saisi. Sa liberté et son indépendance donnent à ses recommandations une réelle légitimité.

Voir en ligne : CCNE

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CCQ (céphalées chroniques quotidiennes) : diagnostic, rôle de l’abus médicamenteux, prise en charge

Les recommandations ont pour objectifs d’améliorer le diagnostic et la prise en charge des céphalées chroniques quotidiennes (CCQ), qui sont insuffisamment connues des professionnels et du public, et plus particulièrement des CCQ par abus médicamenteux en raison de leur fréquence, de leur non-reconnaissance et des particularités de leur prise en charge.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Ce qu’il faut savoir sur la varicelle

La varicelle est une maladie virale très contagieuse. Autrefois très répandue, son incidence a considérablement chuté grâce à la vaccination systématique des enfants. Avant l’arrivée du vaccin contre la varicelle, environ 4 millions d’enfants souffraient de la varicelle chaque année aux États-Unis, et elle causait 100 décès par année. La varicelle peut être grave, notamment chez les nourrissons, les adultes et les personnes dont le système immunitaire est compromis.

Voir en ligne : L’Hôpital de Montréal pour enfants

Sujets associés


Ce que le médecin doit savoir sur la dépression

A l’échelle mondiale, la dépression reste une affection psychique toujours sous-diagnostiquée et sous-traitée, qui est à l’origine d’une grande souffrance pour les patients et leur entourage. En se positionnant avant le VIH et les cardiopathies coronariennes, la dépression est l’affection la plus souvent responsable de handicaps significatifs et de coûts élevés pour la société. La dépression est également associée à une mortalité élevée par suicide.

Voir en ligne : PrimaryCare - Journal suisse de médecine de premier recours

Sujets associés


Ce que vous devez savoir sur les médicaments génériques

Votre médecin vous a prescrit un médicament générique ou votre pharmacien vous propose de « substituer » un générique à votre médicament habituel ?

  • Contient la même substance active, au même dosage, que le médicament original .
  • Est commercialisé par différents laboratoires pharmaceutiques : son aspect ou sa présentation (couleur, forme) peuvent changer.
  • Est contrôlé de la même façon que tous les médicaments : la qualité de fabrication et l’équivalence avec le médicament original sont validées par l’Afssaps avant la mise sur le marché.
  • Le médicament générique est donc aussi efficace et aussi fiable que votre médicament habituel.

Voir en ligne : AFSSAPS - le bon usage des produits de sante

Sujets associés


Centre français d’informations sur les phtalates

Un site web où trouver les informations sur l’usage sans risque des plastifiants les plus utilisés dans le monde, les phtalates.

Voir en ligne : phtalates.info

Sujets associés


Centre National de Référence du Paludisme pour la France métropolitaine

Le paludisme, du latin paludis, « marais », aussi appelé malaria, est une maladie infectieuse due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Le parasite du paludisme est transmis lors de la piqûre par une femelle moustique du genre Anopheles, elle-même contaminée après avoir piqué un animal homéotherme impaludé. Le parasite infecte les cellules hépatiques de la victime puis circule dans le sang, en colonisant les hématies et en les détruisant

Voir en ligne : CHU Pitié-Salpêtrière

Sujets associés


Centres Antipoison et de Toxicovigilance

Les centres Antipoison sont des centres d’information sur les risques toxiques de tous les produits existants, médicamenteux, industriels et naturels. Ils ont un rôle d’information auprès des professionnels de santé et du public et apportent une aide par téléphone au diagnostic, à la prise en charge et au traitement des intoxications.

Voir en ligne : centres-antipoison.net

Sujets associés


Céphalées

Certaines céphalées, ou céphalalgies, comptent parmi les affections du système nerveux les plus répandues. Ces pathologies touchent quantité de personnes et, dans de nombreux cas, de façon permanente. Le mal de tête est la manifestation douloureuse et souvent incapacitante d’un nombre relativement restreint de céphalées primitives. Il peut également être secondaire à un très grand nombre d’autres affections. La International Headache Society a établi une classification détaillée d’un large éventail de céphalées.

Voir en ligne : OMS

Sujets associés


Cervicobrachialgies : quelle prise en charge ? Le point de vue du rhumatologue

Un patient de 50 ans suivi pour une hypertension artérielle et une surcharge pondérale consulte pour des douleurs cervicales irradiant dans l’épaule puis le membre supérieur droit devenant progressivement très douloureuses. Ces douleurs sont apparues dix jours après un accident de voiture avec traumatisme crânien simple.

Voir en ligne : Article de Philippe Dussoix - Revue Médicale Suisse

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Champignons aux ongles

On appelle onychomycose l’infection des ongles par des champignons microscopiques. On retrouve le plus souvent ces infections chez les adultes. Elles atteignent les ongles des orteils plus souvent que ceux des mains. Elles s’accompagnent souvent de pied d’athlète (voir la page Pied d’athlète).

Voir en ligne : Collège québécois des médecins de famille.

Sujets associés


CHAMPIX (varénicline) - Intérêt clinique en seconde intention dans le sevrage tabagique après échec des traitements nicotiniques de substitution

CHAMPIX, agoniste partiel des récepteurs nicotiniques cérébraux à l’acétylcholine, est indiqué dans le sevrage tabagique de l’adulte. Compte tenu des effets indésirables, en particulier ceux en relation avec le suicide et l’état dépressif, le rapport efficacité/effets indésirables de CHAMPIX est moyen. Il ne doit être utilisé qu’en seconde intention, après échec des traitements nicotiniques de substitution (TNS).

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Charbon - des informations concernant le bacille du charbon s’il est utilisé à des fins d’arme biologique.

Le charbon (ou Anthrax dans les pays anglo-saxons) est une maladie provoquée par une bactérie nommée Bacillus anthracis. Cette bactérie forme des spores et ce sont ces spores bactériennes qui pourraient être utilisées en tant qu’arme biologique, d’autant plus facilement qu’elles sont très résistantes dans le milieu extérieur. Diffusées par aérosol et inhalées, les spores sont à l’origine d’une forme de charbon appelée charbon pulmonaire. Cette forme n’est pas contagieuse d’homme à homme, mais sa mortalité est très importante si elle n’est pas traitée à temps.

Voir en ligne : Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports

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Charte de conformité ordinale applicable aux sites web des médecins

L’information en ligne peut améliorer le service médical rendu aux patients. Toutefois, ce moyen doit respecter les principes de l’éthique et de la déontologie.
Se fondant sur les dispositions du code de la santé publique, du code de déontologie médicale et sur les données apportées par le suivi des sites déjà créés, le conseil national de l’Ordre, dans le cadre de sa mission de protection de la santé publique et des patients, a publié en mai 2008 un rapport relatif à la Déontologie médicale sur le web.

Voir en ligne : Conseil national de l’Ordre des médecins

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Chiffres-clés 2011 de la Sécurité sociale

Régulièrement plébiscitée par les Français dans les enquêtes d’opinion, la Sécurité sociale n’en demeure pas moins méconnue dans son mode de fonctionnement et par les masses financières qu’elle est amenée à gérer. L’objectif de cette édition est de pallier cette lacune en présentant les principales données chiffrées sur la Sécurité sociale pour permettre une meilleure compréhension des enjeux auxquels elle est confrontée aujourd’hui, et mieux saisir son évolution.

Voir en ligne : securite-sociale.fr

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Chirurgie ambulatoire en urologie : texte des recommandations AFU Novembre 2013

L’objectif principal de ces recommandations est de permettre, à l’ensemble des urologues, de développer la pratique d’une chirurgie urologique ambulatoire de qualité, avec les mêmes conditions de sécurité qu’en hospitalisation traditionnelle, en intégrant les technologies et les concepts en organisation actuels et à venir. L’objectif secondaire est de fournir des documents d’information aux médecins généralistes et aux patients ainsi qu’à l’ensemble des co-intervenants en chirurgie ambulatoire de l’établissement de santé.

Voir en ligne : UROFRANCE

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Chirurgie ambulatoire – socle de connaissances

La chirurgie ambulatoire reste insuffisamment développée – seulement 4 opérations chirurgicales sur 10 sont effectuées en ambulatoire contre 8 sur 10 aux Etats-Unis – et mal connue en France. Dans la continuité de leur engagement conclu en décembre 2011, la HAS et l’ANAP publient ce jour un socle de connaissances sur la chirurgie ambulatoire. Cet état des lieux a un triple objectif : mettre à disposition des professionnels de santé un état des données publiées sur la chirurgie ambulatoire, informer les acteurs de santé des enjeux et des données relatives à la chirurgie ambulatoire et favoriser la construction des prochains outils destinés aux professionnels de santé.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Chirurgie bariatrique complexe en ambulatoire ?

Le développement de la chirurgie bariatrique ambulatoire concerne encore peu les procédures « complexes » telles que la sleeve gastrectomy ou le bypass gastrique alors qu’elle est devenue la norme pour l’anneau gastrique. Bien que sleeve et bypass soient des interventions pratiquées depuis de longues années par laparoscopie et très standardisées la pratique habituelle repose sur une hospitalisation de deux à trois jours. ...

Voir en ligne : e-Mémoires de l’Académie Nationale de Chirurgie 2014 France

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Chirurgie de la calvitie

Définitions, objectifs et principes La calvitie est particulièrement mal ressentie et mal vécue aussi bien chez l’homme que chez la femme. L’apparition des microgreffes a transformé cette chirurgie. Elle permet, en effet, de réduire l‘importance des interventions et les cicatrices résiduelles. Toutefois dans le domaine de la calvitie, il n’existe pas une technique unique qui puisse être appliquée à tous les cas. Le principe de ces traitements est toujours le même : prélever des cheveux dans la région de la couronne, où l’on est assuré qu’ils ne tomberont jamais, pour les transposer dans les régions du front et de la tonsure.

Voir en ligne : Portail de la chirurgie Plastique Reconstructrice et Esthétique

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Chirurgie de l’obésité. Nouvelles recommandations pour la prise en charge des patients

Ces recommandations ont été élaborées à la demande du ministère de la Santé, de la Société française et francophone de chirurgie de l’obésité et du Collège de la HAS qui a défini, en 2008, l’obésité comme un des axes prioritaires de travail. La chirurgie de l’obésité, dite bariatrique, s’est beaucoup développée en France où plus de 300 équipes la pratiquent aujourd’hui (...) Mais une étude réalisée par la Caisse nationale d’assurance maladie en 2002-2003 a montré notamment que la prise en charge et le bilan préopératoire des patients sont hétérogènes d’une équipe à l’autre.

Voir en ligne : Dr Valérie Lindecker-Cournil. Chef de projet - Service des bonnes pratiques professionnelles - HAS

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Chirurgie du syndrome du canal carpien : approche multidimensionnelle pour une décision pertinente

Le syndrome du canal carpien est une pathologie fréquente, le plus souvent idiopathique (sans cause médicale clairement identifiée). Son traitement peut comporter : des thérapeutiques non spécifiques (antalgiques), ou des thérapeutiques spécifiques. Ces dernières sont divisées en deux grandes catégories : conservatrices, ou chirurgicales.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Chirurgie d’une Hernie Discale lombaire - Qu’est ce qu’une Hernie Discale lombaire ?

Le rachis lombaire est constitué de 5 vertèbres. La dernière vertèbre lombaire (L5) s’articule avec le sacrum (S1). En arrière du corps vertébral se trouve le canal rachidien dans lequel passent les éléments nerveux. La moelle épinière s’arrête généralement à la fin du rachis dorsal (D12L1). Il n’y a donc plus, dans le canal vertébral lombaire, que les racines des nerfs, qui portent le nom de la vertèbre sus-jacente, L1, L2, L3 etc...

Voir en ligne : Société Française de Neurochirurgie

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Chirurgies de l’oeil. La vue retrouvée

L’œil est un organe complexe, aussi séduisant que performant - tant qu’il est sans défauts. Ceux-ci sont plus ou moins importants. Ils peuvent être corrigés par des lunettes ou des lentilles ou nécessiter des interventions plus pointues. C’est le cas du traitement de la myopie, mais aussi du kératocône, pour lequel les HUG sont centre de référence mondiale.

Voir en ligne : HUG - Hôpitaux Universitaires de Genève

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Choix du secteur de conventionnement et déterminants des dépassements d’honoraires des médecins

Cette étude analyse pour la première fois les comportements des médecins en matière de dépassements d’honoraires en France métropolitaine. La pratique des dépassements constitue aujourd’hui un enjeu majeur de santé publique : depuis les 10 dernières années, la part des médecins en secteur 2 (autorisés à pratiquer des dépassements) ne cesse de croître, et la part des dépassements dans les honoraires totaux de ces médecins progresse constamment. Si les généralistes s’installent actuellement presque exclusivement en secteur 1, ce n’est pas le cas des spécialistes

Voir en ligne : Vanessa Bellamy (Drees) Anne-Laure Samson (LEDa-Legos, Université Paris Dauphine)

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Choix d’une benzodiazépine chez le sujet âgé de plus de 65 ans et polypathologique ou après 75 ans

Lorsqu’un traitement par benzodiazépine est indiqué, l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé recommande de privilégier les substances d’action intermédiaire et sans métabolite actif (dites à “demi-vie courte”), car il existe un risque d’accumulation du médicament ou de ses métabolites lors de prises répétées.

Voir en ligne : Ameli.fr

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Choléra

Le choléra est une maladie diarrhéique épidémique, strictement humaine, due à des bactéries appartenant aux sérogroupes O1 et O139 de l’espèce Vibrio cholerae, un bacille isolé en 1883 par Koch en Egypte. Vibrio cholerae sérogroupe O1, biotype El Tor, est répandu sur toute la planète, qui subit actuellement la 7° pandémie de choléra.

Voir en ligne : Institut Pasteur

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Cholestérol : attention danger !!

Associations de patients, sociétés savantes médicales et associations de lutte contre les maladies cardiovasculaires et neurovasculaires, se rejoignent pour exprimer leur plus vive inquiétude devant la réaction de nombreux patients qui, à la suite de deux livres récents, ont décidé d’interrompre leur traitement pour excès de cholestérol (statines) ou diabète (gliptines ou analogues). En France, vingt millions de personnes sont à risque de maladies cardio-neurovasculaires qui représentent la seconde cause de mortalité dans notre pays et la première chez les femmes.

Voir en ligne : Communiqué de presse de plusieurs sociétés savantes

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Cholestérol : les statines très bien tolérées à long terme

Même après 10 années de traitement, les patients qui prennent des statines conservent l’effet protecteur contre les accidents cardiovasculaires, sans risque accru de cancer.

Voir en ligne : Heart Protection Study

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Chronique d’un début de pandémie

’Institut de veille sanitaire face à la pandémie, Que nous apprennent les pandémies du passé ?, Le point sur le virus de la nouvelle grippe A(H1N1)v, Cas d’infection par le nouveau virus de la grippe A(H1N1)v en France, situation au 5 juin 2009, VoozaFlu : un outil au service de la surveillance de la nouvelle grippe A(H1N1)v, Le point sur les paramètres épidémiologiques dans l’épidémie due au nouveau virus de la grippe A(H1N1)v, Adaptation du dispositif de surveillance à la situation épidémiologique, Manifestations cliniques observées dans les premières séries de cas de grippe due au virus émergent Influenza A(H1N1)v, Grippe A(H1N1)v : naissance d’une pandémie - Bilan mondial au 5 juin 2009

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire

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Chute des cheveux (alopécie)

L’alopécie est la chute des cheveux et des poils pouvant notamment survenir à l’occasion d’un traitement comme la chimiothérapie. Elle est temporaire. Chez la majorité des personnes, les cheveux et les poils repoussent à l’arrêt du traitement, parfois quelques mois après. Les cas de non-repousse sont très rares.

Voir en ligne : Institut National du Cancer

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Chutes répétées des personnes âgées : recommandations pour la prise en charge

Quel est l’enjeu de ces recommandations sur les chutes répétées des personnes âgées ?
Les chutes à répétition (plus de deux au cours des 12 derniers mois) concernent un quart des personnes âgées de plus de 80 ans. Elles sont associées à une forte morbi-mortalité, à une accélération de la perte d’autonomie (avec un taux d’institutionnalisation pouvant atteindre 40 %) et à un coût financier important. En 2005, la HAS et la Société française de documentation et de recherche en médecine générale (SFDRMG) avaient déjà établi une liste de recommandations pour la prévention de ces chutes. Ce travail, qui porte sur la prise en charge des personnes âgées de plus de 65 ans faisant des chutes répétées, vient en complément.

Voir en ligne : Dr Christine Revel Service des bonnes pratiques professionnelles – HAS

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Cicatrisation et traitement des pertes de substances cutanées étendues- Les escarres

La peau est un organe très exposé. La destruction cutanée peut être d’origine diverse (traumatique, infectieuse, tumorale, vasculaire, iatrogène). Sa réparation correspond à la cicatrisation. Selon la surface et la profondeur de la lésion, la fermeture du revêtement cutané sera spontanée, obtenue par soins locaux (cicatrisation dirigée) ou nécessitera un traitement chirurgical. Les méthodes de chirurgie plastique mises en oeuvre reposent sur les sutures, les greffes et les lambeaux, dont les indications vont de la simple plaie aux vastes pertes de substances.

Voir en ligne : Catherine BRUANT-RODIER Service de Chirurgie Plastique, Esthétique et Reconstructrice C.H.U. de Strasbourg

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Cigarette électronique - Point d’information

Depuis l’interdiction de fumer dans les lieux publics, les cigarettes électroniques se sont développées en tant qu’alternative à la cigarette classique, dont elles ont la même apparence. Selon leurs revendications ou leurs concentrations en nicotine, ces produits peuvent être considérés comme des médicaments ou des produits de consommation courante. Cependant, aucune cigarette électronique n’a reçu d’autorisation de mise sur le marché (AMM). Elles ne peuvent en aucun cas être vendues en pharmacie car elles ne figurent pas sur la liste des produits dont la délivrance y est autorisée.Aussi l’Afssaps recommande de ne pas consommer ce produit.

Voir en ligne : Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé)

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Circulaire relative à la prophylaxie des infections invasives à méningocoque

CONDUITE IMMEDIATE A TENIR EN CAS DE SUSPICION CLINIQUE DE PURPURA FULMINANS , en dehors du milieu hospitalier, tout malade présentant des signes infectieux et à l’examen clinique, lorsqu’il a été totalement dénudé, un purpura comportant au moins un élément nécrotique ou ecchymotique de diamètre supérieur ou égal à 3 millimètres, doit immédiatement recevoir une première dose d’un traitement antibiotique approprié aux infections à méningocoques, administrée si possible par voie intraveineuse, sinon par voie intramusculaire, et quel que soit l’état hémodynamique du patient.

Voir en ligne : DGS Direction générale de la santé

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Cirrhose alcoolique

Définition, Intérêt
Physiopathologie
Circonstances de Découverte
Diagnostic Positif
Diagnostics Différentiel, de Gravité, Pronostic
Evolution
Les complications et leur Traitement

Voir en ligne : www.medinfos.com

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Cirrhose du foie d’origine alcoolique

La cirrhose alcoolique du foie est une dégénérescence des tissus du foie causée par l’absorption d’alcool. La cirrhose est un mode de réaction du foie à diverses agressions, ce qui signifie que l’alcool n’est pas le seul toxique susceptible d’entraîner une dégradation hépatique de type cirrhotique. 10 à 15 % seulement des alcooliques développent une cirrhose.

Voir en ligne : Vulgaris médical

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Cirrhoses - Guide ALD n° 6 Liste des actes et prestations

L’objectif de ce guide est d’expliciter pour les professionnels de santé la prise en charge optimale et le parcours de soins d’un malade admis en ALD au titre de l’ALD 6 : cirrhose. C’est un outil pragmatique auquel le médecin traitant peut se référer, notamment au moment d’établir le protocole de soins conjointement avec le médecin-conseil et le patient

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de santé

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Classification des anémies

Diminution du taux d’hémoglobine...

Voir en ligne : Univerité de Rennes 1-Faculté de Médecine

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CLASSIFICATION DES CONTRACEPTIFS ORAUX

On peut les classer selon la génération du progestatif en 4 groupes. Au sein d’un groupe, les contraceptifs oraux peuvent être :

  • monophasique (composition identique de tous les comprimés)
  • biphasique (comportant 2 types de comprimés c’est-à-dire 2 paliers pour la dose d’estrogène et de progestatif)
  • triphasique (comportant 3 types de comprimés c’est-à-dire 3 paliers pour la dose d’estrogène et de progestatif)
  • multiphasique (comportant plus de 3 types de comprimés c’est-à-dire plus de 3 paliers pour la dose d’estrogène et de progestatif)

Voir en ligne : Afssaps- Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé

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Classification des contraceptifs oraux selon la génération du progestatif

Voir en ligne : Ministère de la Santé

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Classification et grades du lymphome non-Hodgkinien

Après avoir examiné les tissus prélevés lors d’une biopsie, les médecins peuvent déterminer le type de lymphome non-Hodgkinien présent. Chaque type de lymphome est classé en fonction des cellules normales d’origine. Les deux principales sortes de lymphocytes étant les lymphocytes T et les lymphocytes B, la plupart des lymphomes sont répertoriés comme "lymphome à cellules B" ou "lymphome à cellules T".

Voir en ligne : FRANCE LYMPHOME ESPOIR

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Clonazépam (RIVOTRIL®) per os utilisé hors AMM (notamment dans la douleur, les troubles anxieux et du sommeil) : Pourquoi et comment arrêter ? Mise au point

"L’Afssaps a modifié les conditions de prescription et de délivrance des formes orales de clonazépam (Rivotril®), dont la seule indication est le traitement de l’épilepsie. Cette décision a été motivée par un abus, une dépendance et un usage détourné importants et croissants chez les toxicomanes, accompagnés de l’émergence d’un trafic reposant essentiellement sur la falsification d’ordonnances, et une utilisation très élevée et persistante dans des situations hors autorisation de mise sur le marché (AMM) où le rapport bénéfice/risque du clonazépam n’est pas établi..."

Voir en ligne : Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé)

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Clostridium difficile

Le Clostridium difficile (C. diff) est une bactérie présente naturellement dans les intestins de 3 % des adultes et de 66 % des enfants. Le C. diff ne pose pas de problèmes chez les personnes en bonne santé. Cependant, certains antibiotiques utilisés pour soigner d’autres maladies peuvent modifier l’équilibre des « bonnes » bactéries dans les intestins. Lorsque cela se produit, la bactérie C. diff se multiplie et entraîne des symptômes tels que la diarrhée et la fièvre.

Voir en ligne : NHS

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Clostridium difficile : épidémiologie et prise en charge

Clostridium difficile est un agent pathogène responsable de diarrhées et colites associées à l’antibiothérapie. C. difficile est un bacille anaérobe Gram positif sporulé. Il existe différentes souches présentant des caractéristiques de virulence et des capacités de toxinogénèse très variables. Le mécanisme de survenue des diarrhées et colites dues à C. difficile est complexe et non complètement élucidé ; il est cependant admis que celles-ci ne sont pas liées au germe lui-même mais à la production de toxines. C. difficile libère deux exotoxines puissantes. La toxine A, en plus de son activité d’entérotoxine, possède, comme la toxine B, une activité cytotoxique. Des récepteurs spécifiques pour la toxine A ont été mis en évidence sur les membranes entérocytaires. Les deux toxines A et B entraînent une désorganisation des microfilaments cytosquelettiques, suivi d’une destruction cellulaire. Il s’ensuit une altération de la perméabilité des jonctions intercellulaires provoquant une augmentation de la perméabilité de la muqueuse intestinale, suivie d’une infiltration de la lamina propria par des neutrophiles.

Voir en ligne : Didier Pittet, Genève, et Andreas F. Widmer, Bâle

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Colite (généralités)

Le mot colite traduit des affections parfois très variées de cette partie du tube digestif.
La colite peut avoir 2 significations selon que l’on parle de colite aiguë ou chronique.
La colite aiguë possède diverses origines :
• Infectieuse (virale, bactérienne, champignon, parasite).
• Iatrogène (provoquée par des médicaments : laxatif irritant, antibiotiques).
• Radiothérapie (utilisation des rayons comme traitement).
• Problème circulatoire au niveau de la paroi intestinale, comme une diminution de l’arrivée du sang à ce niveau (ischémie).

Voir en ligne : Vulgaris-Médical

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Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs

Le CFAR est l’organisme agréé par la Haute Autorité de Santé (HAS) pour l’Accréditation des médecins anesthésistes-réanimateurs.

Voir en ligne : CFAR

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Colon irritable

On désigne par colon irritable un ensemble de symptômes chroniques, composé de maux de ventre et de perturbation des selles qui, bien que sans danger, peut s’avérer pénible au point d’affecter la qualité de vie des personnes atteintes. Contrairement à d’autres maladies intestinales (diverticulite, maladie de Crohn, colite ulcéreuse), le colon irritable est sans danger, et on n’y retrouve aucune anomalie de la muqueuse intestinale. Toutefois, il peut causer de l’inquiétude aux personnes atteintes.

Voir en ligne : Collège québécois des médecins de famille.

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Côlon irritable : antidépresseurs ou psychothérapie ?

Quelle est l’efficacité des antidépresseurs et des psychothérapies versus placebo sur les symptômes du syndrome du colon irritable de l’adulte. Cette méta-analyse apporte quelques arguments en faveur de l’efficacité des antidépresseurs tricycliques et ISRS dans la prise en charge des symptômes du syndrome du côlon irritable. Les recommandations actuelles de les envisager en deuxième ligne de traitement sont donc confirmées, avec davantage de preuves pour les imipraminiques. Pour les psychothérapies, le niveau de preuve d’efficacité est beaucoup plus faible et la pertinence clinique du bénéfice observé est discutable, mais nous ne disposons pas d’études de bonne qualité dans cette indication.

Voir en ligne : Minerva

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Coloscopie virtuelle. Méta-analyse des performances diagnostiques, indications et conditions de réalisation

En 2004, l’Agence Nationale d’Accréditation et d’Evaluation en Santé (ANAES) avait considéré que la seule indication validée de la coloscopie virtuelle correspondait à la situation de vidéo-coloscopie incomplète. Depuis, la coloscopie virtuelle a fait l’objet de progrès techniques et de nouvelles études cliniques et a parfois été présentée en date de cette évaluation comme l’alternative à la vidéo-coloscopie la plus aboutie. Dans ce contexte, ce rapport a pour objectif d’actualiser l’estimation des performances diagnostiques de la coloscopie virtuelle afin d’en préciser la place dans la stratégie d’exploration colique des patients soumis à un dépistage de lésions colorectales ou à un diagnostic de symptômes coliques.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Comité consultatif de bioéthique de Belgique

Le Comité consultatif de Bioéthique de Belgique a été créé par Accord de coopération du 15 janvier 1993 [1] signé par l’ Etat fédéral, les Communautés française, flamande et germanophone ainsi que la Commission communautaire commune.
Le Comité est une instance indépendante des Autorités qui l’ont créé.
Le Comité a une double mission :

  • rendre des avis sur les problèmes soulevés par la recherche et ses applications dans les domaines de la biologie, de la médecine et de la santé, ces problèmes étant examinés sous leurs aspects éthiques, sociaux et juridiques, en particulier sous ceux du respect des droits de l’homme ;
  • informer le public ainsi que les Autorités sur ces problèmes.

Voir en ligne : Service Public Fédéral Belge

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Comment agir contre le Moustique tigre

L’épidémie de dengue et la prolifération dans le sud de la France du Moustique Tigre (Aedes albopictus) ont conduit le ministère de la santé et les ARS à produire et diffuser un dépliant d’information. Celui-ci donne des recommandations pour se protéger du moustique et éviter sa prolifération. Eliminer les endroits où l’eau peut stagner, changer l’eau des plantes, couvrir les réservoirs d’eau font partie des gestes quotidiens qui permettent d’éloigner des habitations ces insectes nuisibles.

Voir en ligne : ARS Agence régionale de Santé

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Comment aider vos enfants à échapper au diabète de type 2

Jusqu’à tout récemment, le diabète de type 2 était aussi qualifié de « diabète adulte ». Aujourd’hui, le terme « adulte » a été laissé de côté, parce qu’un très grand nombre d’enfants souffrent de ce trouble métabolique qui survient quand l’organisme n’arrive pas à produire suffisamment d’insuline ou à l’utiliser correctement. L’insuline est une hormone qui aide à convertir les aliments ingérés en énergie utilisable par l’organisme.

Voir en ligne : Hôpital de Montréal pour enfants du Centre Universitaire de Santé Mc Gill

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Comment améliorer la compréhension de l’entretien d’annonce de diagnostics médicaux sérieux

Cet article traite de l’entretien médecin-patient en contexte d’annonce de diagnostics médicaux sérieux. Il présente une recherche soutenue par la Ligue contre le cancer qui visait la conception d’un produit Web destiné notamment aux futurs médecins. Inscrit dans le champ de la psychologie ergonomique, nous montrons comment notre posture et le processus d’investigation ont permis la conception d’un produit singulier alors que les formations classiques focalisent sur la pratique du médecin et utilisent un format injonctif, le nôtre emploie un format descriptif et présente l’activité collective qui opère en entretien d’annonce sous différents points de vue

Voir en ligne : Valérie Saint-Dizier de Almeida - Université de Lorraine

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Comment bien prescrire un opioïde fort dans les douleurs sévères ? N°2

"La brochure N°2 développe les questions relatives à l’initiation d’un traitement par opioïde fort ; certains freins à la prescription des opioïdes forts sont encore ressentis par les patients, comme la crainte des effets secondaires des produits ou la représentation négative des opiacés. Ce document a pour objectif de vous accompagner au travers de conseils, outils et recommandations, afin d’appréhender au mieux cette étape cruciale de la relation avec votre patient qu’est la prescription."

Voir en ligne : SFMG - Société Française de Médecine Générale

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Comment combattre la grippe ?

Vous pouvez prendre des mesures pour vous protéger contre l’un des pires « effets secondaires » de l’hiver, c’est-à-dire l’influenza, ou la grippe. Ces mesures simples comprennent se laver souvent les mains, tousser et éternuer dans votre bras/manche, obtenir un vaccin annuel contre la grippe et rester à la maison quand vous êtes malade.

Voir en ligne : Agence de la santé publique du Canada

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Comment évaluer l’hématurie

Pour nous comme pour nos patients, l’hématurie microscopique est souvent découverte par hasard lors d’analyses médicales. Il faut toutefois savoir que dans une proportion pouvant atteindre 10 %, ce symptôme peut témoigner d’un cancer urologique.

Voir en ligne : Lyne Laurendeau et Isabelle Gosselin | Le Médecin du Québec

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Comment éviter ou corriger la dénutrition chez les personnes âgées fragiles ou malades ?

ActualitéLes personnes âgées ne mangent pas toujours suffisamment pour couvrir leurs besoins. Perte musculaire, épuisement, risques de chute, vulnérabilité aux maladies infectieuses et aggravation des maladies chroniques, telles sont les conséquences directes de la dénutrition des personnes âgées fragiles ou malades. Ce phénomène toucherait en France près de 400 000 personnes de plus de 65 ans vivant à domicile, et 20 à 30% des personnes âgées dépendantes à domicile ou vivant en institution. Les principaux facteurs connus de risques liés à la dénutrition sont, entre autres, l’anorexie, les pathologies aiguës, le stress psychologique ou la dépression.

Voir en ligne : Afssa Sécurité sanitaire des aliments

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Comment j’explore ... une fièvre d’origine indéterminée chez le patient adulte ?

Les fièvres d’origine indéterminée (FOI) constituent un véritable défi pour l’interniste, avec plus de 200 causes possibles répertoriées. Dans leur approche, il importe de prêter attention à tous les éléments fournis par l’anamnèse, l’examen physique et certains examens de base. Les indices recueillis guideront alors la prescription d’examens complémentaires judicieux. Dans le cas où ces indices n’apparaissent pas ou sont peu pertinents, le patient pourra faire l’objet, entre autres, d’un pet-scan dont l’intérêt dans cette indication est de plus en plus reconnu.

Voir en ligne : La Revue Médicale de Liège

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Comment je traite la pancréatite aiguë : revue de la littérature

L’article explique et compare les différents traitements de la pancréatite aiguë. Généralement, une pancréatite aiguë sévère requiert une prise en charge dans une unité de soins intensifs médicaux. Une intervention chirurgicale est indiquée en cas de nécrose infectée ou de complications sévères. Le rôle des antiprotéases et des antagonistes des cytokines reste controversé.

Voir en ligne : Rev Med Liege

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Comment j’éduque le patient ayant un syndrome métabolique ?

Le syndrome métabolique peut être défini comme une perturbation de nombreuses fonctions de l’organisme incluant de façon variable, des anomalies métaboliques, lipidiques et glucidiques, et vasculaires dans un contexte de stress oxydant, d’inflammation infraclinique et d’insulinorésistance. L’excès de graisse viscérale, évalué en routine par la mesure du tour de taille, est au premier plan de la physiopathologie de ce syndrome. Différentes définitions utilisables par les cliniciens ont été proposées par les sociétés savantes.

Voir en ligne : Boris Hansel, Philippe Giral, Gilbert Peres, Françoise Alliot et Eric Bruckert Unité de prise en charge du syndrome métabolique - ôpital de la Pitié-Salpêtrière, Paris

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Comment protéger mon enfant de la grippe A H1N1 ? - cinq conseils

"Le virus A H1N1 est connu sous le nom de grippe porcine. C’est un nouveau virus qui se répand rapidement parce qu’il est très contagieux. Ce qui le rend différent des autres virus, c’est que les enfants et les adolescents n’ont encore jamais rencontré de virus comme celui-ci. Pour un enfant ou un adolescent, le risque d’être malade est élevé. Heureusement, la grippe A H1N1 est généralement une maladie légère qui guérit en quelques jours."

Voir en ligne : HUG - Hôpitaux Universitaires de Genève - Département de l’enfant et de l’adolescentSuisse2009

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Comment reconnaître la rhinopharyngite de l’enfant ?

La rhinopharyngite est la pathologie infectieuse la plus fréquente chez l’enfant. Entre six mois et six ans, chaque enfant présente en moyenne quatre à cinq épisodes de rhinopharyngite par an, surtout en automne et en hiver. En effet, 200 virus différents sont capables de provoquer cette maladie. Attention ! Le tabagisme des parents et le terrain allergique sont des facteurs favorisants.

Voir en ligne : Ameli

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Comment reconnaître un infarctus du myocarde ?

L’infarctus du myocarde, aussi appelé « crise cardiaque » est la destruction d’une partie du muscle cardiaque (le myocarde). L’infarctus se produit lorsque cette partie du cœur n’est plus irriguée par le sang. Pour agir rapidement, il est important de connaître les signes avant-coureurs de l’infarctus du myocarde. Plus le traitement est débuté tôt, moins il y a de risques de séquelles. Le principal signe de l’infarctus du myocarde est une douleur dans la poitrine.

Voir en ligne : Ameli-santé

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Comment savoir si je fais une crise cardiaque ?

Vos artères transportent du sang, de l’oxygène et des nutriments vers votre cœur et le reste de votre corps. La crise cardiaque survient quand une artère du coeur (aussi appelée « artère coronaire ») se trouve soudainement fermée ou bloquée par un caillot de sang.
Même si la fermeture se produit soudainement, elle résulte souvent d’un dépôt de plaque qui s’est formé dans les artères au fil du temps. On appelle ce processus athérosclérose ou durcissement des artères. Quand l’artère se ferme, l’apport du cœur en sang et en oxygène baisse de façon soudaine et prononcée. Le manque d’oxygène cause des dommages au coeur.

Voir en ligne : Fondation des maladies du coeur du Canada

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Comment sont produits les vaccins contre la grippe A(H1N1) pandémique ?

Après l’identification et l’isolement de la souche de virus grippal susceptible de donner lieu à une pandémie, il faut compter le délai nécessaire au déroulement du processus de fabrication, qui comporte de nombreuses étapes, avant de disposer du vaccin lui-même. Dès mise à disposition de la souche de référence de l’OMS fin mai dernier, quatre laboratoires pharmaceutiques ont immédiatement lancé le processus nécessaire à la mise au point d’un nouveau vaccin, suivis ensuite par plusieurs autres fabricants à travers le monde. Ces vaccins sont fabriqués de la même façon que les vaccins contre la grippe saisonnière. Les vaccins A(H1N1) sont produits soit sur des œufs, soit sur des cultures cellulaires. Ce sont des vaccins inactivés qui sont composés soit d’antigènes de surface du virus grippal, soit du virion entier ou fragmenté et comportent des adjuvants.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

Sujets associés


Comment traiter l’obésité chez l’enfant ?

Chez l’enfant, l’obésité a des consé- quences délétères sur la santé psychoso- ciale (par exemple baisse de l’estime de soi, dépression) et physique (par exemple pression artérielle élevée, into- lérance au glucose, complications or- thopédiques). Les enfants obèses ont aussi une grande probabilité de le rester à l’âge adulte. Il existe différentes mo- dalités de traitement de l’obésité chez les enfants et les adolescents, mais leur efficacité est discutée.

Voir en ligne : Cochrane Suisse

Sujets associés


Comment utiliser les pompes, inhalateurs, et autres dispositifs d’inhalation

Plusieurs maladies pulmonaires, y compris l’asthme et la MPOC, sont traitées avec de médicaments inhalées. Il est très important de savoir comment utiliser les dispositifs d’inhalation de vos médicaments. Si vous savez comment utiliser votre dispositif, vous profiterez de tout le médicament nécessaire pour soulager vos symptômes.

Voir en ligne : Association pulmonaire du Canada

Sujets associés


Comment vivre le handicap de surdité ?

Imaginez-vous vivre dans un pays où vous ne maîtrisez pas la langue. La vigilance requise pour suivre une conversation, surtout en groupe, est épuisante. Ceci permet d’appréhender ce que peut ressentir une personne sourde ou malentendante. Il y a plusieurs degrés de surdité. La surdité complète est de plus en plus rare car les enfants sourds sont dépistés très tôt et les médecins proposent aux parents de poser un implant*. Néanmoins, la surdité a plusieurs origines et l’implant ne fonctionne pas dans tous les cas. La communication orale reste limitée. Malgré l’appareil, il est diffi cile de repérer d’où vient le son. Chaque bruit est un parasite et la communication demande une grande concentration, ce qui est très fatigant.

Voir en ligne : sourds.net

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Commission des comptes de la santé - Discours de Roselyne BACHELOT-NARQUIN » ‎ Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports

Comme l’a montré la Commission des comptes de la sécurité sociale de juin 2009, on observe parallèlement un ralentissement de la croissance des dépenses d’assurance maladie (+3,4% en 2008, après +4% en 2007). Ces évolutions nous confortent dans l’intérêt de continuer à mobiliser tous les leviers de notre politique de maîtrise des dépenses : maîtrise médicalisée, renforcement des incitations au respect du parcours de soins et à de meilleurs comportements de santé, mise en place de référentiels sur les postes qui progressent le plus vite (comme par exemple les indemnités journalières), diminution des tarifs et des prix dans les secteurs où apparaissent des marges d’efficience.

Voir en ligne : Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports

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Communiqué de presse du 30 juillet 2009 : Décès d’une jeune fille porteuse du virus A (H1N1)

L’Institut de veille sanitaire (InVS) informe du décès d’une adolescente âgée de 14 ans, hospitalisée au CHU de Brest, chez qui le virus A(H1N1) a été identifié. Cette jeune fille souffrait d’une maladie grave, compliquée d’une infection pulmonaire sévère, autre que la grippe. Dans le cadre d’un bilan systématique lié au contexte de l’épidémie actuelle, une recherche du virus A (H1N1) 2009 a été effectuée, et s’est révélée positive. Il s’agit du premier décès en France d’une personne chez laquelle le virus A(H1N1) a été identifié.

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire

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Comparaisons internationales sur la prévention sanitaire

Le rapport propose une comparaison de l’organisation de la prévention sanitaire dans trois pays : le Québec, la Finlande et le Royaume-Uni. Ses auteurs constatent que chacun des pays visités a choisi une méthode d’élaboration, de développement et de suivi des politiques de prévention assez similaire, avec une tendance croissante à l’adoption du concept de promotion de la santé.

Voir en ligne : FRANCE. Inspection générale des affaires sociales

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Complications de la diverticulose sigmoïdienne : synthèse des recommandations

Les signes cliniques et biologiques de la diverticulite n’ont pas une sensibilité et une spécificité suffisante pour permettre une prise en charge thérapeutique adéquate. Ces signes non spécifiques (douleur abdominale, fièvre, troubles du transit, syndrome inflammatoire biologique) permettent néanmoins d’orienter vers le diagnostic de diverticulite que l’imagerie permet d’affirmer.

Voir en ligne : SNFGE Société Nationale Française de Gastro-entérologie

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Complications de l’immobilité de décubitus. Prévention et prise en charge : escarre

Une escarre est une nécrose ischémique des tissus compris entre le plan du support sur lequel repose le sujet et le plan osseux. D’autres facteurs complètent l’action nocive de la compression. Elle est plus fréquente chez la personne âgée. Selon sa gravité elle met en jeu la fonctionnalité, le maintien à domicile et le pronostic vital. Plusieurs études de type « un jour donné » réalisées en France ont montré que près de 10% des patients hospitalisés avaient une escarre. Les coûts induits en soins sont très importants compte-tenu de la longueur d’évolution habituelle. Elle peut être prévenue dans une grande majorité de cas.

Voir en ligne : COFER : Collège Français des Enseignants en Rhumatologie

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Complications et mortalité du virus de la grippe A H1N1 chez les femmes enceintes.

Récemment, un article paru dans la prestigieuse revue The Lancet faisait le point sur la grippe pandémique A H1N1 et la grossesse. On avait déjà remarqué lors des épidémies de grippe saisonnières et lors des précédentes pandémies de grippes, que les femmes enceintes avaient plus de complications de la grippe et plus de mortalité que les femmes qui ne sont pas enceintes.

Voir en ligne : Pandémie de grippe

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Complications Microvasculaires du Diabète Non Insulino- Dépendant.

Quels sont les Enjeux ? La mortalité liée aux complications métaboliques aiguës du diabète a été considérablement réduite par la découverte de l’insuline en 1922. Aussi une des préoccupations essentielles des thérapeutes est de se concentrer sur la prévention des complications chroniques du diabète, athéromateuses d’une part, et microcirculatoires d’autre part. L’atteinte de la microcirculation, ou microangiopathie, se résume en pratique aux altérations de la rétine et du rein, qui définissent la rétinopathie et la néphropathie diabétiques.

Voir en ligne : Pierre Yves Benhamou, Grenoble, décembre 1995

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Complications neurologiques de l’alcoolisme

L’alcoolisme provoque des troubles neurologiques d’évolution aiguë ou chronique ; les mécanismes étiopathogéniques sont variables, toxiques, carentiels et dans certains cas le mécanisme exact reste incertain.

Voir en ligne : r. Véronique de Deburghgraeve, Dr. Serge Belliard | Service de neurologie, CHU de Rennes,

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Comprendre - Les varices des membres

Les varices sont des dilatations de veines superficielles situées entre les muscles et la peau. Les membres inférieurs comportent un réseau veineux profond, au contact des os et de la face profonde des muscles, assurant l’essentiel du retour veineux, et un réseau superficiel. Les multiples veines superficielles se jettent dans un des deux collecteurs principaux. Des deux, la veine saphène interne est la plus importante : elle s’étend de la cheville au pli de l’aine, se terminant là dans la veine fémorale. L’autre collecteur est situé à la face postérieure du mollet, entre la cheville et le pli du genou (veine saphène externe).

Voir en ligne : Groupe Hospitalier Diaconesses Croix Saint-Simon

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Comprendre : la diverticulose colique

La diverticulose consiste en la présence de diverticules, généralement multiples, sur la paroi colique, surtout gauche et principalement sigmoïdienne. Un diverticule est une sorte de hernie de la muqueuse intestinale à travers la paroi musculaire (la musculeuse). Le côlon comporte, en effet, une muqueuse, une musculeuse, enveloppée d’une fine membrane péritonéale, la séreuse. La présence des diverticules est une anomalie, acquise au cours de l’existence.

Voir en ligne : Hôpital Croix Saint-Simon Paris

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Comprendre : Les hémorroïdes

Les hémorroïdes résultent de la déformation, I’exagération, de pelotons vasculaires normaux, présents à la partie moyenne et haute du canal anal, ultime portion du tube digestif. Ces pelotons vasculaires normaux, constants, constitués d’artères et de veines, sont regroupés en trois coussinets. Si la ou les causes des hémorroïdes ne sont pas clairement élucidées, nul doute que l’effort de poussée pour déféquer occupe une place essentielle dans leur genèse. Les hémorroïdes sont classées en trois stades, selon leur importance et leur situation, à l’intérieur du canal anal (stade 1) ou leur protrusion à l’extérieur, appelée procidence (stade 3).

Voir en ligne : Groupe Hospitalier Diaconesses Croix Saint Simon

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Comprendre la boulimie

La boulimie est un problème qui se caractérise par une ingestion incontrôlée d’aliments. Si vous souffrez de ce trouble alimentaire, vous ne devez pas avoir honte. Parlez-en à votre médecin ou à une autre personne de confiance. Juste le fait d’en parler pourrait vous soulager. Votre médecin est aussi en mesure de vous suggérer des traitements qui pourraient vous aider.

Voir en ligne : Hôpital de Montréal pour enfants du Centre Universitaire de Santé Mc Gill

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Comprendre la promotion pharmaceutique et y répondre"

Le comportement du "récepteur" de l’information est le facteur le plus important pour aboutir à un échange et une information de qualité dans le cadre de la visite médicale.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Comprendre la scoliose

La scoliose est un problème qui entraîne une courbure et une torsion de la colonne vertébrale. On l’observe plus souvent chez les jeunes filles tôt à l’adolescence, mais les garçons peuvent aussi en souffrir. Personne ne sait vraiment ce qui provoque la scoliose, mais nous savons qu’elle n’est pas causée par le transport de sacs lourds ou les sports. Si une personne de votre famille (un parent, un frère ou une sœur) en souffre, vous pourriez être plus susceptible d’en souffrir vous aussi.

Voir en ligne : Hôpital de Montréal pour Enfants - Info-santé

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Comprendre | Les hernies inguinales et leur traitement

Il s’agit de l’issue, à travers un orifice naturel de la paroi abdominale, d’une partie du contenu de l’abdomen (frange de graisse, intestin ...). Cet orifice naturel qui laisse passer les éléments qui vont au- ou qui viennent - du testicule (chez l’homme) a en fait une conformation de chenal tracé en chicane dans l’épaisseur de trois muscles. La hernie apparaît lorsque l’effet de chenal en chicane s’efface. La pression intra-abdominale, très élevée au cours des efforts, souffle alors le péritoine, écarte les muscles les uns des autres. L’orifice herniaire est alors constitué, la hernie persistera, se reproduira indéfiniment (à part quelques exceptions de l’enfance).

Voir en ligne : Fondation Croix Saint-Simon - Paris

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Compression pour prévenir la récurrence d’ulcères veineux

Les ulcères veineux des jambes (lésions ouvertes sur la jambe) peuvent être provoqués par une obstruction ou une perforation des veines des jambes. La compression, au moyen de bandages ou de compressions élastiques (bas), peut aider à guérir la plupart de ces ulcères et est également couramment utilisée après la guérison afin de prévenir la réapparition des ulcères.

Voir en ligne : Centre Cochrane Français

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Conditions de travail : lutter contre le stress

Un rapport sur "la détermination, la mesure et le suivi des risques psychosociaux au travail" a été remis le 12 mars 2008 au ministre du travail, Xavier Bertrand. Constatant que les modifications du monde du travail ont conduit à l’émergence des risques psychosociaux (stress, suicide, dépression, etc...) comme risques majeurs, il fait 9 propositions visant notamment à lutter contre le "stress au travail".

Voir en ligne : Vie-publique.fr

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Conditions pour réaliser une IVG, description des méthodes, en pratique [France ]

Vous êtes amenée à demander une interruption volontaire de grossesse (IVG). La présente feuille a pour but de renforcer les informations qui vous ont été apportées oralement par le médecin afin de vous expliquer les conditions et les différentes modalités possibles de cet acte, leurs avantages et inconvénients potentiels.

Voir en ligne : CNGOF Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français

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  • (Dossiers)

Conduite à tenir autour des cas suspects de fièvre hémorragique à virus Ebola

Depuis début 2014, des cas de fièvre hémorragique à virus Ebola (FHV Ebola) sont rapportés dans trois pays d’Afrique de l’ouest. Le virus Ébola se transmet à l’homme à partir des animaux sauvages et se propage par transmission interhumaine, notamment les fluides biologiques, avec une forte létalité. En l’absence de traitement spécifique ou de vaccin, le respect de mesures de protection est le seul moyen de prévenir l’infection

Voir en ligne : HCSP Haut Conseil de la santé publique

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Conduite à tenir devant un cas de gale

La contamination inter humaine est liée aux jeunes sarcoptes adultes et a lieu lors d’un contact direct entre un sujet parasité et un autre sujet. La dissémination du parasite est favorisée par la vie en collectivité ainsi que par le non-respect des règles d’hygiène.

Voir en ligne : Rapport du groupe de travail du Conseil Supérieur D’hygiène Publique De France

Sujets associés


Conduite à tenir devant un prurit en 10 points

Plus qu’un symptôme parfois très désagréable, le prurit constitue un véritable signal d’appel pour des maladies aussi diverses que la gale, les affections cutanées, les hémopathies malignes ou l’insuffisance rénale chronique. Face à un prurit, le diagnostic étiologique repose principalement sur l’analyse topographique du prurit et la recherche minutieuse de lésions cutanées ne pouvant être attribuées au grattage. Le meilleur traitement du prurit est étiologique. Les mesures symptomatiques font appel aux médicaments antihistaminiques et à l’utilisation de produits d’hygiène adaptés, dont l’efficacité est souvent incomplète.

Voir en ligne : par Alfred Mahr | Service de médecine interne et des maladies infectieuses, hôpital Avicenne, Bobigny, France.

Sujets associés


Conduite à tenir devant une adénopathie cervicale d’allure maligne

Les adénopathies cervicales sont un motif fréquent de consultation et posent un problème de diagnostic assez facilement résolu si le bilan est mené avec rigueur. En effet ce bilan permet de retrouver leur origine dans plus de 50% des cas avant l’analyse histologique. Les cancers des VADS sont très lymphophiles, 75% des cancers du sinus piriforme et 60% des cancers du cavum se manifestent par une adénopathie cervicale. La maladie de Hodgkin et les lymphomes malins non hodgkiniens, la leucémie myéloïde chronique se manifestent aussi par des adénopathies parfois cervicales.

Voir en ligne : CHU de Grenoble

Sujets associés


Conduite à tenir devant une lombocruralgie chez l’adulte

Affirmer le diagnostic de cruralgie d’origine lombaire 1 - éliminer une pathologie de hanche, de bassin : Reproduction de la douleur à la mobilisation coxo-fémorale Palpation de l’insertion du moyen fessier 2 - éliminer une pathologie de genou 3 - éliminer une cruralgie extraradiculaire : Hématome ou abcès du psoas Envahissement tumoral digestif, gynécologique, rénal ou ganglionnaire Diabète 4 - éliminer une autre névralgie du membre inférieur

Voir en ligne : Béatrice Bouvard Faculté de Médecine - ANGERS

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Conduite à tenir devant une thrombopénie

La constatation d’une thrombopénie (plaquettes < 150 G/L) implique de vérifier sa réalité ou sa pertinence si elle est très modérée et de définir son mécanisme : périphérique (destruction, consommation, hypersplénisme) ou central dominé par les hémopathies malignes. Elle peut, en fonction des facteurs de risque, être une urgence thérapeutique. Parmi les étiologies de mécanisme périphérique, les thrombopénies immunoallergiques à l’héparine sont très fréquentes et justifient une surveillance particulière des traitements hépariniques et un raccourcissement de leur durée.

Voir en ligne : Faculté de Médecine de Grenoble

Sujets associés


Conduite à tenir en cas de réception d’une enveloppe ou d’un colis "suspects"

Plusieurs alertes sont survenues en France en raison de la présence d’une poudre " suspecte " dans des courriers. A ce jour, les poudres suspectes qui ont été analysées en France et en Europe ne contiennent aucune trace de bacille du charbon. Toutefois, compte-tenu des cas de charbon survenus aux Etats-Unis dans ce contexte, des recommandations sont émises pour prévenir toute modalité de transmission de bacilles, par contact ou inhalation, de ces poudres.

Voir en ligne : Direction générale de la Santé.

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Conduite à tenir en cas de suspicion de grippe chez un adulte

  • La grippe peut être suspectée si vous ressentez les signes suivants :
  • Apparition brutale d’une fièvre supérieure à 38°(la température doit être mesurée avec un thermomètre) et de signes respiratoires comme la toux ou de difficultés pour respirer
    — Appelez votre médecin traitant qui vous conseillera sur la conduite à tenir.

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Sports

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Conduite à tenir pour les femmes enceintes en cas d’épidémie de grippe H1N1

La France comptabilise environ 800 000 grossesses par an et, selon les données scientifiques, l’incidence et la gravité de la grippe augmentent avec le terme de la grossesse aussi bien pour la future mère (problèmes respiratoires par diminution de la capacité respiratoire, surinfection accrue par diminution des défenses immunitaires) que pour le foetus : le risque d’accouchement prématuré est multiplié par 4. Le suivi et la prise en charge des femmes enceintes dans une période de pandémie grippale nécessitent de préciser le cadre de ce dispositif et les moyens de protection incluant la prise en charge des nouveau-nés (jusqu’à 28 jours).

Voir en ligne : CNGOF Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français

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Condylomes ou verrues génitales

Les condylomes, appelés aussi verrues génitales, font partie des infections transmissibles sexuellement (ITS) les plus répandues. Ils sont causés par certains types (ou sortes) de virus du papillome humain (VPH). Le virus du papillome humain regroupe en effet plusieurs types de ce virus. Certains, mais pas tous, sont associés au cancer du col de l’utérus. Les condylomes, ou verrues génitales, sont très généralement causés par des types de virus qui ne sont pas associés au cancer du col de l’utérus, mais ils peuvent être rarement associés à d’autres cancers anogénitaux.

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Services sociaux [québécois]

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Conférence de consensus : mélanome

Le mélanome est la plus grave des tumeurs cutanées, mettant en jeu le pronostic vital des malades atteints. C’est aussi le cancer dont l’incidence augmente le plus vite (doublement du nombre de cas tous les 10 ans). Sa fréquence en France est de l’ordre de 9 à 10 nouveaux cas par an pour 100.000 habitants soit 4.000 à 6.000 nouveaux cas chaque année. Le traitement des formes reconnues précocément (stade I) permet la guérison lorsque la tumeur n’est pas trop épaisse.

Voir en ligne : ANDEM - France

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Conférences de consensus : La Maladie de Parkinson : critères diagnostiques et thérapeutiques

L’évolution des connaissances cliniques et anatomo-pathologiques sur la maladie de Parkinson idiopathique (MPI) et les autres syndromes parkinsoniens ont permis de mieux cerner les critères diagnostiques de ces différentes entités. Dans les années à venir, la génétique devrait probablement nous conduire à des révisions nosologiques. Le recul actuel concernant les thérapeutiques est suffisant pour que puissent être appréciées leurs indications et leurs limites. Ces thérapeutiques restent encore symptomatiques.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Confirmation d’un cas de transmission interhumaine du nouveau coronavirus

A la suite de la confirmation d’un premier cas de nouveau coronavirus (NCoV), hospitalisé à Valenciennes puis à Douai puis au CHRU de Lille, l’enquête épidémiologique a permis d’identifier 124 personnes ayant été en contact avec le malade (entourage et contacts en milieu hospitalier). Deux d’entre elles étaient en cours d’investigation, il s’agit :

  • D’un membre de l’entourage du malade, qui est isolé à son domicile, dont les résultats négatifs ont été communiqués par l’Institut Pasteur.
  • De la personne qui a partagé du 27 au 29 avril la chambre du premier patient atteint d’une infection à coronavirus, au CH de Valenciennes, dont les résultats positifs viennent d’être confirmés. Cette personne, qui a été en contact prolongé et rapproché avec le premier patient, a été transférée ce jour en réanimation au CHRU de Lille.

Voir en ligne : Direction Générale de la Santé

Sujets associés


Confusion aiguë chez la personne âgée : prise en charge initiale de l’agitation

Les recommandations visent à répondre aux questions suivantes :

  • Comment identifier une confusion aiguë ? Quels sont les symptômes de confusion aiguë à rechercher ? Quelles sont les indications de l’hospitalisation ?
  • Quelles sont les causes cliniques vitales ou évidentes à rechercher avant une sédation ?
  • Quelles sont les situations au cours de confusion aiguë chez les personnes âgées pour lesquelles une sédation médicamenteuse de courte durée est justifiée en complément des autres modalités de prise en charge ?
  • Quelles sont les modalités d’une sédation médicamenteuse de courte durée ?
  • Quelles modalités de surveillance mettre en œuvre une fois l’agitation contrôlée ?

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Congés et arrêts maladie des agents non titulaires de la Fonction publique

En cas d’arrêt pour maladie, vous avez droit à des congés maladie rémunérés d’une durée variable selon votre ancienneté de services. Vous bénéficiez du plein traitement pendant un mois (puis du demi-traitement pendant un mois) après quatre mois de services. Vous bénéficiez du plein traitement pendant deux mois (puis du demi-traitement pendant deux mois) après deux ans de services.

Voir en ligne : La documentation Française - vos droits administratifs

Sujets associés


Conjonctivite

La conjonctive est une muqueuse fine et transparente qui tapisse la face interne des paupières et recouvre la sclère (la partie blanche de l’œil). Les glandes que contient la conjonctive produisent des sécrétions qui aident à maintenir l’humidité de l’œil et des anticorps qui luttent contre les infections. Conjonctivite signifie « inflammation de la conjonctive ». La cause la plus fréquente en est une infection virale ou bactérienne. Une conjonctivite peut également être causée par une substance chimique irritante, un traitement oculaire traditionnel ou une allergie.

Voir en ligne : Tissa Senaratne - Clare Gilbert | Revue de Santé Oculaire Communautaire 2006 ;3(1) : 5-7

Sujets associés


Conjonctivite aiguë en première ligne de soins : pas d’antibiotique ?

L’emploi d’antibiotiques en cas de conjonctivite infectieuse aiguë est courant, tant demandé par les patients que prescrits par les médecins (166 000 patients avec un remboursement par l’INAMI en 2010 pour un antibiotique ophtalmique, dont plusieurs ne sont pas remboursés).

Voir en ligne : Minerva

Sujets associés


Conseils aux voyageurs

vaccins selon le pays, conseils d’hygiène, risque de l’eau, piqûre d’insectes et morsure d’animaux, conseils selon pathologie préexistante ...

Voir en ligne : www.diplomatie.gouv.fr

Sujets associés


Conseils diététiques aux diabétiques de type 2

Vous êtes atteint d’un diabète de "type 2". Ce document est destiné à vous aider à gérer les contraintes de régime liées à cette affection. Le diabète de "type 2" touche l’adulte d’âge mûr. Il s’accompagne en général d’un surpoids. Nous connaissons maintenant mieux les mécanismes de cette affection. Certaines règles d’hygiène de vie sont importantes à connaître, et peuvent retarder ou éviter les possibles complications du diabète.

Voir en ligne : Dr. JP Aubert, membre de SFTG PARIS-NORD

Sujets associés


Conseils médicaux pour les voyageurs

  • Préparatifs et Assurances
  • Différents voyageurs
  • Transports
  • Environnement, Pollution, Alimentation
  • Paludisme ( Malaria )
  • Maladies et Traitements
  • Vaccinations
  • Sexe - VIH/Sida
  • Sport et Loisirs
  • Accident , Violence, Sécurité
  • Santé au Retour
  • Expatriés et Humanitaire Expatriés et Humanitaire

Voir en ligne : HUG - Hôpitaux Universitaires de Genève

Sujets associés


Conseils pour les voyageurs sur le jet stress et comment rester en bonne santé lorsque vous volez en utilisant Jet Ease.

Le jet stress - Qu’est-ce que c’est ?

  • Le jet stress - Quelles en sont les raisons ?
  • Qui souffre du jet stress ?
  • Techniques pour réduire le jet stress
  • Informations sur le Jet Ease
  • Enquête auprès du personnel de cabine sur le jet stress
  • Spécifications techniques relatives au Jet Ease
  • Endroits où vous pouvez vous procurer le Jet Ease
  • Liens avec d’autres sites relatifs aux voyages

Voir en ligne : jetease.com

Sujets associés


Conseils régime hypocalorique

Bienvenue, ce site n’est pas à vocation commerciale. L’objectif de ce site Web est de vous apporter un complément d’informations utiles dans le cadre d’un régime alimentaire hypocalorique.

Voir en ligne : Mme Marie Zaïg Lebail Docteur en Pharmacie

Sujets associés


Conseils sur la prise en charge de l’infertilité après 35 ans

La fertilité spontanée d’une femme baisse de 50 % entre 35 et 42 ans, essentiellement en rapport avec une diminution du nombre et du développement des follicules dans l’ovaire.

Voir en ligne : Dr Philippe Merviel - Hôpital Tenon, Service du Pr Uzan 75020 Paris

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Consensus de la Société belge de Ménopause concernant la thérapie et les stratégies après la ménopause Dernière mise à jour : 18/06/2011

Ces experts se sont réunis et ont proposé le consensus suivant sur la base de publications récentes et actualisées. - Ils ont essentiellement pris en considération des méta-analyses, des essais randomisés et de larges études épidémiologiques d’observation. Un premier consensus a été rédigé en janvier 2005. Il s’agit de la cinquième mise à jour du premier consensus utilisant la même stratégie. - Les experts espèrent que ce document facilitera la gestion pratique de la ménopause

Voir en ligne : GGOLFB - Groupement des Gynécologues Obstétriciens de Langue Française de Belgique

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Consensus sur la démence de type Alzheimer au stade sévère

Sous l’égide de la Société Française de Gériatrie et Gérontologie, un groupe pluridisciplinaire de spécialistes en gériatrie, neurologie, épidémiologie, psychiatrie, neuroradiologie, pharmacologie, santé publique a entrepris une démarche de consensus sur les modalités d’évaluation, de suivi et de prise en charge globale de la démence de type Alzheimer au stade sévère.

Voir en ligne : Par M. Vellas B, M. Gauthier S, M. Allain H, et-al | SFGG Société Française de Gériatrie et Gérontologie

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Consommation de substances psychoactives pendant la grossesse

Objectif : Accroître la sensibilisation à la consommation problématique de substances psychoactives pendant la grossesse et les connaissances à ce sujet, et formuler des recommandations factuelles pour la prise en charge de ce difficile problème clinique à l’intention de tous les fournisseurs de soins de santé.

Voir en ligne : SOGC - Société des Obstétriciens et Gynécologues du Canada ]

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Consommation des benzodiazépines : Bien respecter les règles de bon usage pour limiter les risques dont celui de démence - Point d’information

L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) vient d’analyser à nouveau l’existence d’un lien entre la consommation de benzodiazépines et le risque de démence, dont la maladie d’Alzheimer.

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

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Constipation

Quelle est la définition de la constipation ?
Quels sont les principes du traitement de la constipation ?
Comment augmenter l’apport en fibres alimentaires ?
Pourquoi les fibres alimentaires diminuent-elles la constipation ?
Quel est le mode d’action des principaux laxatifs non toxiques ?
Certains laxatifs sont-ils dangereux ?
Quel traitement en cas de dyschésie rectale ?

Voir en ligne : Collège des enseignants d’hépato-gastroentérologie.

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Constipation chez l’enfant

Il y a plusieurs définitions de la constipation mais si un enfant a du mal à aller à la selle ou si l’opération est douloureuse, il faut alors le traiter. Les enfants ont souvent besoin de faire un effort pour excréter. S’il n’y a pas de douleurs, il n’y a pas besoin de s’inquiéter. Tout comme les adultes, les enfants peuvent avoir des routines excrétrices différentes. Ils n’ont pas forcément besoin d’excréter tous les jours.

Voir en ligne : SantéOntario.com

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Constipation chronique

Plus souvent qu’une maladie organique, il s’agit d’un trouble fonctionnel d’une très grande fréquence. Un consensus existe quant à sa définition, caractérisée par la diminution significative du nombre d’exonérations par semaine, inférieur ou égal à 3, le caractère chronique étant défini par l’ancienneté du trouble, supérieur ou égale à 1 mois. Assez fréquemment, il coexiste une dyschésie recto-anale sur le plan séméiologique.

Voir en ligne : Professeur Jacques FOURNET - Corpus Médical de la Faculté de Grenoble

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Constipation occasionnelle de l’adulte - Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance

La constipation se définit par la diminution de la fréquence des selles au-dessous de 3 par semaine. Cette définition ne constitue pas une règle absolue. En effet, la durée habituelle du transit (cheminement des aliments tout au long de l’intestin) et donc la fréquence des selles varient largement d’un individu à l’autre. Il est donc important de prendre en compte la sensation de malaise ou les troubles associés à ce ralentissement du transit.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Consultation de l’EFSA sur la première évaluation complète des risques associés à l’aspartame | Communiqué de presse | 8 janvier 2013

L’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a lancé aujourd’hui une consultation publique sur son projet d’avis scientifique portant sur la sécurité de l’édulcorant artificiel aspartame. Pour réaliser cette évaluation des risques exhaustive, l’EFSA a entrepris un examen approfondi de la littérature scientifique disponible et d’autres documents ayant fait l’objet d’un examen par les pairs sur l’aspartame et ses produits de décomposition, y compris de nouvelles études sur l’homme. Toutes les parties prenantes et intéressées sont invitées à soumettre leurs observations sur ce projet d’avis par le biais de la consultation publique en ligne avant le 15 février 2013. Dans le cadre de ce processus important et conformément à l’engagement de l’Autorité à impliquer activement les parties prenantes, l’EFSA organisera également une réunion avec les parties intéressées afin de débattre de son projet d’avis et des contributions qu’elle aura reçues dans le cadre de la consultation publique en ligne.

Voir en ligne : EFSA Autorité européenne de sécurité des aliments

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Consulter un spécialiste libéral à son cabinet : premiers résultats d’une enquête nationale

La présente étude dresse un tableau des consultations en cabinet auprès de neuf spécialités, en examinant tant la nature et le caractère urgent ou non du recours que son contenu, les prescriptions qui en découlent et sa durée.

Voir en ligne : Marie GOUYON - Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES)

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Contraceptif oral combiné et risque d’embolie pulmonaire et d’accident artériel ( 26 juin 2013 )

Risque d’embolie pulmonaire, d’accident vasculaire cérébral ischémique et d’infarctus du myocarde chez les femmes sous contraceptif oral combiné (COC) en France : une étude de cohorte sur 4 millions de femmes de 15 à 49 ans à partir des données du SNIIRAM et du PMSI.

Voir en ligne : Ameli-santé

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Contraceptif oral minidosé : informations destinées à la patiente

Votre médecin vient de vous prescrire un contraceptif oral minidosé. Il comprend une association de deux produits d’action hormonale, l’un dérivé des oestrogènes, l’autre de la progestérone. Afin de réduire les risques cardio vasculaires liés aux dérivés des oestrogènes, la dose qui vous en est délivrée est réduite, d’où le terme de contraceptif " minidosé ". Les spécialités de cette catégorie comprennent des produits dosés entre 0.15 et 0.35 microgramme d’éthynil estradiol.

Voir en ligne : Dr. JP Aubert, membre de SFTG PARIS-NORD

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Contraceptifs oraux combinés et risque de thrombose veineuse : prescription des pilules de 2e génération contenant du lévonorgestrel en première intention - Point d’information   

L’Agence Européenne du Médicament (EMA) a effectué une revue de la littérature sur le risque de thrombose veineuse chez les femmes qui utilisent un contraceptif oral combiné (COC). Cette analyse confirme un risque de thrombose veineuse deux fois plus élevé chez les femmes utilisant un COC de 3ème génération (contenant du désogestrel ou du gestodène) ou un COC contenant de la drospirénone (parfois appelé COC de 4ème génération) que chez les femmes utilisant un COC de 2e génération contenant du lévonorgestrel.

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

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Contraceptifs oraux estroprogestatifs : préférez les « pilules » de 1re ou 2e génération

  • Les contraceptifs oraux estroprogestatifs (COEP) sont parmi les moyens les plus efficaces (indice de Pearl < 1) pour la prévention des grossesses non désirées.
  • L’efficacité des différents types de COEP est du même ordre.
  • Tous les contraceptifs estroprogestatifs sont associés à une augmentation du risque d’accident thromboembolique artériel ou veineux

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Contraceptifs oraux estroprogestatifs et risque de thrombose veineuse - Point d’information

Depuis l’introduction des contraceptifs oraux combinés (pilules) en 1961, le risque de thrombose veineuse est un effet indésirable bien connu, rare mais potentiellement grave. Ce risque fait l’objet d’une surveillance continue et d’une réévaluation constante, en particulier lors de chaque mise sur le marché d’un nouveau contraceptif oral. Dans le cadre de ce suivi, l’Afssaps a pris connaissance de la publication d’un nouvel article du British Medical Journal (BMJ) du 26 octobre 2011. Les résultats présentés ont déjà été étudiés et discutés au niveau européen. L’Agence européenne du médicament (EMA) avait conclu en mai 2011 que le risque de thrombose veineuse avec les contraceptifs oraux dits de troisième ou quatrième génération est deux fois plus élevé que celui observé avec ceux de deuxième génération. Le rapport bénéfice/risque des contraceptifs oraux reste positif, quel que soit le progestatif utilisé.

Voir en ligne : Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé)

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Contraceptifs oraux et risque de thromboembolie veineuse : Mise à jour

Les contraceptifs oraux modernes offrent une contraception grandement efficace et une gamme d’avantages n’étant pas liés à la contraception. (I) 2. La thromboembolie veineuse, bien que rare, demeure l’une des conséquences indésirables graves de la contraception hormonale. Les meilleures données indiquent que les taux de thromboembolie veineuse chez les non-utilisatrices en âge de procréer sont d’environ 4–5/10 000 femmes par année ; chez les utilisatrices de contraception orale, les taux se situent aux alentours de 9–10/10 000 femmes par année. Par comparaison, les taux de thromboembolie veineuse pendant la grossesse approchent 29/10 000, de façon globale, et peuvent atteindre 300–400/10 000 au cours de la période postpartum immédiate. (II-1)

Voir en ligne : SOGC - Société des Obstétriciens et Gynécologues du Canada

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Contraception : deux outils mis à la disposition des professionnels de santé

La Haute Autorité de Santé diffuse aujourd’hui deux documents sur la contraception : la liste des méthodes contraceptives avec un focus sur les méthodes les plus efficaces disponibles et une fiche mémo. Ces documents doivent permettre aux professionnels de santé de discuter et choisir avec la femme, l’homme ou le couple la méthode la plus adaptée à leur profil dans l’objectif d’éviter les échecs de la contraception et les grossesses non désirées. Fin avril, cette publication sera complétée par des fiches mémo pour chacune des situations cliniques particulières identifiées ainsi que d’une analyse des moyens d’accès à la contraception et des freins à ce dernier.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Contraception : prescriptions et conseils aux femmes - Fiche mémo

Cette fiche mémo est la première d’un ensemble de fiches concernant la contraception. Celles-ci visent à fournir aux professionnels de santé, des outils afin de mieux aider les femmes, les hommes et les couples à trouver la méthode de contraception qui leur convient le mieux à une période donnée de leur vie.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Contraception d’urgence : prescription et délivrance à l’avance

Évaluer la pertinence et les risques d’une prescription à l’avance de la pilule de contraception d’urgence à titre systématique comme stratégie de santé publique visant à réduire l’incidence des grossesses non prévues. Ces recommandations s’inscrivent dans le cadre de l’objectif n° 97 de la loi relative à la politique de santé publique de 2004 (Assurer l’accès à une contraception adaptée, à la contraception d’urgence et à l’IVG dans de bonnes conditions pour toutes les femmes qui décident d’y avoir recours).

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé | Recommandations en santé publique

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Contraception d’urgence : une approche responsable en faveur des femmes et des jeunes filles

Au cours de sa séance du 4 octobre 2000, la Commission des affaires sociales du Sénat a décidé de saisir, à sa demande, votre Délégation de la proposition de loi de Mme Danielle Bousquet relative à la contraception d’urgence, qui a été adoptée le lendemain par l’Assemblée nationale.

Voir en ligne : Mme Janine Bardou, rapporteur - délégation du Sénat aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes

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Contraception d’urgence hormonale : rapport bénéfice / risque jugé favorable par la Commission européenne quel que soit le poids de la femme - Point d’information

La contraception d’urgence désigne les méthodes contraceptives qu’une femme peut utiliser pour prévenir la survenue d’une grossesse non prévue après un rapport non ou mal protégé. Les méthodes utilisables dans la contraception d’urgence sont hormonale (lévonorgestrel per os[1] ou ulipristal per os ) ou non hormonale (dispositif intra-utérin au cuivre). Dans le cadre d’un arbitrage européen, le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne des médicaments (EMA) a analysé l’effet du poids de la femme sur l’efficacité de la contraception d’urgence hormonale. Ce comité a ainsi conclu que le rapport bénéfice risque de ces spécialités restait favorable quel que soit le poids de la femme.

Voir en ligne : ANSM Agence nationale de sécurité du médicament

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Contraception d’urgence : dissiper les idées fausses et les croyances erronées

Les pilules contraceptives d’urgence (PCU) sont désormais disponibles dans de nombreux pays mais n’ont pas eu l’effet attendu sur le taux de grossesses non désirées. Pourquoi ? Les obstacles du début, qui empêchaient de se les procurer, se lèvent progressivement. Il existe désormais un marché pour les PCU et de nombreux fabricants et distributeurs ont le souci de l’approvisionner. Ces produits sont entrés dans les normes, des formations qualifiantes ainsi que les services s’y rapportant sont disponibles dans de nombreux pays.

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé

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Contraception orale et risque vasculaire

L’accès des femmes à la contraception a transformé leur vie, et leur a permis des progrès sociétaux considérables. Malgré ces progrès, le très grand nombre de grossesses non désirées, et d’interruptions volontaires de grossesse rend indispensable le renforcement de l’offre contraceptive. La contraception oestroprogestative est la méthode la plus utilisée en France chez les femmes jeunes du fait de son efficacité et de la simplicité de son usage. Le revers de la médaille, reconnu dès les années 60, est une augmentation du risque de thrombose, essentiellement veineuse (phlébite, éventuellement compliquée d’embolie pulmonaire) de 3 à 7 fois plus élevé que chez les non utilisatrices.

Voir en ligne : Academie Nationale de Medecine (Rapport / 26 février 2013) Philippe Bouchard*, Alfred Spira*, Yves Ville*, Jacqueline Conard** et, Régine Sitruk-Ware***


Contrat type entre un médecin et une société exploitant un site Internet dans le domaine de la santé

Entre les soussignés :

Voir en ligne : Conseil national de l’Ordre des médecins (France)

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Contre le décalage horaire

Le décalage horaire ("jetlag") est un problème que rencontrent trois voyageurs sur quatre suite à un vol long-courrier.
Mais attention, selon les destinations tous les vols n’ont pas le même effet. Aller vers le Nord ou le Sud, et cela quelle que soit la distance, n’impliquera pas de désagréments majeurs (l’heure ne change pas ou peu). Par contre vers l’Ouest et surtout l’Est, et à partir de quatre fuseaux horaires de décalage (traversée de l’Atlantique ou un vol pour Delhi) notre horloge biologique se détraque pour une durée de quelques jours à quelques semaines selon les individus.

Voir en ligne : Aventure du Bout du Monde (ABM)

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Contrôle du poids - Comprendre le poids

Une origine génétique à l’obésité ? Les experts s’accordent sur le fait que l’obésité est le résultat d’un déséquilibre entre les calories qu’on ingère et celles qu’on dépense. Est-ce que certains d’entre nous sont porteurs d’un gène qui accentuerait ce déséquilibre ? Les recherches ont permis d’identifier plusieurs gènes impliqués dans l’obésité mais les causes demeurent multiples : facteurs environnementaux, psychologiques, physiologiques, etc. Ainsi, des parents obèses peuvent transmettre une prédisposition à l’obésité à leurs enfants mais ils peuvent également leur transmettre du même coup de mauvaises habitudes alimentaires et un mode de vie sédentaire.

Voir en ligne : Guide Santé du gouvernement Québécois

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Contrôler la douleur et réduire l’usage abusif d’opioïdes - Questions d’éthique

Le soulagement de la douleur compte parmi les obligations fondamentales des professionnels de la médecine. Au cours des dernières décennies, le contrôle de la douleur, même s’il n’est pas toujours optimal, s’est amélioré considérablement. À mesure que de nouveaux opioïdes à longue durée d’action étaient mis au point, les médecins ont pris l’habitude d’en prescrire plus généreusement, non seulement pour la douleur aiguë mais aussi pour la douleur chronique.

Voir en ligne : Dr Jaro Kotalik - Le Médecin de Famille Canadien

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Controverse sur le nombre de cas de grippe A

Les Grog (groupes régionaux d’observation de la grippe) annonçaient lundi 20 000 contaminations par semaine en France. Un chiffre non confirmé par l’Institut de veille sanitaire. Combien de personnes en France sont-elles touchées par le virus de la grippe H1N1 chaque semaine ? Alors que, pour la dernière semaine d’août, l’Institut national de veille sanitaire (INVS), chargé de la surveillance épidémiologique de la maladie, avançait le chiffre de 5 000 cas par semaine, lundi le directeur du réseau des Grog, évoquait quant à lui un chiffre bien plus élevé, de 20 000 nouveaux cas par semaine environ.

Voir en ligne : Martine Perez et Yves Miserey | Le Figaro

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Convulsions chez l’enfant

Les convulsions fébriles se déclarent habituellement lorsque la température dépasse 38,8 °C et surviennent en général durant le court laps de temps où la fièvre monte. Elles durent généralement de 2 à 5 minutes, mais elles peuvent persister pendant plus de 15 minutes : l’enfant a le regard fixe et il semble secoué par un grand frisson. Les convulsions fébriles constituent la manifestation la plus spectaculaire (et la plus déplaisante) associée à la fièvre. Toutefois, elles sont habituellement bénignes et n’endommagent pas le cerveau. Environ 1 enfant sur 25 connaîtra une convulsion fébrile entre l’âge de trois mois et cinq ans, mais elles peuvent survenir jusqu’à l’âge de sept ans. La plupart des enfants ne présentent pas de récidive après le premier épisode.

Voir en ligne : Portail Québec

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Coqueluche : Quand se présenter à l’urgence

La coqueluche est une infection très contagieuse des voies respiratoires. Elle se propage par l’entremise des gouttelettes projetées par une personne infectée qui tousse ou éternue. Comme la coqueluche peut parfois être grave, il est important de savoir quand des soins médicaux sont nécessaires.

Voir en ligne : Hôpital de Montréal pour enfants du Centre Universitaire de Santé Mc Gill

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Coqueluche chez l’adulte, pensez-y !

Nous rapportons le cas d’un patient âgé de 47 ans se présentant pour une toux persistante depuis plus de 3 semaines, à prédominance nocturne et sans fièvre, non améliorée par la prise d’amoxicilline-acide clavulanique. De nombreuses investigations seront réalisées avant que le diagnostic de coqueluche ne soit finalement établi par sérologie après deux mois de symptômes. Ceux-ci ne se sont améliorés que lentement, sans bénéfice évident d’une antibiothérapie par macrolides, prescrite tardivement. Le diagnostic de coqueluche a aussi été posé chez l’épouse, avec résolution rapide des symptômes, probablement grâce à la prescription précoce de macrolides.

Voir en ligne : Revue Médicale de Liège

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Coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS-CoV) - Conseils de santé aux voyageurs

Depuis avril 2012, des cas du coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS-CoV) ont été identifiés dans sept pays : l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, la France, la Jordanie, le Qatar, le Royaume-Uni et la Tunisie. Les premiers cas en France, au Royaume-Uni et en Tunisie ont été associés à des voyages à destination de la péninsule d’Arabie et des États voisins.
Mise à jour : 29 mai 2013

Voir en ligne : Agence de la santé publique du Canada|

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Cours d’insulinothérapie fonctionnelle adaptés au vécu du patient

L’éducation thérapeutique s’est d’abord développée dans le champ de la diabétologie. Dans cette maladie chronique, c’est le patient qui prend la plupart des décisions. Richard K. Bernstein est probablement le premier patient à avoir pratiqué les autocontrôles glycémiques. Il a développé le basal-bolus pour lui-même et a inspiré des médecins européens pour la création de cours d’insulinothérapie fonctionnelle. Cette approche expérientielle a été adaptée et simplifiée pour les patients afin de permettre la gestion des imprévus. La méthode ASCAR offre un cadre de référence pour élaborer des séquences d’enseignement d’apprentissage. L’acronyme ASCAR renvoie aux cinq composantes de l’expérience d’une personne : action, situation, connaissance, attitude et ressource. Le travail sur ces cinq composantes permet une gestion de l’imprévu.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Crampe (spasme musculaire)

La crampe musculaire, tout comme le spasme musculaire, est une contraction involontaire des fibres musculaires. La douleur provient de l’arrêt de la circulation sanguine dans le muscle pendant cette contraction anormale. On fait la différence entre la crampe et le spasme musculaires

Voir en ligne : Dr Ghislaine Robert, Spécialiste en médecine du sport, Centre de Médecine Sportive de Laval

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Crampes des membres inférieurs

La crampe est une contraction involontaire ( donc survenant brusquement), douloureuse d’un muscle ou d’un groupe de muscles, durant de quelques secondes à quelques minutes. Le plus souvent les crampes sont de survenue nocturne mais peuvent survenir à d’autre moment . Les causes sont multiples , infectieuses, neuromusculaires, carentielles, respiratoires, médicamenteuses, mais sont surtout d’origine circulatoire artérielle ou liées à l’insuffisance veineuse. Elles peuvent imposer de nombreux examens complémentaires pour découvrir leur origine.

Voir en ligne : SFMV Société française de médecine vasculaire

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Crampes musculaires

Les crampes musculaires sont en fait des contractions involontaires d’une partie ou de la totalité des fibres musculaires d’un muscle. Il s’agit d’un phénomène tout à fait bénin, vécu par la majorité de la population. La stimulation d’un muscle pendant l’activité physique, particulièrement en endurance, s’associe à des changements chimiques au niveau des cellules musculaires, desquels peuvent découler les crampes. La déshydratation s’associe à des changements de la concentration des ions comme le sodium (sel) et le potassium dans les cellules musculaires. Les déséquilibres ainsi créés peuvent être à l’origine des crampes.

Voir en ligne : Guide Santé du gouvernement Québécois

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Crampes musculaires nocturnes de la personne âgée : Revue de la littérature

Les crampes musculaires essentielles sont fréquemment rencontrées en médecine ambulatoire, particulièrement auprès de nos patients les plus âgés. h Notre revue de la littérature a tenté de répondre à la question du choix thérapeutique dans cette indication. Nous avons sélectionné 36 articles dans les bases de données PubMed et surtout ScienceDirect et InterScience Wiley. Les traitements non pharmacologiques, notamment les exercices d’étirements, n’ont pas démontré leur efficacité. Les traitements médicamenteux peuvent avoir des effets secondaires et des interactions ; leurs marges thérapeutiques sont trop étroites pour une telle indication. La vitamine B et le diltiazem ont une efficacité encore insuffisamment démontrée pour être prescrits en pratique courante

Voir en ligne : John Libbey Eurotext

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Crises aiguës hypertensives

La crise aiguë hypertensive est une élévation brutale de la pression artérielle au delà des chiffres tensionnels communément admis par l’OMS, c’est à dire 160/95 mmHg chez l’adulte. Le niveau des chiffres tensionnels ne suffit pas à définir la crise aiguë hypertensive, c’est la rapidité d’installation en fonction du niveau de pression artérielle habituelle qui expose aux risques de souffrance viscérale. En effet, c’est l’association à une situation clinique préoccupante qui définit l’urgence hypertensive.

Voir en ligne : besancon-cardio.org

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Critères de diagnostic de la fibromyalgie

La fibromyalgie est une entité très controversée et très actuelle. C’est la pathologie douloureuse chronique la plus importante avec une prévalence de 2 à 4% dans la population générale et un ratio de 3,5% de femmes pour 0,5% d’hommes. Depuis 1990, la fibromyalgie a été définie selon les critères de l’American college of rheumatology (ACR). L’utilisation de ces critères a un intérêt controversé en pratique quotidienne et diverses études ont montré qu’un pourcentage important de fibromyalgiques sont diagnostiqués sans les critères ACR. Cet article se propose de décrire une méthode alternative pour diagnostiquer la fibromyalgie.

Voir en ligne : Revue médicale suisse

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Critères de qualité des revues et journaux de la presse médicale française

L’objectif de cette étude est l’élaboration de critères de qualité de la presse médicale (portant par exemple sur les déclarations d’intérêts, l’identification claire de la publicité, le fonctionnement des comités de lecture et les procédures de relecture) et l’étude des conditions dans lesquelles le respect de ces critères peut être reconnu par les pouvoirs publics dans un objectif d’amélioration de la qualité.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Croissance et développement pubertaire du garçon

Bien des troubles bénins liés à la croissance inquiètent les parents et les jeunes adolescents qui viennent alors consulter le médecin. Il est important de rassurer ces derniers en adoptant une approche rigoureuse et en leur donnant des explications claires. Trop grand, trop petit, pas développé¿ quelles sont nos réponses ?

Voir en ligne : Médecin du Québec

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Cruralgie : symptômes et comment soigner une cruralgie ?

Les symptômes qui traduisent une cruralgie, terme qui désigne l’endommagement du nerf crural, sont nombreux. Le nerf crural, comme la plupart des nerfs, peut en effet subir une inflammation. Le terme crural est issu du mot latin cruris, signifiant « cuisse ». Le nerf crural est issu du prolongement des racines des bronches lombaires situées dans le triangle de Scarpa.

Voir en ligne : web-libre

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Cystite aiguë compliquée ou non

La cystite est une infection de la vessie qui peut survenir isolément ou en association avec une pyélonéphrite ou une prostatite. Une cystite aiguë chez une femme adulte non enceinte, par ailleurs en bonne santé, est généralement considérée comme non compliquée. Une infection est dite compliquée lorsqu’elle s’associe à une situation qui augmente le risque d’échec du traitement comme une infection du haut appareil urinaire ou un germe uropathogène multirésistant.

Voir en ligne : par Thierry Hannedouche | nephrohus

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Cystite aiguë simple

Par cystite aiguë simple on entend une infection aiguë de la vessie, non ascendante touchant les femmes adultes immunocompétentes, non enceintes, sans antécédents d’intervention récente au niveau des voies urinaires et sans signes cliniques de malformations urinaires.

Voir en ligne : conseil-scientifique.luxembourg

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Cytomégalovirus : près de 300 infections congénitales diagnostiquées pendant la grossesse ou à la naissance, chaque année en France

L’Institut de veille sanitaire (InVS) estime que près de 300 infections congénitales à cytomégalovirus sont détectées pendant la grossesse ou à la naissance chaque année en France. Une soixantaine d’entre elles conduisent à des interruptions de grossesse et parmi les nouveau-nés, une cinquantaine présentent à la naissance des manifestations clinico-biologiques de l’infection (soit une incidence de 6 infections symptomatiques pour 100 000 nouveau-nés vivants). Ces résultats sont publiés dans un rapport* de l’InVS rendu public ce jour.

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire

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C’est quoi l’hémochromatose ?

La surcharge en fer de l’organisme humain, dont l’hémochromatose est la cause la plus fréquente, regroupe en fait plusieurs types d’hémochromatoses. L’hémochromatose est une maladie génétique et parmi les maladies génétiques l’une des plus fréquentes une maladie héréditaire non liée au sexe . Le type le plus répandu des hémochromatoses génétiques est l’hémochromatose de type 1.

Voir en ligne : Fédération Française des Associations de Malades de l’Hémochromatose

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Dans le diagnostic de maladie coronaire, le scanner coronaire a sa place après les tests d’ischémie non invasifs

Au cours des XVIIes Journées Européennes de la Société Française de Cardiologie, le Dr Martine Gilard (Brest) a précisé la place du scanner par rapport aux tests non invasifs et à la coronarographie. Le Dr Jean-Pierre Laissy (Hôpital Bichat, Paris) a détaillé les limites techniques du scanner. Le Pr Pascal Guéret (CHU Henri Mondor, Créteil) a fait un bilan d’étape de l’étude EVASCAN qui peine à inclure des patients

Voir en ligne : Dr Muriel Gevrey

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Déclaration concernant la prise en charge des personnes exposées à la coqueluche, et la lutte contre les épidémies de coqueluche

En 1989 et au début de 1990, le Canada a enregistré de nombreuses éclosions de coqueluche et une augmentation du nombre de cas déclarés. Pendant cette période, les autorités sanitaires provinciales et fédérales ont reçu plusieurs demandes de conseils sur la façon de circonscrire les épidémies. Pour donner suite à ces demandes, le Comité consultatif national de l’immunisation, le Comité consultatif de l’épidémiologie et la Société canadienne de pédiatrie ont collaboré à l’élaboration de lignes directrices visant à aider les services locaux et provinciaux de santé publique à juguler la coqueluche[1]. Les provinces ont utilisé ces lignes directrices pour lutter contre les épidémies et recueillent des données sur l’efficacité et l’applicabilité de ces recommandations.

Voir en ligne : Comité consultatif national de l’immunisation, le Comité consultatif de l’épidémiologie et la Société canadienne de pédiatrie.

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Décongestionnants de la sphère ORL, renfermant un vasoconstricteur, administrés par voie orale ou nasale : information importante sur la sécurité d’emploi et l’usage - Point d’information

La persistance de signalements d’effets indésirables cardiaques et neurologiques chez des patients traités par les médicaments contenant des vasoconstricteurs, utilisés dans le traitement symptomatique des rhinites, conduit l’Afssaps à rappeler les recommandations inhérentes à leur utilisation. L’enquête de pharmacovigilance concernant ces médicaments est en cours d’actualisation, afin de pouvoir considérer la nécessité d’actions supplémentaires.

Voir en ligne : AFssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé)

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Découverte israélienne : l’antibiotique idéal est une protéine

Des chercheurs de l’Université de Tel-Aviv ont réalisé une avancée considérable dans le développement d’un substitut aux antibiotiques. Ils ont réussi à isoler une protéine, présente dans les virus bactériens, qui tue les microbes. La substance, inoffensive pour le corps humain, empêche la bactérie de se diviser, et donc se développer et d’engendrer des infections.

Voir en ligne : Dr. Sivan Cohen-Wiesenfeld | Siliconwadi.fri

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Décret n° 2010-1229 du 19 octobre 2010 relatif à la télémédecine

« Art.R. 6316-1.-Relèvent de la télémédecine définie à l’article L. 6316-1 les actes médicaux, réalisés à distance, au moyen d’un dispositif utilisant les technologies de l’information et de la communication. Constituent des actes de télémédecine :

Voir en ligne : legifrance.gouv.fr

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Déficit auditif : statut des appareils correctifs - Point d’information

La correction d’une déficience auditive est une finalité médicale. Les appareils ayant ce type de finalité (au vu des informations inscrites sur la notice d’utilisation ou sur les matériels promotionnels) sont donc classés dans la catégorie des dispositifs médicaux et nécessitent par conséquent d’être marqués CE. La classe de ces produits nécessite pour cela un certificat CE obtenu par le fabricant auprès d’un organisme notifié. En France, leur délivrance est réglementée. Tout autre matériel ne revendiquant pas de finalité médicale ne relève pas des dispositifs médicaux. Aucune ambigüité sur la notice d’utilisation ou les matériels promotionnels ne doit alors laisser penser que cet appareil est destiné à des personnes souffrant d’une déficience auditive, aussi légère soit-elle.

Voir en ligne : ANSM - Sécurité sanitaire des produits de santé

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Définir le niveau de contrôle pour le suivi des patients asthmatiques (Septembre 2008) - Selon les recommandations Anaes-Afssaps 2004 et en accord avec la HAS

  • Quels sont les critères de contrôle ?
  • L’asthme est-iL contrôlé ?
  • Quelle conduite adopter ?

Voir en ligne : Ameli

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Définition de la scoliose

La scoliose : il s’agit d’une courbe de la colonne dans le plan latéral. Une personne avec scoliose semble penchée plus d’un côté. Il ne faut pas confondre avec une mauvaise posture qui se corrige lorsque l’enfant se tient droit.
Idiopathique signifie que nous n’en connaissons pas la cause. Nous savons que nous pouvons retrouver différentes personnes de la même famille atteintes à des degrés divers.
En général vous serez envoyés pour avis auprès d’un chirurgien orthopédiste après une visite pour un autre motif chez le médecin généraliste, le pédiatre ou la visite médicale scolaire.

Voir en ligne : orthopedie-et-readaptation.com

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Définition et causes de la scoliose

La scoliose est une déviation permanente de la colonne vertébrale, liée à une rotation des vertèbres. Elle survient surtout dans l’enfance et l’adolescence, mais peut aussi se déclarer à l’âge adulte. Cette affection est parfois la conséquence d’une autre maladie ou d’une malformation. Toutefois, ses causes restent souvent inconnues.

Voir en ligne : Ameli-santé

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Définition universelle de l’infarctus du myocarde

La coronaropathie est une cause majeure de morbidité et de mortalité dans le monde. Pendant la progression naturelle de la plaque d’athérome, un événement soudain et potentiellement catastrophique peut survenir, à savoir la rupture de la plaque, entraînant l’exposition à des substances qui favorisent l’activation et l’agrégation plaquettaires et ultérieurement, la formation de thrombine1

Voir en ligne : Division de Cardiologie, Hôpital St. Michael, Université de Toronto,

Sujets associés


Dégénérescence, régénérescence : un espoir thérapeutique pour la maladie de Parkinson

Les maladies neurodégénératives ont une importance croissante dans nos sociétés, et représentent un défi thérapeutique majeur pour les années à venir. Cet article passe en revue l’état des connaissances actuelles sur les mécanismes impliqués dans la mort neuronale, en mettant un accent particulier sur la maladie de Parkinson. Les données de la littérature sont présentées de façon critique et discutées dans une perspective thérapeutique. En particulier, les stratégies faisant appel à des mécanismes de neuroprotection sont développées, de même que l’implantation de cellules souches, la production de facteurs de croissance et la thérapie génique.

Voir en ligne : C. Wider P. R. Burkhard A. Sajadi F. J. G. Vingerhoets - Revue Médicale Suisse

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Délibération n° 01-011 du 08 mars 2001 portant adoption d’une recommandation sur les sites de santé destinés au public

Les données de santé à caractère personnel, parce qu’elles relèvent de l’intimité de la vie privée, doivent faire l’objet d’une protection particulière, exigée tant par l’article 6 de la convention n° 108 du Conseil de l’Europe que par l’article 8 de la directive européenne du 24 octobre 1995. A cet égard la Commission réaffirme la pertinence de sa recommandation du 4 février 1997 sur le traitement des données de santé à caractère personnel : les données de santé à caractère personnel ne peuvent être utilisées que dans l’intérêt direct du patient et à des fins de santé publique, dans les conditions définies par la loi.

Voir en ligne : CNIL Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés,

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Délivrance de l’information à la personne sur son état de santé

La loi du 4 mars 2002 reconnaît un droit général pour toute personne d’être informée sur son état de santé par les professionnels de santé. L’information délivrée est destinée à éclairer la personne sur son état de santé et l’aider à prendre les décisions concernant sa santé en fonction de ce qu’elle estime être son intérêt. Cette recommandation a pour objectifs d’aider les professionnels de santé à satisfaire à leur obligation d’information et de leur proposer des principes pour dispenser une information pertinente, de qualité et personnalisée.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Démangeaisons anales

Les démangeaisons anales peuvent se présenter sous forme de picotement ou d’une sensation de brûlure. Elles sont rarement inquiétantes, surtout si elles réagissent aux soins de base. Dans la plupart des cas, elles sont dues à des hémorroïdes ou à une irritation locale causée par les selles. Une infection intestinale locale peut parfois être à l’origine de ces problèmes.

Voir en ligne : Portail Québec

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Démarche diagnostique face à une suspicion d’embolie pulmonaire dans le service des urgences médicales d’un CHU de taille moyenne d’Ile de France

En l’an 2000, le service des urgences médicales de l’hôpital Louis Mourier a enregistré 10 000 passages. Cette suspicion concernait un patient âgé (> 60 ans) dans 75 % des cas. Cette prépondérance de patients "seniors" reflète la structure de la démographie française (17 % de la population est âgée de plus de 65 ans) et celles du bassin de vie desservi par l’hôpital (65 000 personnes âgées de plus de 65 ans).

Voir en ligne : Christophe LEROY1, Frédéric PAYCHA2, Patrick BRUN1, Alain FONTAINE - Hôpital Louis Mourier, AP-HP, Colombes.

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Dématérialisation des documents médicaux : Créer la confiance pour favoriser l’informatisation

Les technologies de l’information et de la communication font désormais partie intégrante de l’environnement professionnel des médecins. Elles offrent des possibilités d’exploitation des données et des connaissances difficilement imaginables il y a 15 ans à peine. En favorisant l’échange et le partage de documents médicaux, elles jouent un rôle important dans la coordination des soins. Elles contribuent, de façon générale, à l’amélioration de la qualité des soins en facilitant l’accès, sans perte de temps, aux données nécessaires à la prise de décision et à la continuité de la prise en charge. L’informatisation de la pratique médicale apporte, enfin, les moyens de dégager du temps pour l’écoute et les soins aux patients.

Voir en ligne : Jacques Lucas - Conseil National de l’Ordre des Médecins

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Dengue - Aide-mémoire

La dengue est une maladie virale transmise par les moustiques du genre Aedes, qui se traduit par une forte fièvre accompagnée de maux de tête, de courbatures et d’une sensation de fatigue. Si dans la majorité des cas, il n’y a pas de complications, la maladie peut cependant évoluer vers des formes sévères (dengue hémorragique avec ou sans état de choc, atteintes viscérales). Il n’existe ni traitement préventif, ni traitement spécifique, ni vaccin.

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire

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DEPENALISER LE CANNABIS - A quel prix ?

L’Académie nationale de médecine et l’Académie nationale de pharmacie renouvellent les mises en garde qu’elles adressent périodiquement depuis 1998 à ceux qui souhaitent dépénaliser le cannabis en France

Voir en ligne : (Communiqué commun des Académies nationales de médecine et de pharmacie)

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Dépistage chez des femmes à haut risque de cancer du sein : mammographie et échographie ?

Cette étude conclut à l’intérêt de l’ajout d’une échographie à une mammographie pour le dépistage du cancer du sein chez des femmes à haut risque. Ce bénéfice va de pair avec une augmentation des cas de faux positifs. Ces résultats ne peuvent pas être extrapolés à la population générale.

Voir en ligne : Minerva


Dépistage chez des femmes à haut risque de cancer du sein : mammographie et échographie ?

Cette étude conclut à l’intérêt de l’ajout d’une échographie à une mammographie pour le dépistage du cancer du sein chez des femmes à haut risque. Ce bénéfice va de pair avec une augmentation des cas de faux positifs. Ces résultats ne peuvent pas être extrapolés à la population générale.

Voir en ligne : Minerva

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Dépistage de Cancer Colorectal - Colonoscopie Virtuelle

Les néoplasies colorectales constituent la deuxième cause de décès par cancer aux USA et en Europe. On estime que le dépistage des polypes pré-cancéreux et leur exérèse pourrait réduire de 80% la mortalité par cancer colique. Par ailleurs, le taux de survie à 5 ans d’un cancer colique détecté et traité précocement, avant dissémination, est de 90 % à 5 ans. Malheureusement l’adhésion du public aux examens de dépistage existants est faible. Nous avons développé depuis 2002 une nouvelle technique non invasive (sans introduction d’une endoscope) d’exploration du côlon par scanner, la colonoscopie virtuelle. L’examen est précédé d’une préparation (cliquez) ayant pour but d’éliminer les matières résiduelles dans le côlon ou à défaut de marquer celles-ci par de la baryte ingérée lors des repas la veille.

Voir en ligne : Institut Jules Bordet Belgique

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Dépistage de l’infection à Helicobacter pylori - Pertinence et populations concernées

Au terme de cette évaluation, un dépistage d’Helicobacter pylori en population générale asymptomatique présenterait des inconvénients, causés par le dépistage et les interventions, nombreux au regard d’avantages incertains.La HAS ne recommande donc pas le dépistage systématique de l’infection à Helicobacter pylori en population générale asymptomatique en France.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Dépistage de l’infection par le VIH en France : stratégies et dispositif de dépistage - Recommandations en Santé Publique

Deux objectifs généraux ont été poursuivis dans le cadre de ces recommandations en santé publique :

  • Évaluer la pertinence d’une modification des modalités de réalisation des tests de dépistage et en particulier préciser la place des TDR ;
  • Évaluer la pertinence d’une évolution des stratégies et du dispositif de dépistage.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Dépistage des hépatites B et C en France : état des lieux et perspectives

Près d’un demi-million de personnes en France vivent avec une hépatite chronique B ou C et la moitié d’entre elles ne le savent pas. Dans le monde, l’Organisation mondiale de la santé estimait en 2009 à quelque deux milliards les personnes ayant été en contact avec le VHB, dont près de 350 millions vivent avec une hépatite chronique, et à environ 600 000 celles qui en meurent chaque année ; le nombre de porteurs chroniques du VHC était estimé entre 130 et 170 millions. Les hépatites virales B et C représentent donc un problème de santé publique universel et demeurent insuffisamment dépistées et traitées, même en France malgré la mise en place de plusieurs plans de lutte successifs depuis près de deux décennies.

Voir en ligne : Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) Web

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Dépistage des troubles de l’audition chez l’enfant

La déficience auditive est le déficit sensoriel le plus fréquent à la naissance. C’est un problème de santé publique en raison des chiffres élevés de prévalence et de la répercussion sur le développement de la communication, sur la scolarité et l’insertion sociale ultérieure de l’enfant. Plus de 80% des surdités de l’enfant existent dès la naissance, mais ne peuvent être identifiées que par un dépistage à l’aide des méthodes objectives. Un enfant sur mille naît sourd profond, ce qui représente environ 25% des surdités présentes à la naissance. À 3 ans, la prévalence des surdités sévères et profondes est de 3/1000.

Voir en ligne : http://www.sfpediatrie.com/uploads/media/PDF_01.pdf

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Dépistage des troubles visuels chez l’enfant

Le dépistage des troubles visuels, dès les premiers mois de la vie, peut permettre de repérer très tôt les situations à risque d ?amblyopie, cause la plus fréquente de mauvaise vision unilatérale chez l ?enfant. L ?objectif est de dépister, par des examens simples, réalisables par le médecin de l ?enfant, des anomalies pour la plupart réversibles sous traitement dans les toutes premières années de la vie, permettant de faire passer la prévalence de l ?amblyopie de 3% à 1%.

Voir en ligne : SFP - Société Française de Pédiatrie

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Dépistage du cancer colorectal : Un nouveau test plus simple et performant pour dépister plus efficacement le 2e cancer le plus meurtrier en France

Mars sera, une nouvelle fois, le mois de la mobilisation contre le cancer colorectal. L’occasion de rappeler que ce cancer reste le 2e cancer le plus meurtrier et le 3e cancer le plus fréquent. Pourtant, détecté tôt, il guérit dans 9 cas sur 10. Un paradoxe qui invite à rappeler la gravité de ce cancer touchant aussi bien les femmes que les hommes, et l’importance de sa détection précoce. 2015 marque une véritable avancée dans le dépistage du cancer colorectal. Dès le printemps, un nouveau test de dépistage sera proposé aux personnes de 50 à 74 ans. Plus simple d’utilisation et encore plus performant, ce test facilitera la participation au dépistage qui reste encore très insuffisante.

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire

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Dépistage du cancer de la prostate : Guide de pratique canadien

L’objectif du dépistage du cancer de la prostate est de réduire la morbidité et la mortalité liées à cette maladie grâce à une découverte précoce. On a noté une baisse constante du taux de mortalité lié au cancer de la prostate depuis l’arrivée des mesures de l’APS à la fin des années 801. Cela dit, des essais de phase III sur le dépistage du cancer de la prostate ont obtenu un nombre élevé de sujets à traiter, ce qui porte à croire que dans de nombreux cas, le cancer de la prostate diagnostiqué ne devait pas avoir d’incidence sur la survie globale du patient

Voir en ligne : Association des urologues du Canada

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Dépistage du cancer du sein entre 70 et 74 ans

Les femmes belges âgées de 50 à 69 ans, sont actuellement invitées à participer gratuitement au dépistage du cancer du sein. L’augmentation de l’espérance de vie pose la question de l’extension de ce dépistage organisé à la tranche d’âge de 70 à 74 ans. Quatre Etats membres de l’Union européenne organisent actuellement ce dépistage : la France, les Pays-Bas, l’Espagne et la Suède.

Voir en ligne : Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé

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Dépistage du cancer du sein : Doit-on réévaluer son efficacité ?

L’efficacité d’un dépistage mammographique régulier est démontrée par des essais randomisés. Cependant, le bénéfice du dépistage diminue, principalement suite aux progrès thérapeutiques. Tout dépistage inclut un risque potentiel et la tendance à une détection de plus en plus précoce peut accroître ce risque. Ainsi, le rap­port risque/bénéfice du dépistage augmente. Les efforts portant sur la qualité des programmes et la mise au point d’indicateurs fiables de surveillance de l’impact et des effets adverses du dépistage mammographique doivent être poursuivis.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Dépistage du cancer ovarien dans la population générale

Si l’incidence du cancer ovarien est faible, sa mortalité est très élevée, du fait d’un diagnostic habituel à un stade avancé. Il semble intéressant de détecter ce cancer à un stade précoce. La clinique est peu spécifique, aussi différents outils ont été évalués. La procédure de dépistage la plus efficace associe le dosage du CA-125 et, en cas d’anomalie, l’échographie. L’application de ce principe à de larges populations a été menée dans deux grandes études. L’étude PLCO a donné des résultats négatifs : dans le groupe dépisté, pas de réduction de la mortalité par cancer ovarien et par contre morbidité chirurgicale accrue. Les résultats de l’étude UKCTOCS ne seront connus que dans deux ans.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Dépistage du cancer pulmonaire par scanner thoracique

Le dépistage du cancer du poumon a fait l’objet d’un intense intérêt depuis la publication, en 2011, de l’étude NLST (National Lung Screening Trial), qui a montré une réduction de la mortalité chez des fumeurs ayant subi pendant trois ans un dépistage par scanner thoracique. Bien que ces données soient prometteuses, de nombreuses questions demeurent, comme le nombre élevé de faux positifs, le risque de surdiagnostic, l’intervalle optimal entre les scanners, la durée du processus, la faisabilité et le coût. Des programmes structurés sont indispensables pour garantir l’information du patient, la qualité technique et la prise en charge multidisciplinaire. Malgré ces incertitudes, certaines directives recommandent déjà le dépistage, alors que les investigateurs soulignent qu’il faut davantage de données. Comment le praticien doit-il aborder les demandes individuelles ? Cette revue fournit quelques indications sur cette question complexe.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Dépistage du portage digestif des bactéries commensales multirésistantes aux antibiotiques importées en France

La résistance des bactéries aux antibiotiques est un sujet émergent depuis que la découverte de nouveaux antibiotiques s’est tarie et que l’augmentation régulière des résistances à ceux qui sont disponibles a avivé les craintes que nous ne trouvions bientôt face à des situations où des bactéries pathogènes seraient résistantes à tous les antibiotiques disponibles, induisant des impasses thérapeutiques. Pourtant cette crainte, véhiculée depuis de nombreuses années (1) et rappelée récemment dans un document international visant à lancer l’alerte (2), ne semble pas, pour la majorité des praticiens, confirmée par les faits et leurs observations quotidiennes : les patients qui décèdent d’infection du fait de bactérie résistante à tous les antibiotiques disponibles sont, et heureusement, extrêmement rares. Dès lors, pourquoi s’inquiéter ?

Voir en ligne : HCSP - Haut Comité de la Santé Publique

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Dépistage et prévention du cancer du sein

Le sein est une glande exocrine hormonodépendante qui renferme la glande mammaire. L’élément actif de la glande mammaire est constitué des alvéoles mammaires (ou acinus) qui sont regroupées en grappes pour former un lobule. La paroi des alvéoles est composée de cellules épithéliales sécrétoires et de cellules myoépithéliales contractiles. Chaque alvéole est drainée par un canal dont la paroi est tapissée de cellules épithéliales non sécrétoires et de cellules myoépithéliales.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Dépistage et prise en charge de l’infection à Neisseria gonorrhoeae : état des lieux et propositions

Trois objectifs généraux ont guidé l’élaboration de ce rapport :

  • établir un état des lieux des données disponibles ou non sur l’infection à Neisseria gonorrhoeae : histoire naturelle de la maladie, épidémiologie, identification et traitement.
  • identifier l’ensemble des problèmes posés par la prise en charge diagnostique et thérapeutique et s’interroger sur les évolutions souhaitables.
  • conduire une réflexion sur la pertinence du dépistage.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Dépistage génétique préimplantatoire

Le diagnostic génétique préimplantatoire constitue une solution de rechange au diagnostic prénatal pour la détection des troubles génétiques chez les couples courant le risque de transmettre une maladie génétique à leur progéniture. La mise en oeuvre d’un dépistage génétique préimplantatoire a été proposée pour rehausser l’efficacité de la fécondation in vitro chez les femmes d’âge mûr ou chez les couples ayant connu des fausses couches ou des échecs implantatoires à répétition ; cependant, les mérites de cette approche font l’objet d’un débat.

Voir en ligne : SOGC Société des Obstétriciens et Gynécologues du Canada]

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Dépistage organisé du cancer colorectal

Diagnostiqué tôt, le cancer colorectal peut être guéri dans plus de 9 cas sur 10. C’est pourquoi le dépistage de ce cancer est proposé par les pouvoirs publics aux hommes et femmes âgés de 50 à 74 ans. Ce dispositif est désormais généralisé sur l’ensemble du territoire français. 16 millions de personnes sont concernées. Dans ce contexte, l’Institut National du Cancer, en lien avec le ministère de la Santé et des Sports et l’Assurance Maladie, mène un programme d’information visant à contribuer à l’augmentation du taux de participation de la population au dépistage organisé du cancer colorectal.

Voir en ligne : Institut National Du Cancer

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Dépistage organisé du cancer colorectal

Le dépistage du cancer colorectal est proposé par les pouvoirs publics aux hommes et femmes de 50 à 74 ans. A l’occasion de Mars Bleu, mois de mobilisation contre le cancer colorectal, l’INCa, avec le ministère chargé de la Santé et les régimes d’Assurance maladie, mène une campagne de sensibilisation sur le dépistage de ce cancer et rappelle que « dès 50 ans, c’est le moment... de parler du dépistage du cancer colorectal avec son médecin traitant ». Cette campagne s’inscrit dans le Plan cancer 2009-2013 (mesure 14).

Voir en ligne : Cancer Info

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Dépistage précoce des troubles de la fonction visuelle chez l’enfant pour prévenir l’amblyopie

L’amblyopie est une insuffisance uni ou bilatérale de certaines aptitudes visuelles, principalement de la discrimination des formes, entraînant chez l’enfant un trouble de la maturation du cortex visuel, irréversible en l’absence de traitement. Ces recommandations concernent le dépistage des troubles visuels chez l’enfant de moins de 6 ans.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Dépistage sélectif de l’anévrisme de l’aorte abdominale

L’anévrisme de l’aorte abdominale (AAA) est une affection qui, selon les critères établis, peut être détectée tôt au moyen d’un test de dépistage ou d’une recherche de cas, même si l’efficacité d’une telle intervention n’a pas encore été prouvée.

Voir en ligne : C. William Cole, Gerry B. Hill, Wayne J. Millar, Andreas Laupacis et K. Wayne Johnston -Canada

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Dépistage systématique de l’anévrysme de l’aorte abdominale par échographie

L’anévrysme de l’aorte abdominale (AAA) est une maladie vasculaire grave, qui peut entraîner un décès subit. Environ 20 % de toutes les personnes affectées ont un anévrysme de plus de 5 cm exigeant un traitement chirurgical immédiat. Ce traitement est efficace, mais est associé à un risque de mortalité non négligeable, qui varie entre 5 et 10 %, selon les milieux de soins. Les patients qui ont un anévrysme de plus petite taille bénéficient d’un suivi périodique et d’un traitement médical optimisé jusqu’au moment où le risque de rupture justifie une intervention chirurgicale. Un risque de décès subit par rupture d’anévrysme est toujours présent chez ces patients.

Voir en ligne : Agence d’évaluation des technologies et des modes d’intervention en santé (AETMIS) - Montreal

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Dépression post-partum

Pour la majorité des femmes, mettre un enfant au monde est une expérience très intense, tant du point de vue physique qu’émotionnel. Il est donc naturel pour un bon nombre de nouvelles mamans d’éprouver des sautes d’humeur après l’accouchement, se sentant heureuses et tristes par moments. Ces sentiments sont parfois appelés « baby blues » ou « syndrome du troisième jour ». Dans la plupart des cas, ils disparaissent environ 10 jours après l’accouchement. Cependant, certaines femmes peuvent éprouver une dépression profonde et continue qui durera beaucoup plus longtemps. Il s’agit de la dépression post-partum.

Voir en ligne : Association canadienne pour la santé mentale

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Dermatite atopique = Eczéma

Atopie : prédisposition héréditaire à réagir de manière symptomatique (maladie) à divers allergènes, tels que la poussière de maison, les acariens, les pollens, les poils d’animaux, des aliments etc. Les affections atopiques comprennent l’asthme bronchique allergique, le rhume des foins, la dermatite atopique et les allergies alimentaires.

Voir en ligne : ASPEA - Association suisse des parents d’enfants asthmatiques et allergiques

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Dermatite de contact allergique

La dermatite de contact professionnel est une inflammation locale de la peau. L’inflammation se manifeste par des démangeaisons, de la douleur, une rougeur, une enflure et des petites vésicules ou des papules (petits cercles rouges à centre blanc donnant des démangeaisons) sur la peau. L’inflammation est due à une allergie ou à une irritation provoquées par des substances qui sont présentes dans les lieux de travail et qui viennent directement en contact avec la peau. Des détails sont donnés ci-après sur la dermatite de contact allergique.

Voir en ligne : Centre Canadien d’Hygiène et de Sécurité au Travail

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Dermocorticoïdes : incontournables et redoutés

Les dermocorticoïdes représentent une partie non négligeable de l’arsenal thérapeutique en dermatologie de par leurs effets anti-inflammatoires et antiprolifératifs, avec une indication dans de nombreuses dermatoses inflammatoires. Leurs effets secondaires cutanés constituent le revers de la médaille mais sont souvent surestimés. Les effets indésirables systémiques sont par contre plus rares. Cet article présente les propriétés de cette classe de médicaments et insiste sur les règles à respecter pour éviter les effets indésirables.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Dernières informations de sécurité de l’AFSSAPS - La Grippe A(H1N1)v

La grippe A (H1N1)v de 2009 est une maladie respiratoire aiguë contagieuse provoquée par un virus de la grippe A de sous-type H1N1. Ce nouveau virus grippal, contient des gènes de plusieurs virus connus d’origine porcine, aviaire et humaine. Il est différent du virus A (H1N1) responsable de la grippe saisonnière, d’origine humaine.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Déroulement d’une IVG médicamenteuse

Vous êtes venue consulter votre médecin pour envisager une interruption volontaire de grossesse (IVG), et vous aimeriez connaître les modalités de sa réalisation par technique médicamenteuse. Une IVG peut, depuis le début des années 1980, être réalisée par simple prise de médicaments. Le taux de succès de cette technique se situe entre 95% et 98.7% environ. A quel délai maximal puis-je entreprendre une IVG médicamenteuse ?

Voir en ligne : SFTG Paris-Nord Société de Formation Thérapeutique du Généraliste

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  • (Dossiers)

Des chercheurs israéliens ont développé un test qui permet de détecter les risques de cancer du sein ou de l’ovaire.

Des chercheurs israéliens ont développé un test qui permet de pronostiquer si les femmes en bonne santé sont exposées à un risque significatif de développer un cancer du sein ou de l’ovaire. En utilisant un test sanguin, les chercheurs du Centre Médical Hadassah ont pu identifier la présence d’une mutation nocive, ce qui peut déclencher ces types de cancers chez les femmes.

Voir en ligne : Par Zach Pontz – Algemeiner- Adaptation française : Hanna Lévy

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Des collations sans arachides pour l’école

L’allergie aux arachides peut avoir de graves conséquences : une minime quantité d’arachides peut provoquer un choc anaphylactique, une réaction pouvant mettre en danger la vie des enfants… C’est pourquoi un grand nombre d’établissements scolaires québécois interdisent maintenant les collations contenant des arachides et des noix. Pour une rentrée scolaire sans souci, Extenso vous propose des collations nutritives sans arachides ni noix.

Voir en ligne : Extenso- Nutrim

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Des dispositifs publics pour développer la confiance et les marchés des technologies logicielles pour la santé

Les logiciels sont omniprésents dans notre système de santé. Ceci est désormais bien connu et reconnu dans les politiques publiques de santé, en France et dans le monde. Les fonctions confiées à ces logiciels sont multiples : efficience des processus de soins et des actes de soins ; pilotage des dispositifs médicaux et aide à l’exploitation des données qu’ils fournissent ; assistance individualisée aux personnes en situation de handicap ou en perte d’autonomie. C’est ce que l’on nomme parfois du terme générique de « e-Santé »...

Voir en ligne : CGEIET - Conseil général de l’économie, de l’industrie, de l’énergie et des technologies

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Des fiches santé pays par pays

Hébergé par la Maison des Français à l’Etranger, ce site est la référence institutionnelle en matière d’information sur l’état sanitaire des pays dans le monde.
voir la Liste des fiches santé disponibles

Voir en ligne : CIMED

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Des mesures d’hygiène simples pour éviter les risques alimentaires liés aux campylobacters

Les campylobacters sont des bactéries très largement présentes dans le tube digestif des animaux, en particulier les volailles. Elles sont considérées comme l’une des principales causes de gastroentérites dans les pays industrialisés. Chez l’homme, elles se traduisent le plus souvent par des maux de ventre, des diarrhées et de la fièvre et guérissent spontanément dans la plupart des cas.

Voir en ligne : AFSSA Agence française de sécurité sanitaire des aliments

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Des phytostérols contre le cholestérol

Pour réduire la quantité de cholestérol circulant dans le sang, les experts américains et internationaux recommandent aux personnes à risque ou ayant une maladie du cœur de consommer 2 g de phytostérols par jour au cours des repas. Mais qu’est-ce qu’un phytostérol ? En retrouve-t-on suffisamment dans notre alimentation ?

Voir en ligne :

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Des phytostérols contre le cholestérol

Pour réduire la quantité de cholestérol circulant dans le sang, les experts américains et internationaux recommandent aux personnes à risque ou ayant une maladie du cœur de consommer 2 g de phytostérols par jour au cours des repas. Mais qu’est-ce qu’un phytostérol ? En retrouve-t-on suffisamment dans notre alimentation ?

Voir en ligne : Extenso Centre de référence sur la nutrition humaine

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Désaccoutumance au tabac : Mise à jour 2011

Le tabagisme reste un problème majeur de santé publique. Il cause chaque année environ 9000 décès en Suisse et coûte 5 milliards de francs en frais médicaux directs et en coûts sociaux indirects. La majorité des fumeurs souhaite, un jour, arrêter de fumer. Le conseil médical aide le fumeur dans sa démarche de désaccoutumance et le traitement pharmacologique permet d’atténuer le sevrage nicotinique et augmente les chances de devenir un ex-fumeur

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Description de l’algie vasculaire de la face

Du point de vue du malade, une crise d’algie vasculaire de la face (cluster headache en anglais et dénommée AVF ci-après) se caractérise principalement par une douleur d’une violence extrême généralement localisée dans la zone oeil-tempe et qui ne concerne qu’un seul et même côté du visage. L’AVF est une céphalée (mal de tête) rapidement intense, et d’une durée comprise entre un quart d’heure et trois heures.

Voir en ligne : Association française contre l’algie vasculaire de la face (cluster headache)

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Description des populations du Régime général en arrêt de travail de 2 à 4 mois

Suite à la forte évolution du poste des indemnités journalières, le Directeur général de la Cnamts a décidé la mise en oeuvre d’un plan d’actions national sur les arrêts de travail. Ce plan d’actions comportait une étude dont l’objectif était de décrire les motifs médicaux et l’environnement socioprofessionnel des assurés en fonction de la durée de leur arrêt de travail.

Voir en ligne : CNAMTS - DSM - Mission des Soins de Ville - Mission Statistique - NV/GS/PhR/PF/HA - octobre 2004

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Detection of Enterobacteriaceae isolates carrying metallo-beta-lactamase - United States, 2010.

During January-June 2010, three Enterobacteriaceae isolates carrying a newly described resistance mechanism, the New Delhi metallo-beta-lactamase (NDM-1), were identified from three U.S. states at the CDC antimicrobial susceptibility laboratory. This is the first report of NDM-1 in the United States, and the first report of metallo-beta-lactamase carriage among Enterobacteriaceae in the United States. These isolates, which include an Escherichia coli, Klebsiella pneumoniae, and Enterobacter cloacae, carry blaNDM-1, which confers resistance to all beta-lactam agents except aztreonam (a monobactam antimicrobial) ; all three isolates were aztreonam resistant, presumably by a different mechanism. In the United Kingdom, where these organisms are increasingly common, carriage of Enterobacteriaceae containing blaNDM-1 has been closely linked to receipt of medical care in India and Pakistan. All three U.S. isolates were from patients who received recent medical care in India.

Voir en ligne : Centers for Disease Control and Prevention (CDC).

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Déterminants des consultations pour rhinopharyngite de l’enfant d’âge préscolaire en médecine générale

La rhinopharyngite est une maladie bénigne, qui évolue spontanément vers la guérison. Le traitement recommandé est purement symptomatique : paracétamol et lavage des fosses nasales1. C’est pourtant le 2e résultat de consultation le plus fréquent en médecine générale2. La raison pour laquelle les patients consultent n’est pas toujours claire pour les médecins généralistes. Identifier dans la littérature les raisons pour lesquelles les parents amènent leur enfant en consultation en cas de rhinopharyngite. L’objectif secondaire était de proposer aux médecins une grille de lecture permettant de résumer ces raisons

Voir en ligne : exercer

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Deuxième cas autochtone de dengue en France métropolitaine

Un deuxième cas autochtone de dengue en France métropolitaine a été confirmé le 18 septembre 2010 à Nice (Alpes-Maritimes). Il s’agit, pour l’instant, de cas situés dans une zone géographique bien circonscrite. Néanmoins, les services de l’Etat sont mobilisés afin de prévenir la dissémination du virus, qui seule pourrait être à l’origine d’une épidémie. Deux des patients, confirmés biologiquement, sont guéris et en bonne santé, une dizaine d’autres sont en attente des résultats biologiques. Les autorités sanitaires ont demandé aux personnes qui pensent être atteintes par le virus de se signaler rapidement auprès de leur médecin traitant.

Voir en ligne : DGS / Mission de l’information et de la communication / Département des urgences sanitaires

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Développement d’une nouvelle méthode angiographique pour l’estimation du volume d’anévrismes cérébraux

Ce travail de diplôme a pour but de déterminer la volume d’un anévrisme à partir de deux images angiographiques sous incidence différente. Pour pouvoir déterminer ce volume, l’anévrisme est reconstruit en trois dimensions à l’aide de ces deux images.

Voir en ligne : Alain Leyvraz, Dr. P.-A. Doriot*, Prof. P. Descouts * Centre de cardiologie, Hôpitaux Universitaires de Genève - HUG

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Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées

Résumé Certaines thérapeutiques non médicamenteuses sont recommandées comme traitement de fond dans certains contextes spécifiques tels que les risques cardio-vasculaires et l’insomnie (régimes diététiques, activités physiques, traitements psychologiques, etc.). Il semble pourtant que les professionnels de santé se heurtent à certaines difficultés dans la prescription de ces thérapeutiques, telles que le manque de temps à consacrer à chaque patient ou encore l’impression que leurs patients ne sont pas prêts à accepter ces traitements qui impliquent souvent des changements de comportements difficiles à mettre en œuvre.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé


Développer la recherche sur la sécurité du patient

De multiples travaux de recherche ont été consacrés ces dernières années à la sécurité du patient et aux soins médicaux peu sûrs. Ces derniers ont largement été analysés et beaucoup d’efforts ont été engagés pour savoir quelle en est la fréquence, quelles en sont les conséquences sur le patient en termes de mortalité et de morbidité et quelles peuvent être les meilleures solutions pour y faire face. Néanmoins, ces recherches sont insuffisantes et les données encore largement imprécises.

Voir en ligne : Dr Jean Brami – Direction de l’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins – HAS

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Dexaméthasone en pommade contre les aphtes récidivants

Cette étude de bonne qualité méthodologique conclut que, chez les patients adultes présentant des aphtes récidivants, un traitement topique de courte durée (5 jours) avec de la dexaméthasone en pommade est plus efficace qu’un placebo pour diminuer la taille des aphtes et en diminuer la douleur. Ce traitement local semble sans danger à court terme.

Voir en ligne : Minerva


Dextropropoxyphène + paracétamol (Di-Antalvic° ou autre ) : retrait enfin annoncé en France

L’agence européenne du médicament (EMEA) se résout enfin à recommander le retrait du marché de l’association dextropropoxyphène + paracétamol (Di-Antalvic° ou autre). La France a attendu cette recommandation pour décider ce retrait, contrairement à d’autres pays européens qui l’avaient déjà effectué. Il reste aux soignants à informer les patients qu’en réalité cette association est trop dangereuse par rapport à ses bénéfices, et qu’elle peut être remplacée utilement par d’autres antalgiques, à commencer par le paracétamol, seul, ou, si besoin, associé à la codéine.

Voir en ligne : Revue "Prescrire"

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Diabète de type 1 de l’adulte

L’objectif de ce guide est d’expliciter pour les professionnels de la santé la prise en charge optimale et le parcours de soins d’un malade admis en ALD au titre de l’ALD 8 : diabète. Le guide est limité à la prise en charge du diabète de type 1 de l’adulte et ne concerne pas la prise en charge des complications du diabète.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Diabète de type 2 : Contributions de l’ANSM aux recommandations thérapeutiques de la HAS - Point d’information

La Haute autorité de santé (HAS) publie ce jour des recommandations sur le traitement médicamenteux du diabète. L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a participé activement à l’élaboration de ces recommandations. Des données de sécurité par produit concernant les risques identifiés et les risques potentiels des anti-diabétiques ont ainsi été transmises par l’Agence, en particulier pour la metformine et pour les classes de médicaments récemment mises sur le marché (inhibiteurs des DPP-4 et analogues des GLP-1).

Voir en ligne : ANSM - Sécurité sanitaire des produits de santé

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Diabète de type 2 : quand et quels médicaments prescrire pour le contrôle glycémique ?

En 2009, 2,7 millions de personnes étaient traitées par médicament pour un diabète de type 2, soit environ 4,6% de la population française. Mal ou non soigné, le diabète de type 2 peut entraîner des complications graves et coûteuses. Le contrôle de la glycémie (sucre dans le sang), un accompagnement et un traitement adaptés permettent d’éviter ou de retarder ces complications. La Haute Autorité de Santé (HAS) et l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) diffusent ce jour une recommandation de bonne pratique pour aider les professionnels de santé à définir la stratégie médicamenteuse la plus adaptée pour le contrôle glycémique de leurs patients.
Voir : Questions/réponses de la HAS sur la stratégie médicamenteuse

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Diabète et travail

L’AFD sort son livre blanc "Diabète et travail", disponible en téléchargement et gratuitement sur le site. Ce livre blanc met à jour la liste des métiers encore inaccessibles aux personnes diabétiques et les métiers qui pourraient l’être. L’objectif est de changer les mentalités et de faire des propositions pour améliorer la gestion du diabète en milieu professionnel.

Voir en ligne : Association Française des Diabétiques - AFD

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Diabète sucré de type 2

Le diabète est un important problème de santé dont la fréquence augmente. Il aboutit à des complications sévères aiguës (hypoglycémie, hyperglycémie et cétoacidose) ou chroniques (problèmes ophtalmiques, néphropathie, neuropathie et problèmes de pieds). Les patients diabétiques de type 2 présentent par ailleurs un risque plus élevé de pathologie cardio-vasculaire. Ces complications vont de pair avec une morbidité (sur les plans physique et psychosocial) et une mortalité importantes.

Voir en ligne : Le groupe « Recommandations de Bonne Pratique » (RBP) de la SSMG

Sujets associés


Diagnostic biologique d’une immunisation foetomaternelle

L’immunisation foeto-maternelle est une cause majeure d’anémie hémolytique chez le nouveau-né. L’anémie est causée par la présence dans le sang du foetus d’anticorps de type Ig G dirigés contre un antigène porté par les globules rouges foetales. Ces anticorps ont été sécrétés par la mère après allo-immunisation antérieure, et passent à travers la barrière placentaire durant la grossesse.

Voir en ligne : H. Seroussi - GyneWeb

Sujets associés


Diagnostic biologique d’une immunisation foetomaternelle

L’immunisation foeto-maternelle est une cause majeure d’anémie hémolytique chez le nouveau-né. L’anémie est causée par la présence dans le sang du foetus d’anticorps de type Ig G dirigés contre un antigène porté par les globules rouges foetales. Ces anticorps ont été sécrétés par la mère après allo-immunisation antérieure, et passent à travers la barrière placentaire durant la grossesse.

Voir en ligne : H. Seroussi - GyneWeb

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Diagnostic biologique de pancréatite aiguë : LIPASE = OUI AMYLASE =NON

Devant un tableau clinique évocateur de pancréatite aiguë, le seul dosage biologique à visée diagnostique à réaliser est celui de la lipasémie. Une évaluation de la HAS* a confirmé la supériorité de ce dosage sur celui de l’amylasémie, qui n’a plus d’intérêt dans cette indication. Cette fiche revient sur les quatre principales conclusions de cette évaluation.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Diagnostic d’un retard ou d’une avance de croissance. Diagnostic d’un retard ou d’une avance pubertaire

La croissance osseuse chez l’enfant est liée à deux processus distincts : l’allongement qui dépend du cartilage de croissance (ou cartilage de conjugaison) et l’épaississement qui dépend de l’apposition périostée. Les facteurs de régulation de la croissance sont nombreux mais schématiquement les principaux éléments régulateurs sont les facteurs génétiques, les facteurs hormonaux et l’environnement, dont la nutrition. L’hormone hypophysaire de croissance ou GH (growth hormone) est le principal facteur endocrinien.

Voir en ligne : C. ADAMSBAUM, G. KALIFA Hôpital St Vincent de Paul - Paris

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Diagnostic d’une adénopathie périphérique

La découverte d’adénopathies superficielles, isolées ou multiples, est fréquente chez l’enfant et, il convient de rappeler que c’est entre 4 et 8 ans que le développement du système lymphatique est maximum. Alors que les ganglions ne sont en règle non palpables à la naissance, ils vont subir une augmentation de taille constante jusqu’à la puberté, puis régresser progressivement. Les ganglions cervicaux, axillaires et inguinaux sont plus facilement palpables chez l’enfant que chez l’adulte, sans revêtir obligatoirement un caractère pathologique. Si le plus souvent les adénopathies représentent une réponse transitoire à une infection locale ou générale, elles peuvent être le témoin d’une affection sévère à ne pas méconnaître, justifiant la ponction et la biopsie ganglionnaires. Toute corticothérapie aveugle doit être proscrite.

Voir en ligne : C. Bergeron - E. Le Gall | Institut Mère-Enfant, Hopital sud, Rennes

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Diagnostic d’une macrocrânie

Le diagnostic d’une macrocrânie chez l’enfant conduit à envisager 4 grands cadres étiologiques : 1) les hydrocéphalies liées aux perturbations de circulation du liquide céphalo-rachidien, qui sont la cause principale de macrocrânie au cours des 2 premières années de vie et peuvent être responsables d’une hypertension intra-crânienne (HTIC) ; 2) les collections péricérébrales non traumatiques qui sont une cause fréquente de macrocrânie et ne sont en général pas responsables d’HTIC ; 3) les collections péricébrales traumatiques avec, principalement, les hématomes sous-duraux qui peuvent être responsable d’une HTIC ; 4) les mégalencéphalies où la macrocrânie est due à un développement excessif du parenchyme cérébral et ne s’associent pas à une HTIC.

Voir en ligne : Yann Mikaeloff, Service de Neuropédiatrie, Hôpital Saint-Vincent de Paul, Paris, France..

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Diagnostic de la thrombose veineuse profonde et de l’embolie pulmonaire

Un article de la série « La boîte à outils du médecin de famille »

Voir en ligne : Site éditeur PrimaryCare - Journal suisse de médecine de premier recours

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Diagnostic des ictères

Les ictères se différencient en ictères à bilirubine non conjugués représentés essentiellement par la Maladie de Gilbert dues à un déficit génétique de l’enzyme conjuguant la bilirubine et les hyper hémolyses, et les ictères à bilirubine conjugués.

Voir en ligne : Professeur Jean-Pierre ZARSKI - Faculté de Médecine de Grenoble

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Diagnostic différentiel structuré d’une perte brève de conscience

Une perte transitoire de conscience amène fréquemment le patient à consulter les services de neurologie ou de cardiologie. Une anamnèse précise et orientée ainsi qu’un examen clinique bien conduit autoriseront le plus souvent la distinction entre syncope, crise d’épilepsie, malaise d’origine métabolique ou psychogène.

Voir en ligne : Revue Médicale de Liège

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Diagnostic du tremblement essentiel

Les médecins spécialistes peuvent diagnostiquer de façon fiable le tremblement essentiel, sur la base des symptômes et d’un examen neurologique. A l’heure actuelle, il n’existe aucun test spécifique par analyse de sang, examen urinaire ou autre qui permette de diagnostiquer le tremblement essentiel. Votre médecin voudra peut-être rechercher d’autres causes de tremblements tels qu’un dysfonctionnement thyroïdien, un excès de caféine ou encore les effets secondaires de certains médicaments.

Voir en ligne : Association des Personnes concernées par le Tremblement Essentiel (APTES)

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Diagnostic d’une dysphagie

La dysphagie est une sensation de blocage ou de gêne ressentie lors du passage des aliments dans l’œsophage. Elle impose toujours une endoscopie oeso-gastro-duodénale qui doit être effectuée de première intention pour éliminer une lésion organique de l’œsophage.

Voir en ligne : J.P. TRIBOULET – Chirurgie Digestive et Générale - medecine.univ

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Diagnostic d’une dysphonie

La dysphonie ou enrouement désigne une altération de la voix d’origine laryngée. Considérée comme un symptôme banal sans gravité, elle est souvent négligée tout au moins au début. En réalité, c’est peut-être le premier et le plus important des signes cliniques d’un cancer du larynx.

Voir en ligne : Professeur Emile REYT - Faculté de médecine de Grenoble

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Diagnostic et antibiothérapie des infections urinaires bactériennes communautaires de l’adulte

L’objectif de ce travail est de proposer, à partir de données réactualisées, une prise en charge optimisée des patients ayant une IU communautaire, dans le contexte de modification de l’épidémiologie de la résistance aux antibiotiques. Outre l’efficacité et la tolérance, les critères de choix des antibiotiques incluent l’effet collatéral sur le microbiote intestinal (réservoir des bactéries résistantes), en conformité avec le rapport de l’ANSM sur la caractérisation des antibiotiques considérés comme critiques...Les candiduries, les urétrites, les infections de vessie neurologique, les cystites récidivantes à risque de complication, les prostatites chroniques et les IU liées aux soins sont exclues du champ de ces recommandations.

Voir en ligne : FFI - Fédération Française d’Infectiologie

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Diagnostic et antibiothérapie des infections urinaires bactériennes communautaires, chez l’adulte

La place de chaque antibiotique repose non seulement sur les critères d’efficacité et de toxicité mais aussi sur l’analyse du risque écologique, afin de limiter l’émergence de résistances bactériennes. Dans le cadre de ces recommandations, le coût n’intervient pas dans le choix du traitement.

Voir en ligne : AFSSAPS : Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé

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Diagnostic et indication de l’ostéoporose

L’ostéoporose est une maladie diffuse du squelette caractérisée par une faible masse osseuse et une détérioration de la micro-architecture du tissu osseux, responsables d’une augmentation du risque de fracture. L’objectif de son traitement est de prévenir la survenue de fractures. La résistance osseuse, donc le risque de fracture, est évaluée en fonction, notamment, du contenu minéral osseux ou densité minérale osseuse (DMO).

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Diagnostic et prise en charge de la DMLA

La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) représente, dans les pays industrialisés, la première cause de malvoyance chez les adultes de plus de 50 ans. Maladie dégénérative de la rétine d’évolution chronique qui débute après l’âge de 50 ans, la DMLA entraîne une perte progressive de la vision centrale. Il existe deux formes évolutives de la DMLA : la forme atrophique (dite « sèche ») et la forme exsudative (dite « humide »). La DMLA est une maladie chronique qui requiert un suivi régulier et une information du patient au long cours.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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  • (Maladies, symptômes et pathologies)

Diagnostic et prise en charge de l’incontinence urinaire de la femme adulte

Le terme incontinence urinaire désigne la plainte de fuites involontaires d’urine. Chez la femme adulte, l’incontinence urinaire est une affection fréquente qui peut être handicapante et coûteuse (NP1). Les principaux types sont l’incontinence urinaire à l’effort, l’inconti- nence par urgenturie, et l’incontinence mixte. L’incontinence urinaire à l’effort est la plainte de fuites urinaires lors d’activités physiques, de la toux ou de l’éternuement. L’incontinence urinaire par impériosités (ou urgenturie) est la plainte de fuite urinaire involontaire, précédée ou accompagnée d’urgence mictionnelle.

Voir en ligne : Collège national des gynécologues et obstétriciens français

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Diagnostic et surveillance biologiques de l’hyperthyroïdie de l’adulte

L’objectif de cette recommandations est de répondre aux questions suivantes :

  1. Quels examens biologiques peuvent être utiles au diagnostic et à la surveillance de l’hyperthyroïdie ?
  2. Quelle doit être la stratégie d’utilisation des examens biologiques dans le diagnostic de l’hyperthyroïdie ?
  3. Quelle est la surveillance biologique optimale d’une hyperthyroïdie ?

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Diagnostic rationnel en allergologie

La clé d’une prescription pertinente en allergologie repose sur l’anamnèse et sur la connaissance de la fréquence de sensibilisation potentielle à un allergène donné dans le contexte identifié. L’interrogatoire précis du patient porte sur son histoire familiale (avoir un parent allergique dans la famille augmente le risque de sensibilisation) ainsi que sur la survenue des symptômes (contact particulier occasionnel, environnement, caractère sporadique ou saisonnier).

Voir en ligne : Conseil Scientifique | Luxembourg

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Diagnostiquer une hyperthyroïdie

  • Ensemble des troubles liés à l’excès d’hormones thyroïdiennes au niveau des tissus cibles : syndrome de thyrotoxicose
  • auquels s’associent des troubles variés selon l’étiologie
    Prévalence élevée mais variable selon les pays (0,2 à 1,9% toutes causes confondues). Sex ratio F/H : environ 7

Voir en ligne : Collège des Enseignants d’Endocrinologie, Diabète et Maladies Métaboliques.

Sujets associés


Diarrhée aiguë du nourrisson

La diarrhée aiguë est l’émission de selles anormalement fréquentes et liquides en dehors de tout contexte chronique évident. Fréquente chez le nourrisson pour lequel elles représentent un important motif de consultation, les diarrhées exposent à un risque de déshydratation aiguë, d’autant plus rapide et grave qu’elles sont associées à des vomissements. Les diarrhées aiguës du nourrisson relèvent de causes variées, dominées par les gastro-entérites aiguës infectieuses, en particulier virale, saisonnière et épidémiques. Certaines diarrhées sont microbiennes et doivent être identifiées, voire traitées. Enfin, il faut savoir évoquer d’autres causes. Le traitement est avant tout celui de la déshydratation, soit préventif, soit curatif. Il y a parfois un traitement étiologique à réaliser.

Voir en ligne : Professeur Dominique PLANTAZ - Corpus Médical de la Faculté de Médecine de Grenoble

Sujets associés


Diarrhée avec ou sans vomissements

Un enfant a la diarrhée lorsque ses selles sont plus liquides et plus fréquentes que d’habitude. La diarrhée peut être accompagnée de fièvre et de vomissements. Chez l’enfant, la diarrhée et les vomissements peuvent entraîner la déshydratation. Pour prévenir la déshydratation, vous devez faire boire une solution de réhydratation orale à votre enfant.

Voir en ligne : Hôpital de Montréal pour enfants du Centre Universitaire de Santé Mc Gill

Sujets associés


Diarrhée chronique

Emission moyenne quotidienne de plus de 300 g. de selles liquides ou non moulées ; le nombre d’exonérations, parfois normal, dépasse souvent 3/24 heures (le débit fécal normal est compris entre 100 et 250 g/24 h. et le coefficient d’hydratation est de 80 %). La chronicité est considérée à partir de 4 semaines. Les étiologies sont nombreuses et les mécanismes physiopathologiques variées.

Voir en ligne : J. Fournet - Faculté de médecine de Grenoble

Sujets associés


Diarrhée chronique par accélération du transit

  • Qu’est ce qu’une diarrhée motrice ?
  • Comment fait-on le diagnostic de diarrhée motrice ?
  • Quelles sont les causes de diarrhée motrice ?
  • Quelle est la cause la plus fréquente de diarrhée motrice d’origine hormonale ?
  • Quels symptômes évoquent une intolérance au lactose ?
  • Pourquoi certains sucres de régimes peuvent-ils entrainer une diarrhée ?
  • Pourquoi faut-il toujours faire des biopsies coliques lors d’une diarrhée chronique ?
  • Quels sont les médicaments utilisés dans les diarrhées motrices ?

Voir en ligne : Collège des enseignants d’hépato-gastroentérologie.

Sujets associés


Diarrhée passagère de l’adulte - Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance

La diarrhée se manifeste par une modification brutale de la fréquence et de la consistance des selles. En pratique, on parle de diarrhée lorsqu’il y a plus de 3 selles molles ou liquides par jour. D’autres signes peuvent être associés : nausées et/ou vomissements, douleurs abdominales (crampes), voire fièvre.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

Sujets associés


Diclofénac par voie orale ou injectable Nouvelles restrictions d’utilisation liées à une augmentation du risque de thrombose artérielle - Point d’Information

Le diclofénac[1] (dont le médicament princeps est le Voltarène®) est un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) couramment utilisé pour soulager la douleur et l’inflammation.L’évaluation européenne du profil de risque cardiovasculaire des médicaments contenant du diclofénac[2] montre que l’augmentation du risque de thrombose artérielle est comparable à celui observé avec les inhibiteurs sélectifs de la COX-2 (Coxibs). Si le bénéfice du diclofénac reste supérieur au risque, cette évaluation a toutefois conduit à de nouvelles restrictions d’utilisation.

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

Sujets associés


Différents types d’asthme

Les principaux antigènes de l’asthme
Symptômes
Que faire si on présente de tels symptômes
Prévention et traitement

Voir en ligne : André Caron, M.D., Allergologue

Sujets associés


Difficulté à avaler

Une difficulté à avaler peut avoir plusieurs causes, dont une infection, une sécheresse de la bouche ou encore une allergie. Elle peut être accompagnée de douleur. Dans la plupart des cas, il s’agit alors d’une irritation locale due à une infection virale ou bactérienne. Lorsqu’il n’y a pas de douleur, diverses raisons peuvent expliquer la difficulté à avaler. Selon la cause, la difficulté à avaler peut être ressentie au niveau de la gorge ou au milieu de la poitrine. Cette difficulté à avaler peut être plus importante avec la nourriture solide que liquide, ou le contraire. Une diminution de la production de salive peut causer une difficulté à avaler. Habituellement, dans cette situation, la sécheresse de la bouche est plus incommodante que la difficulté à avaler.

Voir en ligne : Portail Québec

Sujets associés


Difficultés de l’annonce du côté des professionnels et de leurs patients : quels obstacles à la communication et quels recours possibles ?

L’annonce d’un diagnostic de cancer mais aussi celle d’une rechute, de la progression de la maladie, de la transition vers une prise en charge palliative constituent des moments relationnels particulièrement difficiles, pour le patient mais aussi pour le clinicien, au cours de la trajectoire des soins. L’objectif de cet article consiste à présenter les enjeux cliniques de ces situations, à décrire les obstacles à la communication ou à l’établissement d’une « bonne » relation, à fournir des indications, voire des recommandations, sur les modes de communication à adopter pour assurer une qualité de prise en charge optimale répondant aux besoins des patients et permettant d’assurer la continuité des soins.

Voir en ligne : Bulletin du Cancer.

Sujets associés


Dilatation des bronches (bronchectasies)

La dilatation des bronches (bronchectasies) se traduit cliniquement par une expectoration abondante, quotidienne due à une atteinte permanente, irréversible et irrégulière du calibre bronchique. La muqueuse bronchique, inflammatoire, est infectée.

Voir en ligne : Comité National Contre les maladies respiratoires

Sujets associés


Dilatations des bronches ou Bronchectasies

La dilatation des bronches (bronchectasies ; DDB) est une augmentation permanente et irréversible du calibre des bronches sous-segmentaires. Il s’agit donc d’un diagnostic morphologique.

Voir en ligne : Fédération Girondine de Lutte contre les Maladies Respiratoires

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Diphtérie, tétanos, coqueluche : Optimisation des rappels vaccinaux contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (dT/dTpa) chez l’adulte

"La Commission fédérale pour les vaccinations (CFV) et l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) recommandent, pour les adultes de 25 à 64 ans à l’exception des personnes immunosupprimées, de prolonger l’intervalle entre les rappels de vaccination diphtérie (d) tétanos (T) de 10 à 20 ans. Les rappels dT doivent donc être faits à 25, 45 et 65 ans puis, comme par le passé, tous les 10 ans.

Voir en ligne : Office fédéral de la santé publique

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Diplopie - définition

C’est la vision double, les deux yeux ouverts.
La diplopie ne constitue qu’un symptôme de valeur dont il convient de chercher la cause +++, c’est tout l’intérêt de la question car certaines causes menacent la vie du sujet (belle QI)

Voir en ligne : univ-st-etienne.fr

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Diplopie - Place des différents examens d’imagerie

La diplopie est un trouble fonctionnel que constitue la vision double d’un même objet. C’est un symptôme facilement reconnu par le malade. Il n’a qu’exceptionnellement une origine monoculaire et les diplopies binoculaires constituent en fait les seules diplopies vraies. Dans leur étiologie, la responsabilité des paralysies oculo-motrices est de très loin prépondérante. L’examinateur recherchera une exophtalmie, un contexte traumatique, un syndrome méningé ou infectieux banal. Il fera préciser les caractères de la diplopie : apparition brutale ou progressive, permanente ou intermittente, circonstances déclenchantes (effort soutenu, apparition dans certaines directions du regard, décalage horizontal ou vertical, vision de près ou de loin).

Voir en ligne : med.univ-rennes

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Directive clinique canadienne de consensus sur la contraception hormonale continue et de longue durée,

"La présente directive clinique de consensus décrit l’utilisation de la contraception hormonale combinée aux fins de la prévention de la grossesse et de la suppression ou du report des règles qui affectent la qualité de vie en matière de santé. La contraception hormonale combinée peut être administrée par voie orale, transdermique ou vaginale ; qui plus est, tous ces modes d’administration peuvent être utilisés dans le cadre de schémas continus ou de longue durée

Voir en ligne : SOGC Société des Obstétriciens et Gynécologues du Canada

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Directive clinique de consensus sur la dysménorrhée primaire

La dysménorrhée est un état pathologique extrêmement courant et parfois débilitant qui affecte les femmes en âge de procréer. Une approche multidisciplinaire mettant en jeu une combinaison de modifications du mode de vie, de médicaments et de services paramédicaux devrait être utilisée pour limiter les effets de cet état pathologique sur les activités de la vie quotidienne. Dans certains cas, le recours à la chirurgie est nécessaire pour l’obtention du soulagement souhaité.

Voir en ligne : SOGC Société des Obstétriciens et Gynécologues du Canada

Sujets associés


Directives de l’Académie Suisse des Sciences Médicales

La Commission Centrale d’Ethique anticipe et discute les problèmes éthiques en médecine. Elle élabore des directives et des recommandations destinées à la pratique médicale et à la recherche biomédicale. Celles-ci sont en principe intégrées au Code déontologique de la FMH et deviennent de ce fait obligatoires pour les membres de la FMH. Les directives sont examinées et révisées régulièrement.

Voir en ligne : ASSM

Sujets associés


Dispositifs médicaux d’aide à la prévention des escarres

La CNEDiMTS recommande de modifier les conditions d’inscription des dispositifs d’aide à la prévention et d’aide au traitement des escarres, conformément au projet de nomenclature joint en annexe.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Diverticulose colique

  • Qu’est ce qu’un diverticule du côlon ?
  • Qu’est ce que la diverticulose colique ?
  • La diverticulose colique est-elle un problème fréquent ?
  • Quelles sont les complications possibles de la diverticulose colique ?
  • Qu’est ce qu’une diverticulite et une sigmoïdite ? Quels sont les symptômes habituels d’une sigmoïdite ?
  • Quels examens permettent de faire le diagnostic de sigmoïdite ?
  • En cas de rétrécissement du sigmoïde, peut-il s’agit d’un cancer ?
  • Quelle est l’évolution possible d’une sigmoïdite ?
  • Quel est le principe du traitement de la sigmoïdite diverticulaire ?

Voir en ligne : Collège des enseignants d’hépato-gastroentérologie.

Sujets associés


Dix ans d’évolution des consommations d’antibiotiques en France

Depuis plus de dix ans, tant au niveau français qu’européen, de nombreuses actions ont été entreprises pour lutter contre le développement des résistances aux antibiotiques. En France, sous l’égide du ministère de la Santé, un troisième plan pluriannuel vient d’être mis en place pour la période 2011-2016. Dans un contexte qui se caractérise par le développement des situations d’impasse thérapeutique, ce nouveau plan vise à une juste utilisation des antibiotiques, en s’articulant autour de trois axes stratégiques : 1°améliorer l’efficacité de la prise en charge des patients 2°préserver l’efficacité des antibiotiques 3° promouvoir la recherche.

Voir en ligne : ANSM - Sécurité sanitaire des produits de santé

Sujets associés


DMLA - Dégénérescence Maculaire Liée à l’Age

La population mondiale présente une pathologie oculaire, de plus en plus fréquente et généralement bilatérale, qui se nomme Dégénérescence Maculaire Liée à l’Age, ou DMLA (ARMD pour Age Related Macular Disease dans les pays anglo-saxons).
Il s’agit d’une altération maculaire, acquise, non héréditaire, non inflammatoire atteignant les personnes de plus de 50 ans, qui se traduit par une baisse progressive de la vision aboutissant à une perte de la vision centrale. Ces patients ne deviennent pas aveugles mais perdent tout le champ de vision utile pour la lecture, la conduite, la vision fine. Ainsi ils gardent généralement une autonomie avec possibilité de se déplacer, de se promener, mais ne peuvent plus lire, regarder la télévision ou conduire. La DMLA était autrefois appelée dégénérescence maculaire sénile (DMS).

Voir en ligne : Syndicat National des Ophtalmologistes de France

Sujets associés


Docteur, qu’est-ce que…La migraine

La migraine est une affection bénigne caractérisée par des crises répétées de mal de tête. Tous les maux de tête ne sont pas identiques et ne sont pas forcément une migraine. Pour parler de migraine chez un patient qui a mal à la tête, le médecin s’appuie sur des critères diagnostiques précis établis par un groupe d’experts internationaux (International Headache Society) fondés sur les caractéristiques de votre mal de tête qu’il vous faudra donc décrire de la façon la plus précise possible. Après vous avoir interrogé pour vous faire décrire précisément votre mal de tête et vous avoir examiné, votre médecin pourra différencier la migraine des autres maux de tête. Il n’y a aucun examen de laboratoire ou radiologique pour confirmer ce diagnostic qui reste purement clinique.

Voir en ligne : Auteur(s) : Jacques d’Anglejan-Chatillon - neurologie.com

Sujets associés


Document d’information : mythes liés aux vaccins

L’immunisation est le meilleur moyen de se protéger et de protéger ses proches contre les virus de la grippe, notamment celui de la grippe H1N1. Il est important de faire la distinction entre le mythe et la réalité. Voici quelques‑uns des mythes les plus courants en ce qui a trait aux vaccins, notamment à ceux contre la grippe H1N1 et la grippe saisonnière.

Voir en ligne : Agence de la santé publique du Canada

Sujets associés


Documentation de conseils pratiques

L’APS édite une collection de petits guides illustrés mis gratuitement à la disposition du public. Ils sont notamment diffusés par les sociétés d’assurances, les réseaux scolaires et universitaires, les centres de protection maternelle et infantile, les centres départementaux d’éducation pour la santé, les cabinets de médecins libéraux, les pharmacies, les caisses d’assurances maladies ainsi que par de nombreuses associations.

Voir en ligne : Assureurs, Prévention, Santé

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Documents médicaux sur la fibromyalgie

« Le syndrome fibromyalgique est dominé par des douleurs musculaires diffuses, une fatigue souvent intense et des troubles du sommeil, dans un contexte d’anxiété et de dépression » La fibromyalgie « concerne, dans la majorité, des cas les femmes entre 30 et 50 ans mais l’homme, l’enfant ( ?) et l’adolescent peuvent être également touchés » « Il s’agit d’un désordre central de la modulation douloureuse »

Voir en ligne : http://www.fibromyalgiesos.fr/documents_medicaux_fibromyalgie.html

Sujets associés


doigts à ressaut

Il s’agit d’une synovite (inflammation de la gaine du tendon) sténosante des gaines des tendons fléchisseurs en avant des articulations métacarpo-phalangiennes. A ce niveau, les tendons fléchisseurs coulissent dans des gaines jusqu’au bout des doigts.

Voir en ligne : Centre chirurgicale de la main - Avignon

Sujets associés


Doit-on opter pour la réadaptation ou la chirurgie lors d’un premier épisode de luxation antérieure de l’épaule ?

Les données probantes limitées dont on dispose suggèrent qu’une approche chirurgicale pourrait être offerte aux patients jeunes et très actifs sur le plan physique à la suite d’un premier épisode de luxation antérieure traumatique de l’épaule. Il n’y a par ailleurs pas de données permettant de déterminer si le traitement non chirurgical qui est généralement offert aux autres patients devrait être modifié. Des études supplémentaires sont nécessaires pour comparer l’efficacité de différentes approches, tant en chirurgie qu’en réadaptation.

Voir en ligne : Critique et Pratique, Université Laval, Faculté de médecine Canada

Sujets associés


Dompéridone (Motilium) et morts subites en France : précisions et confirmation

Les réactions et les émotions soulevées par l’estimation par Prescrire du nombre de morts imputables à la dompéridone orale (Motilium° ou autre) en France en 2012 ont été nombreuses et de différentes natures. Prescrire publie une réponse détaillée en accès libre, disponible en cliquant le lien ci-dessous et résumée dans son numéro de juillet.

Voir en ligne : Prescrire

Sujets associés


Donner un sens au travail - Promouvoir le bien-être psychologique

Ce document s’adresse aux gestionnaires et aux intervenants concernés par la santé au travail, au sens large, incluant le bien-être psychologique. Il se veut un outil de réflexion pour les responsables des ressources humaines, les comités de santé et de sécurité, les représentants syndicaux et patronaux et les travailleurs. Il est basé sur l’étude Sens du travail, santé mentale au travail et engagement organisationnel qui dégage six caractéristiques qui donnent un sens au travail ainsi que les liens entre les caractéristiques du travail, la santé mentale et l’engagement des employés envers leur employeur.

Voir en ligne : nstitut de Recherche Robert-Sauvé en Santé et en Sécurité du Travail (Canada)

Sujets associés


Dosage du PSA – Recommandations de la Société suisse d’Urologie (SSU)

La Société suisse d’Urologie (SSU) tient à contribuer à rendre objective la discussion parfois émotionnelle à ce sujet. Elle considère que dans cette phase de contro- verse il est de son devoir de mettre à la disposition des patients et des médecins une sorte de « boussole » pour le recours au PSA. La SSU a réalisé un guide avec des recommandations sur l’utilisation réfléchie et mesurée du PSA. Il tient compte des différentes constellations

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

Sujets associés


Dossier "Télomérase"

La longueur des télomères décide de la durée de vie de nos cellules
TITIA DE LANGE - La Recherche N° 322 - Juil-Août 99
Le temps ronge les extrémités de nos chromosomes Le vieillissement cellulaire serait conditionné par une perte progressive des extrémités des chromosomes, les télomères
Télomérase: l'enzyme de vie ou de mort
TpeLaVie.free.fr
L'enzyme nommée télomérase, découverte en 1994 par un chercheur ontarien, aurait le pouvoir de rendre la cellule immortelle. Elle offre des possibilités inouïes: stopper les cancers et même - qui sait - faire vivre notre corps plus longtemps.Le vieillissement cellulaire : Les Télomères
LA TELOMERASE, une découverte récente
C'est l'année dernière en juillet 1999 que le Pr Robert Weinberg, du Massachusetts Institue a mis à jour un mécanisme fondamental du cancer que l'on retrouve dans presque toutes les tumeurs
La télomérase, un test à confirmer
La télomérase est une enzyme impliquée dans le vieillissement cellulaire qui joue un rôle déterminant dans la cancérisation des cellules. Des essais in vitro mais aussi in vivo sur souris effectués en octobre 1999 le confirme, sans télomérase, le cancer ne peut se développer.
Le stress chronique peut écourter la vie des aidants naturels
Source : Ohio State University
Les chercheurs ont examiné en particulier des zones de matériel génétique situées au bout des chromosomes (il s’agit des télomères). Les télomères raccourcissent et perdent des instructions génétiques au fur et à mesure que les cellules se divisent. Une enzyme appelée télomérase agit normalement pour réparer les dommages causés aux chromosomes, a expliqué le Dr Glaser.
La fin du programme de division du DNA : les télomères
cours de cancérologie fondamentale donné au cours de l'année 1997 - 1998 à la Faculté de Médecine de CAEN- France, dans le cadre du DCEM 1
Les télomères, ou extrémités des chromosomes, sont indispensables pour préserver l’intégrité du matériel génétique au cours du cycle cellulaire.
A la recherche des secrets de la longévité
PIERRE-YVES FREI - WebHebdo - Suisse
Potentiellement, l'homme pourrait vivre jusqu'à 120 ans. Par quoi cela est-il déterminé? Et est-il possible pour tous d'atteindre cette limite d'âge? Peut-être, mais à condition de démêler l'incroyable écheveau biologique qui décide du vieillissement.
Vieillissement : un phénomène universel, inégal et continu
Dossier réalisé par SophieVedelag
ISOTOPES - La revue de vulgarisation scientifique du Pole Universitaire Lyonnais
S'il est possible d'augmenter l'espérance de vie humaine, le vieillissement, lui reste incontournable. Mais nul ne sait encore précisément où se cache l'horloge qui égraine si impitoyablement nos heures. De nombreuses théories se sont pourtant succédées pour tenter d'expliquer le vieillissement cellulaire. Aujourd'hui, les principales d'entre elles entrent dans deux grandes catégories, qui se complètent plutôt qu'elle ne s'opposent.

Voir en ligne :

Sujets associés


Dossier : Listeria

documentation relative à Listeria et plus particulièrement Listeria monocytogenes. Ce dossier Listeria est composé de différentes études et travaux réunis et/ou réalisés par des collaborateurs de la société ASEPT. Bonne lecture de ce dossier et n’hésitez pas à nous contacter pour de plus amples informations ou pour toute remarque ou commentaire sur ce dossier

Voir en ligne : ASEPT SAS

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Dossier antibiothérapie

Pour la première fois, une journée européenne sur les antibiotiques a été planifiée sous l’impulsion de l’Organisme européen d’évaluation et d’information des risques infectieux avérés ou émergents pour la santé humaine (l’ECDC, European Center for Disease Prevention and Control), en partenariat avec les Agences de Santé et gouvernements nationaux de l’Union Européenne. Cette action se situe dans la continuité de recommandations européennes sur la lutte contre les résistances bactériennes et sur l’usage prudent des antimicrobiens édictées il y a déjà plusieurs années. Cette problématique a été reconnue comme enjeu majeur de Santé Publique, l’augmentation des résistances bactériennes aux antibiotiques compromettant l’efficacité de cette classe thérapeutique.

Voir en ligne : Afssaps Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

Sujets associés


Dossier médical en médecine générale.

La situation du dossier médical en médecine générale en France se caractérise aujourd’hui par un cadre réglementaire (1) récent (1995) et minimaliste (obligation de tenir « une fiche » dont le contenu reste à préciser), une carence dans la formation initiale, peu d’informations valides sur les pratiques et une extrême rareté des travaux de recherche et de conceptualisation. La majorité des médecins généralistes utilisent encore des dossiers papier, mais passeront prochainement aux dossiers informatisés, dont aucun texte officiel ne définit le contenu ni les fonctionnalités.

Voir en ligne : Hector Falcoff - Département Recherche SFTG

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Dossier médical personnel - Lancement en 2010 d’une première version

Roselyne Bachelot-Narquin a annoncé le lancement en 2010 d’une première version du dossier médical personnel. Ce document doit permettre à chaque assuré d’avoir un accès électronique à ses données de santé. Le DMP est un dossier médical électronique qui facilitera l’accès du patient à ses données de santé. Il vise à renforcer le rôle du patient comme acteur de sa santé et à faciliter la communication des données de santé entre professionnels de santé. Il améliorera à la fois la coordination et la qualité des soins prodigués. Il sera déployé de manière progressive au cours des prochaines années. Plusieurs versions se succéderont permettant ainsi de l’enrichir avec de nouveaux services.

Voir en ligne : ARTESI Ile-de-France

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Dossier médical personnel : première version en décembre

Une première version nationale du Dossier médical personnel (DMP), qui doit permettre à chaque assuré d’avoir un accès électronique à ses données de santé, sera déployée à partir du mois de décembre, a indiqué jeudi la ministre de la Santé Roselyne Bachelot. "Dès le mois de décembre prochain, le DMP sera lancé sur l’ensemble du territoire, et ce déploiement se poursuivra tout au long de l’année 2011", a déclaré Mme Bachelot lors d’un déplacement à Bordeaux, selon le texte de son discours transmis à l’AFP.

Voir en ligne : AFP

Sujets associés


Douleur rebelle en situation palliative avancée chez l’adulte - Recommandations de bonne pratique

L’Afssaps a élaboré des Recommandations de Bonne pratique relatives à l’utilisation hors-AMM de certains médicaments à visée antalgique, en cas de douleurs en situation palliative avancée chez l’adulte. Ces recommandations ont pour objectif d’apporter des informations à l’ensemble des prescripteurs qui utilisent ces médicaments, que ce soit à l’hôpital ou à domicile où un partenariat entre les acteurs de soins s’avère nécessaire.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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  • (Maladies, symptômes et pathologies)

Douleurs abdominales hautes – une approche possible

Les conditions neuroanatomiques de la perception de la douleur dans la cavité abdominale permettent d’attribuer les douleurs viscérales à l’abdomen haut, moyen ou bas, ce qui correspond aux territoires vasculaires des organes intra-abdominaux.

Voir en ligne : Forum Med Suisse

Sujets associés


Douleurs cervicales

Les cervicalgies sont fréquentes dans la pratique quotidienne et peuvent générer d’importants coûts médicaux et socioéconomiques. Leurs causes vont de contractures certes banales mais gênantes à des maladies aux conséquences thérapeutiques parfois lourdes qu’il importe de reconnaître à temps. La classification suivante peut contribuer à faciliter les processus décisionnels dans la démarche diagnostique et thérapeutique.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

Sujets associés


Douleurs étendues du membre supérieur - Névralgie cervico-brachiale

La névralgie cervico-brachiale (NCB) est l’équivalent d’une sciatique au bras. Le conflit irritant le nerf se situe au niveau d’une vertèbre cervicale au lieu d’une lombaire, et le territoire douloureux des racines nerveuses concernées se fait dans la région de la clavicule, le haut du dos et de la poitrine, et et le bras. Les 6ème, 7ème et 8ème racines sont les plus souvent concernées. C’est au niveau des doigts que l’on identifie le mieux le nerf exactement concerné.

Voir en ligne : Rhumatologie en pratique

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Du bon usage d’Internet par les patients et sa place dans la relation soignants-soignés

La question de la bonne utilisation d’Internet est centrale. Internet est déjà le premier outil d’information, après la télévision, pour de nombreux foyers et en voie de le devenir pour d’autres. L’usage d’Internet soulève des questions qui ne sont pas nouvelles : elles se sont déjà posées au sujet de la presse traditionnelle et des revues, à ceci près que la masse d’information et l’accessibilité sont bien supérieures dans le cas d’Internet.

Voir en ligne : Grégoire MOUTEL Laboratoire d’éthique médicale et de médecine légale, Faculté de Médecine Paris 5,

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Dysménorrhée

La dysménorrhée signifie littéralement « menstruations difficiles ». Même s’il est normal pour la majorité des femmes de souffrir de crampes abdominales légères pendant un ou deux jours, au début de leurs menstruations, environ 10 % des femmes ressentent des douleurs graves.

Voir en ligne : Santé Ontario

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Dysménorrhée primitive

Par dysménorrhée, nous entendons des crampes douloureuses dans le bas-ventre peu avant et pendant les règles. Ces douleurs peuvent irradier dans le bas du dos et s’accompagner de nausée, vomissement, diarrhée et céphalée. La dysménorrhée suit le cycle ovulatoire. Nous parlons de dysménorrhée primitive si les douleurs accompagnant les règles commencent à la ménarche ou à l’adolescence. Ces douleurs apparaissent typiquement entre six mois et trois ans au maximum après les premières règles

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Dysphagie

La dysphagie peut se définir comme une difficulté de déglutition (connue dans ce cas sous le nom de dysphagie oro-pharyngée) ou comme une sensation de gêne ou de blocage des aliments lors de la déglutition pendant le passage de la bouche à l’estomac (on parle alors de dysphagie oesophagienne). La dysphagie est alors la “perception” d’une gêne lors du passage normal du bol alimentaire.

Voir en ligne : World Gastroenterology Organisation Practice Guidelines

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Dysphonie

La dysphonie est le symptôme dominant et le signe d’appel de toute atteinte organique ou fonctionnelle du larynx. Elle réalise un enrouement durable, variant dans son intensité et sans tendance à la guérison spontanée. Elle correspond à une modification de la voix portant sur son timbre ou son intensité.

Voir en ligne : Faculté de Médecine de Rennes

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D’étape en étape, le bus des médecins de famille emporte l’adhésion du public

Le bus des médecins de famille du comité d’initiative « Oui à la médecine de famille », qui sillonne les routes de Suisse depuis avril 2011, suscite un vif intérêt du public pour la médecine de famille en la ramenant sur le devant de la scène, notamment à l’occasion de salons. Le bus a fait halte début mai 2012 au centre d’expositions BEA de Berne, et mi-mai lors du forum « iheimisch » à Buochs. Voici deux témoignages de deux médecins de famille.

Voir en ligne : Bernhard Stricker | ur PrimaryCare - Journal suisse de médecine de premier recours

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Eau en Bouteille : pas de polluant retrouvé dans 8 bouteilles sur 10

Une nouvelle étude réalisée par 60 Millions de Consommateurs (avril 2013) en partenariat avec la Fondation France Libertés confirme que l’eau que nous buvons peut être contaminée par différents résidus de pesticides et de médicaments. Si les prélèvements d’eau du robinet effectués sont inquiétants, les résultats concernant les eaux en bouteille sont plutôt rassurants, même si certaines ne seraient pas totalement indemnes de contamination.

Voir en ligne : Surf Prévention

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Ébauche d’évaluation préalable pour le Défi concernant le phtalate de bis(2-méthoxyéthyle)

D’après les renseignements contenus dans la présente ébauche d’évaluation préalable, le DEMP ne pénètre pas dans l’environnement en une quantité ou concentration ou dans des conditions de nature à avoir, immédiatement ou à long terme, un effet nocif sur l’environnement ou sur la biodiversité ou à présenter un danger pour des milieux essentiels à la vie.

Voir en ligne : Environnement Santé Canada

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Ebola

La maladie à virus Ebola (autrefois appelée aussi fièvre hémorragique à virus Ebola) est une maladie grave, souvent mortelle chez l’homme. Quels en sont les symptômes ? Comment se propage-t-elle ? Quelles sont les recherches en cours ? Le virus Ebola est un virus mortel très contagieux. Quels sont les symptômes ? Après 2 à 21 jours d’incubation, la maladie se manifeste par des symptômes non spécifiques à cette maladie : fièvre, fatigue, douleurs musculaires et articulaires. Il évolue ensuite vers une phase caractérisée par des signes gastro-intestinaux (diarrhées sanglantes et vomissements), des signes respiratoires et parfois neurologiques. Dans 40 à 80% des cas, l’évolution est fatale.

Voir en ligne : INSERM

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Echocardiographie doppler transthoracique : principales indications et conditions de réalisation

Le codage spécifique à chaque acte, prévu dans la Classification commune des actes médicaux (CCAM) a permis de constater que l’échocardiographie Doppler transthoracique (ETT) était très fréquemment réalisée.
La Caisse Nationale d’Assurance Maladie des Travailleurs Salariés (CNAMTS) a demandé à la HAS préciser les indications, les « non-indications » et les conditions de réalisation de cet acte afin de disposer d’un référentiel validé et actualisé. Il pourra être utilisé afin de favoriser la diffusion de l’information sur les indications et les conditions de réalisation de cet acte auprès des professionnels de santé et du grand public.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Eclairer sur la pompe à insuline

Vous avez déjà pensé à la pompe à insuline, mais vous ne savez pas vraiment comment ça fonctionne ? Sur la pompe à insuline, vous avez entendu un peu tout et son contraire. Passons plutôt aux faits : fini les préjugés et les imprécisions, ici vous pourrez tout savoir sur le fonctionnement, les indications, les contre-indications, ce que dit la réglementation, et ce que promet l’avenir avec les prochaines innovations...

Voir en ligne : Association Française des Diabétiques

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  • (Maladies, symptômes et pathologies)

Eczéma constitutionnel du nourrisson

Qualifié d’atopique (ou étrange) par SULZBERGER, il est remarquable par le terrain sur lequel il survient. Les ascendants ou collatéraux ont déjà souffert de manifestations semblables ou de même nature : oedème de Quincke, asthme, rhume des foins, ...
C’est essentiellement sur l’âge et la topographie des lésions que le diagnostic doit reposer :

  • l’eczéma n’apparaît pas habituellement avant 3 mois,
  • le début se fait à la face, sur les pommettes, le front. Jamais sur le cuir chevelu ou les sourcils, ni dans les plis ou aux abords immédiats des orifices naturels.

Voir en ligne : C. Jézéquel | Institut Mère-Enfant, annexe pédiatrique, Hopital sud, Rennes

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Eczéma d’origine professionnelle. Conduite à tenir

Devant la variété des moyens diagnostiques cliniques et les difficultés diagnostiques soulevées par les médecins du travail, ce document fournit une démarche à suivre devant un eczéma pour lequel on soupçonne une origine professionnelle, en particulier en présentant les différentes formes d’eczéma et les différents tests disponibles.

Voir en ligne : INRS, l’Institut National de Recherche et de Sécurité

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Education pour la santé à l’école : quelles compétences pour les professionnels ?

L’école est un lieu de promotion de la santé, mais comment les professionnels doivent-ils s’y prendre pour intervenir ? L’éducation pour la santé n’est pas dans les programmes, toutefois ce type d’intervention éducative aide l’enfant et l’adolescent à acquérir des compétences et l’intérêt de ces interventions est avéré. Ceci exige que les enseignants et autres intervenants en milieu scolaire soient formés de manière spécifique pour acquérir les compétences professionnelles adéquates.

Voir en ligne : INPES Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé

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Education thérapeutique du patient

La loi portant réforme de l’hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires (Loi HPST) a introduit l’éducation thérapeutique du patient (ETP) par son article 84 dans le droit français. Elle distingue l’éducation thérapeutique du patient et les actions d’accompagnement. « L’éducation thérapeutique du patient s’inscrit dans le parcours de soins du patient.

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Sports [français]

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Éducation thérapeutique du patient - Modèles, pratiques et évaluation

Ce livre s’inscrit dans la collection « Santé en action » de l’Inpes, qui a pour vocation de traiter de la prévention, de l’éducation pour la santé ou de l’éducation thérapeutique à travers différentes approches (par thème, population ou lieux de vie) et de manière à la fois théorique et pratique. Il est un recueil d’interventions mises en place et évaluées. Il a pour objectif de faire le point sur ce double aspect théorique/pratique et n’a pas valeur de référentiel ou de norme. Il rend compte d’une diversité de pratiques fondées sur une pluralité de modèles théoriques et de techniques éducatives."

Voir en ligne : INPES Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé

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Edulcorants alimentaires : l’Anses analyse les résultats de deux études récentes

L’aspartame est un édulcorant intense autorisé en Europe depuis 1994 par la directive 94/35/CE(1) après évaluation par le Comité scientifique de l’alimentation humaine de la Commission européenne (CSAH) en 1985. Ce comité a établi une dose journalière admissible (DJA) de 40 mg/kg poids corporel(2). Le CSAH a réévalué l’aspartame en 1989, 1997 et 2002 et plus récemment l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) en 2006.

Voir en ligne : ANSE Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail

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Effets de la pollution atmosphérique urbaine sur la santé en France : publication du rapport sur les 9 villes françaises ayant participé à l’étude Aphekom

Les bénéfices sanitaires et économiques potentiels associés à une amélioration de la qualité de l’air sont tout à fait substantiels :
l’espérance de vie à 30 ans pourrait augmenter de 3,6 à 7,5 mois selon la ville, ce qui équivaut à différer près de 3 000 décès par an, si les concentrations moyennes annuelles de PM2,5 respectaient la valeur guide de l’OMS (10 µg/m3). Le bénéfice économique associé est estimé à près de 5 milliards € par an ; près de 360 hospitalisations cardiaques et plus de 630 hospitalisations respiratoires par an dans les neuf villes pourraient être évitées si les concentrations moyennes annuelles de PM10 respectaient la valeur guide de l’OMS (20 µg/m3). Le bénéfice économique associé est estimé à près de 4 millions € par an ; une soixantaine de décès et une soixantaine d’hospitalisations respiratoires par an dans les neuf villes pourraient être évités si la valeur guide de l’OMS pour le maximum journalier d’ozone (100 µg/m3) était respectée. Le bénéfice économique associé est estimé à près de 6 millions € par an.

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire

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Effets des antibiotiques sur les défenses immunitaires. Intérêts vis-à-vis de l’infection a VIH et d’autres maladies.

Depuis la découverte des antibiotiques (ATB), leur utilisation a permis de traiter efficacement de nombreuses maladies infectieuses. Dans les années 1980, le recours aux ATB s’est révélé très utile pour traiter certaines infections opportunistes contractées au cours de l’infection à VIH, et surtout pour traiter préventivement certaines de ces infections opportunistes. La prophylaxie primaire de la pneumocystose et de la toxoplasmose par le sulfaméthoxazole/trimethoprime (Bactrim®) est de ce point de vue exemplaire (parmi les traitements conventionnels, ce fut, jusqu’à l1avènement des trithérapies, le seul traitement efficace avec les traitements à visée curative de certaines infections opportunistes). L’utilisation au long cours de cet ATB a conduit certains à se poser la question du risque de l’utilisation en chronique de cet antibiotique. Il apparaît que ce risque serait négligeable en regard du bénéfice obtenu.

Voir en ligne : association POSITIFS, FRANCE

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Effets sanitaires des systèmes d’éclairage utilisant des diodes électroluminescentes (LED)

Les diodes électroluminescentes (LED) sont des sources d’éclairage en plein développement technologique et économique. Utilisées depuis de nombreuses années dans l’électronique comme sources de lumières faibles et monochromatiques, comme témoins lumineux par exemple, puis dans les feux de signalisation, elles trouvent aujourd’hui leur place dans des systèmes d’éclairage à part entière : éclairage portatif, feux de véhicules, éclairages domestiques d’ambiance. L’utilisation des LED comme source d’éclairage des lieux de travail est également en pleine progression.

Voir en ligne : ANSES agence nationale chargée de la sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail

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Efficacité de l’éradication de l’Helicobacter pylori sur le pyrosis et le reflux

Quelle est la prévalence du pyrosis (brûlant) et du reflux gastro-oesophagien chez des patients pour lesquels la présence d’Helicobacter pylori est mise en évidence versus ceux chez qui cette recherche est négative ? Quelle est l’efficacité, après deux ans, de l’éradication de l’Helicobacter pylori sur ces plaintes ?

Voir en ligne : Minerva

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Efficacité de suppléments calciques pour prévenir les fractures

Cette méta-analyse montre l’intérêt de l’administration de calcium à une dose d’au moins 1 200 mg par jour à des personnes âgées de plus de 50 ans (forte majorité de femmes) en prévention de fractures ostéoporotiques. La place de cette administration de calcium versus un apport alimentaire accru et spécifiquement en prévention primaire (absence de fracture) ou secondaire, n’est pas précisée par cette méta-analyse. L’association de vitamine D (800 UI par jour) n’apporte pas de bénéfice complémentaire notable, mais reste cependant recommandée chez les patients institutionnalisés. Un programme de prévention des fractures chez des personnes âgées doit également inclure la prévention des chutes.

Voir en ligne : Minerva

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Efficacité des infiltrations avec un corticostéroïde dans le syndrome du canal carpien ?

Cette synthèse méthodique montre que chez des patients atteints d’un syndrome du canal carpien (sévère), une infiltration avec un corticostéroïde apporte une amélioration subjective des plaintes supérieure à celle de l’injection d’un placebo, un mois après l’injection. Au-delà d’un mois, aucune différence n’est observée. L’efficacité relative des infiltrations de corticostéroïdes versus autres traitements conservateurs devrait faire l’objet d’études supplémentaires.

Voir en ligne : Marshall S, Tardif G, Ashworth N. - Minerva

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Efficacité et efficience des hypolipémiants : une analyse centrée sur les statines

Ce travail d’évaluation vise : d’une part, à préciser la place des statines dans le traitement de l’hypercholestérolémie et la prévention cardiovasculaire ; et d’autre part, à comparer les statines disponibles sur le marché français en termes d’efficacité, de tolérance et d’efficience. Toutes statines confondues, le traitement par statines diminue le risque de mortalité toutes causes de 10% quel que soit le profil du patient, et le risque d’événements cardiovasculaires de 15% à 23%, selon l’événement étudié.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Efficacité et efficience des hypolipémiants : une analyse centrée sur les statines

Ce travail d’évaluation vise : d’une part, à préciser la place des statines dans le traitement de l’hypercholestérolémie et la prévention cardiovasculaire ; et d’autre part, à comparer les statines disponibles sur le marché français en termes d’efficacité, de tolérance et d’efficience... Les pathologies cardiovasculaires (CV) constituent la seconde cause de mortalité en France et une cause importante d’invalidité. Nombre de ces pathologies sont dues à l’athérosclérose, phénomène d’obstruction des artères que l’on attribue essentiellement à une accumulation dans la paroi artérielle des lipides contenus dans le LDL-c. Le risque d’accidents liés à l’athérosclérose est associé à la présence de facteurs de risque (FDR) CV, parmi lesquels l’hypercholestérolémie.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Efficacité et efficience des hypolipémiants : une analyse centrée sur les statines

Ce travail d’évaluation vise : d’une part, à préciser la place des statines dans le traitement de l’hypercholestérolémie et la prévention cardiovasculaire ; et d’autre part, à comparer les statines disponibles sur le marché français en termes d’efficacité, de tolérance et d’efficience.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines

En 2005, avec près de 150 000 décès, les pathologies cardio-vasculaires (CV) représentaient 29% de l’ensemble des décès en France, soit la deuxième cause de mortalité dans la population générale après le cancer. Un décès sur quatre chez l’homme était dû à une maladie de l’appareil circulatoire. Chez les femmes, ces pathologies étaient responsables de 31% de la mortalité soit la première cause de décès. Parmi les pathologies CV, l’accident vasculaire cérébral (AVC) est la première cause de handicaps en France.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Efficacité, innocuité et modalités d’utilisation du jeûne modifié aux protéines

Des données publiées en 2004 indiquent que la prévalence de l’obésité est d’environ 21,4 % dans la population adulte québécoise. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) prévoit quant à elle une accentuation du phénomène dans la plupart des pays du monde, y compris au Canada, au cours des prochaines années. Or, il est démontré qu’obésité et embonpoint sont des facteurs de risque plus ou moins forts de survenue de maladies chroniques non transmissibles, aux conséquences graves à plus ou moins long terme.

Voir en ligne : AETMIS - Agence d’Evaluation des Technologies et des Modes d’Intervention en Santé (Québec)

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Éléments à rechercher : STATINES

  • ANSM - Sécurité sanitaire des produits de santé :Rechercher - 14 résultats pour : statines
  • CENTRE COCHRANE FRANCAIS : Total : 16 résultats trouvés.
  • Prescrire : 26 texte(s), listé(s)
  • DocCISMeF Outil de recherche en médecine : 133 entrées trouvées

Voir en ligne :

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Éléments d’appréciation en vue de la prise en charge d’un patient en chirurgie ambulatoire

L’objectif de ce travail est d’évaluer les éléments d’appréciation en vue de la prise en charge d’un patient en chirurgie ambulatoire afin de garantir sa sortie le soir même de l’intervention sans risque surajouté. Les éléments abordés dans la littérature ont été évalués et reconsidérés à la lumière des pratiques françaises actuelles avec l’aide des experts du terrain. Le but est de fournir aux professionnels de santé les éléments-clés et les questions à soulever pour les aider à définir les modalités de prise en chargedu patient en considérant le besoin en soins et en hébergement. La décision du mode de prise en charge est une décision médicale, partagée avec le patient, et est basée sur le triptyque patient-acte-structure.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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ELLAONE (ulipristal), modulateur des récepteurs de la progestérone. Progrès thérapeutique mineur par rapport à NORLEVO dans la contraception d’urgence

C’est une contraception d’urgence indiquée dans les 5 jours suivant un rapport sexuel non protégé ou en cas d’échec d‘une méthode contraceptive. Cette spécialité, prise jusqu’à 5 jours, après un rapport sexuel non protégé, réduit de façon statistiquement significative le taux de grossesse attendu. (SYNTHÈSE D’AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE)

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Embolie pulmonaire

Occlusion aiguë de l’artère pulmonaire ou de ses branches par un caillot fibrino-cruorique migré d’une veine thrombosée, en général des membres inférieurs. La fréquence est, en France, d’environ 100 000 par an avec 20 000 décès. Le nombre de thromboses veineuses profondes est estimé environ à 600 000 par an.

Voir en ligne : Dr. Marcel Laurent - Département de cardiologie et maladies vasculaires - CHU de Rennes

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Embolie Pulmonaire (EP) Grave

La présence d’au moins un des critères suivants d’état de choc suffit à affirmer une EP grave :

  • pression artérielle systolique < 90 mmHg et pression arterielle diastolique < 60 mmHg ou réduction d’au moins 30 mmHg de la pression
  • artérielle systolique par rapport à une mesure antérieure récente
  • utilisation de drogues vasoactives
  • marbrures

Voir en ligne : POS Réanimation Médicale HEGP- Societé de réanimation de langue française

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Embolie pulmonaire - Qu’est-ce que c’est ?

L’embolie pulmonaire correspond à l’obstruction d’une artère pulmonaire par un caillot de sang, provenant le plus souvent d’une veine du membre inférieur (mollet). Elle se manifeste par une douleur thoracique (douleur dans la poitrine) d’apparition brutale, associée à une difficulté à respirer. Le réseau veineux est la partie du système circulatoire qui ramène le sang désoxygéné vers le cœur et les poumons. Ces veines peuvent être le lieu de formation de caillots sanguins (thrombus) pouvant partiellement ou complètement bloquer la circulation sanguine, ce qui s’appelle une thrombose veineuse.

Voir en ligne : Planète Santé

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Embolie pulmonaire : comment l’éviter ?

La prévention de l’embolie pulmonaire passe par la prévention des phlébites. Lorsque quelqu’un a une phlébite, il faut rechercher s’il a une prédisposition à faire des caillots et lui donner un traitement anticoagulant préventif. Dans différentes situations (interventions, alitement prolongé, chirurgie orthopédique) dans lesquelles le risque de développer des phlébites et des embolies pulmonaires est important, la prévention doit être particulièrement adaptée.

Voir en ligne : FMR Fondation pour la Recherche Médicale

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Embolie pulmonaire : prise en charge initiale

L’embolie pulmonaire est une pathologie fréquente, dont les facteurs de risque acquis ou héréditaires sont bien connus. Initialement, le diagnostic se base sur une suspicion clinique (score de Genève révisé). Les examens sanguins à but diagnostique (gazométrie, D-dimères, ECG) ou pronostique (BNP, troponine) permettent d’étayer le bilan. Les D-dimères négatifs permettent d’écarter une embolie pulmonaire dans les classes de suspicion basse ou intermédiaire. L’angio-CT thoracique est l’examen de choix en cas de D-dimères positifs ou de haute probabilité clinique. La scintigraphie sera préférée en cas d’allergie à l’iode ou d’insuffisance rénale. Finalement, les recommandations internationales définissent quel patient ayant une embolie pulmonaire doit bénéficier d’un bilan hématologique ou d’une recherche de néoplasie.

Voir en ligne : Article de B. Egger J.-D. Aubert | Revue Médicale Suisse

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Embolie pulmonaire : le chemin sinueux vers le diagnostic

Les données recueillies par Swissmedic et issues de la littérature scientifique nous amènent à attirer l’attention du corps médical sur la pathologie sournoise que représente la maladie thromboembolique veineuse, en particulier l’embolie pulmonaire. Il est nécessaire de mieux identifier les populations à risque. Mais avant tout, il faut aussi avoir en tête qu’il peut s’agir d’une embolie pulmonaire

Voir en ligne : Bulletin des médecins suisses

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En cas d’Alzheimer...

Cette brochure a été écrite pour tous ceux qui aimeraient s’informer brièvement mais de manière objective sur les questions relatives aux démences et à la maladie d’Alzheimer. Par démence on entend en médecine un état acquis de défaillance de l’esprit.

Voir en ligne : Madame D. Ermini-Fünfschilling, Memory Clinic Bâle

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En quoi consiste la maladie de Crohn ?

L’appareil gastro‑intestinal (GI) est un tube musculaire enroulé sur lui‑même. Il s’étend de la bouche à l’anus. On l’appelle aussi tube digestif puisque c’est la voie par laquelle les aliments cheminent dans l’organisme. La maladie de Crohn (MC) est une forme de maladie intestinale inflammatoire (MII). Elle entraîne une inflammation de l’appareil gastro intestinal (GI). L’inflammation est une réaction d’une partie de l’organisme qui devient rouge, enflée et douloureuse. Chez les personnes atteintes de la MC, toutes les parties de l’organisme servant à transformer les aliments que vous consommez à compter du moment où vous vous les mettez dans la bouche jusqu’à leur expulsion par l’anus – peuvent s’enflammer.

Voir en ligne : AboutKidsHealth

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En quoi consiste le sinus pilonidal ?

Le sinus pilonidal est un abcès douloureux qui se forme près du sommet du pli des fesses. Il se forme lorsqu’un poil corporel est enfoncé dans la peau (poil incarné) sous l’effet de la friction et que la région touchée devient infectée. Le sinus pilonidal se manifeste le plus souvent chez les adolescents, quoique les adolescentes puissent aussi en être atteintes. Pour en établir le diagnostic, le médecin examinera votre enfant et lui posera des questions.

Voir en ligne : AboutKidsHealth

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En savoir plus sur l’anévrisme cérébral

On estime qu’environ 5% de la population serait porteuse d’un anévrisme cérébral, mais que l’incidence de la rupture d’anévrisme, sa conséquence la plus sévère, est d’environ 10 par 100 000 habitants par année. Sous l’effet de la pression sanguine, la paroi d’une artère cérébrale s’amincit, se dilate et forme alors une pochette dans laquelle le sang s’accumule : on appelle cette dilatation : un « anévrisme ».

Voir en ligne : Par Marie-Christine Tremblay , Journaliste, Montréal, Québec, Canada

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En savoir plus sur le diabète

  • Causes : qu’est ce que le diabète et pourquoi ai-je du diabète ?
  • Définition, épidémiologie et dépistage : quelle est la fréquence du diabète ? Quelle est sa définition ?
  • Qui et comment dépister ?
  • Traitement : comment traiter mon diabète ?
  • Surveillance : Comment dois-je surveiller mon diabète ?
  • Complications : quels sont les risques pour ma santé si je ne me soigne pas correctement ?
  • Déséquilibre soudain du diabète, hypoglycémie, hyperglycémie, acétone : j’ai une baisse de sucre, j’ai une hausse, je trouve de l’acétone dans les urines, je suis malade, je vais me faire opérer, je dois rester à jeun, je voyage, que dois-je faire ?
  • Gynécologie : grossesse, contraception, ménopause : puis-je envisager une grossesse, quelle contraception, quel traitement de la ménopause ?

Voir en ligne : Professeur Jean-Jacques ALTMAN | Diabète HEGP

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Endocardite

L’endocardite est une inflammation de la paroi des valves cardiaques qui est le plus souvent provoquée par une infection. La plupart des gens qui développent cette affection ont déjà des lésions cardiaques et sont âgés de plus de 50 ans, mais elle peut également parfois apparaître chez l’enfant. Bien qu’elle soit peu courante, cette maladie peut s’avérer très grave. Les hommes y sont deux fois plus vulnérables que les femmes.

Voir en ligne : Association médicale canadienne

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Endocardite infectieuse

L’endocardite infectieuse (EI) est une maladie spontanément mortelle. L’identification du germe responsable de l’infection est essentiel pour guider le traitement . Parfois le recours à la chirurgie cardiaque avec remplacement des valves s’avère nécessaire.

Voir en ligne : Marseille maladies infectieuses - institut fédératif de recherche 48

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Endométriose et contraception

L’endométriose est plus souvent corrélée à l’infertilité qu’à la contraception. Une femme endométriosique sur deux seulement aura besoin d’une contraception selon G. Brun qui estime que seulement 0,5 à 2 % de la population féminine seront concernés par le problème contraception et endométriose.

Voir en ligne : D. SERFATY - GyneWeb

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Enfants et adolescents : troubles des conduites dans leur contexte

Une société ne peut se permettre d’ignorer les troubles et souffrances des enfants et des adolescents. Des éléments propres à ceux-ci, à leur famille ou à leur contexte de vie peuvent en effet menacer leur développement et influencer leur vie affective, leur manière de voir le monde et de l’appréhender, leurs relations à autrui ou leurs comportements. Ces derniers sont évidemment les plus manifestes et l’on parle alors de « troubles des conduites ». Ils sont néanmoins les signes extérieurs visibles de difficultés psychologiques et sociales sous-jacentes beaucoup moins perceptibles.

Voir en ligne : Conseil Supérieur de la Santé Ministère des Affaires Sociales, de la Santé publique et de l’Environnement]

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Enjeux éthiques de la neuroimagerie fonctionnelle

Voir en ligne : CCNE Comité Consultatif National d’Ethique - France

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Enquête autour d’un cas de tuberculose. Recommandations pratiques

Avec une incidence de l’ordre de 5 000 nouveaux cas par an pour une population de 65 millions d’habitants, la France se situe, selon l’Organisation mondiale de la santé, parmi les pays de faible incidence de la tuberculose, signe que les actions menées permettent une maîtrise de l’endémie. Les enquêtes autour d’un cas de tuberculose maladie représentent l’une des stratégies principales de lutte contre la tuberculose dans les pays riches à faible incidence. En France, les données rapportées montrent que ces enquêtes d’entourage constituent la partie majeure de l’activité des Centres de lutte antituberculeuse (Clat) mais que les modalités de réalisation sont parfois différentes.

Voir en ligne : HSCP Haut Conseil de la santé publique

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Ensemble, améliorons la prise en charge de l’infarctus du myocarde

On estime que chaque année en France, environ 100 000 personnes sont atteintes d’infarctus du myocarde. Parmi les patients pris en charge, 7% décèdent dans le premier mois et au total, 13% décèdent au cours de la 1ère année. Cette mortalité a été réduite de moitié en 10 ans grâce à une amélioration globale de la prise en charge.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Ensemble, arrêtons le tabac

La lutte contre le tabagisme est une priorité de santé publique : un fumeur régulier sur deux meurt du tabac et 5 000 personnes sont victimes du tabagisme passif chaque année en France. Afin de protéger les fumeurs comme les non fumeurs, le renforcement de l’interdiction de fumer dans les lieux à usage collectif a été initié par le décret du 15 novembre 2006, lequel prévoit sa mise en œuvre en deux temps.

Voir en ligne : Tabac.gouv.fr

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Entorse de cheville - Explications

La définition médicale de l’entorse de cheville est la lésion d’un ligament n’entraînant pas une perte permanente des rapports normaux d’une articulation. Ceci distingue l’entorse de la luxation pour laquelle l’articulation perd ses rapports normaux de façon permanente. Les ligaments sont des haubans tendus d’un os à un autre autour ou au milieu de l’articulation. Leurs rôles est de permettre aux surface articulaires de rester bien en contact lors des mouvements. Ils assurent ainsi la stabilité de l’articulation. Très souvent, il existe plusieurs faisceaux pour un même ligament. C’est la lésion de ce ligament qui définit l’entorse.

Voir en ligne : Médecine Physique et Réadaptation

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Entorse de la cheville : diagnostic et traitement

Le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE), en collaboration avec l’UZ Gent, propose un guide de pratique clinique pour le diagnostic et le traitement de l’entorse de la cheville.

Voir en ligne : Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé

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Entretien avec Robert Neuburger : « Couples, n’évitez pas les vraies questions »

Propos recueillis par Isabelle Yhuel
L’harmonie d’un couple se mesure aussi à la qualité de la communication entre les partenaires. Dans son dernier essai, Robert Neuburger nous offre des pistes pour un dialogue vraiment constructif. Une occasion de l’interroger sur cet exercice périlleux.

Voir en ligne : psychologies.com

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Epanchement Pleural

Egalement appelé pleurésie, l’épanchement pleural est défini par la présence de liquide entre les les 2 feuillets de la plèvre (le feuillet viscéral qui recouvre le poumon et le feuillet pariétal qui recouvre la face interne de la cage thoracique). Conséquences : l’épanchement peut provoquer une gêne et une douleur puis une difficulté respiratoire. Cette difficulté pour respirer, appelée dyspnée, est due à la compression du poumon par le liquide.

Voir en ligne : Institut Mutualiste Montsouris

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épaule raide -place de la distension capsulaire et de la mobilisation sous anesthésie générale dans la rééducation de la capsulite rétractile

Les secteurs de mobilité de l’articulation scapulo-humérale peuvent être amputés dans différentes situations pathologiques : après chirurgie articulaire ou périarticulaire, après un traumatisme direct ou indirect, au décours d’une poussée de tendinite calcifiante ou au cours d’un conflit tendineux chronique, après déficit moteur d’origine neurologique, dans certaines situations plus rares d’ostéite infectieuse ou de tumeur osseuse, dans toute arthropathie qu’elle soit dégénérative, infectieuse ou inflammatoire.

Voir en ligne : Dr Michel REVEL - Service de Rééducation et de Réadaptation de l’Appareil Locomoteur et des Pathologies du Rachis -Hôpital Cochin

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Epicondylite

Souvent appelée tennis-elbow, cette maladie régionale du coude n’est pas réservée au seul sportif. Elle est la conséquence d’une hyper-sollicitation du coude, occasionnelle ou chronique. Son origine peut être isolée ou intriquée entre une maladie des insertions des tendons sur l’os, l’usure du cartilage articulaire ou une névrite du nerf radial ; parfois, il s’agit d’une douleur d’origine cervicale dans le cadre des névralgies projetées sur la face latérale du coude et de l’avant-bras. La douleur est le symptôme principal, d’où le terme d’épicondylalgie qui lui est préférable.

Voir en ligne : Société Française de Chirurgie de la Main

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Épicondylite (tennis elbow)

L’épicondylite est une maladie douloureuse du coude. On l’appelle aussi tennis elbow (ou "coude du joueur de tennis"), appellation trompeuse, car la plupart des personnes qui souffrent de ce problème ne jouent pas au tennis. En fait, l’épicondylite est rarement associée à des activités de loisirs. L’appellation scientifique du tennis elbow, "épicondylite latérale", désigne une inflammation qui survient au voisinage d’une petite saillie osseuse de l’os du bras (humérus), juste au-dessus de l’articulation du coude sur la face externe du bras. Il arrive toutefois que d’autres régions de l’avant-bras et du coude soient douloureuses. Selon certains experts, l’appellation "syndrome douloureux latéral du coude" est plus précise, mais cette appellation est encore peu utilisée.

Voir en ligne : Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail (CCHST)

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Épidémie de gale communautaire - Guide d’investigation et d’aide à la gestion

Si la gale demeure une affection bénigne, elle se caractérise aussi par une forte contagiosité pouvant être à l’origine d’épidémies longues, difficiles à maîtriser, notamment dans les collectivités et institutions, et occasionnant de ce fait des coûts et des surcharges de travail non négligeables.

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire

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Epidémies hivernales La petite enfance au cœur des épidémies hivernales : quelles organisations pour prévenir et soigner ?

Chaque année, entre le 1er novembre et le 31 janvier, la bronchiolite, la gastro- entérite et la grippe reviennent en force... L’an dernier, en France, quelques 600 000 personnes ont contracté l’une de ces trois affections. La petite enfance est particulièrement touchée par ces maux. Du fait de leur ampleur, ces épidémies hivernales constituent un problème de santé publique. Inquiétantes, mais souvent bénignes, ces infections virales peuvent, dans 90% des cas, être traitées par un médecin de ville.

Voir en ligne : Assistance Publique - Hôpitaux de Paris

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Épidémiologie des troubles du sommeil en France

La connaissance épidémiologique de l’insomnie et des autres troubles du sommeil s’est développée depuis quelques années en France. L’objet de cette étude est de quantifier le temps de sommeil et la prévalence de l’insomnie chronique dans la population des 15-85 ans, et d’explorer les facteurs associés à cette pathologie. Dans le cadre du Baromètre santé 2010, enquête en population générale, 27 653 individus de 15-85 ans ont été interrogés sur leurs comportements de santé, en particulier sur leur rapport au sommeil.

Voir en ligne : BEH - Bulletin épidémiologique thématique

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Epidémiologie du cancer du sein en France et en Europe

Avec 49 814 nouveaux cas estimés en 2005 en France, le cancer du sein reste le premier cancer chez les femmes et représente près de 37% de l’ensemble des nouveaux cas de cancers féminins. Il se situe, tous sexes confondus, au 2ème rang de tous les cancers, derrière le cancer de la prostate. Le taux d’incidence standardisé à la population mondiale est de 101,5 pour 100 000 personnes1.

Voir en ligne : INCA Institut National Du Cancer

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Epidémiologie et prévention des maladies transmissibles : méthodes de surveillance

préciser les bases de l’épidémiologie des maladies transmissibles, savoir déclarer une maladie transmissible, maladies nécessitant une éviction scolaire du patient et ou des sujets contacts

Voir en ligne : Université de Limoges, Faculté de Médecine

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Epidémiologie et prévention du mélanome cutané en Suisse

L’incidence du mélanome, la forme la plus grave de cancer cutané, augmente depuis plus d’un demi-siècle [1]. Les populations à peau claire des pays industrialisés sont les plus touchées par ce phénomène. Dans ces régions, le mélanome est généralement le cancer qui enregistre la plus forte croissance avec une fréquence qui double tous les 15 à 20 ans.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Epilepsie

L’épilepsie est connue depuis l’Antiquité où elle est décrite dans des textes indiens, grecs et romains. Bien que le terme au singulier reste d’usage courant, il serait plus exact de parler d’épilepsies au pluriel, ou de syndrome épileptique, car le trouble a des causes, des mécanismes et des manifestations divers.

Voir en ligne : Dossier réalisé en collaboration avec Patrick Chauvel, unité Inserm 1106 "Institut de neurosciences des systèmes"

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Epilepsie (dossier)

Le terme « épilepsie » vient du grec « epilêpsia » et signifie « attaquer, surprendre ». En France, environ 500 000 personnes souffrent de cette pathologie dont 250 000 jeunes de moins de 20 ans. 5 % de la population est ainsi susceptible de faire un jour une crise. La maladie épileptique est, après la migraine, la première raison de consultation d’un neurologue. Petite présentation de cette maladie pour lutter contre les idées reçues.

Voir en ligne : Fondation Française pour la Recherche sur l’Epilepsie (FFRE).

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Ergonomie Travail de bureau avec écran de visualisation

Le guide accompagne une formation dont l’objectif général consiste à se familiariser avec certains principes ergonomiques. Ce guide vous aide à aménager et à équiper adéquatement tout poste de travail à l’ordinateur de façon à améliorer le bien-être physique et l’efficacité au travail.

Voir en ligne : Université Laval (Canada)

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Erreurs et confusions dans la recherche sur le traitement de l’arthrose

L’arthrose est la pathologie articulaire la plus fréquente dans le monde entier. 50% des Européens occidentaux de65anset80%deceuxde75ansontdessignesde lésions arthrosiques. Les problèmes socioéconomiques qui en résultent sont énormes. Des calculs ont montré aux Etats-Unis que, dans les années 1980, quelque 68 millions de journées de travail ont été perdues en raison d’une incapacité de travail due à l’arthrose. Elle a longtemps été négligée dans les études scientifiques et les efforts thérapeutiques. Mais depuis 15 ans, la re- cherche clinique sur l’arthrose a énergiquement repris. Elle n’est cependant pas à l’abri d’erreurs.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Est-il actuellement fondé de proposer un dépistage du cancer de la prostate ?

Le cancer de la prostate est la tumeur non dermatologique la plus fréquemment diagnostiquée en Europe. L’opportunité de son dépistage est démontrée par deux études prospectives randomisées regroupant plus de 160 000 patients, mais reste controversée en raison du risque de surtraitement qu’il occasionne, ainsi que des effets secondaires potentiels consécutifs aux différentes thérapies à disposition. Ce contexte, ainsi que celui du patient individuel aboutissent actuellement à inviter celui-ci à une démarche de diagnostic précoce après l’avoir dûment informé. Si le diagnostic est posé, la prise en charge est recommandée dans un centre multidisciplinaire dont le volume de recrutement est significatif.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Estimations du nombre d’infections de grippe A(H1N1)2009 en France métropolitaine au 17 décembre 2009

Le nombre d’infections dues au virus grippal A(H1N1)2009 survenues en France métropolitaine a été estimé à partir des données des deux réseaux de surveillance de la grippe dans la communauté, le Réseau des Grog avec le concours des Centre nationaux de référence de la grippe, et le réseau Sentinelles de l’Inserm U707.

Voir en ligne : InVS Institut de veille sanitaire

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Et si c’était une embolie pulmonaire ?

L’embolie pulmonaire est la troisième cause de mortalité d’origine cardiovasculaire en Amérique du Nord. Elle constitue donc un grave problème de santé publique, de même qu’un grand défi diagnostique pour les médecins. Les signes cliniques de l’embolie pulmonaire sont polymorphes, associés de diverses façons et variables tandis qu’aucun n’est vraiment propre à la maladie. Les symptômes peuvent également être masqués par les signes caractéristiques de maladies préexistantes.

Voir en ligne : Médecin du Québec

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Etat des lieux en 2013 de la consommation des benzodiazépines en France - Point d’Information

L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) rend public un rapport faisant un état des lieux sur la consommation de benzodiazépines. Ce rapport est une actualisation du rapport précédent publié en janvier 2012.L’ensemble de ces nouvelles données confirme en particulier la reprise de la consommation de benzodiazépines anxiolytiques et hypnotiques en lien avec une prescription importante de ces molécules et pour une durée souvent trop longue.En conséquence, un nouveau plan d’actions va être proposé par les autorités sanitaires courant 2014 pour mieux encadrer ces prescriptions de benzodiazépines et mieux informer professionnels de santé et patients sur leurs risques afin de prévenir la banalisation de leur recours.

Voir en ligne : ANSM - Sécurité sanitaire des produits de santé

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Ethique et cancérologie - Donner du sens au soin

Ce travail ne prétend pas être exhaustif. Il représente une synthèse à ce jour de notre réflexion. Selon l’avis du lecteur, il pourra donner l’envie d’explorer et d’approfondir ces thèmes. Il nous semblait nécessaire d’élaborer ce travail afin de partager notre réflexion et notre questionnement sur nos pratiques. Nous avons visé un objectif certes difficile à atteindre...

Voir en ligne : Oncoranet réseau de cancérologie de la région Rhône Alpes

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Ethique, personne de confiance et maladie d’Alzheimer

La personne de confiance, créée par la loi du 4 mars 2002, permet au patient non communiquant, de transmettre sa parole au médecin, pour l’aider dans sa prise de décision. Dix ans après, la désignation de la personne de confiance reste rare, même en gériatrie, y compris pour les patients atteints de maladie d’Alzheimer.

Voir en ligne : par Sophie Moulias | Thèse de doctorat en Ethique médicale

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Etude de la prescription et de la consommation des vasodilatateurs en ambulatoire

indication du niveau de preuve ; introduction, sources d’information, description générale des pathologies et de l’utilisation des vasodilatateurs, arthériopathie chronique oblitérante des membres inférieurs et syndrome de Raynaud, accidents vasculaires cérébraux ischémiques (AVCI), déficit intellectuel pathologique du sujet âgé, troubles neurosensoriels et autres pathologies, comparaisons internationales, conclusions, références bibliographiques

Voir en ligne : AFSSAPS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Etude de l’impact de la modification récente des méthodes de contraception sur la survenue d’embolies pulmonaires chez les femmes de 15 à 49 ans

La médiatisation des risques liés aux contraceptifs oraux combinés (COC) en décembre 2012 et le plan d’actions des autorités sanitaires qui a suivi, ont conduit à un changement des habitudes des femmes vis-vis de la contraception en France[1] . Les femmes françaises et les prescripteurs ont donc privilégié les COC 1ère et 2ème génération qui présentent un risque thromboembolique plus faible. L’étude menée par l’ANSM vise à évaluer l’impact de ces changements sur la survenue d’embolies pulmonaires chez les femmes en âge de procréer. Les résultats de cette étude suggèrent que ces évolutions récentes ont eu un effet bénéfique et immédiat : environ 341 hospitalisations pour embolies pulmonaires auraient ainsi été évitées en 2013.

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

Sujets associés


Étude des facteurs facilitateurs et freinateurs influençant la relation médecin-malade lors de l’évocation par le patient d’informations de santé prises sur Internet :

La deuxième moitié du XXème siècle a marqué l’avènement d’un nouvel outil de télécommunication : Internet. Les sites de santé ont connu un développement important et constituent pour le patient une importante source d’informations médicales. L’un des premiers témoins de ce phénomène est le médecin soumis à l’information que peut lui présenter son patient. Du point de vue du généraliste, quels sont les facteurs facilitateurs et freinateurs influençant la relation médecin-malade lors de l’évocation par le patient d’informations de santé collectées sur internet ?

Voir en ligne : Thèse d’exercice - Faric Anne | étude qualitative réalisée en Charente auprès de 13 médecins généralistes

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Etude sur les douleurs chroniques

Pour la première fois, un lien a été établi entre les douleurs chroniques et un gène humain. C’est une équipe de l’université hébraïque de Jérusalem qui est à l’origine de cette découverte, en collaboration avec d’autres chercheurs à l’étranger. Il s’agit d’un pas important dans la compréhension et, à terme, le traitement de ce problème.

Voir en ligne : Par JUDY SIEGEL-ITZKOVICH | JPOST

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Etudes de prévention par les traitements hypolipidémiants

Les essais de prévention par les médicaments hypolipidémiants ont eu pour objectif de répondre à une question simple : la baisse du cholestérol total et du ldl-cholestérol s’accompagne-t-elle d’une réduction des évènements coronariens ?

Voir en ligne : G. Turpin, E. Bruckert, P. Fossati, F. Paillard. Commission Education-Prévention de l’ARCOL

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Évaluation clinique et économique de la coeliochirurgie dans le cadre de la hernie de l’aine

L’évaluation économique documente le coût, le coût-efficacité et la qualité de vie de la coeliochirurgie cas par rapport à la chirurgie ouverte avec ou sans prothèse dans le cadre du traitement de la hernie inguinale. Sont documentés le coût de l’intervention, la durée d’hospitalisation, la reprise de l’activité professionnelle et la qualité de vie postopératoire. Aucun des travaux analysés intègre les coûts indirects et les coûts à long terme liés aux récidives, qui sont des éléments importants de décision.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Évaluation clinique et économique des dispositifs médicaux et prestations associées pour prise en charge du syndrome d’apnées hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS)

Le syndrome d’apnées-hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS) se caractérise par la survenue, pendant le sommeil, d’épisodes anormalement fréquents d’interruptions de la ventilation (apnées), ou de réductions significatives de la ventilation (hypopnées). La définition de la sévérité du SAHOS repose sur deux composantes du syndrome : la somnolence diurne et l’indice d’apnées-hypopnées (IAH).

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Evaluation de l’Imagerie cardiaque non invasive dans les coronaropathies

Cette évaluation a pour objectif de répondre aux questions suivantes : Quelles sont les performances diagnostiques des examens d’imagerie cardiaque non invasifs les plus récents (IRM, TDM et TEP-TDM), comparativement aux techniques d’imagerie invasives validées (tomoscintigraphie, échocardiographie de stress, coronarographie) ?

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Évaluation de la gravité des brûlures : Physiopathologie

Il existe peu de pathologies dont l’étendue des gravités est aussi large que celle des brûlures. Rien de comparable, en effet, entre la petite brûlure domestique à laquelle personne n’échappe au cours de sa vie et la brûlure profonde qui atteint la quasi totalité du revêtement cutané et qui représente un des traumatismes les plus lourds auxquels il est possible d’être confronté. Si, dans les cas extrêmes, l’évaluation de la gravité ne pose aucun problème, il n’en est pas de même en ce qui concerne les brûlures de gravité intermédiaire. Pourtant, pour ces dernières, un diagnostic précis de la gravité est absolument déterminant : il faut non seulement savoir reconnaître la brûlure qui risque d’entraîner des perturbations de l’homéostasie et qui nécessite donc des traitements en urgence et une hospitalisation, mais aussi distinguer celle qui peut être responsable de la formation d’une cicatrice et qui impose la consultation d’un spécialiste brûlologue.

Voir en ligne : Daniel WASSERMANN | Centre des brûlés - Hôpital Cochin 75014 Paris

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Évaluation de l’amylasémie et de la lipasémie pour le diagnostic initial de la pancréatite aiguë

Le diagnostic positif de la pancréatite aiguë associe au moins deux facteurs caractéristiques : douleur abdominale évocatrice et/ou élévation des enzymes pancréatiques et/ou examens morphologiques (...) En 2009, la HAS préconise de ne plus doser l’amylasémie, seule la lipasémie doit être dosée pour le diagnostic biologique de la pancréatite aiguë

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Évaluation des bénéfices et des risques nutritionnels des édulcorants intenses chez la femme enceinte

L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) s’est autosaisie le 30 juin 2011 d’une évaluation des bénéfices et des risques sanitaires d’ordre nutritionnel des édulcorants intenses. Cette première note d’étape porte spécifiquement sur l’évaluation des bénéfices et des risques des édulcorants intenses chez la femme enceinte, suite à une demande spécifique du ministère chargé de la santé.

Voir en ligne : ANSES - Agence nationale de sécurité sanitaire Alimentation Environnement Travail (anciennement AFSSE AFSSET)

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Evaluation des conséquences sanitaires des pics de pollution atmosphérique

La pollution atmosphérique urbaine, constitue une des préoccupations premières de santé publique, de par son impact considérable sur la population. La prise de conscience des impacts sanitaires de la pollution de l’air a conduit à la mise en place d’une règlementation dans le cadre de loi sur l’air et l’utilisation rationnelle de l’énergie du 30 décembre 1996 [1]. Les principaux polluants de l’air sont suivis quotidiennement dans les grandes agglomérations françaises, et la population est informée de la pollution mesurée et prédite pour les jours suivants. La réglementation prévoit pour certains polluants des seuils d’information et de recommandations et des seuils d’alerte. Lorsque les concentrations journalières dépassent ces seuils, des procédures d’information de la population sont activées, et dans le cas des seuils d’alertes, des mesures sont prises pour limiter la pollution. Ces seuils concernent le dioxyde d’azote (NO2), le dioxyde de soufre (SO2), l’ozone (O3) et les particules de diamètre inférieur ou égal à 10 μm (PM10).

Voir en ligne : Note de position de l’Institut de veille sanitaire

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Evaluation des dispositifs de compression médicale à usage individuel – Utilisation en pathologies vasculaires

Fiche de Bon usage - Compression médicale dans le traitement de la maladie thrombo-embolique veineuse
Fiche de Bon usage - Compression médicale dans les affections veineuses chroniques
Fiche de Bon usage - Compression médicale en prévention de la thrombose veineuse
Fiche de Bon Usage - Compression médicale dans le traitement du lymphoedème

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Evaluation des endoprothèses dans le traitement des anévrismes et des dissections de l’aorte thoracique - Rapport

Les anévrismes et les dissections sont les deux principales pathologies qui peuvent affecter l’aorte thoracique. Ces 2 processus dégénératifs ont des étiologies multiples dont l’issue sans traitement est très souvent fatale. Les endoprothèses utilisées pour le traitement endovasculaire de ces pathologies aortiques sont constituées d’une structure métallique cylindrique, droite ou conique, recouverte d’un matériau prothétique souple étanche. Une fois déployées dans la lumière aortique, ces prothèses endoaortiques reconstituent une lumière continue en excluant la zone anévrismale ou la porte d’entrée de la dissection.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de santé

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Évaluation des médicaments antihypertenseurs et place dans la stratégie thérapeutique

Dans les recommandations de la HAS de 2005, l’HTA est définie par une pression artérielle systolique (PAS) ≥ 140 mmHg et/ou une pression artérielle diastolique (PAD)≥ 90mmHg, mesurées au cabinet médical (135/85 par automesure ou 130/80 en MAPA sur 24h), et confirmées (au minimum par 2 mesures par consultation, au cours de 3 consultations successives, sur une période de 3 à 6 mois). Depuis quelques années, le concept de « pré-HTA » lorsque la PAS est comprise entre 120 et 139 mmHg et la PAD entre 80 et 89 mmHg, est apparu (JNC version 71).

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Évaluation des risques du bisphénol A (BPA) pour la santé humaine (Tome 1)

En 2009, le ministère chargé de la santé a saisi l’Inserm et diverses agences de sécurité sanitaire (l’Ansm (ex-Afssaps), l’Anses, l’InVS, l’INPES) sur la question des perturbateurs endocriniens. Les travaux de l’Anses concernant le BPA s’organisent ainsi dans le cadre d’une expertise portant sur une liste d’une trentaine de substances potentiellement perturbatrices endocriniennes (bisphénols, phtalates, parabènes, perfluorés, composés bromés, alkylphénols, …), et d’une seconde expertise spécifique au BPA émanant du ministère chargé de l’écologie. L’Agence est mobilisée sur la question du BPA depuis 2008 et a produit plusieurs avis et documents sur cette question.

Voir en ligne : ANSES Agence nationale de sécurité sanitaire Alimentation Environnement Travail

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Évaluation des risques du bisphénol A (BPA) pour la santé humaine (Tome 2 )

Les références complètes des études citées dans le tableau ci-dessous peuvent être retrouvées dans le rapport publié par l‟Anses en septembre 2011 portant sur les effets sanitaires du BPA1.

Voir en ligne : ANSES Agence nationale de sécurité sanitaire Alimentation Environnement Travail

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Évaluation des risques liés aux pratiques alimentaires d’amaigrissement

Il s’agit d’un rapport élaboré [en Novembre 2010] par le groupe de travail « Évaluation des risques liés à la pratique de régimes à visée amaigrissante » et validé par le Comité d’experts spécialisé « Nutrition Humaine ». L’Anses a souhaité le soumettre pour consultation large de la communauté scientifique et médicale, afin d’intégrer, le cas échéant, des retours d’expérience et contributions scientifiques complémentaires, eu égard à la complexité du sujet et à la diversité des acteurs impliqués.

Voir en ligne : Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail

Sujets associés


Evaluation des Stratégies de dépistage de la trisomie 21

L’objectif de ce travail était de mener une réflexion sur l’opportunité d’une modification de la stratégie de dépistage de la trisomie 21 en France. La trisomie 21, ou syndrome de Down, est la plus fréquente des anomalies chromosomiques. Elle est due à la présence d’un chromosome 21 surnuméraire et peut se traduire par de multiples malformations anatomiques, un phénotype particulier et une déficience mentale plus ou moins sévère.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Evaluation du risque lié à l’utilisation du phénoxyéthanol dans les produits cosmétiques (lingettes)

L’Ansm recommande pour les enfants de moins de trois ans : - une non utilisation du phénoxyéthanol dans les produits cosmétiques destinés au siège et ; - une restriction du phénoxyéthanol à la concentration de 0,4 % dans tous les autres types de produits (au lieu de 1 % actuellement). L’Ansm attire également l’attention sur le fait que toute limitation et/ou modification de la concentration finale en phénoxyéthanol dans les produits cosmétiques devra toutefois être compatible avec l’activité antibactérienne attendue pour un conservateur.

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

Sujets associés


Évaluation du traitement chirurgical de la cataracte de l’adulte

Le seul traitement de la cataracte est chirurgical et il existe plusieurs techniques. Cette intervention se pratique fréquemment en ambulatoire et sous anesthésie locale. Les pratiques actuelles consistent à extraire le cristallin, par extraction manuelle ou plus souvent par phacoémulsification, et à poser un implant dans la chambre postérieure. Ce rapport traite les questions suivantes :

  • que sait-on de l’efficacité et des effets indésirables de la chirurgie de la cataracte dans ses différentes indications ?
  • que sait-on des avantages et inconvénients comparés des diverses techniques chirurgicales ?

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de santé

Sujets associés


Évaluation du traitement chirurgical de la cataracte de l’adulte

La cataracte peut être définie comme la présence d’opacités cristalliniennes responsables d’une diminution de vision significative, entraînant une réduction de l’activité fonctionnelle. Elle touche plus de 20 % de la population à partir de l’âge de 65 ans, plus de 35 % à partir de l’âge de 75 ans, et plus de 60 % à partir de l’âge de 85 ans. De nombreux facteurs de risque ont été décrits : exposition aux radiations ultraviolettes B, diabète, intoxication tabagique, consommation élevée d’alcool, absorption de certains médicaments, etc. Aucune mesure préventive n’a actuellement d’efficacité démontrée sur des critères cliniques. Il n’existe actuellement aucun traitement médical préventif ni curatif de la cataracte.

Voir en ligne : HAS - ANAES/Evaluation des Technologies/Février 2000

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Évaluation par classe des médicaments antihypertenseurs

Ce travail est une évaluation médico-économique des 5 classes d’antihypertenseurs ayant démontré leur efficacité en morbi-mortalité dans la prise en charge de l’HTA essentielle non compliquée. Les 5 classes évaluées sont les diurétiques thiazidiques, les bétabloquants, les antagonistes de l’angiotensine II (ARAII), les inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC) et les inhibiteurs calciques (ICa).

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé | Recommandations en santé publique

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Évolution de la grippe - France

Certains termes de recherche [sur Google] semblent être de bons indicateurs de la propagation de la grippe. Afin de vous fournir une estimation de la propagation du virus, ce site rassemble donc des données relatives aux recherches lancées sur Google.

Voir en ligne : Google

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Evolution et traitement de l’arthrose du poignet

L’arthrose du poignet est dans 90 % des cas post-traumatique. Le poignet travaille le plus souvent en distraction. Il faut souligner l’importance des ligaments dans la cohérence du carpe. Les étiologies de l’arthrose sont l’instabilité du carpe scapholunaire, la pseudarthrose du scaphoïde, les séquelles des fractures articulaires de radius. Elles touchent des sujets jeunes, souvent travailleurs manuels ou sportifs. D’autres étiologies plus rares existent.... Les 10 % d’arthrose non post-traumatiques sont des arthroses de précipitation : chondrocalcinose ou pseudo-goutte qui atteignent des sujets plus âgés de 60 à 80 ans ; elles sont très fréquentes. Elles entraînent des destructions étendues du poignet. Le traitement est ici le plus souvent médical, mais rarement chirurgical.

Voir en ligne : Académie Nationale de Chirurgie

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EVRA (patch contraceptif) et risque de thrombose veineuse :

Les thromboses veineuses avec EVRA restent rares mais en l’absence d’études comparatives montrant un bénéfice supplémentaire pour le patch contraceptif, la prescription de COC de 1ère ou de 2ème génération contenant du lévonorgestrel est recommandée en première intention, lorsqu’une contraception hormonale combinée a été choisie.

Voir en ligne : ANSM - Sécurité sanitaire des produits de santé

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Exploration d’une dyslipidémie : quelle place pour le dosage des apolipoprotéines A1 et B ?

L’exploration d’une dyslipidémie commence par l’exploration d’une anomalie lipidique (EAL). L’EAL fournit les informations suivantes : aspect du sérum et dosage du cholestérol total (CT), des triglycérides (Tg) et du cholestérol HDL (C-HDL), complété par le calcul du cholestérol LDL (C-LDL) par la formule de Friedewald : C-LDL = CT – [C-HDL + Tg/5] (en g/L).

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Explorations radiologiques et endoscopiques de l’intextin grêle

L’exploration de l’intestin grêle a connu simultanément deux essors importants eu égard aux progrès technologiques de l’endoscopie à travers la vidéocapsule et l’entéroscopie poussée ou à double ballon et de l’imagerie médicale centrée sur l’imagerie en coupe : échographie et ses développements doppler couleur et de contraste \ ; TDM et surtout IRM adaptées à l’intestin grêle sous le vocable entéroscanner ou entéro-IRM. La place respective de ces nouveautés est en cours d’évaluation selon la présentation des symptômes ou le type de lésion suspectée. La complémentarité des techniques endoscopiques et d’imagerie s’exprime au mieux dans les stratégies développées dans l’exploration de l’intestin grêle.

Voir en ligne : Service d’hépato-gastroentérologie, Service de radiologie, CHRU de Montpellier

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Explosion du tourisme médical : des voyageurs d’un nouveau type ?

A l’heure de la globalisation un nombre croissant de patients choisissent d’aller se faire soigner à l’étranger, à un prix qui peut être 10-20 fois moins cher. Les raisons sont multiples. Certains pays sont confrontés à une demande croissante, soit à cause d’un défaut de couverture des prestations par les assurances maladie (par exemple : Etats-Unis) ou à cause des listes d’attente (par exemple : Royaume-Uni, Canada). En parallèle, l’offre de soins s’est améliorée de manière spectaculaire dans de nombreux pays d’Asie et d’Amérique latine. Dans ces conditions de plus en plus de patients franchissent le pas et se rendent dans ces hôpitaux, généralement accrédités selon des normes européennes ou américaines, pour bénéficier de chirurgie cardiovasculaire ou orthopédique. En Suisse, ce phénomène encore marginal pourrait être amené à se développer dans un avenir proche.

Voir en ligne : Article de P. A. Bovier - Revue Médicale Suisse

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Exposition environnementale à l’amiante : état des données et conduite à tenir

Le rapport « Exposition environnementale à l’amiante : état des données et conduite à tenir » s’inscrit dans le cadre du Plan national santé environnement 2004-2008. • Il fait un état des lieux des données disponibles sur les risques pour la santé liés à une exposition environnementale à l’amiante et notamment une évaluation de la toxicité potentielle des rejets dans l’atmosphère, le sol et l’eau, de produits d’origine industrielle contenant de l’amiante. • Il liste l’ensemble des problèmes posés par la prise en charge diagnostique des sujets soumis à une expostion environnementale à l’amiante et précise les informations à fournir aux autorités sanitaires en vue de la mise en œuvre d’actions de santé, notamment en ce qui concerne les problèmes qui auraient été sous-estimés ou seraient passés inaperçus ; • Il propose des stratégies de prise en charge des sujets exposés ainsi que les messages à délivrer aux médecins dans le cadre d’une exposition environnementale à l’amiante.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Expositions à des dispositifs luminescents : cas enregistrés par les centres antipoison et de toxicovigilance français

Après un épisode collectif survenu en février 2011, impliquant un dispositif luminescent et survenu dans un groupe d’enfants, la Direction générale de la santé a saisi l’Institut de veille sanitaire et le Comité de coordination de la toxicovigilance, le 30 mars 2011, en demandant :

  • d’établir une analyse des effets toxicologiques de chaque type de produits ou articles luminescents, en se fondant sur les signalements reçus par les Centres antipoison et de toxicovigilance (CAPTV), au regard notamment de leurs types de composition ;
  • d’établir une analyse des produits les plus dangereux, en fonction des circonstances d’exposition, (contact, ingestion..., après cassure ou fuite de l’objet) et des populations exposées (par tranche d’âge, en particulier).

Voir en ligne : CAPTV - Association des centres antipoison et de toxicovigilance ]

Sujets associés


Facteurs de risque cardio-vasculaire et prévention

• Expliquer les facteurs de risque cardio-vasculaire et leur impact pathologique • Expliquer les modalités de la prévention primaire et secondaire des facteurs de risque cardio-vasculaire et les stratégies individuelles et collectives.

Voir en ligne : Daniel Herpin (Poitiers) et François Paillard (Rennes)

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Faits sur l’exposition au soleil

La Semaine de sensibilisation aux effets du soleil, qui en est cette année à sa treizième édition, est une campagne de sensibilisation et d’information du public commanditée par l’Association canadienne de dermatologie (ACD) dans le but de réduire la fréquence du cancer de la peau au Canada.

Voir en ligne : Société canadienne du cancer.

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Fasciite ou aponévrosite plantaire (douleur du talon)

Le fascia plantaire est une bande (un groupe) de tissus, un peu comme un tendon, qui se trouve sous votre pied. La bande de tissus part de votre talon et parcourt tout le dessous de votre pied. Elle relie chacun des os formant l’avant-pied (la partie avant de la plante du pied, juste avant les orteils).
Le fascia plantaire agit comme une bande de caoutchouc entre le talon et l’avant-pied, formant la voûte plantaire ; si votre bande est courte, la voûte est prononcée (pieds creux), et si votre bande est longue, la voûte est peu marquée (pieds plats).

Voir en ligne : Corporation des sciences de la santé de l’Atlantique

Sujets associés


Fatigue - Mise en contexte

La fatigue est un affaiblissement généralisé avec ou sans lien avec le travail ou l’effort. Elle peut parfois s’expliquer par une surcharge de travail ou de stress, que ce soit à domicile ou à l’extérieur. Une fatigue d’apparition récente s’améliore après une bonne nuit de sommeil, alors qu’une fatigue plus importante ou liée à un problème de santé ne semble pas diminuer. La fatigue peut être causée par une maladie pulmonaire, cardiaque, sanguine (anémie), infectieuse, métabolique (l’hypothyroïdie) ou psychologique. Les infections virales peuvent être suivies de fatigue. Si la fatigue persiste, voyez votre médecin. Certains médicaments peuvent causer de la somnolence ou donner une impression de fatigue ; parlez-en à votre pharmacien.

Voir en ligne : Guide Santé du gouvernement Québécois

Sujets associés


Fausses conceptions au sujet de l’innocuité des vaccins

Les faussetés au sujet de l’innocuité des vaccins peuvent entraîner une diminution du nombre de Canadiens qui sont immunisés contre des maladies évitables par vaccination telles que la rougeole, la poliomyélite et les oreillons. Cette situation pourrait engendrer des épidémies de maladies qui sont rares de nos jours dans les pays développés. Grâce à l’utilisation efficace de vaccins pour prévenir la maladie, la plupart des parents de jeunes enfants au Canada aujourd’hui n’ont jamais connu de cas de maladies délétères comme la diphtérie ou la poliomyélite.

Voir en ligne : Santé Canada

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Faut-il avoir chez soi la pilule du lendemain ?

L’intérêt est évident et la réponse est oui si vous êtes dans un pays où la vente libre n’est pas autorisée. ( Ceci ne concerne donc pas les Françaises qui peuvent à tout moment se rendre à la pharmacie de garde et demander le Norlevo. Idem en Belgique ( la pilule du lendemain est également en vente sans prescription depuis le 10/6/2001.)
Mais si vous êtes à l’étranger, ou en vacances ? ou dans une région un peu éloignée où l’unique pharmacien ne l’a pas en réserve.
N’oubliez pas qu’elle doit en principe être prise le plutôt possible La pilule du lendemain est efficace jusque 72 heures après la relation.

Voir en ligne : Planning Familial belge

Sujets associés


Faut-il dépister et traiter l’hypothyroïdie infraclinique ?

L’hypothyroïdie infraclinique, définie comme un taux d’hormone thyréotrope élevé et une thyroxine normale, est une condition dont la prévalence augmente avec l’âge, surtout après 65 ans. Cette condition a été potentiellement associée à d’importants risques à long terme, comme les maladies cardiovasculaires et les troubles cognitifs. A ce jour, les indications au dépistage et à la substitution hormonale restent cependant controversées. Dans cette revue, nous allons revoir les données sur les risques de l’hypothyroïdie infraclinique et les bénéfices potentiels de son traitement. Un grand essai randomisé européen devrait clarifier cette controverse, afin d’améliorer la prise en charge clinique de ces patients et fournir d’importantes données sur les facteurs liés au maintien en bonne santé des personnes âgées.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

Sujets associés


Faut-il détecter le cancer de la prostate ?

L’intérêt du dépistage systématique du cancer de la prostate fait l’objet d’un débat majeur. Il n’existe pas de preuve que le dépistage organisé apporte un bénéfice à la population à laquelle il est proposé. Cependant l’utilisation du PSA dans le cadre d’un dépistage individuel est devenue très fréquente en France comme dans la plupart des pays européens. Cette pratique est à l’origine d’une augmentation majeure de l’incidence du cancer de la prostate qui est devenu en quelques années le cancer le plus fréquent. Le problème du dépistage se pose en termes d’articulation, entre un test ayant des performances médiocres eu égard à l’objectif qu’on lui fixe, à savoir dépister des tumeurs prostatiques agressives, et une prise en charge qui doit être nuancée en fonction de l’agressivité de la tumeur pour ne pas induire dans la population des effets négatifs insupportables. L’utilisation des résultats des essais en cours sur les performances du dépistage par PSA devra prendre en compte l’ensemble de ce problème.

Voir en ligne : Bull. Acad. Natle Med 2008 — Tome 192 — Mai — No 5 p. 1013-1020


Faut-il faire un régime quand on a trop de cholestérol ?

Oui, il est nécessaire de faire un régime si vous avez un excès de poids . Ce régime sera alors hypocalorique, pour permettre la perte de poids. Les aliments gras étant les plus caloriques, c’est d’abord sur eux que portera la réduction calorique. 
Mais ce régime hypocalorique limitera également les glucides, c’est à dire les sucres rapides et les sucres lents (céréales, féculents et légumineuses), et l’alcool. 
L’apport de protéines (essentiellement viandes, volailles et poissons) sera maintenu constant.

Voir en ligne : Dr Bernard CHANU, Dr Jean-Louis RICHARD

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Faut-il vacciner les nourrissons contre la varicelle ? De la difficulté de la décision vaccinale

Un vaccin associant la valence varicelle aux valences rougeole, rubéole et oreillons devrait bientôt disposer d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) en France, avec comme indication la vaccination simultanée du nourrisson contre ces quatre maladies dans la seconde année de vie. Au premier examen, les arguments en faveur d’une intégration de la vaccination contre la varicelle dans le calendrier vaccinal du nourrisson ne manquent pas.

Voir en ligne : Daniel Lévy-Bruhl, Institut de veille sanitaire, Saint-Maurice

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Femmes enceintes ayant une complication au cours de leur grossesse : transferts en urgence entre les établissements de santé

Objectifs
Optimiser le transfert des femmes enceintes dans l’urgence vers et entre les établissements des réseaux périnatals avec un objectif de sécurité et d’humanisation. Favoriser la coordination entre les professionnels des réseaux périnatals : obstétriciens, urgentistes, anesthésistes, pédiatres, sages-femmes, etc. Mettre en place des outils permettant d’évaluer les différents aspects de la qualité des transferts des femmes enceintes au sein d’un réseau périnatal.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Fermeté du matelas et lombalgies chroniques

Le degré de fermeté des matelas a-t-il une influence sur l’évolution clinique de patients présentant des douleurs lombaires chroniques non-spécifiques ? Il est couramment admis que la fermeté du matelas a un effet bénéfique sur ce type de douleurs. Les preuves étayant ces affirmations sont cependant faibles (études peu nombreuses, présence de biais dans leur méthodologie).

Voir en ligne : Kovacs F M, Abraira V, Peña A et al. Effect of firmness of mattress on chronic non–specific low–back pain : randomised, double–blind, controlled, multicentre trial. Lancet 2003 ;362:1599-1604.

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Fibromes utérins - Mise en contexte

Les fibromes utérins sont des tumeurs bénignes très fréquentes : on en trouve dans environ 80 % des utérus enlevés en chirurgie. Dans la plupart des cas, ils ne causent aucun problème. Les fibromes peuvent être situés n’importe où dans l’utérus, et il y en a généralement plusieurs à la fois. Certains sont enfouis dans la paroi de l’utérus, d’autres sont suspendus à l’utérus par un pédoncule (tige de chair) plus ou moins long.

Voir en ligne : Guide Santé du gouvernement Québécois

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Fibromyalgie

La fibromyalgie est une maladie complexe, caractérisée par l’existence de douleurs diffuses et multiples, et de certains points qui sont douloureux lorsqu’on exerce une pression dessus. Elle s’accompagne également de diverses manifestations telles que des troubles du sommeil, de la fatigue et des troubles de l’humeur...

Voir en ligne : Société Française de Rhumatologie

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Fibromyalgie de l’adulte : favoriser une prise en charge précoce et graduée

Un rapport d’orientation de la HAS dresse un état des connaissances sur la fibromyalgie. Que sait-on aujourd’hui de ce syndrome ?
La fibromyalgie est de description relativement récente. Elle touche une femme dans 8 à 9 cas sur 10. Près de 90 % des patients ont moins de 60 ans. Sa prévalence serait de 1,4 à 2,2 % dans la population générale. En moyenne, les médecins généralistes voient moins de trois patients atteints de ce syndrome par an, les rhumatologues davantage.

Voir en ligne : Anne-Françoise Pauchet-Traversat Chef de projet du service des maladies chroniques et des dispositifs d’accompagnement des malades – HAS

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Fibromyalgie, fibrosite, fibromyosite

La fibromyalgie est un syndrome caractérisé par des douleurs généralisées au niveau des muscles et des articulations, qui durent depuis au moins trois mois ; les personnes atteintes présentent également de la douleur à la palpation de certains points précis du corps.

Voir en ligne : Association québécoise de la fibromyalgie

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Fiche pratique d’utilisation des antiviraux en extrahospitalier et en période pandémique

La prescription d’un traitement antiviral est recommandée aux sujets présentant :

  • un syndrome grippal caractérisé c’est-à-dire un syndrome respiratoire aigu brutal associant une fièvre supérieure ou égale à 39°C et des signes respiratoires (toux ou dyspnée) ;
  • des facteurs de risque particuliers2 ;
  • une forme clinique grave d’emblée ou compliquée (après avoir éliminé une surinfection bactérienne).

Voir en ligne : Comité de lutte contre la grippe

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Fiches d’information pour les patients : quel intérêt ? L’étude EDIMAP

L’information des patients est devenue un enjeu de santé publique et une composante essentielle de la relation médecin-patient. De nombreux documents écrits d’information destinés aux patients existent mais peu répondent aux critères de qualité recommandés par les sociétés savantes et les structures institutionnelles telles que la Haute Autorité de Santé en France(2) ou la National Health and Medical Research Council (NHRMC) en Australie (3).

Voir en ligne : CHU de Grenoble - Revue de la Médecine Générale (RMG)

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Fièvre au long cours, fièvre périodique : mise en perspective

La rubrique des fièvres au long cours ou d’origine indéterminée (Fever of unknown origin, FUO des Anglo-Saxons) a été définie de façon formelle et arbitraire en 1961 [1] : température rectale dépassant 38,3 °C à plusieurs reprises sur une période de durée supérieure à 3 semaines, sans diagnostic malgré des investigations complémentaires réalisées pendant une hospitalisation d’au moins 7 jours.

Voir en ligne : T. Papo : Service de médecine interne, Hôpital Bichat, Paris, France.

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Fièvre au retour d’un pays tropical

Avant d’envisager la démarche diagnostique et la conduite thérapeutique devant une fièvre au retour d’un pays tropical, l’interrogatoire devra préciser les conditions de séjour, le lieu exact de celui-ci, pays tropical ou pourtour méditerranéen (ex.:différence entre brousse et centre ville), sa durée, la période de l’année. De plus, il ne faut pas oublier que tout malade venant d’un pays tropical a le droit d’avoir une affection purement métropolitaine...

Voir en ligne : Dr Goullier-Fleuret - 1995 Faculté de médecine de Grenoble

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Fièvre méditerranéenne familiale

La fièvre méditerranéenne familiale s’exprime par des crises fébriles brèves à intervalle variable, des douleurs intermittentes dans l’abdomen, le thorax, les articulations ou la peau, et par la survenue éventuelle d’une amylose rénale. Elle est plus fréquente chez les sujets originaires du pourtour méditerranéen. La notion familiale est de plus en plus rarement retrouvée du fait de la transmission récessive et de la diminution de la taille des familles. Bien qu’il s’agisse d’une maladie héréditaire autosomique récessive, les facteurs environnementaux sont aussi importants dans le déclenchement des crises : stress, fatigue, infections. Le gène en cause est celui de la marenostrine/pyrine qui est exprimée dans les granulocytes, les monocytes et les éosinophiles. Le diagnostic se fait souvent par élimination mais il est possible de faire un diagnostic génétique dans plusieurs laboratoires en France. Il existe un traitement très efficace : la Colchicine (1 à 2 mg par jour, à vie). On ne connaît pas son mode d’action mais ce traitement est capable d’inhiber voire d’espacer les crises dans 90% des cas. L’Interferon-alpha a été proposé dans les formes résistantes à la Colchicine.

Voir en ligne : Orphanet -*Auteur : Dr I. Touitou (décembre 2004)*

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Fièvre Méditerranéenne Familiale - Protocole national de diagnostic et de soins pour les maladies rares

L’objectif de ce protocole national de diagnostic et de soins (PNDS) est d’expliciter, pour les professionnels de la santé, la prise en charge optimale et le parcours de soins d’un malade atteint d’une fièvre méditerranéenne familiale (FMF) aussi couramment appelée maladie périodique en France

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Fièvre méditerranéenne familiale ou maladie périodque

La fièvre [1] familiale (FMF) est une maladie inflammatoire héréditaire qui touche essentiellement les peuples originaires du bassin méditerranéen. La maladie se caractérise par des accès répétés de fièvre et de douleurs abdominales, éventuellement associés à une inflammation pleurétique, synoviale et/ou cutanée localisée. La complication la plus grave de la maladie est l’amyloïdose, qui peut conduire à une insuffisance rénale terminale. Le traitement préventif des crises et de ses complications consiste à prendre de la colchicine à vie. Deux équipes indépendantes, américaine et française, ont découvert le gène responsable de la maladie en 1997. Il code pour une protéine appelée marénostrine/pyrine impliquée dans les mécanismes d’homéostasie de la réponse inflammatoire. Les principales mutations ont été identifiées et sont désormais accessibles au diagnostic moléculaire.

http://www.rmlg.ulg.ac.be/aboel.php...

Voir en ligne : Leclercq P, Hermesse A, Malaise MG | Rev Med Liege

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Fièvre typhoïde

La fièvre typhoïde est une scepticémie à point de départ intestinal avec migration secondaire vers la circulation sanguine par le biais du réseau lymphatique. C’est une pathologie de transmission oro-fécale dont le réservoir est constitué par des sujets malades ou des porteurs sains chroniques.

Voir en ligne : Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports [français]

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Fièvre, retour d’Afrique :Ayez le réflexe Ebola

L’Ile-de-France est en première ligne vis-à-vis du risque de fièvre Ebola dans notre pays car c’est le point d’entrée de la plupart des voyageurs aériens et la densité de sa population est un facteur de risque dans les infections inter humaines. L’URPS médecins libéraux d’Ile-de-France met à la disposition des professionnels et des patients d’Ile-de-France toutes les informations pratiques et utiles, officiellement validées, sur cette épidémie.

Voir en ligne : URPS médecins libéraux Ile-de-France

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Fièvres récurrentes héréditaire

Les fièvres récurrentes héréditaires sont un ensemble de maladies rares de transmission génétique dont les principales sont la fièvre méditerranéenne familiale (FMF), la fièvre héréditaire périodique liée au récepteur du TNF (TRAPS pour Tumor necrosis factor (TNF) receptor periodic syndrome), le syndrome de fièvre périodique avec hyperimmunoglobulinémie D (HIDS pour Hyperimmunoglobulinemia D syndrome), et les fièvres périodiques héréditaires liées à des mutations du gène CIAS1 (Cold Induced Auto-inflammatory syndrome 1) dont le syndrome de Muckle-wells, l’urticaire familiale au froid et le syndrome CINCA/NOMID (Chronic infantile neurological cutaneous and articular/Neonatal onset multisystemic inflammatory disease)...

Voir en ligne : John Libbey Eurotext France

Sujets associés


Fièvres récurrentes héréditaires

Les fièvres récurrentes héréditaires sont un ensemble de maladies rares de transmission génétique dont les principales sont la fièvre méditerranéenne familiale (FMF), la fièvre héréditaire périodique liée au récepteur du TNF (TRAPS pour Tumor necrosis factor (TNF) receptor periodic syndrome), le syndrome de fièvre périodique avec hyperimmunoglobulinémie D (HIDS pour Hyperimmunoglobulinemia D syndrome), et les fièvres périodiques héréditaires liées à des mutations du gène CIAS1 (Cold Induced Auto-inflammatory syndrome 1) dont le syndrome de Muckle-wells, l’urticaire familiale au froid et le syndrome CINCA/NOMID (Chronic infantile neurological cutaneous and articular/Neonatal onset multisystemic inflammatory disease). Outre le caractère familial, elles se définissent par la survenue d’épisodes récurrents de fièvre associée à divers symptômes dont l’association permet d’orienter le diagnostic. La découverte de mutations dans les gènes impliqués dans chacune de ces maladies permet, en présence d’un tableau clinique compatible, de confirmer le diagnostic. Les autres causes plus fréquentes de fièvres récurrentes devront bien sûr être éliminées telles que les causes infectieuses, néoplasiques ou auto-immunes. La complication la plus grave est l’amylose inflammatoire (AA). La connaissance des mécanismes physiopathologiques impliquant différents mécanismes de l’inflammation oriente vers une thérapeutique ciblée.

Voir en ligne : Katia Stankovic, Gilles Grateau , Service de médecine interne, Centre de référence des amyloses d’origine inflammatoire et de la fièvre méditerranéenne familiale, Hôpital Tenon

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Fil santé jeunes

Une équipe d’adultes aux compétences professionnelles complémentaires, habitués à répondre aux questions des jeunes. Nous avons tous l’expérience de l’écoute téléphonique sur le numéro vert Fil Santé Jeunes (3224). Notre équipe est composée de professionnels de santé (médecins et psychologues) et chaque texte publié est validé par un comité de rédaction composé de plusieurs membres de l’équipe. Elle comporte aussi des professionnels du net.

Voir en ligne : filsantejeunes.com

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Fractures du plateau tibial : rôle de l’IRM

Les fractures du plateau tibial sont dues à un mécanisme direct de compression. Les classifications sont nombreuses : les plus utilisées sont celles de Schatzker et de l’AO. Le bilan radiologique standard comporte deux incidences indispensables, le genou de face et de profil. Un CT-scan peut permettre de préciser la morphologie de la fracture dont découle l’indication thérapeutique. L’IRM permet de dépister des lésions osseuses occultes mais aussi de mettre en évidence des lésions ménisco-ligamentaires associées. La présence de faux positifs, surtout dans les lésions méniscales, n’est pas négligeable. La possibilité d’assimiler chaque fracture selon sa classification morphologique à des lésions type des tissus mous serait d’une utilité certaine, mais elle reste peu contributive.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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France Alzheimer et Maladies Apparentées

La maladie d’Alzheimer et les maladies apparentées touchent près d’un million de personnes en France.
L’Association France Alzheimer, est la seule association reconnue d’utilité publique dans le domaine de la maladie d’Alzheimer.
Présente dans toute la France à travers plus de 100 associations départementales en France métropolitaine et dans les DOM-TOM, elle compte 90 000 adhérents et donateurs.

Voir en ligne : L’Association

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Fronde contre la psychiatrie à outrance

La nouvelle édition du DSM - 5, l’ouvrage américain qui fait autorité dans le monde de la maladie mentale, élargit le champ des troubles et des traitements. Ses opposants donnent de la voix. Tous fous, comme le suggère le DSM - 5 (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, et 5 pour cinquième édition) ?

Voir en ligne : Par ERIC FAVEREAU | Libération

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Furosémide Teva : "Les malades peuvent reprendre le traitement" annonce l’Agence du médicament

Le directeur de l’Agence de sécurité du médicament (ANSM), Dominique Maraninchi, a annoncé, jeudi 20 juin sur Europe 1, que "l’alerte est finie" dans l’affaire du furosémide, douze jours après le rappel des boîtes de ce diurétique des laboratoires Teva, soupçonné d’avoir été interverti avec des comprimés de somnifères. "Les malades peuvent reprendre le traitement", a-t-il indiqué. "Sur 70 000 comprimés examinés, nous n’avons trouvé aucun échange. Les investigations continuent", a-t-il ajouté.

Voir en ligne : francetvinfo.fr

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Gain de poids durant la grossesse

Il est recommandé de prendre du poids pendant la grossesse. Ceci est une indication que le bébé se développe. Les femmes enceintes qui ne prennent pas suffisamment de poids risquent de donner naissance à un bébé de faible poids, ce qui a une incidence directe sur l’état de santé de ce dernier. La plupart des femmes enceintes devront prendre entre 25 et 35 livres (11,5 à 16kg). Le gain de poids est basé sur la masse par rapport à la taille de la femme avant la grossesse. Consultez votre médecin ! Selon votre poids avant la grossesse, il se peut que vous ayez à prendre plus ou moins de poids que cette moyenne.

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Services sociaux Québec : Alimentation et grossesse

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Gardasil : Ce que vous devez savoir sur le vaccin contre le VPH

Le test de Pap est toujours le meilleur outil de prévention du cancer du col de l’utérus Le cancer du col de l’utérus est causé par une infection persistante à un virus sexuellement transmis appelé virus du papillome humain (VPH). Il existe plus de 100 types (souches) de VPH. Environ 35 types de VPH s’attaquent aux organes génitaux et reproductifs. Le VPH à risque élevé et le VPH à risque faible figurent parmi ces 35 types.

Voir en ligne : Par le groupe Action pour la protection de la santé des femmes et le Réseau canadien pour la santé des femmes, avec l’assistance de Judy Norsigian, Alicia Priest, et Robin Barnett

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Gardasil® : Second bilan du plan de gestion des risques européen et national

Le vaccin Gardasil® est disponible en France depuis novembre 2006. Ce vaccin, indiqué en prévention du cancer du col de l’utérus dû à certaines infections à papillomavirus humains (HPV), est recommandé chez les adolescentes de 14 ans avec un rattrapage jusqu’à 23 ans chez celles qui n’auraient pas encore eu de rapports sexuels ou au plus tard durant l’année suivant leur premier rapport. L’Afssaps présente un deuxième bilan de pharmacovigilance de ce vaccin pour la France. L’analyse des données de surveillance disponibles ne remet pas en cause le rapport bénéfice risque du vaccin.

Voir en ligne : Afssaps gence française de sécurité sanitaire des produits de santé

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Gastro-entérites aiguës - Prévention

Le mode de transmission oro-fécal principal des virus conditionne en grande partie les mesures de prévention et de contrôle des gastro-entérites virales basées sur l’application de mesures d’hygiène. Les mains constituent le vecteur le plus important de la transmission et nécessite de ce fait un nettoyage au savon soigneux et fréquent. De même, certains virus (rotavirus et norovirus) étant très résistants dans l’environnement et présents sur les surfaces, celles-ci doivent être nettoyées soigneusement et régulièrement dans les endroits à risque (services de pédiatrie, institutions accueillant les personnes âgées)

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire

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Gastroentérite

La gastroentérite est un trouble digestif fulgurant qui cause nausées, vomissements, crampes à l’abdomen et diarrhée. Elle affecte à la fois l’estomac et l’intestin, dont les parois deviennent temporairement enflammées. Dans la majorité des cas, cette affection est de courte durée. Les symptômes disparaissent au bout d’un à trois jours. La gastroentérite est provoquée par de nombreux virus, bactéries ou autres micro-organismes qui contaminent la nourriture ou l’eau. L’intensité des symptômes varie selon la cause.

Voir en ligne : PasseportSanté.net

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Gastroentérite aiguë de l’enfant

La gastroentérite du nourrisson et du jeune enfant est fréquente. Elle peut être préoccupante lorsqu’elle entraîne une déshydratation. Les conseils aux parents sur la conduite à tenir sont primordiaux. La gastroentérite aiguë du nourrisson et du jeune enfant associe une diarrhée de survenue rapide (émission d’une quantité anormale, ≥ 3 par 24 heures, de selles de consistance liquide) à des vomissements et, inconstamment, à de la fièvre et/ou à des douleurs abdominales, le plus souvent dans un contexte épidémique.

Voir en ligne : Vidal Recommandations

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Gastroentérologues : Acteurs de la prévention du cancer de l’estomac

La recherche puis l’éradication de la bactérie Helicobacter pylori constituent une méthode de prévention efficace contre le cancer gastrique, surtout lorsqu’elles sont mises en oeuvre tôt, c’est-àdire avant l’apparition d’une lésion gastrique précancéreuse. Pourtant, une étude réalisée en 2011 auprès de 300 gastroentérologues a montré la nécessité de rappeler la démarche de prévention du cancer de l’estomac.

Voir en ligne : L’Institut National du Cancer

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Gels et solutions hydro-alcooliques : Recommandations sur les produits de désinfection des mains par le grand public

Le virus responsable de la grippe A(H1N1)v se transmet par voie aérienne, ou par contact rapproché avec un malade, mais également par contact direct avec les mains ou avec des objets touchés et contaminés par une personne malade. Les mesures d’hygiène habituelles des mains ou l’utilisation de désinfectants pour les mains peuvent jouer un rôle important dans la réduction de la transmission du virus.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Généralités sur la dengue : Réponse aux questions les plus fréquentes sur la dengue

Qu’est-ce que la dengue ?
La dengue ou « grippe tropicale » est l’arbovirose (virus transmis par des moustiques ou des tiques comme la fièvre jaune, le chikungunya, etc.…) la plus répandue dans le monde. C’est une maladie due à un virus transmis par la piqûre d’un moustique du genre Aedes, qui est le plus souvent bénigne. Toutefois, elle peut présenter des formes graves, on parle alors de dengue hémorragique, de dengue sévère ou de dengue avec état de choc.

Voir en ligne : Ministère des Affaires sociales et de la Santé

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Génomique et informatique : L’impact sur les thérapies et sur l’industrie pharmaceutique

C’est l’étude exhaustive des génomes et en particulier de l’ensemble des gènes, de leur disposition sur les chromosomes, de leur séquence, de leur fonction et de leur rôle. Le génome des organismes vivants est l’ensemble de leur matériel génétique. Il assure le fonctionnement des cellules et la transmission des caractères héréditaires au cours des générations. Il est constitué de molécules d’acides nucléiques (ADN), enchaînements d’unités élémentaires, les nucléotides. Les nucléotides sont constitués d’un sucre, d’un phosphate, et d’un élément variable, la base, qui peut être l’adénine, la guanine, la cytosine ou la thymine. Les gènes, c’est-à-dire les parties d’ADN porteuses d’une information génétique, ne constituent qu’une partie du génome. Les génomes des organismes vivants ont des tailles considérables allant d’une centaine de millions à des milliards de nucléotides. Le génome humain, par exemple, est composé d’environ 3 milliards de bases. L’étude d’un génome passe donc par des opérations de cartographie puis de séquençage ainsi que par l’interprétation des séquences.

Voir en ligne : Serusclat (Franck) - Office Parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques

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Gérer la fatigue liée au cancer pour les personnes atteintes du cancer

Comment peut-on gérer la fatigue ? Qu’est-ce que la fatigue liée au cancer ? Qu’est-ce qui cause la fatigue liée au cancer ? Comment l’équipe de soins peut-elle aider ? Quand doit-on demander de l’aide médicale ? Comment surveiller l’évolution de la fatigue ?

Voir en ligne : Action Cancer Ontario

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Gérer le syndrome métabolique

Au début des années 1980, les travaux de Reaven ont popularisé la notion que l’on pouvait retrouver chez un même patient une constellation de facteurs de risque cardiovasculaires, ce qu’il a baptisé « syndrome X ». Apparaissaient aussi les notions qui expliquaient ce regroupement de facteurs de risque par la présence d’insulinorésistance ou de gras viscéral. Au cours des ans, plusieurs définitions du syndrome métabolique (SM) ont tenté d’intégrer soit l’insulino-résistance, soit l’adiposité centrale. Il existe donc plusieurs définitions du SM, englobant un pourcentage plus ou moins grand de la population générale

Voir en ligne : Claude Garceau, MD | Université Laval, septembre 2007

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Gestes de première urgence

Les urgences évidentes sont des situations où le témoin peut voir du premier coup d’œil que la personne risque de mourir. L’action doit être immédiate : après la protection, avant d’examiner la personne et avant de passer l’appel.

Voir aussi : Service d’aide médicale urgente

Voir en ligne : Wikipédia

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Gestion du stress

Éprouver du stress est une chose tout à fait normale et souvent très utile. Le stress n’est pas une maladie. En fait, le stress constitue une réponse normale de l’organisme. Il y a de bonnes et de mauvaises façons de réagir au stress et surtout, il faut retenir qu’on peut apprendre à gérer son stress.

Voir en ligne : Guide Santé du gouvernement Québécois

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Gestion péri-interventionnelle des « nouveaux » anticoagulants oraux directs

Les anticoagulants oraux directs, anti-Xa et anti-IIa sont indiqués en cas de fibrillation atriale ou de maladie thromboembolique veineuse. Par an, un patient anticoagulé sur dix nécessite une intervention chirurgicale programmée ou urgente. Les délais d’arrêt courts avant un geste invasif ne permettent pas l’élimination complète du médicament en cas d’insuffisance rénale ou de polymédication. Avant une intervention à risque hémorragique modéré ou élevé, un arrêt de cinq jours est proposé, le plus souvent sans relais par une héparine. Pour les interventions à faible risque hémorragique, un arrêt de 24 heures avant l’intervention est suffisant.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Global Alert and Response (GAR)

An integrated global alert and response system for epidemics and other public health emergencies based on strong national public health systems and capacity and an effective international system for coordinated response.

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé


Grand froid : quelques précautions à prendre !

L’hiver est installé, les températures ont baissé… Ponctuellement, par vagues, dans certaines régions ou sur l’ensemble du territoire, le froid s’installe et atteint parfois des températures contre lesquelles les personnes vulnérables, telles que les personnes âgées ou les enfants, doivent se prémunir.

Voir en ligne : INPES Institut national de prévention et d’éducation pour la santé

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Grand froid et médicaments

Un épisode de grand froid peut entraîner des modifications physiologiques, des accidents aigus comme l’hypothermie et surtout une aggravation de pathologies pré-existantes. L’adaptation au froid met en jeu des mécanismes de défense dont l’efficacité peut-être diminuée ou retardée. Certains sujets fragilisés s’adapteront plus lentement et plus difficilement à des températures extérieures basses. C’est notamment le cas des personnes âgées, ce d’autant plus qu’elles sont atteintes de pathologies chroniques, les patients souffrant en particulier de maladies cardiovasculaires, respiratoires - y compris l’asthme - ou neuropsychiatriques, et traités en conséquence par des médicaments.

Voir en ligne : AFSSAPS Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé

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Grandes endémies

Une endémie est une maladie enracinée dans une région, un pays, un continent, voir la terre entière. Cet enracinement est dû à la présence d’un réservoir de germes qui fixe l’agent pathogène en une zone donnée, permet sa conservation et auprès duquel l’homme se contamine. Une épidémie est caractérisée par la survenue d’une maladie dont le nombre de cas est supérieur au nombre attendu pendant une période donnée et en un lieu donné. Une pandémie correspond à la même définition, sans la limite du lieu. Il faut dépasser un seuil déterminé avant de parler d’épidémie : il s’agit alors d’endémo-épidémie (exemples : grippe épidémique, choléra, méningite cérébro-spinale à méningocoques).

Voir en ligne : Professeur Pierre Aubry. Mise à jour le 05/10/2007

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Grandir : De l’information pour les filles au sujet de la puberté

La puberté est une période au cours de laquelle ton corps passe par de nombreux changements : tu passes de l’enfance à l’adolescence, puis à l’âge adulte. La puberté ne se déclenche pas au même moment pour tout le monde, mais en général, elle commence entre 8 et 13 ans chez les filles. La puberté ne se produit pas du jour au lendemain. C’est un processus qui se poursuit pendant plusieurs années. Pour comprendre ce qui se passe, il est bon de connaître un peu le fonctionnement de ton corps :

Voir en ligne : Société canadienne de pédiatrie

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Grippe - Recommandations pour les personnes malades

Je suis grippé(e) et le médecin qui m’a examiné(e), m’a conseillé de rester à domicile. Je dois bien suivre ses recommandations et ses prescriptions. JE RESTE CHEZ MOI ET JE M’ISOLE DES PERSONNES DE MON ENTOURAGE. Cette mesure d’isolement doit être mise en place dès le début des symptômes pour éviter la propagation de la grippe au sein de la population et dans mon entourage. Si j’ai la grippe, je suis contagieux(se) dès les premiers symptômes et pendant environ 7 jours. Je me repose. Je bois régulièrement (eau, jus, soupe…).

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Sports

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Grippe : l’épidémie arrive mais la vaccination tarde

Le seuil épidémique vient d’être franchi, selon le dernier bilan des réseaux de surveillance, mais les Français boudent le vaccin. Comment inciter les Français à risque à se faire vacciner contre la grippe alors que l’épidémie arrive en Europe et dans notre pays ? Un an après le fiasco de la campagne vaccinale contre le virus pandémique H1N1, la mission s’avère délicate pour les autorités sanitaires. Sur les 12,5 millions de personnes invitées à se faire vacciner gratuitement contre la grippe saisonnière depuis le 24 septembre (plus de 65 ans, malades chroniques, professionnels de santé), beaucoup traînent des pieds. À peine 5,5 millions sont allées faire l’injection, selon les dernières données de l’Assurance-maladie, soit 15 % de moins que les années précédentes. Les chiffres de vente des vaccins reflètent cette tendance à la baisse.

Voir en ligne : Par Sandrine Cabut Le Figaro

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Grippe A (H1N1) 2009 : le point en France métropolitaine au 21 décembre 2009

L’Institut de veille sanitaire (InVS) signale 4 nouveaux décès liés au virus de la grippe A (H1N1) 2009 en métropole depuis le dernier point du vendredi 18 décembre, soit 168 depuis le début de l’épidémie. . Par ailleurs, l’InVS recense 28 nouveaux cas graves de grippe A (H1N1) 2009 depuis ce même point. Au total, depuis le début de l’épidémie, 918 cas graves ont été hospitalisés en métropole. Parmi ces personnes, 221 sont toujours en réanimation ou unités de soins intensifs.

Voir en ligne : INVS Institut de Veille Sanitaire

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Grippe A (H1N1) : Communiqué de presse du ministère de la Santé sur l’évolution du schéma de la vaccination.

Les médecins libéraux et les hôpitaux prennent le relais. Les médecins libéraux peuvent disposer des vaccins contre la grippe A (H1N1) dans les pharmacies d’officine. La campagne de vaccination entre dans une troisième phase à compter du lundi 25 janvier et jusqu’au mois de septembre, avec une nouvelle configuration de l’offre de vaccination dans les établissements de santé et chez les médecins libéraux. Les centres de vaccination collective vont être progressivement fermés et cesseront leur activité le 30 janvier 2010.

Voir en ligne : info’ pandémie grippale

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Grippe A (H1N1) : Mise au point de l’AFSSAPS sur l’utilisation du Tamiflu® chez l’enfant

La mise en ligne d’une étude effectuée par des investigateurs anglais et publiée sur le site du British Medical Journal sur les antiviraux utilisés chez l’enfant dans le traitement et la prévention de la grippe saisonnière amène l’Afssaps à rappeler les conditions d’octroi des autorisations de mise sur le marché (AMM) et de leur utilisation dans le cadre de la pandémie grippale A (H1N1).

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Grippe A (H1N1) : Point presse sur la campagne de vaccination (11 décembre 2009)

Les chiffres relevés jeudi 10 décembre dans les centres de vaccination montrent que la mobilisation du dispositif se maintient à un niveau élevé, tant en ce qui concerne le nombre de centres ouverts que le nombre de personnes vaccinées. Après le pic du mercredi (dû au grand nombre d’enfants présents), les centres ont retrouvé jeudi la forte activité des jours précédents.

Voir en ligne : Info’ pandémie grippale

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Grippe A (H1N1) : Vaccination par les médecins libéraux

Depuis le 12 janvier 2010, les médecins libéraux qui le souhaitent peuvent proposer la vaccination contre la grippe A (H1N1) dans leur cabinet. Pour savoir si votre médecin propose la vaccination dans son cabinet, vous devez vous renseigner directement auprès de lui. Le cas échéant, cette vaccination pourra être réalisée, à votre demande, à l’occasion d’une consultation/visite habituelle ou d’une séance spécifique et collective de vaccination (horaires dédiés).

Les personnes qui souhaitent se faire vacciner dans les cabinets médicaux devront s’acquitter du prix d’une consultation habituelle si la vaccination est réalisée dans ce cadre ou devront s’acquitter de 6,60 euros si la vaccination est réalisée dans le cadre de séances de vaccination spécifiques et collectives. Cette somme, correspondant à un acte spécifique, sera prise en charge à 100% sans franchise ni ticket modérateur.

Voir en ligne : Info’ pandémie grippale

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Grippe A : l’OMS accusée d’avoir été trop alarmiste

L’épidémiologiste allemand Wolfgang Wodarg accuse les laboratoires d’avoir « incité à gaspiller des ressources destinées aux soins de santé pour des stratégies de vaccination inefficaces ». Une audition a lieu ce mardi au Conseil de l’Europe, à la demande d’un expert allemand qui met en cause l’OMS. La gestion de l’épidémie de grippe A (H1N1) en Europe n’a pas fini de faire des vagues. Si la France est en tête des pays ayant engagé le plus de moyens, tous ou presque sur le Vieux Continent ont commandé trop de vaccin et essayent aujourd’hui de les revendre.

Voir en ligne : Martine Perez - le Figaro

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Grippe A : vaut-il mieux l’attraper avant la rentrée

Finalement, ne vaudrait-il pas mieux attraper dès maintenant la grippe A (H1N1), pendant qu’elle n’est pas très virulente, plutôt que d’attendre la deuxième vague de l’automne prochain, qui risque d’être plus sévère ? Certains, en organisant des "swine flu parties" ("fêtes grippe porcine") aux Etats-Unis ou des "grippe parties" au Royaume-Uni, ont d’ores et déjà tranché : ces réunions visent à contracter délibérément le virus A (H1N1) afin de fabriquer des anticorps et être ainsi précocement immunisés. Une vaccination naturelle, en quelque sorte, mais que les spécialistes considèrent comme une fausse bonne idée.

Voir en ligne : Le Monde

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Grippe A(H1N1)v : déclaration des effets indésirables (de la vaccination) graves

Dans le cadre de la campagne nationale de vaccination contre la grippe A(H1N1)v et de l’utilisation par un grand nombre de personnes de traitements antiviraux en cas de pandémie grippale, l’Afssaps met en place et coordonne un programme de surveillance spécifique.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Grippe A(H1N1)v : déclaration des effets indésirables graves

Dans le cadre de la campagne nationale de vaccination contre la grippe A(H1N1)v et de l’utilisation par un grand nombre de personnes de traitements antiviraux en cas de pandémie grippale, l’Afssaps met en place et coordonne un programme de surveillance spécifique. Dans ce contexte, l’Afssaps souhaite faciliter la déclaration des évènements indésirables graves susceptibles d’être dus aux vaccins ou aux médicaments antiviraux.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Grippe A-H1N1 - Vacciner : un enjeu de santé publique pour le Conseil national de l’Ordre des médecins

Le Conseil national de l’Ordre des médecins demande aux médecins de se faire vacciner, d’inciter leurs patients à se faire vacciner, et les encourage vivement à être vaccinateurs. _ La participation des médecins aux actions de santé publique est un devoir déontologique

Voir en ligne : Conseil national de l’Ordre des médecins

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Grippe A/H1N1 : lancement d’un nouveau dispositif de communication

Depuis le 30 avril, le ministère de la Santé et des Sports et l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) ont mis en place un dispositif de communication dont l’objectif consiste à inciter la population à adopter des gestes barrières permettant de limiter la transmission des virus. Afin de favoriser l’appropriation et l’application de ces gestes simples mais à l’efficacité démontrée, une nouvelle campagne d’information débutera le 25 août. L’ensemble des supports de communication sont téléchargeables.

Voir en ligne : pandemie-grippale.gouv.fr

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Grippe A/H1N1 de 2009 : gravité clinique modérée

Début septembre 2009, les données publiées sur la gravité clinique de cette grippe justifient-elles des mesures de grande ampleur ? Quelles sont les personnes à risques de complications ?

Voir en ligne : Rev Prescrire 2009

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Grippe aviaire H7N9 en Chine | Conseils de santé aux voyageurs

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a confirmé des cas humains d’un virus de la grippe aviaire identifié comme A(H7N9) dans la République populaire de Chine. À ce jour, les cas ont été identifiés dans les municipalités de Beijing et de Shanghai et dans les provinces d’Anhui, de Henan, de Jiangsu, de Shandong et de Zhejiang. D’autres cas sont attendus. Pour obtenir les dernières mises à jour sur le virus grippal A(H7N9), y compris le nombre total de cas et de décès, consultez [le site web d’Alerte et action au niveau mondial de l’Organisation mondiale de la Santé->http://www.who.int/csr/don/en/index.html (en anglais seulement).
Mise à jour : 26 April 2013

Voir en ligne : Agence de la santé publique du Canada

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Grippe et état grippal, attention à la confusion !

Chaque année, la grippe fait son apparition à l’automne et touche plusieurs millions de personnes. Pourtant, il est encore fréquent de confondre grippe et état grippal. Leurs symptômes nous apparaissent souvent les mêmes, mais leur intensité est bien différente : L’ÉTAT GRIPPAL
C’est un gros rhume avec une légère fièvre, le nez qui coule et une faiblesse relative.
LA GRIPPE Elle se caractérise en revanche par des symptômes beaucoup plus marqués :

  • fièvre élevée dépassant 39°,
  • douleurs musculaires,
  • gêne respiratoire,
  • grande fatigue pouvant vous obliger à rester au lit plusieurs jours. La fatigue peut se prolonger pendant plusieurs semaines.

Voir en ligne : Ameli.fr

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Grippe pandémique

  • Informations pour les professionnels de santé
  • Recommandations aux voyageurs

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire

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Grippe pandémique

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a augmenté à la phase 5 (sur 6) le niveau d’alerte pandémique le 29 avril 2009. La phase 5 se caractérise par des flambées de cas, avec transmission interhumaine, dans au moins deux pays de la même région de l’OMS. A l’heure actuelle, plusieurs Etats au Mexique et aux USA sont touchés par l’infection avec la nouvelle grippe A(H1N1). Des cas de maladie ont été signalés dans d’autres pays.

Voir en ligne : Office fédéral de la santé publique (OFSP) - Suisse

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Grippe saisonnière - Lignes directrices pour la prévention et le contrôle des infections pour la gestion dans le contexte des soins à domicile

La grippe saisonnière est une infection respiratoire causée par le virus de la grippe. Elle est une importante cause de morbidité et de mortalité, en particulier chez les personnes très jeunes et très âgées, enceintes, immunovulnérables ou souffrant d’une maladie chronique sous-jacente. Il est estimé que chaque année de 5 à 10 % de la population canadienne est infectée par le virus de la grippe, le taux le plus élevé étant chez les enfants. Les maladies graves et les décès liés à la grippe sont plus fréquents chez les personnes âgées (> 65 ans) et chez les personnes souffrant d’une maladie sous-jacente

Voir en ligne : Agence de la santé publique du Canada

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GROG - Groupes Régionaux d’Observation de la Grippe

Créé en 1984, le GROG, réseau d’alerte précoce de la grippe, est devenu un symbole de la participation des médecins libéraux à la Santé Publique.

  • Réseau d’alerte épidémiologique
  • Détection précoce de la circulation des virus grippaux
  • Détermination du début de l’épidémie de grippe et de son évolution régionale et nationale
  • Surveillance des caractéristiques antigéniques des virus grippaux et de l’adéquation de la composition vaccinale

Voir en ligne : www.grog.org

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Grossesse : l’accouchement et les premiers jours de bébé

L’accouchement
Après des mois d’attente et de préparation, le jour J est arrivé. Vous allez bientôt faire connaissance avec votre bébé ! Le plus souvent, quelques semaines avant la naissance, le bébé se positionne naturellement pour sa venue au monde : tête en bas et bien fléchie. Cette présentation permet l’accouchement normal, par voie basse.

Voir en ligne : Ameli-santé

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Grossesse : un moment privilégié pour arrêter de fumer ?

En France, en 30 ans, le taux de fumeuses enceintes a presque triplé, passant de 10 % à 28 %. Et on observe une augmentation préoccupante de l’hypotrophie et de la prématurité depuis une vingtaine d’années : la prématurité grave a presque doublé, l’hypotrophie sévère (nouveau-nés de poids inférieur à 1 000 g) a triplé. Or ces deux pathologies sont liées en grande partie à l’augmentation très importante de la prévalence des fumeuses enceintes.

Voir en ligne : Michel Delcroix , Responsable "Maternité Sans Tabac" - APPRI à l’EPSM des Flandres Bailleul

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Grossesse. 12 trucs contre la nausée

Saviez-vous que de 50 à 80 % des femmes enceintes souffrent de nausées et de vomissements au cours de leur grossesse ? Extenso vous propose 12 trucs pour atténuer ces malaises :

Voir en ligne : Extenso Centre de référence sur la nutrition humaine

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Guide coqueluche

La coqueluche est une infection bactérienne peu ou pas fébrile de l’arbre respiratoire inférieur mais d’évolution longue et hautement contagieuse. Deux bactéries du genre des Bordetelles sont responsables des syndromes coquelucheux chez l’homme : Bordetella pertussis et Bordetella parapertussis.

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire

Sujets associés


Guide coqueluche | Recommandations lors de cas groupés de coqueluche

  • Manifestations cliniques, diagnostic et traitement
    • Manifestations cliniques
    • Diagnostic
    • Traitement
  • Epidémiologie de la maladie, modes de transmission, surveillance
    • Epidémiologie
    • Transmission
    • Surveillance de la coqueluche en France
  • Moyens de prévention
    • La vaccination
    • Immunoglobulines
    • Isolement
    • Antibioprophylaxie
  • Conduite à tenir devant des cas groupés de coqueluche
    • Notification au médecin inspecteur de Santé Publique
    • Le médecin de Santé Publique s’efforcera de confirmer et de classer les cas
    • Mesures concernant les cas
    • Mesures préventives vis-à-vis des personnes exposées aux cas
    • Cas groupés dans une unité géographique * Adresses utiles

Voir en ligne : S. BARON (Réseau National de Santé Publique) | E. GRIMPREL (Hôpital Trousseau - Paris) | V. TIRARD (Direction Générale de la santé)

Sujets associés


Guide d’intervention - Pédiculose du cuir chevelu

La pédiculose du cuir chevelu (infestation causée par les poux de tête) est l’exemple typique d’un problème de santé publique qui nécessite la collaboration de tous les secteurs en cause pour arriver à une solution. Le présent document s’adresse principalement aux professionnels de la santé des CSSS, des services Info-Santé et des directions régionales de santé publique. Cependant, d’autres intervenants intéressés par le problème (pharmaciens, médecins de famille, pédiatres, personnel éducateur) pourront aussi trouver le document utile pour comprendre la démarche proposée.

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec

Sujets associés


Guide de bonne exécution des analyses de biologie médicale

L’acte de biologie médicale s’inscrit dans une démarche préventive, diagnostique, pronostique et thérapeutique. Placé sous la responsabilité du biologiste, cet acte inclut le prélèvement, l’exécution de l’analyse, la confrontation clinico-biologique, la validation et l’interprétation des résultats. Les résultats de l’analyse de biologie médicale sont une donnée qui concoure au diagnostic et à la prescription des soins.

Voir en ligne : sante.gouv.fr

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Guide de pratique pour le diagnostic et la prise en charge des infections urinaires récurrentes chez la femme

Les infections des voies urinaires (IVU) récurrentes sans complication sont un problème souvent rencontré par les urologues et les médecins de famille. Des données tirées de sondages donnent à penser qu’une femme sur trois aura eu une IVU diagnostiquée et traitée à l’âge de 24 ans, et que plus de 50 % auront eu une telle infection dans leur vie [1]. Dans une étude de 6 mois menée auprès de femmes d’âge universitaire, 27 % des IVU avaient été suivies d’une récurrence et 3 %, de deux récurrences [2].

Voir en ligne : Département de médecine familiale, Université McMaster

Sujets associés


Guide des antidotes d’urgence

Ce guide, élaboré et rédigé par la commission “Anesthésiologie - Soins intensifs” en 2001 a été réactualisé et validé par le Comité Stratégique de l’OMéDIT le 27 janvier 2009. Il répond à l’un des objectifs de l’OMéDIT : “Promouvoir la sécurité et la qualité des prescriptions”. Il a pour but de définir : Quel antidote, pour quelle intoxication ? Qui peut approvisionner ? Comment et dans quel délai peut-on s’en procurer ?

Voir en ligne : OMéDIT Centre – Commission Anesthésiologie : guide des antidotes d’urgences

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Guide des conduites à tenir devant une ou plusieurs infections respiratoires aigües basses dans les collectivités de personnes âgées.

Les personnes âgées, particulièrement celles vivant en collectivité, présentent une vulnérabilité aux infections respiratoires aiguës basses qui s’explique notamment par une fragilité et des facteurs de sensibilité dus à l’âge. Les infections respiratoires basses constituent la première cause de mortalité d’origine infectieuse en établissements d’hébergement des personnes âgées dépendantes (EHPAD). Les infections en collectivité de personnes âgées, notamment en EHPAD, se situent à mi-chemin entre l’infection communautaire et l’infection nosocomiale.

Voir en ligne : DGS / Mission de l’information et de la communication / Département des urgences sanitaires

Sujets associés


Guide des conduites à tenir en cas de maladie transmissible dans une collectivité d’enfants - Oreillons

La vaccination contre les oreillons est recommandée chez tous les nourrissons dès l’âge de 12 mois Autour d’un cas 1. Informer le personnel de la collectivité et les parents de l’existence de cas dans la collectivité 2. Recommander aux sujets contacts, non vaccinés et n’ayant pas fait la maladie, de consulter leur médecin pour une éventuelle vaccination

Voir en ligne : sante.gouv.fr

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  • (Maladies, symptômes et pathologies)

Guide des lieux d’information sur la contraception et des établissements de santé pratiquant des IVG

L’ARS Ile-de-France, le Conseil régional d’Ile-de-France et la Délégation régionale au droit des femmes et à l’égalité d’Ile-de-France ont co-financé l’édition de ce guide réalisé par l’Observatoire régional de santé d’Ile-de-France. Ce guide constitue un outil d’aide pour les professionnels qui ont à orienter des femmes, des hommes ou des couples. Il apporte tous les renseignements aussi bien sur la contraception que sur l’interruption volontaire de grossesse et les adresses utiles pour trouver une écoute, des conseils ou encore pour bénéficier d’un suivi.

Voir en ligne : Agence régionale de santé d’Ile-de-France

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Guide des recommandations de prise en charge des infections aigues en EHPAD

Ces documents visent à améliorer la prise en charge urgente des infections, et à diminuer les utilisations inutiles ou inappropriées des antibiotiques en donnant des éléments simples d’orientation diagnostique et de décision thérapeutique. Ils comportent :

  • un guide de prescription (12 pages) à destination des médecins généralistes prescripteurs
  • n guide de bonnes pratiques des prélèvements microbiologiques, sous forme d’affiche, essentiellement destiné aux IDE.
  • Une plaquette d’information à destination des résidents et de leur famille facilite la compréhension des enjeux

Voir en ligne : FFI - Fédération Française d’Infectiologie

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Guide du bon usage de l’utilisation des héparines et des AVK

La prévention de la MTEV en médecine dépend de l’affection médicale aigüe responsable de l’hospitalisation, des facteurs de risque liés au patient et de l’alitement pendant l’hospitalisation. Le tableau ci-dessous est proposé par le service de médecine interne de l’Hôtel Dieu pour l’aide à la prescription d’une thrombo-prophylaxie en médecine en fonction de l’évaluation du risque thrombo-embolique (RTE).

Voir en ligne : Groupe thrombose Hôtel Dieu Paris

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Guide du bon usage des examens d’imagerie médicale

Bien que certaines techniques d’imagerie recourent à des rayonnements ionisants, le bénéfice qu’elles apportent aux malades est sans commune mesure avec les risques potentiellement induits. La réduction de ces risques à leur minimum (radio protection des patients) est depuis de nombreuses années une préoccupation des radiologistes et des médecins nucléaires. La directive 97/43 a fait de cette règle éthique une obligation légale. La nécessité de transposer cette directive en droit français a été l’occasion d’une concertation prolongée entre les professionnels impliqués : radiologistes, médecins nucléaires, physiciens médicaux, manipulateurs, et les responsables du ministère chargé de la santé à travers la DGNSR (Direction Générale de la Sûreté Nucléaire et de la Radioprotection).

Voir en ligne : Société française de radiologie et Société française de biophysique et de médecine nucléaire, avec la participation méthodologique de l’Anaes

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Guide d’alimentation pour la personne diabétique

L’alimentation est un élément essentiel dans le traitement du diabète. Le système d’échanges, qui constitue la base de l’alimentation du diabétique, est expliqué en détail dans le Guide d’alimentation pour la personne diabétique. Ce document est un outil qui doit être personnalisé. Il est important de consulter un(e) diététiste qui pourra l’adapter à vos habitudes de vie, à vos goûts et à votre médication.

Voir en ligne : Ce guide est une collaboration du ministère de la Santé et des Services sociaux et de Diabète Québec.

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Guide d’alimentation pour la personne diabétique

Le système d’échanges constitue la base de votre plan d’alimentation. On y retrouve sept groupes d’aliments : les féculents, les fruits, les légumes, le lait et substituts, les autres aliments, les viandes et substituts et les matières grasses.

Voir en ligne : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux (Canada)

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Guide médecin sur la maladie d’Alzheimer et autres démences (269.7 Ko)

L’objectif de ce guide est d’expliciter pour les professionnels de santé la prise en charge optimale et le parcours de soins d’un malade admis en ALD au titre de l’ALD 15 maladie d’Alzheimer et autres démences. C’est un outil pragmatique auquel le médecin traitant peut se référer notamment au moment d’établir le protocole de soins conjointement avec le médecin-conseil et le patient.
Ce guide concerne le diagnostic et la prise en charge de la maladie d’Alzheimer et des principales maladies apparentées : démence vasculaire, démence à corps de Lewy, démence associée à une maladie de Parkinson et dégénérescence lobaire fronto-temporale).

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Guide médecin sur les troubles bipolaires

Le trouble bipolaire est une pathologie fréquente avec une prévalence estimée dans la population générale de 1 %. Il s’agit d’un trouble récurrent de l’humeur alternant des phases d’expansionsde l’humeur avec une augmentation de l’énergie et des activités (manie ou hypomanie), et des baisses de l’humeur (dépression), avec des intervalles libres plus ou moins longs. Dénommé par le passé psychose maniaco-dépressive, le trouble bipolaire recouvre une définition plus large de troubles de l’humeur qui sont parfois accompagnés ou non par des symptômes psychotiques.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Guide pour la réalisation d’un chemin clinique pour la chirurgie ambulatoire des hernies de l’aine

Les recommandations européennes (1) et françaises (2) indiquent que la cure des hernies de l’aine doit être prise en charge en ambulatoire dans la plupart des cas. Le chemin clinique précise, pour une pathologie donnée, toutes les étapes de la prise en charge ; il permet de : déterminer les objectifs des différentes étapes pour le praticien, le patient et l’Etablissement coordonner les activités des différents acteurs identifier les maillons faibles

Voir en ligne : Fédération Française de Chirurgie Viscérale et Digestive

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Guide pratique sur les droits en santé mentale

Le Guide pratique sur les droits en santé mentale a été conçu à l’intention des membres de la famille et de l’entourage des personnes ayant des problèmes de santé mentale, et vise principalement à les informer sur des questions d’ordre juridique et à répondre à leurs préoccupations à cet égard. Le guide a été mis à jour en 2009 en fonction des modifications apportées à la Loi sur les services de santé et les services sociaux et s’inscrit en continuité des orientations du Plan d’action en santé mentale 2005-2010 – La force des liens en ce qui a trait à la promotion, au respect et à la protection des droits des utilisateurs de services de santé mentale.

Voir en ligne : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec

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Guide relatif aux modalités d’accès au dossier médical du patien

Ce guide est destiné aux professionnels de santé afin de les aider à prendre connaissance des droits inhérents à l’accès du dossier médical. La loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé n’envisage pas l’expression « dossier médical ou dossier du patient » elle ne vise que l’ensemble des informations concernant la santé des personnes. Il est le support qui rassemble toutes les informations relatives au patient produites et formalisées par les personnels qui participent à sa prise en charge. Et ces données peuvent être de nature administratives, sanitaires, sociales.

Voir en ligne : Centre national de l’expertise hospitalière

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Guide relatif aux modalités de mise en oeuvre du plan anti-dissémination du chikungunya et de la dengue en métropole

La présente circulaire actualise les mesures à mettre en oeuvre dans le but de limiter le risque de circulation des virus du chikungunya et de la dengue en métropole"

Voir en ligne : Site du Premier Ministre

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Guides Cancer info pour les patients

Les guides de référence Cancer info expliquent l’état des connaissances actuelles sur les cancers, leurs traitements et leurs conséquences. Ils sont élaborés dans le cadre d’une méthodologie pluridisciplinaire associant professionnels de santé et usagers. Les informations médicales qu’ils contiennent sont issues des recommandations de prise en charge destinées aux professionnels de santé. Ces guides sont régulièrement mis à jour en fonction des avancées médicales et réglementaires. L

Voir en ligne : INCA Institut National du Cancer

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Gynécomastie

La glande mammaire chez l’homme adulte est à un stade de développement équivalent à celui du sein féminin pré-pubertaire, c’est à dire avant la différenciation caractéristique du système canalaire en unités terminales ducto-lobulaires (UTDL).

Voir en ligne : Docteur F. BURTIN - Service d’Anatomie et Cytologie Pathologiques A - CHU Pontchaillou Rennes

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H1N1 : l’Agence européenne des médicaments recommande un troisième vaccin

L’Agence européenne des médicaments, l’EMEA, a recommandé vendredi à la Commission européenne d’autoriser la vente d’un troisième vaccin contre la grippe A(H1N1), le Celvapan du laboratoire américain Baxter, après ceux de Novartis et de GSK. "La Commission européenne devrait accorder l’autorisation rapidement", a précisé l’EMEA dans un communiqué. Le Celvapan, rappelle l’Agence, est sans adjuvant (substance destinée à amplifier l’effet d’un vaccin), contrairement aux deux autres vaccins autorisés par l’UE.

Voir en ligne : Google - AFP

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H1N1 : le vaccin arrivera progressivement

Le vaccin contre la nouvelle grippe A/H1N1 "n’arrivera que progressivement et donc il y aura des gens à vacciner avant d’autres", a prévenu aujourd’hui le directeur général de la santé Didier Houssin. "Il y aura sûrement des choix à faire parce que le vaccin n’arrivera que progressivement. Donc il y aura des gens à vacciner avant d’autres. Ce sera une décision politique importante qui ne sera probablement pas prise avant septembre quand on en saura plus sur l’épidémie et les vaccins, leur efficacité, leur inconvénients", a-t-il expliqué sur Europe 1.

Voir en ligne : Le Figaro - AFP

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Hallux valgus : quel traitement ?

L’hallux valgus est défini comme une déviation latérale du gros orteil par rapport au premier métatarsien. Il s’agit de la pathologie statique la plus fréquente de l’avant-pied et englobe une variété de symptômes et de déformations spécifiques qui doivent être bien évalués afin d’orienter le patient vers un traitement optimal et personnalisé. Nombreux sont les patients qui trouvent un soulagement – définitif ou temporaire – dans les mesures conservatrices. La chirurgie correctrice peut apporter un soulagement définitif si elle s’inscrit dans une méthodologie rigoureuse. Les complications postopératoires ne sont pas exceptionnelles, et doivent inviter le praticien à comprendre la pathologie de l’hallux valgus et les attentes de son patient pour l’orienter vers la solution la mieux adaptée. Le choix thérapeutique sera particulièrement prudent chez le patient sportif. Enfin, la motivation esthétique ne devrait jamais faire l’objet d’une décision chirurgicale.

Voir en ligne : Article de M. Assal | Revue Médicale Suisse

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Hallux valgus : quel traitement ?

L’hallux valgus est une déformation de l’avant pied centrée sur le 1er rayon (1er métatarsien et gros orteil). Cette déformation est caractérisée par : un gros orteil (hallux) dévié en dehors (valgus supérieur à 12°) un premier métatarsien déplacé en dedans (varus) (angle M1/M2 > 10°)
On note, par ailleurs, l’existence d’une tuméfaction dure ou exostose formée par le sommet de l’angle entre le 1er métatarsien dévié en dedans et le gros orteil déporté en dehors. Cette exostose correspond à la tête du 1er métatarsien. Le tendon fléchisseur de l’hallux prend la corde de l’arc et pérennise la déformation.

Voir en ligne : Docteur Stéphane PLAWESKI, Professeur Philippe MERLOZ | Faculté de médecine de Grenoble

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Hallux Valgus : tout savoir sur ces causes et son traitement

circonstances d’apparition, symptômes, évolution, facteurs aggravants, opération, suites opératoires ;

Voir en ligne : Dr Piat C - SOFCOT Société Française de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique ]

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Hantavirus : aucun cas en France

Le Samu de Paris a indiqué qu’il n’y avait eu à ce jour aucun cas de contamination de touristes français par l’hantavirus, qui a infesté des visiteurs du parc Yosemite, en Californie, et qu’une procédure avait été mise en place pour y faire éventuellement face.
Mise en place d’un numéro vert 0 800 636 636 - Information des touristes français

PDF - 80.9 ko

Voir en ligne : Le Figaro | AFP

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HDL : mécanismes des effets athéroprotecteurs et cibles pharmacologiques d’avenir

Le rôle protecteur des HDL vis-à-vis du risque cardiovasculaire a été documenté par un grand nombre d’études épidémiologiques et d’essais thérapeutiques. En France, le déficit isolé en HDL-C (<0,4 g/l) représente la deuxième dyslipidémie, avec une fréquence de 12% en population générale, alors que c’est l’anomalie la plus fréquente chez les patients coronariens. En outre, un niveau bas de HDL-C est retrouvé dans les situations d’hypertriglycéridémie, les deux éléments entrant dans la définition du syndrome dysmétabolique associé à un contexte d’insulinorésistance, qui concerne plus de 15% de la population française adulte.

Voir en ligne : Bertrand Perret, AC Fabre, A Genoux, C Malaval, C. Radojkovic, F Tercé, X Collet et LO Martinez

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heartfailurematters.org

Le site Web heartfailurematters.org a été développé sous la direction de l’Association pour l ?insuffisance cardiaque de la Société européenne de Cardiologie (HFA de l’ESC). Le but du site Web est de fournir des informations claires, pratiques et fiables aux personnes atteintes d ?insuffisance cardiaque, leurs familles et le personnel soignant. Plusieurs dizaines de millions de personnes souffrent d’insuffisance cardiaque dans le monde. Une meilleure compréhension de cette maladie et des changements simples permettraient à de nombreuses personnes de vivre une vie pleine et active. Aujourd’hui, prenez votre santé en main !

Voir en ligne : ’Association pour l ?insuffisance cardiaque de la Société européenne de Cardiologie (HFA de l’ESC)

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Hematurie microscopique

L’hématurie isolée est définie par l’excrétion d’une quantité anormale d’érythrocytes dans l’urine, caractérisée par l’absence de signes cliniques ou de résultats de laboratoire permettant au praticien de s’orienter vers une cause spécifique, (tableau 1).

Voir en ligne : par E. Vonlanthen-Roth, A. Pechère-Bertschi et H. Stalder - HUG

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Hématuries de l’enfant

Symptôme très fréquent chez l’enfant pouvant être présent dans de nombreuses maladies et même en être le mode de révélation. Le diagnostic étiologique oblige donc à passer en revue une grande partie de la pathologie uronéphrologique. Cependant l’anamnèse, le tableau clinique et quelques examens simples permettent le plus souvent d’orienter l’enquête étiologique.

Voir en ligne : S. Taque, E. Le Gall - Institut Mère-Enfant, annexe pédiatrique, Hôpital sud, Rennes

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Hémochromatose héréditaire

L’hémochromatose est une maladie génétique due à une absorption intestinale excessive de fer avec pour conséquence le dépôt de cet élément au niveau de différents organes tels que le foie, le cœur et la peau. On l’appelle également hémochromatose génétique ou hémochromatose héréditaire.

Voir en ligne : Orphanet - Le portail des maladies rares et des médicaments orphelins

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Hémophilie

L’hémophilie est une maladie héréditaire rare qui empêche le sang de coaguler normalement. Dans l’organisme, le mécanisme de coagulation sanguine participe à la guérison des plaies et au rétablissement des tissus. Quand une personne en santé se coupe, un type de cellules présentes dans le sang portant le nom de plaquettes s’agglomèrent entre elles sur la plaie pour tenter de la boucher. Les plaquettes, en émettant des signaux chimiques, attirent d’autres plaquettes et des protéines sanguines particulières nommées « facteurs de coagulation ». Celles-ci se fixent ensuite les unes aux autres pour former des chaînes appelées « fibrines ». Les fibrines forment un maillage qui emprisonne les plaquettes pour les empêcher d’être remises en circulation dans le sang et enserrent le caillot pour faciliter l’obturation de la plaie.

Voir en ligne : aboutkidshealth.ca

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Hémorroïdes

définition, symptômes, présence de sang dans les selles (étiologie), thrombose hémorroïdaire externe et interne (mécanisme, douleur, aspect, traitement), principales causes des douleurs anales [France ]

Voir en ligne : SNFGE Société Nationale Française de Gastro-entérologie

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Héparines et prévention des événements thromboemboliques veineux en milieu médical : synthèse

En milieu chirurgical, l’efficacité prophylactique des héparines n’est plus à démontrer. En milieu médical, les données de prévention sont nettement moins abondantes. À l’aide de métaanalyses des études réalisées en milieu médical, on peut néanmoins estimer que les héparines (non fractionnée et de bas poids moléculaire) prescrites à doses prophylactiques entraînent, par rapport à l’absence de traitement, une réduction significative d’environ 60 % du risque de thrombose veineuse profonde systématiquement recherchée en fin de traitement.

Voir en ligne : P.Mismetti ,S.Laporte,-Simitsidis, groupe de recherche sur la thrombose, CHU de Saint-Étienne A.Kher,Euthemis, 94160 Saint-Mandé.

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Hépatite A

L’hépatite A est une maladie hépatique virale dont l’évolution peut être bénigne ou grave. Elle est transmise par voie féco-orale à l’occasion de l’ingestion d’un aliment ou d’une boisson contaminés par les fèces d’une personne affectée. C’est une maladie étroitement associée à un mauvais assainissement et à une hygiène personnelle déficiente, tel le fait de ne pas se laver les mains.

Voir en ligne : OMS - Organisation mondiale de la Santé

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Hépatite B

L’hépatite B est une infection du foie causée par un virus ; elle fait partie des infections transmises par le sexe et par le sang (ITSS). La plupart des personnes atteintes par le virus de l’hépatite B (VHB) n’ont pas de symptômes et transmettent le virus sans le savoir. Le VHB est présent dans le sang, les sécrétions génitales et la salive des personnes infectées : Utilisez toujours une protection appropriée lors de vos relations sexuelles génitales, anales ou orales : condom, condom féminin ou digue dentaire. Ne partagez jamais de matériel d’injection de drogues.

Voir en ligne : Guide Santé du gouvernement Québécois

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Hépatite B - Les 5 bonnes raisons de se faire vacciner

Le virus de l’hépatite B se transmet par le sang, les relations sexuelles non protégées, ou de la mère à l’enfant au moment de l’accouchement. Ce virus peut provoquer une maladie grave du foie. La vaccination est le moyen le plus sûr de se protéger efficace- ment ; elle est recommandée pour tous les enfants ainsi que pour les adultes non vaccinés exposés au risque d’infection par ce virus. Cette maladie est très répandue dans le monde, parti- culièrement en Afrique et en Asie. On estime qu’il y a en France 280000 personnes porteuses du virus de l’hépatite B. Chaque année, 1300 à 1400 en décèdent par cirrhose ou cancer du foie.

Voir en ligne : INPES Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé

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HÉPATITE B : informez-vous. VOUS POUVEZ L’AVOIR SANS LE SAVOIR

Qu’est-ce que l’hépatite B ?
L’hépatite B est une maladie du foie causée par le virus de l’hépatite B (VHB). Elle peut être prévenue par un vaccin. Le VHB est environ 100 fois plus contagieux que le VIH. Dans les 6 mois suivant l’infection, environ 90 % des adultes élimineront le virus d’eux-mêmes (hépatite B aiguë) et fabriqueront des anticorps qui les protégeront à vie. Par contre, les 10 % restants sont incapables d’éliminer le virus et deviendront des porteurs chroniques (c.-à-d. ces personnes ont une infection chronique et restent contagieuses). L’hépatite B chronique peut toutefois être traitée.

Voir en ligne : ASPC - Agence de santé publique du Canada

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Hépatite B : ses causes, ses conséquences, sa prévention

"L’hépatite B est une maladie qui passe souvent inaperçue ’ jusqu’au moment de ses complications. Ainsi, peut-être ne savez-vous pas qu’avant la vaccination, l’hépatite B était responsable en Suisse de 2000 à 3000 infections chaque année et qu’aujourd’hui encore 20.000 personnes vivant en Suisse sont porteuses du virus de l’hépatite B, et donc contagieuses, parfois sans même le savoir..." [Suisse ]

Voir en ligne : SEVHep Groupe des Experts Suisses en Hépatites Virales

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Hépatite C

L’hépatite C est une infection du foie causée par un virus, le VHC, dont il existe 3 variétés connues (les génotypes 1, 2 et 3). Le virus existe depuis longtemps, mais a seulement été identifié en 1989. Environ 70 % des personnes porteuses du virus de l’hépatite C n’ont pas de symptômes et le transmettent sans le savoir. Parmi les personnes infectées par le VHC, 20 % guérissent spontanément en 6 mois environ, mais 80 % restent porteuses à vie.

Voir en ligne : Guide Santé du gouvernement Québécois

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Hépatite C : mise à jour 2010

Quelle est l’importance du problème en Suisse ? Quels sont les sujets qui se contaminent ? Comment la maladie se manifeste-t-elle ? Que peut faire le patient pour retarder le développement de la cirrhose ? Chez qui faut-il faire un bilan ? Qui faut-il traiter ? Avec quoi traiter et pendant combien de temps ? Comment gérer les effets indésirables du traitement ? Comment le succès thérapeutique peut-il être amélioré dans l’avenir ? Que faire lorsque le premier traitement de l’infection à VHC a échoué ?

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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HÉPATITE C : Prise en charge des symptômes courants et effets secondaires du traitement

Les symptômes de l’hépatite C et les effets secondaires des médicaments utilisés pour la traiter peuvent provoquer des malaises chez les personnes touchées. Certains des symptômes et effets secondaires du traitement sont parfois même invalidants en ce sens que leur manifestation physique ou psychologique exerce un impact négatif sur la vie quotidienne.

Voir en ligne : SCH - Société Canadienne d’Hémophilie

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Hépatites et pas toi

Les dernières décennies ont vu l’apparition de nouvelles maladies qui se sont développées de façon endémique, causant des millions de décès sur tous les continents et l’invalidité des malades atteints.

Voir en ligne : Association Française de Lutte contre les Hépatites Virales

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Hernie discale lombaire : une nouvelle intervention sous scanner

Les douleurs lombaires sont un problème de santé publique majeur. On déclare en France près de 56 300 séjours hospitaliers par an pour hernie discale entraînant la plupart du temps, des arrêts de travail. Face à ce fléau, les traitements s’affinent et deviennent moins agressifs et moins coûteux. Une douleur qui irradie le membre inférieur au point de ne plus pouvoir marcher ! il y a de fortes probabilités pour que ce soit une hernie discale. Le diagnostic est d’abord suspecté cliniquement puis confirmé par une IRM ou un scanner réalisé après 1 mois de traitement médical dont le résultat n’est pas satisfaisant.

Voir en ligne : Réseau CHU

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Hernie inguinale, hydrocèle et kyste du cordon chez l’enfant

Hernie inguinale, hydrocèle et kyste du cordon sont des malformations fréquentes de l’enfant, liées à une anomalie de la fermeture du canal péritonéovaginal. Le testicule se forme en région lombaire. Il traverse le canal inguinal au septième mois de grossesse pour atteindre la bourse. Il suit dans cette migration le canal péritonéovaginal (CPV), ce dernier s’oblitère ensuite pour former le ligament de Cloquet. Chez la fille, il existe un canal analogue, le canal de Nuck, qui s’oblitère également.

Voir en ligne : Benjamin Frémond et Olivier Azzis Clinique Chirurgicale Infantile - CHU de Rennes

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Hernie inguinale : de quoi s’agit-il ?

Cette affection fréquente correspond à une anomalie de la paroi musculaire abdominale, dont le mécanisme est le suivant : Chez le fœtus de sexe masculin, le testicule est un organe qui se forme à l’intérieur de la cavité abdominale. Au cours de la vie fœtale, le testicule va subir une migration : il quitte l’abdomen, pour descendre dans la bourse. Pour cela, il traverse la paroi abdominale au niveau de la région inguinale, passe par dessus le pubis, et descend dans le scrotum (Vous avez sans doute d’ailleurs entendu parler d’enfants dont les testicules " ne sont pas descendus "). L’orifice par lequel est passé le testicule s’appelle l’orifice inguinal. Il est situé au dessus du pubis, au niveau de l’aine. Il ne se ferme jamais complètement, car bien évidemment c’est par cet orifice que passent l’artère et les veines du testicule, ainsi que le canal déférent, qui emmène les spermatozoïdes depuis le testicule jusqu’à la prostate.

Voir en ligne : SFTG Paris-Nord Société de Formation Thérapeutique du Généraliste

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Herpès oculaire

L’herpès oculaire est une affection assez fréquente qui peut être très grave. Elle concerne environ 60 000 personnes par an en France. Sans traitement adapté l’oeil peut être perdu. Les médicaments actuels permettent de bonnes rémissions et une cicatrisation assez rapide, mais ils n’évitent pas d’éventuelles récidives.

Voir en ligne : SNOF Syndicat National des Ophtalmologistes de France

Sujets associés


Herpès simplex un traitement si complexe ?

Trois médicaments antiviraux permettent actuellementde traiter les poussées d’herpès génital : l’acyclovir, le famciclovir et le valacyclovir. D’ici de cinq à dix ans, un vaccin pourrait aussi être commercialisé. Le présent article porte sur le traitement de la première poussée et des poussées récurrentes ainsi que le traitement suppresseur par les antiviraux chez les patients adultes immunocompétents, conformément aux Lignes directrices canadiennes sur les infections transmissibles sexuellement

Voir en ligne : FMOQ Fédération des Médecins Omnipraticiens du Québec Canada

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Herpès, démêler le vrai du faux

Extrêmement commun, l’herpès est une maladie ennuyeuse sur laquelle abondent les idées reçues. Eclaircissements avec Bernard Noël, dermatologue au Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV).

Voir en ligne : Planète Santé

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Hôpitaux franciliens : réflexion autour d’une réduction des services de nuit

Une note de l’Agence régionale de Santé (ARS) d’Ile-de-France prône la réduction du nombre de blocs opératoires de nuit à un seul par département, mais son directeur général Claude Evin a indiqué à l’AFP que "rien n’(était) arrêté" et que la "concertation" se poursuivait. "Un seul bloc opératoire devrait être ouvert pendant 24 heures dans chaque département" d’Ile-de-France contre six à onze actuellement, car ils "tournent au ralenti", selon ce document dévoilé dimanche par Le Parisien.

Voir en ligne : AFP

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Huit questions que les consommateurs doivent se poser à propos de la maladie de la vache folle

L’Organisation mondiale de la Santé publie aujourd’hui un nouveau document pour aider les gouvernements, les associations de consommateurs et d’autres organismes concernés à protéger le public des risques liés à la consommation de viande de bœuf contaminée par l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB ou « maladie de la vache folle »). Ce document leur donne des informations générales sur la maladie et les moyens d’éviter sa propagation

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé - 30 janvier 2003

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Hydrocéphalie de l’enfant

Le mot hydrocéphalie vient du grec hudôr = eau et képhalê = tête. L’hydrocéphalie est un symptôme mécanique d’autres pathologies. L’avenir de l’enfant dépend principalement de la nature et de la gravité de cette pathologie

Voir en ligne : Intégrascol

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Hydrocéphalies du nourrisson

L’hydrocéphalie est, en principe, une ventriculomégalie à pression intra-crânienne (PIC) élevée par obstacle à la circulation normale du LCR, à début anté ou post-natal, de type communicante ou non communicante, susceptible de comprimer le cerveau. Chez le nouveau-né, les possibilités de distension crânienne expliquent qu’il y ait d’autentiques hydrocéphalies à PIC normale ou presque normale.

Voir en ligne : P. Rambaud - Faculté de Médecine de Grenoble

Sujets associés


Hygiène des mains

Le lavage des mains représente le meilleur moyen d’éviter la propagation des germes.
Pourquoi le lavage des mains est-il important ?
Quand les parents devraient-ils se laver les mains ?
Quand les enfants devraient-ils se laver les mains ?
Quelles sont les étapes d’un bon lavage des mains ?
Comment les parents doivent-ils laver les mains de leur bébé ?

Voir en ligne : "Hygiène des mains : nouvelles recommandations". Swiss -NOSO

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Hygiène hospitalière et infections nosocomiales

NosoBase® est géré par les cinq Centres de Coordination de la Lutte contre les Infections nosocomiales (C.CLIN). Il permet de rechercher des informations d’actualité dans le domaine de l’hygiène hospitalière et la maîtrise des infections nosocomiales. Ces dernières sont extraites des différents supports de diffusion : papier, audiovisuel, magnétique.

Voir en ligne : Centre de Coordination de la Lutte contre les Infections Nosocomiales de l’inter-région Nord (CCLIN Paris-Nord)

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Hygiène posturale et économie rachidienne dans la lombalgie commune – une pratique à repenser

Ces dernières années, les connaissances scientifiques concernant la lombalgie ont considérablement progressé, bousculant parfois en profondeur des concepts que l’on pensait inébranlables. Si l’on considère l’hygiène posturale, dont les techniques ont été conceptualisées dans les années 1970, mais qui est toujours largement utilisée, non seulement certains axiomes ne se sont pas vérifiés mais d’autres éléments donnent à penser qu’elle pourrait parfois avoir des effets délétères. Après avoir passé en revue ces différents éléments, il apparaît qu’il n’existe pas de recette simple applicable à tout patient lombalgique. A la place, nous proposons des pistes de réflexion afin que chaque thérapeute puisse adapter sa pratique au cas par cas.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

Sujets associés


Hygroma du coude

Il s’agit de l’apparition en arrière du coude, d’une tuméfaction ronde qui correspond au gonflement d’une bourse habituellement vide. Cette bourse séreuse est une cavité close qui facilite le glissement de la peau sur l’os lors de la flexion du coude. Cette poche peut s’enflammer, les parois fabriquent alors du liquide synovial et la tuméfaction apparaît : on parle d’hygroma ou de bursite.

Voir en ligne : www.institut-main.fr/

Sujets associés


Hypercalcémies

Les deux causes principales d’hypercalcémie sont l’hyperparathyroidie primaire et l’hypercalcémie paranéoplasique. L’hyperparathyroidie primaire est souvent asymptomatique, mais peut se compliquer de lithiase urinaire, ostéoporose, rarement hypercalcémie aiguë.

Voir en ligne : Professeur Olivier CHABRE - Corpus Médical de la Faculté de Médecine de Grenoble

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Hypercholestérolémie

Un taux de cholestérol élevé, ou hypercholestérolémie, augmente le risque de maladie cardio-vasculaire. Aucun signe extérieur ne signale la présence d’un taux excessif de cholestérol dans le sang. Seul un examen sanguin peut le révéler. L’hypercholestérolémie se contrôle avant tout en soignant son alimentation.

Voir en ligne : Guide Santé du gouvernement Québécois

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Hyperferritinémie – Algorithme

Le dosage de la ferritine sérique est un examen très demandé dans la pratique quotidienne. L’insuffisante spécificité de l’hyperferritinémie rend son interprétation difficile. Nous proposons ici un algorithme pour le diagnostic différentiel de l’hyperferritinémie. Pendant plusieurs décennies la carence en fer et l’anémie ferriprive ont été au centre de l’attention du médecin praticien. Le dosage de la ferritine sérique s’adressait surtout aux femmes en période de préménopause.

Voir en ligne : Valerio Saglini, Pierre Brissot | Revue Médicale Suisse

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Hyperhidrose (sudation excessive)

L’hyperhidrose est le terme médical qui désigne la sudation excessive (transpiration trop abondante). Habituellement, nous transpirons pour maintenir notre température corporelle constante. La transpiration qui s’évapore de la peau crée un effet de rafraichissement pour le corps. Lorsque le corps produit beaucoup plus de transpiration que nécessaire, cela s’appelle hyperhidrose.

Voir en ligne : .aboutkidshealth.ca

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Hyperparathyroïdie primitive

L’hyperparathyroïdie primitive, dans sa symptômatologie classique (lithiase rénale, ostéite fibrokystique), est une pathologie rare. Mais lorsqu’on la dépiste sur des critères biologiques (hypercalcémie), elle est en fréquence la troisième endocrinopathie après le diabète et l’hyperthyroïdie, avec une prévalence de 100 cas pour 100.000 habitants. Or les formes dites "asymptômatiques" le sont en fait rarement, et le dépistage de cette affection "vaut le coup" en médecine générale.

Voir en ligne : M. Paillard, La Revue du Praticien, 1998,48,11,1191-96 (1/6/98) - SFTG

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Hypersudation : définition, symptômes, causes et évolution

L’hypersudation correspond à une transpiration excessive, parfois incommodante au quotidien. Cette affection sans gravité touche surtout les aisselles, les pieds et les mains, et se déclare généralement pendant l’enfance. Elle peut entraîner des pathologies (mycoses, verrues) ou avoir des effets négatifs sur la vie sociale.

Voir en ligne : Ameli-santé

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Hypertendus : suivez le guide

« L’hypertension artérielle est une maladie silencieuse responsable de 7 millions de morts dans le monde par an, et de près de la moitié des accidents cardio-vasculaires en France. Âge, hérédité, excès de consommation de sel ou d’alcool, surcharge pondérale, maladie rénale ou métabolique comme le diabète…, les causes de la maladie sont multiples entraînant un vieillissement accéléré des organes cibles comme le coeur, le cerveau et les reins.

Voir en ligne : CFLHTA - Comité Français de Lutte Contre l’HyperTension Artérielle

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Hypertension artérielle chez la femme

L’hypertension artérielle est l’un des principaux facteurs de risque cardiovasculaires modifiables tant chez l’homme que chez la femme.

  • Des données récentes indiquent que la prévalence de l’hypertension artérielle est en augmentation, partout dans le monde, particulièrement chez les femmes ménopausées et celles d’origine Afro-Américaine.
  • Après 70 ans, l’hypertension artérielle chez la femme est plus fré- quente, plus sévère, et moins bien contrôlée que chez l’homme.
  • En effet, la proportion de femmes hypertendues ayant une pression artérielle normalisée (<140/90 mm Hg) est inférieure à celle des hommes.
  • Cet article revoit les données portant sur l’influence du sexe sur l’his- toire naturelle, la physiopathologie et le traitement de l’hypertension, sur le choix des classes de médicaments antihypertenseurs et les différences de réponse au traitement.

Voir en ligne : Hôpitaux Universitaires, Genève

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Hypertension artérielle d’origine médicamenteuse

Résumé

Résumé : Cette mise au point est consacrée à l’hypertension artérielle susceptible d’être provoquée par les médicaments. Pour le clinicien, il convient d’évoquer systématiquement cette origine chez les patients consultant pour des manifestations cliniques en rapport avec des accès hypertensifs, car l’identification de l’agent responsable permet son interruption, celle-ci étant la seule thérapeutique pouvant entraîner une régression totale ou partielle des manifestations d’hypertension artérielle parfois sévères.

Voir en ligne : Auteur : Isabelle Marie , Département de médecine interne, CHU de Rouen, 76031 Rouen cedex, France.

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Hypertension artérielle de l’adulte

L’épidémiologie de l’hypertension artérielle (HTA) implique d’aborder le problème de la mesure de la pression artérielle (PA), et du seuil définissant malades et non-malades. Il s’agit aussi de préciser le risque lié au niveau de pression artérielle et mieux, celui lié au risque cardio-vasculaire estimé sur l’ensemble des facteurs de risque cardiovasculaires.

Voir en ligne : RMG - Revue de la Médecine Générale (Belgique)

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Hypertension artérielle essentielle

L’hypertension artérielle (HTA), définie par des valeurs cliniques de pression artérielle (PA) > 140/90 mmHg, est une pathologie fréquente. Elle représente la première cause de morbi-mortalité cardiovasculaire dans notre pays (notion de facteur de risque). Dans la majorité des cas, et malgré un interrogatoire, un examen clinique et des examens complémentaires adaptés, aucune cause n’est retrouvée (notion d’HTA essentielle).

Voir en ligne : Docteur Jean-Philippe BAGUET, Professeur Jean-Michel MALLION - Faculté de Médecine de Grenoble

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Hypertension artérielle pulmonaire (HTAP) : une réelle amélioration de la survie

Les patients souffrant d’hypertension artérielle pulmonaire (HTAP) idiopathique qui est une maladie rare ont vu une réelle amélioration de leur survie depuis l’arrivée de nouveaux médicaments, véritables innovations thérapeutiques apparues depuis les années 1990. Le centre national de référence de l’HTAP (INSERM U999, Hôpital Antoine Béclère (APHP), Université Paris-Sud) en a fait la démonstration au travers d’une étude qu’il a coordonnée dont les résultats ont été publiés récemment dans Circulation et ERJ*. .

Voir en ligne : Entretien avec le Pr. Marc Humbert, directeur de l’Unité INSERM U999 et du GIS HTAP au sein du centre national de référence de l’HTAP

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Hypertension et diabète

Le diabète et l’hypertension artérielle ont une prévalence croissante. En tant que facteurs de risque cardiovasculaire puissants, ils contribuent à une morbidité et mortalité considérables. Le but du traitement de l’hypertension en cas de diabète est d’abaisser la tension artérielle en dessous de 130/80 mm Hg. La première étape du traitement est le blocage du système rénine - angiotensine- aldostérone par inhibiteurs de l’ECA ou antagonistes du récepteur de l’angiotensine, même chez des patients normotendus ayant une microalbuminurie.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Hyperthyroïdie

La thyrotoxicose est le syndrome clinique qui traduit l’élévation de la concentration des hormones thyroïdiennes libres (cf cours de séméiologie). Elle a presque toujours une origine primitivement thyroïdienne. La sécrétion de TSH est donc freinée par rétrocontrôle : le taux de TSH est en dessous de la limite de détection du dosage (« TSH indosable »). Les exceptions à cette règle sont caractérisées par une sécrétion inappropriée de TSH

Voir en ligne : Professeur Olivier CHABRE - Corpus Médical de la Faculté de Médecine de Grenoble

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Hyperthyroïdie et grossesse

"La survenue d’une hyperthyroïdie pendant la grossesse pose des problèmes diagnostiques, et thérapeutiques tant chez la mère que chez son enfant. L’hyperthyroïdie non immune de la grossesse est l’anomalie la plus fréquemment rencontrée. On estime sa prévalence à environ 11 % des grossesses. Parmi les pathologies proprement thyroïdiennes, la maladie de Basedow est la cause la plus fréquente d’hyperthyroïdie pendant la grossesse. Sa prévalence est estimée à 0,2 % des grossesses. est porteuse d’anticorps anti-récepteur TSH à un titre élevé.

Voir en ligne : Dr. Michel PONCHON, Service d’Endocrinologie, Clinique Saint-Jean, Bruxelles

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Hypoglycémies

Si le diagnostic d’hypoglycémie est évoqué sur la clinique, seule la confirmation biologique permet de l’affirmer : signe essentiel glycémie <= à 0.50 g/l (2.8mmol/l). Cette valeur peut être « dépistée » par un lecteur de glycémie capillaire mais seuls les dosages de laboratoires sont en mesure de l’affirmer avec certitude (sur sang contenant un inhibiteur de glycolyse).

Voir en ligne : Professeur Serge HALIMI - Faculté de médecine de Grenoble

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Hypotension orthostatique

Tableau clinique

  • syncope ou lipothymie survenant au lever brutal, au changement brusque de position, à la station debout prolongée L’hypotension orthostatique est un problème fréquent dans la population âgée. Elle peut être primaire dans le cadre d’une dysfonction autonome pure ou d’une atrophie systémique multiple ou encore être secondaire à d’autres processus pathologiques

Voir en ligne : Dr Marco Previsdomini - Zürich

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Hypotension orthostatique. Définitions

• Hypotension :

  1. TA syst. au repos < 100-105 mm Hg
  2. Exception de l’artériosclérose : absence d’autorégulation de la perfusion cérébrale !

• Hypotension orthostatique :

  1. Au passage en orthostatisme (après 3 min.) :
  2. Ø TA syst. > 20 mm Hg
  3. Ø TA diast. > 10 mm Hg.

Voir en ligne : Dr. Chr. DUMONT - UC Louvain

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Hypotension orthostatique. Mécanismes, causes, traitement

La position debout confère à l’homme une grande liberté de mouvement, mais présuppose aussi un mécanisme de régulation de la tension artérielle

  • L’hypotension orthostatique est un problème fréquent dans la population âgée. Elle peut être primaire dans le cadre d’une dysfonction autonome pure ou d’une atrophie systémique multiple ou encore être secondaire à d’autres processus pathologiques.

Voir en ligne : Marco Previsdomini, Andreas Perren, Claudio Marone - Forum Med Suisse

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Hypothyroïdie (activité insuffisante de la thyroïde)

L’hypothyroïdie se manifeste par la production insuffisante d’hormones thyroïdiennes T4 et T3. Elle peut avoir quatre causes principales : -# traitement du goitre exophtalmique par iode radioactif ou par thyroïdectomie ; -# stade terminal de la thyroïdite chronique d’Hashimoto (inflammation de la glande thyroïde) ; cela peut se présenter spontanément au cours du goitre exophtalmique ; -# défaut congénital (absence de glande thyroïde à la naissance) ; -# ablation chirurgicale de la glande thyroïde (traitement du cancer de la thyroïde).

Voir en ligne : La Fondation canadienne de la Thyroïde.

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Hypothyroïdies frustes chez l’adulte : diagnostic et prise en charge

Ces recommandations ont pour objectif de :

  • clarifier la notion d’hypothyroïdie fruste et sa relation avec les différents - - signes cliniques ou biologiques qui lui sont couramment imputés ;
  • rationaliser la prescription des dosages biologiques (TSH et T4L) ;
  • évaluer l’opportunité d’un dépistage ;
  • évaluer l’utilité d’un traitement de l’hypothyroïdie fruste et ses indications. Elles abordent deux situations particulières :
  • la grossesse ;
  • la personne âgée.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Hypothyroïdies frustes chez l’adulte : diagnostic et prise en charge

L’hypothyroïdie fruste, encore appelée asymptomatique, occulte ou infraclinique, est définie par un taux de TSH élevé au-delà d’une limite fixée à 4 mUI/l (accord professionnel), confirmé par un deuxième dosage dans le mois qui suit le premier, sans anomalie de la concentration de la T4L, en présence ou non de signes cliniques évoquant une hypothyroïdie.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Ictère ("jaunisse")

  • Qu’est ce que la bilirubine ?
  • Que sont les acides biliaires ?
  • Quel est le rôle des acides biliaires ?
  • Quelles sont les principales causes d’une ictère à bilirubine non conjuguée ?
  • Qu’est ce que la maladie de Gilbert ?

Voir en ligne : SNFGE Société Nationale Française de Gastro-entérologie

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Ictère néonatal

Cet enfant nouveau-né est jaune, c’est banal, oui mais encore faut-il savoir systématiquement déjouer quelques pièges en tenant compte du contexte :

  • en Maternité, l’ictère peut révéler un conflit allo-immun méconnu, beaucoup plus rarement - mais à ne pas manquer - une rétention biliaire ;
  • en Néonatologie, tous les enfants prématurés sont jaunes, d’autant qu’ils sont plus prématurés, le problème est d’apprécier le surcroît de risque pour la voie auditive de cette hyperbilirubinémie ;
  • au Cabinet médical, c’est un ictère néonatal qui se prolonge, alors allaitement au sein ? Oui, c’est le cas échéant le plus probable, encore faut-il vérifier…

Voir en ligne : Professeur Pierre RAMBAUD - Faculté de Médecine de Grenoble

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Il est possible de prévenir les maladies du cœur et les accidents vasculaires cérébraux.

S’abstenir de fumer, maintenir un poids santé, manger sainement, s’adonner régulièrement à l’activité physique, ne pas trop boire d’alcool et bien gérer son stress, de concert avec le dépistage et le traitement précoces de l’hypertension artérielle, de l’hypercholestérolémie et du diabète, contribuent grandement à réduire le risque de maladie du cœur ou d’accident vasculaire cérébral (AVC), de même que le risque de subir une autre crise cardiaque ou un autre AVC.

Voir en ligne : ASPC - Agence de santé publique du Canada

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Il n’y a pas de « petit diabète »

Le diabète n’est pas une « maladie du laboratoire » même si on a parfois tendance à penser que l’on doit soigner des chiffres présents sur une feuille de papier, dont on n’a (pour le moment) strictement aucun désagrément : • L’atteinte des artères (macroangiopathie) • L’atteinte des tous petits vaisseaux (microangiopathie) • L’atteinte des nerfs Il faut bien comprendre que, lorsque ces atteintes sont présentes, il peut être possible de stabiliser les choses ou de freiner l’évolution en se soignant mieux qu’auparavant, mais lorsque la situation est trop avancée on ne peut pas faire régresser ces complications.

Voir en ligne : DiabSurf

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Imagerie à la phase aiguë de l’accident vasculaire cérébral ischémique

Grâce à l’efficacité prouvée de la thrombolyse, l’accident vasculaire cérébral ischémique est une urgence thérapeutique qui requiert un diagnostic fiable et précis par l’imagerie cérébrale. La TDM et l’IRM cérébrales sont deux techniques multimodales qui permettent, au cours du même examen, d’exclure une hémorragie, d’apprécier la zone d’ischémie irréversible, la zone de pénombre ischémique, et la localisation de l’occlusion artérielle. À ce jour, l’IRM reste la méthode de référence car elle a été plus largement évaluée et procure une information physiopathologique fiable. Cependant, la TDM, souvent plus accessible que l’IRM, devient un outil de plus en plus pertinent grâce aux avancées récentes de la TDM de perfusion qui fournit un large panel d’informations.

Voir en ligne : Pauline Renou , Département de neurologie, CHU Pellegrin, Bordeaux.

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Imagerie de l’épaule douloureuse

La pathologie douloureuse non traumatique de l’épaule recouvre évidemment toute la pathologie articulaire (arthrite, arthrose, algodystrophie), mais cette articulation tire sa particularité de l’importance de la pathologie abarticulaire liée à des lésions de l’appareil ligamentaire de la coiffe des rotateurs.

Voir en ligne : Edicerf

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Imagerie de la maladie de Paget

Exceptionnelle avant 40 ans • 3% de la population de plus de 40 ans • Prévalence augmente avec le viellissement • 10% des patients de plus de 80 ans • H>F sex ratio (1,1-1,19) • Grandes variations géographiques

Voir en ligne : Université Virtuelle de la Faculté de Médecine de Nancy

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Imagerie des urgences abdominales de l’adulte.

Les progrès technologiques considérables réalisés en radiologie au cours des 15 dernières années ont révolutionné le diagnostic et la prise en charge des abdomens aigus. Les clichés d’abdomen qui pendant longtemps ont été le premier examen radiologique réalisé sont maintenant très souvent abandonnés au vu de leur trop faible performance diagnostique

Voir en ligne : Revue Médicale de Bruxelles

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Imagerie médicale : les promesses de l’élastographie

Un appareil ultra puissant d’élastographie, technique consistant à mesurer l’élasticité des tissus, fait ses preuves dans le diagnostic des maladies hépatiques et la caractérisation des tumeurs. Une nouvelle étude confirme que cette approche non invasive, issue des travaux des chercheurs de l’Institut Langevin (Paris, unité Inserm 979), fait aussi bien que la biopsie pour le diagnostic de la fibrose hépatique.

Voir en ligne : InSERM


Immunisation foeto-maternelle

En 1941, P. LEVINE établissait un lien de causalité entre la présence d’une iso-immunisation D chez les accouchées Rh négatif et l’existence chez leurs nouveaux-nés d’une maladie génératrice d’anasarque foetal et d’ictère grave néo-natal appelée érythroblastose foetale. Une nouvelle terminologie apparut alors : incompatibilité foeto-maternelle (IFM) pour rendre compte du conflit immunologique, et maladie hémolytique du nouveau-né (MHNN) afin de situer le contexte physiopathologique jusqu’alors ignoré de cette maladie.

Voir en ligne : J.C Bensa, B Schweizer - 1995 -Faculté de médecine de Grenoble

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Immunisation foeto-maternelle

En 1941, P. LEVINE établissait un lien de causalité entre la présence d’une iso-immunisation D chez les accouchées Rh négatif et l’existence chez leurs nouveaux-nés d’une maladie génératrice d’anasarque foetal et d’ictère grave néo-natal appelée érythroblastose foetale. Une nouvelle terminologie apparut alors : incompatibilité foeto-maternelle (IFM) pour rendre compte du conflit immunologique, et maladie hémolytique du nouveau-né (MHNN) afin de situer le contexte physiopathologique jusqu’alors ignoré de cette maladie.

Voir en ligne : J.C Bensa, B Schweizer - Faculté de médecine de Grenoble

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Impact de la télésanté sur la qualité et la sécurité des soins

La principale conclusion de cet examen de la littérature est que les preuves d’un impact bénéfique de la télésanté sont modestes ou absentes. Même si les auteurs mettent en garde leurs lecteurs – absence de preuve ne signifie pas preuve de l’inefficacité, ils ajoutent que l’évaluation des risques liés aux technologies de l’information ne devrait pas être moins importante que celle en rapport avec l’industrie du médicament. Une invitation à développer la recherche dans ce domaine est réaffirmée avec force.

Voir en ligne : Dr Jean Brami | HAS

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Impact des pratiques médicales sur le coût de prise en charge du cancer. Le cas du cancer du côlon en Île-de-France

En France, le cancer colorectal est au deuxième rang des tumeurs malignes en taux d’incidence comme en taux de mortalité. En 2003, on estimait l’incidence du seul cancer du côlon à 21 500 nouveaux cas par an en France, soit 60 % des cancers colorectaux. Le pronostic vital est étroitement lié au stade de gravité de la maladie au moment du diagnostic.

Voir en ligne : Pratiques et Organisation des Soins - AMELI

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Impact médical hospitalier du pied diabétique en Suisse

L’incidence et la prévalence du diabète de type 2 sont en augmentation rapide dans toutes les parties du monde, au point d’atteindre des proportions épidémiques. Dans les pays de l’OCDE, on estimait en 2007 qu’en moyenne plus de 6% de la population de 20 à 79 ans étaient diabétiques. En Suisse et en 2011, on estimait le nombre de diabétiques à 350 000, soit environ 4,5% de la population.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Impact, sur la maladie veineuse thromboembolique, des médicaments efficaces dans la prévention de la maladie athéromateuse

Une association entre maladie artérielle athéromateuse et maladie veineuse thromboembolique (MVTE) est évoquée. Des facteurs de risque artériels classiques pourraient être aussi des facteurs de risque de MVTE. La plupart de ces facteurs peuvent être modifiés ou contrôlés par des médicaments ouvrant de nouvelles perspectives thérapeutiques dans la prise en charge de la MVTE. Un effet bénéfique de l’aspirine au long cours en prévention primaire de la MVTE n’est pas exclu et l’intérêt de l’aspirine en prévention des récidives de la MVTE est en cours d’évaluation. Statines et fibrates semblent avoir un impact différentiel sur le risque de MVTE : l’ensemble des données cliniques et biologiques suggère un effet favorable des statines, les fibrates seraient associées à un excès de risque de MVTE. L’impact des bêtabloquants sur la MVTE serait médié par des modifications du taux de facteur VIII. Enfin, les données suggérant un impact favorable des inhibiteurs de l’enzyme de conversion et des antagonistes des récepteurs à l’angiotensine 2 sont limitées à des études expérimentales sur modèle animal. De nouvelles investigations à la fois fondamentales et cliniques sont nécessaires pour déterminer les effets de ces médicaments sur le processus thrombotique veineux, et établir leur place éventuelle dans la prise en charge de la MVTE. L’objectif serait de disposer de médicaments efficaces à la fois sur la prévention secondaire de la maladie artérielle athérothrombotique et la prévention de la MVTE.

Voir en ligne : Département de médecine interne et pneumologie, Hôpital de la Cavale Blanche, Brest, France.

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Implications cliniques de la pression centrale

Le diagnostic et le traitement de l’hypertension artérielle se basent traditionnellement sur des mesures tensionnelles prises au niveau de l’artère humérale. La pression centrale peut être déterminée aujourd’hui à partir de l’onde de pouls périphérique (mesurée par tonométrie d’aplanation), à laquelle est appliquée une fonction de transfert pour déduire l’impact des ondes de réflexion sur la pression régnant dans l’aorte thoracique. Les ondes de réflexion parvenant en systole à ce niveau sont amplifiées en cas de rigidité artérielle, entraînant une augmentation de la pression systolique centrale. Des essais cliniques récents ont montré que pour un même abaissement de la pression artérielle périphérique, des stratégies thérapeutiques différentes peuvent ne pas avoir le même impact sur la pression systolique centrale, et que cela peut être important sur le plan de la prévention des complications cardiovasculaires.

Voir en ligne : Article de B. Waeber F. Feihl - Revue Médicale Suisse

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Importance de la décharge dans le traitement des lésions du pied diabétique

L’ulcère aux pieds est une complication fréquente survenant chez 15% des patients diabétiques. L’origine est souvent mixte, secondaire à la neuropathie, qui associe une perte de sensibilité et des déformations, à laquelle peut participer une insuffisance artérielle ou une infection. La décharge est un point important du traitement en diminuant les hyperappuis et en favorisant les processus de guérison. La botte plâtrée est le gold-standard avec une guérison dans 90% des cas. Cette technique présente des contre-indications et limitations qui doivent être évaluées. Les alternatives doivent permettre une décharge et une observance optimales pour obtenir la guérison. La prévention secondaire avec un suivi spécifique et une adaptation du chaussage est recommandée.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Incidences éventuelles sur la santé de la téléphonie mobile (rapport) - par Alain Gest

Comme d’autres innovations technologiques de grande ampleur, la téléphonie mobile suscite inquiétudes et controverses. Mais elles revêtent une dimension d’autant plus particulière qu’elles contrastent avec l’extraordinaire rapidité de la diffusion planétaire de cette technologie puisque, à l’heure actuelle, près de trois milliards d’être humains –soit la moitié de l’humanité environ, – disposent d’un téléphone mobile.

Voir en ligne : Le Sénat

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Incompatibilité foeto-maternelle : Quand les mamans Rh- détruisent les globules rouges de leurs bébés Rh+

Tolérance immunitaire du fœtus au cours de la grossesse Un enfant a une identité antigénique portée par ses antigènes tissulaires (groupe tissulaire ou HLA, mais aussi ABO) et érythrocytaires (groupe sanguin) a priori différente de celle de sa mère. Les cellules fœtales sont donc susceptibles d’être reconnues comme étrangères (non-soi) par l’organisme maternel. Au cours de la grossesse, des mécanismes immunologiques spécifiques entre autres de l’interface placentaire assurent la tolérance du fœtus par le système immunitaire de la mère qui ne le rejette pas. En particulier, les anticorps naturels réguliers dirigés contre les antigènes du système ABO et qui sont des IgM ne traversent pas le placenta et ne sont jamais en eux mêmes responsables de destruction de globules rouges fœtaux.

Voir en ligne : David Germanaud - Vie", site ressource Sciences de la Vie - ENS / DGESCO

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Incompatibilité sanguine fœto-maternelle

Les complications de l’incompatibilité fœto-maternelle n’ont pas disparu : Parce que la prévention de l’immunisation Rhésus anti-D peut être oubliée ou inadaptée ; Parce que l’immunisation peut se produire sans cause apparente, parfois dès la première grossesse ; Ou parce qu’il peut s’agir d’autres immunisations, surtout anti-C, anti-E, ou anti-Kell qui ne comportent pas de prévention. La réduction des accidents passe par le dépistage, la prise en charge et la prévention.

Voir en ligne : Pr Michel TOURNAIRE - GyneWeb

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Incontinence urinaire après AVC.

L’incontinence urinaire (IU) se définit comme la perte involontaire d’urine ou l’impossibilité de retenir l’urine assez longtemps pour se rendre aux toilettes. Malheureusement, l’apparition de l’incontinence urinaire après un accident vasculaire cérébral (AVC) est courante. La prévalence de l’incontinence urinaire post-AVC se situe entre 37 et 79 % dans les jours et les semaines qui suivent l’accident. Avec le temps, un grand nombre de personnes ayant subi un AVC retrouvent la maîtrise de leur vessie.Toutefois, un tiers d’entre elles demeurent incontinentes un an après l’AVC.

Voir en ligne : Chantal Dumoulin, PhD PT ; Nicol Korner-Bitensky, PhD | Université Mc Gill

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Incontinence urinaire chez la femme : traitements non chirurgicaux

Cette synthèse de la littérature montre l’intérêt de la pratique d’exercices du plancher pelvien et vésicaux dans la récupération et le maintien d’une continence urinaire chez la femme. Certains médicaments peuvent également contribuer à diminuer le nombre d’épisodes d’incontinence mais leur bénéfice clinique reste à évaluer individuellement en fonction d’effets indésirables éventuels. Les études apportent trop peu d’arguments pour faire des recommandations générales, surtout pour l’association de traitements. Le choix doit être fait avec la patiente.

Voir en ligne : Shamliyan TA, Kane RL, Wyman J, Wilt TJ. - Minerva

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Incontinence urinaire du post-partum : l’évoquer dans la consultation suivant l’accouchement

Au moins 30% des femmes enceintes et 20% des femmes ayant accouché présentent ce type de lésion (1). Il s’agit d’un réel problème de santé publique à prendre en compte, car un antécédent d’incontinence urinaire du post-partum augmente le risque d’apparition ultérieure d’incontinence urinaire d’effort.

Voir en ligne : Isabelle Aubin - UFR Paris 7

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Indemnisation des victimes d’accidents médicaux - Oniam

Office national d’indemnisation des accidents médicaux. Retrouvez toutes les informations sur la procédure d’indemnisation si vous êtes victime d’un accident médical.

Voir en ligne : Oniam - Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux, des Affections Iatrogènes et des Infections Nosocomiales


Indications de la radiographie du bassin

Actualisation des indications, des « non-indications » et de la place dans la stratégie diagnostique de la radiographie du bassin. Le codage spécifique à chaque acte, prévu dans la Classification commune des actes médicaux (CCAM) a permis de constater que les radiographies conventionnelles (aux rayons X) du bassin étaient très fréquemment réalisées.

Voir en ligne : Has - Haute Autorité de Santé

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Indications de la radiographie du crâne et/ou du massif facial

Actualisation des indications, des « non-indications » et de la place dans la stratégie diagnostique de la radiographie du crâne et/ou du massif facial. Le codage spécifique à chaque acte, prévu dans la Classification commune des actes médicaux (CCAM) a permis de constater que la radiographie conventionnelle (aux rayons X) du crâne et/ou du massif facial était très fréquemment réalisée.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Indications de la vidéocapsule du grêle

La vidéocapsule est devenue, entre 2000 à 2010, l’examen de référence pour l’exploration de la lumière de l’intestin grêle. Les indications validées par la HAS sont les suivantes :

  • saignement digestif inexpliqué par une endoscopie oesogastroduodénale et une coloscopie totale négatives ;
  • diagnostic positif de la maladie de Crohn (MC)

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Infarctus du myocarde

Première cause de mortalité dans les pays Occidentaux : 70 à 80 000 décès/an en France. Sa gravité est essentiellement liée à 2 risques :

  • le risque initial d’arythmies ventriculaires léthales : les 2/3 de ces décès par I.M.A. surviennent dans les 2 ou 3 premières heures d’évolution et cette mortalité précoce est due à une cause presque exclusive : la fibrillation ventriculaire. Ce risque est relativement indépendant de la taille de l’infarctus ; il concerne aussi les infarctus de petite taille.
  • le risque secondaire de complications tant en phase aiguë qu’au stade des séquelles : c’est tout particulièrement le cas de l’insuffisance cardiaque. Ce risque dépend étroitement de la masse myocardique détruite et donc de la taille de la nécrose. Or, la taille de l’infarctus peut être significativement réduite si le myocarde ischémique peut être revascularisé dans des délais suffisamment précoces ; la récupération sera bien sûr d’autant plus complète que l’intervention sera plus rapide.

Voir en ligne : Pr. Daubert | Département de cardiologie et maladies vasculaires CHU de Rennes

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Infection à papillomavirus et cancer du col de l’utérus

On connaît environ 200 papillomavirus susceptibles d’infecter l’homme. Certains de ces virus affectent l’épiderme, d’autres les muqueuses orales, anales ou génitales. Les conséquences de ces infections sont le plus souvent bénignes - verrues cutanées, condylomes ano-génitaux. Mais certains papillomavirus transmis par voie sexuelle sont responsables du cancer du col de l’utérus. Ce dernier, véritable problème de santé publique, est le deuxième cancer le plus fréquent chez la femme dans le monde. Par ailleurs, les papillomavirus sont détectables dans la peau et les muqueuses d’une grande partie de la population non malade où le virus se maintient à niveau peu élevé par un mécanisme non pathologique

Voir en ligne : Institut Pasteur

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Infection récurrente des voies urinaires

L’antibioprophylaxie continue, l’antibioprophylaxie postcoïtale et l’autotraitement aigu constituent tous des solutions de rechange efficaces pour la prévention des infections récurrentes des voies urinaires. Les œstrogènes vaginaux et le jus de canneberges peuvent également constituer des solutions de rechange prophylactiques efficaces.

Voir en ligne : SOGC - Société des Obstétriciens et Gynécologues du Canada

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Infection urinaire de l’adulte

L’infection urinaire (IU) est une cause fréquente de consultation, aboutissant généralement à un traitement antibiotique, le plus souvent à base de quinolones. L’émergence de résistances à ces antibiotiques, précieux de par leurs efficacité et biodisponibilité, a justifié de nouvelles recommandations pour la prise en charge des IU non compliquées, basées sur l’utilisation de furanes et de fosfomycine en premières lignes. Cet article revoit l’épidémiologie, la pathogenèse et la prise en charge diagnostique et thérapeutique des infections urinaires de l’adulte.

Voir en ligne : Revue médicale suisse

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Infection vaginales à levures

Une infection à levures est une infection provoquée par le champignon Candida albicans. Il s’agit d’une infection très courante, surtout chez les femmes en âge d’avoir des enfants. Elle entraîne rarement des problèmes graves, mais peut être très ennuyeuse

Voir en ligne : CSSA Corporation des Sciences de la Santé de l’Atlantique

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Infections à dermatophytes de la peau glabre, des plis et des phanères

Diagnostiquer et traiter une infection à dermatophytes des plis, de la peau glabre, et des phanères. Les dermatophytoses sont des motifs fréquents de consultation. Ces infections sont dues à des champignons filamenteux, à mycelium cloisonné, les dermatophytes. Ils appartiennent à 3 genres, Epidermophyton, Microsporum et Trichophyton.

Voir en ligne : Ann Dermatol Venereol

Sujets associés


Infections à herpès virus de l’enfant et de l’adulte immunocompétents : herpès cutané et muqueux

La primo-infection herpétique est le premier contact infectant muqueux ou cutané, symptomatique ou asymptomatique, avec le virus HSV1 ou HSV2. Une infection initiale non primaire est le premier contact infectant symptomatique ou asymptomatique avec le virus HSV1 ou HSV2, chez un sujet préalablement infecté par l’autre type viral. Une récurrence est l’expression clinique d’une réactivation virale chez un patient préalablement infecté par le même type viral.

Voir en ligne : Université de Rouen

Sujets associés


Infections à HPV des jeunes filles : révision de l’âge de vaccination

L’évolution des données concernant les vaccins papillomavirus et leur Autorisation de mise sur le marché (AMM), la constatation d’une couverture vaccinale très insuffisante en France et les perspectives d’évolution du calendrier vaccinal justifient la révision de l’âge de vaccination contre les infections à papillomavirus humains des jeunes filles.

Voir en ligne : Haut Conseil de la santé publique

Sujets associés


Infections à Salmonella non typhiques

Encore appelées salmonelloses non typhoïdiques ou salmonelloses digestives, ces infections déterminent une pathologie intestinale et ne sont responsables de septicémie et de localisations viscérales systémiques que chez les sujets porteurs d’un déficit immunitaire et/ou d’une maladie digestive préalable favorisante.

Voir en ligne : J.P. Stahl - Faculté de Médecine de Grenoble

Sujets associés


Infections à virus de l’herpès simplex : mise à jour pour le praticien

Les virus de l’herpès simplex HSV-1 et -2 infectent chacun classiquement la sphère orale et génitale. Ils dérivent d’un ancêtre commun, mais ont évolué séparément depuis quelques millions d’années, s’adaptant à ces sites. Ainsi, alors qu’ils peuvent infecter l’un ou l’autre site, l’HSV-1 ne réactive souvent qu’en position orale et l’HSV-2 en position génitale. On souligne les faits suivants, nouveaux ou dignes d’attention : épidémiologiques (pic de l’épidémie de HSV-2 aux Etats-Unis, part croissante de HSV-1 dans les infections génitales), cliniques (lésions extra-orales ou extragénitales, sévérité de la gingivostomatite herpétique), diagnostiques (confusion herpès-zona dans les territoires trigéminés ou sacrés) et thérapeutiques (mérites respectifs des traitements suppresseurs et épisodiques et raccourcissement des schémas de traitement de ces derniers dans l’herpès génital, traitement de la gingivostomatite et de l’herpès labial).

Voir en ligne : Revue médicale suisse


Infections associées aux soins - Guide d’aide à la communication

Ce guide est un outil d’aide à la communication destiné aux équipes opérationnelles d’hygiène et autres professionnels impliqués dans la lutte contre les infections associées aux soins. Il se veut simple et d’application pratique, dans les établissements de santé et dans d’autres structures concernées.

Voir en ligne : SFHH - Société Française d’Hygiène Hospitalière

Sujets associés


Infections des voies respiratoires basses de l’adulte

Dans le champ plus classique mais toujours actuel bactéries–antibactériens, il était nécessaire de revoir l’évolution de l’épidémiologie bactérienne, et celle des résistances en prenant acte de la stabilité de certaines données permettant une pause dans la pression mise sur les prescripteurs de molécules connues et surveillées de longue date, mais aussi en anticipant sur l’impact écologique d’un éventuel suremploi de tel ou tel groupe de molécu

Voir en ligne : XVe Conférence de consensus en thérapeutique anti-infectieuse - Mars 2006

Sujets associés


Infections des voies respiratoires basses de l’adulte

Réactualisation des recommandations en antibiothérapie pour le traitement des infections respiratoires basses de l’adulte, infections fréquentes et dont l`incidence augmente avec l’âge. A noter : le groupe de travail a limité sa réflexion aux bronchites aiguës du sujet sain et aux pneumonies communautaires.

Voir en ligne : Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps),

Sujets associés


Infections dues aux virus influenzae aviaires A(H7N9) ou A(H5N1). Recommandations

L’émergence du virus A(H7N9), jusqu’alors inconnu chez l’homme, parallèlement à la poursuite de la circulation endémique des virus A(H5N1) en Asie du Sud-est et en Egypte justifient d’envisager une prise en charge spécifique des éventuels cas avec la mise en place de mesures restrictives décrites dans cet avis du Haut Conseil de la santé publique.

Voir en ligne : HCSP Haut Conseil de la santé publique

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Infections invasives à méningocoque - méningite à méningocoques

Eléments, sur l’histoire naturelle, l’épidémiologie et la conduite à tenir par les services déconcentrés du Ministère de la santé en cas de survenue d’un cas d’infection invasive à méningocoque, généralement sous la forme d’une méningite méningococcique.

Voir en ligne : Pierre-Yves Bello Outils de Santé Publique pour MISP & Co

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Infections ORL et bronchiques des jeunes enfants

"Voici des repères, des conseils et des fiches pratiques pour répondre aux questions que vous vous posez sur les maladies ORL et bronchiques. Un outil, conçu avec des pédiatres, pour vous aider à mieux comprendre ces maladies et à faire face, au quotidien, au nez qui coule, à la toux et à la fièvre des jeunes enfants dont vous vous occupez."

Voir en ligne : AMELI Assurance Maladie En Ligne

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Infections ORL : antibiothérapie locale dans les infections ORL

Les antibiotiques utilisés par voie locale en ORL sont presque toujours associés à d’autres principes actifs. De ce fait, il est difficile de déterminer avec certitude lequel est responsable d’un effet bénéfique ou indésirable. Pour la plupart de ces produits, il existe un risque de modification des flores saprophytes par une flore de substitution avec sélection de souches résistantes. L’administration d’un antibiotique local participe à la survenue de sensibilisation au produit, avec possibilité de réactions allergiques générales (Grade C). Ces recommandations concernent les situations cliniques les plus courantes. Les pathologies chirurgicales et péri opératoires ainsi que les situations particulières concernant les personnes immunodéprimées présentant un facteur de risque particulier ne sont pas abordées.

Voir en ligne : AFSSAPS

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Infections pulmonaires de l’adulte

Pas d’antibiothérapie en cas de bronchite aiguë chez l’adulte sain. L’utilisation des fluoroquinolones en première intention n’est pas recommandée sauf rare exception (ex : l’allergie vraie aux ß-lactamines, légionellose). Ne plus prescrire l’association amoxicilline – acide clavulanique + fluoroquinolone, car celle-ci est moins performante en terme de morbi-mortalité qu’une association bêta-lactamine + macrolide. L’amoxicilline (3 x 1 g par jour) reste le traitement de référence dans les infections à pneumocoque. Réévaluation à 48-72 h : une amélioration clinique significative doit être observée. Les aérosols d’antibiothérapie n’ont pas démontré leur efficacité. Vaccinations anti-grippale et anti-pneumococcique : ne pas l’oublier dans les populations à risque.

Voir en ligne : RF CLIN

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Infections rhino-pharyngées de l’enfant

La rhinopharyngite est une affection commune, exprimant l’adaptation de l’enfant à son milieu. Outre les thérapeutiques strictement médicales, le respect de simples règles d’hygiène est un traitement d’appoint essentiel, utile dans la prévention des complications comme de la maladie elle-même.

Voir en ligne : Docteur Olivier CUISNIER - Faculté de Médecine de Grenoble

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Infections urinaires

L’urine normale est stérile, c’est à dire qu’elle ne contient à l’état normal ni microbe, ni virus ni champignon. Cependant, les infections urinaires sont les plus fréquentes de toutes les infections bactériennes car l’urine n’a en fait aucune propriété pour résister aux microbes, et peut donc être un excellent milieu de culture.

Voir en ligne : UROPAGE créé avec le Professeur Thierry Flam

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Infections urinaires chez la femme : cinq options thérapeutiques

Cette étude montre que chez des femmes avec suspicion d’une infection des voies urinaires, une prescription différée d’antibiotique ou une prescription immédiate d’un antibiotique en fonction d’un algorithme clinique, d’un test avec tigelle ou d’une culture n’ont pas de moins-value sur la sévérité et la durée des symptômes après 4 jours que la prescription immédiate d’un antibiotique. Une prescription différée d’antibiotique, précédée ou non d’un test à la tigelle, contribue à diminuer la prise d’antibiotiques.

Voir en ligne : Minerva

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Infections urinaires chez l’adulte

90 % des infections urinaires sont causées par des entérobactéries. • Les pathogènes les plus fréquents : Escherichia coli, Staphylococcus saprophyticus, entérocoque Infections urinaires non compliquées : • Généralement chez les femmes en âge de procréer • Limitées à l’arbre urinaire bas, sans anomalie anatomique Infections urinaires compliquées : • Chez l’homme et chez l’enfant • Chez la femme enceinte • Chez les porteurs de sonde urinaire ou chez ceux qui doivent avoir des cathétérismes urinaires • Infections urinaires hautes

Voir en ligne : CDM - Conseil Du Médicament Québec

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Infections urinaires simples : un traitement court chez les femmes âgées aussi

Un traitement antibiotique oral de 3 à 6 jours a la même efficacité clinique et biologique qu’un traitement plus long, y compris en termes de récidives. Chez les femmes âgées souffrant d’une infection urinaire symptomatique simple, un traitement de 3 jours à 6 jours par antibiotique oral a la même efficacité clinique et biologique qu’un traitement plus long.

Voir en ligne : Prescrire

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Infertilité tubaire

Du fait de leur fonction, les trompes de Fallope jouent un rôle important dans la reproduction humaine. Du fait de leur structure, elles sont facilement atteintes par diverses pathologies. Ces deux faits ont pour conséquence que la pathologie tubaire est la cause la plus fréquente conduisant à avoir recours aux techniques de procréations assistées. De fait, le motif principal du développement des techniques de reproduction assistée a été le désespoir des couples atteints d’une stérilité tubaire définitive. L’incidence de l’infertilité tubaire a une signification particulière car elle est liée de près aux questions de Maladies Sexuellement Transmissibles.

Voir en ligne : IFFS (Fédération Internationale des Sociétés de Fertilité)

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Infiltration ou chirurgie pour le syndrome du canal carpien ?

Les auteurs concluent à une meilleure efficacité, à court terme, d’une infiltration locale de stéroïdes par rapport à la décompression chirurgicale en termes d’amélioration symptomatique. A un an, l’efficacité symptomatique est semblable.

Voir en ligne : Ly-Pen D, Andréu JL, de Blas G - Minerva

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Influence de l’alimentation dans l’émergence de la Lithiase salivaire

La lithiase salivaire est une affection dont les causes et facteurs précipitants sont méconnus. Le but de ce travail est d’établir un éventuel lien entre la consommation calcique et l’émergence de la lithiase salivaire.

Voir en ligne : Thèse de Micaela Louise ÖDMAN à la Faculté de Médecine de l’Université de Genève

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Information de base

Le but principal du SEVHep est de maintenir un réseau suisse de compétence dans le domaine des hépatites virales, qui se concentre à la fois sur les mesures préventives et la gestion des toutes les conséquences cliniques, de l’hépatite aiguë à chronique, de la cirrhose et du carcinome hépatocellulaire.

Voir en ligne : Groupe des Experts Suisses en Hépatites Virales SEVHep

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Information sur l’Hallux Valgus

Le gros orteil assure la propulsion du corps vers l’avant. Lorsque son articulation devient anormalement sollicitée pendant une durée prolongée, une déformation peut apparaître. L’« oignon » est une protubérance d’os ou de tissus autour de l’articulation. Il commence habituellement lorsque le gros orteil (hallux) se déplace vers les petits orteils (valgus : en dehors).

Voir en ligne : CHU Bordeaux

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Information sur la maladie de Lyme et autres maladies transmises par les tiques : anaplasmose et encéphalite à tique

La maladie de Lyme et l’anaplasmose sont deux infections causées par des bactéries pathogènes (Borrelia burgdorferi et Anaplasma phagocytophilum ), toutes deux se rencontrent en Belgique. L’encéphalite à tique (Tick-Borne Encephalitis ou TBE) provient d’une contamination par un virus (Flavivirus). Celui-ci est présent dans de nombreuses régions des pays de l’Est, du Nord et du Centre de l’ Europe. Ces 3 agents pathogènes sont inoculés à l’homme par morsure de tique. Pour l ’encéphalite à tique, il a été rapporté quelques très rares cas d’infection chez des personnes contaminées après avoir mangé ou bu des produits laitiers non pasteurisés. Cette voie de contamination reste exceptionnelle dans les régions sus-mentionnées.

Voir en ligne : Laboratoires de Référence pour la maladie de Lyme - Bruxelles

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Information sur la méningite à méningocoques

Tout le monde peut à tout moment et partout attraper une méningite. Connaître les symptômes de la méningite peut être important pour sauver une vie. L’objectif de cette plaquette est de diffuser une information concernant la méningite, et en particulier la méningite à méningocoques dont la fréquence a tendance à augmenter ces derniers mois.

Voir en ligne : nstitut Scientifique de Santé Publique (I.S.P.) - Bruxelles

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Informations médicales avant réalisation de l’exérèse d’un neurinome de l’acoustique

Le neurinome est une tumeur bénigne, non cancéreuse. Les risques évolutifs de cette tumeur sont liés à sa situation profonde entre l’os du rocher où se situe l’oreille, d’une part, le cerveau et le cervelet, d’autre part. Surdité et troubles de l’équilibre sont les principales conséquences initiales de la tumeur ; à moyen ou à long termes peuvent apparaître des signes liés à la compression du cerveau ou d’autres nerfs, principalement le nerf trijumeau (sensibilité de la face) et le nerf facial (mobilité du visage). Compte-tenu de ces menaces, l’intervention chirurgicale vous est proposée. Le but de l’intervention est de retirer la tumeur dans sa totalité, tout en préservant l’ensemble des structures cérébrales et les nerfs au contact de la tumeur.

Voir en ligne : ORL France

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Informations sommaires sur les troubles d’anxiété

  • Trouble panique avec ou sans agoraphobie
  • Trouble de stress post-traumatique
  • Phobie spécifique
  • Trouble d’anxiété généralisée
  • Phobie sociale
  • Trouble obsessionnel-compulsif

Voir en ligne : Association - Troubles Anxieux du Québec (ATAQ)

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Informations sur la grippe A/H1N1

La grippe est une infection virale respiratoire aiguë contagieuse due à un ARN virus. Les virus grippaux se répartissent entre différents types : A, B et C. Les virus A et B sont à l’origine des épidémies saisonnières. Les virus A se caractérisent par leurs fréquentes modifications.

Voir en ligne : Institut de Microbiologie et Maladies infectieuses (IMMI) Pr Jean-François Delfraissy

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Informations sur les contraceptifs de troisième génération

  1. Qu’est-ce qu’un contraceptif oral de 3ème génération ?
  2. Quels sont les différents types de contraceptifs oraux ?
  3. Qu’est-ce qu’une thrombose veineuse profonde ?
  4. Quelles sont les circonstances favorisant une maladie thrombo-embolique veineuse ?
  5. Quel est le risque pour une femme prenant une pilule oestro-progestative de 3ème génération ?
  6. Dois-je arrêter ou changer ma pilule ?
  7. Je suis pour la première fois sous pilule et ce depuis moins d’un an, que dois-je faire ?
  8. Quels sont les avantages de la pilule ?
  9. Quels sont les effets indésirables liés à la pilule ?
  10. En dehors du risque thrombo-embolique, quels sont les autres risques ?

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

Sujets associés


Informations sur les infections nosocomiales. ... Comprendre les infections nosocomiales.

Comprendre les infections nosocomiales. Réponses aux questions les plus courantes. Les mesures d’hygiène à respecter par le patient, le visiteur et le personnel soignant. Les principaux modes de transmission des infections nosocomiales. Des informations sur l’infection que vous avez acquise à l’hôpital. Recherche par germe ou par site anatomique. Droits des malades et responsabilités. Définition des termes employés en hygiène hospitalière et en infectiologie. Vous souhaitez nous poser des questions sur les infections nosocomiales. Différents spécialistes y répondront en fonction du thème abordé. Les questions et leurs réponses seront mises en ligne. Nous vous rappelons qu’il ne s’agit pas d’une consultation en ligne

Voir en ligne : Centre de Coordination de la Lutte contre les Infections Nosocomiales de l’inter-région Nord (CCLIN Paris-Nord)

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Infovac-France... Pourquoi ?

Les vaccinations permettent d’éviter des maladies pouvant être graves et de sauver des vies. Elles ont permis de contrôler des maladies qui étaient autrefois fréquentes, comme le tétanos, la polio, la diphtérie, la coqueluche, la rougeole, la rubéole, les oreillons, l’hépatite B et certaines formes graves de méningites. Malheureusement, tous ces virus et bactéries circulent encore dans notre pays – si bien que les vaccins restent indispensables pour protéger les personnes qui les reçoivent, leur famille et leur entourage. De nombreuses questions peuvent se poser au moment d’une vaccination. Ce site devrait vous aider à trouver des réponses à vos questions éventuelles.

Voir en ligne : Infovac-France

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Innocuité des substituts du sucre

Les Canadiens sont friands de sucreries, mais s’inquiètent de leur teneur en calories. Par conséquent, une vaste gamme de substituts du sucre (communément appelés édulcorants artificiels, même si plusieurs d’entre eux sont dérivés de sources naturelles) sont offerts comme édulcorants de table ou additifs dans les aliments transformés ainsi que dans la préparation des aliments à la maison. Toutefois, des nouvelles contradictoires dans les médias et sur Internet à propos des succédanés du sucre inquiètent certaines personnes quant à leur innocuité.

Voir en ligne : Santé Canada

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Innocuité du vaccin contre le papillomavirus humain OMS

À la demande du Groupe stratégique consultatif d’experts (SAGE), le Comité a examiné l’innocuité des vaccins contre le papillomavirus humain (HPV). Un examen des données disponibles sur l’innocuité du vaccin tétravalent (Gardasil®) comme du vaccin bivalent (Cervarix®) a été présenté. Cet examen a pris en compte les résultats d’essais contrôlés randomisés de la pré-homologation et de la post-homologation pour des rapports de surveillance de 2 fabricants de vaccins, ainsi que les données de l’Agence européenne du médicament, de la Food and Drug Administration (FDA) et des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des Etats-Unis.

Voir en ligne : OMS - Organisation mondiale de la Santé

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Insomnie

L’insomnie est la difficulté ou l’impossibilité à s’endormir ou à dormir suffisamment. Ce n’est pas une maladie, mais elle a des mauvais effets sur la santé. Il est donc important d’en connaître les causes pour pouvoir la soigner. L’insomnie concerne environ une personne sur trois. Elle touche un peu plus les femmes que les hommes. Elle est fréquente chez les personnes de plus de 50 ans car quand on vieillit, le sommeil devient plus léger.

Voir en ligne : La santé pour tous - INPES

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Insomnie - Mise en contexte

L’insomnie constitue un des principaux troubles du sommeil à l’âge adulte. Elle peut durer de quelques jours à quelques semaines, ou être persistante et chronique. Dans les cas d’insomnie chronique, on a en quelque sorte " appris " à faire de l’insomnie. C’est un cercle vicieux : une inquiétude nous empêche de dormir, on n’arrive pas à dormir pendant quelques jours, et après, la simple crainte de l’insomnie suffit à la causer. Puis l’épuisement empêche de faire de l’exercice (l’un des bons moyens de combattre l’insomnie) ce qui ne fait qu’aggraver le problème.

Voir en ligne : Portail Québec

Sujets associés


Insomnie : recommandation en première ligne de soins

Cette recommandation indique la conduite à tenir en première ligne, chez les patients adultes qui consultent leur médecin et se plaignent de leur sommeil. La recommandation se limite aux plaintes de manque de sommeil ou de mauvaise qualité de sommeil. Ces plaintes sont reprises dans le document sous le terme « d’insomnie ». La recommandation ne concerne pas les patients qui sont déjà sous traitement médicamenteux de l’insomnie et pour lesquels un arrêt progressif est à envisager.

Voir en ligne : SSMG Société Scientifique de Médecine Générale [Belgique ]

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Insomnie chronique. Fatigue ou somnolence diurne – causes des troubles chroniques du sommeil

L’insomnie est une plainte fréquente enmédecine générale et elle exige une évaluation et un traitement corrects. Selon des études internationales, 30% de la population adulte souffre d’insomnie : troubles de l’endormissement, du maintien du sommeil ou sommeil non réparateur [1, 2]. Le risque est grand que ces plaintes soient traitées sans autre par de simples somnifères de type benzodiazépines. Les patients les apprécient etensont la plupart du temps satisfaits. Mais les problèmes surviendront tôt ou tard sous forme de dépendance, et il n’est pas rare qu’une insomnie chronique se développe.

Voir en ligne : Werner Karrer Luzerner Höhenklinik, Crans-Montana

Sujets associés


insuffisance cardiaque

La fréquence de cette maladie a doublé en 10 ans, notamment en raison du vieillissement de la population et de la meilleure prise en charge des maladies cardiaques, qui à long terme peuvent entraîner une insuffisance cardiaque. Plus d’un million de personnes en France sont atteintes d’une insuffisance cardiaque. 300 000 à 400 000 ont du mal à mener une « vie normale » à cause de la maladie. Au-delà de 80 ans, plus de 15 personnes sur 100 décèdent d’une insuffisance cardiaque chaque année. Avec 150000 hospitalisations par an, l’insuffisance cardiaque est la première cause d’hospitalisation chez l’adulte en France. Tous les dix ans, entre l’âge de 40 ans et 80 ans, la fréquence de la maladie est multipliée par deux.

Voir en ligne : Fédération Française de Cardiologie

Sujets associés


Insuffisance cardiaque congestive

L’insuffisance cardiaque, c’est ce qui se produit lorsque le cœur n’est plus capable de pomper suffisamment de sang pour combler les besoins en oxygène des différents organes. Ce n’est pas une maladie en soi mais l’aboutissement d’autres maladies abîmant le cœur : hypertension, artériosclérose, etc. Elle touche autant d’hommes que de femmes, généralement de plus de 50 ans. On ne peut guérir l’insuffisance cardiaque, mais on peut en ralentir la progression en modifiant ses habitudes de vie et en prenant des médicaments.

Voir en ligne : Guide Santé du gouvernement Québécois

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Insuffisance cardiaque : diagnostic et traitement selon les dernières guidelines

Les guidelines de 2008 sur le diagnostic et le traitement de l’insuffisance cardiaque de la Société europé- enne de cardiologie revues et corrigées ont été publi- ées en 2012. Une importante commission internationale d’experts les a retravaillées et adaptées à tous les pays européens en se référant au meilleur niveau d’évidence possible. Ces guidelines ont été discutées dans un séminaire lors du congrès 2012 du CMPR et sont brièvement résumées ci-dessous.

Voir en ligne : PrimaryCare - Journal suisse de médecine de premier recours

Sujets associés


Insuffisance veineuse

Les veines permettent au sang de rejoindre le coeur. Pour éviter une stagnation de sang dans les jambes, elles sont munies de valvules anti reflux. Quand le système valvulaire est défaillant, le sang stagne dans les jambes : on parle alors d’insuffisance veineuse

Voir en ligne : SSMG - Société Scientifique de Médecine Générale

Sujets associés


Insulinothérapie dès le diagnostic de diabète de type 2

Cette étude chez des patients diabétiques de type 2 nouvellement diagnostiqués montre un contrôle glycémique plus rapidement atteint avec un traitement par insuline (soit en perfusion sous-cutanée continue soit en injections multiples par jour) qu’avec des antidiabétiques oraux. A un an, significativement davantage de patients traités initialement par insuline présentent un contrôle glycémique optimal sans médicament. L’intensité du traitement initial, sa brièveté (maximum 24 jours) et l’évaluation limitée dans le temps (1 an) ne permettent pas de tirer actuellement des conclusions pour la pratique.

Voir en ligne : Minerva

Sujets associés


Interaction médicaments et pamplemousse - Point d’information

L’ANSM souhaite rappeler que le pamplemousse est connu pour interagir avec quelques médicaments. Il ne s’agit pas d’une réduction de leur efficacité, mais d’une augmentation de la fréquence et de la gravité de leurs effets indésirables. Les médicaments concernés restent en nombre limité. Il s’agit notamment de certains médicaments contre le cholestérol (le plus souvent, la simvastatine – Zocor®, parfois l’atorvastatine – Tahor®,) ou d’immunosuppresseurs (ciclosporine - Néoral®, tacrolimus – Prograf®), pour citer ceux avec lesquels les conséquences peuvent être sévères

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

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Intérêt d’un traitement précoce par antiviral pour réduire la sévérité et la mortalité par grippe A(H1N1)2009

Du 1er juillet au 2 novembre 2009, les cliniciens signalaient à l’Institut de veille sanitaire les hospitalisations avec un diagnostic de grippe A(H1N1) confirmé au laboratoire ou probable. Depuis le 2 novembre, le signalement des cliniciens à l’InVS se limite aux formes graves (admis en unité de soins intensifs ou en service de réanimation ou décédés). Chaque signalement de cas s’accompagne d’un suivi de l’évolution du patient jusqu’à sa sortie ou son décès.

Voir en ligne : Invs Institut de veille sanitaire

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Internet et les Technologies de l’information et de la communication dans l’exercice médical

Propos introductifs
Docteur Jacques LUCAS
Le CNOM intervient aux Entretiens de Bichat pour la première fois, au même titre que l’Académie de médecine et la Haute Autorité de Santé. Cela permet de rappeler que, depuis son origine, la pratique médicale a fait l’objet d’importantes mutations scientifiques et culturelles. Elle est passée d’abord de la tradition orale hippocratique à la tradition écrite. L’écrit a permis de diffuser les connaissances, tant entre professionnels que des professionnels aux patients.

Voir en ligne : Conseil National de l’Ordre des Médecins


Internet et santé, la certification : un moyen d’améliorer la qualité des sites dédiés à la santéCliquez sur l’image pour l’agrandir

Aujourd’hui, un patient sur cinq environ, consulte un site Internet pour rechercher de l’information médicale ou de santé. Deux sites Internet santé ou disposant d’un espace d’information dédié à l’information santé figurent parmi les vingt cinq sites les plus visités en France. C’est dans ce contexte de recours croissant à l’Internet santé que le législateur français a confié à la Haute Autorité de Santé la mission d’établir une procédure de certification des sites Internet santé

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Internet et soins primaires : les outils de veille et de recherche documentaires au service d’une information de qualité pour le médecin généraliste en 2013

Le médecin généraliste a pour devoir d’utiliser les données acquises de la science dans la réflexion qu’il mène de concert avec le patient. Il en va du respect du contrat de soins. Objectif : Déterminer quels sont les outils de veille et de recherche documentaires non institutionnels, validés, pertinents, indépendants, en libre accès et en langue française, proposés aux médecins généralistes en 2013

Voir en ligne : L’hénoret, David

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Internet sur la relation médecin-patient en médecine générale

Floriane Dumont a soutenu en décembre 2013 à la faculté de médecine de Grenoble. Son travail est issu d’un questionnaire en ligne (accessible du 5 au 27 janvier 2013). Âgés en moyenne de 45 ans, sept patients interrogés sur dix sont des femmes. Résultat : pour 90 % des patients, le généraliste reste la première source d’information santé.

Voir en ligne : Floriane DUMONT Faculté de Médecine de Grenoble

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Interruption volontaire de grossesse

  • La loi - les principales dispositions
  • Avant l’IVG : les démarches à entreprendre
  • L’interruption de la grossesse
  • La contraception après une IVG

Voir en ligne : Ministère des Affaires sociales et de la Santé

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INTERRUPTION VOLONTAIRE DE GROSSESSE (IVG)

Toute femme enceinte qui s’estime placée dans une situation de détresse peut demander à un médecin l’interruption de sa grossesse, qu’elle soit majeure ou mineure, française ou étrangère. Seule la femme concernée peut en faire la demande et seul un médecin peut la pratiquer, jusqu’à la fin de la douzième semaine de grossesse. Ceci est un droit garanti par la loi (article L.2212-1 du code de la santé publique). En savoir plus sur les dernières avancées en matière de droit à l’IVG.

Ce site répond aux questions que se posent les femmes sur l’avortement et fournit toutes les informations utiles avant, pendant et après l’IVG.

Voir en ligne : IVG.Gouv.fr

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  • (Dossiers)

Interruption volontaire de grossesse par méthode médicamenteuse

Ces recommandations actualisent partiellement les recommandations de l’Anaes de mars 2001 intitulées « Prise en charge de l’interruption volontaire de grossesse (IVG) jusqu’à 14 semaines ». Cette actualisation concerne uniquement la réalisation de l’IVG par méthode médicamenteuse. Les modifications du résumé des caractéristiques du produit de la Mifégyne® (mifépristone) en juin 2007, notamment en termes de posologie et conditions d’administration, ont amené la Direction générale de la santé à demander à la Haute Autorité de Santé d’actualiser la partie concernant l’interruption volontaire de grossesse (IVG) par méthode médicamenteuse des recommandations de l’Anaes « Prise en charge de l’IVG jusqu’à 14 semaines » de mars 2001.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Interruptions de grossesse ambulatoires médicamenteuses au cabinet ?

Les interruptions de grossesse ambulatoires médicamenteuses peuvent-elles se pratiquer au cabinet du médecin de famille ou seulement dans un centre gynécologique ? Cette étude comparative et prospective analyse les résultats des traitements de 382 interruptions de grossesse ambulatoires médicamenteuses effectuées dans trois cabinets de médecins de famille avec ceux de 170 interruptions pratiquées dans un centre de gynécologie obstétrique

Voir en ligne : PrimaryCare

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Intoxication aiguë au paracétamol

Le surdosage de paracétamol est l’une des intoxications médicamen- teuses les plus fréquentes. Autant dans le but suicidaire que thérapeutique (doses suprathérapeutiques) cette intoxication peut avoir des conséquences graves à potentiellement fatales, surtout l’insuffisance hépatique fulminante. Le diagnostic rapide d’un effet potentiellement toxique, les connaissances sur le diagnostic et ses limites sont déterminants pour un traitement aussi adéquat que différencié. Après un surdosage aigu unique, une décision thérapeutique est possible de manière fiable avec le nomogramme de Rumack-Matthew. La N-acétylcystéine est un antidote bien établi qui abaisse très nettement la morbidité et la mortalité.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Intoxication aiguë au paracétamol

Le para-acétylaminophénol (paracétamol ou acétaminophène) est un antipyrétique et analgésique largement utilisé. En vente libre, ce médicament se distingue par la rareté de ses effets indésirables aux doses thérapeutiques. Néanmoins, l’intervalle thérapeutique est relativement étroit, avec un risque sérieux et souvent sous-estimé d’hépatotoxicité en cas d’ingestion massive unique ou répétée. L’identification rapide de l’intoxication, la décontamination digestive, la stratification du risque hépatotoxique et l’instauration précoce du traitement par N-acétylcystéine constituent les étapes critiques de la prise en charge. Le but de cet article est de revoir ces différentes étapes ainsi que les mécanismes de la toxicité de cette molécule.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Investigation de l’infertilité

L’infertilité se définit par l’incapacité pour un couple de concevoir après un an de relations sexuelles non protégées.

Voir en ligne : Clinique Générale-Beaulieu (Suisse)

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Irradiation de la population

Nous baignons naturellement dans un monde de rayonnements ; les rayonnements électro-magnétiques de radiodiffusion, de télévision ou des appareils ménagers électriques à haute ou basse tension pourraient représenter un risque de santé non encore démontré.De même l’humanité a toujours vécu dans un monde de rayonnements ionisants naturels domaine qui s’est étendu pendant ce siècle par l’industrie et la médecine.

Voir en ligne : Faculté de Médecine de Rennes

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Ischémies myocardiques transitoires, Angine de poitrine

L’ischémie myocardique correspond à une souffrance cellulaire induite par une inadéquation entre les apports en 02 au myocarde et ses besoins. Cette souffrance cellulaire peut être transitoire ; dans ce cas, elle régresse dans des délais variables mais habituellement brefs sans laisser de lésion irréversible. Elle peut être :

  • symptomatique, se révélant par la douleur d’angine de poitrine,
  • ou totalement asymptomatique = ischémie myocardique silencieuse.

Voir en ligne : Pr. Daubert - Département de cardiologie et maladies vasculaires - CHU de Rennes, Rennes

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Israël : le psoriasis en voie de guérison

Des chercheurs du Département des Sciences de la Vie et de l’Institut National de Biotechnologies à l’Université Ben-Gourion du Néguev en collaboration avec la société pharmaceutique Teva, ont conçu un récepteur naturel du système immunitaire qui pourrait devenir un médicament prometteur pour le traitement du psoriasis. Le psoriasis est une maladie auto-immune de la peau qui touche 1 à 3 % de la population mondiale. L’épiderme se renouvelle trop rapidement, en seulement quatre à six jours, au lieu des trois semaines habituelles, ce qui engendre des inflammations localisées. Les cellules épidermiques s’accumulent à la surface de la peau et forment une couche de pellicules blanches, les “squames”.

Voir en ligne : siliconwadi.fr

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Israël : avancée dans la recherche d’un vaccin contre la maladie d’Alzheimer (AFP)

Un chercheur israélien a fait état lundi d’une avancée dans la mise au point d’un vaccin contre la maladie d’Alzheimer, à la suite de travaux de laboratoire sur des souris transgéniques en Israël. "Nous sommes parvenus à stimuler une réponse immunitaire et à en prévoir les effets chez des souris vaccinées sur lesquelles avait été greffé un gène humain", a déclaré à l’AFP le chercheur Alon Monsonego, qui travaille en équipe avec des chercheurs américains et britanniques.

Voir en ligne : www.google.com

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Israël : des chercheurs ont découvert une protéine capable d’éradiquer le cancer

Une équipe de chercheurs israéliens de l’Université du Technion à Haïfa (nord), dirigée par le prix Nobel de Chimie Aaron Ciechanover​, a fait la découverte de deux protéines capables d’éradiquer le cancer et de contrôler le développement et la croissance de cellules cancéreuses, Dans un article publié la semaine dernière dans le magazine Cell, les chercheurs expliquent comment une forte concentration des protéines KPC1 et p50 dans les tissus pourrait supprimer les cellules cancéreuses.

Voir en ligne : i24news

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IST - Infections Sexuellement Transmissibles

Certaines IST n’ont pas de signes visibles et peuvent avoir des conséquences graves pour la santé. Plusieurs millions de personnes en sont atteintes en France. Ce site vous informe sur les principales IST et les moyens de vous en protéger

Voir en ligne : INPES Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé

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J’AI OUBLIÉ MA PILULE

* en cas d’oubli (conseils) ;
* bien prendre sa pilule (conseils)

Voir en ligne : g-oubliemapilule.com

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J’aime le soleil mais je protège ma peau

Évitez la surexposition au soleil et évitez les coups de soleil, surtout durant l’enfance. Le soleil est bon pour votre santé physique et mentale. L’excès de soleil est mauvais pour votre peau et vos yeux. Une certaine quantité de soleil est indispensable pour maintenir votre organisme en bonne santé et vous donner tonus et vitalité. Cependant, la quantité de rayons ultraviolets (U.V.) requise pour assurer le bien-être de votre corps est faible.

Voir en ligne : Swissweb santé publique-prévention-promotion de la santé

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Jamais la première cigarette

campagne anti-tabac réalisé par des enfants pour des enfants. "Si tu fumes t’est grand, sans tabac t’es encore bien plus grand" Pourquoi cette campagne ? Les jeunes Français (10/14 ans) commencent à fumer de plus en plus tôt, et sont parmi les plus gros fumeurs d’Europe. Environ 80% des fumeurs souhaitent s’arrêter et ne peuvent le faire. Il est plus facile de ne pas commencer que de s’arrêter de fumer.

Voir en ligne : Fédération Française de Cardiologie

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Je me gratte, que dois-je rechercher pour faciliter le diagnostic médical ?

Depuis quand je me gratte ?
Je me gratte depuis quelques heures, depuis cette nuit, ou c’est progressivement survenu depuis quelques jours ? je suis un allergique connu, je fais régulièrement de l’eczéma, des poussées de prurigo, de l’urticaire, des poussées d’asthme ou de coryza. J’ai une dermatose ou une maladie connue qui s’aggrave.
Je me souviens des circonstances de survenue de ce prurit ?

Voir en ligne : Docteur François Mahuzier

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Je souhaite réduire ma consommation de sucre. Les édulcorants représentent-ils un risque pour ma santé ?

Depuis des centaines d’années, nous utilisons le sucre pour améliorer le goût des aliments. Récemment, une consommation élevée de sucre a été liée à des problèmes de santé comme l’obésité, le diabète, le cancer et les maladies du cœur. Toutefois, les études scientifiques ne corroborent pas cette observation. En fait, la carie dentaire constitue le seul problème de santé dont le lien avec le sucre soit prouvé. Un brossage quotidien, l’utilisation de la soie dentaire et des soins dentaires réguliers contribuent à prévenir les effets du sucre sur les dents.

Voir en ligne : Les Diététistes du Canada

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Je suis patient. Le Dossier Médical Personnel est un dossier médical informatisé, accessible sur internet.

Appelé DMP, il contient les informations personnelles de santé nécessaires à mon suivi : traitements, antécédents médicaux et chirurgicaux, comptes-rendus hospitaliers et de radiologie, analyses de laboratoire ... Avec mon accord, les professionnels de santé qui me suivent peuvent ajouter dans mon DMP des documents de santé et partager ainsi les informations utiles à la coordination de mes soins.

Voir en ligne : DMP, au service de la santé

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Jeunes diplômés de médecine générale : devenir médecin généraliste... ou pas ?

Les enseignements du suivi d’une cohorte d’une cinquantaine d’anciens internes (2003-2010)
Il n’y a pas d’équivalence automatique entre le nombre de généralistes diplômés et ceux qui pratiquent effectivement la MG quelques années plus tard. Le phénomène n’est d’ailleurs pas neuf, mais a fait l’objet d’une prise de conscience récente. Une recherche conduite entre 2002 et 2004 sur la transmission de la MG lors du stage chez le praticien, par entretiens approfondis auprès des généralistes seniors comme des stagiaires accueillis dans les cabinets révélait déjà un devenir des internes de MG extrêmement ouvert et incertain.

Voir en ligne : Série Études et Recherche N° 104, drees février 2011

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Journée de l’infertilité : les résultats des 101 centres de procréation français

Les résultats officiels sont en fait diffusés depuis 2013 par l’agence de la biomédecine, organisme public qui a pour mission de suivre et d’évaluer les activités d’assistance médicale à la procréation (AMP). « Le but de l’agence est de promouvoir l’accès et l’égalité des soins à tous les Français et les Françaises et de faire une évaluation des résultats des centres », rappelle le Professeur Dominique Royère, directeur adjoint de l’agence de la biomédecine, précisant que les documents diffusés sur internet ont vocation à être utilisés par les professionnels, même si tout le monde peut y avoir accès... à condition d’être statisticien !

Voir en ligne : Le Parisien

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Journée mondiale de la bronchopneumopathie chronique obstructive (14 novembre 2012)

La Journée mondiale de la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) est destinée à mieux faire connaître cette maladie et à promouvoir une amélioration de la qualité des soins dispensés aux patients. Organisée par l’Initiative mondiale contre les bronchopneumopathies chroniques obstructives, cette journée est l’occasion pour les professionnels de la santé et les associations de patients partout dans le monde d’organiser diverses activités.

Voir en ligne : OMS | Organisation mondiale de la Santé

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J’ai ouvert un site dédié à la santé. Mon site doit-il être certifié ?

Vous avez créé un site diffusant des informations relatives à la santé. Vous désirez savoir si vous pouvez demander une certification de ce site. La certification des sites informatiques dédiés à la santé est prévue par l’article 35 II de la loi n° 2004-810 [http://www.legifrance.gouv.fr/texte...] du 13 août 2004 relative à l’assurance maladie, codifié à l’article L. 161-38 du Code de la sécurité sociale. Cette loi a institué la Haute Autorité de santé [http://www.has-sante.fr/] (HAS) qui s’est notamment vu confier le soin d’établir la procédure de certification. Dans le cadre de cette mission, la HAS a choisi l’organisation non gouvernementale suisse Health On the Net (HON) pour mettre en œuvre la certification des sites dédiés à la santé. Celle-ci délivre une certification pour les sites internet consacrés à la santé, appelée HONcode.

Voir en ligne : Le Forum des droits sur l’internet

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Kinésithérapie respiratoire pour le traitement de la bronchiolite aiguë chez les enfants âgés de moins de deux ans

La bronchiolite aiguë est une infection respiratoire virale courante touchant les enfants âgés de moins de deux ans. La majorité d’entre eux souffrent d’une forme bénigne de cette maladie et n’ont pas besoin d’être hospitalisés. En revanche, ceux devant être hospitalisés ont parfois des difficultés à éliminer le flegme (sécrétions respiratoires formées de mucus épais et causées par l’infection). La kinésithérapie respiratoire a été proposée comme méthode permettant d’aider à l’élimination de ces sécrétions respiratoires et d’améliorer la respiration. Cette revue n’a trouvé aucune preuve concernant les effets bénéfiques cliniques de la kinésithérapie respiratoire chez les enfants atteints d’une bronchiolite aiguë.

Voir en ligne : Centre Cochrane Français

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Kit grippe A à l’usage du chef d’entreprise

Ce kit téléchargeable est destiné aux dirigeants de TPE et PME, aux artisans, commerçants et professions libérales. Il contient des conseils pratiques pour éviter la diffusion du virus au sein de l’entreprise ainsi qu’un guide d’accompagnement pour la mise en place d’un plan de continuité de l’activité économique dans une situation de pandémie grippale. Ce kit contient notamment un rappel des "gestes barrière" à adopter pour éviter la contagion, ainsi que des supports de communication directement utilisables au sein de l’entreprise.

Voir en ligne : Info’ pandémie grippale

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L’acné juvénile

Tout d’abord, il faut se départir des idées reçues : l’acné n’est pas due à un défaut d’hygiène, elle ne guérit pas lors du mariage, le fait de manipuler ses boutons ne l’améliore pas, bien au contraire et elle n’est pas contagieuse * L’acné est une maladie de la glande sébacée (glande située à coté des poils et qui sécrète une substance grasse : le sébum). Cette glande se bouche et forme les boutons. Les hormones mâles jouent un rôle important sur le déclenchement de l’acné. Il faut savoir que les femmes ont aussi des hormones mâles, et peuvent donc avoir aussi de l’acné.
* La période de l’adolescence étant marquée par un bouleversement hormonal, l’acné est très fréquente chez les adolescents (elle touche 80% d’entre eux).

Voir en ligne : dermatonet.com

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L’acouphène est source de stress mais peut être aussi une manifestation de stress

L’acouphène est une sensation auditive perçue par la personne elle-même et ce, sans stimulation extérieure. Les sons entendus peuvent être de différentes natures : bourdonnements, sillements, pulsations, etc.

Voir en ligne : Hélène Caron, M.o.A. Audiologiste

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L’Afssa évalue l’exposition des consommateurs au bisphenol A en France

Dans son avis du 29 janvier 2010, l’Afssa avait recommandé de collecter des données pour évaluer l’exposition des consommateurs au BPA en France. Elle s’était engagée à poursuivre les travaux scientifiques pour mieux appréhender les effets du bisphénol A en termes de santé humaine, éclairer le consommateur et permettre aux pouvoirs publics de prendre des mesures appropriées. Marc Mortureux, Directeur général de l’Afssa, fait un point sur les travaux en cours.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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L’alcool et le foie

Que se passe-t-il quand une personne « prend un verre » ?
L’alcool agit sur tout le monde. Quand une personne prend un verre, l’alcool passe directement au travers de la paroi de l’estomac et de l’intestin dans le courant sanguin, d’où il est rapidement réparti dans tout le corps. Les femmes absorbent plus d’alcool de chaque consommation que les hommes. L’alcool modifie la fonction de toutes les cellules dans lesquelles il pénètre.

Voir en ligne : Fondation Canadienne du Foie

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L’alcoolisme est une maladie qui se soigne !

La prévention repose traditionnellement sur des programmes d’information au niveau national, ainsi que sur de nombreuses actions menées par les collectivités locales. Les stratégies de prévention visant une réduction de la consommation peuvent prendre la forme de lois, de politiques ou d’autres mesures réglementaires

Voir en ligne : Comité Editorial indépendant , ALCOWEB bénéficie du soutien financier de la Commission Européenne

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L’algie vasculaire de la face (cluster headache)

L’algie vasculaire de la face (AVF) est une céphalée primaire, sans lésion sous-jacente. Elle se manifeste par des crises douloureuses intenses et brèves séparées par des intervalles libres asymptomatiques. Il s’agit d’une maladie périodique évoluant par salves de 2 à 8 semaines. Le diagnostic est fait à l’interrogatoire et s’accompagne d’un examen clinique normal. Affection rare (prévalence autour de 0,5%) elle touche plutôt des sujets jeunes de sexe masculin. Mal connue, le retard diagnostic moyen est de 10 à 15 ans

Voir en ligne : Mme le Pr Bousser, hôpital Lariboisière. Dr Visy et le Pr Bousser Dr Valade,

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L’alimentation du bébé de 0-12 mois

L’alimentation des premiers mois de vie est primordiale. Elle influence la croissance et le développement des tout petits ainsi que leur santé à long terme. L’aliment de référence pendant les 6 premiers mois de vie c’est le lait maternel, parfaitement adapté aux besoins du bébé et favorisant ainsi la meilleure santé possible. Si, toutefois, pour quelque raison que ce soit, l’allaitement maternel n’est pas possible, les laits pour nourrissons couvrent les besoins du bébé. Bien que le pédiatre vous guide et vous conseille dans le choix du lait le mieux adapté, de nombreuses questions se posent : préparation du biberon, choix des tétines, nombre de repas à proposer. A partir du 6ème mois, l’alimentation lactée ne suffit plus à couvrir tous les besoins de la croissance du bébé : c’est le moment d’entamer la diversification alimentaire. Commence alors toute une aventure pour le bébé et ses parents. Comment préparer son premier repas, à quel moment introduire de nouveaux aliments et que faire si bébé refuse ? Autant de questions que les parents se posent et auxquelles cette brochure essaye de répondre. Elle vous donnera des conseils pratiques et vous aidera à vous guider au mieux dans cette période de découverte que vous vivez avec votre enfant.

Voir en ligne : Portail Santé - Grand-Duché de Luxembourg

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L’amour ne s’autorise que de lui même

Ce qui lie l’amour à la copulation est aussi obscur que ce qui lie la copulation à la procréation. La chose n’a pas fini de faire les beaux jours des romanciers et des analystes, car le salmigondis qui en résulte ouvre sur des chapitres aussi aventureux que morbides.

Voir en ligne : Jean-Claude Lavie (psychanalyse in situ)

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L’annuaire des laboratoires d’analyses de biologie médicale

Annuaire des laboratoires d’analyses de biologie médicale, forum de discussion et liens spécialisés pour les LAM

Voir en ligne : annulab.com

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L’anorexie : un problème de taille

Une approche basée sur la compréhension du sens de ce trouble alimentaire. À la section médecine de l’adolescence du Département de pédiatrie de l’hôpital Sainte-Justine, le Dr Jean Wilkins tente de susciter chez quatre adolescentes anorexiques un questionnement quant au sens que revêt pour elles leur conduite alimentaire restrictive

Voir en ligne : Dr Jean Wilkins

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L’ANSM, agence d’évaluation, d’expertise et de décision

L’ANSM, qui s’est officiellement substituée à l’Afssaps le 1er mai dernier, est opérationnelle. Son nouveau Conseil d’administration vient de se réunir pour la première fois et sa nouvelle organisation interne, destinée à accroître la réactivité et l’efficacité de l’Agence, est en place depuis le 3 octobre.

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

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L’antibiothérapie de l’otite moyenne aiguë

L’otite moyenne est l’infection de l’enfance contre laquelle on prescrit le plus d’antibiotiques. On s’interroge pourtant sur le traitement idéal de l’otite moyenne aiguë (OMA), et les avis sont partagés au sein du corps médical quant à plusieurs notions fondamentales. Le présent guide porte sur plusieurs points controversés au sujet du traitement antimicrobien de l’OMA et présente un avis consensuel à l’égard de chacun d’eux. Il convient de souligner qu’il reste beaucoup à apprendre sur la prise en charge de ce problème courant de l’enfance et que les recherches en cours imposeront peut-être la révision de ces avis dans un avenir rapproché. Ces recommandations doivent donc être perçues comme provisoires et tributaires de l’état actuel des connaissances.

Voir en ligne : Comité des maladies infectieuses et d’immunisation, Société canadienne de pédiatrie (SCP)

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L’appendicite aigüe et appendicectomie

L’appendice est un organe lymphoïde, équivalent d’un ganglion, appendu (d’où son nom) à la base de la partie droite du gros intestin (ou colon). Il peut s’infecter, généralement du fait d’une obstruction, donnant lieu à une appendicite aiguë. Elle se traduit souvent par l’association d’une fièvre et de douleurs de la partie droite et basse du ventre. Assez fréquemment, les signes sont peu nets, rendant le diagnostic parfois difficile. D’autant que nous ne disposons toujours pas d’examens (radio, échographie, analyses sanguines) qui permettraient d’affirmer que l’appendice est sain, ou au contraire malade. Chaque cas est donc particulier et votre médecin a pu vous expliquer le vôtre. Toutes les appendicites doivent être opérées : I’opération est le seul traitement qui s’oppose, avec certitude, à la diffusion de l’infection.

Voir en ligne : Groupe Hospitalier Diaconesses Croix Saint-Simon

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l’ARC invite les internautes à déjouer les idées reçues sur le cancer du sein

A l’occasion d’Octobre Rose, mois de sensibilisation au dépistage du cancer du sein, l’Association pour la Recherche sur le Cancer a réalisé un quizz « Cancer du sein : et si nous combattions ensemble les idées reçues ? » sur un modèle Vrai-Faux. En 9 questions, l’ARC invite les internautes, jusqu’à la fin du mois, à déjouer les idées reçues sur cette maladie qui frappe plus de 50 000 femmes chaque année dans notre pays.

Voir en ligne : ARC Association pour la Recherche sur le Cancer

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L’arthrose

L’arthrose est la maladie rhumatismale la plus fréquente dans les pays occidentaux. C’est une maladie du cartilage, structure résitante et élastique qui recouvre les extrêmités osseuses. Le cartilage s’altère progressivement avec l’âge : de petits fragments se détachent, constituent des corps étrangers libres dans l’articulation, qui deviennent sources d’inflammation. Le cartilage s’use progressivement. Les os frottent alors l’un sur l’autre. Des excroissances osseuses anormales se développent, accentuant les phénomènes douloureux. Les articulations les plus fréquemment atteintes sont les hanches, les genoux, les mains et la colonne vertébrale.

Voir en ligne : SFTG PARIS-NORD

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L’arthrose en 100 questions

En janvier 2000, l’Organisation Mondiale de la Santé a déclaré la première décennie du troisième millénaire comme étant celle des maladies des os et des articulations. Cette "Bone and joint Decade" est d’autant plus justifiée que l’arthrose représente, et de loin, l’affection responsable du plus grand nombre de handicaps dans le monde. L’accroissement du nombre et de l’espérance de vie de la population ne pourra qu’aggraver ce fléau dans les prochaines années... et pourtant... on peut faire quelques chose...

Voir en ligne : pôle ostéo-articulaire de l’hôpital Cochin

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L’assistance médicale à la procréation et la recherche sur l’embryon en Europe.

La prochaine révision des lois françaises sur la bioéthique soulève plusieurs interrogations, les unes portant sur l’assistance médicale à la procréation et les autres sur la recherche sur l’embryon. Il a donc paru utile d’analyser comment d’autres pays européens résolvaient quelques-unes des questions actuellement en discussion :

  • l’accès des femmes célibataires à l’assistance médicale à la procréation ;
  • l’insémination artificielle et le transfert d’embryons post-mortem ;
  • la possibilité de réaliser des diagnostics préimplantatoires ;
  • la recherche sur l’embryon ;
  • l’interdiction explicite du clonage humain.

Voir en ligne : Note de synthèse du Sénat français (2000)

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L’Assurance Maladie lance la campagne de vaccination antigrippale

La grippe touche chaque hiver de 2 à 7 millions de personnes en France, selon la gravité de l’épidémie. Elle peut entraîner des complications sévères chez les sujets les plus fragiles et demeure la première cause de mortalité par maladie infectieuse chez les personnes âgées. Pour les populations à risque, la vaccination est conseillée et prise en charge à 100% par l’Assurance Maladie.

Voir en ligne : URMLA

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L’Assurance maladie passe la main

Jusqu’alors, la suspension des indemnités journalières en cas d’arrêt maladie ne pouvait pas être décidée sans l’examen du médecin conseil de l’Assurance maladie. Depuis la fin août, l’avis du médecin mandaté par l’employeur peut suffire.

Voir en ligne : Que Choisir ?

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L’audition

Un site sympa pour que vous trouviez toutes les informations dont vous pouvez avoir besoin sur l’audition, les oreilles, les appareils et les audioprothésistes. Un site créé pour vous, pour votre grand-mère, votre copain de classe Et, bientôt, une page pour les fabricants !

Voir en ligne : audioprothesiste.com

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L’augmentation de la consommation de fructose responsable du syndrome métabolique ?

Ces dernières années, notamment aux Etats-Unis, le saccharose a été progressivement remplacé par le fructose comme édulcorant dans les boissons, les pâtisseries et autres denrées alimentaires sucrées. Les données épidémiologiques des Etats-Unis trahissent une évolution parallèle entre l’augmentation rapide de l’obésité et l’adjonction de fructose.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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L’éducation thérapeutique du patient (ETP), une pièce maîtresse pour répondre aux nouveaux besoins de la médecine

L’expansion des maladies chroniques a mis en évidence l’impossibilité de concevoir et de mettre en oeuvre dans l’avenir une réelle politique de santé publique sans impliquer les patients dans le suivi de leur maladie, et sans donner parallèlement aux médecins la possibilité d’être plus à leur écoute et plus disponibles en termes de temps et de compétence éducative

Voir en ligne : Académie Nationale de Médecine

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L’effet de la variation du prix de la cigarette sur l’usage du tabac chez les adolescents

La cigarette et les autres produits du tabac font partie des produits chimiques à usage récréatif les plus consommés au Canada. L’utilisation de la cigarette s’associe à une augmentation du risque de maladie du cœur, de cancer du poumon, d’emphysème et d’autres maladies pulmonaires chroniques, et à un faible poids à la naissance (1). La réduction du taux de tabagisme fait partie des quelques interventions démontrées comme capables de faire chuter le taux de maladies du cœur et de maladies pulmonaires (2). Les répercussions potentielles de cette réduction peuvent être immenses. En effet, on estime que si l’usage du tabac chez les adultes passait à 10 % au Canada (par rapport à 52 % en 1989), on remarquerait une diminution annuelle de 21 000 décès attribuables au tabagisme (3). Cependant, bien que l’usage du tabac ait décliné au Canada depuis 1989, il semble s’être stabilisé à 30 % (4).

Voir en ligne : Comité de pharmacologie et des substances dangereuses, Société canadienne de pédiatrie (SCP)

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L’effet des interventions contre la consommation de tabac : une revue des revues de littérature

Cette synthèse de revues de littérature systématiques fait le point des connaissances sur l’efficacité des politiques publiques ou interventions visant à réduire le tabagisme. Sont questionnés les effets des interventions auprès des collégiens et lycéens les prévenant des méfaits du tabac et de son caractère addictif, les hausses de prix dues à la taxe sur les cigarettes, ou encore les effets des traitements et interventions pour aider les fumeurs à arrêter de fumer.

Voir en ligne : INPES - Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé

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L’emploi du préservatif est en hausse

Les campagnes de commercialisation sociale visant à prévenir le sida l’ont rendu accessible et abordable.
Quoique la plupart des hommes avouent ne pas aimer le préservatif, son utilisation est montée en flèche étant donné qu’elle représente la stratégie primordiale de prévention contre le virus du sida parmi les personnes à risque.

Voir en ligne : Family Health International (FHI)

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L’endocardite infectieuse : Mise à jour des lignes directrices

La plus récente révision des lignes directrices de l’American Heart Association sur la prophylaxie de l’endocardite infectieuse a été effectuée en 2007, parce que les données à jour remettaient en question les bienfaits des recommandations précédentes sur la prophylaxie de l’endocardite infectieuse. On y soulignait que la bactériémie suscitée par des interventions dentaires ne représente qu’une fraction des épisodes de bactériémie suscités par les activités de la vie quotidienne (comme la mastication, le brossage des dents et d’autres mesures d’hygiène buccale). Le nombre de groupes cibles et d’interventions qui justifient une prophylaxie a considérablement diminué. On s’attarde maintenant aux patients les plus susceptibles de subir une réaction indésirable causée par une endocardite infectieuse. Le présent article s’adresse aux médecins canadiens en exercice et expose la raison d’être des recommandations à jour. En plus de contenir un résumé des indications de prophylaxie, il renferme de l’information sur les maladies pour lesquelles la prophylaxie n’est pas recommandée.

Voir en ligne : Société canadienne de pédiatrie

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L’enfant et les écrans

La croissance de l’intelligence, de la sensibilité, des capacités de relation de chaque enfant est à la fois robuste et infiniment fragile. Livré seul aux écrans, il dérivera dans la solitude, tandis qu’accompagné il en fera des usages nouveaux que la génération de ses parents n’imagine pas. Prudence lucide et émerveillement attentif sont, en fin de compte, les meilleurs services aue nous puissions rendre à cet enfant du siècle nouveau.

Voir en ligne : Jean-François Bach, Olivier Houdé, Pierre Léna, Serge Tisseron. Un Avis de l’Académie des sciences

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L’Entorse de la Cheville - Traitement et prévention des rechutes

Comment peut-on diagnostiquer une entorse de la cheville ?
Les signes d’une entorse de la cheville sont l’enflure, la douleur, les ecchymoses et la difficulté à bouger la cheville après le traumatisme. Votre médecin saura vous dire si vous avez une entorse en vous questionnant sur la façon dont l’accident est survenu et en vous examinant la cheville. Il pourra s’avérer nécessaire de faire une radiographie pour vérifier si l’os est fracturé.

Voir en ligne : Collège des médecins de famille du Canada

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L’épaule douloureuse

Un interrogatoire et un examen physique détaillés sont essentiels chez tous les patients se plaignant d’épaule douloureuse.

Voir en ligne : J.-P. VALAT - Faculté de médecine de Tours

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L’Epaule Douloureuse

En pratique, la majorité des douleurs de l’épaule entre dans le cadre des périarthropathies (anciennes périarthrites) de l’épaule intéressant tendons, bourses séreuses, capsule articulaire.

Voir en ligne : X. Phelip - Faculté de médecin de Grenoble

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L’épaule douloureuse

UNE DOULEUR DE L’EPAULE EST REPRODUITE PAR LA MOBILISATION DE L’EPAULE. Comme toutes les articulation l’épaule est le siège de pathologies variées :

  • Arthrite septique : Douleur et impotence fonctionnelle importante ATCD d’infiltration ou geste local Signes généraux+++ (T° AEG Sueurs nuit ...)
  • Rhumatisme inflammatoire ( PR, SPA, Rhum. psoriasique,...)
  • PPR
  • Arthrites microcristallines

Voir en ligne : Laurent Deyris, membre de SFTG Paris Nord | Expert : Gilles Hayem, rhumatologue, Hôpital Bichat

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L’épicondylalgie

L’épicondylalgie est une algie (douleur) à la région de l’épicondyle (face externe du coude). Elle peut être due à une affection locale ou être une douleur référée d’une pathologie de la colonne cervicale. On retrouve à l’épicondyle les tendons extenseurs du poignet et des doigts ainsi que ceux des muscles supinateurs de l’avant-bras. Les tendons épitrochléens sont l’équivalent à la face interne du coude et participent à la flexion du poignet et des doigts de même qu’à la rotation de l’avant-bras en pronation. L’épicondylite, communément appelée " tennis elbow " constitue une affection primaire des tendons en cause au site d’insertion sur l’épicondyle.

Voir en ligne : Marcel Morand, MD

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L’épilepsie

L’épilepsie est une maladie du cerveau. Elle a, hélas, trop longtemps été considérée comme une maladie psychiatrique, nombre de malades étant pris comme de simples fous, alors qu’il s’agit d’une maladie organique, en rapport avec un mauvais fonctionnement de certaines structures de l’écorce cérébrale.

Voir en ligne : HUG - source : "L’épilepsie", Jallon P

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L’escarre n’est-elle qu’un problème de cicatrisation ?

L’escarre est une pathologie apparemment aussi redoutée par les patients que par les équipes soignantes. Néanmoins, ses mécanismes de constitution ne sont par toujours appréhendés, sa gravité est souvent estimée avec un retard qui rend son traitement plus difficile et aléatoire. L’escarre ne doit pas être regardée comme une plaie ordinaire, ni dans son mode de formation, ni dans sa prise en charge. L’escarre est une plaie qui s’inscrit toujours dans un contexte général, c’est la face visible de l’iceberg, ou l’expression localisée d’un contexte clinique que l’on doit absolument apprécier en tant que tel. Cette vision s’applique autant à sa raison de survenue qu’à son traitement.

Voir en ligne : ASSOCIATION P.E.R.S.E.

Sujets associés


L’examen psychologique et l’utilisation des mesures en psychologie de l’enfant

La volonté des psychologues de maîtriser les conséquences de leurs démarches diagnostiques en psychologie de l’enfant, de rendre publiquement compte de leurs actes professionnels et des réflexions qui les accompagnent, et de remettre en cause si nécessaire leurs pratiques, témoigne du souci d’améliorer la qualité des services rendus au public en général et aux personnes consultantes en particulier, d’accompagner les évolutions professionnelles et sociales, de renforcer la crédibilité des actes psychologiques et d’en garantir les compétences.

Voir en ligne : La FFPP, SFP, l’AFPEN, l’ACOP-F

Sujets associés


L’hallux valgus

L’hallux valgus est la déformation du premier rayon du pied associant le plus fréquemment une déviation en varus du premier métatarsien et en valgus du gros orteil. Il en résulte une angulation de l’avant pied, une proéminence de l’articulation métatarsophalangienne (appelée trivialement « oignon ») qui rentre en conflit avec la chaussure à l’origine de douleurs et de gêne fonctionnelle.

Voir en ligne : Docteur Nicolas Chanzy - chirurgie orthopédique et traumatologique, Paris

Sujets associés


L’herpès génital

Il s’agit d’une infection virale, sexuellement transmise, fréquente au début de la vie sexuelle. Pouvant être longtemps cliniquement muette, elle peut se réveiller des années plus tard. Elle peut-être récidivante et gênante, et présente des risques pour l’enfant au moment de l’accouchement. L’herpès affecte en France environ 20 % de la population sexuellement active, et en particulier la tranche d’âge des 25-35 ans. La transmission du virus, l’herpès virus de type 2, se fait au cours d’un rapport sexuel avec un partenaire qui a des lésions actives, contagieuses, car contenant du virus, ou au contact d’une personne porteuse du virus sur ses muqueuses mais sans lésion apparente (personne asymptomatique) (50 à 90 % des cas).

Voir en ligne : SFD - Société Française de Dermatologie

Sujets associés


L’herpès labial ou bouton de fièvre

L’herpès labial, appelé couramment « bouton de fièvre », est une affection cutanée récidivante. Elle est due au virus herpes virus 1 (HV1), présent dans l’organisme depuis une infection, souvent contractée pendant l’enfance. L’herpès labial apparaît après la réactivation de ce virus.

Voir en ligne : Ameli Santé

Sujets associés


L’hygiène du corps - Priorité aux mains propres

Aujourd’hui, les comportements alimentaires ont changé : repas plus courts, plus nombreux, fréquentation des "fast-food". Tout va très vite et on ne prend pas le temps de se laver les mains de manière correcte et fréquente. Or, des mains sales véhiculent de nombreuses affections, de la plus bénigne à la plus grave. En 1996, en Ecosse, une bactérie tueuse (Escherichia Coli) transmise à la viande par un boucher aux mains sales, a fait dix-huit victimes.

Voir en ligne : Association @lyon : Reflexions sur l’environnement

Sujets associés


L’hyperthyroïdie clinique et subclinique - Quand la suspecter et comment intervenir ?

Les manifestations de l’hyperthyroïdie subclinique sont plus discrètes. Essentiellement, les conséquences osseuses et cardiaques inquiètent. L’hyperthyroïdie est une entité habituellement évidente cliniquement, qui se manifeste par une panoplie de symptômes classiques.

Voir en ligne : La Dre Godin | Université de Sherbooke - Le Clinicien revue de formation médicale continue

Sujets associés


L’hypoglycémie du patient diabétique

Le risque hypoglycémique est inhérent aux thérapeutiques visant à augmenter l’insulinémie, qu’il s’agisse de l’insulinothérapie du diabète insulino-dépendant ou du traitement du diabète non insulino-dépendant par les sulfamides hypoglycémiants. Néanmoins, le risque hypoglycémique dépend d’abord et avant tout de la stabilité glycémique conditionnée par l’existence d’une insulino-sécrétion résiduelle. Ansi, la survenue d’hypoglycémies répétées est inévitable au cours du diabète insulino-dépendant insulinoprive du moins lorsque l’objectif thérapeutique est la prévention de la microangiopathie grâce à une insulinothérapie optimisée. A l’inverse, le traitement par sulfamides, ou même par insuline, d’un diabète non insulino-dépendant ne doit pas entraîner d’hypoglycémies répétées si les modalités du traitement ont été bien définies et si le malade a été correctement éduqué.

Voir en ligne : Recommandations de l’ALFEDIAM

Sujets associés


L’infarctus du myocarde : on peut l’enrayer ... pas une minute à PERDRE...composer le 15

En France, chaque année, 100 000 à 150 000 nouveaux cas d’infarctus du myocarde sont à l’origine de nombreux décès et d’invalidités durables. Il faut tout faire pour prévenir cet accident cardiaque, mais aussi agir très vite lorsqu’il survient.

Voir en ligne : Fédération
Française
de Cardiologie - Assureurs - Prévention - Santé

Sujets associés


L’information médicale recueillie par le patient sur internet : quels échanges avec le médecin généraliste

Comment l’information médicale recueillie par le patient sur internet influence-t-elle la consultation avec le médecin ? Pourquoi les internautes n’évoquent-ils pas leurs recherches sur internet en consultation avec leur médecin ? Quelles sont leurs craintes ?

Voir en ligne : Katy SILVERSTON - Thèse d´exercice de médecine, Université Paris Diderot - Paris 7

Sujets associés


L’injection du vaccin associé Rougeole-Oreillons-Rubéole s’effectue par injection sous-cutanée.

La vaccination Rougeole-Oreillons-Rubéole peut être prescrite par le médecin habituel de votre enfant. La prescription doit être établie sur une ordonnance dédiée à cette vaccination. L’injection peut être effectuée par le médecin lui-même, ou s’il le souhaite, par une infirmière. Dans ce cas, il faudra deux ordonnances, l’une pour le vaccin, l’autre pour l’injection. Une fois l’injection effectuée, elle devra être inscrite sur le carnet de santé de l’enfant.

Voir en ligne : INEPS Institut national de prévention et d’éducation pour la santé

Sujets associés


L’Insomnie - Pour bien dormir la nuit

De nombreuses personnes souffrent d’insomnie ou de troubles du sommeil. Certains n’arrivent pas à s’endormir, d’autres se réveillent pendant la nuit et ne retrouvent plus le sommeil, d’autres encore se réveillent très tôt le matin. L’insomnie n’est pas une maladie. C’est un moyen que prend l’organisme pour dire que quelque chose ne va pas. Les causes de l’insomnie sont nombreuses : stress, trop grande consommation de caféine, dépression, changement d’horaire de travail et douleur reliée à certains problèmes de santé, par exemple l’arthrite.

Voir en ligne : CMFC - Collège des Médecins de Famille du Canada

Sujets associés


L’insuffisance cardiaque

Si votre médecin vous parle d’insuffisance cardiaque, qu’est-ce que cela signifie ? Il veut dire par là que votre cœur ne pompe pas vraiment aussi bien qu’il devrait et qu’il travaille moins efficacement. Lors des efforts notamment, il n’est pas en mesure de fournir une quantité optimale de sang et d’oxygène aux muscles et aux organes, sa capacité de pompage étant réduite. L’insuffisance cardiaque peut être une affection sérieuse du cœur et du système circulatoire, qui se manifeste le plus souvent chez les personnes âgées. Un sexagénaire sur quarante souffre d’insuffisance cardiaque, puis la proportion augmente : un septuagénaire sur vingt, un octogénaire sur dix. Comme la plupart des maladies du cœur s’accompagnent, à terme, d’une insuffisance cardiaque, il faut s’attendre à ce que les cas se multiplient du fait de la progression constante de l’espérance de vie.

Voir en ligne : Brochure d’information à l’intention du patient offerte par la Fondation Suisse de Cardiologie

Sujets associés


L’obésité chez l’enfant : passons à l’action !

Qu’est-ce qu’une alimentation saine ? « Manger les bonnes choses de la terre, sauf le chocolat », a répondu l’un des enfants de 6 à 12 ans consultés à ce sujet par Santé Canada. La conclusion de ces groupes de discussion qui réunissaient 144 familles : parents et enfants ont une perception positive de leur régime alimentaire. « Je pense que je mange bien parce que ma mère me dit ce qui est bon et je le mange », a affirmé un autre jeune interviewé.

Voir en ligne : Sylvie Laplante - petitmonde.com

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L’obésité, l’insulinorésistance et le diabète de type 2 : l’interaction entre les cellules adipeuses et les cellules musculaire

"Le diabète sucré de type 2 (DT2) et l’obésité sont deux épidémies mondiales qui ne montrent aucun signe d’affaiblissement. On prévoit que le nombre d’adultes présentant une diminution de la tolérance au glucose (DTG) et atteints de DT2 continuera à augmenter au cours des prochaines décennies. Chez les enfants, en outre de l’augmentation régulière globale des taux de surpoids, d’obésité et de DT2, on a identifié chez certains groupes un risque particulièrement élevé de DTG et de DT2. Des progrès considérables ont été effectués dans la compréhension des mécanismes à la base du développement d’une DTG et du DT2. Récemment, ces travaux de recherche ont été axés sur les interrelations entre les organes et les « interférences » entre les différents tissus et cellules de l’organisme, et sur le rôle de ces interrelations dans le développement de l’insulinorésistance et du DT2."

Voir en ligne : Endocrinologie - Conférences scientifiques - Canada

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L’oedème des membres inférieurs

L’oedème des membres inférieurs peut être uni ou bilatéral et prend alors des significations différentes. L’examen cherchera également à savoir s’il est d’apparition aiguë ou s’il est chronique. Dans tous les cas, on cherchera à savoir si l’oedème est veineux ou lymphatique. L’oedème veineux est souvent un oedème mou, prenant le godet, avec augmentation de chaleur locale et augmentant en position debout. L’oedème lymphatique est plutôt ferme, ne prend pas le godet. L’épreuve au bleu est anormale dans la mesure où l’injection de bleu patente en sous-cutané ne s’accompagne pas d’une résorption le long des canaux lymphatiques mais s’étale en nappe sous la peau.

Voir en ligne : Département d’Information Médicale du CHRU de Pontchaillo


L’OMS et l’UNICEF lancent une campagne pour le traitement de la diarrhée

Les agences des Nations Unies pour la santé et pour l’enfance ont lancé mercredi une campagne pour prévenir des millions de morts dues à la diarrhée dans le monde en développement. « C’est une tragédie que la diarrhée, qui n’est rien de plus qu’un ennui dans le monde développé, tue près de 1,5 millions d’enfants chaque année », a déclaré la directrice exécutive du Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), Ann Veneman.

Voir en ligne : ONU

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L’organisation de la recherche et ses perspectives en matière de prévention et de traitement de l’obésité

Actuellement, la France compte 16,9 pour cent d’adultes obèses, avec une augmentation de la prévalence de l’obésité de 5,9 pour cent par an. 3,5 pour cent des enfants sont obèses, soit 4 fois plus par rapport à 1960. Pourtant, alors que l’obésité constitue une maladie grave à la fois par les complications qu’elle entraîne, les stigmatisations qu’elle induit et les coûts financiers qu’elle implique, elle peine à être reconnue comme une vraie maladie et est souvent réduite à des lieux communs sans rapport avec la complexité de ses déterminants.

Voir en ligne : Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques

Sujets associés


L’ostéoporose en 2013 : quelle prise en charge et quel suivi proposer ?

Durant ces dernières années, les options disponibles pour la prise en charge de l’ostéoporose se sont fort diversifiées. A côté des classiques suppléments en calcium et vitamine D, quelle molécule choisir le cas échéant et quel suivi assurer ? C’est sur ce sujet que le présent article propose de faire le point de façon détaillée et exhaustive

Voir en ligne : RMG - Revue de la Médecine Générale

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L’œil et la vision

La vue est un élément essentiel dans la vie de l’être humain. Elle lui permet de percevoir en permanence le monde extérieur et de s’y mouvoir. C’est aussi le moyen privilégié de la connaissance et de l’éducation puisque les quatre cinquièmes de ce que nous mémorisons dépendent de ce que nous voyons. Instrument d’une grande précision l’oeil a pour fonction d’enregistrer les sensations lumineuses pour les transmettre au cerveau qui les interprète en images et en couleurs. Mais c’est un organe complexe et fragile, susceptible d’imperfections dans sa constitution, sujet à des affections plus ou moins graves et qui, inévitablement, subit les atteintes du vieillissement. Mais quels sont les mécanismes de la vision ? Quelles en sont les anomalies à détecter au plus tôt afin de les corriger grâce aux incessants progrès de la médecine et des techniques.

Voir en ligne : ADOSEN avec le concours du Dr Anne-Marie BALIAN, ophtalmologiste

Sujets associés


La "Balance du Sommeil"

La "Balance du Sommeil" est une animation interactive destinée à faire comprendre les mécanismes de l’alternance veille/sommeil. On peut y observer l’importance relative des différents facteurs responsables de l’équilibre chronobiologique. On peut constater que le rythme veille-sommeil dépend à la fois des paramètres génétiques (le "Chronotype"), et des choix comportementaux comme la sieste ou la grasse matinée.

Voir en ligne : Sommeil et médecine générale

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La bactérie Salmonelle. Conseils pour préserver la salubrité des aliments. Prévention des toxi-infections alimentaires

Voir en ligne : Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA)

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La bonne administration des risques sanitaires

La notion de "sécurité sanitaire" apparaît en France lors du débat parlementaire de 1992 sur la réforme du système national de transfusion sanguine, à la suite d’une crise qui a souligné les carences de l’administration de la santé. Née de cette prise de conscience d’une défaite de la santé publique la sécurité sanitaire ne connaît guère d’équivalent dans les autres pays industrialisés qui lui préfèrent la notion plus large de santé publique ou moins spécifique de gestion des risques.

Voir en ligne : Séminaires de l’Ecole Nationale d’Administration

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La Bronchite Chronique

Voici un petit article qui va expliquer simplement ce qu’est une bronchite chronique, affection respiratoire “fréquemment” rencontré par les gros fumeurs au cours de leur vie avec le tabac. La bronchite chronique se définit par une toux produisant des sécrétions avec crachats particulièrement observée le matin au réveil, et ce sur une durée prolongée de plusieurs mois (à partir de 3 mois consécutifs on parle de bronchite chronique).

Voir en ligne : Arreter de Fumer

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La campagne de vaccination commence pour les collégiens et lycéens le 25 novembre 2009

La vaccination n’est pas obligatoire ; elle est décidée par les familles. Chaque famille a reçu ou va recevoir un bon de vaccination par enfant. Pour les écoliers (écoles maternelles et élémentaires), elle commencera début décembre. Elle sera organisée dans les centres de vaccination de proximité. Les élèves des écoles maternelles et élémentaires s’y rendront accompagnés par leurs parents. Le centre de rattachement est indiqué sur le bon de vaccination transmis aux familles.

Voir en ligne : Info’ pandémie grippale

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La carte européenne d’Assurance Maladie

Vous partez en vacances, étudier ou êtes détaché par votre employeur dans un pays de l’Espace économique Européen ou en Suisse ? Procurez-vous la carte européenne d’Assurance Maladie. Demandez votre carte

Voir en ligne : AMELI Assurance Maladie En Ligne

Sujets associés


La césarienne : ce que toute femme enceinte devrait savoir... Document d’information destiné aux femmes enceintes

En France, près d’une femme sur cinq donne naissance par césarienne que celle-ci soit programmée ou réalisée en urgence. Ce document d’information destiné aux femmes enceintes et à leur entourage a pour objectifs d’expliquer pourquoi chez certaines femmes une césarienne est réalisée et de décrire les différentes étapes de cette intervention.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé | Recommandations en santé publique


La chirurgie de la hernie discale cervicale

"Les disques intervertébraux sont des coussinets placés entre chaque vertèbre qui permettent les mouvements et l’amortissement des mouvements de notre colonne vertébrale. Ils sont entourés et maintenus en place par une armature de fibres et de ligaments. Tout au long de la vie, ces coussinets sont soumis à de nombreux stress mécaniques qui les mènent à une dégénérescence progressive. La colonne cervicale est une des régions très mobile de la colonne vertébrale et c’est pour cette raison que l’usure des disques est importante et fréquente à cet endroit.

Voir en ligne : CHUV Centre Hospitalier Universitaire Vaudois Lausanne - Hospices - CHUV Suisse 2004

Sujets associés


La chirurgie de la hernie discale lombaire

Les disques intervertébraux sont des coussinets placés entre chaque vertèbre qui permettent les mouvements et l’amortissement des mouvements de notre colonne vertébrale. Ils sont entourés et maintenus en place par une armature de fibres et de ligaments. Tout au long de la vie, ces coussinets sont soumis à de nombreux stress mécaniques qui les mènent à une dégénérescence progressive. La colonne lombaire est une des régions les plus mobiles de la colonne vertébrale et c’est pour cette raison que l’usure des disques est plus importante et plus fréquente à cet endroit.

Voir en ligne : CHUV Centre Hospitalier Universitaire Vaudois Lausanne - Hospices - CHUV Suisse 2004

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La chirurgie du glaucome

Il s’agit d’une atteinte de la tête du nerf optique, entraînant une altération des fibres nerveuses qu’elle contient. Son principal mécanisme de survenue est l’augmentation de la pression qui règne à l’intérieur de l’œil. Cette pression augmente lorsque le liquide emplissant le segment antérieur de l’œil (l’humeur aqueuse) ne s’évacue plus normalement au niveau de l’angle que forment l’iris et la cornée.

Voir en ligne : Service d’ophtalmologie Hôtel-Dieu Paris

Sujets associés


La cholestase gravidique

La cholestase gravidique est une forme réversible de cholestase observée uniquement lors de la grossesse, persistant jusqu’à l’accouchement puis disparaissant spontanément. C’est la plus fréquente des hépatopathies gravidiques. Elle survient essentiellement au cours du troisième trimes tre de grossesse. Elle concernerait 2 à 5 cas pour 1 000 grossesses en France mais atteindrait près de 10% des grossesses au Chili, en Bolivie, en Scandinavie… Sa physiopathologie reste encore aujourd’hui obscure.

Voir en ligne : Syngof

Sujets associés


La CNIL contrôle le dossier médical personnel

La CNIL a contrôlé sur place les principaux acteurs de l’expérimentation du DMP : hébergeurs, centres hospitaliers, réseaux de santé, médecins libéraux et centres d’appel. A l’issue de ces contrôles, la CNIL souligne que la courte durée d’expérimentation du DMP ne permet pas de mesurer son fonctionnement effectif et que les mesures de sécurité doivent être renforcées.

Voir en ligne : CNIL République Française

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La coloscopie virtuelle : un examen de deuxième intention pour rechercher les cancers et polypes

La coloscopie virtuelle (CV) est une méthode d’exploration colorectale par scanner. Elle implique une préparation et une insufflation coliques, suivies d’une acquisition tomodensitométrique ; celle-ci permet la reconstruction informatique d’une image en deux et trois dimensions.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

Sujets associés


La compression médicale dans le traitement de la maladie thrombo-embolique veineuse

Les dispositifs de compression utilisés dans le traitement de la thrombose veineuse et dans la prévention et le traitement du syndrome post-thrombotique sont des bas, des manchons et des bandes. Ces dispositifs ont fait l’objet d’une évaluation par la HAS.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés

  • (Maladies, symptômes et pathologies)

La compression médicale dans le traitement de la maladie thrombo-embolique veineuse

Une thrombose veineuse peut survenir dans le cadre d’une affection médicale, dans les suites d’une intervention chirurgicale, lors d’une grossesse et dans les cas d’immobilisation prolongée. Le traitement curatif fait appel aux médicaments anticoagulants, ainsi qu’à la compression médicale et à la mobilisation précoce. Il doit commencer le plus tôt possible. Les dispositifs de compression utilisés dans le traitement de la thrombose veineuse et dans la prévention du syndrome post-thrombotique sont des bas, des manchons et des bandes. Ces dispositifs ont fait l’objet d’une évaluation par la HAS. Cette fiche présente de manière synthétique les indications des différents dispositifs de compression médicale, ainsi que leurs contre-indications.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


La conduite à tenir envers une hématurie macroscopique

L’hématurie macroscopique a une prévalence d’environ 2,5 % dans la population et se définit par la présence de sang dans l’urine, lui donnant une coloration rouge ou brune. Cette manifestation clinique doit être investiguée, puisque près de 25 % des cas d’hématurie macroscopique sont associés à un cancer des voies urinaires. La première étape devant une urine de couleur rouge ou brune est de s’assurer que le changement de couleur est causé par la présence de sang dans l’urine. Ceci se fait par l’analyse d’urine à l’aide d’une bandelette réactive.

Voir en ligne : La journée annuelle de néphrologie, Université de Montréal

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La Constipation - Pour que vos intestins fonctionnent en douceur

La constipation est une difficulté à évacuer les selles. Il se peut qu’elles soient très dures et qu’elles nécessitent des efforts importants. Ou encore, vous pouvez éprouver le besoin de faire une autre selle même lorsque vous venez d’en faire une.
À quelle fréquence dois-je aller à la selle ?
Tout le monde ne va pas à la selle tous les jours. Ne vous attardez pas à la publicité qui affirme qu’une selle par jour est synonyme de régularité. La « normale » varie de trois selles par jour à trois selles par semaine. Il se peut que la constipation s’installe lorsque vos selles deviennent beaucoup moins fréquentes que d’habitude.

Voir en ligne : Le Collège des médecins de famille du Canada

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La constipation chez les enfants

  • Les selles de votre enfant sont dures ou petites et difficiles à éliminer.
  • Votre enfant passe régulièrement plusieurs jours sans avoir de selles normales.
  • Votre enfant produit des selles volumineuses et douloureuses à éliminer.
  • Des douleurs d’estomac, un manque d’appétit et une mauvaise humeur peuvent également être des symptômes de constipation.

Voir en ligne : NASPGHAN - North American Society for Pediatric Gastroenterology, Hepatology, and Nutrition

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La contraception d’urgence

* Il n’est pas trop tard pour prévenir une grossesse
* La contraception d’urgence est un moyen de prévenir une grossesse après les relations sexuelles
* Que sont les pilules contraceptives d’urgence (PCU) ?
* Comment les PCU fonctionnent-elles ?
* Les PCU sont-elles sans danger ?
* Y a-t-il des effets secondaires ?
* Les PCU sont destinées à un usage d’urgence seulement
* Il existe deux types de contraceptifs d’urgence

Voir en ligne : Société des obstétriciens et gynécologues du Canada (SOGC)

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La contraception post coïtale, la pilule du lendemain

Un préservatif qui vous lâche, un moment d’égarement, une passion incontrôlable, une petite erreur de calcul...
Bref une situation où l’on devine bien ce qu’il aurait fallu faire mais où il est trop tard... Peut être pas pour tout, en effet, l’utilisation d’une contraception post coïtale ou pilule du lendemain est possible et peut diminuer votre risque de débuter une grossesse non désirée pour peu que vous vous en préoccupiez assez rapidement.

Voir en ligne : Gyneweb

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La controverse santé-radiofréquences : la science face à l’incertitude et à la partialité

La relation entre la santé et l’usage du téléphone mobile, et plus généralement, les radiofréquences, est depuis une dizaine d’années l’objet d’un très vif débat. Comme souvent, l’incertitude dans laquelle nous sommes sur les risques encourus par une exposition environnementale, dont les niveaux sont faibles mais omniprésents, fait le lit de cette controverse. L’évaluation du risque pour la santé est ici particulièrement complexe. Elle divise les experts scientifiques et les oppose aux associations.

Voir en ligne : Élodie Giroux, Martine Hours | john Libbey Eurotext

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La coopération médecins généralistes/infirmières améliore le suivi des patients diabétiques de type 2

Vieillissement de la population,progression des maladies chroniques,baisse attendue des effectifs médicaux, voire pénurie localisée, souhait de nouvelles conditions d’exercice des médecins, forte demande de reconnaissance des professions paramédicales, maîtrise des dépenses de santé sont autant d’arguments qui plaident en faveur d’une nouvelle organisation des soins primaires en France.

Voir en ligne : Yann Bourgueil, Philippe LeFur,Julien Mousquès, Engin Yilmaz - ASALEE, Action de Santé Libérale

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La coqueluche

La coqueluche est une maladie respiratoire très contagieuse due à la bactérie Bordetella pertussis. La coqueluche se développe par épidémie. La contamination s’opère par voie aérienne lors de contacts directs avec des personnes infectées. Dans les pays non vaccinés, la transmission se fait d’enfants à enfants. En revanche, dans les pays vaccinés depuis longtemps, comme la France, la transmission se ferait maintenant d’adultes à nourrissons. Cette maladie, considérée longtemps par erreur comme une maladie de la petite enfance, peut être sévère pour l’homme à tout âge mais est particulièrement dramatique, voire mortelle, pour les nourrissons de moins de 6 mois et les personnes à risque telles les femmes enceintes et les personnes âgées.

Voir en ligne : Institut Pasteur

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La coqueluche Guide d’intervention - Mise à jour 2009

Depuis la parution du dernier protocole provincial d’intervention pour le contrôle de la coqueluche (MSSS, 1999), cette maladie a suscité beaucoup d’intérêt et de controverse dans la communauté scientifique. En janvier 1998, un nouveau vaccin acellulaire plus efficace que le vaccin à cellule entière et ayant moins d’effets indésirables a été introduit au calendrier régulier de vaccination des enfants et depuis 2004, une dose de rappel est administrée aux adolescents. Ces changements ont entraîné une diminution notable de l’incidence de la coqueluche mais ne permettront pas d’éliminer cette maladie.

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Services sociaux [québécois]

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La coxarthrose

Une articulation est constituée d’os recouvert de cartilage baignant dans une faible quantité de liquide synovial. L’arthrose est définie par l’usure de ce cartilage articulaire. Sa localisation la plus fréquente se situe à la hanche (ou articulation coxo-fémorale). A ce niveau, on parle donc de coxarthrose. Il en existe deux types :

  • la coxarthrose primitive survient en général après 60 ans et représente 40% de l’ensemble des coxarthroses. Elle se développe sur une hanche sans malformation préalable.
  • la coxarthrose secondaire survient plus précocement et représente environ 60% de l’ensemble des coxarthroses. Elle survient sur une hanche ayant certaines malformations anatomiques entraînant une usure plus rapide

Voir en ligne : Groupe Hospitalier Diaconesses Croix Saint Simon

Sujets associés


La coxarthrose

Localisation à la hanche de l’arthrose dégénérative, elle se caractérise par une altération progressive du cartilage, des modifications de l’os sous-chondral, l’apparition de géodes d’hyperpression, et une production ostéophytique. Ces signes pouvant être associés à des degrés divers, réalisent autant de formes anatomiques et évolutives. Il s’agit de la maladie de la hanche la plus fréquente. Elle est en général primitive, uni ou bilatérale, et touche l’adulte en général, le plus souvent la femme, après 60 ans.

Voir en ligne : Docteur J.J. Guest

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La Culture de prévention en santé : des questions fondamentales

Ce rapport ne prétend pas être exhaustif car de nombreux textes généraux sur la prévention en santé sont déjà parus. Certains figurent dans la base documentaire. Il a essentiellement pour but d’alerter les pouvoirs publics décisionnels sur les moyens à mettre en oeuvre pour développer, en France, une véritable culture de prévention dans le domaine de la santé"

Voir en ligne : Académie Nationale de Médecine

Sujets associés


La dengue

Selon l’OMS, plus de 40 % de la population mondiale est exposée aujourd’hui à la dengue. En 2010, les premiers cas autochtones sont apparus en métropole. Plusieurs axes de recherche sont développés, visant à la fois à limiter l’expansion du moustique Aedes à travers le monde et développer un vaccin contre le virus de la dengue.

Voir en ligne : INSERM

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La déontologie médicale sur le Web santé

Le développement d’Internet dans le domaine de la santé et des soins touche de plus en plus largement, entre autres application

  • les usagers qui cherchent des informations,
  • et les médecins qui les leur fournissent.
    En ce qui concerne les activités des médecins, on doit rappeler que les règles du code de déontologie médicale s’appliquent à tous les vecteurs d’information. Mais le Web pose des interrogations spécifiques, en raison de l’aspect protéiforme des informations que l’on y trouve - dont la pertinence ou la fiabilité sont parfois incertaines ou incontrôlables - et de l’anonymat relatif des sources que ce média permet.

Voir en ligne : Rapport adopté lors de la session du Conseil national de l’Ordre des médecins du 22 mai 2008 - Dr. Jacques LUCAS

Sujets associés


La dépression

Les problèmes et les malchances font partie de la vie. Il nous arrive tous parfois d’être malheureux et lorsque les choses ne vont pas comme prévu, de nombreuses personnes deviennent temporairement déprimées. Les expériences d’échec provoquent souvent des sentiments temporaires d’inutilité et de reproche de soi, tandis que les pertes personnelles peuvent provoquer des sentiments de tristesse, de déception et de vide. Ces sentiments sont normaux et disparaissent généralement après un court laps de temps. Ce n’est pas cependant le cas pour la maladie dépressive.

Voir en ligne : Association canadienne pour la santé mentale

Sujets associés


La dépression chez l’adulte : en savoir plus pour en sortir

Repérer les symptômes, connaître les traitements, savoir à qui s’adresser. déprime ou dépression, solutions thérapeutiques, où et à qui s’adresser, ce qu’on peur faire par soi-même

Voir en ligne : INPES Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé

Sujets associés


La dépression chez l’adulte : en savoir plus pour en sortir

Comment faire la différence entre une « déprime » et une dépression ? Quelles sont les solutions de prise en charge selon les degrés de sévérité de la maladie ? Quelles informations donner au patient et à son entourage ? Quels conseils pour sa vie quotidienne ?

Voir en ligne : INPES Institut national de prévention et d’éducation pour la santé

Sujets associés


La dépression en France Enquête Anadep 2005

Dans le cadre de la préparation de la campagne nationale d’information sur la dépression lancée par le ministère de la Santé et des Sports et l’INPES en octobre 2007, il était apparu indispensable de faire un état des lieux rigoureux sur la prévalence de cette maladie et sur les représentations que peuvent en avoir nos concitoyens. C’est dans ce même souci d’appuyer la décision et les actions de santé publique sur des faits scientifiques que l’INPES édite les résultats de l’enquête Anadep.

Voir en ligne : INPES

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La DHEA : ignorez toute la publicité

Les média ont appelé la DHEA "la mère de toutes les hormones." Un livre récent l’appelle une "superhormone." Sur l’Internet, elle est annoncée comme "l’hormone de la fontaine de jouvance." Dans les différents média et l’opinion publique, la DHEA est la reine, une pilule qui peut nous faire : vivre plus longtemps, perdre du poids ou engraisser, prévenir le cancer, la maladie cardiaque et d’Alzheimer, et combattre le SIDA et autres maladies infectieuses. Le crescendo d’éloges pour cette hormone a noyé les sérieuses précautions que les plus grands chercheurs soulèvent.

Voir en ligne : P.J. Skerret - HealthNews

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La diverticulose colique

Petites hernies de la muqueuse colique à travers la musculeuse, repoussant la séreuse (ces petites hernies communique avec la lumière digestive colique).
Fréquence : augmentation avec l’âge : ? 30% à 60 ans et 50% > 70 ans. Nombre et topographie : nombre variable (1 diverticule à plusieurs centaines) : localisation sigmoïdienne, 80% des cas.

Voir en ligne : Professeur Jacques FOURNET - Faculté de Médecine de Grenoble

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La douleur - Neurobiologie - Informations scientifiques -Outils pour enseigner brève

La douleur est une composante fréquente de la maladie et accompagne souvent les suites d’opération
Longtemps négligée, elle commence, depuis quelques années, à être réellement prise en compte, tant dans le domaine de la recherche fondamentale que dans celui de sa prise en charge. Une tribune presse, organisée par la Fondation pour la recherche médicale le 21 novembre 1997, a fait le point sur les progrès effectuées et le chemin qu’il reste à parcourir.

Voir en ligne : Institut national de Recherche pédagogique

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  • (Maladies, symptômes et pathologies)

La douleur chez les aînés

La douleur est fréquente chez les personnes âgées ; comment sélectionner le bon outil de dépistage et d’évaluation

Voir en ligne : OIIQ Ordre des Infirmières et Infirmiers du Québec

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La dyspnée de l’adulte

La dyspnée est le sentiment d’une respiration inconfortable et difficile. Elle n’est pas synonyme de tachypnée (fréquence respiratoire augmentée) ou d’hyperventilation (ventilation minute augmentée). On peut en effet rencontrer des patients hyperventilant lors d’acidose métabolique (par exemple lors d’acidocétose diabétique) ou d’état de choc, sans qu’ils ne ressentent de dyspnée.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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La fatigue : de la biologie à la pharmacologie

La fatigue est un signe couramment allégué et objet de plainte en médecine. Peu de revues font le point sur la question notamment pour tenter d’en envisager les aspects biologiques et pharmacologiques. Ceci peut s’expliquer par l’ambiguïté du concept et la multitude de situations cliniques où la fatigue apparaît comme un signe prédominant. Le concept de syndrome de Fatigue Chronique récemment introduit, quoique critiqué, permet d’avancer dans cette approche médicalisée de ce phénomène apparemment banal. La Pharmacologie de la fatigue, par contre, est soit mal évaluée, soit en échec.

Voir en ligne : Pr. Hervé Allain | Laboratoire de Pharmacologie Expérimentale et Clinique Faculté de médecine Rennes

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La fatigue : une sensation désagréable et un symptome précieux - La prévention de la fatigue courante

Un sondage IPSOS de janvier 2000 auprès de 1000 personnes apporte les précisions suivantes quant à la fatigue accusée par les Français :

  • près d’un Français sur deux a connu un épisode prolongé de fatigue pendant les douze derniers mois
  • toutes les classes d’âge sont touchées : les femmes sont néanmoins plus atteintes que les hommes et les adultes jeunes plus que les seniors
  • cette fatigue à la fois physique, psychique et intellectuelle et dont le degré augmente avec l’activité familiale, professionnelle, sportive... se traduit par différents symptomes :
  • humeur maussade,
  • baisse de motivation et de dynamisme,
  • défauts d’attention et de mémoire,
  • perturbation du sommeil,
  • courbatures...

Voir en ligne : Pr A. Gaillard - Médecin Honoraire du CHU de Nantes - La promotion-santé

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La fatigue visuelle

La fatigue visuelle engendrée par le travail sur écran de visualisation (TEV) est devenue un sujet de préoccupation en matière de santé au travail. Dans le présent article nous allons présenter les diverses manifestations et causes de la fatigue visuelle et les moyens de la prévenir.

Voir en ligne : Association des médecins du réseau public en santé au travail du Québec

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La femme enceinte et son bébé

La grippe est une infection respiratoire aigüe, très contagieuse, due aux virus influenza A ou B. Elle peut être grave, aussi bien pour vous que votre bébé : Vous pouvez courir des risques spécifiques en période de grippe saisonnière ou de pandémie grip- pale. Une prise en charge adaptée peut être nécessaire. Des modalités d’adaptation de vos conditions de travail sont possibles et des prestations sociales particulières vous sont ouvertes.

Voir en ligne : pandemie-grippale.gouv.fr

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La fièvre

La température centrale normale du corps humain est de :- 37C° le matin- 37,5C° le soir La fièvre est définie par l’élévation de la température centrale au dessus de :- 37,5C° le matin- 38C° le soir En fait, cette définition est variable, car il existe des variations individuelles et des facteurs physiologiques influençant la température :- nycthémère : pic physiologique vers 18 heures, augmentant la température de 0,5C°- activité musculaire, digestion peuvent augmenter la température de 1C°- cycle menstruel : la température augmente au cours de la deuxième partie, de 0,5C° à 1C°

Voir en ligne : L. GIRARD, A. LE STRAT - Université de Rennes 1 - Faculté de Médecine.

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La fièvre chez l’enfant

  1. Fièvre aiguë chez l’enfant
    Caractères en fonction de l’âge
    Signes d’accompagnement
    Conséquences et principaux signes
    L’hyperthermie majeure
    traitement de la fièvre
  2. Fièvre prolongée
    Définition et diagnostic
    Etiologie

Voir en ligne : E. Le Gall | Institut Mère-Enfant, annexe pédiatrique, Hopital sud, - Rennes

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La fièvre Méditerranéenne Familiale ou maladie périodque

Qu’est-ce que c’est ?
La fièvre Méditerranéenne Familiale ( FMF) est une maladie génétique caractérisée par des accès récurrents de fièvre, accompagnés de douleurs abdominales et/ou de douleurs thoraciques, et/ou de douleurs et gonflements articulaires. La maladie affecte en général les populations d’origine Méditerranéenne et du Moyen – Orient, notamment les Juifs ( surtout Sépharades) Turcs, Arabes, et Arméniens. En France, elle est surtout connue sous le nom de « Maladie Périodique »

Voir en ligne : Pediatric Rheumatology INternational Trials Organisation (PRINTO)

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La Fièvre typhoïde

Les Salmonella responsables des fièvres typhoïdes ayant l’homme pour seul réservoir, la contamination se fait par ingestion d’eau ou d’aliments ayant subi une contamination fécale d’origine humaine. Comme toutes les maladies à transmission oro-fécale, ces fièvres surviennent le plus souvent dans des zones où l’hygiène est précaire, et frappent principalement les pays en développement en Asie, en Afrique ou en Amérique Latine.

Voir en ligne : Institut Pasteur - Centre d !Information Scientifique

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La fièvre – dangereuse, ou aussi bénéfique ?

La fièvre est une élévation de la température du corps au dessus de la valeur normale (37,2 à 37,7 °C par mesure orale, 0,5 °C de plus par mesure rectale ou tympanique). Elle peut être le symptôme de maladies infectieuses graves et à pronostic potentiellement létal qui, si elles ne sont pas reconnues et traitées à temps, ont une mortalité élevée.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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La fonction visuelle

Le système visuel comporte, comme les autres systèmes sensoriels de l’homme, un organe périphérique, l’oeil, chargé de la formation de l’image et de la transduction sous forme de signaux transmissibles le long des voies nerveuses puis un appareil cortical d’analyse dont la complexité n’a pas encore été totalement déchiffrée.

Voir en ligne : Pr. Y.GRALL - Collège National des Enseignants de Biophysique et de Médecine Nucléaire

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La France bloque le vaccin antigrippal de Novartis (Agrippal)

Des particules blanches dans les seringues ont été découvertes en Italie et en Suisse. Pour le ministère de la Santé, il s’agit surtout d’une mesure de précaution. Après l’Italie, la Suisse, l’Allemagne et l’Autriche, la France a décidé de bloquer « par précaution » les lots de vaccins antigrippaux Agrippal de Novartis. Le ministère de la Santé précise avoir demandé à l’ANSM (agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) de « prendre des mesures préventives » sur les vaccins concernés commercialisés en France par le groupe pharmaceutique suisse.

Voir en ligne : Par Les Echos | 26/10 | 12:46 | mis à jour à 13:06

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La France, 10,5 millions d’hypertendus traités

Entre 2000 et 2006, le nombre de patients soignés pour hypertension artérielle a augmenté de près de 2 millions et les remboursements de l’Assurance Maladie sont passés de 2,6 milliards d’euros en 2000 à 4,4 milliards en 2006. Aujourd’hui, de plus en plus de personnes sont traitées pour hypertension artérielle. L’enjeu est donc de leur garantir à tous la meilleure prise en charge en privilégiant le meilleur rapport coût / efficacité de traitement.

Voir en ligne : Ameli Assurance Maladie En Ligne

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La génomique pour contrer la résistance à la malaria (paludisme)

Les scientifiques viennent de remporter une victoire capitale dans leur combat contre la malaria (paludisme). Selon une étude publiée dans Nature Genetics, une équipe internationale de chercheurs a utilisé la génomique pour décoder le génome de Plasmodium falciparum – la souche de malaria la plus résistante aux médicaments et responsable de la majorité des décès dus à cette maladie. Cette découverte pourrait déboucher sur la mise au point d’outils pharmaceutiques avancés pour combattre cette maladie et empêcher le développement de résistances aux médicaments parmi les 250 millions de personnes infectées chaque année par le parasite de la malaria.

Voir en ligne : CHU Sainte-Justine (Montreal)

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La gestation pour autrui. Position du Conseil national de l’Ordre des médecins

Le débat sur la gestation pour autrui (GPA) ne peut pas laisser le médecin indifférent. La profession médicale a pour vocation de porter remède aux maladies et accidents de la vie qui atteignent l’homme dans son corps comme dans son esprit. La stérilité d’un couple concerne le médecin par ce qu’elle comporte de frustration compréhensible et de désarroi. Et nous ne pouvons pas rester insensible à la détresse de ces couples en désir d’enfant. Est-ce à dire que tous les moyens que la science nous offre pour remédier à cette situation sont moralement envisageables et, socialement comme médicalement, dénués de risques ?

Voir en ligne : Conseil national de l’Ordre des médecins

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La goutte aiguë : de quoi s’agit-il ?

La crise de goutte est due à la précipitation brutale de cristaux d’acide urique dans la cavité d’une articulation, chez un sujet dont le taux d’acide urique sanguin est supérieur à la normale. L’acide urique est un composant normal du sang, qui résulte de la dégradation de certains composants protéiques (les purines). Le taux d’acide urique est élevé chez certains patients. La goutte touche beaucoup plus fréquemment l’homme que la femme : 1,5 % des hommes de 35 à 44 ans feront une crise de goutte. L’obésité favorise la goutte.

Voir en ligne : SFTG Paris-Nord Société de Formation Thérapeutique du Généraliste

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La grande aventure du Sommeil

Faites la lumière sur le sommeil de vos enfants : Le sommeil des enfants expliqué aux enfants et aux adultes.Une enquête, des réponses, des conseils...

Voir en ligne : Dr Stéphane Noël - Députation Permanente de la Province de Luxembourg

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La grossesse sans la constipation

Jusqu’à 40 % des femmes enceintes souffrent de constipation à un moment ou à un autre pendant leur grossesse. Quelques conseils vous aideront à réduire cet inconfort si fréquent.

Voir en ligne : Extenso Centre de référence sur la nutrition humaine

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La gynécomastie

La gynécomastie est un développement excessif des seins chez l’homme, d’un seul côté ou des deux côtés, de façon symétrique ou non. Elle est généralement peu ou pas douloureuse, mais elle peut parfois s’accompagner d’une sensibilité de la poitrine. Théoriquement, la véritable gynécomastie n’est liée qu’à la glande mammaire, et la fausse gynécomastie ne contient que de la graisse. En pratique, les deux composantes, glandulaire et graisseuse, sont très souvent associées

Voir en ligne : M. Revol M - M. Cuminet J - M. Servant JM | CHU Saint-Louis - service de chirurgie plastique

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La Haute Autorité de Santé et l’Institut National du Cancer publient 3 guides médecins sur des cancers féminins

Les guides ALD destinés aux médecins traitants publiés aujourd’hui par la HAS et l’INCa traitent de trois cancers féminins : les cancers du sein, de l’ovaire et les cancers invasifs du col utérin. Ces guides ont pour objectif d’expliciter la prise en charge optimale et le parcours de soins des malades admis en Affection de longue durée (ALD) pour chacun de ces cancers.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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La Haute Autorité de Santé maintient ses recommandations sur le dépistage du cancer de la prostate

En janvier 1999, la Haute Autorité de Santé – alors ANAES – a recommandé de ne pas mettre en place un dépistage systématique et organisé du cancer de la prostate. Pour tenir compte des dernières données scientifiques, la HAS a décidé d’évaluer deux études* publiées en mars 2009 dans le New England Journal of Medicine**. Sur la base de leur analyse critique, la HAS maintient ses recommandations.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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La Haute Autorité de Santé recommande la mise en place d’un dépistage national organisé

Saisie par la ministre de la santé, la Haute Autorité de Santé a évalué les différentes stratégies de dépistage du cancer du col de l’utérus, qui atteint chaque année en France 3 000 nouvelles femmes et en tue plus de 1000. Pour ce cancer de la femme jeune - celles de 40 ans sont les plus touchées, la HAS recommande aujourd’hui aux pouvoirs publics de mettre en place un dépistage national organisé afin de répondre à la nécessité d’un frottis cervico-utérin tous les 3 ans de l’ensemble des femmes de 25 à 65 ans.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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La listériose

La listériose est une infection alimentaire due à la bactérie Listeria monocytogenes. Chez l’adulte, elle se manifeste principalement par une septicémie ou une infection du système nerveux central (méningite ou méningo-encéphalite). Chez la femme enceinte, elle peut provoquer un avortement, un accouchement prématuré ou une infection néonatale.

Voir en ligne : Institut Pasteur

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La lithiase biliaire

La lithiase biliaire est habituellement cholestérolique. Elle atteint environ 25% de la population après 50 ans et surtout la femme. Elle est asymptomatique dans 80 à 90% des cas. Elle se manifeste sinon par une colique hépatique. Elle peut se compliquer d’une cholecystite aiguë ou d’un syndrome de migration avec angiocholite voire pancréatite aiguë biliaire. La cholecystectomie n’est proposée qu’en cas de deux crises de colique hépatique ou de complication. Le traitement endoscopique par CPRE avec sphincterotomie endoscopique doit être réalisé si le patient est âgé ou contre indiqué ou à distance d’une cholecystectomie.

Voir en ligne : Professeur Jean-Pierre ZARSKI - Faculté de Médecine de Grenoble

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La loi Kouchner en médecine générale : le dossier d’abord ?

La loi dite Kouchner du 4 mars 2002 entraîne-t-elle une modification de la pratique médicale en médecine générale ? Dans les années 90, les "affaires médicales" (sang contaminé, maladie de Kreutzfeld-Jacob, clinique du sport), l’émergence du principe de précaution, le développement des associations de malades, avaient déjà fait évoluer la jurisprudence. Une enquête réalisée en 2005 auprès de 300 médecins généralistes de Midi-Pyrénées a mis en évidence des prescriptions "défensives" d’examens complémentaires, d’avis spécialisés et de médicaments. Les médecins qui ont une bonne connaissance de la loi mettent en place des modifications du dossier médical, mesure qui semble la plus adaptée à cette nouvelle situation juridique.

Voir en ligne : UFR Toulouse

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La lutte contre les infections nosocomiales

  • Définition et circonstances de survenue des infections nosocomiales
  • Fréquence des infections nosocomiales
  • Information des usagers : diffusion de données sur les infections nosocomiales

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Sports

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La maladie coeliaque

La maladie coeliaque est également appelée sprue et entéropathie au gluten. C’est une anomalie génétique qui, dès la naissance, provoque une intolérance au gluten, une protéine contenue dans le blé, le seigle et l’orge. La consommation d’aliments contenant du gluten cause des lésions appelées atrophies villositaires dans l’intestin grêle. Les « villosités » sont les projections digitiformes de l’intestin grêle au point d’absorption des aliments. Cette inflammation représente une sorte de trouble immunitaire qui peut affecter d’autres organes que l’intestin, par exemple, la peau ou le foie.

Voir en ligne : NASPGHAN - North American Society for Pediatric Gastroenterology, Hepatology, and Nutrition Etats-Unis

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La maladie d’Alzheimer - Vivre avec la maladie

De nombreuses familles sont aujourd’hui confrontées à la maladie d’Alzheimer ou à une maladie apparentée. S’il n’existe pas encore de traitement curatif, la prise en charge médicale et sociale de cette maladie s’est améliorée depuis quelques années. Des services à domicile et des aides financières permettent désormais de maintenir le malade le plus longtemps possible dans son environnement familier. Dans les établissements d’accueil pour personnes âgées, la prise en charge s’est également améliorée. En ce domaine, le plan Alzheimer 2008-2012 va mettre à la disposition des malades, de leur famille et des soignants de nouveaux outils et des moyens supplémentaires

Voir en ligne : Ministère de la Santé

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La maladie de Creutzfeldt-Jakob classique au Canada

On sait pertinemment que l’agent de la MCJ peut être transmis aux humains. Tous les cas relevés étaient dûs soit à une exposition directe du cerveau à l’agent de la MCJ (par exemple, par suite d’une greffe de dure-mère), ou a une exposition par la voie périphérique, par suite de l’injection d’un produit dérivé du cerveau humain (hormone hypophysaire) qui était contaminé par l’agent étiologique de la MCJ.

Voir en ligne : Centre de prévention et de contrôle des maladies infectieuses - Bureau des maladies infectieuses* - Canada

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La maladie de Hodgkin

C’est une tumeur maligne du tissu lymphoïde. Exemplaire par : Son évolutivité clinique lente, qui semble "contrôlée" et limitée longtemps aux grands axes ganglionnaires et à la rate (diffusion lymphatique et hématogène). Sa survenue, le plus souvent chez l’adulte jeune de 20 à 40 ans. Il existe un autre pic de fréquence autour de 60 ans. Elle peut se voir chez l’enfant mais elle est exceptionnelle avant 5 ans ;Sa sensibilité remarquable aux traitements éradicateurs chimioradiothérapiques permettant le plus souvent la guérison avec des agressions thérapeutiques modérées.

Voir en ligne : Docteur Remy GRESSIN - Corpus Médical de la Faculté de Médecine de Grenoble

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La maladie de Hodgkin

Hodgkin est le nom du médecin qui a identifié pour la première fois cette maladie, en 1832. La maladie de Hodgkin est une forme de lymphome, que l’on appelle aussi lymphome hodgkinien. Un lymphome est une maladie liée à la prolifération maligne de cellules du système immunitaire. Ces cellules sont situées au niveau des ganglions lymphatiques, de la lymphe, de la rate et de la moelle osseuse. C’est dans les ganglions lymphatiques que les agents pathogènes sont neutralisés par les cellules immunitaires.

Voir en ligne : SFH - Société Française d’Hématologie

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La maladie de Hodgkin (chez l’enfant)

La maladie de Hodgkin est une maladie maligne du système lymphatique observée surtout chez le grand enfant, l’adolescent et l’adulte jeune. La maladie de Hodgkin représente 15 à 30% des lymphomes malins de l’enfant et les enfants représentent 5 à 10 % des patients atteints de maladie de Hodgkin tous âges confondus. La maladie de Hodgkin est exceptionnelle avant l’âge de 2 ans et sa fréquence augmente avec l’âge. Elle est deux fois plus fréquente après 10 ans qu’entre 2 et 10 ans.

Voir en ligne : Département de Pédiatrie IGR

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La maladie de Hodgkin . Explication

La maladie de Hodgkin est une forme de cancer du système lymphatique. Lors de cette maladie, on observe une prolifération anormale d’un certain type de globules blancs (les lymphocytes). Le médecin anglais Thomas Hodgkin avait déjà décrit cette maladie en 1832. Sur base de la présence de cellules de Hodgkin caractéristiques, la maladie se distingue de tous les autres types de cancer des ganglions lymphatiques, auxquels on donne le nom générique de lymphome non Hodgkinien.

Voir en ligne : Fondation contre le Cancer (Belgique)

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La maladie de Horton

La maladie de Horton ou artérite giganto-cellulaire est une panartérite à cellules géantes segmentaire et plurifocale prédominant dans les vaisseaux de moyen et de gros calibre du territoire céphalique (essentiellement aux branches de la carotide externe dont l’artère temporale), mais capable de diffuser à tous les gros troncs artériels.

Voir en ligne : Professeur Christian Massot - Corpus Médical de la Faculté de Médecine de Grenoble

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La maladie de Lyme

L’Erythème Chronique Migrant (EM) de Lipschutz ou la méningo-radiculite des français Garin et Bujadoux étaient "oubliés" depuis le début du siècle, quand deux mères de famille de Old Lyme (Connecticut), inquiétées par une série de 39 cas d’arthrites inflammatoires juvéniles alertèrent les autorités sanitaires américaines en 1975

Voir en ligne : Maladies liées à la morsure des tiques en France

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La maladie de Lyme

La borréliose de Lyme, ou maladie de Lyme, est une maladie infectieuse, non contagieuse, due à une bactérie, Borrelia burgdorferi, transmise par des tiques du genre Ixodes. Certaines formes de la maladie avaient été décrites de longue date en Europe. C’est notamment le cas de formes cutanées comme l’acrodermatite chronique atrophiante, décrite dès la fin du XIXème siècle, l’érythème migrant, le lymphocytome cutané bénin, décrits au début du XXème siècle, ou encore de formes neurologiques. Cependant, ce n’est qu’avec l’apparition, au milieu des années 1970, de 51 cas d’arthrite inflammatoire dans le Comté de Lyme (Connecticut, États-Unis) que de vastes études épidémiologiques sont entreprises et aboutissent, en 1981, à la découverte, par Willy Burgdorfer, de l’agent causal et de son vecteur.

Voir en ligne : Institut Pasteur - Centre d !Information Scientifique

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La maladie de Lyme sous toutes ses coutures

Le diagnostic de borréliose de Lyme se pose devant des symptômes particuliers, le plus souvent articulaires, cutanés ou neurologiques, d’une grande variété, déclarés dans un contexte épidémiologique favorable à une contamination par une tique. Les examens complémentaires biologiques sont souvent utiles, voire nécessaires au diagnostic. Ils sont généralement décidés en concertation avec le spécialiste. Le traitement repose sur l’antibiothérapie dont le but est d’enrayer la progression de la maladie, d’obtenir la guérison et, parfois, de confirmer le diagnostic présumé.

Voir en ligne : Dr Marc KREUTER - Le Généraliste

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La maladie de Lyme sous toutes ses coutures

Le diagnostic de borréliose de Lyme se pose devant des symptômes particuliers, le plus souvent articulaires, cutanés ou neurologiques, d’une grande variété, déclarés dans un contexte épidémiologique favorable à une contamination par une tique. Les examens complémentaires biologiques sont souvent utiles, voire nécessaires au diagnostic. Ils sont généralement décidés en concertation avec le spécialiste. Le traitement repose sur l’antibiothérapie dont le but est d’enrayer la progression de la maladie, d’obtenir la guérison et, parfois, de confirmer le diagnostic présumé.

Voir en ligne : Le Généraliste

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La maladie de Ménière

En Belgique francophone, 5 000 personnes souffrent de la maladie de Ménière, une maladie de l’oreille interne qui occasionne des vertiges, des acouphènes et des pertes d’audition.Décrite pour la première fois par le docteur français Prosper Ménière en 1861, le syndrome ou maladie de Ménière est une maladie de l’oreille interne caractérisée par 3 grands symptômes : des vertiges (accompagnés ou non de vomissements et de nausées) ; des bourdonnements d’oreilles (ou acouphènes) et des pertes d’audition. Ces symptômes peuvent ne pas apparaître tous en même temps. Les crises, dont la périodicité et la longueur sont fortement variables, peuvent dans les cas extrêmes, devenir presque permanentes.

Voir en ligne : enmarche.be

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La maladie de paget

La maladie de Paget est une maladie osseuse localisée, mono ou polyostotique, qui progresse lentement au sein des os atteints. Elle se caractérise par une accélération du remodelage osseux entraînant des douleurs et un risque de complications osseuses, articulaires ou neurologiques. Cette maladie ne présente pas de risque vital hormis les très rares cas de dégénérescence sarcomateuse. Le diagnostic est avant tout radiologique et l’apparition de nouveaux dérivés biphosphonates laisse entrevoir une excellente efficacité thérapeutique

Voir en ligne : Professeur Robert JUVIN | Faculté de Médecine de Grenoble

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La maladie de Parkinson. L’eau qui coule ne gèle pas.

La maladie de Parkinson est une atteinte neurologique complexe et progressivement invalidante qui menace sévèrement la qualité de vie des patients. De plus, le nombre de patients atteints de cette maladie augmente dans le monde étant donné l’allongement de l’espérance de vie.

Voir en ligne : M. Hubert - Revue Médicale de Bruxelle

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La maladie de reflux gastro-oesophagien chez les nourrissons et les enfants

Le reflux gastro-oesophagien (gastroesophageal reflux ; GER*) est défini comme un retour involontaire de contenu gastrique dans l’oesophage et constitue un problème fréquent en pratique pédiatrique. En l’absence de symptômes associés, le GER est un phénomène physiologique du nourrisson, et ne constitue pas une maladie : des mesures de diagnostic ou de traitement ne sont pas nécessaires1). Il faut dissocier la maladie de reflux (gastroesophageal reflux disease ; GERD), associée à des symptômes ou des complications du GER

Voir en ligne : SSP Société Suisse de Pédiatrie

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La Maladie des griffes du chat

La "maladie des griffes du chat" ("cat scratch disease") ou "maladie des griffures du chat" ou "syndrome des griffures de chat" ou "fièvre du chat" ("cat scratch fever") ou "lymphoréticulose bénigne d’inoculation" ("benign inoculation lymphoreticulosis") est une maladie infectieuse de l’homme connue depuis 70 ans. Actuellement, le terme le plus couramment utilisé dans la littérature scientifique française est celui de "maladie des griffes du chat" (MGC) et c’est celui que nous retiendrons même si la dénomination de "maladie des griffures du chat" semble plus correcte. L’épidémiologie et l’étiologie de la maladie des griffes du chat ont fait l’objet de nombreuses controverses et quelques rappels historiques sont donnés en annexe.

Voir en ligne : J.P. Euzéby : Dictionnaire de Bactériologie Vétérinaire

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La maladie des griffes du chat : données récentes concernant Bartonella Henselae

La maladie des griffes du chat (MGC) est, comme son nom l’indique, une infection humaine émergente transmise à l’homme par le chat. Elle est causée par une bactérie qui s’appelle Bartonella henselae (anciennement dénommée Rochalimea henselae) et se manifeste le plus souvent par une adénopathie chronique. La MGC est fréquente ; une étude américaine estime le nombre de nouveaux cas à 24000 par an aux U.S.A.(1). Les formes graves de la maladie sont beaucoup plus rares (2). Cette affection atteint principalement des enfants et des adultes jeunes (3). Selon une étude réalisée en Israël, seuls 6% des patients atteints sont âgés de plus de 60 ans

Voir en ligne : Dr. C.Villée Cliniques universitaires Saint-Luc Service de Dermatologie B-1200 Bruxelles

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La maladie du légionnaire et la fièvre de Pontiac

Une infection bactérienne appelée légionellose est à l’origine de deux affections distinctes : la maladie du légionnaire et la fièvre de Pontiac. La première est un genre de pneumonie qui peut survenir sous forme d’éclosions ; sa gravité peut varier, mais elle peut être fatale. La seconde est une infection bénigne qui ressemble à la grippe sans pneumonie.

Voir en ligne : Santé Canada

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La maladie d’Alzheimer

En raison du vieillissement de la population, la maladie d’Alzheimer est devenue un problème majeur de santé publique des pays industrialisés. Sa prévalence augmente avec l’âge, touchant jusqu’à 1,6 % des sujets âgés de 60 à 64 ans et plus de 25 % au-delà de 85 ans1. En France, on estime que 860 000 personnes sont aujourd’hui atteintes, majoritairement des femmes1. De plus, 225000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. En 2020, 1,3 million de personnes pourraient être concernées.

Voir en ligne : Par le Docteur Marie Sarazin, Hôpital de la Salpêtrière, Paris

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La maladie hémorroïdaire

Il s’agit de dilatations des veines de la région anale. Cette affection est source de divers symptômes : saignements de sang rouge accompagnant ou suivant la selle, douleurs anales, poussées oedémateuses (gonflement des hémorroïdes), prolapsus hémorroïdaire (saillie des hémorroïdes en dehors de l’anus), thromboses hémorroïdaire (formation d’un caillot dans une veine hémorroïdaire).

Voir en ligne : SFTG Paris-Nord Société de Formation Thérapeutique du Généraliste

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La maltraitance "ordinaire" dans les établissements de santé

Cette étude est fondée sur des témoignages de malades, de proches et de professionnels, pris tels quels, dans toute leur subjectivité. Elle ne vise donc pas à mesurer l’ampleur de ce phénomène en termes quantitatif ni à porter sur lui un jugement global. L’originalité – et les limites - de ce travail est de partir du point de vue de personnes hospitalisées, de leurs proches et de professionnels en s’appuyant sur leur libre expression : témoignages écrits, entretiens...

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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La médecine en ligne c’est bien, mais consulter son médecin c’est mieux

La dernière étude de Lightspeed Research (www.lightspeedresearch.com), menée en France, en Allemagne et au Royaume-Uni s’intéresse aux pratiques médicales sur internet et aux attentes actuelles des patients : entre la recherche d’informations médicales, la communication électronique avec leur médecin et l’achat de médicaments en ligne, comment les patients se servent aujourd’hui d’internet et de quels services à distance aimeraient-ils pouvoir bénéficier ?

Voir en ligne : Lightspeed Research

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La médecine générale dans le regard des futurs médecins généralistes

La médecine générale est actuellement en questionnement dans la plupart des pays industrialisés. La profession n’attire pas assez de candidats. De plus en plus de praticiens choisissent de limiter leur activité en termes d’horaires ou par la spécialisation, quand ils ne quittent pas carrément la profession. Ainsi, 30 % des jeunes généralistes en Belgique quittent la médecine générale dans les cinq ans suivant la fin de leur spécialisation.

Voir en ligne : exercer

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La mémoire

La mémoire est l’une des fonctions les plus importantes et l’une des propriétés les plus passionnantes du cerveau. Pascal disait déjà : "La mémoire est nécessaire à toutes les opérations de l’esprit". Il est bien vrai qu’elle régit l’essentiel de nos activités qu’elles soient scolaires, professionnelles, quotidiennes ou de loisirs. Elle construit aussi bien l’identité, les connaissances, l’intelligence, la motricité et l’affectivité de chacun de nous.

Voir en ligne : L’éducation au service de la santé - réalisé par l’ADOSEN SWISSWEB

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La mémoire

La mémoire permet d’enregistrer des informations venant d’expériences et d’événements divers, de les conserver et de les restituer. Différents réseaux neuronaux sont impliqués dans différents types de mémorisation. La meilleure connaissance de ces processus améliorent la compréhension de certains troubles mnésiques et ouvrent la voie à des interventions possibles dans l’avenir.

Voir en ligne : INSERM

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La méningite à méningocoques

La méningite à méningocoque est une infection grave (causée par la bactérie Neisseria meningitidis) provoquant une inflammation des membranes qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière. La méningite à méningocoque fait partie des infections invasives à méningocoque. Il s’agit d’une maladie rare en France mais dont la gravité réside dans le pronostic fatal (15% des cas). Elle touche essentiellement les enfants et les adolescents et survient, en général, du début de l’hiver au printemps. Il existe dans le monde trois sérogroupes principaux de la bactérie : A, B (le plus fréquent en France) et C. D’autres sérogroupes (plus rares) ont également été identifiés comme étant pathogènes (W135, X, Y, Z…).

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire

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La Méthode Mézières

La Méthode Mézières est une méthode de rééducation globale et individuelle conçue et élaborée dès 1947 par Françoise Mézières, kinésithérapeute. Elle se distingue par une approche originale de l’homme et de la maladie en considérant l’être humain dans son ensemble. Pour Françoise Mézières, toute partie du corps est en relation avec le reste du corps de par la solidarité des muscles qui s’organisent en chaînes. Pour de multiples raisons, ces chaînes musculaires ont souvent tendance à être trop tendues et raccourcies, ce qui occasionne une limitation de mouvements et déstabilise la statique du corps par le jeu des adaptations et des compensations.

Voir en ligne : Association Mézièriste Internationale De Kinésithérapie

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La migraine

La migraine se caractérise par des crises répétées se manifestant essentiellement par de pénibles maux de tête (céphalées). Cette maladie neurologique touche 15 % de la population mondiale. Elle est due à une excitabilité neuronale anormale, liées à des facteurs génétiques complexes associés à des facteurs environnementaux. Pour un migraineux sur quatre, la sévérité des crises entraîne un retentissement socioprofessionnel important.

Voir en ligne : Dossier réalisé avec la collaboration du Pr Anne Ducros, Département de Neurologie, Hôpital Gui de Chauliac à Montpellier

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La migraine de l’enfant : actualités

Crise d’une durée de 1 à 48 heures
La céphalée présente au moins deux des caractéristiques suivantes : Localisation bilatérale. Pulsatile. Intensité modéré ou sévère. Aggravation par l’activité physique
Durant la céphalée, au moins une des caractéristiques suivantes : Nausée ou vomissement Photophobie ou phonophobie

Voir en ligne : Dr Daniel Annequin, Dr Barbara Tourniaire - Hôpital d’enfants Armand Trousseau - 75012 Paris

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La migraine : Traitements la crise

Vous êtes atteint(e) de maladie migraineuse.. Le présent document a pour but de vous donner quelques informations sur le traitement de la crise migraineuse. Il ne concerne que les adultes. Il ne peut être exhaustif.

Voir en ligne : SFTG

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La nouvelle "super-bactérie" venue d’Inde : une bombe à retardement mondiale

BOSTON (Etats-Unis) — L’émergence dans le sous-continent indien d’un pathogène résistant aux antibiotiques et qui s’est déjà propagé à la surface du globe est une bombe à retardement requérant une mobilisation immédiate des autorités sanitaires, insistent des infectiologues. "Il y a urgence à mettre en place un système de surveillance international dans les prochains mois et à tester tous les patients hospitalisés" dans le plus grand nombre de pays possible, explique lundi le Dr Patrice Nordmann, de l’Hôpital Bicêtre (près de Paris). "Ces mesures ont déjà été décidées en France et sont très sérieusement envisagées au Japon, à Singapour et en Chine", rappelle-t-il, lors d’un entretien avec l’AFP.

Voir en ligne : De Jean-Louis SANTINI (AFP) – Google

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La page Biologie

Ce site a pour vocation de vous informer en biologie humaine.

Voir en ligne : pascal.def.perso.infonie.fr/

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la paralysie faciale... pas toujours si facile que cela !

Souvent précédée de vives douleurs mastoïdiennes et s’installant rapidement, généra- lement au cours de la nuit, la paralysie faciale « a frigore » constitue la forme la plus fréquente de paralysie faciale périphérique de l’adulte, et correspond généralement à une névrite œdémateuse du nerf facial, souvent dans un contexte para-infectieux. Toutefois, s’il est vrai qu’il ne faut pas s’alarmer inutilement, la prudence s’impose tout de même en raison des nombreuses autres étiolo- gies possibles, qui, quoique plus rares, ne sont pas sans poser des problèmes parfois importants.

Voir en ligne : Revue Médicale de Liège

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La pathologie mécanique du genou. Les lésions méniscales

La pathologie méniscale du genou est le motif de consultation le plus fréquent en chirurgie du genou. Le ménisque interne est le plus fréquemment lésé (4 à 5 ménisques internes pour 1 ménisque externe). Apanage de l’adulte jeune, les lésions méniscales peuvent se voir également chez l’enfant et l’homme d’âge mûr. Ces lésions se voient essentiellement chez le sportif ou chez le travailleur manuel qui travaille accroupi (carreleur, charpentier, etc…).

Voir en ligne : Professeur Dominique SARAGAGLIA - Faculté de Médecine de Grenoble

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La pédiculose : personne n’est à l’abri !

N’importe qui, un jour, risque de découvrir la présence de ces petits parasites du cuir chevelu : les poux de tête. Il n’y a pas lieu de paniquer ni d’être embarrassé. La pédiculose - c’est le nom de cette infestation - survient chez des gens de tous âges et de tous les milieux socio-économiques, sans discrimination. L’infestation par les poux n’a rien à voir avec la fréquence des shampooings ni avec le degré de propreté de la maison où vit l’enfant ou l’adulte atteint de pédiculose. Le plus important est de bien comprendre la nature de cette infestation pour mieux la combattre et pour prévenir d’autres épisodes.

Voir en ligne : Hôpital de Montréal pour Enfants | Mc Gill

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La perception de soi au cours du vieillissement : approche normale et pathologique à travers l’étude de la chute

Le vieillissement amoindri de façon régulière les capacités physiques, sensorielles et parfois cognitives des individus. Le vieillissement du corps transforme également l’image offerte à autrui et à soi-même. La perception que la personne âgée a alors d’elle-même est une question qui n’est pas sans conséquence. La perception réaliste de ses capacités physiques semble nécessaire dans la réalisation d’actes moteurs alors que la perception optimiste de soi et de l’environnement semble nécessaire au maintien du moral.

Voir en ligne : Myriam Noel | NFP - Neurosciences fonctionnelles et pathologies

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La pharyngite aiguë

Ces recommandations concernent le diagnostic et le traitement de l’angine, appelée aussi pharyngite aiguë selon la terminologie anglo-saxone, à l’exclusion de toute pathologie chronique du pharynx. Les deux termes angine et pharyngite seront utilisés de façon équivalente dans le texte. Les recommandations (guidelines) énoncées concernent le cas du patient habituel, sans co-morbidités majeures. Elles ne peuvent pas prendre en considération tous les cas particuliers pour lesquels le médecin reste seul juge de l’attitude diagnostique et thérapeutique la plus appropriée.

Voir en ligne : Conseil Scientifique | Luxembourg

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La place des fruits et légumes frais. Lutter contre l’excès de cholestérol et de triglycérides sanguins

  • Bien choisir les matières grasses.
  • Jouer la carte végétale.
  • Consommer plus de fibres.
  • Surveiller son poids.

Voir en ligne : Swissweb santé publique-prévention-promotion de la santé

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La plainte fatigue en médecine générale

La fatigue est une plainte subjective et il n’existe pas de définition précise communément admise, fiable, cliniquement utilisable ou quantifiable (Ruffin 1994, Valdini 1985). La fatigue est un symptôme non spécifique. Elle intervient dans bon nombre de maladies somatiques ainsi que dans diverses entités psychiatriques. Pour Horn (2002), la première difficulté réside dans la définition de ce terme, qui va du besoin de se reposer à la somnolence aiguë en cours de journée en passant par les difficultés à réfléchir et à se concentrer

Voir en ligne : Dr Magnette C - Dr Gérard B - SSMG Société Scientifique de Médecine Générale

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La PMA à l’étranger - Don d’ovocytes

La Direction générale de la santé a attiré l’attention sur l’augmentation du nombre de couples résidant en France qui se rendent à l’étranger en vue de bénéficier d’une assistance médicale à la procréation, avec don d’ovocytes. Certes les législations des pays européens sont disparates, voire contradictoires.

Voir en ligne : Conseil national de l’Ordre des médecins

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La pneumonie

La pneumonie est une maladie fréquente. Elle affecte de nombreuses personnes à travers l’Europe, bien qu’elle soit plus fréquente dans des pays sous développés, et touche souvent de jeunes enfants ou des personnes âgées.

Voir en ligne : European Respiratory Society

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La pneumonie chez les enfants et adolescents canadiens en santé : des points de pratique pour la prise en charge

La vaccination a réduit l’incidence de pneumonie bactérienne chez les enfants vaccinés, mais la pneumonie demeure courante chez les enfants en santé. À moins que ce soit tout à fait irréalisable, il faudrait effectuer une radiographie pulmonaire pour confirmer le diagnostic de pneumonie. Des facteurs comme l’âge, les signes vitaux et d’autres mesures de gravité de la maladie sont essentiels dans la décision d’hospitaliser ou non un patient. Puisque le Streptococcus pneumoniae continue d’être la principale cause de pneumonie bactérienne chez les enfants, la prescription d’amoxicilline ou d’ampicilline pendant sept à dix jours constitue le principal traitement empirique d’une forme non sévère de la pneumonie. Si on n’observe pas d’amélioration, il faut envisager des complications (empyème ou abcès pulmonaire). Il n’est pas recommandé de procéder à une radiographie pulmonaire systématique à la fin du traitement, à moins d’une indication clinique.

Voir en ligne : Société canadienne de pédiatrie, comité des maladies infectieuses et d’immunisation

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La pollution atmosphérique en bref

Différentes échelles ] [ Principaux phénomènes ] [ Sources de pollution ] [ Effets ]

Voir en ligne : citepa

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La Polyarthrite Rhumatoïde

La polyarthrite rhumatoïde (PR) est le plus fréquent des rhumatismes inflammatoires chroniques.

  • touche environ 0.5% de la population, quatre fois plus souvent la femme ;
  • peut survenir à n’importe quel âge mais surtout entre 35 et 55 ans.
    Sa gravité est la conséquence de l’inflammation chronique de la membrane synoviale articulaire. Cette inflammation entraîne progressivement une destruction de l’os et du cartilage, responsable de l’atteinte fonctionnelle.

Voir en ligne : P. Miossec - Unité d’Immunologie Clinique, Service de Rhumatologie - Hôpital Edouard Herriot, Lyon

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La polyarthrite rhumatoïde : quelle est cette maladie ?

Quelle est la définition de la polyarthrite rhumatoïde ?
Est-ce une maladie fréquente ?
La maladie touche t-elle uniquement les articulations ? _Est-ce que la polyarthrite rhumatoïde est une maladie grave ?

Voir en ligne : Dr. X. Puéchal - SFR Société Française de Rhumatologie

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La polyglobulie primitive (maladie de Vaquez)

Le terme « polyglobulie » signifie que votre moelle osseuse produit un nombre excessif de globules rouges qui passent ensuite dans le sang. La moelle osseuse est le tissu contenu dans les os où sont produites toutes les cellules du sang (à ne pas confondre avec la moelle épinière qui appartient au système nerveux). C’est au niveau de la moelle osseuse que se situe l’origine de la maladie. La production normale des globules rouges est en grande partie contrôlée par l’érythropoïétine (Epo), un facteur de croissance hormonal.

Voir en ligne : SFH - Société Française d’Hématologie

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La prescription des antalgiques majeurs

  1. La prescription et la délivrance des antalgiques majeurs sont soumises à de nombreuses contraintes réglementaires dans tous les pays étudiés sauf en Belgique
  2. Un assouplissement de la réglementation est perceptible dans tous les pays
  3. Au Danemark, le contrôle de la prescription des antalgiques majeurs repose non seulement sur des mesures réglementaires mais aussi sur la stabilité des relations entre les médecins et leurs patients

Voir en ligne : Sénat

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La prescription et la place du médicament dans la relation médecin-patient-pharmacien

Cette étude a pour but de situer exactement la place du médicament dans la relation incontournable et indispensable des acteurs de santé, au service du patient. Ce sujet très vaste sera volontairement limité aux aspects réglementaires, éthiques et déontologiques qui émaillent le parcours de la molécule, de sa conception aux effets attendus, ou à ceux qui le sont moins… entre les mains expertes de celui qui conçoit, de celui qui produit, de celui qui prescrit et enfin de celui qui délivre le médicament dans l’intérêt souverain du malade qui se soigne, ou consomme, selon le cas…

Voir en ligne : Conseil national de l’Ordre des médecins

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La prévention de la varicelle : les recommandations à l’égard de la vaccination antivaricelleuse systématique à deux doses chez les enfants

La totalité des provinces et territoires canadiens disposent de programmes systématiques de vaccination antivaricelleuse à une dose depuis 2007, une stratégie qui a réduit considérablement les taux de varicelle. Cependant, on observe toujours des cas postvaccinaux, dont certains sont graves. Selon de plus en plus de données probantes, l’immunité à une dose du vaccin peut décliner dans la population vaccinée et la maladie peut se déplacer dans un groupe de personnes plus âgées, qui peuvent souffrir d’une maladie plus grave et d’un plus grand nombre de complications. Le présent document de principes expose les raisons d’une stratégie de vaccination à deux doses au Canada, de même que les recommandations justifiant un calendrier de vaccination antivaricelleuse à deux doses pour tous les enfants canadiens. Les enfants qui ont reçu une dose du vaccin et n’ont pas subi d’infection postvaccinale devraient se faire administrer une seconde dose du vaccin contre la varicelle. Le présent document de principes remplace celui de 2005 que la Société canadienne de pédiatrie a publié sur la prévention de la varicelle.

Voir en ligne : Société canadienne de pédiatrie, comité des maladies infectieuses et d’immunisation

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La prévention de la varicelle chez les enfants et les adolescents

La varicelle est une maladie très contagieuse et très courante. Le taux d’attaque secondaire dans les familles s’élève entre 85 et 90 %, mais il est plus faible dans les écoles. En Amérique du Nord, 95 % des personnes qui ont atteint l’âge de 30 ans ont été infectées La varicelle infecte surtout les jeunes enfants. Environ 50 % des enfants de 5 à 9 ans, 20 % des enfants d’âge préscolaire et 20 % des enfants âgés entre 10 et 14 ans la contractent. Seulement 10 % des enfants > 15 à 19 ans en sont affligés et moins de 2 % des adultes.

Voir en ligne : Comité des maladies infectieuses et d’immunisation, Société canadienne de pédiatrie (SCP)

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La prévention du risque en médecine. Une introduction

Notre planète vieillit, ses ressources naturelles s’épuisent et sa population prend de l’âge puisque, au moins dans les pays dits développés, l’espérance de vie s’accroit d’environ six mois tous les deux ans. Autant dire que le type de maladies ou d’affections qui nous touche évolue, avec notamment un accroissement de la prévalence des maladies chroniques. Ainsi les maladies infectieuses, qui ont dominé l’espérance de vie et la mortalité lors des siècles précédents, cèdent-elles désormais la place aux cancers et aux affections dégénératives, tel que le déclin cognitif et neuro-sensoriel.

Voir en ligne : Pierre CORVOL - Les conférences du Collège de France

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La prévention du stress dans la vie professionnelle courante

Le succès de cette notion dans le corps médical et le public, notion devenue souvent « fourre-tout », a malheureusement compliqué un problème simple à la portée de « tout le monde » et l’a volontiers conduit à l’hermétisme. Qu’on en juge plutôt par ces propos d’un « spécialiste » du stress proposant une « médecine holistique » dont « les méthodes font appel, selon les cas, au retraitement des émotions, à l’approche systémique, à la pensée complexe, à la thérapie familiale issue de l’école de Palo Alto, au concept d’incertitude, à l’équithérapie, au cognitivo-comportementalisme, à la vidéothérapie, à la psycho-biologie » (sic) !

Voir en ligne : Dr A. Gaillard – Médecin honoraire du CHU de Nantes

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La prévention et la prise en charge de la douleur chez le nouveau-né

Tous les dispensateurs de soins devraient chercher à prévenir la douleur chez les nouveau-nés, car les expositions à la douleur peuvent avoir des conséquences délétères. Les nouveau-nés les plus vulnérables à une atteinte neurodéveloppementale attribuable à la prématurité (p. ex., les plus petits et les plus malades) sont également ceux qui risquent le plus d’être exposés au plus grand nombre de stimulus douloureux à l’unité de soins intensifs néonatals (USIN).

Voir en ligne : Société canadienne de pédiatrie, Ottawa (Ontario) CANADA

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La prévention primaire de l’accident vasculaire cérébral - ce qui est utile et ce qui ne l’est pas

L’alimentation joue un rôle croissant dans la prévention primaire et rencontre un intérêt particulièrement grand chez les patients, entre autres parce qu’une adaptation permet d’influencer activement le risque proprement dit. Le style de vie et l’alimentation jouent également un rôle de plus en plus important dans la prévention de l’AVC

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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La prise en charge de l’adolescent acnéique

L’acné est une affection banale qui affecte profondément l’image corporelle de l’adolescent. Elle nécessite une prise en charge adaptée et prolongée, qui s’appuie sur le vécu de la maladie. Les ressources médicamenteuses comprennent les traitements locaux (rétinoïde, antibiotiques, peroxyde de benzoyle) ou généraux (antibiotiques, gluconate de zinc, isotrétinoïde). La stratégie thérapeutique dépend du caractère rétentionnel, inflammatoire ou mixte de l’acné.

Voir en ligne : Gérard Douriez* *Chargé d’enseignement : UFR Poitiers

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La prise en charge de l’interruption volontaire de grossesse

La loi du 4 juillet 2001 relative à la contraception, à l’interruption volontaire de grossesse et à l’éducation à la sexualité a fait de l’activité d’IVG une composante de l’offre de soins, intégrée dans le Code de la santé publique. La loi du 9 août 2004 relative à la santé publique se fixe pour objectif d’« assurer l’accès à une contraception adaptée, à la contraception d’urgence et à l’IVG dans de bonnes conditions pour toutes les femmes qui décident d’y avoir recours ».

Voir en ligne : Ispection générale des affaires sociales

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La prise en charge de la dépression en médecine générale dans les Pays de la Loire

La dépression est une pathologie fréquente en médecine générale. Selon le Panel d’observation des pratiques et des conditions d’exercice en médecine générale, la majorité des praticiens des Pays de la Loire prennent en charge chaque semaine des patients pour un état dépressif. Différents aspects de leur pratique dans ce domaine apparaissent liés aux questions de disponibilité et de proximité des professionnels spécialisés en santé mentale. 80 % des médecins généralistes des Pays de la Loire considèrent en effet que l’accès à ces professionnels est difficile ou plutôt difficile sur leur zone d’exercice. Ce constat fait écho à des densités régionales en psychiatres et en psychologues très inférieures à la moyenne nationale, avec des situations particulièrement tendues dans les départements de Mayenne, Sarthe et Vendée.

Voir en ligne : ORS Pays de la Loire Observatoire Régional de la Santé des Pays de la Loire]

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La prise en charge de la dépression en médecine générale de ville

Les deux tiers des médecins déclarent être confrontés fréquemment à des états dépressifs de leurs patients. Neuf sur dix s’estiment efficaces dans la prise en charge de la dépression et les trois quarts ont suivi une formation sur cette prise en charge. Les stratégies de prise en charge de la dépression et leurs déterminants ont fait l’objet d’une enquête réalisée fin 2011 dans le cadre du panel de médecins généralistes de ville. La majorité des participants perçoivent les psychothérapies comme un traitement à part entière de la dépression et les jugent efficaces. Mais ils soulignent plusieurs freins à leur accès : coût, délais de rendez-vous, réticence des patients.

Voir en ligne : La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees)

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La prise en charge de la gale

La gale constitue un problème pour les humains depuis avant le premier millénaire. Déjà, les premiers écrivains qui ont décrit les troubles de santé de l’humanité en rendaient compte. Elle est causée par un acarien, le Sarcoptes scabiei, variante hominis, et se transmet d’une personne à l’autre par contact cutané. Le risque de propagation est directement proportionnel à la quantité de parasites présents. Par ailleurs, la propagation peut se produire à partir des vêtements et des draps de lit, même si les acariens ne survivent pas longtemps après avoir quitté la peau

Voir en ligne : Comité de santé des Premières nations et des Inuits, Société canadienne de pédiatrie (SCP)

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La prise en charge de la grippe A (H1N1) confiée aux libéraux

Bachelot au « Quotidien » : « J’ai confiance en la médecine de ville et j’ai besoin d’elle » À partir d’aujourd’hui, les personnes qui présentent des symptômes évocateurs de la grippe devront contacter leur médecin traitant, qui évaluera leur état de santé et décidera de la conduite à tenir. Une évolution que les professionnels de santé doivent considérer de manière « attentive et sereine », selon la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot.

Voir en ligne : quotimed.com

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La prise en charge de votre épilepsie - Vivre avec une épilepsie sévère

Qu’est-ce que l’épilepsie sévère ? L’épilepsie est une maladie neurologique qui se traduit par des crises. On diagnostique la maladie lorsque les crises épileptiques* se répètent dans le temps. Celles-ci sont très variables, certaines pouvant passer inaperçues (crises à type d’absences par exemple), alors que d’autres sont plus spectaculaires (convulsions, perte de connaissance). Malgré leurs formes différentes, elles traduisent toujours une perturbation temporaire du cerveau.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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La prise en charge de votre insuffisance cardiaque. Vivre avec une insuffisance cardiaque

Le cœur est une pompe musculaire puissante. Il apporte aux organes du sang riche en oxygène et en substances nutritives. Quand le cœur perd sa force musculaire et sa capacité de contraction normale, il y a insuffisance cardiaque. Le cœur ne peut plus effectuer correctement son travail de pompe et n’apporte plus un débit de sang suffisant dans tous les organes, notamment dans le rein, avec diminution de l’élimination de sel et d’eau par les urines. En amont du cœur, la pression du sang augmente dans les poumons, puisque le cœur pompe mal.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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La prise en charge de votre maladie de Crohn

La maladie de Crohn est une maladie inflammatoire qui peut atteindre une ou plusieurs parties du tube digestif. C’est une maladie chronique au cours de laquelle alternent périodes de poussées et d’accalmies. Les poussées se manifestent généralement par des douleurs abdominales, une diarrhée avec des glaires et parfois du sang, et souvent de la fatigue. La maladie peut aussi se traduire par des symptômes articulaires, cutanés ou oculaires.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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La prise en charge de votre maladie de Parkinson

Ce guide a pour objectif d’informer le patient admis en ALD, au titre d’une maladie de Parkinson, sur les principaux éléments du traitement et du suivi. Il fournit également plusieurs sources d’informations complémentaires. Ce guide est remis par le médecin traitant et peut constituer un support de dialogue

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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La prise en charge des douleurs neurogènes

Dans la neuropathie diabétique douloureuse, les antidépresseurs tricycliques constituent le groupe de loin le mieux documenté. On peut envisager la gabapentine ou la duloxétine en cas d’intolérance ou de contre-indications. Il n’y a pas d’études comparatives directes entre les 3 groupes de médicaments dans cette indication. Aucun médicament n’a un effet prouvé sur l’enrayement de la neuropathie.

Voir en ligne : CBIP - Centre Belge d’Information Pharmacothérapeutique

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La prise en charge du couple infertile Élaborées

La prise en charge du couple infertile fait l’objet de nombreuses recommandations, règlementations et conférences de consensus, dans des domaines très divers, le plus souvent dans celui de l’assistance médicale à la procréation (AMP). Elles sont dans leur majorité orientées vers des règles de sécurité sanitaire ou vers la recherche de la qualité. Elles sont édictées par des comités d’experts ou des sociétés savantes sur la base de ce qu’il est convenu d’appeler « bonnes pratiques ».

Voir en ligne : Collège national des gynécologues et obstétriciens français

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La prise en charge du patient d’âge pédiatrique victime d’un traumatisme crânien aigu

Le traumatisme crânien responsable de lésions cérébrales est une cause importante de morbidité et de mortalité pendant l’enfance. La gravité de la lésion dépend du mécanisme du traumatisme, qui varie lui-même selon l’âge. Chez les patients d’âge pédiatrique, la majorité des traumatismes crâniens sont légers, n’exigent pas de traitement particulier et ne laissent aucune séquelle. Cependant, il est important de déterminer les personnes vulnérables aux lésions graves, qui ont donc besoin d’une évaluation particulière.

Voir en ligne : Catherine A Farrell ; Société canadienne de pédiatrie, Comité des soins de courte durée

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La prise en charge du suivi bucco-dentaire des personnes diabétiques est-elle adaptée ? Exploitation de l’enquête ESPS 2008

Le diabète est une pathologie caractérisée par une hyperglycémie chronique résultant d’une déficience de sécrétion d’insuline. Non éq uilibré, il peut engendrer des complications sévères. La maladie parodontale constitue une des complications du diabète non équilibré. Cette affection bactérienne détruit les tissus qui supportent les dents et provoque leur perte. Or, la prévention des affections dentaires peut avoir un effet bénéfique sur l’équilibre du diabète et la qualité de vie des personnes atteintes. À partir des données de l’Enquête santé et protection sociale (ESPS) 2008, représentative en population générale, nous décrivons les caractéristiques socio-économiques des personnes diabétiques et nous interrogeons sur leurs accès et recours au dentiste.

Voir en ligne : INPES - Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé

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La prise en charge d’un trouble dépressif récurrent ou persistant. Vivre avec avec un trouble dépressif

Ce guide a pour objectif d’informer le patient admis en ALD, au titre d’un trouble dépressif récurrent ou persistant, sur les principaux éléments du traitement et du suivi. Il fournit également plusieurs sources d’informations complémentaires. Ce guide est remis par le médecin traitant et peut constituer un support de dialogue.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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La prostatite - diagnostic et antibiothérapie en première ligne

M. Gendron, 52 ans, se rend au service de consultation sans rendez-vous, car il fait de la fièvre, a une dysurie et souffre de douleurs abdominales depuis quelques jours. Son examen physique est normal, mais il a une sensibilité sus-pubienne et sa prostate est douloureuse au toucher rectal. Il est aussi at- teint d’une hypertrophie bénigne de la prostate. L’analyse d’urine à l’aide de la bandelette urinaire confirme la présence de leucocytes, de sang et de nitrites. Vous pouvez alors envisager le diagnostic de prostatite bactérienne aiguë. Comment prendrez-vous en charge ce patient ?

Voir en ligne : Philippe Smith | Hôpital Maisonneuve-Rosemon

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La prostatite diagnostic et antibiothérapie en première ligne

L A prostatite est une affection urologique commune chez l’homme, sa prévalence étant estimée à 9,7 % avec une incidence de récurrence de 20 % à 50 %1. La plupart des prostatites bactériennes aiguës sont occasionnées par une infection urétrale ascendante. Un reflux d’urine dans les canaux prostatiques et éjaculateurs permet ensuite l’entrée de micro- organismes dans la prostate

Voir en ligne : Philippe Smith | Hôpital Maisonneuve-Rosemon

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La protection au quotidien pendant vos voyages

Le Centre de Vaccination d’Air France pratique avant tout des vaccinations pour le voyageur : fièvre jaune pour l’Afrique Noire et certains pays d’Amérique du Sud, vaccins protégeant contre la typhoïde et l’hépatite A pour les zones à risques, encéphalite japonaise pour les séjours prolongés dans l’Asie des rizières, vaccin de l’encéphalite à tique pour les voyages entre l’est de la France et l’Asie occidentale, vaccin tétravalent antiméningococcique exigé par l’Arabie Saoudite lors du pèlerinage de La Mecque et conseillé pour plusieurs pays d’Afrique, zone sahélienne, vaccin antirabique pour les séjours aventures où cette maladie incurable sévit encore, surtout en Asie, vaccin oral anticholérique en fonction des épidémies, vaccin contre la leptospirose pour les personnes pratiquant des activités en eau douce. Pour tous renseignements prenez contact avec nous dès à présent.

Voir en ligne : Centre de Vaccination Air France à l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle.

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La psychanalyse depuis 1980

Chronologie et sélection bibliographique de la psychanalyse et de ses critiques dans son contexte historique, social et culturel, en France, en Europe et dans le monde Principaux livres, articles et événements institutionnels (1980-2005)

Voir en ligne : pierrehenri.castel.free

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La recto-colite hémorragique

La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec. La recto-colite hémorragique (RCH) est une maladie inflammatoire du rectum et du gros intestin (côlon). Elle se manifeste par une diarrhée accompagnée de sang et, le plus souvent, de douleurs abdominales intenses. De la fièvre et une perte de poids peuvent y être associées. La RCH évolue de manière imprévisible, généralement par poussées entrecoupées de périodes sans symptômes. Sa cause est inconnue.

Voir en ligne : Orphanet - Le portail des maladies rares et des médicaments orphelins

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La relation médecin-malade. L’annonce d’une maladie grave

La relation thérapeutique médecin-malade est déterminée par de nombreux facteurs, individuels et socio-culturels. De même que le malade réagit à sa maladie en fonction de sa personnalité propre, le médecin réagit face à son malade par un certain nombre d’attitudes conscientes et inconscientes qui dépendent de sa personnalité et de son histoire, et qui sont susceptibles d’infléchir le cours de la relation thérapeutique.

Voir en ligne : univ-rouen.fr

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La résistance aux antibiotiques

Dossier réalisé en collaboration avec le Pr Laurent Gutmann, Service de microbiologie de l’Hôpital Européen Georges Pompidou, Unité 872 Inserm/UPMC/Université Paris Descartes - Mai 2013.
Les antibiotiques ont permis de faire considérablement reculer la mortalité associée aux maladies infectieuses au cours du 20ème siècle. Hélas, leur utilisation massive et répétée a conduit à l’apparition de bactéries résistantes à ces médicaments. Ponctuelles au départ, ces résistances sont devenues préoccupantes et conduisent à la mise en place de diverses stratégies pour éviter les situations d’impasses thérapeutiques.

Voir en ligne : INSERM

Sujets associés


La révision de la stratégie européenne relative aux perturbateurs endocriniens

Un certain nombre d’incertitudes et de problématiques très complexes qui ne font pas actuellement l’objet de consensus subsistent au sein de la communauté scientifique sur les questions relatives à la perturbation endocrinienne. Le niveau de connaissances va toutefois en grandissant et les essais complémentaires qui pourront être demandés dans un cadre réglementaire contribueront à l’améliorer. Il est à noter que l’évaluation des risques est la démarche la plus pertinente scientifiquement pour estimer les effets sur la santé et l’environnement et qu’elle devrait être l’approche retenue préférentiellement dans les réglementations en regard de l’approche utilisant l’identification des dangers. A ce titre, une intégration plus poussée de cette démarche dans la réglementation relative aux produits phytopharmaceutiques pourrait être envisagée.

Voir en ligne : Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail

Sujets associés


La Revue du Médicament

A l’heure où une grande controverse nationale s’engage sur la dangerosité de l’hypercholestérolémie la Revue du Médicament publie son numéro 4. Si les contraintes économiques sont pour nous une réalité que la nation doit prendre en compte (et pas uniquement les médecins) l’objectivité doit nous placer au centre d’un débat où se retrouvent négationnistes et partisans d’une médication à outrance. Soyons raisonnables et surtout droits dans nos bottes pour regarder les preuves, toujours les preuves et n’hésitez pas à vous exprimer.

Voir en ligne : Numéro 4


La revue du médicament est une innovation numérique lancée en octobre 2012.

Cette revue est exclusivement électronique et financée par les abonnements. Elle est fondée sur un partenariat associant :
Un comité de médecins généralistes connus pour leur indépendance et leur implication dans la FMC,
Un comité d’experts indépendants et n’ayant aucun conflit d’intérêt avec les laboratoires promoteurs des produits ou leurs concurrents,
Une société de logistique assurant l’édition et la promotion des abonnements.

Voir en ligne : La revue du médicament

Sujets associés


La rougeole en France

Entre janvier 2008 et mai 2012, plus de 22 000 cas de rougeole ont été déclarés en France. L’incidence la plus élevée a été observée chez les enfants de moins de un an, et plus de 50 % des cas ont été déclarés chez de jeunes adultes. Près de 5 000 patients ont été hospitalisés, dont 1 023 atteints de pneumonie, 27 d’encéphalite/myélite ; 10 patients sont décédés. Cette situation résulte d’une couverture vaccinale insuffisante, hétérogène, avec constitution progressive d’un réservoir de sujets réceptifs permettant la circulation du virus. Si la couverture avec deux doses de vaccin a augmenté pour les enfants, améliorer celle des jeunes adultes demeure un objectif majeur pour éliminer la maladie et, en particulier, pour pouvoir protéger les populations vulnérables ne pouvant être vaccinées (enfants de moins d’un an, patients immunodéprimés, femmes enceintes).

Voir en ligne : M/S médecine sciences

Sujets associés


La rougeole est de retour, protégeons-nous, vaccinons-nous !

La France fait actuellement face à une épidémie de rougeole. La rougeole est une infection virale très contagieuse qui touche aussi bien les enfants en bas âge que les adolescents et les jeunes adultes. Elle peut être responsable de complications graves (pneumonies, surdité, encéphalites) et parfois de décès. La vaccination est aujourd’hui la seule protection individuelle efficace contre la rougeole.

Voir en ligne : Info Rougeole

Sujets associés


La santé des femmes en France

Si les femmes continuent à cumuler les désavantages dans de nombreux domaines de la vie sociale, elles bénéficient d’un atout sur le plan de la santé, puisque leur espérance de vie est sensiblement plus élevée que celle des hommes : 84,8 ans en France en 2012, soit l’une des plus élevées d’Europe, contre 78,4 ans pour les hommes, qui se situent dans la moyenne européenne. Cependant, les femmes perçoivent leur santé de manière plus négative que les hommes et déclarent plus de limitations fonctionnelles. Elles vivent un plus grand nombre d’années avec des incapacités, et plus souvent en situation d’isolement.

Voir en ligne : DREES études et résultats n° 834, mars 2013

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La sarcoïdose - Maladie de Besnier-Boeck-Schaumann

La sarcoïdose est une maladie de cause inconnue qui peut toucher plusieurs organes, en particulier les poumons et les ganglions lymphatiques. Elle est caractérisée par la formation d’amas de cellules, appelés « granulomes sarcoïdiens », jouant un rôle dans l’inflammation. Ces amas se forment principalement dans les poumons, mais ils peuvent toucher n’importe quel organe, et notamment les articulations, la peau, les yeux, le coeur, le système nerveux, les reins… Dans la plupart des cas, le nombre d’organes touchés est compris entre 2 et 4. Les granulomes n’entraînent parfois aucun signe, mais il peut y avoir des manifestations très variables d’un malade à l’autre.

Voir en ligne : Orphanet base de données sur les maladies rares et les médicaments orphelins.

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La sclérose en plaques

La sclérose en plaques, maladie évolutive de l’adulte jeune, est liée à l’inflammation et la destruction de la myéline du système nerveux central. Elle entraîne des handicaps importants qui peuvent entraver la vie professionnelle et perturber la vie familiale. La maladie concerne environ 50 000 patients en France (2 000 à 3 000 nouveaux cas par an). L’origine de cette affection reste un mystère. Grâce à de nouvelles techniques d’imagerie cérébrale, de récents progrès ont été accomplis dans le diagnostic, la compréhension de l’histoire naturelle de la maladie et la qualité scientifique des essais thérapeutiques.

Voir en ligne : Bertrand FONTAINE, Vincent MEININGER - Fédération de Neurologie, Groupe Hospitalier de la Pitié-Salpêtrière, Paris - FRM

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La scoliose

La scoliose est une déformation de la colonne vertébrale entraînant une torsion du rachis (colonne vertébrale) et une déformation du thorax, de l’abdomen et des zones paravertébrales (proches du rachis). Elle est plus souvent idiopathiques (sans cause retrouvée) mais elle peut compliquer des affections invalidantes (neurologiques ou neuro-musculaires) risquant d’aggraver le handicap. Il existe des possibilités de traitements (kinésithérapie, appareillage, chirurgie) de plus en plus efficaces, mais contraignantes et provoquant des limitations fontionnelles de la colonne vertébrale (chirurgie). Le dépistage qui permet un traitement précoce est essentiel.

Voir en ligne : Dr Jean-Michel Bruandet - Médecin-chef, CRRF Marc Sautelet, Villeneuce d’Ascq (APF)

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La scoliose c’est quoi ?

(scolios : tortueux en grec) est une déformation tridimensionnelle (dans les trois plans de l’espace) de toute ou partie de la colonne vertébrale (cervicale, thoracique ou lombaire) entraînant une torsion d’une ou de plusieurs vertèbres sur elle(s)-même(s) et provoquant une déformation du thorax, de l’abdomen et des zones paravertébrales (proches des vertèbres)

Voir en ligne : Dr Bruno DOHIN

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La scoliose idiopathique juvenile et de l’adolescent

Il existe des "disparités" dans la qualité de la prise en charge des scolioses idiopathiques. C’est pourquoi nous avons regroupé dans ce numéro 53 de la "Lettre de MPR" les éléments reférends d’un traitement de rééducation et orthétique précoce, rigoureux adapté des scolioses juvéniles et de l’adolescent.

Voir en ligne : Association nationale des médecins spécialistes de rééducation, médecine physique et de réadaptation

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La SFAR Société Française d’Anesthésie et de Réanimation

La SFAR Société Française d’Anesthésie et de Réanimation, est une association selon la loi 1901, reconnue d’utilité publique. Elle a pour but l’étude, l’avancement et l’enseignement de l’anesthésie et de la réanimation.

Voir en ligne : SFAR

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La sinusite

Un refroidissement est inoffensif et disparaît la plupart du temps spontanément. Cependant, dans certains cas, des complications peuvent survenir. Les plus courantes sont les surinfections bactériennes des voies respiratoires, de l’oreille moyenne ou des fosses nasales. Lorsque ces dernières sont infectées, on parle d’infection des muqueuses des fosses nasales, plus communément appelées sinusites.

Voir en ligne : Dr Michaël Callen

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La sinusite aiguë : un sacré mal de tête

Vendredi soir, aux consultations sans rendez-vous, quelques heures d’attente.Des rhinorrhées,des otalgies, quelques patients dont la température est à 39,7 °C, etc. La routine, quoi.C’est au tour de M.Forget,qui semble bien renseigné sur ses problèmes de santé et désire repartir avec une prescription d’antibiotiques.

Voir en ligne : FMOQ Fédération des Médecins Omnipraticiens du Québec

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La situation de la médecine générale en France.

Consciente de l’importance fondamentale de la Médecine Générale dans l’organisation sanitaire de notre pays, l’Académie nationale de Médecine a, dès 2002, créé un groupe de travail consacré à ce sujet. Depuis lors, ce groupe de travail a été transformé en commission permanente composée à parité d’académiciens et de médecins généralistes exerçant à Paris ou dans diverses régions de France, en milieu urbain ou rural.

Voir en ligne : Réflexions et propositions de l’Académie nationale de médecine

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La Société canadienne de bioéthique

La Société canadienne de bioéthique est une organisation sans but lucratif. Elle se veut une tribune pour les professsionnels intéressés à échanger des idées et à résoudre des problèmes de bioéthique. La Société s’engage à promovoir l’enseignement universitaire de la bioéthique ainsi que l’éducation permanente. Elle favorise la recherche et la publication d’ouvrages en bioéthique et encourage la diffusion d’information sur la bioéthique auprès des professionnels oeuvrant dans le domaine ainsi qu’au grand public.

Voir en ligne : SCB

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La stratégie du mensonge sur le tabac

Dans la lutte antitabac, il n’y a pas de demi-mesure. C’est ce que semblent penser les responsables de l’American Medical Association (AMA), qui viennent de consacrer un numéro de leur journal aux dissimulations et aux tromperies de deux fabricants de cigarettes.

Voir en ligne : centre antitabac de Genève

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La stratification du risque de l’embolie pulmonaire

L ’incidence de l’embolie pulmonaire est de 60 à 70 cas par 100 000 individus. Il y a donc plus de 4 000 cas d’embolie pulmonaire par année, au Québec seulement. La mortalité globale attribuable à l’embolie pulmonaire est de 3 à 12 % et est largement influencée par la présence d’une dysfonction cardiaque droite lors du diagnostic

Voir en ligne : Société des sciences vasculaires du Québec, en collaboration avec l’Université Laval (Steve Provencher, MD, FRCPC et Alexandre Lafleur, résident)

Sujets associés


La surveillance des gastro-entérites aiguës en France métropolitaine

  • Situation épidémiologique des gastro-entérites aiguës en France métropolitaine.
  • Surveillance des gastro-entérites aiguës en France métropolitaine
  • Prévention
  • Références

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire

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La talalgie une épine au talon

Les douleurs à la face plantaire du talon sont fréquentes. Environ 10 % des gens en souffriront au cours de leur vie4,9. Bien que la plupart soient bénignes et se résolvent spontanément, certaines se chronicisent et sont invalidantes. Les causes en sont multiples. L’approche clinique doit donc permettre de poser un diagnostic précis, de mettre en évidence les facteurs contributifs et d’instaurer un traitement ciblé. Dans le présent article, nous reverrons sommairement l’anatomie (figure 1) et la physiologie de cette région du pied.Par la suite, nous aborderons l’évaluation clinique et le diagnostic différentiel d’une talalgie. Enfin, nous discuterons des examens paracliniques à demander et du plan de traitement à instaurer en fonction du diagnostic.

Voir en ligne : FMOQ Fédération des Médecins Omnipraticiens du Québec Canada

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La télémédecine en dix questions, les réponses de l’Ordre des médecins.

Le CNOM, en exprimant dans ce document ses opinions et recommandations, relève que celles-ci rejoignent une préoccupation de la Commission Européenne. La Commission a fait une communication aux Etats membres le 4 novembre 2008, leur demandant d’évaluer leurs besoins et priorités en matière de télémédecine, avec l’objectif de les intégrer dans leurs stratégies nationales de santé. A ce titre, puisque la télémédecine concerne l’intérêt premier des patients et peut venir faciliter l’exercice des professionnels de santé qui les prennent en charge, la loi Hôpital Patient Santé et Territoires (HPST) devrait venir consolider l’étape franchie en France avec la loi du 13 août 2004

Voir en ligne : Conseil National de l’Ordre des Médecins

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La télémédecine peut améliorer la prise en charge du diabète gestationnel

• Qu’est-ce que la télémédecine et pourquoi avoir mis en place cette technique ?
La télémédecine, étymologiquement « médecine à distance », utilise les méthodes modernes de communication pour améliorer de nombreuses facettes de la médecine, comme la consultation, la surveillance, l’assistance, l’expertise. Nous sommes amenés dans notre service à prendre en charge par an 150 femmes enceintes présentant un diabète gestationnel. Il est extrêmement difficile de répondre à toutes les interrogations que se posent quotidiennement ces femmes dans la surveillance de leur diabète et de repérer et traiter rapidement les problèmes qui peuvent apparaître. Grâce à la mise en place d’une télésurveillance et d’une téléconsultation via une astreinte électronique diab.gest egp.aphp.fr nous pouvons faire face à l’afflux des demandes.

Voir en ligne : Pr Jean-Jacques Altman | Unité fonctionnelle « Diabétologie, nutrition et endocrinologie » – Hôpital européen Georges-Pompidou – Paris

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La télésanté (Note d’analyse 255 - Décembre 2011)

À quoi ressemblera l’offre de santé en France dans vingt ans ? Les défis sanitaires sont nombreux : hausse des maladies chroniques, vieillissement de la population, évolution de la démographie médicale, etc. Pour y répondre, deux leviers d’action sont disponibles. D’une part, le développement des coopérations entre professionnels de santé, sujet traité dans le premier volet de ce mini-dossier consacré à la santé demain. D’autre part, la production de soins à distance grâce aux technologies de l’information et de la communication (TIC) : on parle alors de télésanté. Aujourd’hui, son potentiel reste à exploiter.

Voir en ligne : Centre d’analyse stratégique

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La toux chronique chez l’adulte

La prévalence de la toux chronique a été évaluée à 6 % des consultations de nouveaux patients chez les médecins généralistes, 10 % des consultations dans un centre de santé à orientation respiratoire et 10 à 30 % des consultations de pneumologie.

Voir en ligne : SOCIÉTÉ FRANÇAISE D’ORL

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La toxoplasmose

La toxoplasmose est une maladie infectieuse causée par un parasite que les animaux transmettent aux hommes. C’est une maladie commune qui est rarement reconnue, puisque les personnes qui en sont atteintes ne semblent pas nécessairement malades

Voir en ligne : Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail (CCHST)

Sujets associés


La toxoplasmose : bon à savoir !

Une femme enceinte séro-négative à la toxoplasmose évitera les contacts avec les chats que ce soit les siens ou d’autres.

Voir en ligne : V.I.P. for Animals

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La transmission du savoir en médecine

Rapport de la Commission nationale permanente adopté lors des Assises du Conseil national de l’Ordre des médecins

Voir en ligne : Conseil national de l’Ordre des médecins


La Transplantation de Cellules Endocrines pour le Traitement du Diabétique Insulino-Dépendant

La recherche thérapeutique en matière de diabète insulino-dépendant vise le même objectif général : prévenir les complications chroniques et invalidantes de la maladie, au prix d’un traitement offrant des contraintes quotidiennes minimales, une sécurité maximale et une qualité de vie optimale. On sait depuis quelques années que cet objectif passe par l’obtention d’une glycémie la plus normale possible, le plus tôt possible et le plus longtemps possible. Dès lors, deux principales solutions sont envisagées pour parvenir à ce but :

Voir en ligne : Pierre Yves Benhamou, Grenoble, février 1998 - article publié dans la revue Diabète Avenir

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La tuberculose

La tuberculose tue près 2 millions de personnes chaque année dans le monde. L’épidémie de sida et l’émergence de bacilles multirésistants aux antibiotiques contribue à aggraver l’impact de cette maladie, considérée par l’Organisation mondiale de la santé comme responsable d’une épidémie mondiale de plus en plus dangereuse et comme une urgence sanitaire au niveau planétaire. L’O.M.S. estime qu’entre 2000 et 2020, près d’un milliard de personnes seront nouvellement infectées et que 200 millions d’entre elles développeront la maladie, dont 35 millions mourront de tuberculose si aucune amélioration n’est apportée dans le contrôle de cette infection.

Voir en ligne : Institut Pasteur

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La tuberculose pharmacorésistante atteint un niveau record

Dans certaines régions du monde, un tuberculeux sur quatre développe une forme de la maladie contre laquelle les traitements médicamenteux types sont désormais impuissants. C’est ce qui ressort d’un rapport de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Ainsi, 28% de toutes les personnes récemment diagnostiquées comme étant atteintes de tuberculose dans une région du nord-ouest de la Russie présentaient une forme multirésistante de la maladie (tuberculose MR) en 2008. Il s’agit du pourcentage le plus élevé dont l’OMS ait jamais eu connaissance. Avant cela, le niveau record de 22% avait été relevé en 2007 dans la ville de Bakou en Azerbaïdjan.

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé

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La tuberculose : situation actuelle

130 ans après la découverte de l’agent pathogène responsable de la maladie par Robert Koch, 8,7 millions de personnes dans le monde contractent encore la tuberculose (TB) chaque année, parmi lesquelles environ 600 personnes en Suisse. Chez nous, dans une situation de résistance normale, les malades de la TB peuvent être guéris à l’aide d’un traitement standard. Les 1 à 2% de patients résistants à deux médicaments ou plus doivent être pris en charge en collaboration avec des centres spécialisés.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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La typhoïde

Infection bactérienne (salmonella typhi)
Transmission féco-orale :
Alimentation : crudités, fruits de mer, boissons non surveillées (glaçons +++).
Rôle des "porteurs sains" dans la diffusion de la maladie.

Voir en ligne : CIMED Comité d’Informations Médicales - Informations santé des voyageurs et des expatriés

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La vaccination à l’adolescence : rôle des praticiens et des services de santé scolaire

Les consultations spontanées chez le médecin de famille étant relativement rares à l’adolescence, il semble justifié de dispenser les vaccinations pour les jeunes dans le cadre de l’école pour assurer une bonne couverture vaccinale. Les premiers résultats de la vaccination contre l’hépatite B en milieu scolaire sont très encourageants. En Suisse, les vaccins recommandés pour tous les 11-15 ans sont ceux de la diphtérie, du tétanos, de l’hépatite B et du méningocoque C. La vaccination contre la varicelle est réservée à des sujets avec anamnèse négative et, comme les vaccinations de rattrapage, sera plus généralement administrée hors du cadre scolaire. Tous les omnipraticiens et gynécologues devraient s’efforcer de vérifier et mettre à jour le statut vaccinal des adolescents chaque fois qu’ils sont consultés.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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La vaccination contre la grippe saisonnière

Le virus de la grippe sévit habituellement d’octobre à mars. Parce qu’il évolue chaque année, il est indispensable de s’en protéger et de se faire vacciner. Le vaccin contre la grippe saisonnière sera disponible en pharmacie dès la fin du mois de septembre. La grippe saisonnière, une maladie à prendre au sérieux Chaque année, la grippe saisonnière revient et touche des milliers de personnes. En vous faisant vacciner, vous évitez :
une forte fièvre (pouvant monter jusqu’à 40°),
une toux sèche,
une fatigue intense et des courbatures.

Voir en ligne : ameli.fr

Sujets associés


La vaccination contre les infections invasives à méningocoque

Depuis l’introduction du vaccin contre Haemophilus influenzae de type b dans l’immunisation de l’enfance, Neisseria meningitidis se partage avec Streptococcus pneumoniae la responsabilité de la grande majorité des méningites purulentes. Le méningocoque est une bactérie strictement humaine qui ne survit pas dans l’environnement et dont le réservoir est le nasopharynx de l’homme. La plupart des sujets infectés sont des porteurs sains (5 à 10 % de la population). Le taux d’incidence des infections invasives à méningocoque est en France inférieur à 2 cas pour 100 000 habitants par an

Voir en ligne : INEPS Institut national de prévention et d’éducation pour la santé

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La vaccination contre les VPH au Québec : mise à jour des connaissances et propositions du comité d’experts

"Ce document présente d’abord la mise en contexte et un résumé de l’ensemble de l’avis. Ensuite, une mise à jour des connaissances est présentée, selon quatre grandes sections : le fardeau des maladies liées aux VPH (chapitres 1 à 4), les caractéristiques des vaccins disponibles (chapitres 5 à 8), l’acceptabilité, la faisabilité et les enjeux éthiques de la vaccination contre les VPH (chapitres 9 à 13) et les analyses économiques (chapitre 14) s’y rapportant. Enfin, des propositions/recommandations sont présentées et des pistes de recherche sont suggérées. Pour conclure, les annexes présentent la synthèse des intérêts déclarés par les membres du comité et une description des études sur l’acceptabilité de la vaccination contre les VPH."

Voir en ligne : Site éditeur INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec

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La varicelle

La varicelle, qui est causée par le virus varicelle-zona, est une infection très courante pendant l’enfance, qu’il est possible de prévenir. Généralement légère, elle se manifeste surtout chez les enfants, mais elle peut causer beaucoup d’inconfort. Les adultes qui l’attrapent peuvent toutefois devenir très malades. La varicelle est dangereuse pour les personnes qui ont des troubles du système immunitaire, comme ceux causés par la leucémie, par exemple, ou qui prennent des médicaments qui affaiblissent le système immunitaire, tels les stéroïdes.

Voir en ligne : Société canadienne de pédiatrie

Sujets associés


La vie après un AVC

"Une initiative nationale vise à proposer les meilleures stratégies de récupération d’un AVC. : Après les soins à l’urgence… Après les soins à l’hôpital… Après toute thérapie… Après le retour à la maison… Que faire alors ?"

Voir en ligne : Réseau canadien contre les accidents cérébrovasculaires et de la Fondation des maladies du cœur du Canada

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La vitamine C prévient-elle le rhume ?

Les suppléments de vitamine C sont très populaires pendant les mois d’hiver. Contrairement à la croyance populaire, la prise de suppléments de vitamine C pour prévenir l’apparition d’un épisode de rhume ou de le guérir semble inutile... sauf dans certaines situations où des individus sont soumis à un stress physique important.

Voir en ligne : Extenso Centre de référence sur la nutrition humaine

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La vitamine D durant les mois d’hiver : un supplément est-il nécessaire ?

L’hiver est à nos portes, et les journées de plus en plus courtes, au même rythme que la période d’ensoleillement. Les besoins en vitamine D, surnommée la vitamine soleil, pourraient être plus difficiles à combler, particulièrement suite aux récentes mises à jour quant aux recommandations au Canada. Extenso fait le tour de la question.

Voir en ligne : Extenso

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La vitamine D et la peau

La vitamine D est bien connue pour ses effets bénéfiques sur l’homéostasie phosphocalcique. La découverte du rôle de la vitamine D dans différentes pathologies et son implication dans la prévention de cancers, d’infections, de maladies cardiovasculaires ou encore de pathologies auto-immunes ont favorisé l’intérêt pour cette molécule. La vitamine D révèle ses atouts en dermatologie. La peau représente le lieu de synthèse de la vitamine D mais elle en constitue également une cible puisque le calcitriol y joue un rôle hormonal et régulateur important en agissant sur la prolifération et la différenciation cellulaire ainsi que sur l’immunomodulation cutanée.

Voir en ligne : Revue Médicale de Liège

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La voix | Ses troubles chez les enseignants

Cet ouvrage présente les travaux du groupe d’experts réunis par l’Inserm dans le cadre de la procédure d’expertise collective, pour répondre à la demande de la Mutuelle générale de l’éducation nationale (MGEN) concernant la voix et ses troubles chez les enseignants

Voir en ligne : Institut national de la santé et de la recherche médicale

Sujets associés


Lampes solaires

L’exposition aux rayons ultraviolets A et B peut occasionner des coups de soleil, causer des lésions aux yeux et entraîner d’autres effets sur la santé, dont un risque accru de cancer de la peau. Les personnes qui utilisent une lampe solaire devraient être conscientes des risques que cela comporte et pouvoir ainsi prendre des mesures pour les réduire le plus possible.

Voir en ligne : Le Ministre de la Santé du Canada

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Le 27 novembre 2009, deux patients porteurs d’une mutation du virus A(H1N1) sont morts en France

L’Institut de veille sanitaire (InVS) signale l’identification en France par les Centres nationaux de référence de mutations dans le génome de virus de la grippe A (H1N1) 2009 et retrouvés chez deux patients qui, par la suite, sont décédés. Pour ces deux patients, sans relation entre eux et hospitalisés dans des villes différentes, il s’agit d’une mutation récemment signalée dans d’autres pays européens (Norvège, Danemark…). Cette mutation pourrait augmenter les capacités du virus à atteindre les voies respiratoires basses, et notamment, à atteindre le tissu pulmonaire. Pour un de ces patients, à cette mutation s’ajoute une autre mutation connue pour conférer une résistance à l’oseltamivir. Il s’agit de la première souche résistante en France parmi les 1200 souches analysées à ce jour.

Voir en ligne : InVS, Grippe A (H1N1) 2009 : le point en France métropolitaine

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Le baladeur et le risque de perte auditive

Le baladeur permet d’écouter de la musique en public sans déranger. Toutefois, on craint de plus en plus que cet appareil n’entraîne une perte auditive s’il n’est pas utilisé avec circonspection. Le baladeur se compose d’un lecteur portatif muni d’un casque d’écoute ou d’écouteurs. Il peut s’agir d’un récepteur radio ou d’un lecteur de disque compact, de cassette ou de fichiers musicaux (p. ex. format MP3). Le lecteur MP3 est facile à transporter et permet de stocker de nombreuses heures de musique. L’engouement croissant pour cet appareil soulève de nouvelles préoccupations quant à l’exposition à de forts niveaux sonores sur de longues périodes. Selon des rapports isolés de spécialistes de l’audition, davantage de jeunes présentent des signes de perte auditive.

Voir en ligne : Santé Canada

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Le bioterrorisme. Eléments de réflexion au 26 septembre 2001

Qu’est ce que le bioterrorisme ? C’est l’utilisation ou la menace d’utilisation de virus, bactéries, champignons ou toxines de micro-organismes dans le but de provoquer une maladie ou le décès d’êtres humains, d’animaux ou de plantes. C’est ce qu’on appelait auparavant la guerre bactériologique. L’enquête à propos des récents attentats aux USA a fait apparaître des éléments laissant penser que les terroristes envisageaient d’utiliser de tels moyens. Mais, il n’y a, à ce jour, aucun argument en faveur d’une attaque bioterroriste.

Voir en ligne : Société de Pathologie Infectieuse de langue Francaise

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Le bon usage des traitements des infections urinaires

Avant de traiter

  • Il faut avant tout définir si la personne souffre d’une infection urinaire compliquée ou non compliquée, soit avec ou sans facteur de risque.
  • Les infections urinaires non compliquées : concernent les femmes, sans pathologie urinaire particulière, en dehors de la grossesse et n’ayant pas été récemment hospitalisées. Il s’agit pour la grande majorité des patientes venant consulter pour des cystites aiguës simples, souffrant de brûlures mictionnelles, de pollakiurie, d’une sensibilité sus-pubienne, avec des urines troubles, sans fièvre. Les femmes jeunes ont toutes les chances de faire une infection urinaire, quelles soient en situation de stress ou de fatigue, du fait du port de vêtements trop serrés, d’utilisation de tampons vaginaux trop volumineux, d’épisodes de constipation, d’épisodes de la vie sexuelle ou d’erreurs dans l’hydratation ou la fréquence mictionnelle.

Voir en ligne : urinaire.com

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Le cabinet médical en ligne – prise en charge des patients par Internet

Les services en ligne orientés patients et modernes ouvrent de nouvelles perspectives dans la médecine de famille. Prise en charge médicale des patients par Internet – l’heure est venue. Il y a quelques années, Adrian Wirthner et Andreas Meer ont pu se faire une idée du système de santé danois à l’occasion d’un court voyage d’étude. A l’époque, la prise en charge médicale des patients par Internet nous avait particulièrement impressionnés. De retour en Suisse, nous voulions savoir si, dans notre pays également, les patients1 souhaitaient avoir des consultations en ligne et si les collègues étaient prêts à proposer un tel service.

Voir en ligne : PrimaryCare - Journal suisse de médecine de premier recours

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Le Calendrier des vaccinations et les recommandations vaccinales 2011 selon l’avis du Haut Conseil de la santé publique

Le calendrier vaccinal 2011 introduit de nouvelles recommandations qui concernent les vaccina- tions contre la fièvre jaune, la grippe saisonnière, les infections invasives à méningocoque, les infec- tions à papillomavirus humains (HPV) et la rougeolep

Voir en ligne : InVS Institut de veille sanitaire

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Le calendrier des vaccinations et les recommandations vaccinales 2012

Le calendrier vaccinal 2012 introduit de nouvelles recommandations qui concernent les vaccinations contre la grippe saisonnière, les infections invasives à pneumocoque et la tuberculose, le calendrier vaccinal des jeunes enfants à Mayotte ainsi que les vaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques.

Voir en ligne : selon l’avis du Haut Conseil de la santé publique

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Le Calendrier des vaccinations et les recommandations vaccinales 2013 selon l’avis du Haut Conseil de la santé publique

Le calendrier vaccinal 2013 introduit des modifications importantes, tant en ce qui concerne la vaccination du nourrisson, que les rappels prévus chez l’enfant, l’adolescent et l’adulte. En effet, sur la base des données épidémiologiques, des données de couverture vaccinale actuelle, des expériences de certains pays européens (Italie, Finlande, Suède, Danemark), le Haut Conseil de la santé publique, dans son avis du 21 décembre 2012 relatif à la simplification du calendrier vaccinal5,

Voir en ligne : HCSP Haut Conseil de la santé publique

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Le canal lombaire étroit : étiopathogénie, diagnostic et traitement

Si l’arthrose bien connue de la hanche ou du genou peut invalider de façon importante la marche d’un patient, la conjonction de symptômes lombaires, sciatalgiques et la restriction du périmètre de marche doivent faire penser à la possibilité d’un canal lombaire étroit comme origine des plaintes. L’entité clinique du canal lombaire étroit est, dans 90 % des cas, consécutive à la dégénérescence arthrosique des éléments du rachis, elle se rencontre de plus en plus fréquemment dans nos populations vieillissantes.

Voir en ligne : par le Dr Bernard Bouillet - RMG Revue de la Médecine Générale

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Le cancer du poumon chez la femme est-il différent ?

Le cancer pulmonaire est la première cause de mortalité par cancer dans le monde, favorisée par le tabagisme. Le carcinome pulmonaire non à petites cellules est une maladie hétérogène dont la prévalence augmente chez les femmes. Des facteurs épidémiologiques, pathologiques et hormonaux expliquent les différences tumorales entre hommes et femmes. Ces dernières présentent plus fréquemment des adénocarcinomes, une mutation du gène EGFR (Epidermal growth factor receptor) et répondent mieux aux traitements oncologiques. Ces dernières décennies, de nombreuses avancées ont été réalisées, permettant de passer d’une caractérisation histologique à une caractérisation moléculaire des tumeurs pulmonaires. Une prise en considération des disparités entre genres permettra de mieux comprendre et d’améliorer la prise en charge des patients atteints d’un NSCLC (non-small cell lung cancer).

Voir en ligne : Assma Ben Aissa, Nicolas Mach | Revue Médicale Suisse

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Le Centre de Référence sur les Agents Tératogènes (CRAT)

Service d’information sur les risques pendant la grossesse et l’allaitement des médicaments, vaccins, radiations et dépendances.

Voir en ligne : CRAT

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Le cerveau à tous les niveaux

Les occasions ne manquent pas, au cours d’une journée, où nous avons à retenir quelque chose quelques instants dans notre tête. Que ce soit une retenue dans un calcul ou un argument dans une discussion, à chaque fois nous mettons à contribution notre mémoire à court terme.

Voir en ligne : Université Mc Gill

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Le Charbon : Anthrax

Bacillus anthracis (Bactéridie charbonneuse ou bacille de Davaine) Gros bacille Gram +, rectiligne de 3 à 10 x 1 à 1.3 um aux extrémités carrées. Immobile, capsulé, sporulé. Isolé ou groupé en chaînette : aspect de tige de bambou. Amidon +, glucose +, caséine +, gélatine +, réduit irrégulièrement les nitrates en nitrites, oxydase + (D’après BACTERIOLOGIE SYSTEMATIQUE I il ne possède pas d’oxydase), catalase +.

Voir en ligne : Site hygiène alimentaire et nutrition pour les francophones de Bruno PEIFFER

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Le cholestérol : pourquoi chacun doit connaître son taux ?

Qu’est-ce que le cholestérol ?
Substance grasse indispensable à la vie, le cholestérol participe à la fabrication de toutes les cellules, des hormones... mais son augmentation dans le sang et dans les parois des artères peut être dangereuse (athérosclérose).
D’où vient le cholestérol ?
La majeure partie du cholestérol de notre organisme est fabriquée par le foie. En plus, nous en puisons dans les aliments tels que les oeufs, les abats, le beurre, le lait entier..
Quel est le risque d’un taux excessif de cholestérol ?
L’augmentation du taux de cholestérol dans le sang est à l’origine de maladies coronariennes (angine de poitrine, infarctus du myocarde). C’est l’un des principaux facteurs de risque de ces maladies avec le tabac, l’hypertension artérielle et le diabète.

Voir en ligne : FÉDÉRATION FRANCAISE DE CARDIOLOGIE

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Le condom, les infections transmises sexuellement, les relations sexuelles mieux protégées et vous

On utilise maintenant l’expression « infection transmise sexuellement » (ITS) plutôt que « maladie transmise sexuellement » (MTS). Pourquoi ? Le mot infection couvre à la fois les cas qui présentent des symptômes et ceux sans symptômes.
Les plus importantes augmentations de cas et de taux d’ITS au Canada se rencontrent chez les personnes âgées de 15 à 24 ans. Il y a des augmentations importantes, dans le cas de la gonorrhée, au niveau des hommes qui commencent la trentaine. La seule façon sûre d’éviter les ITS est l’abstinence, ou bien la relation vraiment monogame entre deux partenaires non infectés.

Voir en ligne : Santé - Canada

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Le Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM) affirme qu’il est impératif de diffuser sans délai une carte professionnelle d’identification électronique unique pour tous les médecins

Dans le cadre de son intervention aux Entretiens de Bichat, le CNOM a de nouveau soutenu les nouvelles technologies de l’information et de la communication (TIC) dans l’exercice quotidien de la médecine. Pour permettre aux médecins l’utilisation des TIC en conformité avec les principes d’éthique et de déontologie médicale, le CNOM a affirmé que le développement d’une carte professionnelle d’identification électronique, unique pour tous les médecins inscrits au Tableau de l’Ordre, était indispensable. Les travaux menés en ce sens, en convergence avec l’ASIP Santé (Agence des Systèmes d’Information Partagés de Santé) et le Comité de liaison des Ordres des professions de santé (CLIO Santé), laissent espérer une diffusion prochaine de ce moyen de sécurisation pour les accès à de nombreuses applications contenant des données personnelles de santé. C’est un outil indispensable pour le développement généralisé de la télémédecine, des dossiers informatisés, des messageries, des espaces collaboratifs, du dossier professionnel ou encore des dossiers médicaux partagés.

Voir en ligne : Conseil National de l’Ordre des Médecins

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Le contenu du bilan cardiovasculaire de la visite de non contre indication à la pratique du sport en compétition entre 12 et 35 ans

Chez tout demandeur de licence pour la pratique d’un sport en compétition, il est utile de pratiquer, en plus de l’interrogatoire et de l’examen physique, un ECG de repos 12 dérivations à partir de 12 ans, lors de la délivrance de la première licence, renouvelé ensuite tous les trois ans, puis tous les 5 ans à partir de 20 ans jusqu’à 35 ans.

Voir en ligne : Société Française de Cardiologie

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Le coût du diabète

Le diabète prélève une part toujours plus importante des budgets nationaux de la santé alors que le nombre de ceux qui en sont atteints augmente partout dans le monde. Or, en l’absence de prévention primaire, l’épidémie de diabète va continuer de s’étendre. Pire encore, d’après les projections, le diabète devrait devenir l’une des principales causes d’incapacités et de décès dans le monde d’ici les vingt-cinq prochaines années. Des mesures doivent être prises dès maintenant pour endiguer la marée montante du diabète et introduire des stratégies de soins et de traitement d’un bon rapport coût-efficacité, susceptibles d’inverser le processus.

Voir en ligne : OMS

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Le dépistage du cancer de la prostate - mise à jour 2013

Ces lignes directrices portent sur la décision de procéder au dépistage du cancer de la prostate par toucher rectal et dosage de l’antigène prostatique spécifique (APS). Le dépistage consiste à rechercher, chez les hommes asymptomatiques, la présence ou non d’un cancer de la prostate. Le dépistage ne consiste pas dans le suivi d’hommes qui ont déjà été traités pour un cancer de la prostate. On exclut aussi de la notion de dépistage la prescription d’analyses dans le cadre d’une investigation pour des symptômes et du suivi de certains traitements. Ce guide s’adresse à tous les médecins du Québec, mais particulièrement à ceux qui sont susceptibles de traiter et de suivre des clientèles masculines, notamment les médecins de famille, les internistes, les gériatres et les urologues

Voir en ligne : Collège des Médecins du Québec

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Le dépistage du cancer de la prostate - mise à jour 2013

Indication du niveau de preuve, "Ces lignes directrices portent sur la décision de procéder au dépistage du cancer de la prostate par toucher rectal et dosage de l’antigène prostatique spécifique (APS). Le dépistage consiste à rechercher, chez les hommes asymptomatiques, la présence ou non d’un cancer de la prostate. Le dépistage ne consiste pas dans le suivi d’hommes qui ont déjà été traités pour un cancer de la prostate. On exclut aussi de la notion de dépistage la prescription d’analyses dans le cadre d’une investigation pour des symptômes et du suivi de certains traitements.

Voir en ligne : CMQ - Collège des Médecins du Québec

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Le dépistage du cancer de la prostate fait-il plus de mal que de bien ?

Les pratiques actuelles de dépistage du cancer de la prostate en France génèrent plus de morbidité qu’elles n’en évitent", affirme le docteur Guy Launoy, directeur de l’équipe de recherche Inserm "Cancers et Populations" au centre hospitalier universitaire de Caen. Alors que les autorités sanitaires ne recommandent pas de dépistage systématique du cancer de la prostate à partir de 50 ans, de plus en plus de médecins proposent à des hommes asymptomatiques un dosage du PSA (marqueur biologique de la glande prostatique). Or, les qualités diagnostiques de cet examen ne cessent de faire débat, la proportion de diagnostics faussement positifs étant très importante.

Voir en ligne : LE MONDE | 13.07.09 |

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Le dépistage généralisé du cancer colorectal : une absolue nécessité et une réalité imminente en communauté francaise

Le cancer colorectal est un véritable problème de santé publique. Son dépistage est d’une absolue nécessité. Un programme ambitieux de dépistage de masse est mis sur pied en Communauté française. Il vise à proposer la recherche de sang occulte dans les selles (FOBT) aux sujets à risque moyen de la population générale. En cas de positivité, une coloscopie totale sera proposée. La coloscopie en première intention devra être réalisée chez les sujets à risque élevé et très élevé. Les médecins généralistes seront la pierre angulaire de ce programme pluridisciplinaire.

Voir en ligne : Louvain Médical Faculté de médecine. Université Catholique de Louvain Belgique 2009

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Le Di-Antalvic retiré de la vente en France d’ici à 2011

La Commission européenne estime que les médicaments antidouleur de ce type peuvent être dangereux en cas de surdosage. Un retrait qui concerne près de huit millions de Français. Les médicaments anti-douleur contenant du paracétamol (PC) et du dextropropoxyphène (DXP), comme le Di-Antalvic, ne seront plus disponibles sur le marché dans un délai maximum de quinze mois, a indiqué mardi l’agence européenne du médicament (EMEA), chargée d’évaluer les médicaments qui circulent sur le marché européen.

Voir en ligne : Par Flore Galaud _ Le Figaro

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Le diabète de grossesse

Le diabète de grossesse apparaît vers la fin du 2e et au 3e trimestre. Il se manifeste par une augmentation du taux de sucre dans le sang qui survient uniquement lors de la grossesse. On le retrouve dans 2 à 4 % des grossesses et il peut affecter la mère et son enfant. Le diabète de grossesse disparaît après l’accouchement dans 90 % des cas

Voir en ligne : Association canadienne du diabète

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Le diabète de type 2

Le diabète est devenu un problème de santé de plus en plus préoccupant dans tous les pays riches. C’est ce qu’on appelle une "maladie de civilisation", liée à une alimentation trop riche et à trop peu d’exercice physique. Par rapport à nos ancêtres préhistoriques, nous courons beaucoup moins et nous mangeons beaucoup plus ! Or notre organisme fonctionne toujours comme à cette époque lointaine, car il faut des milliers d’années pour s’adapter à de tels changements de vie.

Résultat : nous prenons du poids, de plus en plus de poids, et le diabète se répand comme une véritable épidémie !

Voir en ligne : Mongeneraliste.be

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Le diabète gestationnel

Le diabète gestationnel est actuellement en nette augmentation, principalement en raison de l’augmentation du nombre de femmes enceintes en surpoids ou obèses et des grossesses à un âge de plus en plus tardif. Le diabète gestationnel doit-être recherché lors de la première visite prénatale s’il existe des facteurs de risque (obésité, antécédents de diabète gestationnel lors d’une précédente grossesse, glycosurie, diabète connu chez un apparenté).

Voir en ligne : Jean Pierre Sauvanet - Médecin en endocrinologie, Nutrition et Maladies Métaboliques

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Le diabète, l’ostéoporose et les fractures

On reconnaît désormais que les personnes atteintes de diabète présente un risque accru de fracture, en particulier de fractures périphériques. Le diabète sucré de type 1 (DT1) est généralement associé à une densité minérale osseuse réduite (DMO), alors que dans le diabète de type 2 (DT2), la DMO est normale ou accrue, ce qui ne prévient pourtant pas les fractures. Les connaissances sur la pathophysiologie de cette association évoluent encore, mais il est évident que certains médicaments couramment utilisés pour le traitement du DT2, à savoir les thiazolidinediones (TZD), augmentent le risque de fracture, en particulier chez les femmes.

Voir en ligne : Endocrinologie - Conférences scientifiques - Canada

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Le diagnostic biologique de la grippe A(H1N1)2009

Dans la grande majorité des cas, le diagnostic de la grippe est un diagnostic clinique. Dans la mesure où elle ne conditionne pas la prise en charge médicale du patient, la confirmation virologique n’est pas nécessaire. Toutefois, dans certains cas, ce besoin de confirmation se justifie, notamment dans le but d’identifier avec certitude le virus de la grippe A(H1N1)2009, afin d’adapter la prise en charge médicale. Dans ces cas de figure, la seule technique recommandée est un test de biologie moléculaire (RT-PCR A(H1N1)2009 spécifique).

Voir en ligne : AFSSAPS : Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé

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Le dictionnaire des Cancers

Définitions de mots utilisés dans la médecine du Cancer. 1870 définitions en septembre 2008

Voir en ligne : SFC - Société Française du Cancer

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Le DMP et les médecins- novembre 2007

Une adhésion massive au projet DMP soutenue par une forte notoriété. Près de 9 médecins sur 10 déclarent avoir déjà entendu parler du DMP et 74 % se déclarent favorables à sa mise en place. Au-delà d’une notoriété élevée plus de la moitié des médecins sont en mesure de citer un élément du contenu qui devra figurer dans le futur DMP. Ils sont en effet 57 % à identifier ce qui devra être inscrit dans le Dossier Médical Personnel. Le DMP est même déjà un sujet de conversation. 42 % des médecins interrogés déclarent en avoir récemment parlé à leurs confrères et 31 % en avoir déjà parlé à leurs patients.

Voir en ligne : Sondage IPSOS

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Le doigt à ressaut

Le doigt à ressaut est une cause fréquente de douleurs des doigts. Dans sa forme typique il est responsable d’un phénomène de blocage intermittent du tendon fléchisseur dans sa gaine (poulie)..

Voir en ligne : Fiche d’information de la Société Française de Chirurgie de la Main

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Le dos de l’enfant : à surveiller tout au long de la croissance

Les pathologies du rachis chez l’enfant surviennent généralement en période pré-pubertaire : vers 12-13 ans chez les filles (avant les premières règles), vers 13-14 ans chez les garçons (avant les signes de la puberté). C’est au cours de cette période de croissance rapide de la colonne vertébrale que l’enfant doit être contrôlé périodiquement. Cette surveillance rigoureuse permet de dépister les déformations vertébrales (scolioses, cyphoses) et de corriger suffisamment tôt un simple défaut postural. La médecine scolaire permet un bon dépistage, mais beaucoup d’enfants passent au travers. Il est donc important que le pédiatre, le médecin généraliste mais aussi les parents soient vigilants lors de l’examen des enfants.

Voir en ligne : Docteur Jean Barthas, chirurgien orthopédiste à l’hôpital Saint-Joseph

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Le dos de l’’enfant : à surveiller tout au long de la croissance

Les pathologies du rachis chez l’enfant surviennent généralement en période pré-pubertaire : vers 12-13 ans chez les filles (avant les premières règles), vers 13-14 ans chez les garçons (avant les signes de la puberté). C’est au cours de cette période de croissance rapide de la colonne vertébrale que l’enfant doit être contrôlé périodiquement. Cette surveillance rigoureuse permet de dépister les déformations vertébrales (scolioses, cyphoses) et de corriger suffisamment tôt un simple défaut postural. La médecine scolaire permet un bon dépistage, mais beaucoup d’enfants passent au travers. Il est donc important que le pédiatre, le médecin généraliste mais aussi les parents soient vigilants lors de l’examen des enfants.

Voir en ligne : docteur Jean Barthas, chirurgien orthopédiste à l’hôpital Saint-Joseph à Paris et secrétaire général de la Société Française de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique

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Le dossier du bisphenol A

Suite à la publication par l’US-NTP (National Toxicology Program des Etats-Unis) et le gouvernement Canadien de documents d’évaluation du bisphénol A, l’Afssa s’est rapprochée de l’AESA (Autorité européenne de sécurité des aliments) qui avait récemment procédé à une évaluation du risque bisphénol A et produit un avis en janvier 2007. L’Agence, restant en lien avec l’AESA, procède au traitement de la saisine émanant du ministère de la Santé sur cette question.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Le dossier médical personnel

Il n’existe actuellement aucun dispositif permettant aux professionnels de santé de partager l’information médicale d’un patient. Une des grandes mesures de la réforme pour l’Assurance maladie est de favoriser une coordination des soins effective en créant le dossier médical personnel qui permettra un parcours de soins optimal pour toute personne, dans toute la France, pour n’importe quelle situation et à tout moment.

Voir en ligne : sante.gouv.fr

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Le dossier médical personnel (DMP) : quel bilan d’étape pour quelles perspectives ?

L’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques à l’initiative de M. Pierre Lasbordes, député, vice-président de l’Opesct, a organisé le 30 avril 2009, une audition publique sur le Dossier Médical Personnel (DMP), dont la création est prévue depuis l’adoption d’une loi en 2004 et dont les enjeux sont essentiels, tant pour la qualité des soins que pour la protection des données personnelles de santé.

Voir en ligne : Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (Sénat)

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Le DPC - Développement professionnel continu

L’annonce, le 14 février dernier par la ministre des Affaires sociales et de la Sante lors des États généraux du Lien, du Programme national pour la sécurité des patients, suivie le 26 février par la publication de la liste des orientations nationales du DPC pour l’année 2013, peuvent être considérées comme la véritable feuille de route du DPC. Les objectifs d’améliorations sont clairement définis dans un certain nombre d’axes spécifiques dont on plus particulièrement extraire :

Voir en ligne : Dr Jean-François Thébaut – Membre du Collège de la HAS

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Le feedback normatif peut-il diminuer la consommation excessive d’alcool des étudiants ?

Les étudiants des hautes écoles et des universités boivent fréquemment de l’alcool en quantité importante (binge drinking), adoptant un comportement à risque. Cette consommation excessive est influencée, entre autres, par la perception erronée qu’ont les étudiants de la consommation de leurs pairs, dont ils surestiment l’ampleur. La correction de cette perception par le biais d’interventions ciblant les normes sociales pourrait permettre de réduire la consommation excessive d’alcool chez les étudiants en leur faisant prendre conscience que le niveau de consommation de leurs pairs est moins élevé que ce qu’ils croient. Cette revue systématique a évalué l’efficacité des feedbacks normatif délivrés par 1) internet ; 2) lors de sessions de groupe ; 3) lors de sessions individuelles ; 4) par courrier ou 5) par le biais de campagnes marketing.

Voir en ligne : revue cochrane pour le praticien

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Le Glaucome

« Le glaucome » peut toucher tout un chacun... du nouveau-né aux personnes d’âge avancé. Cette affection se caractérise par des lésions spécifiques des nerfs optiques qui se manifestent sous forme des troubles de la vision périphérique. Le terme de glaucome regroupes plusieurs affections de différentes origines. Cette maladie n’est pas forcément synonyme de pression intraoculaire élevée même si on trouve souvent ce signe, c’est par contre un des facteurs de risque les plus importants. Dans la langue anglaise le glaucome est appelé « sneak-thief of sight » (voleur de vision) car cette maladie conduit insidieusement et sans que l’on s’en aperçoive à la cécité

Voir en ligne : Groupe glaucome de la Société Suisse d’Ophtalmologie

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Le glaucome - Guide destiné aux patients

Ce guide est destiné à mieux répondre aux questions que vous vous posez sur le glaucome ou plutôt les glaucomes. Il existe en effet plusieurs types de glaucomes, ce qui explique que le traitement varie d’une personne à l’autre.

Voir en ligne : Institut du Glaucome, Fondation HOPITAL SAINT JOSEPH

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  • (Maladies, symptômes et pathologies)

Le gouvernement du Canada explorera de nouveaux moyens de lutter contre le tabagisme

L’honorable Leona Aglukkaq, ministre de la Santé, a annoncé aujourd’hui que le gouvernement du Canada prolongeait d’un an la Stratégie fédérale de lutte contre le tabagisme (SFLT), afin de pouvoir évaluer les initiatives récentes et se pencher sur l’avenir de la lutte contre le tabagisme au Canada. « Dans le cadre de cette stratégie, les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux ont réussi à réduire le tabagisme au Canada et dissuader les jeunes de commencer à fumer, a déclaré la ministre Aglukkaq. Santé Canada examine actuellement les moyens de faire en sorte que le Canada demeure un chef de file mondial de la lutte contre le tabagisme et conserve ses acquis. »

Voir en ligne : Santé Canada

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Le Guide des biberons toxiques - Comment éviter l’exposition au bisphénol A

Le bisphénol A est un perturbateur endocrinien présent dans 90 % à 95 % des biberons en plastique vendus au Canada. Il entre dans la composition du plastique polycarbonate dont on se sert pour fabriquer ces bouteilles d’eau et biberons réutilisables, transparents ou teintés, si populaires auprès du public. Certaines bouteilles Nalgene en contiennent, tout comme la paroi de certains récipients alimentaires et les résines de scellement utilisés en dentisterie.

Voir en ligne : Toxicnation.ca

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Le Guide des vaccinations 2012

Un « tout-en-un » de référence au service des professionnels de santé L’objectif du Guide des vaccinations 2012 est de mettre à disposition des professionnels de santé les connaissances les plus récentes sur les vaccinations et de répondre aux questions qu’ils se posent et à celles que leurs patients leur poseront. La première partie apporte des informations pour la pratique professionnelle. Elle fait le point sur chaque vaccination (épidémiologie de la maladie, caractéristiques des vaccins, mode d’administration, indications, recommandations, effets indésirables).

Voir en ligne : INPES Institut national de prévention et d’éducation pour la santé

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Le Guide d’intervention pour la maladie de Lyme – Édition 2013

C’est un outil de référence pour toute intervention de santé publique à la suite de la déclaration d’un cas de maladie de Lyme. Il a été produit à l’intention des professionnels qui interviennent auprès de la personne potentiellement exposée à cette bactérie et des professionnels des directions de santé publique qui soutiennent les intervenants de première ligne du réseau de la santé.

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec

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Le handicap transitoire : l’arrêt de travail

Les indemnités journalières compensent une incapacité temporaire de travail qui peut rentrer dans le cadre d’un accident du travail ou d’une maladie professionnelle de la maladie ou de l’accident de droit commun ou de la maternité Seuls les arrêts de travail dans le cadre de la maladie et de l’accident de droit commun sont présentés ici.

Voir en ligne : handroit

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Le Lien

Le Lien est une association d’aide aux victimes d’infections contractées dans une clinique ou un hôpital

Voir en ligne : Le L.I.E.N

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Le livre qui rend fous les psychiatres

La cinquième édition du DSM, bible des psychiatres américains, sort la semaine prochaine aux Etats-Unis. Un manuel dangereux pour certains cliniciens, qui appellent au boycott. Rarement livre aura été plus attendu au tournant, plus commenté et critiqué avant même sa parution, prévue pour la semaine prochaine. Les passions déchaînées au cours de son long processus de maturation - il est le fruit du travail de plus de 160 experts réunis en quasi-conclave depuis 2007 - sont à la mesure des enjeux.

Voir en ligne : Par Yann Verdo | Les Echos

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Le médecin et les droits du patient

Les médecins sont au coeur de l’organisation de soin. la société leur a donné une mission : celle de protéger la vie, la santé. Ils ont une action collective : santé publique, et individuelle.

Voir en ligne : ethique.inserm

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Le médecin généraliste et la mort de ses patients

Dans la société occidentale actuelle, la population vieillit et la façon d’appréhender la mort change. Avec la généralisation des soins palliatifs, une nouvelle responsabilité incombe au médecin, celle de garantir la qualité de vie jusqu’au décès. Notre objectif a été d’examiner la façon dont les médecins généralistes vivent le décès de leurs patients : leurs opinions et pratiques, et les ressources dont ils disposent dans ces situations.

Voir en ligne : Ladevèze M 1, Levasseur G 2 - Ameli

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Le médecin, le patient et internet : un mariage à trois pas toujours heureux

"Help, je comprends rien à mes analyses de sang", "j’aimerais savoir les signes probables d’un cancer des poumons", "je sors de chez le gynéco et j’ai quelques questions" : internet s’invite aujourd’hui dans la relation médecin-patient pour un mariage à trois plus ou moins heureux. "A l’ère du numérique, on ne va plus ouvrir des dicos médicaux et M. Google nous donne des clés qui, parfois, sont de mauvaises clés", reconnaissait le vice-président du Conseil national de l’Ordre des médecins (Cnom) Jacques Lucas lors des Entretiens de Bichat.

Voir en ligne : De Véronique MARTINACHE (AFP)

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Le médicament n’est pas un produit comme les autres

Le médicament contient des substances actives qui ont des effets sur votre organisme. Il est là pour soigner, mais s’il est mal utilisé, il peut être dangereux. Suivez la prescription de votre médecin ou les conseils de votre pharmacien. ICI, le 1er octobre 2013, ouverture de la première base de données publique des médicaments

Voir en ligne : Medicament.gouv.fr

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Le médicament n’est pas un produit comme les autres

Les médicaments ne sont pas des produits comme les autres. Tout le monde doit pouvoir accéder simplement à une information fiable, neutre et transparente sur les médicaments. C’est pourquoi Marisol TOURAINE, ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes a lancé, il y a un an jour pour jour, le site www.medicaments.gouv.fr. Consulté par près de 900 000 personnes depuis son lancement, ce premier site public de référence met à la disposition de chaque internaute une fiche détaillée de chaque médicament (présentation du produit, indications thérapeutiques, prix, niveau de remboursement, etc.), un résumé de ses caractéristiques et sa notice. Cette initiative illustre la volonté du gouvernement de mettre en place un service public d’information en santé.

Voir en ligne : medicaments.gouv.fr

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Le mieux-être, c’est...savoir gérer sa douleur

On fait tous l’expérience de la douleur, soit à cause d’une blessure ou d’une maladie. Elle est généralement de type aigu et résulte d’une blessure, d’un spasme ou d’une maladie. Elle s’estompe relativement rapidement. La douleur chronique est une douleur récurrente ou persistante qui dure des semaines ou même la vie entière. Elle est plus difficile à gérer que la douleur aiguë. Les genres de douleurs chroniques les plus courants sont le mal de tête, la lombalgie, l’arthrite et la douleur au nerf périphérique.

Voir en ligne : Anciens Combattants Canada

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Le ministère de la santé et des sports rappelle les indications des vaccins contre la grippe A(H1N1)

Jusqu’à présent, le vaccin Pandemrix du laboratoire GSK était le principal vaccin utilisé. L’approvisionnement est complété par de nouvelles livraisons de Panenza, le vaccin sans adjuvant du laboratoire Sanofi-Pasteur. Sur la base des recommandations du Haut conseil de la santé publique (HCSP), les premières quantités de Panenza livrées ont permis d’inviter à se faire vacciner les femmes enceintes, les nourrissons âgés de 6 à 24 mois, les personnes présentant des troubles de la coagulation et celles qui souffrent de dysfonctionnement immunitaire.

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Sports - l’hospitalisation et l’organisation des soins

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Le modèle alimentaire français contribue à limiter le risque d’obésite

La prise de poids est souvent mise en relation avec de mauvaises habitudes alimentaires et la faiblesse de l’activité physique. Pourtant, plusieurs enquêtes sur les comportements alimentaires effectuées en France par le CRÉDOC montrent que notre relation à l’alimentation évolue très lentement. Le modèle alimentaire français reste une véritable institution malgré les contraintes liées au monde du travail, à la crise du modèle familial traditionnel et à la simplification des repas constatée depuis de nombreuses années.

Voir en ligne : CREDOC centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie

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Le motif de consultation de l’arthrose du genou

C’est la douleur localisée à un compartiment du genou, mais qui peut être plus diffuse ou associée à des douleurs antérieures en cas de souffrance rotulienne, plus rarement la réduction de mobilité, et essentiellement la perte de l’extension du genou. Parfois c’est la déformation progressive du membre inferieur qui inquiete.Le "gros genou" qui traduit un épanchement n’est pas systématique.Parfois l’instabilité du genou domine

Voir en ligne : Docteur J.J. Guest

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Le mystère des jambes sans repos

Le syndrome des jambes sans repos, appelé aussi "impatiences", est un trouble neurologique qui cause un besoin irrépressible de bouger les jambes. Fourmillements, picotements, sensations de brûlures provoquent des insomnies chroniques. La vie de celles et ceux qui en sont atteints se transforme en enfer... jusqu’au suicide. Un reportage d’Emmanuel Tagnard et Ventura Samarra.

Voir en ligne : rts.ch - Radio Télévision Suisse

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Le Neurinome Acoustique - Quelques Réponses

Un certain nombre de personnes (environ 10 sur un million) apprennent par leur médecin la présence d’une petite grosseur dans leur oreille interne qui s’étend peut-être à l’intérieur du cerveau et qui est probablement une tumeur bénigne (non-cancéreuse) appelée un neurinome de l’acoustique :

Voir en ligne : AFNA Association Française pour les Neurinomes Acoustiques

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Le névrome de Morton : résultats du traitement chirurgical

Le névrome de Morton est une affection peu fréquente responsable de métatarsalgies. Il siège habituellement au niveau du 3e espace inter métatarsien. L’échec du traitement médical associant antalgiques et infiltrations doit faire proposer une intervention chirurgicale.

Voir en ligne : F. Esling Service de chirurgie orthopédique et traumatologique HIA Begin

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Le nodule thyroïdien : bénin ou malin ?.

Le nodule thyroïdien est une pathologie fréquemment rencontrée. Sa prévalence dans une population générale adulte est de 50 % ; elle peut même atteindre 67 % lors d’une détection échographique. Seuls 5 % de ces nodules sont cancéreux et il convient dès lors d’éviter une chirurgie inutile et non exempte de complications. Les différents éléments et moyens diagnostiques sont passés en revue

Voir en ligne : Revue Médicale de Bruxelles


Le nombre de décès augmente, l’espérance de vie aussi

Le nombre de décès augmente depuis 2006. Cette hausse résulte du vieillissement de la population vivant en France. En effet, les générations sont de tailles inégales et les plus anciennes deviennent plus nombreuses ; le nombre de décès et le taux global de mortalité augmentent logiquement. Cependant, pris séparément, les taux de mortalité à chaque âge baissent presque tous. La mortalité infantile fait exception : elle ne baisse plus depuis 2005 et augmente en 2009. Au classement des plus faibles taux de mortalité infantile, la France est ainsi passée du 5e rang européen en 1999 au 14e en 2008. L’espérance de vie augmente toutefois régulièrement et atteint 84,5 ans pour les femmes et 77,8 ans pour les hommes en France métropolitaine.

Voir en ligne : Xavier Niel, Catherine Beaumel, division Enquêtes et études démographiques, Insee

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Le nouveau visage des maladies cardiovasculaires et des accidents vasculaires cérébraux au Canada 2000

Les maladies cardiovasculaires (cardiopathies et accidents vasculaires cérébraux) comptent parmi les principales causes de maladie, d’invalidité et de décès au Canada, et elles imposent un lourd fardeau à l’individu, à la collectivité et au système de santé. Ce rapport, le cinquième d’une série de rapports émanant du Système canadien de surveillance des maladies cardiovasculaires (SCSMC), a pour but de fournir aux professionnels de la santé publique et aux décideurs un aperçu de la situation actuelle en ce qui a trait aux facteurs de risque, aux interventions et services ainsi qu’aux résultats sur le plan de la santé, inhérents aux maladies cardiovasculaires (MCV) au Canada.

Voir en ligne : Agence de la santé publique du Canada

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Le pédiatre et les dents des tout petits

Les soins dentaires sont le besoin de santé le moins pris en compte chez les enfants1). Plusieurs arguments expliquent ce constat : • Le pronostic vital n’est qu’exceptionnellement mis en jeu. • L’amélioration générale au cours des dernières décennies des indicateurs de santé bucco-dentaire modère l’intérêt pour cette pathologie. Une altération de l’état de santé bucco-den- taire a des conséquences considérables : troubles de la mastication, de l’élocution, du sommeil et de la concentration, de l’esthétique et de l’image de soi ..

Voir en ligne : Service de stomatologie et de médecine dentaire, Policlinique Médicale Universitaire Lausanne

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Le phénomène de Raynaud. Primaire ou secondaire ? Telle est la question !

Le phénomène de Raynaud (PR) a d’abord été décrit par Maurice Raynaud, en 1862. Par la suite, de nombreux auteurs se sont intéressés à la physiopathologie et à la nomenclature. Pour notre part, nous retenons le terme de PR primaire lorsqu’il n’y a aucune pathologie sous-jacente et le terme de PR secondaire lorsqu’il y a une pathologie causale, le plus souvent une collagénose chez les jeunes patients (habituellement des femmes) ou de l’athérosclérose chez les patients plus âgés (habituellement des hommes).

Voir en ligne : Le Clinicien revue de formation médicale continue

Sujets associés


Le pied d’athlète (mycose des pieds) - bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance

Le « pied d’athlète » est une inflammation de la peau, localisée entre les orteils. Il s’agit d’une mycose (infection due à un champignon microscopique). On parle aussi d’intertrigo inter-orteils.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Le plan de prise en charge et de prévention des addictions 2007-2011

Les addictions restent, en France comme dans beaucoup d’autres pays européens, un problème de santé publique majeur, dont les impacts sont multiples, sanitaires, médicaux et sociaux. On estime ainsi que 35% des jeunes de 17 ans ont déjà consommé de l’alcool et du cannabis simultanément, et qu’à à 17 ans, un adolescent sur 5 consomme du cannabis plus de 10 fois dans l’année. Toutes les addictions sont à prendre en compte, qu’elles soient liées ou non aux substances : tabac, alcool, drogues illicites, médicaments, ou jeu. Elles atteignent gravement ceux qui en dépendent, mais aussi leur entourage et l’ensemble de la société.

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Sports [français]

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Le plan" antibiotiques"

Le dossier Internet concernant le plan antibiotiques a été mis en place dans le cadre des réflexions sur le Plan national pour préserver l’efficacité des antibiotiques. Il a pour objectif de mettre à la disposition des professionnels de santé des informations actualisées sur les antibiotiques et les résistances bactériennes. Le contenu du dossier est sous la responsabilité d’un comité de pilotage constitué représentants des instances nationales chargées de la politique antibiotiques et d’experts issus du monde médical et pharmaceutique, qui se réunit régulièrement

Voir en ligne : plan-antibiotiques.sante.gouv.fr

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Le point sur la coqueluche

Penser au rappel des adolescents et des adultes au contact des nourrissons. Lors d’une grossesse, il convient de s’assurer que les personnes, enfants, adolescents et adultes, qui vivront au contact de l’enfant à naître pendant ses 6 premiers mois de vie, sont correctement vaccinées contre la coqueluche (enfant à jour selon le calendrier vaccinal, personne ayant reçu une dose à l’âge adulte). A défaut, une vaccination devrait leur être proposée : la vaccination de l’entourage est à réaliser durant la grossesse et celle de la mère doit être différée immédiatement après l’accouchement, celle-ci pouvant être effectuée même en cas d’allaitement.

Voir en ligne : Les dernières recommandations du Haut Conseil de la Santé Publique et du Ministère de la Santé (19 mars 2008)

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Le point sur la prothèse totale de hanche

Le remplacement prothétique de l’articulation coxo-fémorale est une des opérations orthopédiques les plus pratiquées dans le monde. Les indications le plus souvent retenues pour une prothèse totale de hanche sont la coxarthrose primaire et secondaire (dysplasie ou post-traumatique), les fractures du col fémoral chez le patient en dessous de 80 ans, la polyarthrite rhumatoïde ainsi que l’ostéonécrose de la tête du fémur. Cette intervention donne de très bons résultats en ce qui concerne la diminution des douleurs et la reprise de la mobilité et ce chez plus de 90% des patients opérés. Cet article a pour but d’informer la communauté médicale sur la situation actuelle de la prothétique de hanche en incluant l’épidémiologie, les résultats cliniques, les indications, les complications, les différents types de prothèses ainsi que les différentes voies d’abord.

Voir en ligne : Rev Med Suisse

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Le point sur la vitamine D

Cet article se propose de répondre aux questions suivantes : Quelles sont les principales sources de vitamine D ? Quels sont les effets de la vitamine D sur le métabolisme osseux et sur la santé en général ? Comment définir une carence en vitamine D ? Qui dépister et comment prévenir et traiter le déficit en vitamine D ?

Voir en ligne : SSP - Société Suisse de Pédiatrie

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Le point sur le "Mediator"

L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) fait le point sur le "Mediator" (chlorhydrate de benfluorex), médicament commercialisé jusqu’en novembre 2009 qui a été notamment prescrit aux diabétiques en surcharge pondérale. L’Afssaps recommande aux patients ayant pris du benfluorex pendant une période d’au moins 3 mois au cours des 4 dernières années de commercialisation (entre 2006 et 2009) de consulter leur médecin traitant afin qu’il recherche, à l’interrogatoire et l’examen clinique, tout symptôme ou signe évocateur d’une anomalie cardiaque. Cette recommandation concerne surtout les patients qui n’auraient pas eu de consultation médicale depuis les recommandations émises par l’Afssaps en novembre 2009. Il est par ailleurs rappelé aux patients qui présentent des signes ou symptômes (essoufflement à l’effort, oedème des membres inférieurs, fatigue inexpliquée…) pouvant évoquer une atteinte valvulaire de consulter rapidement leur médecin afin de procéder à un interrogatoire et examen clinique.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Le point sur le virus de la grippe pandémique A (H1N1) 2009 résistant à l’oseltamivir : janvier 2010

Depuis le premier rapport faisant état d’un virus de la grippe pandémique A (H1N1) 2009 résistant à l’oseltamivir, en juin 2009, >200 cas ont été signalés dans le monde. Le présent article a pour but de faire brièvement le point sur les cas d’infection par un virus de la grippe pandémique A (H1N1) 2009 résistant à l’oseltamivir depuis le premier compte-rendu publié dans le Relevé épidémiologique hebdo- madaire, en octobre 2009.

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé

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Le prélèvement naso-pharyngé

Le prélèvement naso-pharyngé est nécessaire pour réaliser un diagnostic virologique de grippe. Les analyses virologiques ont pour objectif soit d’adapter la prise en charge thérapeutique pour certains cas, soit de suivre le plus finement possible l’évolution du virus et sa circulation sur le territoire national. De ce fait, le prélèvement naso-pharyngé n’est actuellement recommandé que dans un nombre restreint de situations.

Voir en ligne : URML Ile-de-France

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Le préservatif féminin, une protection efficace

Le préservatif féminin, qui existe déjà depuis 1998, offre de nombreux avantages. Facile à poser, agréable à l’usage, ce contraceptif est une vraie alternative au préservatif masculin et protège des infections sexuellement transmissibles (IST).

Voir en ligne : La santé pour tous

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Le préservatif masculin en latex protégé efficacement contre la grossesse et les infections sexuellement transmissibles

Le préservatif est la seule méthode contraceptive dont il est prouvé qu’elle réduit le risque de toute infection sexuellement transmissible (IST), y compris l’infection à VIH. Cette méthode peut être employée à la fois pour prévenir une grossesse et protéger contre les IST.

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé

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Le préservatif, c’est efficace

Se protéger et protéger les autres

  • Quand utiliser le préservatif ?
  • Les préservatifs : une tres grande fiabilité
  • Où acheter des préservatifs ?
  • Précautions nécessaires
  • Lubrifiant (gel à base d’eau)
  • Protection des relations bouche/sexe et bouche/anus
  • Comment utiliser un préservatif ?

Voir en ligne : www.sante.gouv.fr

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Le prix Nobel de Médecine 2013 récompense la résolution du mystère de l’organisation des transports intracellulaires

Qu’est-ce qui détermine les déplacements des vésicules, moyens de transport des molécules produites par la cellule (hormones, neurotransmetteurs, cytokines, enzymes, etc.) ? Qu’est-ce qui commande l’éventuelle libération de leur contenu à l’intérieur ou en dehors de la cellule ? Randy W. Schekman, James E. Rothman (USA) et Thomas C. Südhof (Allemagne) ont chacun, séparément, contribué à la compréhension génétique et organisationnelle de ces transports.

Voir en ligne : Vidal.fr

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Le Projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS)

dévoilé le 26 septembre au ministère de l’économie et des finances.

Voir en ligne : Ministère des Affaires sociales et de la Santé

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Le prurit

Le prurit correspond à une démangeaison importante obligeant le malade à se gratter de façon importante et régulière, soit en rapport avec une atteinte cutanée elle-même, soit sans signe d’atteinte cutanée. A la longue, le prurit entraîne des lésions de grattage. L’intensité du prurit peut être modeste, comme elle peut être très importante et entraîner un inconfort considérable au patient. Il existe de nombreux stimuli (physique ou chimique) au prurit, mais aussi des stimuli endogènes (histamine, protéases, prostaglandines, neuropeptides)

Voir en ligne : Soins palliatifs au cours du cancer

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Le prurit : stratégie diagnostique et approche thérapeutique.

Le prurit, défini comme une sensation cutanée anormale provoquant le besoin de se gratter, constitue le symptôme prédominant des affections dermatologiques. Cependant, certains prurits seront le signe d’appel de pathologies internes diverses et variées.

Voir en ligne : P. Provost et C. Dangoisse

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Le prurit : une approche pratique

Motif fréquent de consultation ambulatoire, symptôme désagréable, parfois même invalidant, le prurit peut relever d’affections diverses, tant dermatologiques que systémiques. Le nombre de ses causes possibles dépasse la centaine. La réalité du symptôme doit être confirmée, son intensité évaluée. Il faut distinguer le prurit physiologique, autoprotecteur, du prurit pathologique.

Voir en ligne : Edmond Schmieda, Catherine Schmieda, Jean-François Dufourb

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Le rapport bénéfice/risque des traitements anticoagulants

Le vieillissement de la population s’accompagne d’une augmentation du risque thrombo-embolique artériel et veineux (1,2,3), d’une plus grande médicalisation et d’une augmentation de la prescription des anticoagulants

Voir en ligne : Docteur Irène FERMONT - Responsable Pharmacovigilance

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Le Rapport du Pr Nisan sur l’IVG en France

L’état de l’Interruption de Grossesse ou IVG en France. Le contrôle des naissances est un droit fondamental des femmes. L’accès à l’interruption volontaire de grossesse reconnu par la loi N’ 75.17 du 17 janvier 1975 reste cependant parfois difficile pour les femmes qui rencontrent encore, en 1998, des difficultés dans l’exercice de cette liberté.

Voir en ligne : Planning familiall 5belgique)

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  • (Dossiers)

Le recours à des médicaments en vente libre pour soigner les symptômes du rhume

Qu’est-ce qu’un médicament en vente libre ? Quels sont les principaux médicaments en vente libre ? Les sirops contre la toux. Les décongestionnants. Les antihistaminiques. Les gouttes nasales ou les vaporisateurs nasaux. Les analgésiques et les médicaments pour soulager la fièvre. Les produits de santé naturels. Devrais-je utiliser des médicaments en vente libre lorsque mon enfant a le rhume ? Que dois-je faire si mon enfant a le rhume ?

Voir en ligne : Société canadienne de pédiatrie

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Le reflux gastro-oesophagien occasionnel de l’adulte - Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance

Le reflux gastro-oesophagien (RGO) est principalement lié à un mauvais fonctionnement de la partie inférieure de l’oesophage (conduit reliant la gorge à l’estomac) et/ou à une hernie hiatale (partie de l’estomac qui remonte dans le thorax). Il peut se manifester à tout âge...

Voir en ligne : AFSSAPS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Le reflux gastro-œsophagien : attitude pratique

Le reflux gastro-œsophagien (RGO) est un motif fréquent de la consultation pédiatrique, dont l’évolution est en général favorable chez le nourrisson. Son diagnostic peut le plus souvent être posé sur la base d’une anamnèse détaillée et d’un examen clinique. Dans ces situations, le traitement peut être initié au cabinet, sous forme de traitement prokinétique et antiacide, voire d’un traitement postural. Dans les situations où le patient présente une complication du reflux-œsophagite, symptômes respiratoires, stagnation pondérale – ou une mauvaise réponse au traitement – des investigations doivent être entreprises, qui seront choisies avec l’aide du spécialiste en fonction du tableau clinique. Dans de rares cas, ces examens mèneront à une indication chirurgicale.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Le régime alimentaire et les maladies cardiovasculaires : une relation complexe

Il est bien connu que le régime alimentaire a un impact sur les maladies cardiovasculaires (MCV), mais on ne sait pas exactement si l’effet du régime alimentaire est dû uniquement à son influence sur des facteurs de risque cardiaque sous-jacents ou à d’autres mécanismes. Dans ce numéro de Cardiologie– Conférences Scientifiques, nous explorons la relation complexe entre l’apport alimentaire et le risque CV global.

Voir en ligne : Cardiologie– Conférences Scientifiques, Toronto (Canada)

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Le réseau bronchiolite Ile de France

L’objectif du réseau, qui regroupe 600 kinésithérapeutes et 350 médecins, est de permettre aux parents de pouvoir joindre très rapidement un professionnel de santé les week-ends et jours fériés. Deux numéros de téléphone (0,12 euro/mn) sont disponibles pour les médecins (0.820.800.880) et les kinés (0.820.820.603).

Voir en ligne : L ’Association des Réseaux Bronchiolite

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Le retour progressif au travail : est-ce la solution ?

M. Bontemps a tenté un retour progressif au travail avec l’aide de son médecin après une absence de huit mois. Au bout de deux semaines, sa situation s’est avérée très difficile, car ses douleurs ont augmenté de façon importante. De plus, il reste convaincu que le travail peut aggraver sa blessure et il ajoute que son retour a été mal perçu par ses collègues. Son médecin devrait-il le remettre en arrêt de travail ?

Voir en ligne : Médecin du Québec

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Le rhume chez les enfants

• Pourquoi les enfants attrapent si souvent le rhume ? • Est-ce seulement un rhume ou quelque chose de plus grave ? • Comment se répand le rhume • Quand appeler un médecin • Le traitement des rhumes : Ce que peuvent faire les parents • Ce que peuvent faire les parents pour éviter les rhumes

Voir en ligne : Société canadienne de pédiatrie

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Le rhume de l’adulte - bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance

Le rhume est une infection bénigne aiguë très fréquente qui affecte la muqueuse nasale (paroi interne du nez). Cette muqueuse sécrète un liquide dont le rôle est d’humidifier en permanence l’air inspiré et de lutter contre les agents infectieux. Lorsque cette muqueuse est irritée, elle gonfle et augmente sa sécrétion habituelle de liquide, de sorte que le nez « coule »...

Voir en ligne : AFSSAPS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Le rhume des foins

On appelle rhume des foins, l’allergie au pollen des arbres, des plantes herbacées, des graminées et de certains champignons. Cette allergie est saisonnière et revient chaque année. Elle apparaît le plus souvent entre 8 et 20 ans et a tendance à diminuer avec l’âge. Les enfants et les adolescents sont donc les plus touchés.

Voir en ligne : Hôpital de Montréal pour enfants

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Le Rhume des Foins et autres Allergies - Comment maîtriser vos symptômes

Si vous souffrez d’allergies, votre organisme réagit à des substances qui sont inoffensives pour la plupart des gens. Ces substances se nomment allergènes. Parfois, on emploie l’expression rhume ou fièvre des foins pour décrire une réaction à des allergènes dans l’air. C’est la réaction de votre organisme aux allergènes qui vous donne des symptômes

Voir en ligne : Collège des médecins de famille du Canada

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le Ronflement et le Syndrome d’Apnées du Sommeil

Le ronflement chronique ne doit plus être traité comme un phénomène normal, un objet de dérision ou la cause assez fréquente d’une mésentente conjugale. Il s’agit en réalité d’une asphyxie chronique, d’autant plus sévère que le bruit émis est plus intense, et dont les conséquences physio-pathologiques multiples paraissent si évidentes que ce symptôme pourtant bien banal doit maintenant être considéré comme une véritable maladie.

Voir en ligne : Professeur Claude-Henri CHOUARD, Membre de l’Académie nationale de médecine, Ancien Chef du Service ORL de l’Hôpital Saint-Antoine

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Le secret médical à tout prix ?…

Le respect du secret médical est parfois délicat à imposer aux familles des patients, notamment dans le domaine de la cancérologie. Dans cette observation, une femme de 54 ans est prise en charge pour un adénocarcinome bronchique primitif de stade T1N0M0. Dès le début de la prise en charge, la patiente a fait savoir sa volonté de ne pas informer son entourage du diagnostic et de ses hospitalisations répétées.

Voir en ligne : Bulletin du Cancer. Volume 96 - John Libbey Eurotext

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Le sinus pilonidal - Comment favoriser sa cicatrisation et diminuer les récidives ?

En 1880, A.M. Hodges est le premier à décrire cette affection. Elle désigne une cavité sous-cutanée localisée dans la région sacro-coccygienne qui s’infecte et s’écoule par un canal (appelé aussi fistule ou sinus) épithélial situé dans la peau du sillon interfessier. Il peut y avoir plus d’un canal allant dans plusieurs directions dans le tissu sous- cutané (Miller et Harding, 2003 ; Harris et al., 2012a). Le SP contient généralement des poils et des débris cutanés. Cette affection se manifeste par un érythème dans le pli interfessier ou dans la région sacro-coccygienne, de l’œdème, un écoulement purulent et de la douleur (Harris et al., 2012a). risque

Voir en ligne : Par Diane St-Cyr, inf. OIIQ - Ordre des Infirmières et Infirmiers du Québec

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Le site de toutes les allergies

Allergiques ou professionnels de santé, bienvenue sur Allerginet.com. Vous y trouverez toutes les informations pratiques sur l’asthme et les allergies (respiratoires, alimentaires et cutanées). Déroulez les menus et consultez les informations.

Voir en ligne : Allergienet.com

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Le site dédié à l’insuffisance cardiaque

Cette maladie est fréquente même si pas très médiatique et touche directement près de 650.000 personnes en France. Cette maladie touche des personnes de tout age , hommes ou femmes, actifs et retraités et est la première cause de dépenses pour l’assurance maladie. Malgré tout c’est une maladie dont on parle peu ce qui plonge parfois les patients dans un grand isolement ce d’autant plus que l’on ne ressent parfois qu’une grande fatigue et que l’on doit suivre des règles d’hygiène de vie parfois contraignantes. L’objectif de ce site est d’apporter des informations aux patients et à leurs proches tout en sachant que le meilleur relais d’information doit être et reste leur équipe soignante habituelle (médecin traitant cardiologue, pharmacien et paramédicaux).

Voir en ligne : Club coeur et santé - CH Pontoise

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Le soleil cause-t-il le cancer de la peau ?

Il a été prouvé que le soleil est l’une des principales causes du cancer de la peau. Il est possible de traiter et de guérir le cancer de la peau sans qu’il y ait de graves conséquences ; toutefois, dans certains cas, ce type de cancer peut être mortel s’il n’est pas décelé à temps. Le cancer de la peau est préoccupant pour les personnes qui travaillent au grand air, exposées au soleil. Cependant, on peut réduire le risque de contracter cette maladie en étant bien informé du problème et en prenant des mesures pour prévenir l’exposition au soleil.

Voir en ligne : CCHST - Centre Canadien d’Hygiène et de Sécurité au Travail

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Le sommeil de l’enfant – troubles du sommeil et investigations

Le rythme circadien est une qualité universelle, de l’être unicellulaire, des plantes et des animaux et concerne, avec une stabilité et une précision étonnantes, dépendantes d’une horloge biologique intérieure, des activités physiologiques très variées, comme l’alternance jour-nuit, l’alimentation, la température corporelle ainsi que la sécrétion d’hormones (mélatonine, cortisol, hormone de croissance, etc.).

Voir en ligne : Alexandre N. Datta*, Bâle ; Silvano Vella**, Berne Traduction : Rudolf Schlaepfer, La Chaux-de-Fonds

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Le sommeil du nourrisson

Le sommeil du nourrisson n’est pas toujours de tout repos... pour ses parents ! Ses rythmes ne sont pas ceux de l’adulte, et il faut du temps - et beaucoup de patience - pour que tout se mette en place. Le sommeil se conjugue et se décline en fonction de l’âge et de l’environnement. Les écueils sont nombreux. Mais les problèmes du sommeil du nourrisson ne sont pas une fatalité. Le bon sommeil s’apprend aussi. Et ce petit guide vous permettra, nous l’espérons, de mieux connaître l’organisation du sommeil dans les premiers mois de la vie.

Voir en ligne : Unité de Sommeil de l’enfant / Hôpital Lyon Sud

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Le sommeil, c’est la santé !

Près d’un Français sur deux déclare avoir des problèmes de sommeil. Pourtant bien dormir est essentiel pour la santé, car un sommeil de qualité permet à notre organisme de récupérer, et de reconstituer ses défenses contre les virus et les bactéries. Voici quelques conseils pour retrouver le plaisir de bien dormir...

Voir en ligne : La santé pour tous

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Le sommeil, les rêves et l’éveil

Consultez sur ce site une documentation sur le sommeil au travers de 143 articles représentant 1038 pages au total. Elle est classée suivant les thèmes suivants :Initiation et conseils pratiques | Premières explications | Explications scientifiques |Les rêves et le sommeil paradoxal |Troubles chez l’adulte |L’enfant et le nouveau-né |Traitements des pathologies |Effets des drogues | Le sommeil des animaux |L’ethnologie |Société et sommeil/rêves |Psychologie et philosophie |Science et Avenir : Le Rêve

Voir en ligne : laboratoires CNRS UMR5167, INSERM U628 et UCBL EA3734 | univ-lyon1.fr

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Le stress et la fatigue

La maladie de notre temps - Le stress : Syndrome d’adaptation - Les signes du stress - Les réponses au stress - Les causes de la fatigue - La fatigue chronique -Les signes de la fatigue- La fatigue et le sommeil - La fatigue et les oligo-éléments

Voir en ligne : France Pratique

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Le stress professionnel

Toutes les études le confirment. Le stress devient une réalité inquiétante dans le monde du travail et touche aujourd’hui l’ensemble des sociétés industrielles modernes. Il a des conséquences négatives importantes sur le bien-être et la santé des travailleurs mais aussi sur les performances, l’économie et la productivité des entreprises. Les actions contre le stress s’organisent selon plusieurs axes : un axe évaluatif (mesurer les niveaux de stress et suivre leur évolution), un axe organisationnel (implanter une politique d’entreprise « antistress », réorganiser le travail et redéfinir les tâches), un axe managérial (développer une politique managériale orientée vers les résultats mais aussi le bien-être au travail) et un axe individuel (former les individus à développer des compétences à gérer le stress et les aider à augmenter leur résistance au stress).

Voir en ligne : Patrick Légeron , centre hospitalier Sainte-Anne, Paris

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Le stress professionnel

Toutes les études le confirment. Le stress devient une réalité inquiétante dans le monde du travail et touche aujourd’hui l’ensemble des sociétés industrielles modernes. Il a des conséquences négatives importantes sur le bien-être et la santé des travailleurs mais aussi sur les performances, l’économie et la productivité des entreprises. Les actions contre le stress s’organisent selon plusieurs axes : un axe évaluatif (mesurer les niveaux de stress et suivre leur évolution), un axe organisationnel (implanter une politique d’entreprise « antistress », réorganiser le travail et redéfinir les tâches), un axe managérial (développer une politique managériale orientée vers les résultats mais aussi le bien-être au travail) et un axe individuel (former les individus à développer des compétences à gérer le stress et les aider à augmenter leur résistance au stress). Ces actions doivent favoriser non seulement l’épanouissement de l’individu au travail mais aussi sa performance. C’est dans cette double optique qu’elles peuvent recueillir l’adhésion et la mobilisation de tous.

Voir en ligne : Patrick Légeron , Service hospitalo-universitaire de santé mentale et de thérapeutique, centre hospitalier Sainte-Anne, Paris

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le surpoids (sans fin ni faim...)

Pourquoi prend-on du poids ? - Rechercher les causes médicales - Quand parler de surpoids ? - Statut pondéral chez l’adulte en fonction de l’indice de masse corporelle ( IMC ) - Taux de mortalité en fonction de l’index de masse corporelle - La répartition des graisses (schéma) - Les complications métaboliques -Les complications cardio-vasculaires (1ière cause de mortalité, 30% des décès en France) - Les complications respiratoires - Les complications rhumatologiques - Les complications des régimes

Voir en ligne : Docteur Elise Gouz

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Le syndrome d’inhalation

L’inhalation bronchique du contenu gastrique est l’une des complications les plus redoutées en anesthésie. Décrit initialement en 1946 par Mendelson [1], le syndrome d’inhalation a fait depuis l’objet de nombreuses études qui ont permis d’en préciser la physiopathologie ainsi que l’épidémiologie. Cette meilleure connaissance a probablement amélioré la prise en charge du patient dans le contexte périanesthésique et réduit non seulement l’incidence de l’inhalation mais encore sa morbidité.

Voir en ligne : Pratique de la réanimation et de la médecine d’urgence

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Le Syndrome de Détresse Respiratoire Aiguë A(H1N1), réminiscence des pandémies du 20e siècle ?

Environ 60% des patients admis en réanimation pour une grippe A(H1N1)2009 présentent un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA), principalement d’origine virale ou lié à une pneumopathie bactérienne secondaire dans environ 30% des cas. Ces patients ont un âge médian de 30 à 45 ans, incluant de jeunes enfants, alors que moins de 10% ont plus de 65 ans. La détresse respiratoire apparaît en 4 jours, est sévère, impose le recours à une ventilation mécanique optimale et a justifié une oxygénation extracorporelle (ECMO) chez environ 10% de ces malades. La mortalité en réanimation est d’environ 15%, mais de 20 à 25% en cas de SDRA. La précocité du traitement antiviral est associée à la survie.

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire

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Le syndrome de Guillain-Barré

Devant tout patient présentant une faiblesse évolutive aiguë, le clinicien doit garder en tête la possibilité d’une neuropathie aiguë. Depuis l’éradication de la poliomyélite aiguë, le syndrome de Guillain-Barré est devenu la cause la plus fréquente de maladie paralytique aiguë en Occident.

Voir en ligne : Dre Catherine-Andrée Pinard - Médecin du Québec

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Le syndrome de Lynch ou syndrome HNPCC

Le syndrome de Lynch est une affection génétique, appelée aussi syndrome HNPCC (Hereditary Non-Polyposis Colorectal Cancer ou Cancer colorectal héréditaire sans polypose). L’anomalie touche les gènes qui contrôlent la réparation des erreurs survenant lors de la duplication de l’ADN, au moment de la division cellulaire.

Voir en ligne : Institut National Du Cancer

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Le syndrome du canal carpien

Le nerf médian pénètre dans la main par un canal situé au niveau du poignet. Ce canal, constitué d’une gouttière osseuse, est fermé en avant par un puissant ligament. Les tendons fléchisseurs et le nerf médian s’engagent dans ce conduit. Le syndrome du canal carpien est la compression de ce nerf, le plus souvent par le ligament.

Voir en ligne : Fiche d’information de la Société Française de Chirurgie de la Main

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Le Syndrome du Canal Carpien - Prévenir la douleur aux mains et aux poignets

Le syndrome du canal carpien est une affection douloureuse du poignet et de la main. Le canal carpien est un tunnel étroit formé par les os et les autres tissus du poignet. Normalement, ce canal sert à protéger le nerf médian. C’est ce dernier qui donne la sensibilité au pouce, à l’index, au majeur et à l’annulaire. Mais lorsque les autres tissus présents dans le canal carpien, comme les ligaments et les tendons, se gonflent ou deviennent enflammés, ils font pression contre le nerf médian. Cette compression peut provoquer des engourdissements ou une douleur dans une partie de la main.

Voir en ligne : Info-santé de votre médecin de famille - Le Collège des médecins de famille du Canada

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Le syndrome du canal carpien est une lésion qui touche la main et le poignet.

Le syndrome du canal carpien est une lésion qui touche la main et le poignet. Le canal carpien est un espace délimité par les os du poignet et un ligament rigide qui relie les os les uns aux autres. C’est par ce canal que passent le nerf médian de la main ainsi que les tendons des muscles fléchisseurs des doigts. Ces tendons relient les muscles aux os de la main ; c’est par eux que sont relayés les mouvement des muscles aux os. Le nerf médian transmet les signaux par lesquels le cerveau contrôle les mouvements des doigts et des mains.

Voir en ligne : Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail

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Le syndrome du côlon irritable

Au Canada, un Canadien sur cinq, majoritairement des femmes, souffre du syndrome du côlon irritable (SCI). Découvrez comment réduire les symptômes de cette condition inconfortable tant sur le plan physique que sur le plan social.

Voir en ligne : Extenso Centre de référence sur la nutrition humaine

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Le syndrome métabolique : nouvelles définitions et conséquences

Le syndrome métabolique est une pathologie devenue très fréquente, liée en grande partie à notre mode de vie « occidental », avec ses dérives (dysalimentation ; sédentarité) et l’obésité comme conséquence. Il est défini par la présence simultanée d’au moins trois anomalies cliniques et/ou biologiques. Le syndrome métabolique se caractérise par une insulinorésistance liée à une production anormale par les adipocytes de cytokines. Elle aboutit à un excès plasmatique d’acides gras libres qui exercent leur toxicité en particulier au niveau hépatique et musculaire. Le diabète (de type 2) et la dyslipidémie qui s’ensuivent contribuent, associés à une hypertension artérielle et à des anomalies de l’hémostase, à des lésions de l’endothélium vasculaire et à l’athéromatose.

Voir en ligne : Faculté de médecine. Université Catholique de Louvain

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Le syndrome métabolique : Un problème croissant

Le syndrome métabolique est une expression courante utilisée pour décrire un groupe de facteurs de risque métaboliques survenant chez un sujet pour des raisons autres que uniquement le hasard. La prévalence de ce groupe de facteurs de risque cardiovasculaires (CV) est devenue beaucoup plus élevée dans la population générale et est associée à une sédentarité croissante au sein de nos sociétés et à une épidémie d’obésité et de diabète dans le monde1. Nous vous présentons ci-dessous les caractéristiques typiques de ce syndrome : • Insulinorésistance • Obésité centrale • Dyslipidémie athérogène • Hypertension

Voir en ligne : Par Marc Allard, M.D. Et Gordon Moe, M.D. Cardiologie – Conférences scientifique

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Le tabagisme passif : une menace pour la santé

En vertu du principe de la tolérance réciproque entre êtres humains dans une société organisée, nous pourrions parfaitement concevoir que non-fumeurs et fumeurs vivent ensemble en bonne harmonie. Une attitude réciproquement tolérante serait pertinente si le tabagisme passif ne portait pas atteinte à la santé de celles et ceux le subissant. Mais tel n’est pas le cas. De plus en plus d’études indiquent clairement que le tabagisme passif est fortement nuisible à la santé.

Voir en ligne : Association suisse contre la tuberculose et les maladies pulmonaires ASTP

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Le traitement chirurgical de la brûlure

La brûlure crée une perte de substance cutanée ; cette rupture de la barrière doit être réparée aussi rapidement que possible car son rôle de protection contre l’infection et contre la perte de liquides intra-corporels n’est plus assurée. Cette réparation peut être effectuée spontanément par l’organisme : la membrane basale périphérique à la plaie peut spontanément générer de l’épiderme et combler peu à peu la perte de substance. Cela se fera au prix d’une cicatrice rétractile en une période de cicatrisation d’autant plus grande que la plaie est importante. La greffe de peau mince assurera une couverture de bien meilleure qualité en quelques jours de cicatrisation.

Voir en ligne : Dr C. ROMANA - HOPITAL ARMAND TROUSSEAU | Service de Chirurgie Orthopédique et Réparatrice de l’Enfant - Unité des brûlés

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Le traitement de la maladie de Parkinson

Comme il n’existe encore aucun médicament aux effets neuroprotecteurs clairement démontrés, c’est essentiellement la symptomatologie du patient qui va déterminer le moment de l’instauration du traitement. Il est important de pouvoir disposer d’un soutien psychologique pour gérer le diagnostic. Les agonistes de la dopamine promettent de retarder l’apparition des dyskinésies chez les jeunes patients.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Le traitement de la toux et du rhume : des conseils pour ceux qui s’occupent d’enfants et d’adolescents

Malgré l’utilisation généralisée de médicaments contre la toux et le rhume (MCTR) en vente libre, l’efficacité de la plupart des MCTR n’est pas démontrée chez les enfants. Une méta-analyse résumant les essais faisant appel aux MCTR en vente libre contre le rhume d’origine virale n’a permis de produire aucunes données probantes pour ou contre les médicaments en vente libre au sein des populations pédiatrique et adulte en matière de comparaison de la fréquence et de la gravité de la toux et de l’évaluation par les médecins. De plus, selon les données nord-américaines, les MCTR en vente libre pourraient s’associer à des erreurs de médication et à des événements indésirables qui entraînent des visites à l’urgence et même des décès. Le présent point de pratique fournit aux personnes qui s’occupent d’enfants et d’adolescents de l’information sur les données probantes à jour au sujet des traitements contre la toux et le rhume, y compris la consommation de liquide, l’air humidifié, les antihistaminiques, l’échinacée, le zinc, le miel et la vitamine C.

Voir en ligne : Ran D Goldman ; Société canadienne de pédiatrie, comité de la pharmacologie et des substances dangereuses

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Le traitement familial des enfants et des adolescents anorexiques : Des lignes directrices pour le médecin communautaire

L’anorexie mentale (AM) est une maladie grave qui met la vie en danger et qui fait généralement son apparition pendant l’adolescence. Les données probantes au sujet du traitement optimal de l’AM chez les enfants et les adolescents sont en croissance, mais il reste beaucoup à apprendre. Même si les démarches thérapeutiques actuelles varient au Canada et ailleurs, les données jusqu’à présent indiquent que le traitement familial (TF) est le plus efficace pour les enfants et les adolescents anorexiques. Un élément essentiel du modèle de TF, c’est que les parents sont investis de la responsabilité de rétablir la santé physique de leur enfant et de s’assurer de la reprise complète de son poids. Le médecin qui comprend les principes fondamentaux et la philosophie du TF peut mettre en place les éléments de cette intervention fondée sur des faits probants auprès des jeunes patients anorexiques et de leur famille.

Voir en ligne : Société canadienne de pédiatrie, comité de la santé de l’adolescent

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Le traitement initial de la maladie de Parkinson

Comme traitement initial de la maladie de Parkinson, les agonistes dopaminergiques ou la lévodopa peuvent être envisagés. Plusieurs facteurs doivent être pris en considération lors du processus décisionnel, tels les effets secondaires, la comorbidité et l’espérance de vie. Chez un patient jeune avec des symptômes légers, la tendance est de débuter un agoniste dopaminergique.

Voir en ligne : Le Clinicien revue de formation médicale continue

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Le traitement insatisfaisant de la dépression est-il imputable uniquement au médecin de famille ?

Les médecins de famille traitent entre un tiers et la moitié de tous les adultes souffrant de dépression, res- pectivement les deux tiers des patients dépressifs âgés. La gravité des symptômes de dépression est compa- rable dans les cabinets des médecins de famille et ceux des psychiatres spécialisés.

Voir en ligne : Médecins de famille Suisse et de l’Académie suisse pour la médecine psychosomatique et psychosociale ASMPP.

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Le traitement médicamenteux des troubles de la microcirculation. Du classique aux nouvelles stratégies thérapeutiques

Les troubles de la microcirculation affectent avant tout les diabétiques. Les stratégies thérapeutiques efficaces comprennent les mesures préventives usuelles, ainsi que les traitements visant à diminuer la tension artérielle, à optimaliser le contrôle glycémique et lipidique en associant une réduction des apports caloriques.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Le Transfert sélectif d’un seul embryon à la suite de la fécondation in vitro

Au Canada, en 2006, 46 % de tous les enfants nés à la suite d’un transfert d’embryons étaient le fruit de grossesses multiples ; 93,8 % d’entre eux étaient des jumeaux (Tableau 1). Un transfert sélectif d’un seul embryon a été effectué dans 2,8 % de tous les cycles, tandis qu’un transfert de deux embryons a été effectué dans 55,8 % des cycles1.

Voir en ligne : Société des obstétriciens et gynécologues du Canada–Société canadienne de fertilité et d’andrologie

Sujets associés


Le travail au contact de l’amiante

Depuis le 1er janvier 1997, la fabrication, la transformation, la mise en vente sur le marché national et la cession à quelque titre que ce soit, l’importation, l’exportation, la vente de produits contenant de l’amiante et, notamment, l’amiante-ciment, sont interdites. Afin de limiter les risques pour les salariés, l’employeur doit respecter : - des mesures de prévention spécifiques ; - des obligations liées aux activités en contact avec l’amiante ; - une surveillance médicale spéciale des salariés.

Voir en ligne : Ministère du Travail, des Relations sociales, de la Famille, de la Solidarité et de la Ville

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Le tremblement de la sclérose en plaques

Le tremblement est l’un des signes cardinaux de la SEP. Il s’agit le plus souvent d’un tremblement postural et cinétique, siégeant au niveau du membre supérieur.

Voir en ligne : Pierre Jedynak

Sujets associés


Le trouble obsessionnel compulsif

Le trouble obsessionnel compulsif (TOC) est une maladie psychiatrique répandue, chronique, fluctuante et particulièrement invalidante. Plusieurs catégories symptomatiques sont décrites, en fonction des modes de présentation et des mécanismes cognitifs sous-jacents. Il s’agit d’une pathologie à composante génétique marquée, mais certains facteurs environnementaux susceptibles d’entraîner des lésions cérébrales, particulièrement au niveau striatal, peuvent également en être responsables...

Voir en ligne : Revue Médicale de Bruxelles

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Le trouble obsessionnel-compulsif (TOC)

Le trouble obsessionnel-compulsif est une maladie caractérisée par la présence d’obsessions (idées, images ou impulsions qui s’imposent à la conscience de façon répétitive et irrépressible suscitant énormément d’anxiété ou de détresse) accompagnées ou non de compulsions (comportements répétitifs accomplis, réellement ou en pensée, par la personne atteinte pour réduire la tension intérieure engendrée par les obsessions). Les obsessions ou compulsions sont à l’origine de sentiments marqués de détresse, d’une perte de temps considérable (prenant plus d’une heure par jour) ou elles interfèrent de façon significative avec les activités habituelles de la personne, son fonctionnement professionnel (ou scolaire) ou ses activités ou relations sociales habituelles.

Voir en ligne : lecerveau.mcgill

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Le Twitter de la Haute Autorité Santé @HAS_sante

La Haute Autorité de santé, autorité publique indépendante à caractère scientifique, est chargée de promouvoir la qualité et la sécurité des soins. Saint-Denis La Plaine, France

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé


Le Twitter de la Haute Autorité Santé @HAS_sante

La Haute Autorité de santé, autorité publique indépendante à caractère scientifique, est chargée de promouvoir la qualité et la sécurité des soins. Saint-Denis La Plaine, France

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé


Le vaccin contre la grippe pour prévenir l’otite moyenne aiguë (infection de l’oreille moyenne)

L’otite moyenne aiguë (OMA) est l’une des maladies infectieuses les plus fréquentes chez l’enfant. Il a été rapporté que 64 % des enfants présenteront un épisode d’OMA avant l’âge de six mois et 86 % avant un an. Bien que la plupart des cas d’OMA soient dus à une infection bactérienne, elle est fréquemment déclenchée par une infection virale. Chez la plupart des enfants, elle est spontanément résolutive, mais elle comporte cependant un risque de complications. Sachant que le traitement antibiotique augmente le risque de résistance aux antibiotiques, les vaccins contre la grippe pourraient être un moyen efficace de réduire ce risque en prévenant le développement de l’OMA.

Voir en ligne : Cochrane


Le vaccin contre le méningocoque

Les maladies à méningocoque sont causées par un microbe (une bactérie), le méningocoque. Ce microbe peut provoquer 2 maladies très graves : la méningite, une infection du liquide et des membranes qui recouvrent le cerveau et la moelle épinière ; la septicémie, une infection très grave du sang. Vous pouvez protéger vos enfants de ces maladies à l’aide d’un vaccin.

Voir en ligne : Société canadienne de pédiatrie

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Le vaccin pour la grippe saisonnière disponible le 25 septembre (Reuters)

Voir en ligne : Reuters

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Le zona ou la réactivation du virus de la varicelle

Après la guérison d’une varicelle, le virus zona-varicelle (VZV) reste « endormi » à la racine des nerfs. Des années plus tard, il peut se réactiver et entraîner l’apparition d’un zona. Le virus se multiplie alors et longe une fibre nerveuse pour provoquer une éruption cutanée ou rendre une muqueuse douloureuse au niveau des terminaisons nerveuses

Voir en ligne : Ameli.santé

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Le « dossier médical personnel » et l’informatisation des données de santé

Le Comité Consultatif National d’éthique (CCNE) a été saisi le 19 mars 2008 par Madame le Ministre de la santé Roselyne Bachelot à propos du développement des technologies de l’information dans le champ médical. La saisine évoque les risques induits par l’accès électronique des dossiers du patient par les personnels de santé au regard du respect de son droit à la confidentialité des données. Elle interroge le Comité sur les mesures concrètes susceptibles de concilier la nécessité d’un accès des acteurs de soin aux informations qui s’y trouvent consignées avec le droit du patient à garder le contrôle de leur diffusion.

Voir en ligne : Comité Consultatif National d’Ethique pour les Sciences de la Vie et de la Santé

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Légionellose

La légionellose est une forme de pneumopathie grave et parfois mortelle. Elle est provoquée par une bactérie, Legionella pneumophila, et parfois par d’autres espèces de légionelles. Cette bactérie vit naturellement dans l’environnement et prolifère dans les eaux tièdes et les endroits tièdes et humides. Elle est fréquente dans les lacs, les rivières, les ruisseaux, les sources chaudes et divers autres gîtes aquatiques. Elle s’observe également dans le sol et dans le terreau de rempotage.

Voir en ligne : OMS Organisation Mondiale de la Santé

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Légionellose

La légionellose est une maladie respiratoire provoquée par des bactéries du genre Legionella présentes naturellement dans les milieux aquatiques naturels ou artificiels. Elle est transmise par inhalation de micro-gouttelettes d’eau contaminée diffusées en aérosols. Elle se manifeste sous deux formes cliniques : la maladie du légionnaire et la fièvre de Pontiac. En raison du caractère bénin et de la rareté du diagnostic de la fièvre de Pontiac, seule la maladie du légionnaire est abordée dans le présent dossier et correspond au terme légionellose.

Voir en ligne : Ministère de la Santé

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Legionellose - Historique et généralités

La légionellose est une forme de pneumopathie grave et parfois mortelle. Elle est provoquée par une bactérie, Legionella pneumophila, et parfois par d’autres espèces de légionelles. Cette bactérie vit naturellement dans l’environnement et prolifère dans les eaux tièdes et les endroits tièdes et humides. Elle est fréquente dans les lacs, les rivières, les ruisseaux, les sources chaudes et divers autres gîtes aquatiques. Elle s’observe également dans le sol et dans le terreau de rempotage.

Voir en ligne : OMS - Organisation mondiale de la Santé

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Légionellose - informations pour le grand public

La légionellose est une maladie respiratoire provoquée par des bactéries du genre Legionella présentes naturellement dans les milieux aquatiques naturels ou artificiels. La légionellose est transmise par inhalation de micro-gouttelettes d’eau contaminée diffusées en aérosols. Elle se manifeste sous deux formes cliniques : la maladie du légionnaire et la fièvre de Pontiac. En raison du caractère bénin et de la rareté du diagnostic de la fièvre de Pontiac, seule la maladie du légionnaire est abordée dans le présent dossier et correspond au terme légionellose. La loi du 9 août 2004 relative à la politique de santé publique a défini comme objectif prioritaire de santé publique la réduction de 50% de l’incidence de la légionellose à l’horizon 2008.

Voir en ligne : DGS Direction générale de la santé

Sujets associés


Les 3 types radiologiques de gynécomasties

La gynécomastie est l’expression d’un message estrogénique

Voir en ligne : Sénologie / Mastology - Pr Claude Colin - Université de Liège - Belgique

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Les 4 Bourreaux du coeur

  • Cholestérol
  • Hypertension
  • Tabac
  • Sédentarité
  • Mieux les connaître pour mieux les combattre

Voir en ligne : Fédération française de cardiologie

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Les 8 conseils de patients hypertendus aux autres patients

Conseil N°1 - Traitez votre HTA. L’objectif est de revenir à une tension aussi proche que possible de la normale. Pour cela, il faut corriger des erreurs éventuelles au niveau du mode de vie, et souvent prendre un médicament contre la tension que l’on appelle un antihypertenseur.

Voir en ligne : Comité Français de Lutte contre l’HTA

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Les acouphènes et l’hyperacousie

Entendez-vous des bruits sans pouvoir identifier leur source dans votre environnement ? Si oui, vous souffrez peut-être d’acouphènes. Ce problème semble concerner 10 à 17% de la population générale à travers le monde. En appliquant à notre pays les résultats d’une récente étude allemande, on estime à 2 340 000 le nombre de porteurs d’acouphènes en France, à 1 670 000 celui des acouphènes agressifs et à 300 000 celui des acouphènes insupportables. De plus, environ 200 000 nouveaux cas par an seraient à déplorer.

Voir en ligne : Dr Sylvie CHERY-CROZE (Neurosciences & Systèmes Sensoriels - CNRS Université Lyon 1)

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Les acouphènes et le vieillissement

Certaines observations suggèrent que l’acouphène augmente en période de stress. Dans cet article, les travaux de notre laboratoire portant sur la relation entre le stress et les acouphènes sont décrits. Nous avons observé un lien entre le stress et les acouphènes, mais la nature de ce lien exige d’être approfondie.

Voir en ligne : Sylvie Hébert, Ph.D., professeure agrégée. École d’orthophonie et d’audiologie, Université de Montréal

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Les adjuvants vaccinaux : quelle actualité en 2012 ?

Les adjuvants vaccinaux sont indispensables à l’efficacité de très nombreux vaccins. Les plus utilisés sont les sels d’aluminium, mais depuis quelques années de nombreux adjuvants nouveaux ont été développés. L’Académie Nationale de Médecine a porté sa réflexion sur ce sujet, car les adjuvants vaccinaux sont devenus une préoccupation pour le public et les médias, notamment depuis la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 en 2009, avec des craintes et des questions sur leur nature et leur utilité. Dans le même temps, un débat s’est installé dans les médias

Voir en ligne : Académie Nationale de Médecine

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Les agents de la menace biologique

La liste suivante présente les principaux agents de la menace biologique. Vous trouverez pour chacun de ces agents une description de l’agent pathogène, les modes de contamination possibles, comment faire le diagnostic, les mesures de protection de santé publique, et la prise en charge médicale.

Voir en ligne : DGS Direction générale de la santé

Sujets associés


Les aînés et le vieillissement - Incontinence

Avec de bons renseignements et un traitement approprié, il est presque toujours possible de guérir ou de traiter les problèmes de contrôle de la vessie (incontinence). Au Canada, on estime que plus d’une personne âgée sur cinq est aux prises avec un problème de contrôle de la vessie, caractérisé par des pertes involontaires d’urine. Ce problème est connu sous le nom d’incontinence urinaire. L’incontinence n’est pas une maladie en soi mais un symptôme qui témoigne d’autres problèmes physiologiques.

Voir en ligne : Agence de santé publique du Canada.

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Les aînés et le vieillissement - soins de la vue

Les effets du vieillissement sur la vision sont divers et vont de changements légèrement irritants à des maladies oculaires graves. Voici certains de ces changements :

  • Difficulté à lire de petits caractères ;
  • Prendre plus de temps pour s’adapter à la noirceur ;
  • Être plus sensible à la lumière du soleil ou même à certaines ampoules électriques ;
  • Perte de perception de la profondeur, ce qui rend difficile l’évaluation des distances ;
  • Difficulté à distinguer les couleurs et autres contrastes ;
  • Yeux secs ; et
  • Larmoiement.

Voir en ligne : Agence de santé publique du Canada

Sujets associés


Les Alcooliques Anonymes

Les Alcooliques Anonymes sont une association d’hommes et de femmes qui partagent entre eux leur expérience, leur force et leur espoir dans le but de résoudre leur problème commun et d’aider d’autres alcooliques à se rétablir. Le désir d’arrêter de boire est la seule condition pour devenir membre des AA. Les AA ne demandent ni cotisation ni droit d’entrée ; nous nous finançons par nos propres contributions. Les AA ne sont associés à aucune secte, confession religieuse ou politique, à aucun organisme ou établissement, ils ne désirent s’engager dans aucune controverse ; ils n’endossent et ne contestent aucune cause. Notre but premier est de demeurer abstinents et d’aider d’autres alcooliques à le devenir.

Voir en ligne : AA - France

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Les allergies alimentaires

L’allergie alimentaire est une réaction anormale ou exagérée du système immunitaire après l’ingestion d’un aliment, d’un ingrédient ou d’un additif alimentaire. Percevant l’aliment comme un danger pour son équilibre, l’organisme déclenche alors une importante réaction pour l’éliminer. En pareil cas, il n’y a pas de chance à prendre : il faut absolument bannir l’aliment problème de l’alimentation.

Voir en ligne : Extenso Centre de référence sur la nutrition humaine

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Les alopécies

Perdre ses cheveux n’a pas la même signification chez un homme, une femme, un adulte ou un enfant, et selon que l’on perd tous ses cheveux ou seulement quelques plaques. Si la cause de la calvitie de l’homme est quasiment univoque, la perte des cheveux diffuse de la femme peut avoir de nombreuses raisons très différentes les unes des autres.

Voir en ligne : SFD - Société Française de Dermatologie

Sujets associés


Les amnésies transitoires chez le sujet âgé

Les amnésies transitoires du sujet âgé relèvent essentiellement de deux grandes étiologies, l’ictus amnésique et les amnésies iatrogènes ou toxiques. On peut y rajouter deux étiologies plus rares : les amnésies d’origine vasculaire et celles d’origine épileptique. Les amnésies transitoires psychogènes, observées chez le sujet de moins de 50 ans, sont plutôt rares chez les sujets âgés ou très âgés, du moins au regard de la littérature. L’ictus amnésique est le prototype de l’amnésie transitoire. Il survient avec un pic de fréquence chez le sujet adulte mûr, par définition sans cause précise, même si on accepte la possibilité d’un déclenchement à l’occasion d’une émotion ou d’un traumatisme crânien mineur. Son mécanisme reste sujet à discussion. Les amnésies iatrogènes les plus fréquentes sont imputables à la prise de benzodiazépines ou d’anticholinergiques. Une amnésie d’origine vasculaire doit être particulièrement évoquée lorsqu’existent d’autres signes neurologiques ou que la régression des troubles est lente. Enfin, une épilepsie partielle, le plus souvent temporale, mais parfois frontale, est susceptible d’apparaître chez un sujet âgé sans antécédent épileptique connu et de se traduire par des épisodes amnésiques.

Voir en ligne : François Sellal, Département de neurologie, Hôpitaux universitaires de Strasbourg et Inserm U692

Sujets associés


Les Anémies macrocytaires

Correspondent chez l’adulte à une anémie avec volume globulaire moyen > 100fl. Chez le nouveau-né, la macrocytose est physiologique (105-125 fl), avec baisse progressive pour atteindre 100 fl après 3 à 6 semaines. Chez l’enfant (2 mois-12 ans), on parle de macrocytose si VGM > 95 fl.

Voir en ligne : (Pr Marc Zandecki) Faculté de Médecine – CHU 49000 Angers France

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Les antalgiques sur le banc des perturbateurs endocriniens

Paracétamol, aspirine et indométacine inhibent la production de testostérone chez l’adulte. Ce constat effectué par des chercheurs de l’Inserm incite à la vigilance chez les gros consommateurs d’antalgiques, notamment chez les sportifs de haut niveau.

Voir en ligne : INSERM

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Les anticoagulants oraux antivitamine K restent la référence dans la fibrillation auriculaire non valvulaire

Pour les personnes souffrant de fibrillation auriculaire non valvulaire, la prise d’anticoagulants oraux est souvent indispensable. Au premier semestre 2013, la Commission de la Transparence a achevé l’évaluation des trois anticoagulants oraux disponibles sur le marché dont le mode d’action est différent de celui des antivitamines K (AVK). La Haute Autorité de Santé (HAS) diffuse aujourd’hui une fiche de bon usage à l’attention des prescripteurs. Le message principal : les anticoagulants oraux antivitamine K restent le traitement de référence, les autres anticoagulants oraux représentent une alternative.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé | Recommandations en santé publique

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Les antidiabétiques à l’aube du XXIe siècle

À l’occasion du colloque des Ardennes organisé en octobre 2009 conjointement par la SSMG et par la Société médicale des Ardennes, le point a été fait sur l’éventail des molécules disponibles à l’heure actuelle pour la prise en charge médicamenteuse du diabète de type II.

Voir en ligne : Dr Jacques Vanderstraeten - La Revue de la Médecine Générale n°270

Sujets associés


Les Antivitamines K

Le bénéfice des AVK a été démontré à líéchelle de populations dans des indications bien précises (cf. tableau 2). Leur utilisation chez un individu donné ne se conçoit que dans ces indications, et après évaluation individuelle du risque thrombotique et du risque de complication hémorragique du traitement (cf. tableaux 3 et 4). Cette évaluation du rapport bénéfice/risque doit être répétée dans le temps. Elle est particulièrement importante chez le sujet âgé, dont les risques thrombotique et hémorragique sont tous les deux majorés.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

Sujets associés


Les anxiolytiques

  • Savoir distinguer les différents types d’anxiolytiques
  • Connaître les mécanismes d’action des benzodiazépines
  • Connaître les effets pharmacologiques, les effets thérapeutiques et les indications des anxiolytiques
  • Savoir distinguer les benzodiazépines anxiolytiques et les benzodiazépines hypnotiques
  • Connaître les effets indésirables
  • Savoir expliquer les règles du bon maniement des benzodiazépines

Voir en ligne : domaine www-ulpmed.u-strasbg.fr »

Sujets associés


Les artérites des membres inférieurs chez le diabétique

Les artérites des membres inférieurs sont considérées comme de mauvais pronostic chez les diabétiques, car volontiers attribuées à une atteinte très distale inaccessible à une revascularisation par chirurgie ou technique endovasculaire. Certes, l’atteinte macrovasculaire peut être associée chez les diabétiques à une microangiopathie, mais si le rôle de cette dernière est bien établi dans la genèse des lésions rénales et oculaires, sa responsabilité paraît en revanche beaucoup plus discutable en cas d’artérite. Il faut donc éviter de s’arrêter au diagnostic de microangiopathie diabétique en cas de troubles trophiques des membres inférieurs, une telle appréciation pouvant être lourde de conséquences lorsqu’elle conduit à une amputation sans analyse préalable de la topographie exacte des lésions vasculaires et sans discussion médico-radio-chirurgicale d’une solution de revascularisation

Voir en ligne : ALFEDIAM

Sujets associés


Les autorités sanitaires allemandes ont signalé la survenue d’une importante épidémie d’infections à Escherichia coli producteurs de shiga-toxines en cours en Allemagne.

Les STEC (aussi désignés E. coli enterohémorragique EHEC) sont responsables de manifestations cliniques variées : diarrhée banale ou sanglante pouvant évoluer dans 5 à 8 % des cas, principalement chez le jeune l’enfant, vers une complication grave le syndrome hémolytique et urémique (SHU). Le réservoir principal des STEC est le tube digestif des ruminants. L’homme se contamine principalement par la consommation d’aliments contaminés, par contact avec une personne infectée ou par contact avec des animaux contaminés ou l’environnement contaminé par les matières fécales de ces animaux. Les principaux aliments à risque sont les produits carnés consommés crus ou insuffisamment cuits, les produits laitiers au lait cru et les végétaux consommés crus .

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire

Sujets associés


Les bandelettes urinaires

La bandelette urinaire est un outil adapté de dépistage à grande échelle des maladies rénales.La bandelette urinaire permet d’identifier dans la population générale ou dans des populations ciblées les individus chez lesquels des investigations complémentaires seront nécessaires.Des examens invasifs ou couteux ne doivent pas être réalisés seulement sur la base d’une bandelette urinaire anormale mais après la confirmation d’une anomalie par les examens appropriés (protéinurie des 24h, ECBU, débit de filtration glomérulaire estimé).

Voir en ligne : par Thierry Hannedouche | nephrohus

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Les bisphosphonates dans le traitement de l’ostéoporose

L’ostéoporose postménopausique se caractérise par la perte accélérée de la masse osseuse et la détérioration de l’architecture des os, ce qui élève le risque de fracture1. Les fractures ostéoporotiques sapent l’indépendance personnelle2, accroissent la morbidité3–5 et écourtent la vie6,7 ; leur prévention est donc cruciale.

Voir en ligne : Le Médecin de Famille Canadien

Sujets associés


Les boissons sucrées contribuent à l’obésité infantile

Probable
Les boissons sucrées constituent une source importante de Calories. Et comme elles ne rassasient pas, ces Calories s’ajoutent à celles fournies par les autres aliments normalement consommés dans la journée. Et qui dit excès de Calories dit aussi kilos en trop…

Voir en ligne : Extenso Centre de référence sur la nutrition humaine

Sujets associés


Les brûlures

Les brûlures réalisent des atteintes traumatiques aiguës fréquentes, puisqu’on dénombre plus de 300000 brûlures en France, dont 3000 graves, nécessitant une hospitalisation. 300 décès sont à déplorer dans cette population. La cicatrisation des brûlures est fortement dépendante d’un certain nombre de facteurs intriqués, l’extension de l’atteinte, la profondeur, l’âge du patient, la qualité de la réanimation, la qualité du traitement local.

Voir en ligne : L. TÉOT | Chirurgien plasticien - Hôpital Lapeyronie - Montpellier

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Les cancers de la thyroïde

Les cancers de la thyroïde touchent une glande du cou dont le rôle est essentiel au bon fonctionnement de l’organisme. Dans la plupart des cas, ces cancers ont un bon pronostic : la guérison concerne en effet plus de 85 % des patients. En 2005, selon l’Institut national de veille sanitaire (InVS), les cancers de la thyroïde ne représentaient que 2,1 % de l’ensemble des cancers diagnostiqués chaque année en France, soit un peu moins de 6 672 nouveaux cas annuels dont 76 % se développent chez les femmes. Ces cancers sont donc rares. Cependant, leur fréquence a augmenté de 6 % par an depuis une vingtaine d’années. Ce phénomène serait essentiellement lié au recours de plus en plus fréquent aux techniques de diagnostic.

Voir en ligne : ARC Association pour la Recherche sur le Cancer

Sujets associés


Les causes du cancer en France

Comme le rapport sur les causes du cancer est long (275 pages), très technique et écrit en anglais, il est apparu utile d’en préparer une version abrégée plus accessible. Cette version ne comporte pas de bibliographie car celle-ci, de plusieurs centaines de références, se trouve dans la version intégrale. L’objet de cette version abrégée est de permettre aux non-spécialistes de prendre connaissance de ce travail, en espérant que ceux qui désirent des informations plus complètes iront les chercher dans la version intégrale. Celle-ci est disponible sur les sites www.academie-medecine.fr ; www.academie-sciences.fr ; www.iarc.fr

Voir en ligne : Le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)

Sujets associés


Les Centres Anti-Poisons

des liens vers les principaux CAP français

Voir en ligne : Unions Professionnelles des Médecins Libéraux

Sujets associés


Les centres Antipoison et de toxicovigilance

Les centres Antipoison sont des centres d’information sur les risques toxiques de tous les produits existants, médicamenteux, industriels et naturels. Ils ont un rôle d’information auprès des professionnels de santé et du public et apportent une aide par téléphone au diagnostic, à la prise en charge et au traitement des intoxications.

Voir en ligne : centres-antipoison.net/

Sujets associés


Les cerveaux d’adolescents plus vulnérables à l’alcool que ceux des adultes

L’alcoolisation massive entraine plus de dégâts sur le cerveau de souris adolescentes que sur celui de souris adultes, avec des effets délétères sur la mémoire à court terme. C’est ce qu’indiquent les travaux d’une équipe Inserm qui a soumis des animaux à des épisodes de "binge drinking", pratique répandue chez les adolescents français.

Voir en ligne : INSERM

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Les communications par courriel en pédiatrie : Les considérations éthiques et cliniques

Le courriel est devenu une « intervention » courante en médecine parce qu’il est efficace et peu coûteux. Cependant, un potentiel de mésusage et d’abus s’associe à cette forme de communication écrite, qui a des répercussions cliniques et éthiques. L’utilisation courante du courriel en pédiatrie inclut des communications d’ordre général avec des consœurs et des confrères en milieu professionnel, des consultations électroniques officielles, dans le cadre desquelles la confidentialité des patients est primordiale, des consultations électroniques « au pied levé », qui peuvent être perçues comme des consultations officielles, des groupes de discussion électronique, sans révision par des pairs, des communications avec les patients ou leurs parents, qui devraient se limiter à des questions simples et non urgentes, et des communications avec des personnes qui cherchent à obtenir des conseils médicaux et qui ne sont pas des patients, ce qui est généralement mal avisé.

Voir en ligne : Société canadienne de pédiatrie, comité de bioéthique

Sujets associés


Les comportements alimentaires. Quels en sont les déterminants ? Quelles actions, pour quels effets ?

Les conclusions d’une expertise scientifique collective sur les comportements alimentaires menée par l’Inra à la demande du ministère en charge de l’Alimentation ont été rendues publiques le 24 juin 2010. Mobilisant une vingtaine d’experts de différentes disciplines et institutions, cette expertise a réalisé un travail bibliographique inédit, basé sur près de 1 600 articles scientifiques, pour dresser un état des connaissances sur les comportements alimentaires.

Voir en ligne : INRA Institut national de la recherche agronomique

Sujets associés


Les conséquences des usages d’internet sur les relations patients

Sondage effectué pour : Conseil National de l’Ordre des Médecins Echantillon : 1 014 personnes, constituant un échantillon national représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus. Date du terrain : Du 16 au 17 avril 2010. Méthode : Echantillon représentatif de la population française interrogé par téléphone. Méthode des quotas : sexe, âge, profession du chef de famille, catégorie d’agglomération et région.

Voir en ligne : Conseil National de l’Ordre des Médecins

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Les conséquences somatiques de l’alcoolisme

Les maladies somatiques très probablement dues à l’alcoolisme sont les maladies alcooliques du foie (stéatose, hépatite, cirrhose), la pancréatite chronique calcifiante, la cardiomyopathie congestive, les troubles du rythme cardiaque. Comme atteintes du système nerveux, on retrouve l’encéphalopathie de Gayet-Wernicke et le syndrome de Korsakoff, la polyneuropathie périphérique, la névrite optique, l’atrophie cérébelleuse, la myénolyse centrale du pont, les crises convulsives généralisées et la démence.

Voir en ligne : D. Lejeune - Louvainmed.

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Les convulsions fébriles, qu’est ce que c’est ?

Ce sont des convulsions déclenchées par la fièvre, chez un nourrisson ou un petit enfant. L’enfant perd brièvement conscience, son corps (ou parfois une partie du corps seulement) est agité de mouvements, de tremblement involontaires. La crise est brève, durant une ou deux minutes au plus. Les convulsions se produisent le plus souvent lorsque l’enfant a une fièvre supérieure à 40°, mais on peut observer des crises a des températures plus basses, ou même qui précèdent la montée de la température.

Voir en ligne : (SFTG Paris-Nord)

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Les courriers échangés entre médecins généralistes et psychiatres

Les courriers échangés entre médecins généralistes et psychiatres lors d’une demande de première consultation par le médecin généraliste pour un patient adulte présentant un trouble mental avéré ou une souffrance psychique. Pendant plus d’un an, un groupe de travail s’est réuni pour développer une recommandation de bonne pratique sur les courriers échangés. Rédigée, puis testée en partenariat et à parité avec des médecins généralistes et des psychiatres de tous exercices et de toutes zones géographiques, cette recommandation vise à renforcer les échanges collaboratifs entre professionnels et à initier des démarches de prise en charge conjointes.

Voir en ligne : Collège National pour la Qualité des Soins en Psychiatrie (CNQSP)

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Les dangers de l’amiante

Le caractère cancérogène de l’amiante est connu depuis les années 50. Des cancers du poumon ou de la plèvre ont été identifiés comme des maladies causées par l’inhalation de ces fibres minérales naturelles. En France, en 1978, un certain nombre de mesures ont été adoptées pour réduire la quantité d’amiante dans les bâtiments (réglementation concernant les flocages*). Mais ce n’est qu’en 1997 que l’amiante a été interdit.

Voir en ligne : Ligue nationale contre le cancer

Sujets associés


Les diabètes de type 1 et de type 2 sont-ils la même maladie ?

Le diabète est une maladie métabolique caractérisée par l’hyperglycémie. La classification actuelle fait essentiellement la distinction entre diabète de type 1, caractérisé par une destruction auto-immune des cellules bêta, et diabète de type 2 [1]. Ce dernier va d’une insulinorésistance dominante avec déficit en insuline relatif jusqu’à un déficit de la sécrétion d’insuline dominant avec insulinorésistance. Aussi bien en recherche qu’en pratique clinique, il s’avère de plus en plus que cette classification grossière en deux types est souvent incorrecte, et qu’elle peut même induire en erreur [2–5]. Nous voulons montrer dans cet article qu’il n’y a pas que deux types de diabète mais bien de nombreux sous-types qui ont plus de points communs que ceux admis jusqu’ici. Nous voulons également montrer pourquoi la classification en deux grands types peut être un inconvénient, aussi bien pour le traitement que pour la recherche

Voir en ligne : Forum Med Suisse

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  • (Maladies, symptômes et pathologies)

Les différents types d’alopécie

Alopécie : Toutes les informations sur les différents types d’alopécie (alopécie localisée, alopécie diffuse ), leur origine et leur traitement médical ou chirurgical

Voir en ligne : alopecie.biz

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Les douleurs au talon

On connaît deux causes à la douleur au talon. • La plus courante est l’aponévrosite plantaire • l’autre est l’épine de Lenoir = épine calcanéenne.

Voir en ligne : Sciences de la Vie et de la Terre au Collège

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Les dysthyroïdies en médecine de premier recours

Le bilan thyroïdien comporte le dosage de la TSH (thyroid stimulating hormon) et de l’hormone thyroïdienne T4 libre en cas d’anomalie de la TSH. Ces tests sont fréquemment pratiqués en médecine de premier recours en raison des nombreuses situations cliniques pouvant faire évoquer une dysfonction thyroïdienne telle que fatigue, trouble de l’humeur ou trouble du rythme cardiaque. Les indications au traitement en cas de dysfonctions thyroïdiennes infracliniques restent controversées en l’absence de grandes études randomisées. Nous proposons une approche diagnostique pour le médecin de premier recours face à une perturbation des tests thyroïdiens. Une stratégie de prise en charge est proposée pour les principales dysfonctions thyroïdiennes, ainsi que les situations justifiant de faire appel aux spécialistes.

Voir en ligne : Rev Med Suisse

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Les eczémas

L’eczéma est une dermatose érythémato-vésiculeuse prurigineuse, en nappes ou en placards très récidivante et dont la lésion histologique prédominante est la spongiose du corps muqueux de Malpighi. L’eczéma est la plus fréquente des dermatoses, 1/3 des malades d’une consultation externe de dermatologie sont atteints d’eczéma. Ce groupe d’eczéma, comporte deux entités bien définies :

  • l’eczéma de contact allergique
  • l’eczéma constitutionnel encore appelé dermatite atopique

Voir en ligne : Professeur Jean-Pierre DUBOIS – Département de Médecine Générale Université Claude Bernard LYON-I

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Les Encéphalopathies Métaboliques

Une consommation excessive d’alcool est susceptible d’entraîner un dysfonctionnement et/ou des altérations du système nerveux central ou périphérique. L’action nocive de l’alcool peut s’expliquer par un effet toxique direct ou par le biais d’un état carentiel ou d’un dysfonctionnement hépatique. Dans certaines situations, l’alcool n’a pas de responsabilité exclusive, mais intervient comme facteur favorisant, éventuellement en fonction de dispositions génétiques. Il y a bien aussi, à côté de la dimension neurologique, une importante dimension psychiatrique.

Voir en ligne : Faculté de médecine d’Angers - Certificat de Neurologie-Neurochirurgie - Pr. J. EMILE

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Les endométrioses

L’endométriose est une affection très polymorphe ; les nombreux travaux, tant fondamentaux que cliniques, objectivent clairement les multiples formes de cette dystrophie ayant des significations cliniques très différentes ; c’est pourquoi il est plus logique d’utiliser la terminologie "les endométrioses". Si classiquement on distingue l’endométriose interne, ou adénomyose, et l’endométriose externe, cette deuxième catégorie regroupe aussi des entités très différentes à de nombreux égards ; c’est elle qui sera surtout envisagée dans cette revue.

Voir en ligne : Alain J.M. AUDEBERT - GyneWeb

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Les endométrioses | Traitement coelioscopique

La coelioscopie est le moyen de diagnostic obligatoire de l’endométriose pelvienne. A côté de son rôle diagnostique, elle permet de définir la stratégie et bien souvent dans le même temps d’entreprendre le traitement. Comme il a déjà été évoqué, la coelioscopie entre des mains expérimentées permet de pratiquement traiter de manière satisfaisante, en terme de prestation opératoire et de dangerosité, toutes les lésions endométriosiques. Avec la validation des nouvelles techniques, la formation des opérateurs aux techniques " avancées ", et leur diffusion subséquente, il est probable que l’approche coeliochirurgical occupera dans l’avenir une place de plus en plus importante.

Voir en ligne : gyneweb

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Les enfants et l’anxiété

L’anxiété, sous certaines formes, est normale pendant l’enfance, notamment l’anxiété en présence d’un étranger ; l’anxiété de la séparation, qui survient entre 18 mois et 3 ans ; la peur des monstres, qui apparaît vers 4 à 6 ans ; et les phobies (ces peurs irrationnelles face à des objets ou des situations), qui sont fréquentes et disparaissent d’elles-mêmes.

Voir en ligne : Hôpital de Montréal pour Enfants du Centre Universitaire de Santé Mc Gill

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Les enfants et les crises épileptiques - Guide pour garder des enfants épileptiques

Une crise veut dire que pendant une à deux minutes (ou seulement quelques secondes) un bref dérangement d’ordre électrique survient au niveau du cerveau à la manière d’un orage dans la nature. En dehors de ce dérangement, le cerveau travaille normalement. Toute personne peut subir une crise, p. ex, à la suite d’un accident ou d’une maladie. Quand on dit qu’un enfant est épileptique, cela veut dire qu’il subit plus facilement des crises que d’autres.

Voir en ligne : Association Suisse de Parents d’Enfants Epileptiques

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Les enfants et les infections urinaires

Bien que les infections du tractus urinaire soient moins fréquentes chez les enfants que chez les adultes, elles ne sont quand même pas rares. On évalue qu’environ 3 pour cent des fillettes et 1 pour cent des garçons souffrent d’une infection du tractus urinaire avant l’âge de 11 ans. Mais certains chercheurs croient que ces chiffres sont inférieurs à la réalité, puisque de nombreux cas ne seraient pas diagnostiqués. Il est pourtant essentiel d’identifier et de traiter rapidement une infection du tractus urinaire chez un enfant, puisqu’elle peut causer de graves problèmes rénaux si elle n’est pas traitée.

Voir en ligne : L’Hôpital de Montréal pour enfants

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Les enfants et les otites

Les otites chez les enfants sont causées la plupart du temps par une infection de l’oreille moyenne (otite moyenne), une petite cavité de la grosseur d’un pois située directement à l’arrière du tympan. Les parents n’ont pas à s’inquiéter si leur enfant est aux prises avec ce type d’affection douloureuse, parce qu’elle ne provoque que très rarement de graves problèmes de santé et est très fréquente chez les enfants. En fait, deux enfants sur trois souffriront au moins une fois d’une otite avant leur 3e anniversaire.

Voir en ligne : Hôpital de Montréal pour Enfants du Centre Universitaire de Santé Mc Gill

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Les engelures, stigmates des affres climatiques

Les engelures sont la signature d’une exposition prolongée à un environnement modérément froid. Il s’agit de lésions inflammatoires, généralement localisées sur les orteils et les doigts. Les engelures sont le plus souvent idiopathiques, mais elles peuvent aussi faire partie du lupus érythémateux

Voir en ligne : Revue Médicale de Liège | CHU de Liège. Hôpital Saint-Jacques, Besançon, France.

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Les enjeux de la prévention en matière de santé

La prévention en matière de santé est l’un des défis majeurs d’une politique sanitaire encore trop centrée sur le curatif. Pour le Conseil économique, social et environnemental, plusieurs raisons militent pour qu’aujourd’hui la France donne un nouvel élan à sa politique de prévention

Voir en ligne : Avis du Conseil économique, social et environnemental

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Les Européens s’inquiètent de l’impact économique de la grippe A

Et si la grippe A(H1N1) venait contrarier les prévisions de sortie de crise les plus optimistes qui annoncent du mieux pour l’activité mondiale dès l’automne 2009 ? Beaucoup d’économistes s’interrogent aujourd’hui sur ce scénario qui dépend bien sûr de la gravité de l’infection. Dans une note, les experts de la Banque mondiale estiment, par exemple, que le coût économique de la pandémie pourrait varier de 0,7 % à 4,8 % du produit intérieur brut (PIB) mondial. La fourchette basse correspond à une "catastrophe modeste", à l’instar de la grippe de Hongkong de 1968 ; l’hypothèse haute, à une "catastrophe sévère" du type de la grippe espagnole de 1918, qui avait fait entre 50 et 100 millions de morts.

Voir en ligne : Le Monde

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Les glitazones ont-elles encore une place thérapeutique dans le traitement du diabète de type 2 ?

Au vu de l’expansion mondiale du diabète de type 2 et de la morbidité et mortalité liée à cette maladie, une prise en charge adéquate est devenu une priorité de santé. Plusieurs études ont pu démontrer qu’un traitement effi- cace (HbA1c <7%) peut réduire les complications micro- vasculaires, telles que la rétinopathie et néphropathie.

Voir en ligne : Medizin,Triemlispital, Zürich

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Les groupes prioritaires pour la vaccination contre la grippe saisonničre pour la saison hivernale de 2009-2010

Le CSS recommande, pour la vaccination contre la grippe saisonnière 2009-2010, que, par ordre décroissant, les groupes de sujets suivants soient prioritaires : * Groupe 1 : les personnes à risque de complications * Groupe 2 : le personnel du secteur de la santé * Groupe 3 : les personnes vivant sous le même toit * toutes les personnes de 50 à 64 ans compris

Voir en ligne : Conseil Supérieur de la Santé - Ministère des Affaires Sociales, de la Santé publique et de l’Environnement [belge]

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Les hépatites virales

Les hépatites virales

Les hépatites virales sont des inflammations des cellules du foie liées à des virus : virus de l’hépatite A (VHA), de l’hépatite B (VHB) de l’hépatite C (VHC), de l’hépatite D (VHD), toujours associé au VHB, virus de l’hépatite E (VHE) etc. Pour obtenir des informations sur l’hépatite E, vous pouvez consulter le bilan d’activité du Centre national de référence des hépatites entéro-transmissibles 2002-2004, publié dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire

Voir en ligne : DGS Direction générale de la santé

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Les hydrocéphalies de l’enfant

L’hydrocéphalie est une distension progressive des cavités ventriculaires, provoquée par une anomalie soit de la production du liquide cérébro-spinal (LCS), soit de sa circulation ou de sa résorption

Voir en ligne : S. Peudenier, T. Dufour - Institut Mère-Enfant, Hopital sud, Rennes

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Les hypocondriaques du Net

Malades imaginaires et vrais patients devenus experts, les deux tiers d’entre nous cherchent des renseignements médicaux sur la Toile. Une démarche qui agace ou séduit les médecins

Voir en ligne : nouvelobs.com

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Les hypoglycémies

Le taux de glycémie reflète un équilibre dynamique entre l’arrivée de glucose provenant de l’alimentation ou secrété par le foie et son utilisation. Les besoins élevés chez le nouveau-né et le jeune enfant, le peu de réserve hépatique, la complexité des mécanismes régulateurs expliquent la fréquence des hypoglycémies.

Voir en ligne : Métabolisme glucidique - C. Jézéquel - Institut Mère-Enfant, annexe pédiatrique, Hopital sud, Rennes

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Les hypoglycémies

Le taux de glycémie reflète un équilibre dynamique entre l’arrivée de glucose provenant de l’alimentation ou secrété par le foie et son utilisation. Les besoins élevés chez le nouveau-né et le jeune enfant, le peu de réserve hépatique, la complexité des mécanismes régulateurs expliquent la fréquence des hypoglycémies.

Voir en ligne : C. Jézéquel - Institut Mère-Enfant, annexe pédiatrique, Hopital sud, Rennes

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Les infections génitales

Les infections génitales sont représentées par :
les infections génitales basses : cérusites, vaginites, bartholimites et vulvites,
Et les infections génitales hautes : salpingites, annescites, et pelvi-péritonites.
Les germes en cause peuvent être sexuellement transmis : maladies sexuellement transmissibles ou banaux. Ils comprennent des agents microbiens, mycosiques, parasitaires ou viraux.
L’étude comprend donc 3 parties, avec pour chacune, l’étude clinique et thérapeutique.

Voir en ligne : Professeur Pierre BERNARD -Faculté de Médecine de Grenoble

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Les infections génitales basses : quelle hygiène recommander ?

Les infections génitales basses regroupent toute la pathologie infectieuse des voies génitales basses, qui ont la particularité d’être en contact avec le milieu extérieur et qui sont le siège d’une flore saprophyte tenue en respect par un écosystème performant et grâce à l’intégrité de leur revêtement. Elles ont un certain nombre de points communs liés à la spécificité de la région atteinte, à leur symptomatologie souvent bruyante, à la possibilité de complications à type d’infection haute et au fait qu’elles peuvent être secondaires à un rapport contaminant. Leur prise en charge nécessite donc une démarche diagnostique particulière basée sur l’écoute et l’observation, optimisée par l’usage du colposcope. Le souci d’étiqueter précisément leur origine doit être constant (agent spécifique ou non).

Voir en ligne : D’après une Communication du Dr Dequidt (Conseil général de Meurthe et Moselle Disas – pmi)

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Les infections nosocomiales : la peste médicale.

L’infection nosocomiale est une maladie contractée à l’occasion des soins (du Grec Nosos : MEDICALE et Konien : SOIGNER). C’est un paradoxe car les soins sont destinés à guérir une maladie et non à la contracter, mais hélas aujourd’hui la médecine ne se limite plus à guérir, elle contamine... On pourrait penser qu’il s’agit d’un épiphénomène. Nouvelle déception, le constat est au contraire dramatique.

Voir en ligne : ALAIN ssociation de défense des victimes des infections nosocomiales

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Les infections nosocomiales : nouvelles mesures & classement des établissement de santé

Les infections nosocomiales (IN) sont les infections contractées dans un établissement de santé. Cette définition, issue des « 100 recommandations pour la surveillance et la prévention des infections nosocomiales » édité en 1999, a été actualisée en novembre 2006, par le Comité Technique des Infections Nosocomiales et des Infections Liées aux Soins, avec la participation de membres de la Commission Nationale des Accidents Médicaux et la consultation d’experts pluridisciplinaires.

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Sports

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Les infections ostéo-articulaires

Les infections ostéo-articulaires sont des pathologies graves susceptibles d’entraîner un handicap très lourd et parfois de mettre en jeu le pronostic vital.Leur prise en charge requiert une coordination complexe entre différentes spécialités médicales et chirurgicales ainsi qu’un plateau technique adapté (blocs opératoires, laboratoires spécialisés, service d’imagerie...).

Voir en ligne : Groupe Hospitalier Diaconesses Croix Saint-Simon – Paris

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Les information sur Hyperparathyroïdie primitive [Manifestations Cliniques ]

L’hyperparathyroïdie primitive est une affection caractérisée par une régulation anormale de la sécrétion de la parathormone (PTH) par le calcium. Cette affection résulte le plus souvent d’une prolifération monoclonale de cellules parathyroïdiennes aboutissant à la formation d’adénomes hypersécrétants. L’incidence annuelle est estimée à environ 4/100 000 habitants, la très grande majorité des cas survenant après 45 ans et deux fois plus souvent chez la femme que chez l’homme (surtout après la ménopause)

Voir en ligne : diagnosis pro

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Les inhibiteurs de la pompe à protons chez l’adulte

Les IPP ont trois indications principales :
traitement du reflux gastro-oesophagien (RGO) et de l’oesophagite par RGO. prévention et traitement des lésions gastroduodénales dues aux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) chez les patients à risque. éradication d’Helicobacter pylori et traitement des ulcères gastroduodénaux.

Voir en ligne : has - Haute Autorité de Santé

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Les interruptions d’activité pour raisons de santé au cours de la vie professionnelle

Près de 14 % des actifs ou anciens actifs déclarent avoir connu une interruption d’activité pour raison de santé, d’au moins quatre semaines consécutives, au cours de leur vie professionnelle. La durée de ces interruptions est variable : elle atteint plus de six mois consécutifs pour 44 % d’entre eux (soit 6 % des actifs ou anciens actifs), et plus de trois ans pour 8 %. Les hommes sont plus nombreux que les femmes à déclarer avoir interrompu leur travail pendant des périodes courtes. C

Voir en ligne : Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports [français]

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Les isoflavones de soja diminuent-elles la fréquence et l’intensité des bouffées de chaleur pendant la périménopause et la ménopause ?

Cette synthèse méthodique, de bonne qualité méthodologique, mais se basant sur des études très hétérogènes, montre que les isoflavones de soja diminuent de manière significative la fréquence et l’intensité des bouffées de chaleur par comparaison avec un placebo. L’effet de cette intervention dépend de sa durée et de la dose utilisée. D’autres études sont nécessaires pour évaluer les effets indésirables et la sécurité sur le long terme. Aussi longtemps que la sécurité n’est pas démontrée, les isoflavones de soja sont provisoirement déconseillées chez les femmes présentant un risque augmenté de cancer du sein.

Voir en ligne : Minerva

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Les légionelloses

La légionellose est une infection respiratoire ; cette infection est due à un microbe, Legionella pneumophila, qui est reconnu comme étant à l’origine d’infections respiratoires depuis 1976, date à laquelle elle a été décrite comme étant responsable d’une épidémie de pneumonies sévères ayant touché des vétérans de l’American Légion réunis pour une convention à Philadelphie. Les méthodes pour en faire le diagnostic se sont largement améliorées facilitant une prise en charge adaptée. C’est une maladie qu’il est nécessaire de déclarer à la direction de la santé. Cela permet de connaître le nombre de cas en France et de faire de la prévention dans l’environnement du malade qui est atteint.

Voir en ligne : SPLF Société de Pneumologie de Langue Française

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Les lésions méniscales du genou

Les ménisques sont au nombre de deux, l’interne et l’externe. Ils peuvent être comparés à des joints qui augmentent la congruence entre le fémur et le tibia. Vu du dessus, ils sont en forme de croissant. Le ménique n’est pas vascularisé à l’exception de sa partie toute périphérique.Une lésion de la pointe ou de la partie moyenne n’a donc aucune chance de se cicatriser.

Voir en ligne : Docteur Jean Etienne PERRAUDIN

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Les lombalgies

Un symptôme courant, les douleurs lombaires (ou lombalgies) constitue un problème majeur de santé publique dans les pays industrialisés, et leur coût va croissant. 70% des personnes ont au cours de leur vie au moins un épisode lombalgique, qui peut être en partie lié au travail. Dans un petit nombre de cas, la lombalgie devient quasi permanente et risque d’aboutir à une inaptitude. Les acteurs de prévention sont confrontés à une double problématique : améliorer les situations de travail pour prévenir les lombalgies et permettre aux lombalgiques chroniques de continuer à travailler.

Voir en ligne : INRS Institut National de Recherche et de Sécurité

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Les lunettes de soleil

Il est important de protéger vos yeux contre les effets néfastes du soleil. Pour la plupart des gens, des lunettes de soleil bon marché font très bien l’affaire. Le soleil produit différentes sortes de lumière. Les plus susceptibles d’endommager l’oeil sont : le rayonnement ultraviolet, invisible et comme appelle souvent rayons UV ; la lumière vive ou intense ; et la lumière bleue.

Voir en ligne : Votre santé et vous. Santé Canada

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Les luxations et instabilités de l’épaule

Les instabilités aiguës et chroniques de l’épaule correspondent au motif de consultation le plus fréquent en pathologie de l’épaule de l’adulte jeune. L’instabilité antérieure aiguë et chronique pose peu de problèmes diagnostiques sauf dans les cas d’épaules douloureuses par épisode d’instabilité méconnu (intérêt +++ de l’arthro-scanner). La luxation postérieure de l’épaule passe volontiers inaperçue en urgence d’où l’intérêt d’avoir des radiographies standards correctes qui doivent conduire au moindre doute à la prescription d’un scanner. Le traitement est habituellement orthopédique dans les cas aigus (immobilisation suffisamment prolongées pour faire cicatriser les lésions ligamentaires) et chirurgical dans les lésions chroniques (butée pré- glénoïdienne ou réinsertion capsulo-ligamentaire).

Voir en ligne : Professeur Dominique Saragaglia - Université Joseph Fourier, Faculté de médecine de Grenoble

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Les lymphomes malins non hodgkiniens (LMNH)

Les LMNH appartiennent aux lignées B ou T. Ils font partie des syndromes lymphoprolifératifs et doivent donc être distingués des autres entités leucémiques aiguës ou chroniques sur des critères quantitatifs et qualitatifs qui définissent ces maladies. Certains types cellulaires peuvent donner soit un LMNH soit une leucémie. En outre, il existe des formes frontières et des formes de passage ce qui rend le classement nosologique parfois arbitraire.

Voir en ligne : J.J Sotto - Faculté de Médecine de Grenoble

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Les maladies cardiovasculaires, un enjeu de santé publique

En France, comme dans la plupart des pays industrialisés, les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité tous âges confondus avec 32 % des décès, devant le cancer responsable de 29 % des décès chez les hommes, de 23 % des décès chez les femmes. Elles entraînent 170 000 décès par an. Leur prévalence devrait augmenter avec le vieillissement de la population.

Voir en ligne : André Vacheron - Académie des Sciences morales et politiques

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Les maladies contagieuses à l’école

Pour éviter la transmission des maladies contagieuses des mesures sont parfois nécessaires pour protéger les sujets en contact à l’école. Des arrêtés régissent ces mesures. Les durées et conditions d’éviction évoluent avec les progrès des traitements et de prévention. Des mesures de dépistage et de prophalaxie des sujets en contact sont prises à l’initiative de l’autorité sanitaire (DDASS : Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales) pour certaines maladies comme la méningite.

Voir en ligne : infos-enseignants.org

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Les maladies liées à l’eau : Gale

La gale est une infection cutanée contagieuse qui se propage rapidement dans des conditions de surpeuplement et que l’on trouve dans le monde entier. L’hygiène personnelle est une mesure de prévention importante et l’accès à un approvisionnement en eau adéquat est essentiel pour la lutte contre cette maladie.

Voir en ligne : OMS - Organisation mondiale de la Santé

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Les maladies rares

Une maladie rare est une affection touchant un nombre restreint de personnes, à savoir moins d’une personne sur 2000 selon le seuil admis en Europe ; en France, on dit qu’une maladie est rare si moins de 30 000 personnes en sont atteintes. On dénombre environ 7000 maladies rares dont 80% sont d’origine génétique, mais chaque semaine, de nouvelles maladies rares sont définies. Les maladies rares concernent 3 à 4 millions de personnes en France, et près de 25 millions en Europe. Un grand nombre de ces pathologies sont aussi dites « orphelines » parce que les populations concernées ne bénéficient pas de réponse thérapeutique.

Voir en ligne : Ministère des Affaires sociales et de la Santé

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Les marqueurs cardiaques dans la maladie coronarienne et l’insuffisance cardiaque en en médecine ambulatoire

L’évaluation de l’utilisation des marqueurs de nécrose myocardique dans la maladie coronarienne en médecine ambulatoire recouvre deux aspects différents : le premier est de définir quels sont précisément les marqueurs de nécrose recommandés dans cette pathologie, et le deuxième est de savoir si l’utilisation de ces marqueurs de nécrose a une place en médecine ambulatoire...

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Les marqueurs cardiaques dans la maladie coronarienne et l’insuffisance cardiaque, en médecine ambulatoire.

Dans le cadre de la réforme de la biologie et de la maîtrise médicalisée des volumes des actes fréquents, l’objectif de cette évaluation est de préciser les indications et non indications des marqueurs cardiaques dans la prise en charge de la maladie coronarienne et de l’insuffisance cardiaque en médecine ambulatoire.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Les maternités : un temps d’accès stable malgré les fermetures

Près de 790 000 accouchements, répartis dans 535 maternités, ont eu lieu en 2010 en France métropolitaine. Un chiffre en augmentation de 5 % par rapport à 2001. Dans le même temps, un cinquième des maternités ont fermé. Ces fermetures découlent d’un mouvement amorcé dans les années 1970, dont le but est de rendre l’accouchement plus sûr en fermant les maternités à faible activité. Les maternités sont désormais moins nombreuses, mais mieux équipées.

Voir en ligne : Études et résultats, n°817, Drees, octobre 2012

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Les médecins généralistes des Pays de la Loire face au risque suicidaire

En Pays de la Loire, où la mortalité par suicide est supérieure de 24 % à la moyenne nationale, les médecins généralistes sont souvent confrontés au risque suicidaire. L’enquête menée fin 2011, auprès d’un échantillon de praticiens de la région, montre que la moitié d’entre eux ont eu un suicide parmi ses patients au cours des cinq dernières années, et près de 90 % une tentative de suicide. Un médecin ligérien sur deux a déjà suivi une formation en matière de repérage et de prise en charge du risque suicidaire. Mais dans ce domaine, les besoins de formation des médecins généralistes de la région restent importants, puisque près de 30 % d’entre eux ne s’estiment pas suffisamment formés. par contre

Voir en ligne : ORS Pays de la Loire Observatoire Régional de la Santé des Pays de la Loire]

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Les médicaments et la mémoire humaine

Les troubles de mémoire ont de multiples causes ; ils peuvent être d’origine fonctionnelle (par exemple, l’anxio-dépression), liés à l’âge physiologique (exemple de l’oubli bénin de la sénescence), être induits par des médicaments ou enfin relever de perturbations anatomiques ou histologiques (chapitre des démences). Le développement de médicaments visant à restaurer un fonctionnement normal de la mémoire (fonction cognitive) est difficile, doit tenir compte des lignes précédentes, de la cible pharmacologique à atteindre et surtout de sa possibilité de réponse au médicament (exemple de la réactivité des récepteurs pour les substances agissant sur la neurotransmission), et surtout du respect général du schéma de développement des médicaments dans le domaine de la cognition (recherche de dose, preuve d’activité, quantification du bénéfice pharmacologique). Cette recherche est largement dominée par les troubles cognitifs de la maladie d’Alzheimer qui ne se limitent pas simplement à une perturbation de la mémoire (fonctions exécutives ; troubles du comportement). Les médicaments de la mémoire peuvent agir de manière symptomatique mais également en ralentissant les processus physiopathologiques siégeant dans les structures clés assurant le bon fonctionnement de la mémoire. En Europe, bon nombre de "produits conseils" sont consommés comme "pro-mnésiants" sans aucune preuve scientifique valide.

Voir en ligne : Pr. Hervé Allain - Laboratoire de Pharmacologie Expérimentale et Clinique - Rennes

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Les médicaments soumis à une surveillance renforcée seront identifiés par un triangle noir dans la notice - Communiqué de l’EMA

Un nouveau système vient d’être mis en place dans toute l’Union Européenne (UE) afin de formaliser l’identification des médicaments faisant l’objet d’une surveillance renforcée que certains Etats Membres (France, Royaume-Uni) avaient précédemment initiée. Les médicaments sous surveillance renforcée sont désormais signalés par la présence d’un triangle noir inversé dans la notice et le résumé des caractéristiques du produit (RCP - informations destinées aux professionnels de la santé). L’utilisation de ce triangle noir s’imposera aux firmes commercialisant des médicaments dans tous les États Membres de l’UE à partir de l’automne 2013 et sera accompagnée d’une courte phrase explicative
Liste des médicaments sous surveillance renforcée

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

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Les mémos de bonne pratique Benzodiazépines

Lorsqu’un traitement par benzodiazépine est réellement justifié pour traiter les troubles anxieux ou les troubles du sommeil chez les personnes de plus de 65 ans et polypathologiques, ou de plus de 75 ans, la Haute Autorité de santé (HAS) et l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) recommandent d’une part d’indiquer au patient, dès l’instauration du traitement, que la durée de prescription est limitée

Voir en ligne : Ameli

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Les migraines

Il existe six familles de migraines reconnues dont deux touchent exclusivement les enfants de moins de 18 mois (ces dernières ne seront pas traitées ici). Les familles de migraines qui sont mentionnées dans ce travail sont : les migraines avec aura, les migraines sans aura, les migraines ophtalmoplégiques et les migraines rétiniennes.

Voir en ligne : par Eric Isbister

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Les motifs les plus fréquents de mise en cause judiciaire de la responsabilité médicale (interviews)

Quels sont les motifs les plus fréquents de mise en cause judiciaire des médecins généralistes ? Et des autres spécialités ?
Les éclairages de Patrick de la Grange et de Samuel Fitoussi, avocats spécialisés du droit de la santé. Cette vidéo constitue le deuxième extrait d’un entretien centré sur le droit et l’exercice médical, en particulier sur ses aspects thérapeutiques. Cet entretien a été filmé au Cabinet de la Grange & Fitoussi.

Voir en ligne : Vidal.fr

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Les mutuelles et les assurances sont dangereuses pour la santé

Il est beaucoup question actuellement du financement des soins au parcours, mais ne serait-il pas plus utile de s’intéresser au parcours du financement ? Est-on sûr que les sommes considérables dépensées par les systèmes de santé sont bien utilisées et sont destinées en priorité aux malades ?

Voir en ligne : Bernard Granger Professeur à l’université René Descartes (Paris) | huffingtonpost.fr

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Les Mycoses

Il existe plus de 200 000 espèces de champignons, dont une petite centaine est impliquée dans des maladies humaines. Les champignons microscopiques nuisibles à la santé de l’homme peuvent provoquer différentes manifestations regroupées sous le terme de "mycoses" : depuis les mycoses dites superficielles, qui touchent la peau ou les ongles, jusqu’aux mycoses dites systémiques qui peuvent toucher tous les autres tissus ou organes et sont souvent très graves, notamment chez les sujets immunodéprimés. La cryptococcose, les candidoses et l’aspergillose, ici décrites, font partie des mycoses humaines les plus fréquentes.

Voir en ligne : Institut Pasteur

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Les névralgies faciales.

Les névralgies faciales sont des douleurs qui résultent de l’irritation de nerfs craniens. Chaque nerf ayant un territoire spécifique, chaque névralgie engendrée aura des caractéristiques qui permettront de préjuger du nerf atteint sans toutefois préjuger de la cause de l’irritation. Lorsqu’il n’y a pas de cause, on parle de névralgie essentielle ou idiopatique, lorsqu’il y a une cause, on parle de névralgie symptomatique. Les deux exemples les plus classiques sont la névralgie du trijumeau et la névralgie d’Arnold.

Voir en ligne : Médecine et santé

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Les nouveaux anticoagulants oraux : actualisation de l’intérêt clinique et rôle du médecin généraliste.

Les nouveaux anticoagulants oraux présentent de nombreux avantages en termes de facilité d’emploi incluant voie orale, doses fixes, absence de suivi biologique, interactions médicamenteuses limitées et fenêtre thérapeutique large. Les résultats des études dans la prévention et le traitement de la thrombose veineuse ainsi que dans la prévention des accidents vasculaires cérébraux chez les malades avec fibrillation auriculaire démontrent clairement que l’efficacité des nouveaux anticoagulants oraux est au moins équivalente voire supérieure au traitement de référence selon les molécules et la posologie.

Voir en ligne : S. Motte - Revue Médicale de Bruxelles

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Les nouvelles menaces des maladies infectieuses émergentes

L’humanité a toujours connu des catastrophes sanitaires. Mais la science médicale a aussi fait beaucoup de progrès pour les endiguer. Pour autant la concentration de populations souvent déshéritées ou déplacées vivant dans un état d’hygiène précaire, l’essor du transport aérien et du commerce maritime, les modes d’élevages intensifs, les modifications dans l’usage des sols, l’apparition de nouveaux vecteurs de transmission des maladies du fait du changement climatique créent des conditions idéales pour l’irruption brutale d’épidémies ignorant les frontières.

Voir en ligne : Rapport d’information de Mme Fabienne KELLER au Sénat

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Les nouvelles recommandations européennes pour le traitement des dyslipidémies en prévention cardiovasculaire

Les nouvelles recommandations publiées par l’european atherosclerosis society et l’european society of cardiology comptent de nombreuses innovations. nous résumons ici les 4 améliorations qui nous semblent les plus significatives.

Voir en ligne : Revue Médicale de Liège

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Les nouvelles stratégies thérapeutiques pour la chirurgie des varices des membres inférieurs

Les nouvelles données de l’imagerie médicale ont révolutionné l’exploration des patients variqueux, permettant de réaliser une cartographie complète, anatomique et hémodynamique du réseau veineux des membres inférieurs. Parallèlement sont apparues de nouvelles techniques de traitement dont les résultats à 5 ans nous obligent à reconsidérer les principes de l’opération de Babcock réalisée il y a plus d’un siècle (1906). Il convient de remettre en cause la crossectomie-éveinage comme gold standard chirurgical du traitement des varices.

Voir en ligne : Docteur Jean-François Uhl - Chirurgien vasculaire, vice-président de la Société Française de Phlébologie

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Les Numéros de téléphones VERTS ( ± gratuits) de l’urgence

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Sports

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Les pansements Indications et utilisations recommandées

La HAS a procédé à la réévaluation des descriptions génériques des articles pour pansements. Ceci a permis de préciser les indications des pansements primaires, placés au contact direct de la plaie, et des pansements secondaires et matériels de fixation/maintien. Les pansements disposant d’une AMM (ou médicaments présentés sous forme de pansement) étaient hors du champ d’investigation. La fiche de synthèse détaille les indications et utilisations recommandées des pansements primaires, en tenant compte : de la phase de cicatrisation de la plaie, du type de plaie : chronique ou aigu, de situations cliniques spécifiques.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Les pathologies - Centre de Référence sur les Agents Tératogène

Déroulez la liste pour sélectionner une pathologie et cliquez sur le bouton OK

Voir en ligne : CRAT

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Les pathologies liées au travail vues par les travailleurs

Parmi les personnes en emploi qui signalent un problème chronique de santé – qu’il soit bénin, sérieux ou grave -, une sur deux estime qu’il est « causé ou aggravé par le travail » d’après les résultats de l’enquête « Santé, Handicap et Travail » de 2007. Ce lien est plus souvent évoqué pour les problèmes psychologiques (« stress, anxiété ») et les douleurs lombaires ou articulaires. Les problèmes de santé associés au travail apparaissent plus gênants dans la vie courante, et particulièrement dans le travail, que les autres.

Voir en ligne : Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé

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Les patients et les associations de patients peuvent désormais déclarer directement les effets indésirables des médicaments

La déclaration d’un effet indésirable lié à un médicament, effectuée directement par le patient et les associations de patients, vient d’être officialisée par la publication de deux textes réglementaires. Elle peut être réalisée sans passer par un professionnel de santé. L’objectif est d’élargir la base de recueil et de détecter des signaux complémentaires de ceux rapportés par les professionnels de santé, avec la volonté de faire participer tous les acteurs du dispositif et de lui donner une transparence accrue.

Voir en ligne : afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé)

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Les perceptions de la pollution de l’air extérieur en Ile-de-France

La pollution de l’air extérieur est un sujet sensible et une source de préoccupations depuis de nombreuses années. En Ile-de-France, les sources de pollution de l’air sont multiples et concentrées sur un territoire restreint. Il s’agit en particulier des transports (routier, aérien, ferroviaire), mais aussi des secteurs industriel, résidentiel, tertiaire ou encore agricole. Les bilans de la qualité de l’air réalisés par Airparif montrent que, si les niveaux de certains polluants ont nettement diminué ces dernières années (dioxyde de soufre, plomb), ceux d’autres polluants dépassent les normes à respecter et ont tendance à augmenter (ozone) ou à se stabiliser (dioxyde d’azote, particules fines)

Voir en ligne : ORS Dorothée Grange, Cécile Sommen, Isabelle Grémy

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Les personnes qui ronflent font elles nécessairement de l’apnée du sommeil ?

Ronfler n’est pas synonyme d’apnée du sommeil. Il est vrai que les personnes qui font de l’apnée du sommeil ont tendance à ronfler fortement, mais il y a une grande différence entre ces deux phénomènes.

Voir en ligne : Agence de la santé publique du Canada

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Les perspectives offertes par les recherches sur la prévention et le traitement de l’obésité

Si la France a longtemps été un des pays européens les moins concernés par le phénomène d’obésité, aujourd’hui le taux d’obèses dans notre pays (16,9 % selon l’enquête nationale nutrition-santé de 2006) a rejoint le taux moyen des pays de l’Union européenne (17,2 %). A ce rythme, la France pourrait compter 25 % d’obèses en 2018. Le coût financier de l’obésité atteindrait alors 7 % des dépenses de santé. Cette audition publique avait donc pour objet de dresser un état des lieux sur la nature et les perspectives des recherches dans le domaine de la prévention et du traitement de l’obésité afin de contribuer à renforcer les stratégies de lutte contre ce fléau social

Voir en ligne : Le Sénat

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Les Pertes de Mémoire et le Vieillissement - Ce qui est normal, ce qui ne l’est pas. Comment le cerveau emmagasine-t-il l’information ?

Le cerveau emmagasine l’information dans votre mémoire. L’information comprend des expériences vécues dans le passé : ce que vous avez vu, entendu, senti, goûté et éprouvé. Ces expériences sont conservées dans différentes parties de votre mémoire, dépendamment du moment où vous les avez vécues. L’information stockée dans votre mémoire à court terme peut comprendre le nom d’une personne que vous venez de rencontrer ou un numéro de téléphone que vous venez de chercher. L’information stockée dans votre mémoire des faits récents peut comprendre ce que vous avez mangé au déjeuner ou ce que vous avez fait hier. L’information stockée dans votre mémoire des faits anciens comprend les événements enregistrés dans votre mémoire il y a des années tels les souvenirs de votre enfance, ce que vous portiez le jour de votre mariage ou la couleur de votre première auto.

Voir en ligne : Collège des Médecins de Famille du Canada

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Les phacomatoses

La maladie de Recklinghausen est la plus fréquente des phacomatoses avec un cas sur 3000 naissances et elle se révèle souvent à l’adolescence. Elle correspond à la neurofibromatose de type I (NF1), soit 90% des cas, et elle est due à une anomalie du chromosome 17. On décrit également une forme de type II (NF2) beaucoup plus rare, qui est due à une anomalie du chromosome 22. La transmission est de type autosomique dominant, caractérisée par le développement de nombreuses tumeurs réparties sur tout le corps. Il s’agit principalement de taches café-au-lait (TCL), associées à des neurofibromes cutanés et sous-cutanés et à des hamartomes iriens.

Voir en ligne : Le Syndicat National des Ophtalmologistes de France

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Les phtalates

Les phtalates, produits à quelque 3 millions de tonnes par an dans le monde, sont présents partout à des niveaux différents dans notre environnement quotidien. L’exposition, souvent difficile à évaluer en raison de la multiplicité des sources potentielles et des situations, peut se produire par inhalation, par contact ou par ingestion. La mise en évidence, durant la dernière décennie, de propriétés toxiques pour la reproduction ainsi que du caractère cancérogène de certains phtalates sur les rongeurs a provoqué des inquiétudes.

Voir en ligne : INRS, l’Institut National de Recherche et de Sécurité.

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Les pieds du diabétique

Les pieds sont le talon d’Achille du diabétique. Ils peuvent se déformer, devenir insensibles, sans défense aux agressions. Les pieds du diabétique sont exposés à développer des troubles trophiques potentiellement graves et pouvant aboutir à des amputations. Le risque est favorisé par la conjonction de complications neurologiques artérielles et infectieuses. Les lésions sont souvent secondaires à des micro traumatismes. La fréquence des lésions du pied chez les diabétiques est très élevée. On estime à 40 000 l’incidence annuelle de troubles trophiques (1). 20 à 25 % des diabétiques consultent au moins une fois dans leur vie pour une lésion du pied.

Voir en ligne : Alfediam

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Les poux. Eviter d’en attraper, savoir si on en a, s’en débarrasser

A base de dessins accompagnés de légendes simples, ce document destiné aux parents répond à trois questions : Comment savoir si votre enfant a des poux ? Comment s’en débarrasser ? Que faire pour que votre enfant n’ait pas de poux ?

Voir en ligne : INPES - Institut National de Prévention et d’Education pour la SantéN

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Les principaux types de spina bifida

La myéloméningocèle (dysraphie spinale ouverte )
La lipomyéloméningocèle et la méningocèle (dysraphies spinales fermées avec masse sous-cutanée)

Voir en ligne : Association Spina Bifida Belge Francophone

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Les prions : biologie et pathogenèse

Les encéphalopathies subaiguës spongiformes transmissibles sont des maladies neurodégénératives induits par les agents transmissibles non conventionnels (ATNC). La nature exacte des ATNC reste encore inconnue ; toutefois, la majorité des résultats expérimentaux actuels supporte la théorie du prion qui postule que ces agents seraient composés exclusivement d’une protéine de l’hôte, la PrP, sous une conformation pathologique sans modification de la séquence primaire en acides aminés. Les ATNC sont particulièrement résistants aux procédés d’inactivation chimiques et physiques, et peuvent persister dans l’environnement pendant plusieurs années. Par ailleurs, ces agents sont capables de franchir les barrières d’espèce, comme le montre l’émergence de la nouvelle variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob induite par l’exposition de la population humaine à l’agent de l’encéphalopathie spongiforme bovine. Les incertitudes sur l’amplitude de l’exposition de la population européenne, et particulièrement britannique, à l’agent de l’ESB d’une part, et d’autre part les propriétés biologiques intrinsèques de cet agent imposent la réévaluation de la sécurité des actes médicaux et chirurgicaux.

Voir en ligne : Dominique Dormont, Service de neurovirologie, service de santé des armées, Fontenay-aux-Roses cedex..

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Les prothèses auditives

Si vous souffrez de déficit auditif, sachez que l’Assurance Maladie vous rembourse, sur prescription médicale, vos prothèses auditives et leurs accessoires. La prise en charge dépend de votre âge, de vos handicaps et des prothèses choisies.

  • Avant l’achat : un devis normalisé
  • Une fois l’achat confirmé
  • Le remboursement de votre prothèse
  • Des accessoires également remboursables
  • La prise en charge des frais d’entretien

Voir en ligne : AMELI Assurance Maladie En Ligne

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Les prothèses mammaires implantables PIP : état des lieux un an après les dernières recommandations - Point d’information

A la suite des signalements d’un chirurgien, de signaux croissants de matériovigilance et après des échanges infructueux avec la société destinés à expliquer ces anomalies, une inspection de l’Agence[1] a été diligentée dans les locaux de la société PIP en mars 2010. Du fait du constat d’écarts majeurs par rapport à la réglementation et à la sécurité, le Directeur général a pris la décision de suspendre la mise sur le marché, la distribution, l’exportation et l’utilisation de ces implants. En décembre 2011, le ministre du travail, de l’emploi et de la santé et la secrétaire d’Etat à la santé ont indiqué qu’ils souhaitaient que l’explantation des prothèses PIP soit proposée aux femmes au cours d’un entretien avec leur chirurgien, même sans signe clinique de détérioration de l’implant. L’ANSM publie un état des lieux un an après cette recommandation.

Voir en ligne : http://ansm.sante.fr/S-informer/Actualite/Les-protheses-mammaires-implantables-PIP-etat-des-lieux-un-an-apres-les-dernieres-recommandations-Point-d-information

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Les radiofréquences : mise à jour de l’expertise relative aux radiofréquences, L’Afsset recommande de réduire les expositions.

Face aux incertitudes l’Afsset considère qu’il convient d’agir et fait les recommandations suivantes : développer la recherche, pour lever les incertitudes qui demeurent et se tenir aux aguets des signaux nouveaux qui émergeraient ; réduire les expositions du public.

Voir en ligne : Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail (Afsset)

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Les rapports de la Cour des comptes (à télécharger)

Le médecin traitant et le parcours de soins coordonnés : une réforme inaboutie

Les téléservices publics de santé : un pilotage toujours insuffisant

Voir en ligne :


Les recommandations "Canicule" 2012

Les conséquences sanitaires d’une vague de chaleur nécessitent d’établir des recommandations faites de messages sanitaires simples et opérationnels à destination :

  • du grand public,
  • des personnes fragiles telles que les personnes âgées, les enfants et nourrissons, les personnes souffrant de pathologies chroniques, les personnes traitées par certains médicaments, des personnes souffrant de troubles mentaux et l’entourage de ces personnes, des publics spécifiques (sportifs, travailleurs, personnes précaires et personnes sans abri …), des professionnels sanitaires et sociaux en charge de ces populations.

Voir en ligne : Ministère en charge de la santé

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Les recommandations "Canicule" 2012

Les conséquences sanitaires d’une vague de chaleur nécessitent d’établir des recommandations faites de messages sanitaires simples et opérationnels à destination :

  • du grand public,
  • des personnes fragiles telles que les personnes âgées, les enfants et nourrissons, les personnes souffrant de pathologies chroniques, les personnes traitées par certains médicaments, des personnes souffrant de troubles mentaux et l’entourage de ces personnes, des publics spécifiques (sportifs, travailleurs, personnes précaires et personnes sans abri …), des professionnels sanitaires et sociaux en charge de ces populations.

Voir en ligne : Ministère en charge de la santé

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Les recommandations européennes 2010 pour le traitement de la fibrillation auriculaire

Les recommandations 2010 de la prise en charge de la fibrillation auriculaire (FA), récemment publiées par la Société Européenne de Cardiologie, incorporent deux nouveaux scores (1). Ils permettent au cardiologue, ainsi qu’au généraliste, à l’interniste, au neurologue ou au gériatre, de mieux évaluer le risque de survenue d’un accident vasculaire cérébral (AVC) lié à la fibrillation auriculaire et le risque de saignement lié à la prescription d’un traitement antithrom- botique.

Voir en ligne : Revue Médicale de Liège

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Les régimes végétariens chez les enfants et les adolescents

Un régime végétarien bien équilibré peut répondre aux besoins des enfants et des adolescents. Il faut toutefois s’assurer d’un apport calorique suffisant et prévoir une surveillance de la croissance. Il faut accorder une attention particulière à un apport suffisant de protéines et aux sources d’acides gras essentiels, de fer, de zinc, de calcium, de vitamine B12 et de vitamine D. Des suppléments peuvent être nécessaires en cas de régime strictement végétarien sans consommation de produits animaux. Les femmes enceintes et qui allaitent doivent également obtenir des conseils pour bien respecter les besoins nutritionnels du fœtus et du nourrisson. Des recommandations sont fournies. Les adolescents qui suivent un régime végétarien restreint ou d’autres régimes de ce genre devraient faire l’objet d’un dépistage de troubles alimentaires.

Voir en ligne : M Amit ; Société canadienne de pédiatrie, comité de la pédiatrie communautaire

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Les règles d’or : ce que chaque famille et chaque communauté sont en droit de savoir sur la diarrhée

La diarrhée tue l’enfant en faisant perdre beaucoup d’eau à son corps, ce qui provoque la déshydratation. Dès le début de la diarrhée, il est essentiel de donner à l’enfant beaucoup plus à boire que d’habitude. Il faut également lui donner sa ration alimentaire habituelle.

Voir en ligne : UNICEF

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Les résistances et refus aux traitements antalgiques chez l’enfant

Y a-t-il des problèmes de mauvaise observance voire de refus des traitements antalgiques chez l’enfant ? Même si des améliorations considérables ont été réalisées ces 20 dernières années, des résistances à l’administration, et la mise en œuvre des moyens de prévention et de traitement de la douleur peuvent persister et venir de l’enfant lui-même, des parents mais aussi des soignants. En effet, l’adhésion au traitement est un processus qui se construit à plusieurs : l’enfant, ses parents, les soignants.

Voir en ligne : Médecine thérapeutique / Pédiatrie.

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Les Rhumatismes en 100 questions

Ce site, élaboré par l’équipe médicale et paramédicale du pôle ostéo-articulaire de l’hôpital Cochin (Assistance Publique-Hôpitaux de Paris), a pour objectif d’améliorer l’information relative aux principales maladies rhumatismales. Cette information est avant tout destinée aux patients rhumatisants. Elle sera certainement très profitable à leur entourage et à toute personne impliquée dans leur prise en charge

Voir en ligne : Assistance Publique-Hôpitaux de Paris

Sujets associés


Les risques de la consommation d’alcool avant et pendant la grossesse et durant l’allaitement

La problématique liée à la consommation d’alcool par la femme avant et pendant la grossesse et pendant l’allaitement ne peut être abordée isolément mais doit l’être dans une approche globale tenant compte de toute une série d’autres facteurs tels que le contexte (psychologique et social) de l’alcoolisation, l’association éventuelle de la consommation d’alcool avec celle d’autres agents néfastes pour le développement (p.ex. tabac, drogues diverses), certains facteurs individuels de la femme (p.ex. constitution physiologique, âge), etc.

Voir en ligne : Conseil Supérieur de la Santé - Bruxelles

Sujets associés


Les risques des antennes de téléphonie mobile. Mise au point

Le 16 février 2009, un opérateur de téléphonie mobile a été condamné par le Tribunal de grande instance de Carpentras à démonter une antenne-relais à Châteauneuf-du-Pape ; le 4 février 2009, un autre opérateur de téléphonie mobile avait été condamné par la Cour d’appel de Versailles à démonter une antenne à Tassin-la-demi-lune. Dans les deux cas, la justice a tranché en faveur des particuliers, au nom du principe de précaution

Voir en ligne : Académie Nationale de Médecine

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Les statines : prise en charge thérapeutique des hypercholestérolémies

Les statines constituent une famille thérapeutique qui agit en inhibant l’hydroxyméthylglutaryl (HMG) CoA réductase, une enzyme limitante pour la synthèse hépatique du cholestérol et qui stimule l’activité des récepteurs LDL (Low Density Lipoprotein). L’expérience des 3 années après leur introduction en France et les 10 années d’études depuis l’apparition de la première molécule (lovastatine) a montré que ces médicaments sont des agents hypocholestérolémiants, que leur tolérance est satisfaisante mais il est possible d’observer une toxicité au niveau musculaire. Ces molécules ne sont pas indiquées dans l’hypertriglycéridémie. Les études démontrent que les statines ont un effet préventif sur les maladies cardiovasculaires et entraînent une régression de la plaque d’athérome.

Voir en ligne : B.Lenoir-Gosselin, V.Grosso

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Les structures spécialisées douleur chronique (SDC)

Les structures spécialisées prennent en charge les douleurs chroniques. Une douleur est dite chronique dès lors qu’elle est persistante ou récurrente (le plus souvent au-delà de 6 mois), qu’elle répond mal au traitement et qu’elle induit une détérioration fonctionnelle et relationnelle. Chez les patients les plus sévèrement affectés, elle peut par ailleurs s’accompagner des facteurs de renforcement que sont des manifestations psychopathologiques, une demande insistante de recours à des médicaments ou des procédures médicales souvent invasives, ainsi qu’une difficulté à s’adapter à la situation.

Voir en ligne : Ministère des Affaires sociales et de la Santé

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Les syndromes mononucléosiques

Ensemble d’affections ayant en commun la présence dans le sang périphérique de grandes cellules lymphoïdes hyperbasophiles, correspondant à une réaction immune de l’organisme. Un syndrome mononucléosique doit présenter 2 particularités dans sa formule leucocytaire : > 50% de lymphocytes et 10% de lymphocytes activés.

Voir en ligne : Faculté de médécine d’Angers

Sujets associés


Les tests génétiques à des fins médicales

Le présent document a pour objet de donner quelques informations générales sur la génétique et sur son influence sur notre santé, ainsi que des indications sur la façon d’aborder les tests génétique

Voir en ligne : Conseil de l’Europe


Les tiques et la maladie de Lyme

L’Agence de santé publique du Canada (ASPC) collabore avec les provinces, les autorités sanitaires et d’autres spécialistes à divers projets de recherche visant à délimiter et à surveiller l’aire de répartition des tiques vectrices de la bactérie Borrelia burgdorferi, agent de la maladie de Lyme. Au Canada, la tique à pattes noires (Ixodes scapularis, également connue sous le nom de tique du cerf) et la tique occidentale à pattes noires (Ixodes pacificus) sont les deux espèces incriminées dans la transmission de la maladie de Lyme et d’autres agents pathogènes moins communs.

Voir en ligne : ASPC - Agence de santé publique du Canada

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Les traitements ciblés dans l’asthme : confirmations, espoirs et déceptions

L’asthme est une maladie chronique des voies aériennes. Le processus inflammatoire est constitué par différentes voies impliquant de nombreuses cytokines et médiateurs protéiques. en dépit des thérapeutiques existantes, les patients atteints d’asthme sévère présentent un risque élevé d’exacerbations sévères qui peuvent parfois être fatales et peu d’options thérapeutiques sont disponibles à l’heure actuelle

Voir en ligne : La Revue Médicale de Liège

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Les traitements médicamenteux de l’endométriose génitale

L’endométriose se définit comme la présence de tissu endométrial hormonodépendant comportant à la fois des glandes et du stroma en dehors de l’endomètre et du myomètre. L’objectif actuel principal des traitements médicaux utilisés dans l’endométriose (externe) est de bloquer la fonction gonadotrope et de provoquer une anovulation chronique (pseudo-grossesse, pseudo-ménopause) afin de faire régresser les lésions et par conséquent la symptomatologie. Néanmoins, les traitements médicamenteux ne sont que suspensifs.

Voir en ligne : AFSSAPS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

Sujets associés


Les troubles anxieux : Orientations futures de la recherche et du traitement

Les troubles anxieux figurent parmi les troubles mentaux les plus répandus dans la population canadienne. Il existe divers traitements efficaces contre ce type d’affections, mais si l’on se fie aux récentes données empiriques, les professionnels de la santé et de la santé mentale ne seraient pas très au fait des traitements appropriés en la matière, et auraient recours à des pratiques thérapeutiques qui, parfois, ne s’appuient pas sur des recherches empiriques.

Voir en ligne : Martin M. Antony, Ph.D., C. Psych.et Richard P. Swinson, MD, FRCP(C) Anxiety Disorders Clinic, Clarke Institute of Psychiatry - Department of Psychiatry, University of Toronto | Santé Canada

Sujets associés


Les troubles de la déglutition du sujet âgé : un problème trop souvent sous-estimé

Les troubles de la déglutition sont fréquents chez le sujet âgé et accompagnent souvent une pathologie organique. Ils peuvent rapidement représenter une menace vitale : fausses routes, pneumopathie d’inhalation, dénutrition, déshydratation. Leur diagnostic est difficile et repose sur l’anamnèse et l’examen clinique associés aux examens paracliniques. Leur prise en charge est globale et pluridisciplinaire laissant peu de place aux traitements médicamenteux ou chirurgicaux.

Voir en ligne : S. Allepaerts, S. Delcourt, J. Petermans | Rev Med Liege

Sujets associés


Les troubles de l’alimentation chez les adolescents : Les principes de diagnostic et de traitement

Les troubles de l’alimentation sont des maladies complexes qui touchent de plus en plus les adolescents. Ils représentent la troisième maladie chronique en importance chez les adolescentes (1), leur incidence atteignant les 5 % (2,3), un taux en très forte hausse depuis trois décennies. On divise ces troubles en deux sous-groupes importants : une forme restrictive, selon laquelle l’apport alimentaire est gravement limité (anorexie mentale), et une forme boulimique, selon laquelle des fringales sont suivies de tentatives pour réduire au minimum les effets de cette suralimentation par des vomissements, des purgations, des exercices ou un jeûne (boulimie). L’anorexie mentale et la boulimie peuvent toutes deux s’associer à une morbidité biologique, psychologique et sociologique grave ainsi qu’à une mortalité importante.

Voir en ligne : Comité de la médecine de l’adolescence, Société canadienne de pédiatrie (SCP)

Sujets associés


Les troubles dépressifs chez l’enfant : Reconnaître, Soigner, Prévenir.Devenir.

  • Comment RECONNAITRE les troubles dépressifs chez l’enfant ?
  • Comment SOIGNER les troubles dépressifs chez l’enfant ?
  • Peut-on PREVENIR les troubles dépressifs chez l’enfant ?
  • Quel est le DEVENIR à court et long terme de l’enfant présentant des troubles dépressifs ?

Voir en ligne : CONFERENCE DE CONSENSUS ANDEM 14 et 15 Décembre 1995 - Sénat

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Les troubles du comportement alimentaire : anorexie-boulimie

La danse est un des sports les plus exigeants pour la contrainte du poids. En effet, si le sport en général nécessite une certaine performance et une certaine technique d’exécution, la danse a une place à part. C’est une activité artistique qui a une priorité esthétique très particulière : la projection d’une certaine image de l’homme et de la femme avec la vénération de la minceur. Elle impose surtout à la jeune danseuse de se maintenir à un poids souvent en dessous de son poids physiologique. Ce "principe d’archimaigre" entraîne trop souvent des pathologies somatiques et des blessures narcissiques importantes et durables.

Voir en ligne : Dr Paule Nathan - SITE MEDICAL DE LA FONDATION RUDOLF NOUREEV

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Les troubles du spectre de l’autisme - l’évaluation clinique

"Les présentes lignes directrices visent d’abord l’accessibilité à des ressources compétentes en matière d’évaluation des troubles autistiques chez l’enfant et l’adolescent. Bien que d’intérêt, l’aspect thérapeutique de ces troubles ne sera toutefois pas abordé. Ce document présente un cadre pour mieux guider la démarche clinique du médecin ou du psychologue. Il aborde, dans la première partie, des questions d’ordre général sur les troubles autistiques pour ensuite sensibiliser les médecins et les psychologues aux différents signes d’appel de ces troubles, que la clientèle qui présente un TED leur soit familière ou non."

Voir en ligne : CMQ - Collège des Médecins du Québec

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Les troubles fonctionnels intestinaux

Les troubles fonctionnels intestinaux sont-ils fréquents ?
Quelle différence entre colite et troubles fonctionnels intestinaux ?
Quels symptômes évoquent des troubles fonctionnels intestinaux ?
Qu’est-ce qu’une fausse diarrhée ?
Quels symptômes ne font pas partie des troubles fonctionnels intestinaux ?
L’examen clinique est-il typique dans les troubles fonctionnels intestinaux ?
Existe t-il des facteurs psychologiques liés aux troubles fonctionnels intestinaux ?
Quelle est l’évolution habituelle des troubles fonctionnels intestinaux ?
Pourquoi faire des examens dans les troubles fonctionnels intestinaux ?
L’analyse des selles est-elle utile dans les troubles fonctionnels intestinaux ?
Quel est le principes du traitement des troubles fonctionnels intestinaux ?
Quelle place pour les antispasmodiques dans les troubles fonctionnels intestinaux ?

Voir en ligne : SNFGE

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Les types de toux

Il est normal de tousser à l’occasion. Une toux qui accompagne un rhume, une grippe ou des allergies est normale. La toux a une utilité. Elle permet au corps d’empêcher l’entrée de particules indésirables dans les poumons. Elle aide à expulser l’excès de mucus des voies aériennes (petits tubes d’air dans les poumons). Cet excès de mucus peut être causé par le tabagisme, un rhume, des problèmes au nez ou aux sinus, une infection respiratoire ou une maladie pulmonaire (comme l’asthme ou la MPOC).

Voir en ligne : Association pulmonaire du Canada

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Les ulcères gastro-duodénaux

Maladie chronique, fréquente, caractérisée par une évolution par poussées récidivantes souvent périodiques. L’ulcère est localisé au niveau du bulbe duodénal dans l’immense majorité des cas. Il s’agit d’une perte de substance localisée de la paroi duodénale dont le diamètre moyen est de 8 mm (limite 5 mm > 2 cm). L’incidence est de 80 000 nouveaux cas en France par an. L’incidence a notablement chuté depuis 10 ans ainsi que la prévalence. Le ratio UG/UD et le sexe ratio se sont sensiblement égalisés aujourd’hui.

Voir en ligne : Professeur Jacques FOURNET - Faculté de Médecine de Grenoble

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Les vertiges

Le vertige se définit comme un trouble de la perception de son environnement avec sensation de mouvement de type rotatoire (carrousel) ou linéaire (tangage, sensation ébrieuse). Son origine peut être périphérique par atteinte de l’appareil vestibulaire (saccule, utricule et canaux semi-circulaires) ou centrale par atteinte du tronc cérébral, du cervelet ou des noyaux vestibulaires. Il est à distinguer des autres syndromes vertigineux représentés par la présyncope, le déséquilibre ou l’étourdissement. Le défi pour le praticien consiste à différencier les causes bénignes (vertiges périphériques) des causes potentiellement vitales (vertiges centraux) motivant une hospitalisation immédiate.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Les vertiges Un défi intéressant

"Les vertiges sont, avec les céphalées, les maux de dos et la fatigue, parmi les motifs de consultation les plus fréquents en pratique. Cet article a pour but de définir l’approche clinique de ces plaintes et les moyens à la disposition du clinicien afin de déterminer l’origine des symptômes et les signaux d’alarme suggérant une pathologie centrale méritant une référence précoce en milieu spécialisé."

Voir en ligne : Le Clinicien revue de formation médicale continue

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Les vrais enjeux de la médecine personnalisée du cancer

Le Consortium WIN (Worldwide Innovative Networking) spécialisé en médecine personnalisée et diagnostic précoce du cancer a choisi d’aborder différemment la problématique du traitement du cancer avec l’objectif essentiel d’accélérer la disponibilité des traitements de nouvelle génération et de conduire des études cliniques synchronisées sur plusieurs continents avec l’objectif d’obtenir les premiers résultats d’ici 3 à 5 ans. Le Consortium WIN organise la 3ème édition du Symposium WIN pour présenter l’état de l’art de la recherche sur le cancer.

Voir en ligne : ambisrael.fr

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Les yeux rouges

Un oeil rouge ne doit pas être négligé ; vous devez voir un médecin ophtalmologiste. L’une des raisons les plus courantes de consultation en ophtalmologie est la rougeur de l’oeil, souvent accompagnée d’une douleur. Une grande partie de la population se trouvera tôt ou tard confrontée à ce problème et devra consulter un médecin ophtalmologiste de façon plus ou moins urgente. Dans la majorité des cas, un traitement entraînera une disparition des symptômes, sans que l’oeil n’en subisse de conséquences permanentes. Cependant, la rougeur de l’oeil, surtout si elle n’est pas signalée et traitée rapidement, pourra entraîner des conséquences graves incluant une perte de la vision.

Voir en ligne : Association des Médecins Ophtalmologistes du Québec

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Lettre d’information aux médecins

  • Contre la grippe saisonnière, restons mobilisés
  • Grippe saisonnière. Convaincre les patients n’ayant jamais été vaccinés

Voir en ligne : Ameli - Lettre aux médecins

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Lettre d’information - Médecine Générale Décembre 2014, lettre 18

Chaque mois, la Collaboration Cochrane produit environ 80 revues systématiques de grande qualité. Si toutes ces revues peuvent apparaître intéressantes pour un médecin généraliste, une partie seulement de ces publications concerne son champ d’activité et peut avoir un impact sur ses pratiques.

Voir en ligne : Centre Cochrane Français

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Lévonorgestrel et contraception d’urgence

L’expression contraception d’urgence désigne une contraception de « secours », utilisable par les femmes en situation d’urgence dans les quelques jours qui suivent un rapport non protégé pour éviter une grossesse non désirée. La contraception d’urgence n’est pas faite pour servir de méthode régulière de contraception.
Le protocole recommandé par l’OMS en contraception d’urgence est : 1,5 mg de lévonorgestrel en dose unique.

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé

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Lichen plan

Dermatose inflammatoire bénigne, mais chronique, le plus souvent papuleuse, prurigineuse, et pouvant comporter des localisations muqueuses préoccupantes. Le lichen plan est de cause inconnue. Le lichen plan représente moins de 1% de l’ensemble des dermatoses, il est moins fréquent que l’eczéma et le psoriasis. Il atteint avec une égale fréquence les 2 sexes. Il débute à l’age de 20 à 30 ans, rarement avant 10 ans.

Voir en ligne : atlas-dermato.org

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Lichen plan - definition

Exceptionnel pendant la petite enfance et relativement rare avant la puberté, le lichen plan est une affection de cause inconnue, définie par la présence de petites papules brillantes polygonales prurigineuse de teinte violine dont l’histologie caractéristique montre un infiltrat dermique monocuclé qui « lèche la membrane basale » associé à des des altérations vacuolaires de la couche basale de l’épiderme . Evoluant de façon capricieuse des récidives sont possibles.

Voir en ligne : Dermis

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Lignes directirces pour la pratique en médecine santé-voyage

Le Comité consultatif de la médecine tropicale et de la médecine des voyages (CCMTMV) donne à l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) des conseils courants et à jour de nature médicale, scientifique et de santé publique concernant les maladies tropicales infectieuses et les risques pour la santé associés aux voyages internationaux. L’ASPC reconnaît que les conseils et les recommandations figurant dans cette déclaration reposent sur la pratique médicale et les connaissances scientifiques les plus récentes et les diffuse dans le but d’informer les voyageurs ainsi que les professionnels de la santé qui sont appelés à leur prodiguer des soins.

Voir en ligne : ASPC - Agence de santé publique du Canada

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Lignes directrices OMS relatives à la qualité de l’air à l’intérieur des habitations : humidité et moisissures

Ce document présente les lignes directrices de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) concernant la protection contre les risques liés à l’humidité, à la prolifération microbienne qui en découle et à la contamination des espaces intérieurs. Ces lignes directrices s’appuient sur l’examen complet et sur l’évaluation des témoignages scientifiques réunis par un groupe multidisciplinaire d’experts ayant étudié les effets sur la santé des polluants atmosphériques à l’intérieur des bâtiments, et d’experts spécialisés dans l’identification des facteurs qui contribuent à la prolifération microbienne dans les bâtiments.

Voir en ligne : OMS Organisation Mondiale de la Santé

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Lignes directrices pour la prévention et la gestion des syndromes grippaux (SG), notamment du virus de la grippe pandémique (H1N1) de 2009, à l’occasion de rassemblements

Ces lignes directrices sont publiées par l’Agence de la santé publique du Canada en réponse à l’éclosion du virus de l’influenza H1N1. Ces lignes directrices sont fondées sur les données scientifiques disponibles actuellement et de l’opinion d’experts en santé publique dans le domaine des stratégies de lutte contre les maladies à l’échelle communautaire, des maladies infectieuses, des mesures d’urgence, des communications et de l’éthique ; par conséquent, elles peuvent faire l’objet de révisions et de modifications au fur et à mesure que de nouvelles informations deviennent disponibles.

Voir en ligne : Agence de la santé publique du Canada

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Lignes directrices pour la prévention et le contrôle des éclosions d’oreillons au Canada

Les oreillons sont une maladie virale aiguë caractérisée par de la fièvre et par une tuméfaction et une sensibilité d’une ou plusieurs glandes salivaires. Au nombre des symptômes figurent la fièvre, les céphalées, les douleurs musculaires et la tuméfaction et la sensibilité des glandes salivaires à l’angle de la mâchoire (glandes parotides). Dans de rares cas, cette infection peut entraîner une méningite, une inflammation des testicules ou des ovaires, une inflammation du pancréas et une perte auditive transitoire ou permanente.

Voir en ligne : ASPC - Agence de santé publique du Canada

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Lignes directrices sur les mesures de prévention individuelles et collectives destinées à prévenir la transmission des symptômes grippaux (SG) dans la communauté, notamment du virus de la grippe pandémique (H1N1) de 2009

Ces lignes directrices sont fondées sur les données scientifiques disponibles actuellement au sujet de cette nouvelle maladie, et de l’opinion d’experts en santé publique dans le domaine des stratégies de lutte contre les maladies à l’échelle communautaire, des maladies infectieuses, des mesures d’urgence, des communications et de l’éthique ; par conséquent, elles peuvent faire l’objet de révisions et de modifications au fur et à mesure que de nouvelles informations deviennent disponibles.

Voir en ligne : Agence de la santé publique du Canada

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Liste des 59 spécialités pharmaceutiques sous surveillance

Depuis le retrait brutal du marché de la Cérivastatine® en août 2001 puis celui du Vioxx® en octobre 2004, la surveillance des médicaments a évolué. Elle s’appuie désormais sur la mise en place de plans de gestion des risques qui prolongent et élargissent la démarche de pharmacovigilance pour certaines catégories de produits. Cette approche élargie de surveillance s’attache à identifier au maximum, avant la mise sur le marché, les enjeux et les méthodes de maîtrise des risques. Elle intègre de plus, la notion d’évaluation constante du rapport bénéfice/risque dans les conditions réelles d’utilisation.

Voir en ligne : Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé)

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Liste des médicaments à vignette orange remboursés à 15% à compter du 17 avril 2010

Avis relatif aux décisions de l’Union nationale des caisses d’assurance maladie portant fixation du taux de participation de l’assuré applicable à des spécialités pharmaceutiques
Par décisions du directeur général de l’Union nationale des caisses d’assurance maladie en date du 9 avril 2010, le taux de participation de l’assuré applicable aux spécialités pharmaceutiques citées ci-dessous est fixé comme suit :

Voir en ligne : Voir la liste en téléchargement

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liste des Substances ayant comme effets secondaires le PRURIT

Voir en ligne : BIAM

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Listériose

Quel agent responsable ? Quelle maladie chez l’homme ? Quelle maladie chez l’animal ? Quelles mesures collectives de prévention ? Quelle conduite à tenir pour éviter d’être contaminé ?

Voir en ligne : Ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation, de la Pêche et des Affaires rurales

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Lithiase : Evaluation de la lithiase urinaire

L’intérêt de l’évaluation métabolique de la lithiase urinaire après un premier épisode de colique néphrétique a été largement débattu. Une méta-analyse de 6 larges études rétrospectives conclue que, compte tenu du faible risque de morbidité associé à un premier épisode de colique néphrétique et des effets indésirables plutôt fréquents et sérieux des traitements dits spécifiques, les sujets ayant fait un seul épisode de colique néphrétique ne devraient pas bénéficier d’examens urinaires élaborés.

Voir en ligne : Thierry Hannedouche - nephrohus

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Lithiase urinaire

"La complexité de la maladie lithiasique tant dans son type, sa cause, sa topographie, son évolution, conduit le médecin à s’entourer d’un maximum d’informations avant d’envisager de traiter cette affection"(JOFFRE). Le radiologue va intervenir à plusieurs étapes du diagnostic et du traitement.

Voir en ligne : L. LEMAITRE*, C. NOEL** Services de Radiologie* et de Néphrologie** Hôpital Claude Huriez - Lille

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Lithiase urinaire chez le sujet âgé de plus de 60 ans

La maladie lithiasique, concernant 10% de la population Française, est une affection fréquente. Les données de la littérature sur cette maladie chez les sujets de plus de 60 ans font état des modifications avec l’âge des facteurs de risque, notamment dans la composition des urines, mais très peu des caractéristiques cliniques de la maladie. Motivé par l’absence de données récentes sur la maladie lithiasique des sujets de plus de 60 ans en France, notre objectif a été d’étudier l’épidémiologie et les traitement en urologie de la lithiase urinaire chez les sujets âgés en France.

Voir en ligne : Yann NEUZILLET (1), Eric LECHEVALLIER (1), Philippe BALLANGER (2), Jean-Marie FERRIERE (2), Christian SAUSSINE (3), Bertrand doré (4), Pierre CONORT (3)

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Lithiases urinaires

La lithiase urinaire est définie comme un agrégat cristallin survenant dans le système collecteur de l’appareil urinaire (à la différence de la néphrocalcinose où ces agrégats cristallins surviennent dans le parenchyme rénal) et qui a atteint une taille suffisante pour aboutir à des manifestations cliniques ou être visible par l’imagerie.

Voir en ligne : par Thierry Hannedouche | nephrohus

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Lits de bronzage, bronzage et exposition aux UV (OMS)

Le désir de bronzer parce que c’est à la mode ou plus esthétique a conduit à une augmentation importante de l’utilisation des lits de bronzage artificiel, surtout dans les pays développés. L’engouement pour ces lits de bronzage continue à croître, en particulier chez les jeunes femmes. Les lits de bronzage utilisés dans les solariums et les lampes à ultraviolets sont des appareils de bronzage artificiel qui prétendent offrir une alternative efficace, rapide et sans danger à l’exposition à la lumière solaire naturelle. Cependant, on a de bonnes raisons de penser que le rayonnement ultraviolet (UV) émis par les lampes utilisées dans ces solariums peut endommager la peau et accroître le risque de cancer cutané.

Voir en ligne : OMS Organisation Mondiale de la Santé

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Livre blanc : déontologie médicale sur le web

Les règles du code de déontologie médicale s’appliquent à tous les vecteurs d’information. Mais le web pose des interrogations spécifiques, d’une part, et évolue vers de nouveaux usages, d’autre part. Tout en invitant les médecins à investir plus largement le web, le Cnom souligne par ces recommandations quelles sont leurs responsabiltés, professionnelles et humanistes, dès lors qu’ils participent à des médias en ligne.

Voir en ligne : Conseil National de l’Ordre des Médecins (France)


Lombalgies et lombosciatalgies non déficitaires – Quelle est la place de l’activité physique dans la prise en charge ?

Fléau moderne invalidant jusqu’à 80% de la population au moins une fois dans sa vie, les lombalgies et lombosciatalgies ont plusieurs étiologies possibles. Même si les lombosciatalgies évoquent pour la plupart des médecins tout d’abord une hernie discale, il ne faut pas oublier que d’autres pathologies peuvent également provoquer ces symptômes. Certains signes d’appel doivent faire suspecter un problème plus grave à potentiel évolutif et nécessitent des investigations supplémentaires.

Voir en ligne : Service de neurochirurgie, Centre Hospitalier Universitaire Vaudois, Lausanne

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Lombalgies non spécifiques : faut-il recommander l’exercice et les activités sportives ?

La lombalgie est le problème de santé le plus prévalent en Suisse. L’exercice est le moyen de préventions primaire et secondaire le plus efficace. Dans la lombalgie aiguë, il est recommandé de réduire l’exercice et les activités sportives mais de maintenir une activité physique quotidienne aussi normale que possible. L’exercice est en revanche efficace dans la lombalgie subaiguë ou chronique. Il permet de réduire le déconditionnement et briser la spirale de la chronicité. Les activités sportives ont été peu étudiées mais pourraient favoriser l’adhésion à long terme davantage qu’un programme d’exercice prolongé. Il semble raisonnable de déconseiller les sports impliquant des charges importantes à soulever ou des changements de direction brusques. Cependant, la notion de plaisir doit rester prioritaire.

Voir en ligne : Revue médicale suisse

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Lombalgies : quand faut-il passer à l’imagerie ?

Un syndrome lombovertébral(SLV) sans« redflags »(signaux de danger) ne justifie pas d’investigations radiologiques (du moins) durant la phase aiguë (4–6 semaines). La découverte éventuelle, une fois ce délai passé, d’une étiologie spécifique (p.ex. spondylarthrose, maladie de Bechterew) ne modifie en effet pas le pronostic. Les clichés radiologiques conventionnels en deux plans et debout en charge restent l’examen de choix (les incidences obliques et les clichés fonctionnels ne font pas partie du bilan de base standard).

Voir en ligne : Felix Wermelinger, Peter M. Villiger Universitätsklinik für Rheumatologie, klinische Immunologie/Allergologie, Inselspital Bern

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Lombocruralgie en milieu hospitalier : A propos de 70 cas

La névralgie crurale est l’expression d’une souffrance du nerf crural tout au long de son trajet. Elle représente 6,26% de l’ensemble des névralgies des membres et 6,46% de l’ensemble des radiculalgies du membre inférieur soit une cruralgie pour 16 sciatiques. Nous proposons d’étudier le profil épidémiologique, clinique, radiologique et d’analyser les données étiologiques, thérapeutiques et évolutives des lombocruralgies vues en milieu hospitalier.

Voir en ligne : Société Française de Rhumatologie

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Lorsque le sinus en prend pour son rhume ...

« Mon pays,c’est l’hiver »,disait le poète.La saison froide ramène avec elle son cortège d’enfants au nez qui coule.Comment différencier le rhume banal de la rhinosinusite bactérienne ? Quelle est la place de l’imagerie dans le diagnostic ? L’antibiothérapie est-elle toujours nécessaire ?

Voir en ligne : Luc Laperrière et Johanne Gauthier - Fédération des Médecins Omnipraticiens du Québec

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Lupus érythémateux disséminé

Le lupus systémique (LS) ou lupus érythémateux aigu disséminé (LEAD) est une maladie inflammatoire au long cours (chronique) pouvant affecter de nombreux organes et notamment la peau, les reins, les articulations, les poumons et le système nerveux. Les manifestations de cette maladie sont extrêmement variées.

Voir en ligne : Professeur Zahir Amoura- Orphanet

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Lupus érythémateux disséminé chez l’enfant

Le lupus érythémateux disséminé (LED) à début pédiatrique est une maladie souvent sévère, dont la morbidité à long terme est importante. Il n’existe pas de recommandations spécifiquement pédiatriques concernant sa prise en charge. Le groupe d’étude du LED à début pédiatrique propose de telles recommandations concernant les examens complémentaires à réaliser lors du diagnostic et du suivi de la maladie. Celles-ci ont pour objectif de permettre d’adapter au mieux le traitement à la sévérité du LED et à la tolérance aux différentes thérapeutiques et d’éviter les examens inutiles.

Voir en ligne : Archives de Pédiatrie

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Lutte contre le tabagisme : toujours une priorité

Le tabac est encore la première cause de mortalité évitable. Il est responsable de 73 000 décès chaque année et de pathologies graves (insuffisances respiratoires, maladies cardio-vasculaires, cancers). Si depuis 1981, suite à la loi Évin, la consommation de tabac a baissé, elle stagne depuis les années 2000 et on note même récemment une augmentation du tabagisme chez les jeunes et les femmes. Enfin, il y a toujours une surreprésentation des catégories socioprofessionnelles défavorisées parmi les fumeurs. Ce dossier dresse un bilan de ce qui a été fait et plaide pour une relance des mesures de lutte contre le tabagisme.

Voir en ligne : Haut Conseil de la santé publique

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Lutte contre l’infarctus : nous sommes tous concernés

Que se passe-t-il à l’hôpital ou dans l’ambulance du SAMU ?
Avec l’interprétation de l’électrocardiogramme, on peut savoir si les artères doivent être débouchées ou non. Si les artères ne sont pas complètement obstruées, un traitement médicamenteux suffit.- En revanche, si les artères sont totalement bouchées, deux possibilités existent pour les déboucher soit par un traitement chimique (la fibrinolyse) soit par un dispositif mécanique (l’angioplastie).

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Luxation antérieure de l’épaule

L’articulation gléno-humérale est une articulation qui permet des mouvements dont les amplitudes sont extrêmement importantes. Cette mobilité remarquable permet des positions à la limite du contact entre les surfaces articulaires expliquant la fréquence des luxations (perte de contact des surfaces articulaires en présence : la glène de l’omoplate et tête humérale).

Voir en ligne : CHUPS

Sujets associés


Luxation récidivante de l’épaule

Plus le nombre de récidive est élevé, plus la luxation survient facilement et moins la force requise pour luxer l’épaule est importante. Les luxations récidivantes sont favo- risées par le jeune âge lors de la pre- mière luxation, l’absence d’immobilisation lors des épisodes précédents et l’importance du traumatisme

Voir en ligne : Hôpital Maisonneuve-Rosemont - Montreal

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Lymphome de Hodgkin

Le lymphome de Hodgkin est une tumeur maligne caractérisée par des infiltrats pléomorphes lymphocytaires et hystiocytaires contenant des cellules multinuclées de Reed-Sternberg. Elle représente 5,5% des cancers pédiatriques, qui eux-mêmes constituent seulement 2% des néoplasmes dans la population générale. Chez deux tiers des patients, le site primaire est situé au dessus du diaphragme.

Voir en ligne : Orphanet

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Lymphomes malins non hodgkiniens

Ce sont des tumeurs dont les racines sont les lymphocytes B ou T. · Ces tumeurs sont essentiellement ganglionnaires dans leur site initial d’atteinte. La différence entre un Hodgkin et un non Hodgkinien se fait sur l’histologie.

Voir en ligne : Notes de cours du Professeur Le Prisé de la faculté de Médecine de Rennes (France).

Sujets associés


Lymphomes malins non-hodgkiniens de haut grade de malignité

Il est habituel de désigner sous le nom de lymphome agressif ou lymphome de haut grade de malignité, un certain nombre d’affections dont le pronostic avant les années 1970 était particulièrement péjoratif, la grande majorité des patients étant emportée par la maladie en quelques mois ou quelques années. L’avènement des polychimiothérapies comportant des anthracyclines a permis de modifier le pronostic de ces patients, la moitié environ d’entre eux pouvant être actuellement considérés comme guéris.

Voir en ligne : G. Salles, B. Coiffier- Document Medespace - 1999

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Lymphomes non hodgkiniens de faible malignité

Les lymphomes de faible malignité comportent schématiquement deux groupes principaux

  • les lymphomes diffus à petits lymphocytes, qui sont en fait les localisations ganglionnaires de leucémie lymphoïde chronique
  • es lymphomes folliculaires, caractérisés par leur architecture : la prolifération lymphoïde garde une organisation en zones folliculaires et inter-folliculaires comme dans le ganglion normal.

Voir en ligne : Ph. Solal-Celigny et Ph. Colombat - Document Medespace - 1999

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L’abstinence, un dogme moral

Les autorités sanitaires sont très réticentes vis-à-vis des médicaments issus d’avancées scientifiques récentes, qui permettent de fortement diminuer voire faire disparaitre le potentiel addictif ou nocif de produits comme le tabac l’alcool. Pour le premier on connaît l’embarras crée par la cigarette électronique, mais il y a un autre exemple, celui du Baclofène dans le traitement de l’alcoolo-dépendance. Pour ceux qui n’en ont jamais entendu parler, qu’est-ce que ce produit ?

Voir en ligne : Causeur

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L’accès au dossier patient

Selon la Loi sur les droits du malade (4 mars 2002), « toute personne a accès à l’ensemble des informations concernant sa santé, détenues par des professionnels et établissements de santé, qui sont formalisées et ont contribué à l’élaboration et au suivi du diagnostic et du traitement ou d’une action de prévention. » Un accompagnement médical peut être proposé pour la consultation du dossier patient, afin de recevoir toutes les explications nécessaires, utiles et appropriées.

Voir en ligne : .psycom75

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L’accident vasculaire cérébral

Parfois nommé « attaque cérébrale », l’accident vasculaire cérébral (AVC) correspond à l’obstruction ou à la rupture d’un vaisseau qui transporte le sang dans le cerveau. Il s’agit d’une urgence médicale absolue qui nécessite d’appeler le Samu (15É) ou le numéro d’urgence européen (112) pour une prise en charge immédiate. En France, on dénombre chaque année plus de 130 000 accidents vasculaires cérébraux, soit un toutes les quatre minutes. L’AVC représente la première cause de handicap acquis de l’adulte, la deuxième cause de démence (après la maladie d’Alzheimer) et la deuxième cause de mortalité (environ 10 % des décès).

Voir en ligne : Dossier réalisé en collaboration avec le Pr Jean-Louis Mas,chef du service de neurologie à l’hôpital Sainte-Anne, responsable de l’équipe « Accidents vasculaires cérébraux

Sujets associés


L’accident vasculaire cérébral (AVC)

[ 27 octobre 2009 ]

Pathologie méconnue, l’AVC est pourtant l’une des principales causes de mortalité en France, la première cause de handicap acquis de l’adulte, la deuxième cause de démence. Elle est toutefois largement accessible à la prévention. Lorsqu’un AVC survient, une prise en charge très précoce peut éviter les complications et en limiter les séquelles, favorisant ainsi le retour à domicile, comme l’indique le rapport sur la prévention et la prise en charge des accidents vasculaires cérébraux en France, remis en octobre 2009 à la Ministre de la santé et des sports. L’AVC n’est plus une fatalité !

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Sports - l’hospitalisation et l’organisation des soins

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L’acouphène, un trouble pénible qui ne se soigne pas

Entendre un son qui n’existe pas est un phénomène paradoxal, mais bien réel. Il est même fréquent, puisque 20% de la population mondiale en a, un jour, fait l’expérience. Ces bruits fantômes, qu’on appelle acouphènes, sont perçus en l’absence de toute stimulation auditive externe, soit dans une seule oreille, soit dans les deux.

Voir en ligne : Planète Santé

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L’action des statines n’a rien à voir avec la vitamine D, pour une fois !

Le déficit en vitamine D est fréquent dans la population générale. Des études épidémiologiques, pas toutes concordantes, ont suggéré qu’il pourrait exister une relation inverse entre concentration sérique de vitamine D et morbimortalité cardiovasculaire. Or, dans plusieurs petites études prospectives, il a pu être observé une augmentation de la concentration sérique en vitamine D sous traitement par statine.

Voir en ligne : JIM

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L’Afssaps met en ligne des recommandations de bon usage des produits de protection solaire - Communiqué de presse

Pour les vacances d’été, l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) lance une campagne d’information pour favoriser le bon choix et la bonne utilisation des produits de protection solaire. A cette occasion, l’Agence met en ligne des recommandations de bon usage de ces produits sur son site internet.

Voir en ligne : Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé)

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L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) est créée - Point d’information

L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) est officiellement créée. La parution du décret de gouvernance relatif à l’ANSM, au Journal Officiel du 29 avril 2012, permet ainsi la mise en application de l’une des principales mesures prévues par la loi du 29 décembre 2011 relative au renforcement de la sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé. Cette mesure sera effective à compter du 1er mai 2012. La nouvelle Agence se substitue à l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), dont elle reprend les missions, les droits et les obligations.

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Voir en ligne : Afssaps- Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé

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L’alcool : définition et repères de consommation

Qu’elle soit régulière ou occasionnelle, la prise d’alcool peut se révéler néfaste pour le corps. Pour préserver votre santé, essayez d’évaluer votre consommation de boissons alcoolisées.

Voir en ligne : Ameli-santé

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L’amyloïdose

"L’amyloïdose est caractérisée par le dépôt extracellulaire d’une protéine appartenant à une famille de protéines partageant des propriétés tinctoriales similaires. Ce dépôt anormal peut se produire dans diverses maladies, telles que le myélome multiple, les polyneuropathies familiales et le lichen amyloïde cutané primitif. On a manifesté récemment un intérêt accru pour cette maladie en réalisant que ce dépôt d’amyloïde survenait également au cours du vieillissement et des maladies neuro-dégénératives, comme la maladie d’Alzheimer et l’accident vasculaire cérébral."

Voir en ligne : Pa r N ATALIE NASSER, M . D. e t DENIS SASSEVILLE, M . D. Dermatologie - Conférences scientifiques

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L’anorexie et la boulimie

L’anorexie se caractérise par une peur intense de prendre du poids, une obsession de la minceur et un refus de s’alimenter. La personne touchée par ce trouble se perçoit grosse et fait tout ce qu’elle peut pour ne pas prendre de poids ; tous les moyens possibles sont mis à contribution pour éviter de manger.
La personne souffrant de boulimie consomme des quantités importantes de nourriture, puis recoure à tous les moyens possibles pour éviter de prendre du poids, comme les vomissements, les purgatifs, les jeûnes et les exercices intenses.
Souvent, des troubles tels que la dépression, l’anxiété, l’obsession ainsi qu’une faible estime de soi accompagnent ces maladies.

Voir en ligne : Hôpital de Montréal pour Enfants du Centre Universitaire de Santé Mc Gill

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L’anorexie mentale, un trouble du comportement alimentaire à prendre en charge rapidement

La Haute Autorité de Santé publie en partenariat avec l’AFDAS-TCA* des recommandations de bonne pratique autour de la prise en charge de l’anorexie mentale, trouble du comportement alimentaire d’origine multifactorielle quitoucheplus particulièrement les adolescentes et les jeunes femmes ainsi que certaines populations (mannequins, danseurs ou sportifs). Un diagnostic tardif et une prise en charge initiale inadaptée peuvent entraîner des conséquences graves. Le rôle de chaque professionnel de santé (généralistes, pédiatres et psychiatres notamment) est primordial à chacune de ces étapes de la prise en charge.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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L’ANSM explique pourquoi les médicaments génériques sont des médicaments à part entière - Point d’information

Dans un rapport d’expertise publié aujourd’hui, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) apporte des données permettant au public, comme aux professionnels de santé, de poser un regard objectif sur les médicaments génériques. Le rapport fait le point sur la réglementation des médicaments génériques, rappelle leurs critères d’autorisation et établit un état des lieux des actions de l’Agence dans ce domaine.

Voir en ligne : ANSM Agence nationale de sécurité du médicament

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L’ANSM installe ses commissions et ses groupes de travail - Point d’information !!!...

L’ANSM va désormais s’appuyer sur le fonctionnement de 4 commissions, 4 comités techniques de vigilance, 25 groupes de travail (à ce jour) et 4 groupes d’interface pour asseoir son expertise interne. Les décisions de création des nouvelles commissions et des nouveaux groupes de travail de l’ANSM ont été publiées au Journal Officiel le 9 février 2013, et donne lieu à la nomination de 270 experts externes. Les ordres du jour seront rendus publics ainsi que les comptes rendus de séances. Les commissions seront filmées. Les enregistrements des séances concerneront à la fois les commissions et les groupes de travail. Ce nouveau processus de décision, ouvert et transparent, impose des contraintes déontologiques plus fortes qui seront appliquées avec rigueur et transparence.

Voir en ligne : ANSM - Sécurité sanitaire des produits de santé

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L’ANSM interdit l’utilisation de 3 plantes et 26 substances actives dans les préparations à visée amaigrissante réalisées en pharmacie - Point d’information

L’ANSM, dans le cadre de ses activités de surveillance, d’évaluation et de prévention des risques liés à l’utilisation de produits de santé, vient de prendre de nouvelles décisions de police sanitaire visant à interdire ou restreindre le recours à certaines plantes ou substances dans les préparations réalisées en pharmacie. Ces préparations n’ont pas prouvé leur efficacité et peuvent exposer le patient à des risques pour sa santé.

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

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L’anxiété : une fatalité ?

Tout le monde peut éprouver un sentiment d’anxiété face à un danger réel ou imaginaire. Se manifestent alors des sentiments comme de l’inquiétude, de l’appréhension, une tension nerveuse mais aussi des manifestations physiques (palpitations, transpirations, vertiges, essoufflement, crampes d’estomac,…)

Voir en ligne : horus.be

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L’App smartphone EMC rend vos médecins disponibles 24/24

On pointe généralement le Wi-Fi, les téléphones portables ou encore les tablettes pour leurs ondes électromagnétiques potentiellement néfastes pour la santé. Pourtant, ces outils contemporains ont aussi la capacité de nous sauver la vie. MEC (Mobile Emergency Communication), une Start-Up arabe israélienne issue de l’accélérateur technologique NazTech, nous en fournit la preuve via sa technologie innovante.

Voir en ligne : Siliconwadi

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L’appendicite aiguë aujourd’hui . Nouveaux aspects d’une maladie connue de longue date

L’appréciation clinique par un chirurgien expérimenté reste l’approche diagnostique la plus importante. L’imagerie par échographie ou tomographie computérisée peut contribuer de manière significative au diagnostic dans certaines situations peu claires. Même avec l’aide d’une imagerie complémentaire, 5% des appendicectomies sont effectuées sans signe d’inflammation à l’examen histopathologique. Aucun avantage évident de la laparoscopie n’a pu être définitivement démontré dans le traitement de l’appendicite.

Voir en ligne : Ida Montali, Markus von Flüe - Chirurgische Abteilung, St. Claraspital, Basel

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L’appendicite chez les enfants et les adolescents

L’appendicite est une infection de l’appendice. Selon l’American Academy of Family Physicians, elle touche 7 pour cent des Américains et est la principale cause de chirurgie d’urgence chez les enfants. Ce sont les jeunes entre 11 et 20 ans qui sont le plus souvent touchés. Les enfants des familles où il y a déjà eu des cas d’appendicite, notamment les garçons, courent plus de risques de souffrir d’une appendicite. Par ailleurs, la plupart des cas se manifestent à l’hiver, entre les mois d’octobre et mai.

Voir en ligne : Hôpital de Montréal pour enfants du Centre Universitaire de Santé Mc Gill

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L’arrêt de travail de plus de six mois

Lorsque l’état de santé de votre patient justifie la prescription d’un arrêt de travail en longue maladie (plus de six mois), sa prise en charge nécessite un accord entre le médecin traitant et le médecin conseil.

Voir en ligne : AMELI Assurance Maladie En Ligne

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L’arrêt de travail pour maladie

Dossier mis à jour le 26 janvier 2009
Votre salarié(e) est en arrêt de travail pour maladie. Sous réserve de respecter certaines formalités et de remplir les conditions requises, il ou elle pourra percevoir des indemnités journalières pendant cet arrêt de travail, après un délai de carence de trois jours.

Voir en ligne : AMELI Assurance Maladie En Ligne

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L’arthrose est une maladie due à une usure précoce du cartilage

L’arthrose est une maladie due à une usure précoce du cartilage. Elle peut toucher toutes les articulations, mais elle se manifeste plus fréquemment au niveau de certaines articulations : genoux, hanches, doigts (articulations métacarpo-phalangiennes du pouce, articulations interphalangiennes proximales et distales) ainsi que les métarso-phalangiennes du gros orteil. D’autres articulations, comme celles de l’épaule, du coude et de la cheville, sont moins souvent atteintes.

Voir en ligne : prevention.ch

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L’aspartame : danger ? Peu probable

Selon une récente revue de littérature portant sur les risques de développer un cancer en consommant différents édulcorants, les risques reliés à une consommation modérée d’aspartame seraient inexistants.

Voir en ligne : Extenso Centre de référence sur la nutrition humaine

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L’asthme en France en 2006 : prévalence et contrôle des symptômes

En 2006, 6,26 millions de personnes en France métropolitaine déclarent avoir souffert d’asthme à un moment quelconque de leur vie et, parmi elles, 4,15 millions continuent à en souffrir, soit 6,7 % de la population. Les hommes sont globalement autant concernés que les femmes mais il existe des différences selon l’âge. Moins d’un asthmatique sur deux a recours à un traitement de fond, c’est-à-dire une thérapeutique indiquée pour réduire et maîtriser l’intensité des symptômes liés à l’hyperréactivité bronchique caractérisant cette maladie chronique.

Voir en ligne : IRDES Institut de Recherche et Documentation en Economie de la Santé

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L’autosurveillance glycémique dans le diabète de type 2 : une utilisation très ciblée

L’autosurveillance glycémique (ASG) n’a d’intérêt, chez un diabétique de type 2, que si elle est susceptible d’entraîner une modification de la thérapeutique. Elle doit s’inscrire dans une démarche d’éducation du patient sur ses objectifs glycémiques et les décisions à prendre lors d’une dérive glycémique. Elle est utile lorsqu’une insulinothérapie est en cours, prévue à court ou moyen terme ou lorsque le traitement médicamenteux comprend un sulfamide ou un glinide. Si l’objectif glycémique n’est pas atteint et que l’observance n’est pas satisfaisante, l’ASG peut s’avérer utile pour démontrer au patient l’effet de l’activité physique, de l’alimentation et du traitement médicamenteux.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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L’échocardiographie Doppler transthoracique : pas systématique

L’échocardiographie Doppler transthoracique permet, de façon très rapide, non invasive et non irradiante, de caractériser la quasi-totalité des pathologies cardiaques. En revanche, sa répétition annuelle dans le cadre du suivi n’est pas nécessaire dans la plupart des cas. C’est pourquoi, à partir de l’évaluation réalisée, nous avons détaillé les principales indications de cet examen dans huit fiches de bon usage des technologies de santé (fiches BUT), portant sur l’hypertension artérielle, les coronaropathies aiguës et chroniques, l’insuffisance cardiaque et les valvulopathies.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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L’eczéma chez les enfants : ennuyeux, mais soignable

Une irritation cutanée, avec rougeurs, démangeaisons et assèchement de la peau, apparaît dès les premières semaines de vie. Elle est signe d’un problème cutané ennuyeux, mais soignable appelé dermatite atopique, souvent mieux connue sous le nom d’eczéma. Les démangeaisons sont le principal symptôme de la dermatite atopique. Quand l’enfant ne cesse de gratter ou de frotter la région affectée, la peau peut devenir irritée, rugueuse et épaisse. Les zones de peau touchées par la dermatite atopique peuvent devenir rouges et suintantes.

Voir en ligne : L’Hôpital de Montréal pour enfants

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L’endocardite en pratique ambulatoire

L’incidence de l’endocardite (3-4 cas/100 000/an) n’a que très peu évolué. Parallèlement à l’augmentation des procédures médico-chirurgicales, les endocardites à staphylocoques dorés sont actuellement les plus prévalentes, particulièrement dans le cas des endocardites nosocomiales ou chez les patients toxicomanes ou en dialyse chronique. La mortalité précoce de l’endocardite (15-20%) reste par ailleurs élevée, même si la prise en charge chirurgicale avoisine les 50%. Un traitement ambulatoire peut cependant être envisagé lors d’endocardites à germes peu virulents. Cet article se propose de revoir l’épidémiologie actuelle de l’endocardite avant de discuter en détail les diverses options envisageables lors de prise en charge ambulatoire.

Voir en ligne : Article de Y-A. Que P. Moreillon P. Francioli | Revue Médicale Suisse

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L’endométriose

L’endométriose est une maladie gynécologique assez fréquente puisqu’elle concerne une femme sur dix. Elle est liée à la présence de tissu semblable à la muqueuse utérine en dehors de l’utérus. Différents organes peuvent être touchés. La maladie peut être asymptomatique. Mais dans certains cas, elle provoque des douleurs fortes (notamment au moment des règles) et/ou une infertilité.

Voir en ligne : CNRS, Institut Cochin, Paris.

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L’endométriose – Une maladie peu connue, souvent méconnue

L’endométriose est définie par la présence et la prolifération de stroma et de glandes endométriales en dehors de l’utérus. 10–15% des femmes en âge de procréer ont une endométriose. 10–15% des femmes en âge de procréer ont une endométriose.- Le tableau clinique est très variable, raison pour laquelle il est important de ne pas oublier l’endométriose dans la palette des diagnostics différentiels.- L’endométriose est composée de plusieurs entités : péritonéale, ovarienne et celle infiltrant en profondeur ou rectovaginale.

Voir en ligne : Corinne Neukomm, Michael D. Mueller Endometriosezentrum, Kliniken und Polikliniken für Frauenheilkunde, Inselspital Bern

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L’entorse de cheville au service d’urgences

Une entorse de prime abord légère peut être grave. Si des symptômes, en apparence sans gravité, persistent au-delà de deux jours, il faut consulter un médecin.

Voir en ligne : conférence de consensus sur l’entorse de cheville - Société française d’Urgences Médicales

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L’épicondylite De quoi s’agit-il ?

L’épicondylite est une tendinite du membre supérieur. L’épicondylite aussi appelée « Tennis elbow », est une atteinte des muscles de l’avant-bras à leur insertion sur l’épicondyle. L’épicondyle est le petit relief osseux de l’os du bras (humérus), juste au niveau de l’articulation du coude sur la face externe. Les extrémités des muscles qui s’insèrent sur les os s’appellent des tendons.

Voir en ligne : Observatoire de la Médecine Générale

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L’équipement du cabinet médical

L’équipement du cabinet médical et son utilisation par les médecins généralistes ont fait l’objet d’une enquête descriptive par voie postale. L’objectif était de faire un état des lieux chez les médecins du département de l’Ain. Le taux de réponse a été de 67,5%. La variété des outils à disposition correspond bien à la diversité des motifs de recours en médecine générale, même si une sous utilisation peut être notée. Quatre catégories d’équipement sont privilégiées et font l’objet d’une analyse détaillée : le matériel d’examen gynécologique, le matériel d’examen pédiatrique ; l’électrocardiographe et le matériel d’urgence.

Voir en ligne : Marie-France Le Goaziou Professeur associé de médecine générale : UFR Lyon

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L’état de santé de la population. Rapport 2009-2010

Cet ouvrage fournit en 2010 une vision d’ensemble de l’état de santé de la population en France. Il constitue le quatrième rapport de suivi des objectifs associés à la loi relative à la politique de santé publique du 9 août 2004, après une première édition en 2006. Il a permis de documenter le Haut conseil de la santé publique (HCSP), installé depuis mars 2007, pour préparer l’évaluation de la loi de santé publique du 9 août 2004. Le rapport d’évaluation du HCSP a été rendu public le 17 mars 2010.

Voir en ligne : Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports

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L’évolution de la relation médecins-patients à l’heure d’Internet

Franck GINTRAND indique que sept Français sur dix consultent Internet pour obtenir des informations en matière de santé. Même si le médecin reste la première référence et la première source d’information, il doit aujourd’hui de plus en plus compter avec le développement de ce média. Le débat de ce jour tentera de cerner le phénomène, ses conséquences sur la relation entre les Français et leurs praticiens, les risques mais aussi les opportunités qu’il représente.

Voir en ligne : Conseil National de l’Ordre des Médecins

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L’hépatite auto-immune

L’hépatite auto-immune se définit comme une maladie inflammatoire chronique du foie de cause inconnue, pouvant survenir à tout âge. En l’absence de traitement, cette inflammation peut être responsable de nécrose, de fibrose et de cirrhose. L’hépatite auto-immune est associée presque toujours à des anomalies de l’immunité sous forme d’auto-anticorps, d’augmentation des gammaglobulines sériques. Dernière caractéristique : la sensibilité de l’inflammation hépatique aux médicaments immuno-suppresseurs, tout particulièrement aux corticostéroïdes.

Voir en ligne : par le Professeur Raoul Poupon | Hopital Saint Antoine - Paris

Sujets associés


L’herpès génital : une infection virale sexuellement transmissible

L’herpès génital est une maladie virale touchant les parties sexuelles et avoisinantes. Elle est très contagieuse et sexuellement transmissible. Après la première phase d’infection, le virus s’installe dans l’organisme et s’y « endort ». Il se manifeste ensuite lors de poussées d’herpès. L’herpès génital est une infection virale sexuellement transmissible et récidivante : elle peut ressurgir plusieurs fois chez la même personne.

Voir en ligne : Ameli Santé

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L’herpès labial ou « bouton de fièvre - Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance

L’herpès labial est appelé « bouton de fièvre » car il se caractérise par l’apparition de vésicules (cloques) en bouquet, sur ou autour des lèvres, accompagnées parfois d’une poussée de fièvre. Il est provoqué par un virus contagieux appelé herpes simplex (HSV1) de la même famille que le virus (HSV2) responsable de l’herpès génital. À la suite de contacts rapprochés avec un sujet contagieux (porteur du virus), le virus peut vous contaminer en pénétrant dans votre organisme souvent sans entraîner de manifestations et s’installer de façon durable au niveau certaines cellules (nerveuses), on dit qu’il s’agit d’un « dormant » (latent). À l’occasion d’un évènement comme la fièvre, la fatigue, le stress, les règles, une émotion, une exposition au soleil (UV) ou au froid, lors d’une diminution des défenses immunitaires ou d’une autre maladie virale (rhume, grippe), à l’occasion de traumatismes locaux, le virus peut être « réactivé » et provoquer, presque toujours au même endroit, l’apparition de vésicules contenant le virus.

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

Sujets associés


L’hormonothérapie du vieillissement : mythes et réalités.

Le bien-être de la personne âgée est-il susceptible d’être amélioré par une substitution hormonale visant à compenser des déficits qui peuvent rendre compte d’une asthénie, d’une endurance affaiblie, de diminutions de la force musculaire, de la mobilité et de l’équilibre ainsi que d’une réduction des capacités cognitives ?

Voir en ligne : E. Cogan | Revue Médicale de Bruxelles

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L’hypotension orthostatique. 1ère partie. Définition, symptomatologie, évaluation et physiopathologie

L’hypotension orthostatique (HO) se définit par une chute de pression artérielle d’au moins 20 mmhg pour la systolique et 10 mm Hg pour la diastolique lors du redressement. Les symptômes d’appel sont souvent évocateurs, mais peuvent être également frustes. Le diagnostic peut se faire simplement au cabinet de consultation et peut être confirmé par des mesures plus spécialisées, si nécessaire.

Voir en ligne : Revue Médicale de Liège

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L’INCa publie un état des lieux sur la douleur en cancérologie

La prise en charge de la douleur, dont le renforcement constitue un objectif commun du Plan cancer (action 19.1) et du Plan national de lutte contre la douleur, représente un aspect primordial de la qualité de vie des patients atteints de cancer, pendant ou après le traitement. La fiche repère « La douleur en cancérologie » à destination des professionnels de santé, des patients, du grand public, dresse l’état des lieux des connaissances actuelles (mécanismes et causes de la douleur, épidémiologie, idées fausses), des stratégies de traitements et du niveau de soulagement qu’il est possible d’espérer, des mesures d’organisation mises en place visant à améliorer la situation actuelle.

Voir en ligne : INCA Institut National Du Cancer

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L’infarctus du myocarde

L’infarctus du myocarde, communément appelé crise cardiaque, correspond à la destruction partielle du muscle cardiaque. Il s’agit d’une situation d’extrême urgence qui nécessite d’appeler le Samu (15) pour une hospitalisation immédiate. L’infarctus du myocarde est déclenché par l’obstruction d’une artère qui alimente le cœur en sang et donc en oxygène (artère coronaire). Privées d’oxygène, les cellules musculaires du cœur meurent rapidement sur une zone plus ou moins étendue.

Voir en ligne : Pr. Philippe Gabriel STEG, INSERM

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L’infection cutanée un onguent ? une pilule ? une injection ?

Devant un patient présentant une rougeur, une éraflure douteuse ou un exsudat cutané, vous n’hésite- rez plus ! Vous atteindrez vos objectifs d’optimiser le suivi, le traitement et la prévention des complica- tions. Et vous saurez quand l’orienter à l’urgence pour qu’il y reçoive un traitement par voie intraveineuse.

Voir en ligne : Sylvie Côté et Amy Fraser | Hôpital Maisonneuve-Rosemont.

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L’infection cutanée, un onguent ? une pilule ? une injection ?

Devant un patient présentant une rougeur, une éraflure douteuse ou un exsudat cutané, vous n’hésite- rez plus ! Vous atteindrez vos objectifs d’optimiser le suivi, le traitement et la prévention des complica- tions. Et vous saurez quand l’orienter à l’urgence pour qu’il y reçoive un traitement par voie intraveineuse.

Voir en ligne : Sylvie Côté et Amy Fraser

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L’influence de l’obésité infantile sur le développement de l’estime de soi

Les répercussions du surpoids infantile sur la santé physique ont suscité beaucoup d’attention, mais les études de ses répercussions sur la santé mentale sont assez peu nombreuses. Le présent article porte sur les relations longitudinales entre le poids corporel et l’estime de soi chez un échantillon probabiliste représentatif de la population nationale d’enfants canadiens.

Voir en ligne : Statistique Canada

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L’information du patient, son importance, ses conséquences, droits et devoirs de chacun

Historiquement la relation médecin malade était basée sur un rapport d’autorité. Pour Hippocrate le malade ignorant doit se soumettre aux conseils du médecin sachant car ayant reçu l’enseignement de ses maîtres. Le malade affaibli par la maladie est d’autant plus dépendant que son jugement s’en trouve perturbé… Cependant il faut se rappeler que les techniques de communication ne sont que des moyens qui facilitent la communication, pour arriver à ce qu’Hippocrate avait annoncé : Guérir, parfois … Soulager, souvent… Consoler (accompagner) toujours.

Voir en ligne : CNOM - Conseil National de l’Ordre des Médecins

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L’information médcale : vécu des enfants et des parents

L’analyse du vécu des parents et des enfants vis-à-vis de l’information médicale et de la communication permet de connaître leurs besoins et leurs demandes. L’information est un phénomène transactionnel interactif complexe. Elle met en jeu l’autonomie de l’enfant et de sa famille. Ils ont le droit de savoir. Mais il apparaît que, parfois, ils ne veulent pas tout savoir, ou ne veulent pas trop savoir. Il apparaît même que, pour certains, trop savoir est un facteur de stress. Respecter l’enfant et sa famille signifie leur permettre de savoir ce dont ils ont besoin. Ils doivent savoir qu’il n’y a pas de raison de ne pas tout leur dire. La connaissance de ces données permet aux équipes soignantes de mieux se positionner dans cet exercice quotidien, incontournable et parfois périlleux de l’information au malade et à sa famille. Le fait est qu’il n’y a aucune raison morale ou psychologique pour penser que des parents et leur enfant ne soient pas capables d’assumer des informations les concernant. « Les enfants et leurs parents ont le droit de recevoir une information sur la maladie et les soins adaptée à leur âge et leur compréhension, afin de participer aux décisions les concernant » (Charte de l’enfant hospitalisé. Unesco, OMS, 1989 \ ; art. 4).

Voir en ligne : Pierre Canouï - Hôpital Necker-Enfants Malades


L’information médicale : vécu des enfants et des parents

L’analyse du vécu des parents et des enfants vis-à-vis de l’information médicale et de la communication permet de connaître leurs besoins et leurs demandes. L’information est un phénomène transactionnel interactif complexe. Elle met en jeu l’autonomie de l’enfant et de sa famille. Ils ont le droit de savoir. Mais il apparaît que, parfois, ils ne veulent pas tout savoir, ou ne veulent pas trop savoir. Il apparaît même que, pour certains, trop savoir est un facteur de stress. Respecter l’enfant et sa famille signifie leur permettre de savoir ce dont ils ont besoin. Ils doivent savoir qu’il n’y a pas de raison de ne pas tout leur dire. La connaissance de ces données permet aux équipes soignantes de mieux se positionner dans cet exercice quotidien, incontournable et parfois périlleux de l’information au malade et à sa famille. Le fait est qu’il n’y a aucune raison morale ou psychologique pour penser que des parents et leur enfant ne soient pas capables d’assumer des informations les concernant. « Les enfants et leurs parents ont le droit de recevoir une information sur la maladie et les soins adaptée à leur âge et leur compréhension, afin de participer aux décisions les concernant » (Charte de l’enfant hospitalisé. Unesco, OMS, 1989 \ ; art. 4).

Voir en ligne : Pierre Canouï - Hôpital Necker-Enfants Malades

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L’Institut de veille sanitaire signale 8 nouveaux décès liés à la grippe A (H1N1) 2009

Depuis le dernier bulletin épidémiologique du 3 novembre 2009, 8 nouveaux décès attribués au virus A (H1N1) 2009 ont été signalés. L’augmentation des décès comme celle des cas graves sont parallèles à l’intensification de la circulation du virus A (H1N1) 2009 constatée ces trois dernières semaines en métropole. Depuis le début de l’épidémie, 155 patients présentant des tableaux sévères ont été hospitalisés en réanimation.

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire

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L’institut de veille sanitaire vient de mettre à jour la définition de cas pour les cas d’infection à nouveau Coronavirus.

Est considéré comme un cas possible toute personne ayant voyagé ou séjourné dans les pays listés ci-dessous (1), qui, au cours des 10 jours après son retour, a présenté des signes cliniques et/ou radiologiques de détresse respiratoire aigüe (SDRA) ou d’infection du parenchyme pulmonaire, avec une fièvre ≥38°C et de la toux, sans autre étiologie identifiée pouvant expliquer la pathologie. Pour les personnes immunodéprimées ou présentant une pathologie chronique, il faut considérer également la survenue d’un syndrome fébrile avec diarrhée et/ou tableau clinique sévère. Si vous êtes en présence d’un cas suspect lors de vos consultations, il vous est recommandé de mettre en place toutes les mesures de protection, en particulier, si cela est possible, d’isoler le patient. De plus, il est recommandé de ne pas adresser le patient directement au SAU mais de prendre contact systématiquement avec le SAMU-Centre 15 pour assurer la prise en charge et le transport dans les meilleures conditions de sécurité sanitaire et pour une hospitalisation directe en service spécialisé.
(1) Arabie Saoudite, Bahreïn, Emirats Arabes Unis, Irak, Iran, Israël, Jordanie, Koweït, Liban, Oman, Qatar, Syrie, Territoires palestiniens occupés, Yémen.

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire

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L’interruption volontaire de grossesse (IVG) en France

Chaque année, 210 000 femmes, majeures ou mineures, choisissent d’interrompre leur grossesse en France. Quelle qu’en soit la raison, le délai légal pour avorter est actuellement fixé à douze semaines. Une femme enceinte, qui estime que sa grossesse la place dans une situation de détresse, peut demander une interruption volontaire de grossesse (IVG) La femme concernée est seule juge de son état : elle seule peut donc en faire la demande. La pratique de l’IVG est réglementée et plusieurs étapes doivent être respectées avant et après l’intervention. Celle-ci doit, par ailleurs, être réalisée par un médecin

Voir en ligne : Ameli Santé

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L’obésité et l’économie de la prévention : Objectif santé

L’obésité est une préoccupation majeure pour les pays de l’OCDE dans le domaine de la santé. Exploitant un large éventail de données émanant des pays de l’OCDE, de niveau individuel et pour l’ensemble de la population, cet ouvrage présente des analyses de tendances de l’obésité, explore les facteurs complexes qui causent l’épidémie et développe une évaluation de l’impact des interventions engagées pour lutter contre ce problème.

Voir en ligne : Portail Santé - Grand-Duché de Luxembourg

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L’obésité serait contagieuse !

Le nombre de cas d’obésité ne cesse d’augmenter depuis les dernières décennies. On qualifie même cette maladie d’épidémie. Plusieurs explications ont été proposées afin d’élucider ce phénomène, y compris des changements de société qui encouragent tout autant l’inactivité physique que la surconsommation d’aliments.

Voir en ligne : Extenso- Nutrim

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L’OMS demande instamment aux pays de prendre des mesures pour combattre la résistance aux antimicrobiens

On reconnaît de plus en plus que la résistance aux antimicrobiens – la capacité des micro-organismes à trouver des moyens d’échapper à l’action des médicaments utilisés pour traiter les infections qu’ils provoquent – est un problème mondial de santé publique, susceptible d’entraver la lutte contre de nombreuses maladies infectieuses.

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé

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L’Ostéoporose

(OP) est une maladie caractérisée par une masse osseuse basse, et une détérioration de la l’architecture microscopique du tissu osseux. Ce qui mène à une fragilité osseuse augmentée, et par conséquent un risque de fractures augmenté. D’autres définitions existent, qui parlent de densité osseuse et un T-score >- 2,5 ou > -1,5 de l’ostéodensitométrie ; ces définitions ne sont pas acceptés unanimement.

Voir en ligne : Conseil Scientifique du Luxembourg

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Maigrir : Etude comparative de différents régimes

Le rôle joué par une alimentation dans la prévention des maladies et la promotion de la santé est reconnu depuis longtemps par la médecine réventive.

Voir en ligne : Prof. Felix Gutzwiller - Directeur de l’Institut de médecine sociale et préventive de l’Université de Zurich

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Maison médicale - Conseils étatsuniens pour créer une maison médicale

Ces maisons seraient, selon un article récent étatsunien, censées augmenter le revenu des médecins, par une meilleure productivité et une meilleure efficacité. Si on cite des termes de l’article : "commencez par augmenter les recettes et vous obtiendrez des soins de meilleure qualité..." Nous sommes donc aux Etats-Unis.

Voir en ligne : CNRS

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Maîtrise de la diffusion des bactéries multirésistantes aux antibiotiques

La maîtrise de la résistance bactérienne aux antibiotiques est une priorité de santé publique qui nécessite des actions concertées, tant en médecine de ville que dans les établissements de santé. La prévention de la transmission croisée et la réduction de la pression de sélection, par un usage rationnel des antibiotiques, en sont les deux composantes essentielles.

Voir en ligne : Ministère de l’Emploi et de la Solidarité - Secrétariat d’Etat à la Santé et à l’action sociale - Comité technique national des infections nosocomiales

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Mal de dos

Les douleurs dans le bas du dos, également appelées lumbago, affectent 7 personnes sur 10 à un moment ou à un autre de leur vie. Une douleur dans le bas du dos signifie une douleur à n’importe quel endroit de votre dos entre le bas des côtes et le haut des jambes. Cette douleur peut arriver brusquement, lentement ou résulter directement d’une chute ou d’une blessure. Le mal de dos est courant et, généralement, n’est pas grave. Dans la plupart des cas, la douleur dure de quelques jours à quelques semaines et, habituellement disparaît après environ six semaines.

Voir en ligne : NHS

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Mal de gorge

Le mal de gorge est un symptôme ayant de multiples causes. Il est très souvent le symptôme d’une infection appelée pharyngite ou amygdalite. Il s’agit habituellement d’une infection virale (le rhume) accompagnée d’un nez qui coule, de toux et parfois d’une légère fièvre. Elle ne nécessite alors aucun traitement particulier et guérit spontanément en 4 à 10 jours.

Voir en ligne : Guide Santé du gouvernement Québécois

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Mal de gorge et amygdalite

Votre enfant souffre d’un mal de gorge (pharyngite) quand il se plaint que celle-ci est douloureuse. Sa gorge peut alors être sèche ou sensible ou le démanger. La pharyngite et l’amygdalite sont des infections douloureuses de la gorge. On parle d’amygdalite si ce sont principalement les amygdales qui font mal et de pharyngite si c’est surtout la gorge qui est douloureuse.

Voir en ligne : AboutKidsHealth

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Mal des transports - bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance

Pathologie fréquente et bénigne, le mal des transports (cinétose) désigne la sensation nauséeuse, communément appelée « mal de mer » mais qui peut être provoquée aussi bien par un déplacement en bateau qu’en voiture, voire parfois en train ou en avion.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Maladie à virus Ebola : informations à destination des professionnels de santé

En situation d’épidémie dans une zone géographique identifiée (jusqu’à ce jour toutes les épidémies ont eu lieu en Afrique), le risque de survenue, en France, d’un cas importé maladie à virus Ebola devenant symptomatique dans les 3 semaines qui suivent le retour est jugé faible mais ne peut être totalement exclu. L’existence d’une épidémie dans une zone géographique identifiée ne doit pas faire oublier que d’autres pathologies infectieuses fébriles peuvent se déclarer au retour avec une probabilité supérieure à celle de la maladie à virus Ebola.

Voir en ligne : Ministère des Affaires sociales et de la Santé

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Maladie coronaire • Conditions d’exonération du ticket modérateur

L’athérosclérose représente la cause habituelle sinon exclusive (maladies de "système", maladies de Kawasaki, Takayashu…) de la maladie coronaire. Malgré les progrès thérapeutiques récents, la maladie artérielle coronaire reste une affection grave dont les complications aiguës en rapport avec une "déstabilisation" de plaque sont en partie imprévisibles. De ce fait, toute ischémie myocardique segmentaire, symptomatique et objectivement documentée, est justiciable de l’exonération du ticket modérateur.

Voir en ligne : AMELI Assurance Maladie En Ligne

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Maladie cœliaque : encore sous-diagnostiquée

Avec une prévalence de 0,05 à 1% la maladie cœliaque toucherait en Europe environ 2 millions de personnes. Souvent pauci-symptomatique voire totalement silencieuse, la maladie cœliaque souffre d’un retard de diagnostic à l’origine de complications telles que le retard de croissance chez l’enfant, l’ostéoporose, l’infertilité, voire dans les cas les plus graves des tumeurs malignes. Cette maladie apparait à tout âge avec cependant deux pics de prévalence : chez l’enfant entre 6 mois et 2 ans puis chez l’adulte entre 20 et 40 ans. Les personnes prédisposées aux maladies dysimmunitaires (DID, thyroïdite...) sont plus à risque de développer une maladie coeliaque. La HAS (Haute Autorité de Santé) et l’ESPGHAN (European Society of Paediatric Gastroenterology, Hepatology and Nutrition) ont mis en place des recommandations pour améliorer le diagnostic souvent trop tardif.

Voir en ligne : FC2M

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Maladie d’Alzheimer : une nouvelle recommandation HAS pour le diagnostic et la prise en charge

La Haute Autorité de Santé a actualisé sa recommandation « Diagnostic et prise en charge de la maladie d’Alzheimer et des maladies apparentées » publiée en mars 2008 et retirée par la HAS en mai 2011(1). La HAS publie aujourd’hui une version révisée par un nouveau groupe de travail qui tient compte des évolutions récentes autour de la prise en charge de la maladie, notamment les nouvelles conclusions de la Commission de la Transparence de la HAS sur les traitements médicamenteux ainsi qu’une définition du parcours de soins des patients . Cette recommandation s’intègre aux mesures du Plan Alzheimer 2008-2012.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Maladie de Creutzfeldt-Jakob et maladies à prions

Les maladies à prions, qui fascinent depuis des années quelques chercheurs particulièrement curieux, ont fait une brusque apparition sur la scène médiatique en raison de l’émergence de l’Encéphalopathie Spongiforme Bovine (ESB), connue sous le nom de "maladie de la vache folle". L’hypothèse, certes non démontrée mais très fortement suspectée, d’une transmission possible de cette maladie à l’homme a considérablement stimulé la recherche dans ce domaine. Il est vrai que cette hypothèse, d’une transmission de la maladie par un agent très peu conventionnel, une protéine dite prion, bouleverse profondément les dogmes de la biologie. L’histoire du prion est avant tout une passionnante aventure scientifique dont le chemin est encore pavé de multiples incertitudes.

Voir en ligne : FRM Fondation pour la Recherche Médicale

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Maladie de Crohn

  • Quelles sont les localisations digestives les plus fréquentes dans la maladie de Crohn ?
  • Quel est l’aspect caractéristique des lésions d’une maladie de Crohn ?
  • Quels symptômes peuvent faire évoquer une maladie de Crohn ?
  • Quels sont les signes radiologiques d’une maladie de Crohn ?
  • Quelle est l’évolution d’une maladie de Crohn ?
  • Quels sont les principes du traitement dans la maladie de Crohn ?
  • Quelles sont les conséquences d’une résection étendue de l’intestin grêle ?

Voir en ligne : Collège des enseignants d’hépato-gastroentérologie.

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Maladie de Hodgkin

La maladie de Hodgkin, cancer ganglionnaire identifié à Londres par Thomas Hodgkin en 1832, a été quasi constamment fatale jusque dans les années 1960. Actuellement, à la condition d’un diagnostic, d’un classement initial adéquat et d’une stratégie thérapeutique adaptée, la maladie de Hodgkin peut guérir dans la très grande majorité des cas.

Voir en ligne : J.M. Andrieu et P.Colonna

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Maladie de Hodgkin et lymphomes non hodgkiniens

Les lymphomes sont des tumeurs malignes développées à partir du système lymphatique, qui participe aux réactions de défense de l’organisme et comprend : • des cellules, les lymphocytes*, qui ont un rôle prépondérant dans les réactions de défense immunitaire. Une partie de ces cellules circule dans le sang, d’autres sont réparties dans divers endroits de l’organisme tels les ganglions lymphatiques, les amygdales, la muqueuse intestinale, la rate... • un réseau lymphatique fait de fins vaisseaux transportant ces cellules dans un liquide translucide, le liquide lymphatique ou lymphe.

Voir en ligne : Ligue nationale contre le cancer

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Maladie de Horton

Il s’agit d’une maladie du sujet âgé, c’est une panartérite segmentaire, inflammatoire et subaiguë qui atteint habituellement l’extrémité céphalique mais qui peut aussi altérer les gros troncs artériels. Il s’agit d’une pathologie relativement fréquente, mais, si on soupçonne son origine dysimmunitaire, on ne connaît pas bien son étiopathogénie (son origine). Cette maladie présente un pic de fréquence vers 75-80 ans, et atteint de façon un peu préférentielle les femmes.

Voir en ligne : SNOF Syndicat National des Ophtalmologistes de France

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Maladie de Horton ou artérite temporale

La maladie de Horton, panartérite inflammatoire subaiguë, a pour complication principale la cécité qui peut survenir brutalement et constitue volontiers le premier signe, en l’absence de corticothérapie. Le traitement doit être précoce et prolongé, les rechutes étant fréquentes dans cette affection.

Voir en ligne : Lasik

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Maladie de Lyme

Il s’agit d’une infection due à un spirochète appelé Borrelia, transmis par une piqûre de tique et qui entraîne, sans traitement, des troubles pathologiques divers (dermatologiques, arthritiques, cardiaques, neurologiques et parfois oculaires). Ce spirochète est similaire à celui qui donne la syphilis ; d’ailleurs sur le plan sérologique les deux maladies donnent des réactions croisées. C’est la maladie à vecteur la plus fréquente aux USA et dans certains pays tempérés de l’hémisphère Nord.

Voir en ligne : Syndicat National des Ophtalmologistes de France

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Maladie de Lyme

C’est une zoonose de loisir rencontrée sur tout le territoire. C’est une bactérie de la famille des spirochètes, du genre Borrelia. Vecteur. La tique du genre Ixodes est le vecteur de la borréliose. Le réservoir est très vaste. Les animaux de nombreuses espèces de mammifères (cervidés, bétail, petits rongeurs, chiens) peuvent rester porteurs de Borrelia pendant de longues périodes de leur vie sans manifestation.

Voir en ligne : Ministère de l’agriculture

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Maladie de Lyme et autres maladies transmises par les tiques : renseignements à l’intention des professionnels de la santé

La maladie de Lyme est une grave infection causée par la bactérie Borrelia burgdorferi, qui se transmet par la morsure de tiques à pattes noires. L’Agence de la santé publique du Canada (Agence), en partenariat avec les autorités provinciales et territoriales de la santé publique, mène des activités de surveillance de la maladie de Lyme au Canada ; des études démontrent que l’incidence de cette maladie est à la hausse au pays. Des tiques porteuses de la bactérie se trouvent dans plusieurs des régions du sud du Canada et de nouveaux secteurs à risque apparaissent dans certaines régions du sud du Manitoba, de l’Ontario, du Québec, du Nouveau-Brunswick et de la Nouvelle-Écosse.

Voir en ligne : ’Agence de la santé publique du Canada

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Maladie de Morton, la rage d’orteil !

Une douleur aiguë, fulgurante même, peut vous prendre lors d’une marche banale, et vous obliger à vous déchausser et à vous masser l’avant du pied. La douleur s’en va mais tend à se reproduire après un certain temps de marche, volontiers en terrain irrégulier et si vous portez des chaussures un peu serrées. Dans d’autres cas, la douleur est plus permanente, comparable à une rage de dents, naissant à la base des orteils, irradiant à leur extrémité et remontant sur le dos du pied.

Voir en ligne : rhumatopratique

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Maladie de Paget osseuse

La maladie de Paget osseuse est une ostéodystrophie bénigne, pouvant affecter un ou plusieurs os.
La maladie de Paget, exceptionnelle avant 40 ans, affecterait 3 % de la population au-delà de cet âge. Sa prévalence augmente avec le vieillissement pour atteindre environ 10 % des sujets de 80 ans. La maladie de Paget affecte plus souvent l’homme que la femme, avec un sex ratio entre 1,1 et 1,9.

Voir en ligne : COFER - Collège Français des Enseignants en Rhumatologie

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Maladie de Parkinson, le coupable est démasqué

Injectée en petites quantités dans le cerveau d’animaux, la forme « malade » d’une protéine nommée α-synucléine déclenche à elle seule la neurodégénérescence associée à la maladie de Parkinson. C’est ce que viennent de démontrer des chercheurs de l’Inserm.

Voir en ligne : INSERM

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Maladie de Parkinson. Concepts et traitements en évolution

Depuis l’identification de cette maladie par James Parkinson en 1817, le traitement de la maladie de Parkinson (MP) a insisté sur la réduction des symptômes moteurs, qu’on a éventuellement pu attribuer à un manque de dopamine dans des zones précises du cerveau. Ce n’est qu’au milieu des années 1960 que le remplacement de la dopamine est devenu une réalité pratique avec l’avènement de la lévodopa.

Voir en ligne : Le Collège des médecins de famille du Canada

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Maladie des griffes du chat

"Quel agent responsable ? Quelle maladie chez l’homme ? Quelle maladie chez l’animal ? Quelles mesures collectives de prévention ? Quelle conduite à tenir pour éviter d’être contaminé ?

Voir en ligne : Ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation, de la Pêche et des Affaires rurales

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Maladie des griffes du chat et autres bartonelloses

Les infections à Bartonella doivent être évoquées face à des tableaux cliniques très différents : la maladie des griffes du chat en cas d’adénopathie et de contact avec un chat ; la bactériémie chronique chez tout sans-abri même asymptomatique ; l’endocardite lors d’endocardite à hémocultures négatives ; l’angiomatose bacillaire et la péliose hépatique chez les patients immunosupprimés avec de la fièvre et la maladie de Carrion dans la population native des Andes et chez les touristes fébriles au retour de ces régions. Le test diagnostique de choix (sérologie, culture, PCR) dépend du type de bartonellose et du status immunitaire du patient. Le traitement est à adapter à chaque situation clinique.

Voir en ligne : Article de N. Boillat G. Greub - Revue Médicale Suisse

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Maladie diverticulaire du colon

Affection extrêmement répandue dans les pays occidentaux.

  • Un diverticule est une hernie de la muqueuse et de la sous-muqueuse au travers de la musculature colique.
  • 5% des patients présenteront une complication de leur diverticulose.

Voir en ligne : Pr. Gosselin

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Maladie du charbon

Le charbon (" anthrax " en anglais, à ne pas confondre avec le terme français anthrax qui désigne une infection à staphylocoque) est une anthropozoonose due à Bacillus anthracis, bacille à Gram positif, germe tellurique existant sous forme sporulée dans l’environnement et végétative chez son hôte. La maladie survient surtout chez les animaux herbivores, infectés par l’ingestion de spores présentes dans le sol des pâtures.

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire

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Maladie hémorroïdaire

La maladie hémorroïdaire correspond à une dilatation veineuse progressive dans la région du canal anal. Elle représente une cause fréquente de consultation en médecine générale et en gastro-entérologie, puisqu’elle touche près de 50% de la population de plus de 50 ans. La maladie hémorroïdaire correspond à une dilatation veineuse progressive par dysplasie. Les facteurs favorisants sont : la constipation, la grossesse, la station debout prolongée, les repas épicés, les antécédents familiaux.

Voir en ligne : J-L. Faucheron - faculté de Médecine de Grenoble

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Maladie périodique ou Fièvre Méditerranéenne Familiale

Qu’est-ce que la maladie périodique ?
La maladie périodique est une maladie génétique qui se caractérise par des accès de fièvre répétés, souvent accompagnés de douleurs principalement abdominales, et/ou articulaires, et/ou thoraciques. Cette maladie est beaucoup plus fréquente dans les populations d’origine méditerranéenne, c’est pourquoi elle est également appelée fièvre méditerranéenne familiale (FMF).

Voir en ligne : Integrascol.fr

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Maladie thromboembolique veineuse

Il faut envisager la maladie thromboembolique sous ses aspects de thrombose veineuse et d’embolie pulmonaire comme une maladie unique car l’embolie pulmonaire survient dans près de 50% des thromboses veineuses profondes proximales, le plus souvent de manière asymptomatique. Elle constitue une maladie fréquente, entachée d’une mortalité, d’une morbidité etd’un coût économique majeurs.

Voir en ligne : Professeur Philippe HAINAUT - Médecine Interne Générale - Cliniques Universitaires St Luc - 1200 BRUXELLES

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Maladie veineuse thromboembolique et grossesse : diagnostic et prise en charge

La grossesse et le post-partum exposent à un risque accru de maladie veineuse thromboembolique (MVTE). L’incidence de la MVTE a pu être estimée à environ 6 cas pour 10 000 grossesses [1, 2], soit une multiplication au moins par 2 du risque veineux thromboembolique par rapport aux femmes du même âge non enceintes. Si celle-ci reste une complication rare, elle est la première cause de mortalité pendant la grossesse et le post-partum. Les événements thrombotiques surviennent plus fréquemment au cours de la grossesse (deux tiers des cas) que pendant le post-partum (un tiers des cas), le troisième trimestre est le plus à risque (50 % des cas, contre 20 % et 30 % des cas au cours des premier et deuxième trimestres respectivement [2]). Les trois éléments de la triade de Virchow sont présents au cours de la grossesse :

Voir en ligne : Grégoire Le Gal, Marc Righini, Elisabeth Pasquier, Dominique Mottier - Département de médecine interne et de pneumologie, CHU de Brest, Hôpital cantonal, Hôpitaux universitaires de Genève, Suisse

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Maladies à déclaration obligatoire : Dengue (surveillance)

Dans les départements où le moustique Aèdes albopictus est présent, un dispositif de signalement des cas suspects et de confirmation biologique a été mis en place. Outre une vigilance accrue au niveau des Alpes-Maritimes, la conduite à tenir en cas de suspicion de cas de dengue ou de chikungunya demeure inchangée. Les outils de signalement et de prélèvement des cas suspects de dengue ou de chikungunya sont disponibles sur le site de l’Institut de veille sanitaire au lien suivant (rubrique « signalement des cas suspects de dengue dans les départements métropolitains avec implantation du moustique vecteur »)

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire

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Maladies diverticulaires

• Hernie de muqueuse en forme de sac, à travers la paroi musculaire du colon [25]
• Cette hernie se produit dans les endroits faibles de la paroi intestinale, où les vaisseaux sanguins peuvent pénétrer.
• Taille typique 5–10 mm
• Les diverticules sont en réalité de pseudo (faux) diverticules puisqu’ils ne sont formés que de muqueuse et de sous-muqueuse, couvertes de séreuse.

Voir en ligne : World Gastroenterology Organisation Practice Guidelines

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Maladies du coeur

En France, on compte plus de 120 000 infarctus du myocarde par an (appelés aussi “crises cardiaques”), qui sont à l’origine de 50 000 décès. Pourtant, il est possible de limiter les risques en mangeant sain, équilibré et en pratiquant une activité physique régulière.

Voir en ligne : La santé pour tous - INPES

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Maladies gastro-intestinales associées à un voyage à l’étranger

Chaque année, des milliers de Canadiens en quête de soleil rapportent de leur voyage davantage que de beaux souvenirs. Nausées, crampes abdominales, vomissements et diarrhée peuvent être quelques uns des effets désagréables d’un séjour sous les tropiques. Bon nombre de voyageurs courent un risque élevé de contracter une maladie gastro-intestinale dans une destination tropicale ou sub-tropicale. La diarrhée, aussi appelée « tourista », est le problème médical le plus fréquent des Canadiens voyageant dans des pays en développement et autres destinations touristiques. La diarrhée des voyageurs est une infection intestinale causée par des bactéries, des parasites ou des virus transmis par l’eau ou les aliments contaminés.

Voir en ligne : Agence de la santé publique du Canada

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Maladies inflammatoires cryptogénétiques de l’intestin

Le terme de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) est une appellation générale désignant un ensemble de lésions inflammatoires chroniques, d’étiologie inconnue, atteignant le tractus digestif. Ces affections sont récidivantes, atteignent certains segments du tube digestif avec des manifestations cliniques variées et souvent une évolution chronique peu prévisible. Ce terme recouvre la rectocolite hémorragique et la maladie de Crohn. Les lésions inflammatoires sont secondaires à une activation du système immunitaire intestinal en amont duquel des facteurs environnementaux (mode de vie, germes intestinaux, virus) et génétique (prédisposition) commencent à être mieux connus.

Voir en ligne : Dr J. Fournet - Faculté de médecine de Grenoble

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Maladies inflammatoires de l’intestin

Les anti-inflammatoires COX-2 spécifiques paraissent être délétères dans les maladies inflammatoires de l’intestin au même titre que les AINS non sélectifs. L’utilisation de stéroïdes, d’immunomodulateurs ou d’infliximab dans la phase préopératoire ne semble pas augmenter les complications postopératoires. Des cas ont été rapportés de réactivation d’une hépatite B chronique après perfusion d’infliximab, suggérant que l’on devrait vérifier le status sérologique de l’hépatite B avant perfusion d’infliximab. L’adalimubab, un anticorps complètement humain dirigé contre le TNF-a, est efficace chez les patients qui ont perdu la réponse ou ne tolèrent plus l’infliximab. Il n’est pas encore disponible sur le marché pour l’indication de maladie de Crohn. L’aphérèse leucocytaire semble prometteuse dans la colite ulcéreuse.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Maladies sexuellement transmissibles : utérites, cervicites [ 2001 ]

Cette stratégie s’adresse à une partie des maladies sexuellement transmissibles (MST), soit les urétrites et cervicites. Les germes principaux responsables d’urétrite sont le Neisseria gonorrheae et Chlamydia trachomatis, plus rarement, l’Ureaplasma urealyticum et le Trichomonas vaginalis...

Voir en ligne : HUG Hôpitaux Universitaires de Genève Suisse

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Maladies transmises sexuellement : L’herpès génital

L’herpès génital est une infection due a un virus très proche de celui qui cause les boutons de fièvre autour de la bouche. Elle provoque des lésions dans la région génitale. La personne infectée demeure porteuse du virus pendant toute sa vie et peut subir plusieurs récidives.

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Soins de longue durée de l’Ontario

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Malaria ou paludisme

La malaria est une maladie infectieuse très grave, parfois mortelle, causée par un parasite, le plasmodium. Il existe plusieurs familles de plasmodium, donnant des formes de malaria de gravité variable. Le parasite le plus dangereux et le plus résistant aux médicaments est le Plasmodium falciparum. On estime que la malaria atteint, à travers le monde, de 300 à 500 millions de personnes chaque année, dont environ un million en meurent. On retrouve cette maladie dans de nombreux pays d’Asie, d’Afrique, d’Amérique tant du Sud que du Nord (Mexique) et des Caraïbes (République Dominicaine et Haïti). Les populations locales ont développé au cours des siècles une résistance partielle à la malaria ; les voyageurs sont souvent beaucoup plus malades.

Voir en ligne : Portail Québec

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Mammographie de dépistage pour les femmes âgées de 40 à 49 ans ?

Cette étude d’une large cohorte montre qu’un dépistage systématique du cancer du sein par mammographie chez des femmes âgées de 40 à 49 ans inclus permet de faire diminuer la mortalité liée à ce cancer. Un contrôle pour les différents risques de biais n’est pas possible et l’ampleur d’effet exacte ne peut être estimée. Il faut également tenir compte d’une augmentation importante du nombre de faux positifs et de faux négatifs dans ce groupe d’âge

Voir en ligne : Minerva | Revue d’Evidence-Based Medicine

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Manger du poisson : Pourquoi ? Comment ?

Le poisson possède des qualités nutritionnelles précieuses qui en font un invité de choix des menus de toute la famille. Autant que la viande, il est une excellente source de protéines. Il compte aussi des matières grasses, en quantité variable selon l’espèce, qui sont des sources d’oméga 3 dits « à longue chaîne » (EPA, acide eicosapentaénoïque et DHA, acide docosahexaénoique) qui préviennent des maladies cardio-vasculaires et sont nécessaires au développement et au fonctionnement de la rétine, du cerveau et du système nerveux. Parmi les poissons gras, certains contiennent davantage d’oméga 3 à longue chaine et sont donc particulièrement intéressants au plan nutritionnel.

Voir en ligne : AFSSA Agence française de sécurité sanitaire des aliments

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Manuel de prise en charge des enfants en situation d’urgence humanitaire

Ces lignes directrices mettent l’accent sur les soins prodigués au cours des phases aiguës et chroniques des situations d’urgence. La phase aiguë d’une situation urgence est caractérisée par le taux de mortalité brut et persiste tant que ce taux de mortalité brut est au moins le double du taux de mortalité initial, c’est-à-dire tant qu’il y a deux fois plus de personnes qui décèdent par jour qu’en temps normal. Dans l’Afrique subsaharienne, ce seuil est établi à un décès par 10 000 personnes par jour.

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé

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Manuel de prise en charge des enfants en situation d’urgence humanitaire

Ces lignes directrices mettent l’accent sur les soins prodigués au cours des phases aiguës et chroniques des situations d’urgence. La phase aiguë d’une situation urgence est caractérisée par le taux de mortalité brut et persiste tant que ce taux de mortalité brut est au moins le double du taux de mortalité initial, c’est-à-dire tant qu’il y a deux fois plus de personnes qui décèdent par jour qu’en temps normal. Dans l’Afrique subsaharienne, ce seuil est établi à un décès par 10 000 personnes par jour.

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé


Marqueurs cardiaques dans la maladie coronarienne et l’insuffisance cardiaque en médecine ambulatoire

Dans le cadre de la réforme de la biologie et de la maîtrise médicalisée des volumes des actes fréquents, l’objectif de cette évaluation est de préciser les indications et non indications des marqueurs cardiaques dans la prise en charge de la maladie coronarienne et de l’insuffisance cardiaque en médecine ambulatoire

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Matignon veut promouvoir une médecine de proximité ...

La stratégie nationale de santé présentée vendredi par le premier ministre reste encore floue. Le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a détaillé, ce vendredi à Grenoble, la nouvelle stratégie nationale de santé que son gouvernement entend mettre en œuvre. Détailler est cependant un bien grand mot, car il faut lire entre les lignes pour deviner les conséquences concrètes de ces changements à venir. Visiblement, le premier ministre est moins enthousiasmé par les « maisons de santé » (regroupement en un même lieu de plusieurs catégories de soignants exerçant en libéral) que ne l’était le précédent gouvernement. Il préfère la notion de « pôle de santé » ou, plus largement, de « médecine de proximité » qui « implique », selon lui, « de revoir nos modes de financement pour inciter au travail collectif ».

Voir en ligne : Le Figaro


Maux de tête

Les maux de tête peuvent avoir plusieurs causes, dont l’hypertension, une infection, une allergie, une blessure, la faim, un changement dans la circulation sanguine au cerveau (migraine) ou un contact avec des produits chimiques.

Voir en ligne : Corporation des sciences de la santé de l’Atlantique

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Médecine esthétique Attention aux techniques de lyse adipocytaire

Après avoir été informée de la survenue de complications liées à la réalisation d’actes de lyse adipocytaire à visée esthétique, la Direction Générale de la Santé (DGS) a saisi la Haute Autorité de Santé afin d’évaluer les risques liés à ces techniques. La HAS rend aujourd’hui ses conclusions. Une forte demande de solutions pour affiner la silhouette a favorisé, le développement de techniques de lyse adipocytaire destinées à réduire le nombre de cellules graisseuses. Ces techniques utilisées à des fins esthétiques sont proposées en alternative aux méthodes chirurgicales car moins invasives et moins onéreuses que la chirurgie esthétique.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Médecine Générale 2.0 - Les propositions des médecins blogueurs

Ce document présente des propositions pour résoudre le problème des déserts médicaux et donner un nouvel élan à la médecine générale. Il est publié simultanément sur 24 blogs de médecins généralistes.

Voir en ligne : http://drfoulard.fr/wp-content/uplo...

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Médecins traitants : Acteurs de la prévention du cancer de l’estomac

Le cancer de l’estomac représentait, en France en 2011, 6 438 cas de cancers et 4 433 décès1. Au moins 80 % des cancers de l’estomac sont dus à la bactérie Helicobacter pylori (la plupart des 20 % restants sont des cancers du cardia associés au reflux gastro-oesophagien). Cette infection persistante s’acquiert pendant l’enfance par transmission oro-orale. Elle toucherait en France de 20 à 50 % de la population avec une prévalence de 50 % pour les populations les plus âgées. Elle n’induit que rarement le développement d’un cancer de l’estomac (dans environ 1 % des cas). En revanche, certaines populations infectées par la bactérie Helicobacter pylori ont un risque de cancer de l’estomac plus important que d’autres comme les apparentés au 1er degré (parents, frères/soeurs, enfants) d’un patient ayant eu un cancer de l’estomac.

Voir en ligne : L’Institut National du Cancer

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Médicaments antalgiques

Parallèlement au traitement de la tumeur, les douleurs peuvent être atténuées ou supprimées par des analgésiques. Dans ce cas, on s’attaque non pas à la cause, mais au symptôme.
L’objectif de l’antalgie est, dans le meilleur des cas, l’élimination complète des douleurs, ce qui est possible dans 80 à 90 % des cas. Toutefois, les peurs, les préjugés et le manque d’information empêchent les intéressés et leurs proches, voire les spécialistes, d’exploiter toutes les possibilités actuelles.

Voir en ligne : www.prevention.ch

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Médicaments antihypertenseurs agissant sur le système rénine-angiotensine : rappels des précautions d’emploi et des règles de bon usage

La modification du système rénine-angiotensine[1] est un des moyens pour lutter contre l’hypertension artérielle (HTA) et l’insuffisance cardiaque. Elle peut être obtenue par trois grandes classes thérapeutiques : les inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine (IEC), les antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II (ARA II ou sartans) et les inhibiteurs directs de la rénine (aliskirène). Les deux premières classes thérapeutiques sont principalement indiquées dans le traitement de l’hypertension artérielle essentielle et dans l’insuffisance cardiaque, quand la troisième n’a d’indication retenue que dans l’hypertension artérielle essentielle.

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

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Médicaments contenant des fibrates - L’Agence européenne des médicaments recommande leur utilisation en deuxième intention

L’Agence européenne des médicaments a procédé à la réévaluation des médicaments appartenant à la classe des fibrates, indiqués dans le traitement des taux élevés de lipides dans le sang. Leur conclusion confirme l’avis rendu par le groupe de travail européen de pharmacovigilance de 2005, c’est-à-dire que le rapport bénéfice/risque de ces médicaments reste favorable, mais que leur utilisation doit intervenir en deuxième intention, lorsqu’un traitement par statine est contre-indiqué ou mal toléré.

Voir en ligne : Communiqué de l’EMA - AFSSAPS : Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé

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Médicaments en accès direct dans les pharmacies

Le décret « médicaments de médication officinale », autorise la mise à disposition de certains médicaments devant le comptoir des pharmacies d’officine, en accès direct, dans un espace spécialement dédié à cet effet. Pour l’information des patients souhaitant recourir à l’automédication, l’Afssaps élabore une série d’outils d’accompagnement.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Médicaments et grossesse

Pour répondre au souhait très vif des professionnels de santé de disposer d’une information documentée concernant le bon usage du médicament au cours de la grossesse, l’Afssaps a mis en place, en collaboration avec le CRAT, un Groupe de Travail "Reproduction Grossesse et Allaitement ".

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Médicaments et Internet

Les pharmacies en ligne se multiplient. La plupart sont installées en dehors de l’Union européenne, souvent aux Etats-Unis, où elles profitent d’une législation plus clémente. Quelle est la légalité des cyber-pharmacies en droit français ? La publicité en faveur des médicaments est réglementée par les dispositions du Code de la santé publique. La publicité auprès du grand public ne peut concerner que des médicaments qui ne sont ni soumis à prescription médicale obligatoire, ni remboursables par des régimes obligatoires d’assurance maladie et dont l’autorisation de mise sur le marché (AMM) ne comporte aucune restriction en matière de publicité auprès du public (article L. 5122-6 du Code de la Santé publique). Elle est, en outre, soumise à un contrôle a priori de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Ainsi, la publicité pour tout autre médicament, sauf exceptions prévues par les textes, n’est pas accessible au grand public. En outre, toute publicité auprès du public pour un médicament doit comporter des mentions obligatoires.

Voir en ligne : par Thibault Verbiest Avocat

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Médicaments et Parabènes - Point d’information

Les parabènes sont des substances utilisées comme conservateurs pour empêcher le développement des bactéries et des champignons. En raison de leurs propriétés antibactériennes et antifongiques, ces conservateurs sont présents dans les cosmétiques, les médicaments et les aliments.
La liste, établie par Le Monde

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Médicaments faisant l’objet d’un Plan de Gestion des Risques (PGR)

Les médicaments listés ci-dessous font l’objet d’un PGR pour lequel au moins une mesure a été validée ou mise en place par l’ANSM, c’est à dire :

  • des médicaments dont l’AMM nationale inclut un PGR (classés PGR National)
  • des médicaments dont l’AMM européenne inclut un PGR dont certaines mesures (documents de minimisation ou protocoles d’études conduites en France) ont été validées par l’ANSM (classés PGR Européen).
  • des médicaments dont l’AMM européenne inclut un PGR complété par des mesures additionnelles au niveau national (classés PGR Européen et National).
    Pourquoi une liste de médicaments sous surveillance renforcée ?

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

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Médicaments génériques

Certaines inquiétudes se sont récemment manifestées à l’égard des médicaments génériques notamment : qualité, efficacité, et droit de substitution par le pharmacien. L’Académie nationale de Pharmacie souhaite replacer le médicament générique dans une perspective d’évolution positive du médicament dans sa conception, sa production et sa dispensation

Voir en ligne : Académie Nationale de Pharmacie

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Médicaments génériques : les objectifs de substitution 2013 parus au Journal Officiel

Le 21 mai 2013, un avenant a été conclu entre l’Union nationale des caisses d’assurance maladie (UNCAM), l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO) et l’Union nationale des pharmacies de France (UNPF). L’arrêté portant approbation de cet avenant a été publié au Journal Officiel le 15 novembre 2013, entérinant les objectifs de substitution par spécialités, départements et nationaux.

Voir en ligne : Vidal.fr

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Médicaments mucolytiques, mucofluidifiants : contre-indication chez l’enfant de moins de deux ans

L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a décidé de contre-indiquer, chez l’enfant de moins de deux ans, l’utilisation des médicaments mucolytiques, mucofluidifiants et de l’Hélicidine®. Ces médicaments, qui ont pour objectif de fluidifier les sécrétions bronchiques, peuvent en effet aggraver dans certains cas un surencombrement bronchique, en raison de la faible capacité des nourrissons à tousser pour éliminer les sécrétions produites. A la date du 29 avril 2010, ces médicaments ne seront donc plus délivrés en pharmacie pour les enfants de moins de deux ans.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Médicaments psychotropes : consommations et pharmacodépendances

Sous le terme de médicaments psychotropes, on désigne les médicaments qui agissent sur l’état du système nerveux central en modifiant certains processus cérébraux. Il s’agit globalement des médicaments utilisés pour traiter des troubles mentaux banals ou graves et dans le cadre du traitement de la douleur. Du fait de leurs propriétés psychoactives, les médicaments psychotropes peuvent entraîner une dépendance dans un contexte de consommation chronique ou d’abus. Les médicaments psychotropes sont parfois consommés en dehors de tout contexte médical et peuvent faire l’objet de détournements voire de trafics au même titre que les drogues illicites

Voir en ligne : INSERM

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Médicaments sous surveillance renforcée

Suite à l’identification de signaux de pharmacovigilance, une analyse approfondie du profil de sécurité de ces médicaments est en cours. Elle peut conduire à la prise de mesures adaptées (renforcement des précautions d’emploi et mises en garde, restriction des conditions de prescription et de dispensation, voire suspension ou retrait du produit).

Voir en ligne : ANSM - Sécurité sanitaire des produits de santé

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Mélanome cutané

Les facteurs de risque majeurs du mélanome cutané sont les caractéristiques physiques (peau claire, cheveux roux ou blonds, nombre élevé de nævi), les facteurs environnementaux et/ou comportementaux liés à l’exposition solaire et les antécédents personnels ou familiaux de mélanome.. Les signes d’alerte sont notamment l’apparition d’une lésion suspecte en zone saine ou la modification d’un nævus jusqu’alors stable. La détection d’un mélanome doit être très précoce, le pronostic des mélanomes de stade I traités étant très favorable.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Mélanomes de la peau

Vous avez appris que vous avez un mélanome de la peau. La survenue de cette maladie s’accompagne sans doute de nombreuses questions. En essayant d’y répondre concrètement, ce guide a pour objectif de vous accompagner dans la période des traitements qui commence.

Voir en ligne : INCa - Institut National du Cancer

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Mellodia - apprenez le diabète

Site destiné aux diabétiques insulino-dépendants pour mieux gérer la maladie et se préparer à l’insulinothérapie fonctionnelle,.outils et tests, connaissances, carnets glycémiques [France Grenoble]

Voir en ligne : Université Joseph Fourier, Faculté de médecine de Grenoble Alpesmed

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Menace sur la clause de conscience des médecins : alerte du Cnom

A l’annonce du prochain débat par l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe sur une résolution intitulée « accès des femmes à des soins médicaux légaux : problème du recours non réglementé à l’objection de conscience » le Conseil national de l’Ordre des médecins tient à exprimer son souci du maintien du principe de la liberté de conscience pour tout médecin. Par ailleurs il tient également à dénoncer certains aspects du projet de résolution et notamment :

Voir en ligne : conseil-national.medecin.fr/

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Ménière (maladie de - )

La maladie de Ménière, syndrome de Ménière ou encore vertige de Ménière est une maladie de l’oreille interne. Elle est caractérisée par une surdité, fluctuante pendant de nombreuses années, et qui devient ensuite permanente et profonde. La maladie est le plus souvent unilatérale, mais elle peut atteindre les deux oreilles.

Voir en ligne : FRM Fondation pour la Recherche Médicale ]

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Menière, maladie de

La maladie de Menière est caractérisée par l’association d’une surdité de perception, d’acouphènes et de vertiges, évoluant par crises. Sur le plan anatomopathologique, un hydrops endolymphatique (augmentation de volume du compartiment endolymphatique) est observé.

Voir en ligne : Orphanet base de données sur les maladies rares

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Méningite : quel traitement antibiotique préventif prescrire à l’entourage d’un nouveau malade ?

L’incidence globale des infections invasives à méningocoque (IIM), dans la population générale en France, est d’environ 1/100 000 habitants. Les risques d’IIM parmi les contacts familiaux et les contacts en collectivité (crèche, maternelle, milieu scolaire) d’un cas d’IIM sont très élevés ce qui justifie la mise en route d’une prophylaxie chez les sujets contacts.

Voir en ligne : HCSP Haut Conseil de la santé publique

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Méningite à méningocoque : évaluer l’application de la chimioprophylaxie

Cette étude propose une évaluation de la chimioprophylaxie mise en oeuvre à l’occasion de déclaration de cas de méningite à méningocoque… Le codage du médicament permet aujourd’hui de disposer d’indicateurs permettant une approche quantifiée de l’application des mesures de chimioprophylaxie.

Voir en ligne : AMELI Assurance Maladie En Ligne

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Méningite à méningocoques

La forme invasive se manifeste le plus souvent par une méningite ou par une septicémie (y penser en cas de fièvre accompagnée d’un rash pétéchial et d’une leucocytose) ou encore par l’association des deux. L’association d’un état de choc, de purpura et d’éléments nécrotiques (purpura fulminans) évoque la forme fulminante, à évolution rapidement fatale (taux de létalité autour de 50%). D’autres manifestations possibles mais rares sont les arthrites, myocardites, péricardites, pneumonies etc.

Voir en ligne : Communauté française de Belgique - Direction Générale de la Santé

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Méningites purulentes du nourrisson et de l’enfant

  • Chez l’enfant. Le syndrome méningé associe des céphalées intenses, diffuses, des rachialgies, des nausées ou des vomissements.
  • Chez le nourrisson Le tableau est polymorphe et donc trompeur. La méningite est facilement évoquée devant un accident neurologique aigu fébrile : convulsions fébriles, troubles de la conscience, parfois même hémiplégie ou paralysie oculo-motrice.

Voir en ligne : S. Peudenier - Institut Mère-Enfant, annexe pédiatrique, Hopital sud,

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Menstruations douloureuses (dysménorrhée)

La douleur qui accompagne les règles peut être présente avant ou pendant les menstruations. Il semble y avoir une composante héréditaire dans les douleurs menstruelles. Habituellement, les douleurs menstruelles ne peuvent être reliées à aucune maladie. Bien que parfois très incapacitante, ces douleurs ne sont pas dangereuses. La pilule anticonceptionnelle diminue de beaucoup les douleurs menstruelles.

Voir en ligne : Info-Santé

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Menus Toxiques. Enquête sur les polluants toxiques présents dans notre alimentation

Aujourd’hui, un homme sur 2 et une femme sur 3 est ou sera touchés par le cancer en France. Nous sommes donc tous et toutes concernés par cette terrible maladie. Face à cette épidémie, nous avons décidé de lancer une campagne sur Environnement et Cancer. Le premier volet de cette campagne est donc cette enquête sur l’exposition de la population, par l’alimentation, à des substances chimiques suspectées d’être cancérigènes.

  • (Le rapport en PDF)

Voir en ligne : Générations Futures

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Mesure de la couverture vaccinale en France

La loi du 9 août 2004 relative à la politique de santé publique confie à l’Institut de veille sanitaire (InVS) la mission de suivre et d’évaluer la couverture vaccinale pour tous les vaccins inclus dans le calendrier vaccinal et dans tous les groupes cibles. Dans ce travail, nous avons d’une part réalisé une analyse des différentes sources de données disponibles pouvant être utilisées pour mesurer la couverture vaccinale, et d’autre part compilé les données nationales et régionales les plus récentes pour les différents vaccins et dans les différents groupes d’âge.

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire

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Mesure de la pression artérielle : cherchez l’erreur !

Le médecin serait-il le maillon le plus faible dans la chaîne de la mesure de la pres- sion artérielle (PA) ? Contrairement aux idées reçues, c’est ce qui semble bien se confirmer. Cet article fait le point sur les so

Voir en ligne : par le Dr Clarisse Dibao-Dina - Chef de clinique Département de médecine générale UFR Tours

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Mesures d’urgence : Anthrax

• Qu’est-ce que l’anthrax ? • La maladie du charbon est-elle contagieuse ? • D’où vient la crainte de l’anthrax ? • Quels sont les symptômes de la maladie du charbon ? • La maladie du charbon se soigne-t-elle ? • Comment peut-on contracter la maladie du charbon ?

Voir en ligne : Agence de santé publique du Canada

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Mesures de la pression artérielle pour le diagnostic et le suivi du patient hypertendu

La Société Française d’Hypertension Artérielle émet en décembre 2011, une recommandation sur les « Mesures de la pression artérielle pour le diagnostic et le suivi du patient hypertendu ». Dix conseils ont été élaborés à partir d’une analyse exhaustive des données de la littérature médicale et de leurs niveaux de preuve, sans détailler l’ensemble des informations disponibles sur ce sujet. L’objectif de cette recommandation est d’aider les professionnels de santé à porter le diagnostic d’hypertension artérielle et à assurer le suivi des patients hypertendus.

Voir en ligne : SFHTA - Société Française d’HyperTension Artérielle

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Mesures de prévention et de maîtrise de la diffusion de la coqueluche dans les établissements de santé

Bordetella pertussis et parapertussis sont des bactéries responsables de syndromes coquelucheux chez l’homme. La prévention de la coqueluche, maladie contagieuse, grave chez les sujets à haut risque, passe par la vaccination et une sensibilisation au diagnostic de cette infection qui se transmet par voie aérienne (gouttelettes). Sujets à haut risque : nourrissons incomplètement ou non vaccinés, femmes enceintes, sujets atteints de maladies respiratoires chroniques, parents de nourrissons non encore vaccinés

Voir en ligne : Centre de Coordination de la Lutte contre les Infections Nosocomiales Paris-Nord

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Mesures de prise en charge médicale des malades atteints de grippe et de leurs contacts

En période de forte épidémie de grippe saisonnière et de pandémie, une situation de « débordement » est à craindre. La prise en charge des autres pathologies par l’ensemble des professionnels de santé est perturbée.
La prise en charge des malades atteints de grippe et de leurs contacts pourra varier en fonction :

  • de la gravité de la maladie
  • de la disponibilité des traitements et des moyens de prévention
  • de l’incidence

Voir en ligne : Recommandations du CSHPF section des maladies transmissibles

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Mesures d’hygiène et prise en charge des patients en période pandémique A (H1N1) 2009

Les soignants, qu’il s’agisse de généralistes, de pédiatres ou d’urgentistes seront en première ligne pour prendre en charge les patients infectés. Plusieurs types de mesures doivent être envisagés : renforcement des mesures d’hygiène, ne pas passer « à côté » des autres pathologies infectieuses en particulier chez l’enfant, prescrire à bon escient en cas de grippe, envisager d’autres mesures complémentaires…

Voir en ligne : Infovac France

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Mesvaccins.net : premier site de personnalisation des recommandations vaccinales

Le site MesVaccins.net a été imaginé pour aider patients et professionnels de santé à gérer au mieux un calendrier vaccinal devenu au fil des ans de plus en plus complexe. Animé par une équipe d’experts reconnus en vaccinologie, MesVaccins.net permet de définir pour chaque âge et chaque situation individuelle, un schéma vaccinal adapté.

Voir en ligne : Groupe d’Études en Préventologie

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Méthodes contraceptives : Focus sur les méthodes les plus efficaces disponibles

Le document est une mise à plat des informations pour chaque type de contraception jugées par l’OMS comme les plus efficaces notamment : les spécialités disponibles, leur mode d’action, les indications, les populations cibles, l’efficacité, la tolérance, les conditions de suivi et les complications."

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Métrorragies et grossesse

Dans les douze premières semaines de grossesse, les métrorragies sont très fréquentes et elles sont généralement indicatrices d’un processus abortif.

  • En cas de test de grossesse positif et d’absence de sac ovulaire intra- utérin, il faut toujours exclure une grossesse extra-utérine.
  • Chez les femmes enceintes avec status après césarienne, la nidation dans la cicatrice de la section peut provoquer des métrorragies à risque et des douleurs.
  • Pendant la deuxième moitié de la grossesse, les métrorragies indo- lores signalent en première ligne un placenta praevia, tandis que les mé- trorragies douloureuses laissent présupposer un décollement prématuré du placenta ou un début de rupture.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Mettons en pratique le traitement des dyslipidémies selon les nouvelles recommandations européennes

"À travers l’analyse d’un cas clinique, nous revoyons les différentes étapes décisionnelles du traitement des dyslipidémies selon les nouvelles recommandations Européennes et Belges. Nous essayons de nous y conformer au mieux pour le bien de nos patients tout en tenant compte, bien sûr, des limitations économiques requises par l’INAMI il y a deux ans

Voir en ligne : Louvain Médical

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Mieux vieillir sans médicaments

Chez les personnes âgées, les bienfaits de l’activité physique ne sont plus à démontrer...

Voir en ligne : Par Pascale Santi | Le Monde

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Mise à jour des recommandations portant sur la grippe A(H1N1) - 29 juin 2009

L’épidémiologie de la grippe A(H1N1) étant en constante évolution, l’OMS a rehaussé le niveau d’alerte à la pandémie à la phase 6, le 11 juin dernier. Ce rehaussement n’est pas dû à une virulence accrue mais plutôt à l’intensité et l’étendue de la transmission à travers le monde. Jusqu’à maintenant, on a pu constater que la plupart des cas étaient bénins et que la grippe se comportait comme la grippe saisonnière.

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Voir en ligne : Comité sur les infections nosocomiales du Québec

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Mise à jour du guide relatif aux modalités de mise en oeuvre du plan anti-dissémination du chikungunya et de la dengue en métropole

La présente instruction actualise les mesures à mettre en oeuvre dans le but de limiter le risque de circulation des virus du chikungunya et de la dengue en métropole

Voir en ligne : circulaire.legifrance.gouv.fr

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Mise à jour sur les déplacements vers Haïti et sur l’épidémie de choléra

L’Agence de la santé publique du Canada recommande aux Canadiens d’éviter les voyages non essentiels à Haïti par suite de l’important séisme du 12 janvier 2010. Le 21 octobre 2010, l’Organisation panaméricaine de la santé (OPS) a annoncé officiellement une épidémie de choléra à Haïti. Le présent avis offre une mise à jour sur les mesures de prudence liées au tremblement de terre et de nouveaux renseignements au sujet de l’épidémie de choléra à Haïti.

Voir en ligne : Agence de la santé publique du Canada

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Mise au point de la Haute Autorité de Santé sur Mediator®

A la suite d’informations parues ce jour dans la presse concernant l’évaluation de Mediator® par la Commission de la Transparence, la Haute Autorité de Santé tient à apporter les précisions suivantes. Tout d’abord, la HAS rappelle que sa seule mission est de donner un avis aux pouvoirs publics dans le cadre des procédures de remboursement des médicaments par la collectivité nationale sur les médicaments disposant d’une autorisation de mise sur le marché (AMM). En ce qui concerne la spécialité Mediator, dans le cadre des compétences qui sont les siennes, la HAS s’est déclarée défavorable au remboursement de ce produit dans un avis du 10 mai 2006, publié sur son site internet. Cet avis a maintenu l’avis de la Commission en date du 17 novembre 1999 qui concluait à un avis défavorable au remboursement de ce produit (service médical rendu insuffisant pour une prise en charge par l’assurance maladie).

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Mise au point sur l’eczéma chronique des mains

Voir en ligne : SFD - Société Française de Dermatologie

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Mise au point sur la prise en charge de la fièvre chez l’enfant

A la suite de l’identification d’effets indésirables rares, mais particulièrement graves, intervenus au cours d’un traitement de la fièvre chez l’enfant, certaines stratégies de prise en charge ont récemment été remises en cause. Vous trouverez dans cette rubrique les différents documents, tableaux et listes de médicaments élaborées par l’Afssaps concernant le traitement de la fièvre chez l’enfant.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Mise au point sur le bon usage des médicaments en cas de vague de chaleur

Les principales populations vulnérables en situation de forte chaleur sont les personnes âgées, les nourrissons et les enfants, les personnes atteintes d’une pathologie chronique nécessitant un traitement médicamenteux, en particulier lorsqu’elle est sévère, et les personnes dépendantes. L’isolement social accroît encore leur fragilité.

Voir en ligne : ANSM Agence nationale de sécurité du médicament

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Mise en évidence de l’immunoprotection antitétanique en contexte d’urgence

Le tétanos est une toxi-infection aiguë grave, non contagieuse, souvent mortelle liée à Clostridium tetani (Blettery B et al., EMC 2007). Cette bactérie est ubiquitaire, tellurique et commensale du tube digestif de certaines espèces animales. Elle persiste dans les déjections animales et dans le sol sous forme sporulée, forme très résistante. Cette source étant présentée comme « tellurique et inépuisable », l’éradication du tétanos est ainsi considérée comme impossible

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Mise en garde sur le détournement de l’usage d’Epitomax® à visée amaigrissante

Mise en garde sur le détournement de l’usage d’Epitomax® à visée amaigrissante, en dehors des indications autorisées - Lettre aux professionnels de santé L’Epitomax® (Topiramate) est un médicament uniquement indiqué dans le traitement de l’épilepsie chez l’adulte et chez l’enfant et de la migraine chez l’adulte. Il est autorisé en France depuis 1996. L’Afssaps est informée qu’il est également utilisé à visée amaigrissante en dehors de toute AMM.

Voir en ligne : afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé)

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Mise en garde sur l’utilisation hors AMM du baclofène dans les troubles du comportement alimentaire - Point d’Information

Le baclofène est indiqué dans le traitement des contractures spastiques d’origine médullaire et cérébrale et bénéficie, depuis mars 2014, d’une recommandation temporaire d’utilisation (RTU) dans le traitement de l’alcoolodépendance. Des utilisations hors AMM du baclofène ayant été identifiées dans les troubles du comportement alimentaire et dans la prise en charge de régimes amaigrissants, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) déconseille formellement son utilisation dans ces situations, ainsi que dans toutes autres situations non couvertes par l’AMM ou la RTU.

Voir en ligne : ANSM - Sécurité sanitaire des produits de santé

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Mises au point sur la vaccination contre le pneumocoque

Dans le cadre de la préparation à la pandémie de grippe A/H1N1v, l’importance de la vaccination anti pneumococcique de certaines populations spécifiques, recommandée par le Haut conseil de la santé publique, a été rappelée aux médecins généralistes et pédiatres dans un courrier transmis par la CNAMTS durant l’été. Aujourd’hui, une augmentation très forte des ventes de vaccin pneumococcique PNEUMO 23® est constatée, entraînant des difficultés transitoires d’approvisionnement.

Voir en ligne : DGS Direction générale de la santé

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Modèle de lettre pour demander l’accès à son dossier médical auprès d’un établissement de santé

La loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité de la prise en charge a facilité pour les usagers du système de santé l’accès aux informations médicales en prévoyant l’accès direct au dossier médical. En complément des fiches du CISS n° 11 et 11bis qui abordent les différents aspects juridiques liés aux conditions d’accès à ces informations, cette présente fiche a pour objectif de proposer un outil pratique à destination des usagers souhaitant obtenir communication de leur dossier, de celui de leur enfant mineur ou du majeur protégé pour lequel ils exercent la tutelle ou encore de celui d’un proche décédé

Voir en ligne : CISS - Collectif Interassociatif Sur la Santé

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Moins de spermatozoïdes : des substances soupçonnées

Les études conduites dans les pays occidentaux sont sans appel : en cinquante ans, la production de spermatozoïdes chez l’homme a diminué de plus de 40 % et les cancers du testicule ont augmenté partout en Europe. Par ailleurs, des travaux menés par des scientifiques ont permis d’étiqueter de nombreuses substances chimiques très utilisées dans la vie quotidienne, comme des perturbateurs endocriniens, c’est-à-dire des produits qui miment l’effet des hormones sexuelles féminines. En 2007, l’Europe a établi une liste de 320 substances qui rentrent dans ce cadre.

Voir en ligne : Le Figaro

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Mon enfant a des Aphtes

Votre enfant se plaint de douleur dans la bouche et vous observez de petites lésions ulcérées (aphtes) sur ses gencives. Elles recouvrent la langue, le palais et parfois la face interne des joues. Elles sont très douloureuses. Si elles sont trop nombreuses, votre enfant n’arrive plus à se nourrir correctement. Ces lésions ulcérées guérissent d’elles-mêmes en une dizaine de jours

Voir en ligne : HUG Hôpitaux Universitaires de Genève.

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Mononucléose

La mononucléose infectieuse (abrégée « mono ») est provoquée par le virus d’Epstein-Barr (VEB), un agent qui affecte à peu près tout le monde plus ou moins gravement. La maladie est aussi connue sous le nom de fièvre glandulaire, car elle provoque le gonflement des ganglions lymphatiques. Elle est également appelée la « maladie du baiser », car les baisers sont un moyen de transmission courant.

Voir en ligne : SanteOntario.com

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Mononucléose infectieuse et syndromes mononucléosiques

La Mononucléose Infectieuse est une infection fréquente causée par le virus Epstein-Barr (EBV). D’autres agents, notamment le cytomégalovirus et le HIV, sont associés à des syndromes mononucléosiques. L’EBV est responsable de lymphomes malins chez l’immuno-déprimé ; il est associé parfois au lymphome de Burkitt et toujours au carcinome rhinopharyngé. Le diagnostic de la primo-infection à EBV repose sur la sérologie spécifique de l’EBV.

Voir en ligne : J-M. Seigneurin - CHU de Grenoble

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Mononucléose infectieuse et syndromes mononucléosiques

La mononucléose est une maladie contagieuse causée par un virus. L’infection peut survenir à tout âge, mais elle ne donne souvent aucun symptôme chez les enfants. Ce sont les adolescents de 15 à 17 ans qui ont tendance à être le plus malades. Le virus est principalement transmis par la salive, et il peut survivre sur les objets durant quelques heures (p. ex. : ustensiles, brosses à dents).

Voir en ligne : Guide Santé du gouvernement Québécois

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Morsures de tiques

Comment reconnaître ? Que faire ? Comment repérer une morsure de tique ?
Les tiques sont des acariens parasites vivant dans les zones boisées et humides. Grâce à leur appareil buccal, elles s’accrochent à la peau des animaux ou des humains et se nourrissent de leur sang.
Les tiques peuvent transmettre différents germes responsables de maladies graves. Par exemple : la maladie de Lyme, due à une bactérie du nom de Borrelia. Les piqûres de tiques passent cependant souvent inaperçues.

Voir en ligne : Ameli-santé

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Motivation des certificats d’arrêt de travail en médecine générale en France et en Belgique

• Contribution à l’élaboration d’un référentiel d’aide à la prescription d’arrêt de travail • Facilitation de la négociation entre médecin et patient autour de la prescription de l’AT • Facilitation de la communication avec le médecin du travail

Voir en ligne : l’étude AT-CIF Dr Laurent Letrilliart, DMG, Université Lyon 1

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Mycose vulvo-vaginale

Infection extrêmement répandue : 75 % des femmes développent un jour ou l’autre une mycose vaginale ; 40-50 % des femmes ont au moins 2-3 épisodes de vaginite au cours de leur vie, 10 à 20 % des femmes souffrent d’une candidose vaginale récidivante (soit 4 épisodes par an ou plus) ; 20 % des patientes sont des porteuses asymptomatiques (ces patientes ne doivent pas être traitées)

Voir en ligne : A.Valiton-Crusi - Fondation Genevoise pour la Formation et la Recherche Médicales

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Mycoses des ongles : un diagnostic précis est nécessaire pour garantir la guérison

Entre les orteils, sous la voûte plantaire, et aussi dans l’ongle : quand les mycoses s’installent, il n’est pas toujours simple de les déloger. Heureusement, un diagnostic désormais plus fiable permet d’en identifier précisément l’origine et de bénéficier des traitements les plus efficaces dans chaque situation. Mais ne tardez pas à consulter.

Voir en ligne : Planète Santé

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Naître et vivre avec son psoriasis

Psoriasis : ce terme dermatologique définit une affection chronique qui suscite souvent crainte et méfiance.
Une bonne connaissance de cette maladie de la peau est particulièrement importante à cause de l’aversion qu’elle suscite, des inconvénients qu’elle entraîne dans la vie de tous les jours et pour une prise en charge dynamique et responsable d’un traitement adéquat individualisé, concerté dans une relation de confiance médecin-patient. Comme le médecin généraliste, le dermatologue doit aussi étudier son patient dans sa globalité car chaque sujet psoriasique a son histoire propre et ses particularités.

Voir en ligne : GIPSO, Groupe d’Aide à la Recherche et à l’Information

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Names-Lab® : un modèle de normalisation des messages de biologie

La nécessité actuelle de communiquer entre partenaires de santé oblige à normaliser le langage utilisé dans les systèmes de gestion informatique de laboratoire. Names-Lab® est le seul référentiel sémantique qui permet de décrire de façon synchrone l’ensemble des messages de prescriptions et de résultats. Sa structure hiérarchisée permet un codage simple et facilement accessible aux biologistes sans pour autant imposer ni même recommander un langage. Au niveau international, Loinc®, Euclides® sont des référentiels comparables à Names-Lab® par leurs objectifs mais différents par leur contenu et leur structure. Cette situation impose une comparaison utile au choix définitif d’un référentiel international.

Voir en ligne : Faculté Pitié-Salpêtrière, Laboratoire de biochimie médicale

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Nausée, vomissements et hyperémèse gravidique

Nausées et vomissements sont des manifestations fréquentes dans le premier trimestre de grossesse ; souvent il n’est pas nécessaire de les trai- ter, et il est rare qu’ils s’étendent au-delà de la 14e SG. L’hyperémèse gravidique (HG) se caractérisant par 5 à 10 vomisse- ments par jour et une perte de poids dépassant 5% est nettement plus rare, mais elle peut exiger une hospitalisation.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Nausées

La nausée est un symptôme qui peut avoir de multiples origines telles la grossesse, les problèmes digestifs, la migraine, la dépression, etc. La nausée n’est pas une maladie mais possiblement le symptôme d’une maladie. Beaucoup de problèmes de digestion débutent par des nausées. Les nausées peuvent s’accompagner de vomissements. Les causes communes des nausées sont la grossesse, la prise d’alcool et la prise de médicaments.

Voir en ligne : Portail Québec

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Néphropathie diabétique

La néphropathie diabétique (ND) devient la cause la plus fréquente d’insuffisance rénale terminale, approximativement 21% des cas en France (6% pour le diabète de type 1, 15% pour le diabète de type 2), davantage dans les pays anglo-saxons. L’atteinte rénale est un important facteur de surmortalité des diabétiques.

Voir en ligne : Thierry Hannedouche - nephrohus

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Néphropathies lupiques

Les atteintes rénales restent au premier plan des problèmes diagnostiques, pronostiques et thérapeutiques au cours du lupus érythémateux disséminé (LED). Les glomerulopathies lupiques paraissent très proches de la glomérulopathie chronique expérimentale à complexes immuns. En fonction de la quantité, la taille, la stabilité et l’affinité des anticorps produits en excès, des lésions rénales plus ou moins sévères s’installent.

Voir en ligne : La Revue de Médecine Interne

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Neurinome

Tumeur bénigne des nerfs périphériques, crâniens et rachidiens, souvent confondue avec le neurofibrome. Les neurinomes sont formés par les cellules qui produisent la gaine de myéline (de Schwann) entourant les fibres nerveuses. Ils se développent sur n’importe quel axe nerveux mais surtout dans le crâne au niveau du nerf vestibulaire (intervenant dans l’équilibre), à l’étage rachidien, près de la moelle épinière (où ils intéressent les racines dorsales et se répartissent de façon harmonieuse aux différents niveaux) et sur les troncs nerveux périphériques.

Voir en ligne : François Cohadon |fnclcc

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Neurobiologie et pharmacothérapie du trouble obsessionnel-compulsif

Le trouble obsessionnel-compulsif est un trouble anxieux qui touche environ 2,5% de la population. La patho- génie du trouble inclut un facteur génétique vraisemblable, mais d’importance modérée. Les études d’imagerie cérébrale ont mis en évidence une hyperactivité au niveau du cortex préfrontal et du noyau caudé qui paraît refléter des anomalies dans les circuits cérébraux. Le traitement pharmacologique du trouble obsessionnel-compulsif comprend en première ligne les antidépresseurs de type inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine.

Voir en ligne : Revue Médicale de Liège

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Neurofibromatose 1

La neurofibromatose 1 (NF1) ou maladie de Von Recklinghausen est une maladie qui se manifeste par des taches café au lait sur la peau et des tumeurs situées le long des nerfs, appelés neurofibromes. Selon la taille, le nombre et l’emplacement de ces neurofibromes, des complications peuvent survenir. C’est une des maladies génétiques les plus fréquentes. Ses manifestations sont extrêmement variables d’un malade à l’autre, allant des formes mineures pouvant presque passer inaperçues aux formes sévères.

Voir en ligne : Orphanet - Le portail des maladies rares et des médicaments orphelins

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Neuropathie Autonome chez le Diabétique

L’atteinte du système nerveux autonome au cours du diabète est associé à une mortalité accrue. Dans une grande étude prospective, il est apparu que la neuropathie autonome cardiaque (NAC) mise en évidence sur des anomalies des variations de fréquence cardiaque s’associait à un taux de mortalité à 10 ans de 29% alors que ce taux n’était que de 6 % chez les patients indemnes de NAC (1). En outre, la neuropathie autonome par certaines de ses manifestations patentes augmente la morbidité et altère le confort de vie.

Voir en ligne : Recommandations de l’ALFEDIAM

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Neuropathie optique ischémique antérieure (NOIA)

Il est essentiel de reconnaître aussi précocement que possible, c’est-à-dire pratiquement en urgence une MALADIE DE HORTON (« NOIA artéritique »), ceci pour instituer un traitement urgent car le risque de bilatéralisation et donc de cécité bilatérale complète et définitive est très important. Il faut donc rechercher systématiquement les arguments en faveur d’une maladie de Horton

Voir en ligne : CHU Pitié- Salpétriére

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Neuropathies périphériques

Désignent l’atteinte du système nerveux à partir de l’émergence des nerfs rachidiens constitués par la réunion des racines antérieures et postérieures à la sortie u fourreau dural. L’atteinte des racines rachidiennes et de la corne antérieure en est exclue... Ainsi , par l’analyse de l’évolution et de la topographie, en séparant les maladies aiguës réversibles des maladies au long cours, les atteintes systématisées (bilatérales et symétriques) des atteintes localisées (tronculaires, de répartition capricieuse) une orientation peut être donnée généralement au diagnostic étiologique des polyneuropathies. Dans un certain nombre de cas cependant , aucune étiologie ne peut être décelée.

Voir en ligne : Pr. Gilles Edan - Service de neurologie, CHU de Rennes

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Neuropathies périphériques : diagnostic d’une polyneuropathie chronique

En règle, le patient va consulter pour des signes sensitifs distaux, plus rarement pour des troubles moteurs. L’abolition des réflexes ostéo-tendineux, notamment celle très précoce des achilléens sera un signe essentiel du diagnostic positif.

Voir en ligne : Faculté de médecine de Grenoble

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Non-observance thérapeutique : causes, conséquences, solutions

L’observance thérapeutique désigne la concordance entre le comportement du patient vis-à-vis de son traitement et les recommandations de son médecin. en ce qui concerne le res- pect des prescriptions des médicaments, 30 à 60 % des patients avec une maladie chronique peuvent être catégorisés comme étant peu ou non-observants. De nombreux facteurs peuvent influencer ce paramètre dont les caractéristiques du patient, les particularités de la maladie, les modalités du traitement, les attitudes du médecin ou encore l’organisation du système de soins.

Voir en ligne : Revue Médicale de Liège

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Nora BERRA lance un appel à la mobilisation pour endiguer la recrudescence de la rougeole

« Nous sommes face à une recrudescence préoccupante de la rougeole » indique ce jour Nora BERRA, Secrétaire d’Etat chargée de la Santé. En effet, alors qu’en 2006 et 2007, une quarantaine de cas annuels était déclarée en France, l’épidémie s’est intensifiée pour atteindre 1544 cas en 2009 et 5021 cas en 2010. 3400 nouveaux cas ont déjà été détectés sur les deux premiers mois de l’année 2011.

Voir en ligne : Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé (Secteur Santé)<

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Note aux voyageurs : prévention du paludisme à falciparum

Le paludisme du genre Plasmodium falciparum, la forme la plus grave de la maladie, peut avoir une issue fatale. On recense plus de 90 pays où il existe un risque d’exposition à la maladie, parmi lesquels certaines des destinations de dernière minute proposées par les agents de voyage. Les voyageurs potentiels doivent donc se renseigner pour savoir s’il existe un risque de transmission du paludisme dans les lieux où ils se rendent et, le cas échéant, s’assurer d’avoir suffi samment de temps avant le départ pour prendre un avis médical et les précautions qui s’imposent.1

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé

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Note de cadrage – Cancer de la prostate : identification des facteurs de risque et pertinence d‘un dépistage par dosage du PSA chez les hommes à haut risque ?

Le cancer de la prostate se situe au 1er rang des cancers incidents chez l’homme et représente la 3ème cause de décès par tumeurs chez l’homme en France. Ainsi, 71 220 cas incidents (taux standardisé (monde) 125,7 pour 100 000) et 8 685 décès par cancer de la prostate (taux standardisé (monde) 10,8 pour 100 000) ont été estimés pour 2011 en France.
A ce jour, il n’y a pas de démonstration robuste du bénéfice d’un dépistage du cancer de la prostate par dosage de l’antigène spécifique de la prostate (PSA) en population générale , que ce soit en termes de diminution de la mortalité ou d’amélioration de la qualité de vie. Ainsi, aucun programme de dépistage du cancer de la prostate n’est recommandé en population générale , en France comme aux Etats-Unis, en Nouvelle-Zélande ou au Royaume-Uni.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Note de synthèse : position de l’OMS concernant les vaccins anticoquelucheux

La coqueluche est une cause importante de mortalité infantile dans le monde et reste un problème de santé publique, même dans les pays où la couverture vaccinale est élevée. Les estima- tions de l’OMS laissent à penser qu’en 2008 il y aurait eu près de 16 millions de cas de coqueluche dans le monde, dont 95% dans les pays en développement, et qu’environ 195 000 enfants seraient décédés de cette maladie. La coqueluche est due à Bordetella pertussis, une bactérie transmise à des sujets sensibles par le biais des gouttelettes respiratoires de personnes infectées.

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé

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Note sur les modalités de surveillance du paludisme d’importation en France métropolitaine

Après une stabilité observée de 1991 à 1995, on assiste, en France, à une augmentation des cas de paludisme importés (environ 5000 en 1998 d’après les données du CNR des maladies d’importation).
Il est impératif que les voyageurs se rendant en zone de transmission du paludisme ainsi que les professionnels de santé qui les conseillent puissent être informés des meilleurs moyens à mettre en œuvre afin de ne pas contracter cette parasitose qui représente une des rares urgences médicales (parmi les maladies infectieuses) pouvant mettre en cause le pronostic vital d’un patient dans un délai très bref.

Voir en ligne : INVS Institut de Veille Sanitaire

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Notions Nouvelles sur le fibrome

La maladie fibromateuse, très fréquente puisque touchant 40 à 50% de la population féminine de plus de 40 ans, est appréciée selon la taille, le nombre et la localisation du (ou des) fibrome (s). La conduite à tenir doit prendre en considération les critères ci-dessus mais également les desiderata de la patiente et notamment son souhait de bénéficier d’un traitement hormonal substitutif de la ménopause. C’est dire que chaque cas doit bénéficier d’un traitement personnalisé. Ceci explique qu’au cours des dernières années, on a vu se développer de nombreuses alternatives thérapeutiques au traitement monolithique qui existait auparavant.

Voir en ligne : Charles NAHMANOVICI, Pierre-Yves MARCY, Jean-Noël BRUNETON** Centre Antoine Lacassagne - NICE

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Nouveau coronavirus - Conseils de santé aux voyageurs

En automne 2012, un nouveau coronavirus a été identifié dans un petit nombre de cas de personnes qui sont allées en ou sont venues d’Arabie saoudite, du Qatar et de la Jordanie. Un nouveau cas a été récemment signalé au Royaume-Uni. Ce patient n’avait pas d’antécédents de voyage récents, mais il était un proche d’un des derniers cas et avait une condition médicale sous-jacente qui l’a mis à un risque accru d’infections des voies respiratoires. Ceci suggère une transmission de l’infection de personne à personne parce que le nouveau patient a contracté la maladie après avoir eu un contact direct avec son proche. Toutefois, le risque de contracter cette infection demeure très faible.

Voir en ligne : Agence de la santé publique du Canada

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Nouveau coronavirus : Présentation du dispositif national d’investigation épidémiologique

Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé, s’est rendue à l’institut de veille sanitaire ce dimanche 12 mai, après la confirmation d’un second cas d’infection au nouveau coronavirus (NCoV) en France. Après s’être entretenue avec les équipes d’épidémiologistes mobilisées pour identifier les personnes ayant été en contact avec ce deuxième malade, elle a détaillé le dispositif national d’investigation épidémiologique mis en place.

Voir en ligne : Ministère des Affaires sociales et de la Santé

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Nouveau test rapide pour le diagnostic de la tuberculose. Les cas diagnostiqués pourraient être multipliés par deux ou trois.

L’Organisation mondiale de la Santé a approuvé aujourd’hui un test novateur pour le diagnostic de la tuberculose, particulièrement intéressant dans les pays les plus touchés par cette maladie. Ce test pourrait révolutionner les soins et la lutte antituberculeuse en permettant un diagnostic exact pour de nombreux patients en 100 minutes environ, alors qu’avec les tests actuels il faut parfois jusqu’à trois mois pour obtenir les résultats.

Voir en ligne : Communiqué de presse de l’OMS Organisation mondiale de la Santé

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Nouveautés thérapeutiques et stratégies émergentes dans la sclérose en plaques

Plusieurs traitements modifiant l’évolution de la sclérose en plaques (SEP) ont fait leur apparition ces dernières années. Par rapport aux traitements plus anciens, les nouvelles molécules, déjà approuvées ou en cours d’essai clinique, ont un profil d’efficacité habituellement supérieur et/ou un mode d’administration plus simple, notamment pour les traitements oraux. Cependant, des effets secondaires potentiellement sévères à long terme en limitent l’utilisation et doivent guider le choix thérapeutique. L’amélioration de la compréhension des mécanismes physio-pathologiques impliqués dans la maladie conduit à l’identification de nouvelles molécules ciblant la composante inflammatoire, mais aussi la remyélinisation et la neuroprotection.

Voir en ligne : Med Sci (Paris

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Nouveaux anticoagulants oraux : de la théorie à la pratique

Le médecin praticien est confronté à l’apparition de nombreux nouveaux agents antithrombotiques, que ce soit des agents antiplaquettaires ou des anticoagulants. Les cibles d’action des nouveaux anticoagulants (anti-IIa et anti-Xa) sont spécifiques et les études cliniques ont en général montré qu’ils étaient au moins aussi efficaces et sûrs que les anciens anticoagulants (héparines, héparines de bas poids moléculaire, antivitamine K), tout en présentant certains avantages. Il est donc très tentant de prescrire ces nouveaux agents, qu’on peut administrer par voie orale et sans faire de contrôles de laboratoire, vu leur fenêtre thérapeutique relativement large. La pratique est cependant un peu plus complexe et cet article essaie de répondre de manière simplifiée à quelques questions.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Nouveaux anticoagulants oraux : données pharmacologiques à connaître pour la pratique clinique

Les nouveaux anticoagulants oraux inhibent de façon spécifique et directe les facteurs de la coagulation activés, la thrombine pour le dabigatran, le facteur Xa pour les -xabans. Les améliorations pharmacologiques apportées par ces médicaments permettent une utilisation à dose fixe et sans suivi biologique. Au niveau pharmacocinétique, il faut souligner le rôle clé de la P-gp (glycoprotéine-P) dans le passage de toutes ces molécules et du CYP3A4 dans le métabolisme des -xabans. Il existe certaines situations cliniques nécessitant une adaptation posologique ou des précautions d’emploi, comme l’insuffisance rénale ou les interactions médicamenteuses. Ces molécules semblent prometteuses mais il faudra surveiller leur tolérance dans certaines populations (patients âgés, insuffisants rénaux et hépatiques, patients polymédiqués).

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Nouvelle brève

Pas d’intérêt démontré pour le ballon intragastrique Du fait de sa prévalence et de sa constante progression, l’obésité représente un enjeu de santé publique. Le ballon intragastrique est proposé dans la prise en charge de l’obésité. La HAS a évalué la pose et l’ablation du ballon intragastrique à eau (BioEnterics®) ou à air (Heliosphère®) chez des adultes ou des adolescents en surpoids ou obèses. Cette évaluation actualise un précédent avis rendu par l’Anaes en 2004. L’analyse des données bibliographiques de 2004 à 2009 n’a pas permis de confirmer l’intérêt de cette technique pour obtenir une perte de poids permettant de réduire le risque anesthésique ou chirurgical en cas d’obésité morbide. Elle n’a pas non plus permis de confirmer que la perte de poids obtenue grâce à la pose d’un ballon intragastrique était supérieure, en cas d’obésité non morbide, à la prise en charge pluridisciplinaire au plan médical, nutritionnel, diététique, psychologique, comportemental et de l’activité physique.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Nouvelle grippe A /H1N1 - Recommandations du Mnistère de la santé (Fr) pour les personnes malades (A remettre aux patients)

Je suis grippé(e) et le médecin qui m’a examiné(e), m’a conseillé de rester à domicile. Je dois bien suivre ses recommandations et ses prescriptions. La grippe est une maladie très contagieuse : comment l’attrape-t-on ? J’adopte des mesures d’hygiène pour limiter la transmission à mes proches pendant toute la durée des symptômes, notamment tant que je tousse. Je me désinfecte les mains plusieurs fois par jour pour éviter de disséminer le virus qui s’y trouve

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Sports [français]

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Nouvelle grippe : à vous de jouer !

A compter du 23 juillet, les médecins libéraux seront en première ligne pour la prise en charge de la grippe porcine. « La Cellule interministérielle de crise (CIC) a décidé de confirmer la prise en charge des malades par le secteur ambulatoire c’est-à-dire par la médecine libérale. C’est une des mesures qui étaientprévues dans le plan de lutte contre la pandémie grippale », a indiqué mercredi Brice Hortefeux, le ministrede l’Intérieur. « Les médecins généralistes seront au centre du dispositif », a souligné aussi Roselyne Bachelot. « Le SAMU-centre 15 reste en place », mais il est destiné à prendre en charge « les cas graves et les enfants de moins d’un an », a précisé la ministre de la Santé.

Voir en ligne : Le Généraliste

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Nouvelle molécule pour la prise en charge de l’alcoolo-dépendance

Le médicament antiépileptique gabapentine semble avoir un intérêt dans la prise en charge des patients alcoolo-dépendants, entraînant des taux de sevrage satisfaisants ainsi qu’une diminution des envies irrésistibles de boire, des symptômes dépressifs et des troubles du sommeil. Des chercheurs américains ont réalisé un essai randomisé en double aveugle. Ils publient leurs résultats dans la revue JAMA Internal Medicine.

Voir en ligne : mediscoop.net

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Nouvelle régle de délivrance de la pilule (17/07/2012) !!!

La pilule délivrée dans les pharmacies pour 6 mois sur présentation d’une ordonnance de moins d’un an. C’est la décision de la ministre de la Santé, Marisol Touraine, destinée à faciliter l’accès à la contraception.

Voir en ligne : Impact-sante

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Nouvelle solution pour éviter la rechute alcoolique

L’alcool est une addiction dont il est très difficile de se sevrer. Et même après avoir arrêté, la partie est loin d’être gagnée, puisque 70 à 80% des alcooliques rechutent moins d’un an après avoir fermé leur dernière bouteille. Le docteur Segev Barak, de la Sagol School of Neuroscience de l’Université de Tel-Aviv, et le professeur Dorit Ron, de l’Ernest Gallo Clinic and Research Center de l’Université de Californie à San Francisco, ont fait une découverte qui pourrait aider à traiter la dépendance à l’alcool et surtout éviter les rechutes.

Voir en ligne : BE Israël 92

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Nouvelle variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (nv-MCJ)

La nouvelle variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (nv-MCJ) est une pathologie neurodégénérative humaine rare et mortelle. Comme la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), elle se classe dans les encéphalopathies spongiformes transmissibles (EST) en raison de la dégénérescence spongiforme caractéristique de l’encéphale qu’elle entraîne et de sa transmissibilité. La nv-MCJ est une nouvelle maladie que l’on a décrite pour la première fois en mars 1996.

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé

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Nouvelles directives de traitement antipaludique et guide d’achat de médicaments

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) publie de nouvelles directives pour le traitement du paludisme et le premier guide qui ait jamais existé pour se procurer des médicaments antipaludiques sûrs et efficaces. Ces dernières années, un nouveau type de traitement, les associations médicamenteuses comportant de l’artémisinine (ACT), ont transformé le traitement du paludisme mais, si ces médicaments ne sont pas employés correctement, ils pourraient perdre leur efficacité.

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé

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Nouvelles données à long terme concernant les contraceptifs oraux et le cancer

  • L’analyse de l’étude de cohorte dans sa totalité (données jusqu’à 2004) indique une faible diminution chez les utilisatrices de la pilule, du risque global de cancer, et en particulier du risque de cancer colorectal, de cancer de l’utérus et de cancer ovarien ; aucune différence quant à l’incidence du cancer du sein n’a été observée entre les deux groupes.
  • Chez les femmes qui avaient pris un contraceptif oral pendant plus de 8 ans (environ un quart des utilisatrices de la pilule), une augmentation du risque global de cancer, et en particulier du cancer du col utérin invasif et du cancer cérébral/hypophysaire a été constatée ; le risque de cancer ovarien restait plus faible lors de cette prise prolongée de la pilule.
  • La diminution du risque de cancer ovarien a été observée jusqu’à 15 ans après l’arrêt du contraceptif oral.

Voir en ligne : Centre Belge d’Information Pharmacothérapeutique

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Nouvelles guidelines européennes pour les dyslipidémies

Les changements du style de vie doivent être considérés avant tout autre traitement chez les patients avec dyslipidémie. C’est ce que recommandent la Société européenne de cardiologie (ESC) et la Société européenne d’athérosclérose (EAS) dans leurs nouvelles guidelines. Ces recommandations proposent d’utiliser l’estimation du risque cardiovasculaire selon le système SCORE (Systematic coronary risk estimation). Le modèle inclut également le taux de cholestérol HDL (lipoprotéine de haute densité). En plus de l’estimation du risque absolu, le système SCORE permet le calcul du risque relatif pouvant être utile dans quelques cas particuliers, comme chez certains jeunes avec un risque absolu faible mais élevé par rapport à la population de leur groupe d’âge.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Nouvelles modalités de prise en charge de la toux chez le nourrisson (enfant de moins de 2 ans)

L’Afssaps a mené une réévaluation des médicaments destinés à traiter la toux chez l’enfant de moins de deux ans. Une première phase a conduit en avril 2010 à contre-indiquer les médicaments mucolytiques, mucofluidifiants et l’Hélicidine® dans cette population. Cette démarche a ensuite porté sur les médicaments antihistaminiques de première génération ainsi que le fenspiride, dont la contre-indication chez le nourrisson vient d’être décidée et entrera en vigueur d’ici quelques mois. Il est de plus envisagé de contre-indiquer les suppositoires à base de dérivés terpéniques chez l’enfant de moins de trente mois.Le résultat de cette démarche de réévaluation conduit à proposer de nouvelles recommandations qui modifient en profondeur les modalités de prise en charge de la toux chez l’enfant de moins de deux ans.Dans ce contexte, l’Afssaps a élaboré plusieurs documents d’information, afin d’accompagner les professionnels de santé dans leur pratique et d’éclairer au mieux les parents.

Voir en ligne : Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé)

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  • (Spécialités)
  • (Maladies, symptômes et pathologies)

Nouvelles recommandations (2007) des sociétés européennes d’hypertension et de cardiologie pour la prise en charge de l’hypertension artérielle

Les principaux thèmes abordés sont la classification de l’hypertension en fonction du niveau de pression artérielle, l’évaluation du risque cardiovasculaire global et les recommandations de prise en charge et de traitement hygiéno-diététique et médicamenteux de l’HTA.

Voir en ligne : Le Comité Belge De Lutte Contre L’hypertension

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Nouvelles recommandations pour l’antibiothérapie prophylactique de l’endocardite chez l’enfant en Suisse

L’endocardite et l’endartérite infectieuse se définissent comme maladie infectieuse de l’endocarde mural ou valvulaire respec­ tivement de l’endothélium des grands vaisseaux (aorte/artère pulmonaire). Les germes classiques responsables de l’endo­ cardite bactérienne sont les streptocoques viridans oraux, les staphylocoques et les entérocoques, les champignons étant plus rarement associés à une endocardite.

Voir en ligne : Société suisse de cardiologie pédiatrique (SSCP)

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Nouvelles recommandations sur la prise en charge des patients grippés (10 décembre 2009)

Suite à la progression de la pandémie sur le territoire national, à la circulation active et prépondérante du virus A(H1N1) et à l’augmentation du nombre d’hospitalisations et de formes graves, le ministère de la santé et des sports est amené, sur proposition des experts, à modifier les recommandations de prescription des antiviraux. Ces modifications prennent effet le 10 décembre. Pour faciliter l’accès aux traitements, le positionnement du stock d’Etat dans les pharmacies d’officine est organisé de façon parallèle ce qui permettra à tous les patients d’avoir accès gratuitement aux antiviraux sur prescription médicale. Ce positionnement sera effectif le 21 décembre.

Voir en ligne : Ministère de la Jeunesse et des Sports [français]

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Nouvelles recommandations sur l’HTA de l’enfant et de l’adolescent : l’ESH comble un vide

Il y a deux ans, HTA-INFO soulignait que l’HTA de l’enfant et de l’adolescent était trop fréquemment sous-estimée.1 Aujourd’hui, l’heure est à la mise à disposition de nouvelles recommandations qui faisaient défaut jusqu’à présent... L’hypertension artérielle de l’enfant et de l’adolescent a gagné du terrain en médecine cardiovasculaire grâce au progrès de la physiopathologie et de la recherche clinique.

Voir en ligne : Société Française d’Hypertension Artérielle

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Nouvelles Techniques de Traitement des Lithiases salivaires

Avant cette étude, seuls les traitements chirurgicaux étaient utilisés. La chirurgie consistait soit en l’ablation compléte de la glande par voie transcutanée, soit en une dissection des canaux excréteurs par voie endobuccale à la recherche des lithiases. Cette chirurgie n’était pas sans risque pour les structures avoisinantes telles que le nerf facial pour la glande parotide ou le nerf lingual pour la glande sub-mandibulaire. Le développement de l’endoscopie avec l’instrumentation endocanalaire et la lithotripsie extra corporelle ont permis une nouvelle alternative à la chirurgie conventionnelle.

Voir en ligne : Katz Philippe

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Nutrition et prévention des cancers

Les recherches des quarante dernières années ont montré l’influence de la nutrition sur la survenue de certains cancers. Source de facteurs de risque et de facteurs protecteurs, la nutrition qui englobe à la fois l’alimentation et l’activité physique fait partie des facteurs comportementaux sur lesquels il est possible d’agir pour accroître la prévention des cancers. C’est ce que montre très clairement le rapport du World Cancer Research Fund (WCRF) et de l’American Institute for Cancer Research (AICR), paru fin 2007. Ce rapport est issu d’un long processus d’analyse de la littérature scientifique et d’évaluation du niveau de preuve1. Seuls les niveaux de preuve convaincants ou probables sont concluants pour la prévention des cancers (tableau 1) et conduisent à des recommandations de santé publique

Voir en ligne : INCa Institut National du Cancer

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Obésité : dépistage et prévention chez l’enfant

L’obésité chez l’enfant et l’adolescent représente un problème de santé publique, due notamment à l’augmentation importante de sa prévalence. Associée au développement de certaines pathologies à l’âge adulte, elle représente un enjeu médical et économique. Ce rapport fait un constat épidémiologique et sociologique de l’obésité chez l’enfant (définition, prévalence, conséquences physiques et sociales, prévention). I

Voir en ligne : Institut national de la santé et de la recherche médicale

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Obésité : prise en charge chirurgicale chez l’adulte - Brochure patients

L’obésité est une maladie chronique. Elle peut, en particulier lorsqu’elle est sévère ou massive, entraîner des difficultés dans la vie de tous les jours. Elle peut égalementmenacer la santé et provoquer des maladies comme le diabète, l’hypertension artérielle, l’hypercholestérolémie, le syndrome d’apnées du sommeil… La chirurgie de l’obésité aide à perdre du poids durablement et à contrôler ces maladies. Néanmoins, se faire opérer est une décision importante et nécessite une bonne préparation.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Obésité chez l’enfant : un traitement fort simple

Une étude américaine récente révèle que 25% des enfants sont obèses. La pizza et les boissons gazeuses sont au menu tandis que les jeux Nintendo, Internet et la zapette ont eu raison de leurs dernières envies de jouer dehors. Même si cette étude ne portait pas sur les Québécois, on peut penser qu’ici aussi l’obésité endogène (résultant de troubles métaboliques ou endocriniens) ne joue qu’un rôle mineur dans ce nouveau fléau. En tout cas, 99% des enfants obèses qui aboutissent dans le bureau de la Dre Céline Huot, à l’hôpital Sainte-Justine, ne souffrent d’aucun problème glandulaire ou endocrinien.

Voir en ligne : Mais difficile à administrer, explique l’endocrinologue Céline Huot.

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Obésité chez les jeunes

Véritable fléau pour nos sociétés occidentales, l’obésité est devenue aujourd’hui une importante question de santé publique. En France, ce problème concerne 12,6 % de la population et le nombre d’enfants de 10 ans souffrant d’obésité a doublé depuis 1980.

Voir en ligne : INSERM Institut national de la santé et de la recherche médicale

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Obésité et grossesse

Des recherches ont été menées auprès de Statistique Canada, de Medline et de The Cochrane Library en vue d’en tirer la littérature portant sur les effets de l’obésité pendant la grossesse sur les soins prénatals et intrapartum, la morbidité et la mortalité maternelles, l’anesthésie obstétricale, et la morbidité et la mortalité périnatales.

Voir en ligne : La Sociétédes obstétriciens et gynécologues du Canada (SOGC)

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Obésités

Masse grasse MG (non maigre) normalement 15 à 28 % soit environ 12 à 19 Kg du poids corporel chez l’homme et 20 à 35% soit 15 à 19 Kg chez la femme de l’âge de 20 à 50 ans. Obésité = augmentation de la MG au delà des normes pour une population donnée définition approximative et relative aussi à des critères sociaux et temporaires.Soit >=à 120% du poids théorique défini comme : méthodes laboratoires et services spécialisés : Impédencemétrie, plis cutanés, appréciant réellement la MG, ou de façon simplifiée et très approximative : Indice de corpulence ou index corporel (BMI :Body Mass Index ou de Quetelet) = P(kg)/T2 <=23 (homme) et <= 21 ( femme). Ne tient pas compte de quoi est fait ce poids Poids théorique calculé par la formule de Lorentz : PT= T(cm) - 100 - T-150/a où a = 4 chez l’homme et 2 ou 2.5 femme. Encore une fois gabarit non pris en compte (masse osseuse, musculaire etc..)

Voir en ligne : S. Halimi - révision P.Y. Benhamou - Faculté de médecine de Grenoble

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Objectifs, indications et modalités du sevrage du patient alcoolodépendant

Quelles sont les approches conceptuelles du sevrage ?
Quelles sont les indications et contre-indications du sevrage ?
Quelles sont les modalités du sevrage ?
Quelles modalités pratiques proposer lorsque l’alcoolodépendance est associée à une ou plusieurs substances psycho-actives ?
Quelles modalités pratiques proposer en cas d’association à d’autres pathologies ?
Quel traitement proposer devant un accident de sevrage ?

Voir en ligne : Conférences de consensus © SNFGE

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Observatoire de la sécurité des médecins 2009 : une aggravation des actes de violence à l’égard des médecins

La publication des résultats 2009 de l’Observatoire de la sécurité des médecins révèle un maintien du nombre d’incidents déclarés. En revanche, la gravité de la nature des actes connaît une hausse significative. Malgré les actions déployées pour prévenir le nombre d’agressions subies par les médecins, les résultats de l’Observatoire de la sécurité 2009 montrent une stabilité du nombre de violences à leur égard. Par ailleurs, le CNOM constate une aggravation de la nature des actes et dénote notamment une évolution des agressions physique (16% en 2009 contre 11% en 2008). De même, le taux d’agressions verbales est au plus haut depuis la mise en place de l’Observatoire, et représente 54% des incidents déclarés. Avec un taux de 23%, les vols à l’encontre des médecins sont en recul mais constituent malgré tout la deuxième cause d’agressions.

Voir en ligne : Ordre National des Médecins

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Observatoire de la sécurité des médecins 2010 : une hausse sans précédent des actes de violence à l’égard des médecins

Le CNOM a rendu public les résultats 2010 de l’Observatoire de la sécurité des médecins. Ces derniers révèlent le taux de victimisation le plus important depuis la mise en place de l’Observatoire en 2004 et une hausse sans précédent du nombre d’incidents à l’égard des médecins. Face à l’ampleur de ce phénomène, le CNOM annonce la signature prochaine d’un partenariat avec les ministères de l’Intérieur, de la Justice et de la Santé pour mettre en place des solutions concrètes en faveur de la protection et la sécurité des médecins.

Voir en ligne : CNOM - Conseil National de l’Ordre des Médecins

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Offre de soins de premier recours : proximité ne rime pas toujours avec accessibilité

La quasi-totalité de la population française habite à moins de 15 minutes d’un médecin généraliste, d’un infirmier et d’un masseur-kinésithérapeute. Cependant, les patients ne consultent pas toujours le professionnel de santé le plus proche pour les soins de premier recours. Ce phénomène est particulièrement marqué pour les spécialistes en accès direct : gynécologues et ophtalmologues.

Voir en ligne : Études et résultats, n°817, Drees, octobre 2012

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OMS : Une dose unique de vaccin recommandée contre la grippe H1N1

Une dose unique de vaccin contre la grippe H1N1, telle est la recommandation faite vendredi par un groupe d’experts qui conseille l’Organisation mondiale de la santé (OMS).Les experts ont relevé que les autorités de réglementation ont désormais homologué divers vaccins contre la grippe pandémique : vivants atténués, inactivés adjuvés et inactivés non adjuvés. Le Groupe recommande de n’administrer qu’une seule dose de vaccin aux adultes et adolescents à partir de l’âge de dix ans, si cette posologie correspond aux indications des autorités de réglementation, selon un communiqué.

Voir en ligne : OMS Organisation Mondiale de la Santé

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On vient de m’annoncer que je fais de l’hypertension artérielle et que je dois diminuer ma consommation de sodium. Comment puis-je y arriver ?

Le sodium que renferment les aliments peut avoir une influence sur votre pression artérielle. En effet, le fait de réduire votre consommation de sodium peut vous aider à abaisser votre pression artérielle. Le sodium est un minéral présent dans le sel de table. De plus, il est combiné à d’autres substances chimiques et ajouté aux aliments industriels pour diverses raisons. Les recherches ont montré que plus notre consommation de sodium est faible, plus notre pression artérielle est faible

Voir en ligne : Les Diététistes du Canada

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Opération PANGEA IV : Lutte contre les réseaux de vente illicite de médicaments sur Internet - Communiqué

L’opération internationale « PANGEA IV », destinée à lutter contre la vente illicite de médicaments sur Internet, a impliqué 81 pays dont la France. Cette opération s’est déroulée du 20 au 27 septembre 2011 et a donné lieu à des arrestations dans le monde entier ainsi qu’à la saisie de milliers de médicaments potentiellement dangereux.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Ophtalmopathie dysthyroidienne

Ce qu’il faut savoir

  1. Savoir évoquer une exophtalmie basedowienne sur ses caractéristiques clini- ques,
  2. Connaître les complications oculaires de la maladie de Basedow,
  3. Connaître les principes du traitement,
  4. Connaître les autres causes d’exophtalmie.

Voir en ligne : Collège des Ophtalmologistes Universitaires de France

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Opioïdes ou AINS dans la colique néphrétique ?

Les crises de coliques néphrétiques ne représentent pas une affection fréquente en médecine générale (2,4 pour 1000 patients vus sur l’année 1) mais nécessitent une intervention urgente pour soulager la douleur. Des anti-inflammatoires non stéroïdiens et des opioïdes sont utilisés dans cette indication. Les avantages et inconvénients respectifs dans cette indication n’avaient pas encore fait l’objet d’une synthèse méthodique.

Voir en ligne : Analyse de Holgate A, Pollock - Minerva

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Oreillons

Les oreillons sont une maladie virale aiguë contre laquelle on peut se faire vacciner. Avant l’introduction du programme de vaccination contre les oreillons, cette maladie était une infection commune chez les nourrissons, les enfants et les jeunes adultes. Comme la majeure partie de la population ontarienne a maintenant été vaccinée, le nombre annuel de cas d’oreillons signalés est extrêmement bas, soit environ 20 cas par année. Quarante-sept pour cent des cas d’oreillons signalés entre 2000 et 2005 concernaient des enfants âgés de moins de 15 ans. Les éclosions d’oreillons aux États-Unis et en Nouvelle-Écosse, en 2005-2006, concernaient surtout des adolescents et de jeunes adultes.

Voir en ligne : Ministère de la Santé en Ontario

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Oreillons (Parotidite épidémique)

Les oreillons sont une infection virale des glandes salivaires, en particulier des glandes parotides situées à l’angle de la mâchoire devant et dessous chaque oreille. Les enfants entre 5 et 10 ans sont les plus susceptibles de contracter les oreillons. Une fois infectés par les oreillons, nous sommes définitivement immunisés.

Voir en ligne : Canoë Santé

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Organisation du secours à personne et de l’aide médicale urgente

Élaboré par le comité quadripartite associant les représentants des structures de médecine d’urgence et des services d’incendie et de secours, la DDSC et la DHOS

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Sports

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Orientation des patients atteints d’ AVC

"Objectif - Définir le plus précocement possible des critères pertinents d’orientation des patients atteints d’ AVC à partir des Unités Neuro-Vasculaires ou structures de soin aiguë, afin de faciliter leur retour au domicile (ou équivalent de domicile) ou la poursuite de la prise en charge dans les structures de soin les plus adaptées."

Voir en ligne : Société Française de Médecine Physique et de Réadaptation (Sofmer), la Société Française de Neuro Vasculaire (SFNV) et la Société Française de Gériatrie et Gérontologie (SFGG).

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Orientation diagnostique devant des oedemes des membres inferieurs

Les oedèmes des membres inférieurs (OMI) sont d’origines diverses, essentiellement cardio-vasculaire, hépatique ou rénale, et dus à l’infiltration du tissu sous-cutané. Leur signification étiologique est différente selon qu’ils sont uni ou bilatéraux

Voir en ligne : Prs R. BARRAINE (Poitiers) & J.E. WOLF (Dijon)

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Orientation diagnostique devant une diplopie

Une diplopie se définit par la perception visuelle double d’un objet unique. Les diplopies monoculaires (persistant après l’occlusion d’un oeil) sont rares et de cause « ophtalmologique » (trouble de la réfraction, anomalie des milieux transparents). Les diplopies binoculaires (disparaissant après l’occlusion d’un oeil) témoignent de paralysies oculo-motrices (POM), liées à une atteinte des noyaux, des nerfs ou des muscles oculo-moteurs

Voir en ligne : univ-rouen.fr/

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  • (Maladies, symptômes et pathologies)

Oser parler avec son médecin. Pourquoi est-ce important ?

En parlant avec votre médecin vous pouvez éviter des malentendus et des erreurs. Tout est important : l’orthographe de votre nom, vos problèmes de santé, un changement de médicament, les effets inattendus que vous ressentez, etc...

Quelle confiance puis-je avoir dans les informations que je lis sur internet, dans les magazines, etc. ?
Vous pouvez trouver beaucoup d’informations sur les sites Internet spécialisés, les forums de discussion, à la télévision, dans les magazines ou en discutant avec votre entourage. Pour m’assurer qu’elles sont fiables et adaptées à ma situation, je demande au médecin ce qu’il en pense, il est le plus à même de m’orienter et de m’éclairer.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Ostéoporose : combien de temps traiter ?

La perte osseuse débutant vers 50 ans est continue, responsable d’une diminution progressive du capital osseux, qui décroît inélucta - blement, de façon quantitative et qualitative avec l’âge. La réduction des performances des organes sensoriels et l’addition des comorbidités avec l’âge augmentent aussi le risque de chute, contribuant à l’élévation rapide du risque de fracture après 70 ans. L’ostéoporose est donc bien une maladie chronique qui justifie une prise en charge préventive, régulière mais adaptée au fil des années.

Voir en ligne : Revue du Praticien Médecine Générale

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Ostéoporose masculine

démarche diagnostique. Identification des hommes à risque de fracture et identification des patients nécessitant un traitement L’ostéoporose pose des problèmes de reconnaissance et de prise en charge chez l’homme. La méconnaissance du risque d’ostéoporose, l’intrication de nombreux facteurs étiologiques et l’incertitude concernant le seuil des valeurs de densitométrie osseuse associées au risque fracturaire, rendent la démarche diagnostique et l’identification des hommes à risque de fracture plus complexe.

Voir en ligne : Société Française de Rhumatologie

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Otite moyenne aiguë : Propositions pour la mise à jour de la prise en charge

L’otite moyenne n’est pas seulement l’une des maladies les plus fréquentes en pédiatrie, mais aussi l’indication la plus fréquente, pour la prescription d’une antibiothérapie en pratique ambulatoire1.L’augmentation du nombre d’otites mises en évidence, ainsi que l’émergence de plus en plus importante de résistances aux antibiotiques durant les dernières années a provoqué une remise en question fondamentale de la prescription d’antibiotiques lors d’otite moyenne, de la prévention de complications, du choix de l’antibiotique et de la durée du traitement. Une mise à jour du traitement de l’otite moyenne est proposée en se fondant sur des recherches récentes et sur l’analyse des informations correspondantes. Comme nous le démontrerons, cette prise en charge insiste sur la différence entre l’otite moyenne aiguë d’une part et le catarrhe tubaire d’autre part, et met en évidence les options et limites du traitement de première intention de l’otite moyenne aiguë par la seule analgésie, et du suivi de son évolution spontanée.

Voir en ligne : Société Suisse de Pédiatrie

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Otite moyenne chronique – simple contre cholestéatomateuse

L’otite moyenne chronique avec perforation tympanique centrale ou périphérique est la plupart du temps pauvre en symptômes. Le diagnostic est donc posé fortuitement lors d’un examen ORL ou lors d’une exacerbation. Le pa­ tient consulte son médecin à cause d’une « oreille qui coule » ou d’une baisse de son acuité auditive, pratiquement jamais à cause d’une otalgie. Nous allons aborder ci­des­ sous les questions les plus fréquentes et les différents exa­ mens en médecine générale.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Otites externes : une maladie auto-infligée ?

L’otite externe, une inflammation de la peau du conduit auditif externe, est la cause la plus fréquente de consultation ORL dans le monde. Elle peut être causée par une infection bactérienne, mycosique ou virale. Dans plusieurs cas, des facteurs causals anatomiques ou, plus fréquemment, provoqués par inadvertance par le patient lui-même peuvent être identifiés. Ce sont en général des épisodes uniques, faciles à traiter avec des médicaments topiques et d’évolution rapide. Des rares cas évoluent vers deux formes moins typiques, d’otite externe chronique et d’otite externe nécrosante. Dans ces cas, il est important de connaître le terrain de base. Il pourrait s’agir d’une allergie, d’un eczéma ou d’une immunodépression pour la première ou d’un diabète pour la deuxième.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Oubli de pilule ? Vous avez jusqu’à 5 jours pour agir !

La pilule est une méthode de contraception très efficace, à condition de la prendre tous les jours à la même heure. En cas d’oubli, et si on a eu un rapport dans les 5 jours qui précèdent, il y a la contraception d’urgence qui peut éviter une grossesse. Explications.

Voir en ligne : La santé pour tous

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Oubli de pilule ? Vous avez jusqu’à 5 jours pour agir !

La pilule est une méthode de contraception très efficace, à condition de la prendre tous les jours à la même heure. En cas d’oubli, et si on a eu un rapport dans les 5 jours qui précèdent, il y a la contraception d’urgence qui peut éviter une grossesse.

Voir en ligne : La santé pour tous - INPES

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Oxyurose

L’oxyurose, strictement humaine, est l’une des parasitoses intestinales les plus fréquente chez l’enfant. Elle se transmet par voie digestive et se répand facilement dans les collectivités. Souvent asymptomatique, elle peut toutefois causer des démangeaisons anales, des diarrhées et une certaine nervosité. L’oxyurose est une parasitose intestinale. Elle est causée par l’oxyure, un ver rond blanchâtre mesurant de 5 mm pour les mâles à 1 cm pour les femelles. Cette affection se développe seulement chez l’être humain. Elle est très fréquente, en particulier chez l’enfant.

Voir en ligne : Ameli-santé

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Palpitations

On appelle palpitations le fait de ressentir l’une ou l’autre des sensations suivantes : augmentation de la force des battements cardiaques, accélération ou irrégularité du rythme. La plupart des palpitations sont bénignes, bien qu’elles soient désagréables et souvent angoissantes. Elles sont souvent causées par le stress ainsi que par la consommation de certaines substances (ex : café, tabac, alcool) et médicaments. La mise en application de quelques conseils utiles suffit en général à régler le problème.

Voir en ligne : Collège québécois des médecins de famille.

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Palpitations et troubles du rythme

La survenue d’un trouble du rythme cardiaque est un phénomène de signification et d’expression très variables, suivant d’une part le trouble du rythme lui-même et d’autre part l’existence éventuelle d’une cardiopathie sous-jacente. Le diagnostic du trouble du rythme lui-même est parfois suggéré par la clinique, mais sa nature ne peut être affirmée que par l’enregistrement électrocardiographique. Le pronostic d’un trouble du rythme cardiaque dépend essentiellement de la gravité de la cardiopathie sous-jacente.

Voir en ligne : Professeur Jean-Pierre BASSAND - besancon-cardio

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Paludisme

Tout syndrome infectieux (fièvre, frissons, myalgies, céphalées, troubles digestifs) survenant dans les jours ou semaines suivant le retour d’un pays ou P. falciparum est présent, doit faire penser au diagnostic d’accès palustre.

Voir en ligne : Dr Lori Savignac, Dr Guillaume Der Sahakian par SAU Hôtel Dieu

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Paludisme d’importation

Les paludismes d’importation ne représentent que 0,01% des cas de paludisme dans le monde, mais le problème est néanmoins sérieux car, dans ce type de paludisme, le diagnostic n’est souvent pas fait. Dans le cas du paludisme à P. falciparum une telle absence de diagnostic produit une forte mortalité chez les voyageurs non-immuns (en Europe, 1% des cas de P. falciparum importés sont fatals).

Voir en ligne : impact-malaria.com

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Paludisme : de maladie négligée à maladie négligeable ?

Le paludisme a diminué de près de moitié dans plus de 50 pays du- rant les 10 dernières années grâce à l’utilisation de moyens préventifs (moustiquaires imprégnées d’insecticide, aspersion intra-domicilaire) à large échelle et de traitement efficaces. La malaria à Plasmodium vivax peut occasionner, tout comme Plas- modium falciparum, des manifestations cliniques sévères et une morta- lité significative en zone d’endémie.

Voir en ligne : Service des maladies infectieuses, CHUV b Policlinique Médicale Universitaire, Lausanne

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Panaris

Infection de la pulpe des doigts le panaris doit sa particularité au cloisonnement de la pulpe par des travées conjonctives qui en assure la cohérence et concourent à sa dépressibilité lors des prises. L’infection de cette pulpe, cloisonnée physiologiquement sera donc peu ou pas accessible au traitement antibiotique et évoluera sur place pour son propre compte.

Voir en ligne : Dr F. Moutet (Faculté de médecine de Grenoble)

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Panaris et phlegmons

Les panaris sont des infections aigües d’une quelconque partie constitutive d’un doigt ; ils peuvent être localisés au niveau de la région unguéale, de la face palmaire (pulpe) ou dorsale du doigt. Ils sont le plus souvent superficiels mais peuvent être aussi sous-cutanés (siégeant dans la logette celluleuse de n’importe quelle phalange) ou profonds entraînant alors une ostéite).

Voir en ligne : Faculté de Médecine de Grenoble

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Panaris et phlegmons des gaines digitales

Les infections de la main se présentent soit sous la forme de panaris soit sous la forme de phlegmons des gaines ou des phlegmons des espaces celluleux de la main.

Voir en ligne : Service de chirurgie Orthopédique 2 et Chirurgie de la Main CHU Montpellier

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Panaris, phlegmons des gaines et des espaces celluleux de la main

Le panaris désigne une infection aiguë, primitive, cutanée ou sous-cutanée d’une quelconque partie constitutive du doigt. On le distingue des infections profondes appelées ostéite, ostéoarthrite ou phlegmon selon le tissu atteint. Le germe responsable est le plus souvent le staphylocoque doré. Le diagnostic est clinique et le traitement est univoque : excision chirurgicale. Les complications peuvent être graves de conséquences.

Voir en ligne : Faculté de la Pitié Salpêtrière - Chups

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Pancréatite aiguë

La pancréatite aiguë est une inflammation aiguë du pancréas qui a de nombreuses causes. L’incidence varie entre 5 et 50 pour 100 000 habitants avec une moyenne à 30 pour 100 000 chez l’homme et de 20 pour 100 000 habitants chez la femme. Il existe deux formes de pancréatite aiguë : la pancréatite aiguë bénigne, dite oedémateuse, et la pancréatite aiguë nécrosante, potentiellement grave. La migration d’un calcul biliaire dans le cholédoque ou une consommation chronique et prolongée d’alcool, représentent au total 80 % des causes. ]

Voir en ligne : SNFGE Société Nationale Française de Gastro-entérologie

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Pancréatite aiguë - Conférence de consensus 25 et 26 janvier 2001 PARIS

La pancréatite aiguë (PA) est une affection parfois grave, nécessitant une prise en charge multidisciplinaire impliquant gastro-entérologues, chirurgiens, réanimateurs, anesthésistes, radiologues, urgentistes et biologistes. Chaque étape de sa prise en charge (diagnostic positif, choix des examens d’imagerie, diagnostic étiologique, appréciation de la gravité, place de l’antibiothérapie prophylactique, conduite à tenir devant la nécrose stérile ou infectée) est l’objet de controverses. Sur de nombreux points de litige, des études, souvent randomisées, sont maintenant disponibles. Il paraissait opportun d’essayer de dégager un consensus sur les pratiques recommandables en matière de prise en charge de la PA.

Voir en ligne : Société Nationale Française de Gastro-Entérologie

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Pandémie grippale - Guide pratique de la vie quotidienne

En cas de pandémie, le respect des règles d’hygiène élémentaires sera indispensable pour limiter les risques de contamination. Il faut donc les connaître. La vie quotidienne en cas de pandémie se poursuivra chez soi, mais aussi à l’extérieur du domicile et au travail, même si certaines de nos pratiques habituelles seront bouleversées. Il faudra donc s’informer. Ici sont regroupées les informations qui ont trait à la maladie et qu’il faut connaître pour se soigner sans contaminer les autres

Voir en ligne : grippeaviaire.gouv.fr

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Paralysie faciale : diagnostic et prise en charge

La paralysie faciale est une pathologie peu fréquente qui nécessite une démarche diagnostique et une prise en charge standardisées. Nous proposons une mise au point du sujet, essentiellement clinique, afin que le médecin de premier recours puisse entreprendre le début de la prise en charge des paralysies faciales avant d’adresser le patient au spécialiste.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Paralysie faciale : diagnostic et prise en charge par le médecin de premier recours

L’incidence de la paralysie faciale (PF) est de 50/100 000/an, soit environ 210 cas/an à Genève. Le clinicien peut se trouver dérouté face à ce problème, tant il recouvre des étiologies au pronostic très variable. La plupart des patients consultant pour une PF souffre de paralysie de Bell ou a frigore évoluant favorablement. Une partie, par contre, souffre de pathologies telles que méningite, VIH, Lyme, AVC… qu’il convient d’identifier rapidement en raison de leur gravité et de leurs traitements spécifiques.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Paralysie faciale idiopathique

Toute paralysie faciale périphérique (dite aussi de Bell, ou Bell’s palsy [1]) dont l’étiologie reste indéterminée malgré les examens cliniques est dite idiopathique.La physiopathologie supposée est une inflammation du nerf provoquant sa compression le long de son trajet dans le rocher.

Voir en ligne : Andreas Arnold | Universitätsklinik, Bern

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Paralysie faciale périphérique

La paralysie faciale (PF) est très préjudiciable au niveau esthétique ; le nerf facial assurant en effet pratiquement toute l’innervation motrice de l’hémiface correspondante. Elle peut être centrale, due à des lésions situées au-dessus des noyaux bulbaires, ou périphérique, due à une atteinte des neurones moteurs périphériques. Les étiologies sont variées et le bilan diagnostique doit être le plus complet possible avant d’affirmer le diagnostic de paralysie faciale idiopathique.

Voir en ligne : Docteur Dinh-Qui NGUYEN | Faculté de Médecine de Grenoble

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Paralysies faciales

Devant toute PF, on doit d’abord déterminer si la lésion affecte le neurone moteur central ou périphérique. Alors que la PF périphérique atteint sélectivement le territoire moteur du VII plus ou moins associé à ses composantes sensitives et végétatives, la PF centrale est rarement isolée : elle peut s’accompagner d’une extension de la paralysie au membre supérieur ou à l’hémicorps homolatéral, et à l’atteinte de faisceaux sensitifs de même topographie.

Voir en ligne : R. Charachon, P. Pollak | SIIM CHU de Grenoble

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Parasitoses digestives : lambliase, taeniasis, ascaridiose, oxyurose, amibiase, hydatidose

Ces six maladies parasitaires (deux protozooses et quatre helminthiases) provoquent des atteintes intestinales et/ou hépatiques. Toutes peuvent être rencontrées en France chez des sujets n’ayant jamais voyagés. Cependant, cinq d’entre elles (lambliase, taeniasis, ascaridiose, oxyurose et amibiase) atteignent plus fréquemment les personnes vivant des zones chaudes et humides à faible niveau d’hygiène ou des sujets ayant séjournés dans ces régions du monde.

Voir en ligne : sante.ujf-grenoble.fr

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Parcours de santé 2012 et interruption volontaire de grossesse

Un des trois défis que l’Agence Régionale de Santé (ARS) a fixé dans son plan stratégique est celui d’adapter les parcours de santé aux besoins des Franciliens en veillant à la qualité de ces parcours. En lien avec l’élaboration du schéma régional de périnatalité, la réflexion a porté sur la qualité du parcours de santé de la femme ayant recours à l’interruption volontaire de grossesse (IVG). Le focus ayant été mis sur la lisibilité, l’accessibilité et la fluidité de ce parcours de santé ainsi que sur la qualité de l’information, des conditions d’accueil et d’accompagnement de la femme dans les structures proposant des interruptions volontaires de grossesse

Voir en ligne : ARS Île-de-France

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  • (Dossiers)

Parcours de santé et interruption volontaire de grossesse

"Un des trois défis que l’Agence Régionale de Santé (ARS) a fixé dans son plan stratégique est celui d’adapter les parcours de santé aux besoins des Franciliens en veillant à la qualité de ces parcours. En lien avec l’élaboration du schéma régional de périnatalité, la réflexion a porté sur la qualité du parcours de santé de la femme ayant recours à l’interruption volontaire de grossesse (IVG). Le focus ayant été mis sur la lisibilité, l’accessibilité et la fluidité de ce parcours de santé ainsi que sur la qualité de l’information, des conditions d’accueil et d’accompagnement de la femme dans les structures proposant des interruptions volontaires de grossesse."

Voir en ligne : ARS Île-de-France France 2012

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Parents d’Enfants Victimes de la Route

Parents d’Enfants Victimes de la Route (PEVR) est une association nationale de familles d’enfants ayant perdu la vie dans un accident de la route. Nous accompagnons des familles dont un enfant a perdu la vie dans un accident de la route. Nous participons à des actions de prévention routière. Nous sensibilisons les autorités pour que la politique en matière de sécurité routière et d’accueil et d’accompagnement des victimes de la route devienne une priorité.

Voir en ligne : (PEVR)

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Pathologie de la conjonctive et de la cornée

Dans la conjonctivite, la rougeur prédomine dans les culs de sacs conjonctivaux (tombe en QCM) qui sont rouges, parfois parsemées de petites surrélévations (follicules) ou carrément de gros pavés au niveau des 2 paupières (geste à connaître : retourner une paupière supérieure).

Voir en ligne : Pr Philippe Gain, Dr Gilles Thuret

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Pathologie des glandes salivaires

Probléme posé par le diagnostic des tuméfactions salivaires : Le diagnostic causal se pose différemment :

  • dans les tuméfactions inflammatoires, où la cause est en général facilement reconnue
  • dans les tuméfactions non inflammatoires, où, malgré les examens complémentaires les plus poussés (échographie, IRM, ponction cytologique à l’aiguille fine, bilan hématologique),

Voir en ligne : Pathologie Des Glandes Salivaires Franck Jegoux, Praticien Hospitalier Service Orl Et Chirurgie Maxillo-Faciale Chu Pontchaillou

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Pathologie des glandes salivaires

Les glandes salivaires sont les glandes qui fabriquent la salive. Elles sont subdivisées en deux grandes classes. Les glandes salivaires principales, de taille importante, sont paires, symétriques et au nombre de trois par côté : la glande parotide en avant de l’oreille, la glande submandibulaire (appelée aussi sous-maxillaire) dans le cou sous l’angle de la mâchoire et la glande sublinguale plus petite située sous la langue. Les glandes salivaires accessoires, de toute petite taille, elles sont plusieurs centaines réparties dans toute la cavité buccale (lèvres, joues, palais …)

Voir en ligne : SFSCMF Société Française de stomatologie et chirurgie maxillo-faciale

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Pathologie des voies biliaires

Méthodes diagnostiques.

  • Abdomen sans préparation (ASP)
  • Cholécystographie orale
  • Cholangiographie intraveineuse
  • Echographie

Voir en ligne : PJ VALETTE, P. FOUQUE, G. GENIN Hôpital Edouard Herriot - Lyon

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Pathologie régionale du genou

Le genou se subdivise en compartiments fémoro-tibiaux et fémoro-patellaires externe et interne. Son anatomie complexe explique la diversité des incidences radiologiques standards.

Voir en ligne : A. CHEVROT, N. CHEMLA, D. GODEFROY, AM DUPONT, B. VACHEROT, A. LANGER-CHERBIT - Hôpital Cochin - Paris

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Pathologie régionale du pied et de la cheville

Le bilan radiologique standard du pied et de la cheville comporte de nombreuses incidences permettant d’une part une étude statique, d’autre part une étude morphologique des différentes structures anatomiques. Qu’il s’agisse de la cheville ou du pied, les radiographies debout de face et de profil permettent de vérifier les éléments architecturaux en position de fonction. Les incidences standards classiques face, profil, trois-quarts permettent une analyse morphologique du pied et de la cheville et sont complétées au besoin par des incidences particulières destinées à une analyse plus précise de certaines régions anatomiques comme le calcanéum ou le sinus du tarse, par exemple.

Voir en ligne : A. CHEVROT, N. CHEMLA, D. GODEFROY, A.-M. DUPONT, B. VACHEROT, A. LANGER-CHERBIT Hôpital Cochin - Paris

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Pathologies temporo-mandibulaires : répercussions générales

Pourquoi les patients peuvent-ils déclencher une pathologie de l’Articulation Temporo-Mandibulaire (ATM) ? Quelles en sont les conséquences locales et plus globales ? Quels sont les rôles du bruxisme et des traumatismes cranio-faciaux dans l’étiologie des dysfonctionnements cranio-mandibulaires ? Où se trouve la place de l’imagerie dans le diagnostic ? Quels sont les différents traitements envisagés ? Autant de questions que les médecins généralistes pourraient se poser au sujet de l’articulation temporo-mandibulaire et de son dysfonctionnement.

Voir en ligne : La Revue Médicale de Liège

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Pediadoc.fr | la santé de l’enfant en soins de premier recours

La prise en charge de la santé de l’enfant en soins de premier recours est une mission essentielle de l’offre de soins de proximité garantie à chaque enfant au sein de nos territoires. Cette prise en charge, de plus en plus prégnante en médecine générale et enjeu de Santé publique, a fait émerger une demande précise des internes spécialistes de médecine générale toulousains quant à une harmonisation des pratiques cliniques.

Voir en ligne : DUMG - Département Universitaire de Médecine Générale - Toulouse

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Percée majeure dans la recherche sur l’endométriose

Des chercheurs de la Faculté de médecine ont créé une lignée cellulaire qui facilitera l’étude de l’endométriose et la mise au point de médicaments pour lutter contre cette maladie

Voir en ligne : Equipe du Centre de recherche de Saint-François d’Assise -Université de Laval -Québec

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Permis d’exercer…

Les prestataires de santé peuvent se déplacer librement à l’intérieur des frontières de l’Europe. Dès lors, comme pour la formation initiale, se pose le problème de la reconnaissance mutuelle par les états membres du maintien des compétences professionnelles de ces prestataires. Suite à une demande de la Commission européenne, trois conférences portant sur les questions relatives aux personnels de santé se sont tenues à Louvain en Belgique en avril 2010 et ont abouti à la rédaction d’un rapport.

Voir en ligne : Dr Jean Brami - Direction de l’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins – HAS

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Pertes de mémoire

Les pertes de mémoire ont des causes variées. Il est normal que des problèmes de mémoire surviennent quand vous êtes fatigué, stressé, distrait ou inquiet, particulièrement à partir de 65 ans. L’information que vous avez oubliée vous reviendra plus tard. Cet oubli ne vous empêche pas d’effectuer normalement vos tâches quotidiennes. Les oublis bénins ne progressent pas, c’est-à-dire qu’ils ne s’aggravent pas et n’empêchent pas la personne de fonctionner. Des pertes de mémoire qui s’accentuent de plus en plus et perturbent votre vie quotidienne (vous oubliez souvent des rendez-vous, vous faites souvent des erreurs en payant des factures, vous perdez souvent des objets importants, etc.) doivent être évalués de plus près.

Voir en ligne : Portail Québec

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Pertinence Cholécystectomie

En raison : de l’augmentation du nombre des cholécystectomies et d’une variabilité géographique non expliquées ; de données récentes de la littérature sur la fréquence des plaies biliaires et leur impact sur la survie des patients ; la Haute Autorité de santé, la Fédération de Chirurgie Viscérale et Digestive, le Conseil National Professionnel d’Hépato-Gastroentérologie et le Collège de Médecine Générale souhaitent rappeler les points suivants concernant la pertinence des cholécystectomies

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Pertinence de la mise en place d’une programme de dépistage des anévrismes de l’aorte abdominale en France

L’objectif du rapport était d’évaluer la pertinence de la mise en place d’un programme de dépistage des anévrismes de l’aorte abdominale (AAA) en France, que ce dernier soit systématique ou opportuniste. Cette évaluation a suivi la méthodologie définie dans le guide HAS « Évaluation a priori d’un programme de dépistage » identifiant 16 critères d’évaluation fondés sur les critères OMS d’évaluation de la pertinence d’un programme de dépistage

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Pertinence d’une étude épidémiologique pour estimer les conséquences sanitaires de la contamination par du radium de la halte garderie située au 12 rue Chomel (Paris 7ème)

Sur la base des données d’exposition disponibles et des modèles actuels d’évaluation de risque utilisés, ces résultats ne permettent pas de penser qu’un risque de leucémie ou de décès par cancer du poumon attribuable à l’exposition aux rayonnements ionisants puisse être détectable par une étude épidémiologique dans la population des enfants ayant fréquenté la halte garderie contaminée par du radium.

Voir en ligne : INVS Institut de Veille Sanitaire

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Petit guide de l’otite moyenne aiguë. Quoi faire et ne pas faire ?

L’otite moyenne est une infection suppurative de l’oreille moyenne. Dans la plupart des cas, elle est secondaire aumauvais fonctionnement des trompes d’Eustache qui entrave le drainage normal de l’oreille moyenne des sécrétions du nez et de la gorge, ce qui cause l’accumulation de liquide et le développement de bactéries et des virus.

Voir en ligne : Le Clinicien revue de formation médicale continue

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Petit manuel de Pharmacovigilance et Pharmacologie clinique

« La Pharmacologie ne peut plus se réduire à une science naïve et aseptique, indifférente aux grandes questions qui se posent aujourd’hui aux forces qui s’affrontent dans ce monde, appauvri et bouleversé.
Paul Montastruc (Physiologiste, Pharmacologue)

Voir en ligne : Prescrire

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PÉTITION : UN ACCÉS POUR TOUS À LA CONSULTATION D’UN PSYCHOLOGUE EN FRANCE

Pourquoi c’est important ? Parce que le délai moyen pour obtenir un rendez vous avec un psychologue dans le service public est de six mois et que le coût d’une consultation en libéral est inaccessible pour la majorité des français qui ne peuvent donc bénéficier de soins psychologiques. Pour que l’accès a la consultation d’un psychologue et aux soins psychologiques devienne une priorité de santé publique des milliers de concitoyens demandant a consulter un psychologue pour eux mêmes ou pour leurs enfants doivent en France attendre en moyenne six mois pour obtenir un rendez vous dans un C.M.P (centre médico psychologique)
du service public,ou C.M.P.P (centre médico psycho pédagogique) du service semi public, et ne peuvent accéder financièrement à une consultation avec un psychologue exerçant en libéral (seulement remboursée par quelques rares et coûteuses mutuelles) et donc encore moins à des soins psychiques s’ils s’inscrivent dans la durée.

Voir en ligne : avaaz.org

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Peut-on se fier à la classification américaine des maladies mentales ?

Le DSM est le petit nom du Manuel Diagnostique et Statistique des troubles mentaux (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders), Aujourd’hui, j’ai le plaisir de recevoir Steeves Demazeux pour son livre : Qu’est-ce que le DSM qui vient de paraître aux Editions Ithaque.

La santé mentale, c’est un peu le nouvel objet de notre siècle, son point aveugle, en même temps que son soleil vert.

Voir en ligne : Steeves Demazeux ANNE-CATHERINE LOCHARD © RADIO FRANCE

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Pharmacologie de l’accident vasculaire cérébral

L’accident vasculaire cérébral (AVC) , hémorragique ou ischémique, représente le plus grand défi pour la neuropharmacologie et la société toute entière, responsable de décès, de handicap, d’hospitalisation et de drames physiques, psychologiques et familiaux.

Voir en ligne : Hervé Allain - Laboratoire de Pharmacologie Expérimentale et Clinique - Faculté de Médecine de Rennes

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Phtalate de butyle et de benzyle

D’après les données disponibles, on conclut que le phtalate de butyle et de benzyle ne pénètre pas dans l’environnement en une quantité ou en une concentration ou dans des conditions de nature à avoir, immédiatement ou à long terme, un effet nocif sur l’environnement, à mettre en danger l’environnement essentiel pour la vie humaine ou à constituer un danger au Canada pour la vie ou la santé humaine.

Voir en ligne : Loi canadienne sur la protection de l’environnement

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Phthalates

La Société canadienne du cancer s’inquiète du risque accru de cancer que pourrait entraîner l’exposition à certains phtalates. Elle craint qu’une exposition à de fortes concentrations de phtalates n’ait des effets à long terme sur la santé.
Qu’est-ce que les phtalates ?
Les phtalates (prononcer « ftalates ») sont un groupe de composés chimiques qui sont parfois appelés « plastifiants » car ils sont ajoutés à certains produits – habituellement de plastique – afin de rendre ces derniers plus mous et plus flexibles.

Voir en ligne : Société canadienne du cancer.

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Physiothérapie du vertige paroxystique positionnel bénin

Le vertige paroxystique positionnel bénin est le vertige le plus fréquent en ORL, il atteint un tiers des patients vertigineux. Ce vertige vrai, rotatoire, bref (20 secondes en moyenne) est déclenché par l’orientation de la tête selon un certain plan. Typiquement, le patient allongé dans son lit constate qu’il déclenche un grand vertige en se tournant d’un côté, et le reproduit en se remettant sur le dos, mais pas en se tournant de l’autre côté. En position debout, d’autres mouvements peuvent aussi déclencher ce vertige, par exemple regarder en l’air ou se pencher.

Voir en ligne : Michel Toupet, Centre d’Explorations Fonctionnelles Oto-Neurologiques

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Pignons de pin : l’Anses rend un nouvel avis

Depuis l’été 2008, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) et les centres antipoison et de toxico-vigilance ont enregistré des signalements d’amertume transitoire après consommation de pignons de pin. Ces signalements ont parfois été relayés par des forums internet. Dans d’autres pays européens, les autorités sanitaires ont également rapporté des signalements d’amertume mais les analyses et contrôles n’ont pas permis à ce jour de détecter des contaminants ou des résidus physico-chimiques particuliers dans les lots incriminés.

Voir en ligne : Anse Agence nationale de sécurité sanitaire Alimentation Environnement Travail

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Pilule du Lendemain

95% des Grossesses non désirées seraient évitées par la prise dans les 24 Heures de la pilule du Lendemain
Une proportion substantielle des 11% de baisse des avortements aux Etats-Unis résulte de l’emploi de la contraception d’urgence.

Voir en ligne : Planning Familial belge

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Pilules estroprogestatives et risque thrombotique

Quelle est la situation actuelle des pilules estroprogestatives en France ?
Quelles ont été les principales étapes de la ré-évaluation des pilules estroprogestatives ?
Quelles sont les informations mises à disposition des femmes et des professionnels de santé sur le risque thromboembolique des pilules estroprogestatives de 3ème et 4ème générations ?
Quelles sont les données sur le risque thrombotique issues de la base nationale de pharmacovigilance ?
Quelles sont les données sur le risque thromboembolique veineux issues des études de pharmacoépidémiologie ?
Quelles sont les actions que l’ANSM a mis en place pour limiter le risque thromboembolique lié aux pilules de 3ème et 4ème générations ?

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

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Pipettes et autres dispositifs d’administration des solutions buvables : attention aux erreurs - Point d’Information

L’ANSM a été destinataire de nombreux signalements d’erreurs médicamenteuses en lien avec l’utilisation des dispositifs d’administration des solutions buvables de médicaments, comme les pipettes, compte-gouttes ou cuillères-mesure. Ces erreurs concernent majoritairement des enfants. Afin d’alerter les professionnels de santé et les parents de ce risque, l’ANSM lance une campagne de sensibilisation.

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

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Pitié pour votre dos - les maladies du dos. De quoi s’agit-il ?

Plus de la moitié des humains ont, ont eu ou auront "maille à partir avec leur dos". Ce que vous appelez maladie du dos, les médecins l’appellent "affection rachidienne", c’est-à-dire maladie de la colonne vertébrale. Heureusement, surtout si elles sont bien reconnues et traitées, la plupart de ces affections sont bénignes et peuvent rester sans conséquence importante ou sans suite. Ne soyez donc pas pessimiste. C’est à vous, par votre comportement, d’en prévenir l’apparition, les rechutes, les complications et leurs séquelles. Mais les maladies du dos peuvent avoir des causes différentes qui appellent des mesures de prévention et des soins particuliers

Voir en ligne : Assureurs, Prévention, Santé

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Pityriasis rosé de Gibert

Eruption cutanée, aiguë, bénigne de l’adolescent ou de l’adulte jeune, spontanément résolutive, d’étiologie inconnue. Cette eruption erythémateuse, inflammatoire modérée se caractérise par la présence de lésions maculopapuleuses finement squameuses couleur saumon. Sa caractéristique la plus frappante est la présence d’une lésion arrondie ou ovalaire initiale. L’éruption généralisée affecte essentiellement le tronc et celle-ci est souvent spontanément résolutive.

Voir en ligne : DermIS

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Pityriasis rosé de Gibert

Le pityriasis rosé, décrit par M. Gibert en 1860, est une dermatose éruptive aiguë, fréquente, bénigne et spontanément résolutive. Son diagnostic clinique est facile, sauf dans les formes atypiques, très diverses mais rares. Son étiologie n’est pas établie mais semble infectieuse, d’origine virale. La conduite thérapeutique doit éviter toute mesure intempestive ou inutilement agressive.

Voir en ligne : J.-P. DENOEUX | Thérapeutique dermatologique, Médecine-Sciences Flammarion

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pityriasis rosé de Gibert

Madame, Monsieur, Vous êtes atteint(e) d’un pityriasis rosé de Gibert. Cette affection est d’origine inconnue, mais probablement en rapport avec un virus, car il existe des épidémies saisonnières. Elle évolue en six semaines environ et guérit sans séquelle et sans aucun traitement. L’affection est plus fréquente chez l’adolescent et l’adulte jeune.

Voir en ligne : SFTG Paris-Nord

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Pityriasis rosé de Gibert (rappel sur la maladie)

Le pityriasis rosé, décrit par M. Gibert en 1860, est une dermatose éruptive aiguë, fréquente, bénigne et spontanément résolutive. Son diagnostic clinique est facile, sauf dans les formes atypiques, très diverses mais rares. Son étiologie n’est pas établie mais semble infectieuse, d’origine virale. La conduite thérapeutique doit éviter toute mesure intempestive ou inutilement agressive.

Voir en ligne : J.-P. DENOEUX

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Place de l’imagerie dans le diagnostic de la cervicalgie commune, la névralgie-cervico brachiale et de myélopathie cervicale chronique (Recommandations)

La névralgie cervico-brachiale est définie par une douleur et/ou une dysesthésie parcourant le membre supérieur selon un trajet radiculaire. Seule la névralgie cervico-brachiale commune d’étiologie mécanique ou virale est envisagée, les causes tumorales ou infectieuses et traumatiques sont exclues.

Voir en ligne : Agence Nationale d’Accréditation et d’Evaluation en Santé

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Place de l’endométriose dans le diagnostic différentiel des douleurs pelviennes chroniques

Dans le cadre des douleurs pelviennes chroniques, l’endométriose est importante par sa fréquence et ses conséquences dans la vie d’une femme. C’est une affection qui touche de 3 à 10% des femmes en âge de procréer. Les manifestations cliniques sont des douleurs pelviennes chroniques, les dysménorrhées, les dyspareunies, les symptômes urinaires et digestifs, ainsi que l’infertilité. La symptomatologie est variée, l’examen clinique difficile à interpréter sans expérience. Ceci explique probablement les retards de diagnostic. Lenteur, multiplication des consultations, chirurgies complexes engendrent non seulement des souffrances physiques mais aussi psychologiques, avec des retentissements importants. C’est pourquoi il est important de reconnaître le plus rapidement possible l’endométriose dans le diagnostic différentiel des algies pelviennes chez la femme.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Plaintes de claudication : facteur prédictif d’artérite périphérique ?

"Existe-t-il une différence pour les douleurs dans les membres inférieurs entre des personnes souffrant ou non d’artérite périphérique (AP) ? Existe-t-il un lien entre ces douleurs à l’effort chez des sujets présentant une artérite périphérique et un diabète, un accident vasculaire cérébral (AVC), un IMC élevé, ou un tabagisme ?"

Voir en ligne : Minerva revue d’evidence based medicine

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Plan antibiotiques

Le dossier Internet concernant le plan antibiotiques a été mis en place dans le cadre des réflexions sur le Plan national pour préserver l’efficacité des antibiotiques.
Il a pour objectif de mettre à la disposition des professionnels de santé des informations actualisées sur les antibiotiques et les résistances bactériennes.

Voir en ligne : plan-antibiotiques.sante.gouv.fr

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Plan canadien de lutte contre la pandémie d’influenza dans le secteur de la santé

Le Plan canadien de lutte contre la pandémie d’influenza dans le secteur de la santé (le Plan) a été élaboré selon un processus de collaboration et de consultation entre les représentants des gouvernements fédéral, provinciaux, territoriaux, locaux et régionaux, d’experts dans leurs domaines respectifs et d’intervenants non gouvernementaux. L’élaboration originale du Plan fut coordonnée par Santé Canada selon les directives du Comité sur la pandémie de l’influenza, un comité consultatif technique fédéral, provincial et territorial. L’édition 2006 du Plan fut coordonnée par l’Agence de la santé publique du Canada. Le Plan est offert pour des fins d’information afin d’appuyer une planification cohérente et approfondie de la réponse du secteur de la santé par les gouvernements et autres intervenants selon leurs rôles et leurs responsabilités respectifs advenant une pandémie d’influenza au Canada.

Voir en ligne : Agence de la santé publique du Canada

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Plan d’action pour les crises d’asthme - situation d’urgence

Le Plan d’action pour les crises d’asthme - situation d’urgence est un outil pratique conçu pour aider les professionnels de la santé qui travaillent en milieu d’urgence ou qui sont susceptibles de côtoyer dans leur pratique des personnes aux prises avec une crise d’asthme.

Voir en ligne : Conseil du médicament

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Plan national de prévention et de lutte « Pandémie grippale

La situation épidémiologique mondiale, l’importance des échanges et les connaissances tirées des pandémies grippales du XXème siècle ont amené le gouvernement à arrêter, en octobre 2004, un premier plan de lutte contre une nouvelle pandémie grippale et à lancer un processus planifié d’acquisition de moyens de prévention et de lutte. La présente édition est la quatrième, la précédente datant du 9 janvier 2007.

Voir en ligne : Premier Ministre - Secrétariat Général De La Défense Nationale

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Plan National Nutrition Santé

La vie très active que nous menons fait que nous avons moins de temps libre ; de ce fait, nous mangeons souvent vite, mal et de manière irrégulière, et nous bougeons de moins en moins. Pour infléchir cette tendance, le Ministre fédéral de la Santé publique a lancé en avril 2006 le Plan National Nutrition Santé (PNNS). Ce plan, qui s’étale sur 5 ans, contient de petites et de grandes actions dans différents domaines qui peuvent aider à la prise en charge de cette problématique

Voir en ligne : SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement de Belgique

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Planification d’une campagne de vaccination contre le nouveau virus A(H1N1)

Face à la menace de pandémie grippale du nouveau virus A(tIlNl), le Gouvernement entend mettre en place une réponse sanitaire évolutive exceptionnelle pour la période 2009-2010 (cf. fiche nol). Dans la perspective d’une diffi,rsion de la pandémie en France au cours de I’automne prochain, il a en particulier décidé de préparer une grande campagne de vaccination. Cette solution est apparue la mieux à même de repondre, dans des délais contraints et avec l’effrcacité sanitaire la plus forte possible, aux caractéristiques de ce nouveau virus et aux spécificités de la production de nouveaux vaccins. Cette campagne n’a pas vocation à se renouveler I’an prochain. Dans ce cadre, le Gouvernement a commandé des doses de vaccin, afin d’être en mesure de proposer, si cela s’avérait nécessaire, à l’ensemble de la population une couverture vaccinale contre le nouveau virus.

Voir en ligne : SPLF Société de Pneumologie de Langue Française

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Pleurésie

La pleurésie est l’enflure de la plèvre des poumons. La plèvre est composée de deux couches de tissus (membranes) qui enveloppent chacun de vos poumons et qui couvrent les parois de votre cage thoracique. La plèvre comprend deux couches sur chaque poumon.

Voir en ligne : Corporation des sciences de la santé de l’Atlantique

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Pneumonie

La pneumonie (du grec pneumôn : poumon) définit l’infection du poumon.
Elle correspond à ce que l’on appelle communément une congestion pulmonaire.
L’atteinte élective ou prédominante de l’une ou l’autre des structures des poumons a conduit à individualiser plusieurs formes anatomiques et cliniques :

  • pneumonie franche,
  • broncho-pneumonie,
  • pneumonie interstitielle ( appelée encore atypique quand elle est localisée).

Voir en ligne : Comité National Contre les maladies respiratoires - CNMR

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Pneumonie

La pneumonie est une infection respiratoire particulière : au lieu de toucher le nez, la gorge ou les bronches, elle atteint les poumons eux-mêmes. La plupart du temps, c’est une partie seulement d’un poumon qui est atteinte. Le tissu pulmonaire de cette région se remplit alors de sécrétions purulentes et ne peut plus faire son travail.

Voir en ligne : Collège québécois des médecins de famille.

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Pneumonie

C’est la première cause de mortalité dans le monde chez l’enfant. On estime que 1,8 million d’enfants meurent chaque année de pneumonie, soit plus que du sida, du paludisme et de la rougeole réunis. Elle peut être provoquée par des virus, des bactéries ou des champignons. La prévention est possible grâce à la vaccination, un état nutritionnel satisfaisant et une amélioration des facteurs environnementaux. On peut traiter les pneumonies avec des antibiotiques, mais moins de 20 % des enfants reçoivent les antibiotiques dont ils ont besoin.

Voir en ligne : OMS Organisation Mondiale de la Santé

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Pneumonie : que faire en cas d’échec de traitement ?

Pour près d’un patient sur cinq, hospitalisés pour une pneumonie communautaire, le traitement antibiotique choisi empiriquement va échouer. En cas d’échec, le pronostic est assez réservé puisque la mortalité est de 43%. La plupart du temps l’échec peut être attribué au patient lui-même, c’est-à-dire aux comorbidités plutôt qu’au choix de l’antibiotique ou au pathogène. Les études qui s’y sont intéressées montrent que la résistance aux antibiotiques de l’agent causal est une cause rare d’échec, contrairement à un traitement discordant. Dans ces études, les analyses multivariées ont permis de montrer que la concordance thérapeutique (à savoir la couverture de l’agent causal par l’antibiotique choisi), la vaccination contre la grippe, une monocytose et un âge avancé sont tous des facteurs protecteurs face à l’échec thérapeutique.

Voir en ligne : Article de D. Genné R. Rakotoarimanana - Revue Médicale Suisse

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Pneumonie acquise en communauté chez l’adulte

* Un des principaux facteurs de risque de la résistance de S. pneumoniae est la prise d’antibiotiques dans les 3 mois précédents. Dans ce cas, on devrait utiliser une classe différente d’antibiotiques. • Le traitement initial est toujours empirique. Actuellement, aucun test ne permet d’identifier rapidement l’étiologie des pneumonies. Les suggestions thérapeutiques sont modulées par la probabilité d’un germe selon le contexte épidémiologique (ambulatoire ou hospitalisé), la présence de facteurs de comorbidité ou la gravité de la pneumonie.

Voir en ligne : CDM - Conseil Du Médicament Québec

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Pneumonie. Qu’est-ce que c’est ?

La pneumonie est une infection des poumons qui peut être causée par divers germes (bactéries, virus ou champignons). Lorsque vous respirez ces germes, ils vont se loger dans les petits sacs (alvéoles) de vos poumons, où ils peuvent se développer et vaincre les défenses naturelles de votre corps.

Voir en ligne : Association pulmonaire du Canada

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Pneumonie. Qu’est-ce que c’est ?

La pneumonie est une infection des poumons qui peut être causée par divers germes (bactéries, virus ou champignons). Lorsque vous respirez ces germes, ils vont se loger dans les petits sacs (alvéoles) de vos poumons, où ils peuvent se développer et vaincre les défenses naturelles de votre corps.

Voir en ligne : Association pulmonaire du Canada

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Pneumopathie d’inhalation

Syndrome d’inhalation ou syndrome de Mendelson = pneumopathie due à l’inhalation de liquide gastrique stérile
Pneumonie d’inhalation = infection par aspirationsde pathogènes de la sphère oropharyngée

Voir en ligne : oncorea.com

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Pneumopathies communautaires

Une pneumopathie est dite communautaire lorsqu’elle est acquise hors de l’hôpital ou se révèle dans les 48 premières heures d’hospitalisation. Le terrain est un élément majeur de l’évolution et du pronostic des pneumopathies aiguës. Les principales étiologies bactériennes des PAC sont le pneumocoque, mycoplasme, chlamydia, légionnelle, Haemophilus influenzae

Voir en ligne : Dr Der Sahakian Guillaume, Dr Julia Chiaretto, par SAU Hôtel Dieu

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  • (Maladies, symptômes et pathologies)

Pneumopathies d’inhalation

· Le terme pneumopathie d’inhalation se réfère spécifiquement au développement radiographique d’un infiltrat évident chez des patients qui sont à risque accru d’inhalation du contenu oropharyngé. · Le contexte de survenue peut être communautaire ou nosocomial. · La pneumopathie d’inhalation est la cause la plus commune de décès chez les patients présentant une dysphagie due à des troubles neurologiques.

Voir en ligne : G. Hilbert *, F. Vargas Département de réanimation médicale, CHU Bordeaux,

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Point de situation au 1 décembre 2009 sur l’activité de la grippe A (H1N1) 2009

• En semaine 48 (du 23 au 29 novembre 2009), la circulation du virus A (H1N1) 2009 continue à progresser sur l’ensemble du territoire. • Le nombre de consultations pour grippe clinique en médecine de ville a augmenté dans les trois réseaux Sentinelles, Grog et SOS Médecins. Cette augmentation est observée dans la plupart des régions de France métropolitaine, à l’exception de l’Île-de-France. ► 993 000 consultations pour infections respiratoires aiguës liées à la grippe A (H1N1) 2009 estimées par le Réseau des Grog.

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire

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Point de situation au 10 novembre 2009 sur la grippe A (H1N1) 2009

Chaque semaine, l’Institut de veille sanitaire (InVS) analyse les données sur l’activité de la grippe A (H1N1) 2009 et publie ses résultats dans un bulletin hebdomadaire qui paraît le mercredi sur le site internet de l’InVS (excepté cette semaine, où la parution est repoussée au jeudi 12 novembre 2009).

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire

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Point de situation au 10 novembre 2009 sur l’activité de la grippe A (H1N1) 2009

Chaque semaine, l’Institut de veille sanitaire (InVS) analyse les données sur l’activité de la grippe A (H1N1) 2009 et publie ses résultats dans un bulletin hebdomadaire qui paraît le mercredi sur le site internet de l’InVS (excepté cette semaine, où la parution est repoussée au jeudi 12 novembre 2009).

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire

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Point de situation au 29 septembre 2009 (11h) Le virus A (H1N1) 2009 continue à circuler.

Le recours aux soins pour grippe clinique et infections respiratoires aiguës tend à se stabiliser. Du 21 au 29 septembre 2009, l’incidence des consultations pour grippe clinique estimée par le réseau Sentinelles a légèrement augmenté pour atteindre 234 cas pour 100 000 habitants se situant toujours au-dessus du seuil épidémique (96 cas pour 100 000 habitants). L’excès hebdomadaire de consultations pour grippe clinique, est estimé à 130 000 consultations. La proportion d’infections respiratoires aiguës (IRA) parmi les actes médicaux est relativement stable selon le réseau Grog. Les réseaux SOS Médecins et Oscour indiquent une légère baisse de l’activité liée aux syndromes grippaux.

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire

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Point de situation au 6 décembre 2009 sur l’activité de la grippe A (H1N1) 2009

• En semaine 49 (du 30 novembre au 6 décembre 2009), la circulation du virus A (H1N1) 2009 se maintient à un niveau élevé sur l’ensemble du territoire. • Le réseau Sentinelles montre une augmentation des consultations pour grippe clinique. Cette augmentation est moins importante que les semaines précédentes. Pour le Réseau des Grog, l’activité liée à la grippe paraît se stabiliser à un niveau élevé. Pour le réseau SOS Médecins, l’activité diminue légèrement dans la plupart des régions.

Voir en ligne : Invs Institut de Veille Sanitaire

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Point de situation au 6 octobre 2009 (11h) - Le virus A (H1N1) 2009 continue à circuler.

Le recours aux soins en médecine de ville pour grippe clinique et infections respiratoires aiguës est stable. La part du virus A (H1N1) 2009 dans ce recours aux soins reste faible. Du 28 septembre au 4 octobre 2009, l’incidence des consultations pour grippe clinique estimée par le réseau Sentinelles reste stable à 217 cas pour 100 000 habitants et se situe toujours au-dessus du seuil épidémique (102 cas pour 100 000 habitants).

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire

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Point de situation de la grippe A (H1N1) au 16 février 2010

La circulation du virus A (H1N1) 2009 est faible et peut être considérée comme sporadique. ● Le nombre de consultations pour grippe est en dessous du seuil épidémique pour la septième semaine consécutive. ► 44 000 consultations pour infections respiratoires aiguës liées à la grippe A (H1N1) 2009 (données non consolidées) estimées par le Réseau des Grog en semaine 6.

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire

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Point sur les conditions d’utilisation de comprimés d’iode et sur leurs risques

L’iode est un oligo-élément naturel indispensable au bon fonctionnement la glande thyroïde, responsable de la sécrétion d’hormones indispensables au fonctionnement de l’organisme : En situation normale, notre organisme trouve ses apports en iode dans l’eau et les aliments. En cas d’accident sur une installation nucléaire, il peut être exposé à une forme radioactive de l’iode, l’isotope 131, un des multiples produits de la fission de l’uranium. Cet iode radioactif est susceptible de pénétrer dans l’organisme par simple respiration ou par l’ingestion d’aliments et de boissons contaminés après l’accident, notamment le lait. Il va se fixer sur la thyroïde (dont les cellules ne font pas la différence entre les deux formes d’iode) où ses rayonnements peuvent provoquer des dégâts cellulaires susceptibles à terme de dégénérer en cancer.

Voir en ligne : INC - Institut National du Cancer

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Pollution atmosphérique, vos droits et démarches : Environnement

  • Surveillance de la qualité de l’air
  • Les différentes émissions polluantes
  • Niveaux réglementaires de pollution
  • Mesures d’urgence en cas de pollution atmosphérique
  • Information du public et recommandations en cas de pollution atmosphérique
  • Activités industrielles polluantes : installations classées

Voir en ligne : Service-public édité par la Documentation française

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Polyarhrite rhumatoïde (PR)

La polyarthrite rhumatoïde est un rhumatisme inflammatoire chronique qui affecte plusieurs articulations (poignets, coudes, genoux, chevilles, hanches, cou…). C’est une maladie évolutive, qui débute le plus souvent après quarante ans. Elle touche trois femmes pour un homme. Elle est responsable d’un handicap fluctuant et peu visible, mais contraignant et douloureux.

Voir en ligne : APF

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Polyarthrite rhumatoïde - Qu’est-ce que c’est ?

La polyarthrite rhumatoïde est un rhumatisme caractérisé par une inflammation de plusieurs articulations. « Poly » signifie plusieurs, et « arthr » signifie articulation. La polyarthrite rhumatoïde est le rhumatisme inflammatoire chronique le plus répandu. Elle touche environ 1% de la population générale et est trois fois plus fréquente chez la femme que chez l’homme. La maladie peut survenir à tout âge, y compris dans l’enfance, mais elle débute le plus souvent entre 40 et 60 ans. Elle se manifeste principalement par des douleurs et des gonflements articulaires.

Voir en ligne : Planète Santé

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Polyarthrite rhumatoïde : diagnostic et prise en charge initiale

Les objectifs de ces recommandations sont d’évaluer et de proposer les éléments les plus pertinents pour le diagnostic et la prise en charge de la PR initiale afin de favoriser un diagnostic précoce et de permettre l’instauration précoce d’un traitement de fond. Le but poursuivi est d’avoir un impact en termes de : • prévention, ralentissement ou contrôle de la progression de la PR et de ses complications ; • réduction de la douleur ; • prévention de la perte de fonction dans les activités quotidiennes et au travail (optimisation de la qualité de vie).

Voir en ligne : Recommandation pour la pratique clinique - Haute Autorité de Santé

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Possibilité d’erreurs médicales avec la suspension orale Tamiflu

OTTAWA - Santé Canada a pris connaissance d’une alerte que le Secrétariat aux produits américains et pharmaceutiques (FDA) a émise aujourd’hui concernant des erreurs de posologie associées à la suspension orale Tamiflu (nom commercial du médicament oseltamivir) et étudie la situation au Canada. Le Tamiflu est utilisé pour traiter l’influenza.

Voir en ligne : Santé Canada

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Pour la Cnamts, moins de 5% des prescriptions comportent la mention ‘NS’

Annoncée il y a des mois, l’Assurance maladie a enfin dévoilé son étude sur l’utilisation par les médecins de la mention ‘non substituable’. Des chiffres en profond décalage avec ceux du Gemme. 4,8% : c’est le taux d’ordonnance comportant au moins une fois la mention ’NS’, d’après une étude de l’Assurance maladie. Dévoilée mercredi 6 juin, l’enquête de la Cnamts révèle également qu’il y a 4,2% de ’NS’ à la ligne de produits et 4,4% à la boîte délivrée. « Cet ordre de grandeur de moins de 5% permet d’affirmer que la pratique du NS est globalement limité », analyse Frédéric van Roekeghem.

Voir en ligne : Impact-santé

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Pour la sécurité des patientes, l’ANSM engage une procédure de suspension de l’AMM de Diane 35 et de ses génériques - Communiqué

Diane 35 est un médicament utilisé dans le traitement de l’acné et non un contraceptif. A l’issue de l’évaluation de l’ensemble des données disponibles, l’ANSM estime que le rapport bénéfice/risque de Diane 35 et de ses génériques est défavorable dans le traitement de l’acné, au regard notamment du risque thromboembolique veineux et artériel auxquels ils exposent les femmes traitées. De surcroît, l’usage important de ces médicaments en tant que contraceptifs n’est pas conforme et leur efficacité comme contraceptif n’a pas été démontrée par des études cliniques appropriées.

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

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Pour mieux soigner : des médicaments à écarter

Trop de médicaments à balance bénéfices-risques défavorable sont commercialisés.  Prescrire  publie une série de médicaments à écarter des soins, et à remplacer par de meilleures solutions, en attendant que les autorités de santé les retirent du marché.

Voir en ligne : Prescrire

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Pour prévenir efficacement l’ostéoporose

Faites vos exercices chaque jour pendant 10 à 15’. Commencer par marcher souplement dans la pièce, au rythme d’une musique agréable, pendant 5’. Respecter le principe essentiel de la prévention de l’ostéoporose, qui privilégie toujours :

  • la marche et la position debout
  • la position debout à la position assise
  • la position assise à la position couchée _ Monter les escaliers à pied au lieu d’utiliser l’ascenseur, marchez tous les jours pendant au moins 15’. Un fois par semaine, faites une marche plus longue et plus rapide, une balade à bicyclette ou nagez

Voir en ligne : Ostéogym

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Pour traiter l’épicondylite, l’observation attentive, la physiothérapie ou l’infiltration de corticostéroïdes ?

La physiothérapie combinant les manipulations du coude et les exercices a un bénéfice supérieur à l’observation attentive à six semaines et à l’infiltration de corticostéroïdes après 52 semaines, ce qui représente une option de traitement valable à moyen et à long termes. Le fort pourcentage de récidives doit être pris en considération lorsqu’on envisage l’infiltration de corticostéroïdes.

Voir en ligne : Critique et Pratique, Université Laval, Faculté de médecine

Sujets associés


Pourquoi certaines populations vivent-elles plus longtemps que d’autres ?

De l’avantage d’être riche, cultivé et Japonais.
En 1960, les Japonais vivaient moins longtemps que les populations des autres pays de l’OCDE, et aujourd’hui ils ont l’espérance de vie la plus élevée... Etre un haut fonctionnaire de l’administration britannique procure un avantage certain pour vivre plus longtemps... Aux Etats-Unis, après un infarctus, la probabilité de décès peut varier de 1 à 3 selon le groupe social auquel on appartient... Comment expliquer ces écarts et ces disparités ?

Voir en ligne : La Recherche

Sujets associés


Pourquoi craindre une nouvelle pandémie ?

Chaque année, une épidémie de grippe a lieu et, bien que la grippe ne soit pas bénigne pour tous, elle ne met pas en émoi pouvoir publics, spécialistes de la santé public, médecins, médias et grand public. Les virus responsables de ces épidémies annuelles évoluent régulièrement mais lorsqu’un changement brutal du virus apparaît, la population n’est pas immunisée, le nombre de personnes touchées est plus élevé : on parle alors de pandémie. Lors des trois pandémies qui ont eu lieu au XXème siècle (en 1918-19, en 1957-58 et en 1968-69), le taux d’attaque était de l’ordre de 50 à 60% mais seulement la moitié des personnes contaminées présentaient des symptômes.

Voir en ligne : réseau Sentinelles

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Pourquoi dit-on que l’ostéoporose est un problème de santé publique ? :

L’ostéoporose est une maladie osseuse fréquente, caractérisée par une diminution de la densité des os du squelette, et par une modification de leur architecture interne qui les rend moins résistants. C’est la maladie des os fragiles. Cette fragilité osseuse est responsable de fractures...

Voir en ligne : Société Française de Rhumatologie

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Pourquoi entreprendre une psychanalyse ?

A la différence de la psychologie (universitaire) et de la psychiatrie (médicale), une psychanalyse est une pratique, une expérience, un art... Elle vise à explorer son inconscient afin d’arriver à vivre plus en accord avec soi-même, les autres et le monde environnant. Une psychanalyse est une expérience vivante, qui met en place un lieu de liberté de parole. Elle repose sur une conception de l’humain posé comme un être libre de son existence, responsable de ce qui fait vie et humanité en lui, quels que soient les choix de vie, les appartenances religieuses, philosophiques, sociales… S’appuyant principalement sur la relation à l’autre, aux autres, et sur le langage, une psychanalyse tend à libérer ses ressources les plus enfouies. Elle aide à sortir de ses impasses et conduit vers la mise au jour, puis la mise en oeuvre de ses désirs.

Voir en ligne : psychanalyse-in-situ.com

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Pourquoi et comment le stress au travail est dangereux pour la santé

Six salariés sur dix ont un travail stressant. Comment fonctionne le stress ? Quels sont ses effets ? Dominique Chouanière présente l’état des connaissances scientifiques. Elle souligne qu’il faut développer la prévention à la source en identifiant les facteurs collectifs liés à l’organisation du travail.

Voir en ligne : Dominique Chouanière Responsable du pôle " Santé au travail ", Institut de santé au travail, Lausanne, Suisse.

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Pourquoi fait-on un ulcère gastrique ou duodénal ?

L’ulcère duodénal ou gastrique résulte d’un déséquilibre en un point précis de la muqueuse, entre des facteurs d’agression (sécrétions acide et peptique) et des facteurs de défense (mucus, épithélium de surface, vascularisation muqueuse, faculté de la muqueuse à s’opposer à la rétrodiffusion des ions H+ et prostaglandines). Il est généralement admis que dans l’ulcère duodénal, le facteur dominant est l’agression chlorhydropeptique alors que dans l’ulcère gastrique c’est l’altération de la muqueuse gastrique. Ce déséquilibre résulte de l’intrication de différents facteurs génétiques et d’environnement.

Voir en ligne : SNFGE Société Nationale Française de Gastro-entérologie

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Pourquoi les femmes survivent aux hommes ?

Une fille née en 1996 peut espérer vivre six ans de plus qu’un garçon. A la naissance, les hommes ne peuvent aujourd’hui espérer atteindre des âges aussi élevés que les femmes. Mais cet avantage féminin n’a pas toujours existé. Apparu dans la première partie du siècle, il n’a cessé de s’accentuer depuis. Quelles en sont les raisons, biologiques ou socioculturelles ? Les deux aspects interviennent, mais pour l’heure la part culturelle semble l’emporter.

Voir en ligne : La Recherche

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Pourquoi manger à heures fixes ?

Toute personne qui cherche à perdre du poids le sait. Parmi les bonnes règles d’hygiène alimentaire telles que "manger cinq fruits et légumes par jour", on trouve "prendre trois repas par jour et à heures fixes". Mais pourquoi est-il préférable de s’alimenter toujours à la même heure ? Y a-t-il une véritable raison à cela ou ne s’agit-il que d’une légende urbaine ? Une récente étude scientifique, réalisée dans le cadre d’une collaboration entre le laboratoire du docteur Gad Asher de l’Institut des sciences Weizmann et le laboratoire du docteur Xianlin Han de l’Institut de recherche médicale Sanford-Burnham (Etats-Unis), indique que ce dogme populaire aurait une base scientifique.

Voir en ligne : bulletins-electroniques.com

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Pourquoi perdons nous nos cheveux ?

Le Docteur Pascal Reygagne, responsable de la consultation du cuir chevelu à l’hôpital St Louis à Paris, a expliqué que l’alopécie androgénétique ( 90 % des cas ) est lente, diffuse et dépend des hormones masculines présentes dans le sang. La Testostérone se transforme en dihydrotestostérone ( DHT ) qui abrège la phase de croissance et provoque un amincissement du cheveu. " Elles se fixent dans le follicule, l’activent, et l’épuisent prématurément ". C’est aussi cette forme active de l’hormone qui augmente la production de sébum, particulièrement visible à la puberté..

Voir en ligne : Stop Calvitie

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Pourquoi, quand et comment doser les nouveaux anticoagulants oraux ?

Plusieurs anticoagulants oraux directs (AOD) sont maintenant largement utilisés dans la prévention et le traitement de la maladie thromboembolique. Contrairement aux antagonistes de la vitamine K, les AOD possèdent une pharmacocinétique et une pharmacodynamique prédictibles. C’est pourquoi, ils sont administrés le plus souvent à dose fixe sans suivi de la coagulation en routine. Cependant, pour certaines sous-populations ou circonstances cliniques, la mesure de l’exposition au médicament peut être utile : suspicion de surdosage, patients présentant un événement hémorragique ou thrombotique en cours de traitement, patients en insuffisance rénale, ou ceux nécessitant une chirurgie urgente. Cet article fournit des lignes de conduite pratiques et résume l’influence des AOD sur les tests classiques de coagulation.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Pourquoi, quand et comment doser les nouveaux anticoagulants oraux ?

Plusieurs anticoagulants oraux directs (AOD) sont maintenant largement utilisés dans la prévention et le traitement de la maladie thromboembolique. Contrairement aux antagonistes de la vitamine K, les AOD possèdent une pharmacocinétique et une pharmacodynamique prédictibles. C’est pourquoi, ils sont administrés le plus souvent à dose fixe sans suivi de la coagulation en routine. Cependant, pour certaines sous-populations ou circonstances cliniques, la mesure de l’exposition au médicament peut être utile : suspicion de surdosage, patients présentant un événement hémorragique ou thrombotique en cours de traitement, patients en insuffisance rénale, ou ceux nécessitant une chirurgie urgente. Cet article fournit des lignes de conduite pratiques et résume l’influence des AOD sur les tests classiques de coagulation.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Poux de tête

Les poux sont de petits insectes sans ailes, qui vivent dans les cheveux, les sourcils et les cils et se transmettent très facilement d’une tête à une autre. Les enfants, surtout entre 3 et 12 ans, se transmettent les poux plus que les adultes car ils se touchent beaucoup plus les uns des autres et partagent plus souvent leurs objets personnels. C’est pourquoi les écoles, les garderies et les camps de vacances sont des lieux propices à la transmission des poux.

Voir en ligne : Collège québécois des médecins de famille.

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Poux... Poux... Poux...

"Les poux de tête ne causent pas toujours de démangeaisons. Ils se trouvent souvent chez les enfants qui fréquentent le milieu scolaire ou le milieu de garde, particulièrement au retour des vacances. Ils s’attaquent à tout le monde, les riches comme les pauvres. Ils aiment autant les cheveux propres que les cheveux sales. Ils se nourrissent de sang humain...

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Services sociaux [québécois]

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Pratique clinique 2010 pour le diagnostic et le traitement de l’ostéoporose au Canada

• Le traitement de l’ostéoporose doit être guidé par une évaluation du risque absolu pour les patients d’avoir une fracture en rapport avec l’ostéoporose. • Les fractures de fragilisation augmentent le risque de fractures ultérieures et doivent être prises en compte dans l’évaluation. • Les modifications des habitudes de vie et du traitement pharmacologique doivent être personnalisées pour augmenter l’adhésion au plan de traitement

Voir en ligne : Conseil consultatif scientifique de la Société de l’ostéoporose du Canada

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Pratiques de soins non conventionnelles

Les pratiques non conventionnelles présentées comme étant thérapeutiques sous le nom de « médecines alternatives », de « médecines complémentaires », de « médecines douces » ou de « médecines naturelles », ou non thérapeutiques comme la « médecine esthétique », connaissent un développement croissant. De nombreuses personnes y ont recours sans que leur nombre ne soit précisément connu. Des risques peuvent exister lors de leur mise en œuvre et les bénéfices attendus méritent de faire l’objet d’une information claire et objective.

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Sports

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Pratiques et organisation des soins | Revue scientifique trimestrielle à comité de lecture

Dans le monde francophone, la revue Pratiques et Organisation des Soins est une des seules revues spécialisées dans l’analyse du système de soins. Elle s’adresse aux chercheurs et aux acteurs et décideurs qui s’investissent, travaillent, interviennent dans la régulation du système de soins. Dans ce secteur éditorial peu investi, elle a incité des auteurs à publier quand ils n’avaient pas propension à le faire par manque de support adapté à leur publication. Ainsi, elle a favorisé le développement du corpus de connaissances sur les mécanismes de fonctionnement et de régulation des systèmes de soins.

Voir en ligne : ameli.fr

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Précautions à prendre pour la prévention de la listériose chez les femmes enceintes, les patients immuno-déprimés et les personnes âgées

  • Aliments à éviter
  • Règles d’hygiène à respecter

Voir en ligne : INvS Institut de Veille Sanitaire

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Précisions sur la gestion des travailleurs de la santé exposés au virus de la grippe A(H1N1)

Depuis la publication des recommandations du comité sur le sujet en titre, l’OMS a rehaussé le niveau d’alerte à la pandémie à la phase 6 devant l’évolution de la transmission à travers le monde. Des précisions doivent donc être apportées aux indications de prophylaxie antivirale post-exposition des travailleurs de la santé au virus de la grippe A(H1N1) et aux mesures de prévention et contrôle à appliquer avec ceux qui auraient été exposés lors de leur travail. Le présent document complète et apporte des précisions aux avis et recommandations du CINQ « Prophylaxie antivirale postexposition à un cas probable ou confirmé d’infection liée à la souche émergente de grippe A(H1N1) d’origine porcine en milieux de soins » du 15 mai 2009. Les recommandations du présent document ont préséance sur celles du 15 mai 2009 lorsqu’il y a divergence de position entre les deux documents.

Voir en ligne : Comité sur les infections nosocomiales du Québec (CINQ) |

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Premier cas autochtone de dengue en France métropolitaine

Un premier cas autochtone de dengue en France métropolitaine a été confirmé le 10 septembre 2010 à Nice (Alpes-Maritimes). Il s’agit d’un cas isolé et aucun autre cas n’a été signalé à ce jour. Le patient est guéri et en bonne santé. Pour information, dans le cadre du dispositif de surveillance et de confirmation biologique accélérée mis en place dans les départements à risque (départements où le moustique Aedes Albopictus est présent : Alpes- Maritimes, Var, Bouches-du-Rhône, Corse du Sud, Haute-Corse et Alpes de Haute Provence (commune d’Entrevaux)) 108 cas importés de dengue ont été confirmés entre le 1er mai (date de début de la surveillance saisonnière) et le 10 septembre 2010.

Voir en ligne : DGS Direction générale de la Santé

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Premier cas confirmé de coronavirus en France - Point de situation et mise en place d’un numéro vert - 0 800 13 00 00 et joignable du lundi au samedi, de 9h à 19h

Un cas d’infection respiratoire aiguë liée au nouveau coronavirus (NCoV) a été signalé à l’Institut de Veille Sanitaire (InVS) par le Centre national de référence (CNR) de l’Institut Pasteur qui a procédé aux analyses virologiques. C’est le premier et seul cas confirmé en France à ce jour.
http://www.sante.gouv.fr/alertes-sa...

Voir en ligne : Ministère de la Santé

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Prescription ; Les héparines à bas poids moléculaire, à toutes les sauces…

Ces prescriptions reposent-elles sur des arguments scientifiques valables ? _ Sont-elles sans danger ?
Dans quelles interventions chirurgicales il y a-t-il un risque accru de thrombose veineuse profonde (TVP), avec risque d’embolie pulmonaire ?
Sur quelles études ces propositions reposent-elles, et quel en est le niveau de preuve ?

Voir en ligne : Groupe de Recherche et d’Action pour la Santé

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Prescription des examens biologiques liés à l’exploration thyroïdienne en ambulatoire en Île-de-France

Des progrès considérables dans la connaissance de la physiopathologie thyroïdienne et des techniques d’analyse biologique ainsi qu’une médiatisation importante des affections de la thyroïde peuvent expliquer la fréquence élevée des ordonnances d’examens biologiques thyroïdiens. En Île-de-France, le montant remboursé des actes d’exploration thyroïdienne représentait 5,5% du montant total des actes de biologie remboursés au premier semestre 2002, soit un montant de 9 825 841 €, pour un montant France entière de 6,5 % soit 135,7 millions d’€.

Voir en ligne : URCAM

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Prescription du médicament en médecine générale Deuxième partie : Paradoxes et propositions

Le second volet de cette étude a permis de dégager différents « profils » de prescripteurs selon leurs rapports à l’ordonnance, aux autres professionnels et aux patients, et d’après leurs biographies, motivations personnelles et parcours professionnels. Les paradoxes culturels que met en évidence cette étude dépassent la médecine générale. Les médecins se trouvent démunis face aux stratégies commerciales des firmes pharmaceutiques, même après les récentes « affaires ». Il ne peut être possible de dépasser ces déterminants culturels qu’avec des choix de rythmes de travail, de collaboration professionnelle et de partage de la décision avec les patients soignés.

Voir en ligne : Anne Vega - John Libbey Eurotext

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Prescription du médicament en médecine générale Première partie : déterminants culturels de la prescription chez les médecins français

Les façons de soigner ­ comme les façons de se soigner ­ ont des dimensions culturelles complexes. Les médecins évoluent au sein de cultures et sont issus de milieux sociaux qui véhiculent des représentations, valeurs, normes, idéologies et croyances qui influencent leurs pratiques. Ces déterminants sont de première importance pour la santé publique, l’organisation des soins et leur financement. Concernant les prescriptions, la plupart des études sont anglo-saxonnes, les études françaises étant éparses ou peu opérationnelles. L’objectif principal du travail présenté ici a donc été de mieux cerner les influences culturelles qui pèsent sur les décisions de precription des médecins généralistes français, souvent présentés comme acteurs « pivots de notre système de santé ».

Voir en ligne : Anne Vega - John Libbey Eurotext

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Prescription et contrôle des arrêts de travail pour cause de maladie au regard de la déontologie médicale

Cette étude est nécessaire actuellement pour au moins trois raisons : l’article 25 de la loi sur le financement de la sécurité sociale pour l’an 2000 dispose : " Les médecins sont tenus de mentionner, lorsqu’ils établissent une prescription d’arrêt de travail, les éléments d’ordre médical justifiant l’interruption du travail "

Voir en ligne : Rapport adopté lors de session d’avril 2000 - Conseil de l’Ordre des médecins - Dr. William Junod

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Prescription médicamenteuse par téléphone

Dans ce contexte, en cas de prescription par téléphone, certaines spécificités de la régulation médicale doivent être prises en compte : · le médecin ne connaît pas le patient ; · l’appelant peut ne pas être le patient ; · le médecin prescripteur ne peut pas procéder à un examen physique ; · la prescription par téléphone peut être envisagée en cas de classification de degré d’urgence R3 ou R41. Après l’examen de la situation et l’analyse de l’état du patient avec les informations dont il dispose par téléphone, le médecin régulateur identifie le niveau de gravité de l’urgence. En fonction de ce niveau de gravité, il prend la décision de déclencher ou pas une intervention médicale par les moyens les plus appropriés. S’il décide de ne pas déclencher de moyen, le médecin régulateur apprécie alors la nécessité ou non d’une prescription médicamenteuse par téléphone. En cas de doute, celui-ci doit bénéficier au patient.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Prescription médicamenteuse par téléphone (ou téléprescription) dans le cadre de la régulation médicale

La régulation médicale des appels permet de garantir à la population une écoute médicale permanente afin de déclencher la réponse la mieux adaptée à la nature des appels et de permettre si besoin l’accès immédiat aux soins. Dans ce contexte, en cas de prescription par téléphone, certaines spécificités de la régulation médicale doivent être prises en compte

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Prévenir la prise de poids à l’arrêt du tabac : pas de solution miracle

La prise de poids après l’arrêt de la cigarette peut être une barrière pour l’initiation ou le succès d’un sevrage tabagique. Depuis plusieurs années, des pharmacothérapies et interventions ont été développées pour aider le sevrage tabagique et limiter la prise de poids à l’arrêt du tabac. Dans cette revue systématique, les auteurs examinent l’efficacité sur la prise de poids : 1) d’interventions spécifiques pour limiter la prise de poids à l’arrêt du tabac ; 2) d’interventions d’aide à l’arrêt du tabac ayant peut-être un effet sur le poids.

Voir en ligne : Rev Med Suisse

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Prévenir les pierres aux reins

Les lithiases rénales mieux connues sous le nom de « pierres aux reins » se définissent par la formation de cristaux solides qui se logent dans les canaux du système urinaire. Normalement, des composés présents dans l’urine empêchent ces minéraux de s’agglomérer ensemble mais, dans certains cas ils se lient les uns aux autres et forment des pierres. Toutefois, certaines mesures peuvent aider à prévenir ce douloureux problème.

Voir en ligne : Extenso Centre de référence sur la nutrition humaine

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Prévention cardio-vasculaire : le choix de la statine la mieux adaptée dépend de son efficacité et de son efficience

La prévention cardio-vasculaire repose d’abord sur la mise en oeuvre de mesures hygiéno-diététiques. Si la prescription d’une statine est jugée nécessaire, le choix de la molécule et de sa dose dépend du niveau de risque du patient, de l’existence ou non d’antécédents cardio-vasculaires, du taux initial de LDL-cholestérol (LDL-c) et de la réduction du LDL-c recherchée. On préférera la statine ayant, dans ces conditions, la meilleure efficience (rapport coût/efficacité).

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Prévention de l’ulcére gastrique et duodénal

De quoi s’agit-il ?
Comment apparaît-il ?
Quels sont les facteurs qui le favorisent ?
Que puis-je faire ?

Voir en ligne : Swissweb de la prévention

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Prévention de la dengue et chikungunya en France métropolitaine

Ce dépliant à destination des professionnels de santé traite des maladies transmises par les moustiques du genre "Aedes albopictus", responsables de la dengue et du chikungunya. Introduit en France métropolitaine en 2004 dans les Alpes-Maritimes, le moustique vecteur de la transmission de ces maladies - classiquement tropicales - , est présent dans 5 régions (17 départements) en mai 2013, et sa zone d’implantation est constante. Le document indique les signes cliniques, la conduite à tenir en cas de suspicion (le signalement et déclaration obligatoire sont indispensables à la prévéntion), le traitement et la prise en charge thérapeutique. Il renvoie pour plus d’information à différents dossiers, infographies et recommandations émanant du ministère en charge de la santé, de l’InVS, du Haut Conseil de la santé publique ainsi que de diverses sociétés savantes.

Voir en ligne : INPES - Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé

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Prévention des cancers cutanés. Mélanome et exposition solaire. Campagne 2003

Selon l’OMS, le comportement des personnes au soleil est la principale cause de l’augmentation des taux de cancers de la peau enregistrée au cours des dernières décennies. L’augmentation des activités de plein air, très appréciées, et l’évolution des habitudes en matière d’exposition au soleil entraînent souvent une exposition excessive aux UV. De nombreuses personnes croient qu’il est normal, voire bénéfique, de s’exposer longuement au soleil et, malheureusement, beaucoup d’enfants et de parents considèrent même que le bronzage est symbole de beauté et de bonne santé. Mais le bronzage n’est que le signe de lésions causées par les UV et représente le système de défense de la peau pour éviter des lésions plus importantes.

Voir en ligne : Ministère de la santé, de la Jeunesse et des Sports (France)

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Prévention des risques thromboemboliques veineux pendant la grossesse

L’incidence des complications thromboemboliques veineuses pendant la grossesse se situe entre 0.1 à 0.9 % selon que les études incluent ou non la période du post-partum (1,2). En effet c’est la période où le risque de thrombose et d’embolie pulmonaire est le plus élevé. D’ailleurs la mortalité par embolie pulmonaire est de 5 pour 100000, ce qui représente la deuxième cause de mortalité maternelle en France et aux U.S.A.

Voir en ligne : Sylvia BELLUCCI, Ludovic DROUET. Service d’Angio-hématologie, Hôpital Lariboisière, Paris

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Prévention du cancer - généralités

Les spécialistes ont constaté qu’en modifiant certaines habitudes, il est possible d’accroître son bienêtre quotidien, de se sentir en meilleure forme tout en diminuant les risques de tomber malade d’un cancer. Ils ont établi quelques recommandations dans ce sens. Si tout le monde les respectait, les décès liés au cancer diminueraient en tous cas de moitié. Se protéger contre le cancer ? C’est possible !

Voir en ligne : Ligue Genevoise contre le Cancer

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Prévention du cancer colorectal

Le cancer colorectal (CCR) constitue un problème important de santé publique. Il s’agit d’un des cancers les plus fréquents et sa mortalité avoisine les 50%. Cet article fait le point sur les différentes méthodes de prévention et de dépistage au niveau de la population à risque moyen de développer un CCR. Vu son évolution lente à travers des lésions précancéreuses, il est judicieux de dépister des sujets à risque moyen et de surveiller les sujets à risque élevé.

Voir en ligne : Rev Med Suisse

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Prévention du cancer de la peau

Personne n’est complètement à l’abri des effets du soleil. Le risque de cancer de la peau, beaucoup plus élevé aujourd’hui qu’il y a 20 ans, ne cesse de s’accroître. Nous sommes maintenant exposés à une plus grande quantité de rayons ultraviolets (UV) puisque la couche protectrice d’oz one qui entoure notre atmosphère s’amincit en raison de la pollution et des substances chimiques.

Voir en ligne : Société canadienne du cancer

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Prévention du cancer du col de l’utérus (12 décembre 2007)

Le cancer du col utérin se prête idéalement au dépistage puisque l’on dispose d’un outil simple et éprouvé, le frottis, et que son histoire naturelle est longue : en le dépistant, on va mettre en évidence non seulement des cancers infra cliniques, mais nombre de lésions précancéreuses ; en les traitant, on fait la prévention secondaire du cancer invasif au point qu’on a pu dire qu’il allait disparaître. S’il a diminué en France de façon considérable en 25 ans, son incidence passant de 22/100 000 en 1975 à 8/100 000 en 2000, les chiffres stagnent ces dernières années.

Voir en ligne : CNGOF (Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français)

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Prévention du spina bifida par l’acide folique

Une prévention primaire des anomalies de fermeture du tube neural - spina bifida et anencéphalie en étant les 2 formes les plus fréquentes - par la prise d’acide folique durant la période périconceptionnelle, a prouvé son efficacité non seulement pour prévenir une éventuelle récurrence après naissance d’un premier enfant ou ftus atteint, mais aussi dans la population générale pour diminuer le risque de survenue de ces malformations

Voir en ligne : C. De Vigan, B. Raoult, V. Vodovar, J. Goujard - Registre des malformations congénitales de Paris

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Prévention et aide à distance en santé

Depuis plusieurs décennies, l’aide à distance en santé s’est considérablement développée en France, tout d’abord avec les services de téléphonie santé qui apportent une assistance, de l’information, de l’orientation aux personnes qui les sollicitent. Plus récemment depuis les années 2000, une nouvelle offre a émergé avec Internet : information, forums de discussion, échange par questions/réponses, la plupart des services de téléphonie santé ont développé une offre complémentaire sur Internet, jusqu’au « coaching » destiné à aider les fumeurs dans leur démarche de sevrage tabagique. Ce dossier central fait le point sur des évolutions et présente un état des connaissances scientifiques doublé d’un état des pratiques professionnelles.

Voir en ligne : Télécharger La Santé de l’homme 422 (INPS)

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Prévention et traitement des escarres de l’adulte et du sujet âgé

L’objectif de cette conférence de consensus est de répondre aux sept questions suivantes, posées au jury :

  1. Comment décrire et évaluer les stades de l’escarre ?
  2. Quels sont les facteurs de risque et les échelles de risque ?
  3. Quelles sont les mesures générales de prévention ?
  4. Quels sont les traitements de l’escarre ?
  5. Quels sont les supports de prévention et de traitement des escarres ?
  6. Quel est le retentissement psycho-social et sur la qualité de vie, et quelles sont les incidences économiques ?
  7. Quelles éducation, formation et information du patient et de sa famille ?

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Prévention nutritionnelle des cancers

Huit facteurs nutritionnels dont la relation avec le cancer est jugée convaincante ou probable s’avèrent pertinents en termes d’exposition en France.

Voir en ligne : Réseau national alimentation cancer recherche (NACRe)

Sujets associés


Prévention vasculaire après un infarctus cérébral ou un accident ischémique transitoire

Les recommandations portent sur la prévention secondaire des événements vasculaires (accident vascu- laire cérébral, infarctus du myocarde et décès d’origine vasculaire), parce que l’infarctus cérébral confère non seulement un risque élevé de récidive, mais aussi un risque conséquent d’infarctus du myocarde et de décès d’origine vasculaire. Elles concernent les patients adultes ayant eu un accident ischémique transi- toire (AIT) ou un infarctus cérébral (IC) après la phase aiguë, alors que le diagnostic a déjà été établi. La durée de la phase aiguë varie de quelques jours à plusieurs semaines en fonction de la taille et de la sévé- rité de l’IC. La prévention vasculaire comprend une prévention globale par le contrôle des facteurs de risque et un traitement spécifique en fonction de l’étiologie de l’IC ou de l’AIT.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Prévisions et observations de la qualité de l’air en France et en Europe

Compte tenu de leurs effets sanitaires potentiels, les phénomènes de pollution particulaire font l’objet d’une surveillance particulière. Dans ce cadre, le système PREV’AIR système national de prévision de la qualité de l’air développé par l’INERIS, Météo-France, l’ADEME et le CNRS, pour le compte du Ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement Durable et de l’Aménagement du Territoire (MEEDDAT) a prévu et permis d’analyser les premiers épisodes de particules printaniers de l’année, qui ont fait leur apparition en Europe de l’Ouest la semaine dernière. La France, la Belgique, les Pays Bas et l’Allemagne ont été plus particulièrement concernés.

Voir en ligne : PREV’AIR

Sujets associés


Principales étiologies des anémies hémolytiques

Elles sont soit corpusculaires, soit extra-corpusculaires

Voir en ligne : LABORATOIRE D’HEMATOLOGIE DU C.H.U. D’ANGERS (Pr M. ZANDECKI)

Sujets associés


Principe du droit d’accès au dossier médical

Toute personne a le droit d’accéder à l’ensemble des informations concernant sa santé détenues, à quelque titre que ce soit, par des professionnels et des établissements de santé, qui sont formalisées ou ont fait l’objet d’échanges écrits entre professionnels de santé.

Voir en ligne : Service-public.fr

Sujets associés


Principes directeurs sur la séquence de la vaccination contre la grippe H1N1

Il est reconnu que certaines personnes, ou certains groupes de personnes, n’ayant pas été désignées ci-dessous pourraient être exposées à des risques plus élevés d’être atteintes gravement ou d’être hospitalisées, en raison de leurs conditions socio-économiques et de leur mode de vie, de leur accès aux soins de santé et de leurs risques élevés d’exposition au virus de la grippe H1N1. On examinera la possibilité de cibler ces personnes dans le cadre du programme d’immunisation, au fur et à mesure que nous disposerons de plus amples connaissances sur l’évolution du virus. On examiner également la possibilité d’immuniser des groupes supplémentaires, si cela s’avère nécessaire pour atténuer la perturbation de l’ordre social.

Voir en ligne : Agence de la sané publique du Canada

Sujets associés


Principes généraux de réparation du dommage corporel

  • Les différentes conditions de survenue du dommage
  • Les assurances dommages corporels
  • La responsabilité civile en droit commun
  • La réparation du dommage corporel en droit commun

Voir en ligne : Pr BARRET - Faculté de Médecine de Grenoble

Sujets associés


Principes généraux et conseils de prescription des antibiotiques en premier recours

Le but de cette fiche mémo est d’éviter la prescription inappropriée des antibiotiques, source de pression de sélection, qui aboutit à l’émergence des résistances bactériennes et à des impasses thérapeutiques.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Priorité vos enfants : Prévention routière enfants

Découvrez les conseils de la Prévention routière adaptés à vos enfants

Voir en ligne : Prévention Routière

Sujets associés


Prise de position sur le dossier du patient en ligne

La cybersanté a pour visée principale d’accroître l’efficacité dans le système de santé et de donner des compétences individuelles au patient, afin qu’il puisse déterminer de quelle façon ses données seront utilisées et participer à l’organisation des processus. Cela suppose que le patient possède l’accès à ses données et les com- pétences nécessaires pour les administrer. C’est à ce titre que doit intervenir le dossier du patient

Voir en ligne : Société Suisse de Médecine Générale (SSMG)

Sujets associés


Prise en charge de l’acné

La prévalence de l’acné est voisine de 100% au cours de l’adolescence et sa gravité diffère selon les individus. Quatre vingt cinq pour cent des adolescents ont une acné minime, les 15% restants ont une acné grave qui est une notion difficile à définir.

Voir en ligne : Recommandations professionnelles de l’ANDEM

Sujets associés


Prise en charge de l’hépatite chronique c - guide affections de longue durée

L’objectif du guide patient est d’expliquer au malade admis en ALD, au titre d’une hépatite C, les principaux éléments du traitement et du suivi. Il contient également une liste de contacts utiles. Ce guide lui est remis par le médecins traitant en même temps que le protocole de soins validé par le médecin conseil de la caisse d’Assurance maladie. Liste des actes et prestations.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Prise en charge de l’infarctus du myocarde

Depuis 2007, un programme pilote est conduit avec le groupe national de coopération dédié à l’amélioration de la prise en charge de l’infarctus du myocarde. Cette plateforme d’échanges réunit, sous l’égide de la HAS, l’ensemble des acteurs impliqués, depuis la douleur jusqu’au suivi à 1 an post-infarctus : médecins et professions paramédicales, conseils nationaux, sociétés savantes et organisations professionnelles, experts coordinateurs de registres de pratique, d’observatoire, d’études et enquêtes.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Prise en charge de l’insomnie

Chez les patients insomniaques sans problèmes sous-jacents, l’efficacité de la thérapie comportementale et cognitive dans l’amélioration du sommeil est au moins aussi importante que l’administration d’hypnotiques . Pendant les premières semaines, les benzodiazépines sont susceptibles de prolonger la durée du sommeil d’une heure en moyenne . Ce bénéfice doit être mis en balance avec le risque d’effets indésirables et de dépendance, en particulier chez les personnes âgées

Voir en ligne : CBIP - Centre Belge d’Information Pharmacothérapeutique

Sujets associés


Prise en charge de la bronchiolite du nourrisson

L’objectif de cette conférence de consensus est de répondre aux six questions suivantes, posées au jury :
1. Quelle est l’histoire naturelle de la maladie ?
2. Quels sont les critères de l’hospitalisation ?
3. Quels traitements (hors kinésithérapie) proposer ?
4. Quelle est la place de la kinésithérapie respiratoire dans la prise en charge de la bronchiolite du nourrisson ? 5. Comment organiser les soins ? 6. Quels sont les moyens de prévention ?

Voir en ligne : Conférence de consensus - HAS Haute Autorité de santé

Sujets associés


Prise en charge de la cholestase gravidique

l ne faut jamais négliger au cours de la grossesse la survenue de symptômes d’origine hépatique, car ils peuvent annoncer plusieurs affections hépatiques propres à la grossesse. Les symptômes peuvent être au départ légers et discrets, mais évoluer vers des situations catastrophiques. La cholestase gravidique est l’affection hépatique liée à la grossesse la plus fréquente. Elle est la deuxième cause d’ictère au cours de la grossesse et, surtout, peut se compliquer de prématurité, de souffrance foetale, voire de mort in utero. Une meilleure connaissance de cette affection au cours des dernières années a modifié sa prise en charge.

Voir en ligne : B. LANGER Département de Gynécologie-Obstétrique, Hôpital de Hautepierre, STRASBOURG.

Sujets associés


Prise en charge de la diarrhée aiguë

Dans nos régions, la diarrhée aiguë est le plus souvent d’origine virale, et évolue presque toujours spontanément de manière favorable. La prise en charge consiste surtout à prévenir et traiter la déshydratation, particulièrement dans les groupes à risque (nourrissons et jeunes enfants, personnes âgées, personnes atteintes d’une affection chronique telle le diabète). Les solutions de réhydratation orale occupent une place importante dans le traitement de la déshydratation, et en prévention de celle-ci dans les groupes à risque. En cas de déshydratation grave, une hospitalisation s’impose avec souvent une réhydratation par voie intraveineuse. Les antibiotiques ne sont que très rarement indiqués en pratique ambulatoire. Les patients atteints d’une diarrhée grave (fièvre, altération de l’état général avec des selles sanguinolentes, tableau septique), certainement les enfants, doivent être hospitalisés ; les antibiotiques seront alors souvent administrés par voie intraveineuse.

Voir en ligne : Centre Belge d’Information Pharmacothérapeutique

Sujets associés


Prise en Charge de la Lithiase Biliaire

Depuis la conférence de consensus sur la lithiase vésiculaire de 1991, les techniques chirurgicales sous coelioscopie se sont développées et de nouveaux moyens diagnostiques sont apparus. Il est donc nécessaire d’actualiser les recommandations pour la prise en charge diagnostique et thérapeutique des malades atteints de lithiase vésiculaire et d’établir des recommandations sur la prise en charge de la lithiase de la voie biliaire principale

Voir en ligne : Société nationale française de gastroentérologie (SNFGE), octobre 2010.

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Prise en Charge de la Lithiase Biliaire

Depuis la conférence de consensus sur la lithiase vésiculaire de 1991, les techniques chirurgicales sous coelioscopie se sont développées et de nouveaux moyens diagnostiques sont apparus. Il est donc nécessaire d’actualiser les recommandations pour la prise en charge diagnostique et thérapeutique des malades atteints de lithiase vésiculaire et d’établir des recommandations sur la prise en charge de la lithiase de la voie biliaire principale. Quatre questions seront abordées :

Voir en ligne : Société Nationale Française de Gastroentérologie

Sujets associés


Prise en charge de la macrocytose chez la personne âgée

La recherche de l’étiologie de la macrocytose chez la personne âgée se fait aisément au cabinet de médecine générale. L’origine étant le plus souvent médicamenteuse ou carentielle, le traitement qui en découle est simple et la plupart du temps efficace.

Voir en ligne : Service de Médecine Gériatrique, Centre Hospitalier Régional de Dinant

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Prise en charge de la migraine au cabinet d’un médecin généraliste

Le médecin généraliste belge est souvent confronté à des patients souffrant de céphalées dont la migraine est l’un des diagnostics possibles. Une étude montre que le diagnostic de migraine peut être amélioré. Seule la moitié des patients souffrant de migraine est diagnostiquée comme telle ; le dépistage est une stratégie possible afin d’op- timiser le diagnostic de la migraine. La migraine est un problème de santé fréquent chez les adultes. Il est associé à une morbidité élevée et à d’importantes répercussions sur le plan socio-économique

Voir en ligne : SSMG - Société Scientifique de Médecine Générale

Sujets associés


Prise en charge de l’accident vasculaire cérébral ischémique à la phase aigue

Les accidents vasculaires cérébraux (AVC) ont des conséquences très importantes en termes de décès et de han- dicap. Des progrès importants ont été réalisés en prévention secondaire. On peut également améliorer le traitement de l’AVC à la phase aiguë. En 1996, la FDA a admis l’Alteplase® ou rt-PA comme traitement efficace et sûr de l’AVC s’il est administré dans les 3 heures qui suivent l’installation du déficit. Plus de 10 ans plus tard, ce traitement est encore sous-utilisé, principalement en raison, d’une part, d’une mauvaise connais- sance dans la population des symptômes de l’AVC et de leurs conséquences, et, d’autre part, d’une prise en charge par les services d’urgence mal adaptée.

Voir en ligne : Revue Médicale de Liège

Sujets associés


Prise en charge de l’asthme en médecine de premier recours

Avec une prévalence d’environ 7%, l’asthme est l’une des maladies chroniques les plus fréquentes en Suisse. Elle est caractérisée par une évolution fluctuante avec des périodes sans symptômes et des épisodes d’exacerbation pendant lesquels peut survenir un épisode aigu ou « crise d’asthme ». Le médecin praticien doit être capable d’en faire le diagnostic, d’en assurer la prise en charge, en particulier le suivi médicamenteux et les enseignements pratiques qui y sont associés, en collaboration avec la médecine spécialisée (pneumologie, allergologie).

Voir en ligne : Rev Med Suisse

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Prise en charge de l’hémochromatose liée au gène HFE (hémochromatose de type 1)

L’hémochromatose HFE (hémochromatose de type 1) est une maladie de surcharge en fer génétiquement déterminée (génotype C282Y homozygote), de transmission autosomique récessive, de pénétrance incomplète et d’expressivité variable. Les recommandations figurant ci-dessous concernent les conditions de prise en charge des sujets hémochromatosiques pour lesquels un diagnostic d’homozygotie C282Y du gène HFE vient d’être établi. Elles sont consultables dans leur entier sur le site « www.has-sante

Voir en ligne : Synthèse des recommandations (HAS, consensus formalisé d’experts, juillet 2005)

Sujets associés


Prise en charge de l’hépatite C par les médicaments anti-viraux à action directe (AAD)

La commission de la transparence a estimé que SOVALDI apportait un service médical rendu (SMR) important dans l’indication de l’AMM (« en association à d’autres médicaments dans le trai- tement de l’hépatite C chronique de l’adulte »). Elle a aussi estimé qu’il apportait une amélioration du service médical rendu importante (ASMR II) dans la prise en charge des patients adultes infec- tés par un VHC, à l’exception des patients naïfs de traitement antiviral infectés par un VHC de gé- notype 3 chez lesquels l’apport thérapeutique est modéré (ASMR III)

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Prise en charge de l’hypertension artérielle de l’adulte

Pour améliorer la prise en charge de l’HTA dans la population des sujets vivant en France, la Société Française d’HTA propose une mise à jour en 2013 des recommandations pour la prise en charge de l’HTA de l’adulte. Ce texte a été conçu pour être utile à la pratique dans une forme synthétique afin de permettre sa bonne lisibilité. Son objectif est d’obtenir une large diffusion auprès des professionnels de santé et de la population des sujets traités. Une évaluation sur son impact auprès des professionnels de santé et sur les objectifs de santé publique sera mise en œuvre. Ces recommandations comportent 15 conseils à appliquer au cours de 3 périodes observées dans le suivi d’un hypertendu.

Voir en ligne : John Libbey Eurotext

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Prise en charge de l’incontinence urinaire en première ligne

La prise en charge de l’incontinence urinaire en première ligne consiste avant tout en des mesures non médicamenteuses (telles que l’entraînement vésical, la rééducation périnéale). Dans l’incontinence d’urgence et l’incontinence mixte, un traitement médicamenteux peut être envisagé lorsque le traitement non médicamenteux n’est pas suffisamment efficace ; des spasmolytiques anticholinergiques sont souvent utilisés. L’efficacité de ces spasmolytiques est comparable, et l’effet placebo est important. Il convient également de tenir compte des nombreux effets indésirables (surtout anticholinergiques) de ces médicaments. Dans l’incontinence d’effort et l’incontinence par regorgement, les médicaments n’ont certainement qu’une place limitée.

Voir en ligne : Centre Belge d’Information Pharmacothérapeutique

Sujets associés


Prise en charge de l’ulcère de jambe à prédominance veineuse hors pansement

1- Traiter par compression à haut niveau de pression en l’absence d’AOMI.
2- Favoriser les compressions multicouches.
3- Veiller à l’observance de la compression.
4- Adapter le traitement en cas d’AOMI associée.
5- Opérer les IV superficielles et/ou prescrire une compression au long cours pour prévenir les récidives

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Prise en charge de vos patients - Grippe A(H1N1)

  • Prise en charge médicale des personnes infectées par le VIH.
  • Prise en charge de l’adulte (plus de 40 kg)
  • Prise en charge de l’enfant (moins de 40 kg)
  • Le prélèvement naso-pharyngé
  • Les différents types de masques

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Sports [français]

Sujets associés


Prise en charge des brulés et premiers soins

Les brûlures sont des agressions cutanées fréquentes de gravité variable. Leur prise en charge doit commencer par une appréciation précise de leur gravité, en évaluant leur étendue et leur profondeur. Le pronostic vital du patient est engagé dès que la surface brûlée dépasse 20% de la surface corporelle chez l’adulte et 10% chez l’enfant. Elles nécessitent alors des soins initiaux, mais surtout une prise en charge rapide en milieu de réanimation, si possible en réanimation chirurgicale spécialisée dans le traitement des brûlés.

Voir en ligne : (Professeur Philippe MASSIN)

Sujets associés


Prise en charge des coliques néphrétiques de l’adulte dans les services d’accueil et d’urgences

La colique néphrétique est un syndrome douloureux lombo-abdominal aigu résultant de la mise en tension brutale de la voie excrétrice du haut appareil urinaire en amont d’une obstruction quelle qu’en soit la cause. 75 à 80 % des coliques néphrétiques sont liées à un calcul. La fréquence de la colique néphrétique est estimée entre 1 à 2 % des entrées d’un service d’urgences. Elle concerne préférentiellement l’homme de 20 à 60 ans et son taux de récidive est important.

Voir en ligne : SMFU - Société francophone de médecine d’urgence

Sujets associés


Prise en charge des comorbidités de l’insuffisance cardiaque.

Nous passerons en revue les comorbidités qui interfèrent le plus souvent avec la prise en charge de l’insuffisance cardiaque : l’anémie, l’insuffisance rénale, les bronchopneumopathies chroniques, le diabète, la fibrillation/flutter auriculaire, les apnées du sommeil, l’angor, l’hypertension artérielle, les affections rhumatismales, la dépression et le cancer.

Voir en ligne : Revue Médicale de Bruxelles

Sujets associés


Prise en charge des complications chez les malades atteints de cirrhose

Ces recommandations ont pour objectif de diminuer la morbi-mortalité associée à la cirrhose par le traitement et la prévention secondaire des complications quelle que soit la cause de l’atteinte hépatique.

Elles abordent la conduite à tenir devant : une ascite (première poussée et ascite réfractaire) un syndrome infectieux (infection du liquide d’ascite en particulier) une hémorragie digestive haute des troubles de la conscience un carcinome hépatocellulaire une insuffisance rénale (syndrome hépatorénal en particulier) une dyspnée

Voir en ligne : Recommandation pour la pratique clinique de la Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Prise en charge des complications évolutives d’un épisode dépressif caractérisé de l’adulte

OBJECTIF : diminuer la morbi-mortalité (prévention du suicide) des complications évolutives d’un épisode dépressif caractérisé (EDC) par la prise en charge des :

  • Récidives : mise en place d’un traitement préventif si nécessaire
  • Symptômes résiduels (EDC en rémission partielle) : identification des facteurs de risque de récidive et de passage à la chronicité
  • EDC chroniques (EDC > 2 ans) : reconnaissance et prise en charge

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Prise en charge des crampes idiopathiques des membres inférieurs

Les crampes des membres inférieurs sont une problématique fréquente en médecine ambulatoire ; leur prévalence augmente avec l’âge. La cause est idiopathique dans la majorité des cas. Dans les autres cas, on retrouve comme facteurs favorisants les déséquilibres électrolytiques, l’insuffisance artérielle et veineuse, les neuropathies périphériques, la grossesse et de nombreux médicaments. La quinine est le seul traitement permettant une diminution de la fréquence des crampes par rapport au placebo. Toutefois son usage n’est pas recommandé en raison de la gravité des effets secondaires potentiels, des interactions médicamenteuses et de sa marge thérapeutique étroite

Voir en ligne : Hôpitaux Universitaires Genève

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Prise en charge des fibromes utérins

C’est la tumeur bénigne la plus fréquente chez la femme en âge de procréer et la première indication d’hystérectomie chez les femmes en préménopause Les femmes de race noire développent plus de fibromes, à un âge plus jeune et d’une taille plus grande que les femmes de race blanche Il existe une prédisposition familiale et les facteurs significativement associés à la croissance des fibromes sont : l’obésité, un âge aux premières règles inférieur à 12 ans, la nulliparité et l’infertilité

Voir en ligne : Pr H. Fernandez | Recommandations du Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF )

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Prise en charge des infections à VZV

... Les principales molécules utilisées, outre les antalgiques usuels, sont l’amitriptyline (Laroxyl® Elavil®), la gabapentine (Neurontin®) et la carbamazépine (Tegretol®). L’amitriptyline entraine une diminution de moitié de l’intensité des douleurs chez 50% des patients, avec une moindre fréquence des paroxysmes douloureux... Il existe aussi des traitements faisant appel à des techniques physiques, comme la neurostimulation transcutanée, ou l’injection intrathécale hebdomadaire de méthylprednisolone + lidocaïne.

Voir en ligne : Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF)

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Prise en charge des infections des voies respiratoires basses de l’adulte immunocompétent

Document paru dans la Revue des maladies respiratoires en 2001. Y sont traités les questions suivantes : Faut-il traiter par antibiotiques les bronchites aiguës de l’adulte sain ou du bronchitique chronique non insuffisant respiratoire ? Par quelles molécules ? Chez quels types de patients ?Quelle doit être l’antibiothérapie de première intention des pneumonies aiguës communautaires ? Quelle doit être sa réévaluation en cas d’échec, compte tenu de l’évolution des agents responasbles, des résistances du pneumocoque et cela justifie-t-il des associations ?

Voir en ligne : Conférence de consensus en thérapeutique anti-infectieuse de langue française (SPILF).

Sujets associés


Prise en charge des méningites bactériennes aiguës communautaires (à l’exclusion du nouveau-né) - Conférence de Consensus 2008

Les méningites bactériennes aiguës communautaires sont défi nies par l’existence d’un syndrome infectieux avec, à l’examen du liquide céphalorachidien, mise en évidence d’une bactérie ou d’anomalies fortement évocatrices de cette étiologie. Que la méningite bactérienne aiguë soit prouvée ou simplement suspectée, la démarche clinique de prise en charge diagnostique et thérapeutique est une urgence absolue.

Voir en ligne : Infectiologie.com site de l’infectiologie française

Sujets associés


Prise en charge des patients adultes atteints d’hypertension artérielle essentielle - Actualisation 2005

Il a été démontré qu’une prise en charge optimale des patients hypertendus permet de réduire significativement le risque de survenue de complications cardiovasculaires. L’objectif de ce travail est de préciser les modalités de prise en charge diagnostique, thérapeutique et de suivi d’un patient présentant une HTA essentielle. Sont exclues du cadre de ces recommandations les urgences hypertensives, la prise en charge de l’HTA chez le sujet de moins de 18 ans, chez la femme enceinte, chez la femme prenant un contraceptif oral ou un traitement hormonal substitutif.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Prise en charge des patients en réanimation en situation de pandémie

La pandémie grippale pourra conduire à un nombre important de patients relevant de soins de réanimation par effet direct du virus sur l’organisme, ou par décompensation d’une pathologie chronique préexistante. Compte tenu des formes cliniques connues, la réanimation respiratoire pourra varier d’une assistance ventilatoire relativement simple à la prise en charge d’un syndrome de détresse respiratoire aiguë avec éventuelle défaillance multiviscérale associée. La durée de séjour en réanimation pourra ainsi varier fortement d’un patient à l’autre, de quelques jours à 2-3 semaines (la médiane de durée de ventilation pour les séries publiées de patients H1N1 est de 10 jours).

Voir en ligne : Ministère de la santé - DGS

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Prise en charge des plaies : rappels de vaccination antitétanique

Le calendrier vaccinal 2013 allonge les intervalles des rappels de vaccins diphtérie-tétanos-poliomyélite (dTPolio) chez l’adulte : ceux-ci sont désormais de vingt ans entre 25 et 65 ans. Un intervalle de dix ans est maintenu au-delà de cet âge.

Voir en ligne : HCSP Haut Conseil de la santé publique

Sujets associés


Prise en charge des risques cardiométaboliques en soins primaires

Les risques cardiométaboliques (RCM) désignent les facteurs de risque qui augmentent la probabilité d’être victimes d’un accident vasculaire ou de développer le diabète. Ce concept englobe les facteurs de risque traditionnels compris dans les calculateurs de risque, comme l’hypertension, la dyslipidémie et le tabagisme, ainsi que les facteurs de risque nouvellement reconnus comme l’obésité abdominale, le profil inflammatoire et l’ethnicité

Voir en ligne : Le Médecin de Famille Canadien

Sujets associés


Prise en charge des troubles du sommeil chez le sujet âgé

En France, la consommation de somnifères est particulièrement élevée, notamment chez le sujet âgé. Or, plus de la moitié des traitements ne seraient pas appropriés, les vraies insomnies étant rares chez le sujet âgé. Avec les professionnels de santé, la HAS a développé un projet pour améliorer la prescription de somnifères.

Voir en ligne : Explications du Dr Armelle Leperre-Desplanques, responsable du service programmes pilotes – impact clinique à la HAS.

Sujets associés


Prise en charge des troubles gastriques

Les troubles digestifs sont très fréquents chez les patients qui ont été vus en première ligne. Il est important de dépister des pathologies plus graves telles que l’ulcère gastrique et duodénal, l’oesophagite de reflux ou l’oesophagite de Barrett et de déceler à temps les cancers rares de l’estomac et de l’oesophage. Chez les patients de plus de 55 ans qui présentent pour la première fois des troubles gastriques ainsi que chez les patients qui présentent des symptômes d’alarme tels qu’une perte de poids, des troubles de la déglutition et une anémie, une endoscopie immédiate est toujours indiquée.

Voir en ligne : CBIP - Centre Belge d’Information Pharmacothérapeutique

Sujets associés


Prise en charge diagnostique et therapeutique des lombalgies et lombosciatiques communes de moins de trois mois d’evolution

Les présentes références s’appliquent aux lombalgies et lombosciatiques aiguës définies par un délai d’évolution inférieur à trois mois. La lombalgie est une douleur de la région lombaire n’irradiant pas au-delà du pli fessier, la lombosciatique est définie par une douleur lombaire avec une irradiation douloureuse distale dans le membre inférieur de topographie radiculaire L5 ou S1.

Voir en ligne : Has - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Prise en charge diagnostique des neuropathies périphériques

Quand suspecter une neuropathie périphérique ? Quels sont les principaux éléments typologiques, cliniques et électrophysiologiques ? Quel protocole électrophysiologique ? Quelles sont les indications de la biopsie nerveuse ? Pourquoi et comment surveiller l’apparition et l’évolution d’une polyneuropathie chez un patient ayant une affection » potentiellement causale (diabète, alcool, insuffisance rénale chronique, chimiothérapie anticancéreuse, traitement par thalidomide, neuropathies héréditaires) ?

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l’adulte et chez l’enfant

La migraine est une maladie bénigne mais handicapante qui peut altérer la qualité de vie des patients, perturber les relations affectives et retentir sur les activités professionnelles. La migraine doit être distinguée de la céphalée de tension, céphalée plus diffuse, non pulsatile, non aggravée par l’effort, moins intense, sans signes digestifs, parfois accompagnée de phonophobie ou de photophobie. Migraine et céphalées de tension sont souvent associées ou intriquées chez les mêmes patients.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Prise en charge diagnostique et thérapeutique des lombalgies et lombosciatiques communes de moins de trois mois d’évolution

La lombalgie est une douleur de la région lombaire n’irradiant pas au-delà du pli fessier, la lombosciatique est définie par une douleur lombaire avec une irradiation douloureuse distale dans le membre inférieur de topographie radiculaire L5 ou S1.

Voir en ligne : Texte des recommandations - ANAES

Sujets associés


Prise en charge diagnostique et thérapeutique d’une diarrhée aiguë de l’adulte immunocompétent

Les diarrhées et colites aiguës infectieuses représentent toujours dans les pays développés un problème de santé publique. L’OMS définit une diarrhée aiguë par l’émission de plus de 2 selles très molles à liquides par jour depuis moins de 14 jours ; de même, une colite est dite aiguë lorsque son diagnostic est porté dans les six semaines suivant le début de la diarrhée.

Voir en ligne : Pierre Desreumaux - Service des Maladies de l’Appareil Digestif et de la Nutrition, CHU Lille

Sujets associés


Prise en charge du syndrome d’Apnées du Sommeil dans le laboratoire de sommeil

Cette page a pour but de montrer comment nous abordons pratiquement le problème posé par les apnées du sommeil. Il s’agit d’une prise en charge pluridsciplinaire faisant appel à tous les membres de l’équipe soignante : Le médecin du sommeil, les infirmiers techniciens du sommeil, la diététicienne du service, l’avis du pneumologue

Voir en ligne : Fondation Bon Sauveur d’Alby

Sujets associés


Prise en charge en première ligne de la diarrhée aiguë chez l’enfant

La plupart des cas de diarrhée aiguë chez l’enfant évoluent spontanément de manière favorable et ne nécessitent pas de traitement médicamenteux. En première ligne, une réhydratation s’avère toutefois nécessaire en cas de risque de déshydratation ou en présence de signes de déshydratation. Dans ce cas, on optera de préférence pour une solution orale de réhydratation de faible osmolalité. Une antibiothérapie ne se justifie qu’exceptionnellement. Les antidiarrhéiques tels que le lopéramide et les adsorbants ne sont pas recommandés.

Voir en ligne : Folia Pharmacotherapeutica Belgique

Sujets associés


Prise en charge en situation d’urgence et en réanimation des états de mal épileptiques de l’adulte et de l’enfant

Il existe de nombreuses classifications des états de mal épileptiques (EME) répondant à des problématiques différentes : épidémiologique, descriptive, thérapeutique et physiopathologique. Les EME se traduisent par une grande variété de présentations électro-cliniques, et surviennent dans des contextes étiologiques et physiopathologiques très variés pouvant influencer le pronostic.

Voir en ligne : experts sous l’égide de la Société de réanimation de langue française - site éditeur SFMU Société Française de Médecine d’Urgence

Sujets associés


Prise en charge et prévention du paludisme d’importation à Plasmodium falciparum

Plus de 4000 cas de paludisme d’importation à Plasmodium falciparum sont dénombrés chaque année en France métropolitaine. Vingt malades en meurent tous les ans. Au moins deux tiers des malades atteints de paludisme sont hospitalisés pendant une durée moyenne de quatre jours. Ces chiffres illustrent les limites d’un système de santé qui n’empêche pas toujours une maladie évitable, qui ne guérit pas toujours une maladie curable et qui génère des coûts à son détriment.

Voir en ligne : 12ème Conférence de consensus en thérapeutique anti-infectieuse de la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF)

Sujets associés


Prise en charge initiale d’une brûlure - Hors présence médicale

On décompte en France, trois cents brûlures par cent mille habitants par an. C’est donc près de cent cinquante mille personnes qui sont brûlées chaque année en France. Une sur vingt nécessitera une hospitalisation. L’intervention des Sapeurs-Pompiers pour brûlure récente, s’inscrit dans ce constat chiffré. Reconnaître la brûlure grave, mettre en oeuvre précocement le traitement spécifique, savoir décrire des critères objectifs au Centre 15 pour obtenir une médicalisation sont les enjeux d’une intervention souvent complexe.

Voir en ligne : Jean-Luc GREINGOR - Benoît HOHL Service de Santé des Sapeurs Pompiers 57000 - Metz

Sujets associés


Prise en charge initiale d’une brûlure grave

Les premières 24 heures d’un brûlé engagent toute l’évolution future. Elles ne concernent que partiellement le centre de traitement des brûlés, le malade séjournant dans un hôpital général en attendant une évacuation. La prise en charge de ce malade très grave doit donc être bien connue de tous les spécialistes de l’urgence. Les limites du sauvetage du brûlé grave ont été repoussées très bien, elles exigent une chaîne de réanimation sans faille.

Voir en ligne : Dr. CARSIN H. Hôpital d’Instruction des Armées PERCY - CLAMART

Sujets associés


Prise en charge initiale des accidents vasculaires cérébraux

Le pronostic des Accidents Vasculaires Cérébraux (AVC) demeure, actuellement en France, sévère avec 50.000 décès par an. Parmi les survivants, plus de la moitié présentent des séquelles, physiques, cognitives ou psychologiques.

Voir en ligne : Docteurs Isabelle MOURAND et Didier MILHAUD - Service de Neurologie A Hôpital Gui de Chauliac - Montpellier

Sujets associés


Prise en charge initiale des patients adultes atteints d’accident vasculaire cérébral – Aspects paramédicaux

Les recommandations concernent la prise en charge paramédicale des patients atteints d’accident vasculaire cérébral (AVC) à la phase aiguë, c’est-à-dire environ dans les 15 premiers jours, à l’exclusion de l’hémorragie méningée. _Elles s’adressent aux infirmiers, aides soignants, masseurs-kinésithérapeutes, orthophonistes et à tous les autres professionnels impliqués dans la prise en charge des patients atteints d’AVC en phase aiguë.
Les principales questions abordées sont :
L’évaluation et la surveillance au cours des premières heures
La prévention et le traitement des complications immédiates
La rééducation précoce

Voir en ligne : Anaes- HAS

Sujets associés


Prise en charge masso- kinésithérapique dans la lombalgie commune : modalités de prescription

Les lombalgies communes représentent près de 6 millions de consultations en France chaque année et constituent la 3e cause d’invalidité en France. Parmi les traitements proposés, les prescriptions de masso-kinésithérapie représentent une part importante de la prise en charge du lombalgique : en 1998, plus d’un million de malades ont été traités par masso-kinésithérapie pour le rachis lombaire, ce qui représentait 30% des actes de cette thérapeutique, toutes pathologies confondues.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Prise en charge médicale des malades atteints de grippe et de leurs contacts en situation de pandémie

En période de pandémie, la saturation du système de soin est vraisemblable. La prise en charge des autres pathologies par l’ensemble des professionnels de santé risque d’être perturbée.
La prise en charge des malades atteints de grippe et de leurs contacts repose sur : la gravité de la maladie ; la disponibilité des traitements ; les moyens de prévention ; le taux d’attaque.

Voir en ligne : Plan national « Pandémie grippale »

Sujets associés


Prise en charge médicamenteuse de la douleur aiguë et chronique chez l’enfant

La lutte contre la douleur est l’un des enjeux majeurs du système de santé, en particulier en pédiatrie. Ces nouvelles recommandations ont pour but de contribuer à l’harmonisation des pratiques pédiatriques. En effet, de nombreux progrès ont été réalisés dans le domaine de la prise en charge de la douleur.

Voir en ligne : http://www.afssaps.fr/Infos-de-secu...

Sujets associés


Prise en charge non médicamenteuse de la maladie d’Alzheimer et des troubles apparentés

Les principales alternatives de traitements non médicamenteuses utilisées dans la maladie d’Alzheimer et la démence ont été identifiées et décrites. L’efficacité de ces méthodes a été présentée en se fondant sur les conclusions des principales méta-analyses et revues de la littérature. Une synthèse des principales recommandations et consensus d’experts est également présentée.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de santé

Sujets associés


Prise en Charge Pluridisciplinaire de la Fibromyalgie

syndrome douloureux chronique associant douleurs diffuses, asthénie et fatigabilité depuis plus de 3 mois

  • Conséquences fonctionnelles sociales professionnelles : peuvent être majeure
  • Abus médicaments et examens complémentaires fréquent : éviter thérapeutiques agressives
  • Prise en charge pluridisciplinaire avec information, réactivation physique
  • Prise en charge psychologique , thérapeutiques médicamenteuses limitées.
  • But de la prise en charge centré sur qualité de vie et non exclusivement sur la douleur :
  • soulager les patients mais surtout les réinsérer socialement et professionnellement

Voir en ligne : Dr Julien Nizard - Centre de Traitement de la Douleur CHU Nantes

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Prise en charge psychiatrique des personnes atteintes de troubles mentaux

Malgré une actualité souvent tragique et une vingtaine de rapports publiés depuis dix ans, la psychiatrie française n’a été abordée par la loi que sous l’angle de la dangerosité des malades, optique restrictive que la commission des affaires sociales avait regrettée. Le rapport présenté par Alain Milon entend préparer l’arrivée des grands textes de santé publique et d’organisation des soins en dressant un bilan de la prise en charge psychiatrique des personnes atteintes de troubles mentaux, sans ignorer la situation de celles souffrant de troubles du comportement ou de troubles envahissant du développement, et en formulant des propositions destinées à améliorer la prise en charge des patients.

Voir en ligne : Le Sénat

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Prise en charge thérapeutique de l’alcoolo-dépendance

La terminologie médico-sociale de la "prise en charge" s’applique avec beaucoup d’acuité à la démarche des soignants à l’encontre des malades de l’alcool. Elle rend compte en effet de cette action globale et continue, organisée sur le long terme en un projet thérapeutique impliquant souvent différents intervenants de manière séquentielle ou simultanée. Les médecins (généralistes, psychiatres, alcoologues, gastroentérologues, spécialistes, médecins du travail ou de santé publique), les psychologues, les travailleurs sociaux au les mouvements d’anciens buveurs exercent une véritable activité " de supporter " des malades en utilisant les registres du conseil, du soutien, de l’accompagnement ou du soin propre.

Voir en ligne : Philippe BATEL Unité de Traitement Ambulatoire des Malades Alcooliques (UTAMA) Hôpital Beaujon - Clichy

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Prise en charge thérapeutique du patient dyslipidémique

Le dépistage d’une dyslipidémie repose sur l’EAL (exploration d’une anomalie lipidique), qui détermine les concentrations de cholestérol total, triglycérides, HDL-cholestérol et LDL-cholestérol. Tous les adultes doivent être dépistés mais il n’est pas justifié de répéter ce bilan, lorsqu’il est normal. • Cinq niveaux « cibles » de LDL-cholestérol définissent l’intervention thérapeutique. Ces objectifs ont été déterminés en fonction de l’état vasculaire du patient et du nombre des facteurs de risque cardiovasculaire associés. • La prescription d’hypolipémiants n’est pas justifiée chez de nombreux patients ayant un risque cardiovasculaire faible. Le traitement diététique est la base de la prise en charge de ces patients.

Voir en ligne : Afssaps : Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé

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Prise en charge thérapeutique médicamenteuse des douleurs neuropathiques périphériques en médecine générale

Sois sage, ô ma douleur, et tiens-toi plus tranquille… » écrivait Baudelaire. Les douleurs neuropathiques sont des douleurs qu’il n’est pas facile de « tenir tranquilles ». Souvent diagnostiquées tardivement, leur prise en charge est malaisée car elles sont réfractaires aux antidouleurs classiques. Savoir reconnaître les douleurs neuropathiques et adopter la stratégie la plus adéquate pour le patient qui en souffre, en tenant compte des nouvelles molécules disponibles actuellement, tel est l’objectif de cet article.

Voir en ligne : par le Dr Valérie-Anne De Wilde| Centre de référence de la douleur chronique des cliniques universitaires de Mont-Godinne 5530 Yvoir -Belgique

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Prise en charge urologique des calculs rénaux et urétéraux de l’adulte

L’évolution des techniques de traitement de la lithiase urinaire depuis plus de 20 ans, justifie de préciser les indications de chacune d’elles pour la prise en charge urologique des calculs rénaux et urétéraux de l’adulte. Le Comité Lithiase de l’Association Française d’Urologie, s’est appuyé sur les recommandations européennes et américaines, sur la littérature publiée dans les cinq dernières années, et sur l’expérience des ses membres pour établir une synthèse pratique du traitement des calculs urinaires. La topographie (rein ou uretère) et la taille (mesure) du calcul sont les critères descriptifs initiaux pour le choix des traitements. Les indications ont été stratifiées en “standard” pour les traitements proposés en première intention, ou en “optionnel” pour les alternatives.

Voir en ligne : SFMU

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Prise en charge urologique des calculs rénaux et urétéraux de l’adulte.

Les caractéristiques épidémiologiques de la lithiase urinaire n’ont cessé d’évoluer ces dernières années faisant suite aux modifications des habitudes nutritionnelles, des conditions sanitaires, des facteurs d’environnement ou de la prévalence des affections qui prédisposent au risque de lithiase (obésité, diabète, syndrome métabolique). Jusqu’à la fin du XIXe siècle, la lithiase urinaire était essentiellement de siège vésical et de nature phosphatique ou urique. Actuellement, la lithiase urinaire est de siège rénal, oxalo-calcique dans 70 à 80 % des cas et touche environ deux hommes pour une femme entre 20 et 60 ans. Dans cette population, le risque de récidive est d’environ 50 %. L’incidence de la lithiase urinaire est en augmentation constante dans les pays industrialisés et sa prévalence en France, dans la population générale, est estimée à 10 %.

Voir en ligne : Mise au point du Comité lithiase de l’Association française d’urologie (CLAFU).

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Prix Nobel de médecine : la recherche sur le cancer et le vieillissement cellulaire récompensée

Les Américains Elizabeth Blackburn, Carol Greider et Jack Szostak ont remporté lundi le prix Nobel de médecine pour avoir découvert un mécanisme crucial dans le fonctionnement génétique des cellules, ouvrant la voie à des innovations en matière de recherche sur le cancer et le vieillissement. Le trio va recevoir 10 millions de couronnes (1,4 million de dollars, plus de 973.000 euros), un diplôme et une invitation pour la cérémonie de remise des prix à Stockholm le 10 décembre.

Voir en ligne : De Karl Ritter Et Matt Moore - La Presse Canadienne

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Problèmes de paupières

Les paupières remplissent une multitude de fonctions ; elles protègent et lubrifient l’œil, produisent une sécrétion huileuse et aident au drainage des larmes. Cette page inclus une variété de problèmes de paupières : papilles géantes des paupières, tremblements des paupières, mauvaise position des paupières, abaissement des paupières (ptose). D’autres conditions des paupières et leurs problèmes liés seront décrits dans d’autres pages dont la liste est répertoriée plus avant.

Voir en ligne : perret-optic

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Procedure for Nasopharyngeal Swabs and Aspirates

Pour vérifier si une maladie respiratoire aiguë d’allure grippale est causée par la grippe A (H1N1), il faut une confirmation de laboratoire obtenue soit par l’isolation du virus dans une culture de tissus, soit par la technique de RT-PCR. Les échantillons les plus pertinents pour l’examen sont les prélèvements d’aspirats ou d’écouvillons naso-pharyngés

Voir en ligne : YouTube

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Procréation assistée (Consensus International)

Les médecins et biologistes qui proposent ces nouvelles techniques aux couples infertiles partout dans le monde sont conscients qu’elles doivent être considérées comme un bouleversement des habitudes et que, dans le cas du don de gamète, elles changent radicalement le concept de la famille légitime. Chaque pays a réagi à cela et parfois même légiféré selon ses habitudes, croyances et en fonction de son opinion publique. Ce Consensus doit permettre à chacun d’indiquer à son propre gouvernement ce qui est universellement admis comme étant le plus utile et le moins dommageable pour les couples infertiles.

Voir en ligne : IFFS (Fédération Internationale des Sociétés de Fertilité)

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Produits cosmétiques destinés aux enfants de moins de 3 ans : bilan des actions et perspectives

On entend par produit cosmétique toute substance ou préparation destinée à être mise en contact avec les diverses parties superficielles du corps humain, notamment l’épiderme, les systèmes pileux et capillaire, les ongles, les lèvres et les organes génitaux externes, ou avec les dents et les muqueuses buccales, en vue, exclusivement ou principalement, de les nettoyer, de les parfumer, d’en modifier l’aspect, de les protéger, de les maintenir en bon état ou de corriger les odeurs corporelles.

Voir en ligne : Fabienne Bartoli Adjointe du directeur général de l’Afssaps

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Progression des infections à gonocoque en France

Les infections à gonocoques sont en hausse depuis plusieurs années en France et celle-ci a été de "52%" entre 2008 et 2009, a indiqué jeudi l ?Institut de veille sanitaire (InVS) dans un communiqué. Selon les résultats fournis à l’InVS par deux réseaux spécialisés dans la surveillance de ces infections (Renago et RésIST), l’augmentation observée depuis plusieurs années s’est poursuivie entre 2008 et 2009 (+52%), indique l’institut.

Voir en ligne : INVs Institut de veille sanitaire

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Prophylaxie de la grippe dans une collectivité de personnes à risque

l’objectif de la prévention des épidémies de grippe et de la prophylaxie dans les collectivités recevant des populations à risques est de réduire la mortalité chez ces personnes fragilisées en contact avec le cas index ainsi que d’en réduire les complications, − Que la vaccination annuelle contre la grippe est la meilleure prévention contre la surmortalité chez les personnes pour lesquelles la grippe représente un danger

Voir en ligne : Direction générale de la santé / Bureau des maladies infectieuses et de la politique vaccinale

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Prophylaxie de l’endocardite bactérienne

Le présent document se veut à la fois un complément aux guides d’antibioprophylaxie élaborés par le PGTM en collaboration avec le Conseil du Médicament en 2005 ainsi qu’une mise à jour du document sur l’endocardite publié par le Conseil en novembre 2005. L’American Heart Association (AHA) ayant publié une mise à jour de la prophylaxie de l’endocardite bactérienne en juin 2007, le PGTM propose ce guide afin de diffuser les recommandations les plus récentes. La méthodologie préconisée par l’AHA repose davantage sur les évidences de la littérature que sur l’opinion des experts, et ce, pour la première fois depuis les premières recommandations sur la prophylaxie de l’endocardite émises par cet organisme.

Voir en ligne : PGTM (Canada)

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Prophylaxie de l’endocardite infectieuse

L’endocardite infectieuse est une maladie rare mais grave dont l’incidence semble stable au cours des dernières décennies. Les streptocoques en sont les agents infectieux les plus souvent responsables. L’incidence de l’endocardite infectieuse est estimée à partir d’enquêtes transversales épidémiologiques ; elle se situerait en France aux environs de 25 à 30 cas par million d’habitants et par an (environ 1500 cas annuels). Le profil des patients atteints d’endocardite infectieuse évolue : proportion croissante de sujets âgés, diminution des endocardites à streptocoques oraux. Actuellement, la chirurgie valvulaire est réalisée dans environ un cas sur deux pour traiter l’endocardite. La mortalité de l’endocardite reste malgré cela élevée, entre 15 % et 25 %.

Voir en ligne : Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française

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Prophylaxie de l’endocardite infectieuse : actualisation pour 2007

La prévention de l’endocardite infectieuse (EI) est un sujet qui soulève beaucoup d’intérêt et de discussion. Une récente actualisation des lignes directrices sur la prévention de l’EI par l’American Heart Association (AHA) représente des modifications substantielles par rapport aux recommandations antérieures qui étaient devenues une pratique de référence. Ces modifications impliquent de restreindre l’antibioprophylaxie uniquement aux patients ayant des antécédents d’EI, une prothèse valvulaire cardiaque, aux transplantés cardiaques ayant une valvulopathie, et à un sous-ensemble de patients atteints de cardiopathie congénitale.

Voir en ligne : cardiologieconferences.ca

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Proposition de classification des hallux valgus

Tous les praticiens s’occupant de la pathologie de l’avant-pied et en particulier de l’hallux valgus sont d’accord pour affirmer qu’il existe plusieurs types d’hallux valgus ; mais il n’existe aucune classification clinique définissant des groupes d’évolution identique, de caractéristiques anatomiques et radiologiques voisines,avec pour corollaire des indications thérapeutiques par type.

Voir en ligne : AFCP Association Française de Chirurgie du Pied

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Proposition de loi visant à limiter la liberté d’installation des medecins

  • L’Ordre des médecins est défavorable à la proposition de loi du député du Tarn Philippe Folliot (UDI), déposée le 18 février à l’Assemblée nationale, visant à instaurer un numerus clausus à l’installation des médecins généralistes et supprimant, de fait, le principe de liberté d’installation pour les médecins généralistes. Toute demande d’installation, selon cette proposition, devrait d’abord être validée par l’ARS qui se fonderait sur les données démographiques dont elle disposerait en prenant en compte un « seuil de population défini par décret ».

Voir en ligne : Conseil national de l’Ordre des médecins


Propositions de recommandations de bonne pratique facilitant l’hospitalisation des patients en provenance des services d’urgences

La présente mission ministérielle porte sur la proposition par le Pr Pierre Carli, Président du Conseil national de l’urgence hospitalière (CNUH), de recommandations de bonnes pratiques facilitant l’hospitalisation des patients en provenance du service des urgences. Ces recommandations doivent concerner aussi bien les périodes de suractivité épisodiques (hôpital plein) que l’activité habituelle de l’établissement. Les recommandations doivent être partagées avec des représentants de l’ensemble de la communauté hospitalière. Cette demande s’inscrit dans le cadre d’un objectif national permettant de diminuer le temps d’attente aux urgences en améliorant l’aval.

Voir en ligne : Ministère des affaires sociales et de la santé

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Propositions portant sur le dépistage individuel chez l’enfant de 7 à 18 ans

Ces propositions portent sur le dépistage individuel réalisé par le médecin dans le cadre du suivi de l’enfant. Elles ne répondent pas à une problématique de dépistage en population. Elles ne précisent pas la prise en charge au-delà du dépistage individuel.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Prostate : vers des traitements moins agressifs

La thérapie vasculaire ciblée a pour particularité de détruire les vaisseaux qui alimentent la tumeur. Plusieurs nouvelles stratégies, en cours d’essais, pourraient éviter les séquelles des traitements classiques. Elles consistent à détruire les foyers cancéreux par ultrasons, par le froid ou par la lumière.

Voir en ligne : Sandrine Cabut | Le Figaro - 26/10/2009

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Protection personnelle antivectorielle ou contre les insectes piqueurs et les tiques

"Ces recommandations portent sur la place de la protection personnelle antivectorielle (PPAV). Celle-ci n’agit pas sur l’agent responsable d’une maladie transmissible (par exemple : le plasmodium dans le cas du paludisme), mais sur l’organisme qui le transmet à l’homme (le vecteur : l’anophèle dans cet exemple). Elles ont pour objectifs principaux : * de définir la place de la protection personnelle antivectorielle ; * de proposer aux prescripteurs médecins ou pharmaciens des recommandations argumentées consensuelles et pratiques pour l’optimisation de la PPAV ; * de décliner la mise en œuvre de la PPAV au niveau individuel : voyageurs, résidants et populations nomades traversant des zones à risque de transmission de maladies vectorielles, départements et territoires d’outre-mer français et certaines régions de métropole, pays étrangers ; * de préciser les mesures de lutte antivectorielle associées : pulvérisations intra-domiciliaires d’insecticides rémanents, moustiquaires de fenêtres ou de portes"

Voir en ligne : SMV - Société de Médecine des Voyages

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Protégeons les antibiotiques

Les antibiotiques sont souvent utilisés à tort
Aujourd’hui, la France détient le record européen de consommation d’antibiotiques, derrière la Grèce. Victimes de leur succès, les antibiotiques sont trop souvent considérés comme un remède qui soigne tout, tout de suite... mais ce n’est pas toujours vrai !

Voir en ligne : AMELI-santé

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Prothèse de disque lombaire. Données actuelles

La lombalgie de par sa fréquence pose de multiples problèmes d’ordres médicaux, socio-économiques, mais aussi pour sa prise en charge chirurgicale. Par le passé, la seule solution était celle de l’arthrodèse. Depuis la fin des années 1980, des prothèses totales de disques fiables ont fait leur apparition. Leur conception impose un cahier des charges strict définissant ses fonctions intrinsèques géométriques et mécaniques et doit répondre aux contraintes rachidiennes géométriques, cinématiques et mécaniques.

Voir en ligne : Service de chirurgie orthopédique et traumatologique, hôpital R Poincaré, Garches.

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Protocole d’examen clinique pour le repérage des troubles musculosquelettiques du membre supérieur

Les troubles musculosquelettiques (TMS) regroupent un ensemble d’affections péri-articulaires touchant les tissus mous (muscles, ten- dons, nerfs, vaisseaux, cartilages) des membres et du dos. Ils consti- tuent aujourd’hui l’une des questions les plus préoccupantes en santé au travail du fait d’un coût humain et socioprofessionnel considérable (en termes de douleurs et gênes dans le travail et la vie quotidienne, de séquelles fonctionnelles parfois irréversibles, de réduction d’apti- tude au travail et de risque de rupture de carrière professionnelle), du fait de leurs conséquences sur le fonctionnement des entreprises (remplacement des salariés absents par des opérateurs non formés, difficultés du reclassement des salariés atteints, perte de salariés expérimentés...), et de leur constante augmentation.

Voir en ligne : InVs Institut de veille sanitaire

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Protocole grippe A (H1N1) et grossesse

La femme enceinte constitue un terrain fragile et à haut risque de forme plus sévère. Plusieurs cas de pneumopathie virale fulminante ont en effet été rapportés avec une issue maternelle fatale pour le virus H1N1. Peu de données sont disponibles dans la littérature. Une étude publiée le 29 juillet dans le Lancet(9) rapporte 6 décès maternels pour 11 hospitalisations avec forme sévère parmi 34 femmes enceintes déclarées infectées aux USA sur une période courte située au début de la pandémie, de mi-avril à mi-mai. Le taux de mortalité et la gravité de la maladie pourrait donc être bien supérieur au taux attendu.

Voir en ligne : Hôpital Antoine Béclère

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Prurit : causes, diagnostic et traitement

Le prurit est un grand problème et représente un défi diagnostique et de thérapie. Les causes pathophysiologiques du prurit sont encore largement inconnues mais les progrès de la neuroscience donnent de nouvelles pistes d’explication. Les origines du prurit sont multiples non seulement au niveau moléculaire, mais également au niveau clinique. La thérapie du prurit aigu ou chronique est très différente et l’exploration d’un prurit nécessite une approche interdisciplinaire. La prise en charge du prurit doit être effectuée avec un traitement combiné qui se concentre avant tout sur l’étiologie. La xérose cutanée joue un rôle pathogène important aussi bien dans le prurit des patients âgés que dans la dermatite atopique.

Voir en ligne : Article de P. L. Bigliardi - Revue Médicale Suisse

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Prurit ou démangeaisons

Le prurit se définit comme une sensation cutanée déplaisante entraînant un urgent besoin de se gratter ; il peut être localisé ou généralisé et être associé ou non à des lésions cutanées. Les problèmes d’ordre cutané entraînant les démangeaisons incluent l’urticaire, la gale, les poux, le lichen plan et surtout la sécheresse de la peau ; des problèmes d’ordre rénal, thyroïdien, hépatique (foie) ou sanguin peuvent aussi être associés au prurit.

Voir en ligne : Portail Québec

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Prurit vulvaire

Le prurit vulvaire est un signe fréquent en pathologie vulvaire. Il révèle dans la majorité des cas une cause organique qui doit toujours être recherchée par un examen loco-régional soigneux. L’interrogatoire confirme le prurit, sensation de démangeaison conduisant à un grattage, et précise son ancienneté. Un prurit récent aigu oriente vers une cause infectieuse avant tout et parfois vers une pathologie de contact.

Voir en ligne : L. DEHEN | Thérapeutique dermatologique, Médecine-Sciences Flammario

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Psoas et cruralgie

Que ce soit dans la pratique quotidienne ou lorsque l’on observe l’anatomie, ce muscle est pour nous, praticiens, réellement un muscle clé. Le muscle psoas-iliaque est un muscle pair pluriarticulaire du membre inférieur constitué par deux chefs principaux. L’un, allongé et fusiforme, s’insère sur la colonne lombaire et la douzième vertèbre thoracique : c’est le psoas .

Voir en ligne : Physio-mag

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  • (Maladies, symptômes et pathologies)

Psoriasis. Où se situe le problème ?

Ces dernières années, de nombreuses recherches ont été menées pour mieux comprendre ce qu’est le psoriasis. Car plus on comprend la maladie, mieux on peut développer des traitements plus efficaces. Pour l’heure, on a compris certaines choses sur le psoriasis mais il reste encore beaucoup de zones d’ombres.

Voir en ligne : Association Pour la Lutte Contre le Psoriasis

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Psoriasis. Diagnostic, évolution, physiopathologie, principes du traitement

Le psoriasis est une dermatose érythémato-squameuse d’évolution chronique qui atteint environ 2 p. 100 de la population. Il s’agit d’une tache érythémato-squameuse bien limitée, arrondie, ovalaire ou polycyclique. La couche squameuse superficielle blanchâtre peut être très épaisse ou au contraire partiellement décapée par le traitement laissant apparaître l’érythème sous-jacent. Le plus souvent ces éléments sont multiples et symétriques, parfois diffus. Ces lésions sont prurigineuses dans 20 à 30 % des cas

Voir en ligne : Collège des Dermatologues | Coordonnateur : Isabelle Bourgault-Villaga, Boulogne : Rédacteurs : JJ Guilhou (Montpellier), L Dubertret (St Louis, Paris), B Crickx (Bichat, Paris), E Grosshans (Strasbourg), Jean François Nicolas, Lyon

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Psychisme et asthme : un thème vieux comme le monde

  • De graves stress psychosociaux peuvent avoir une influence considérable sur la réponse à un traitement et l’évolution d’un asthme.
  • Anxiété et dépression surtout sont des facteurs ayant souvent une influence négative sur l’observance médicamenteuse.
  • L’hyperventilation anxieuse peut simuler et accentuer les symptômes asthmatiques.
  • Conditionnement, suggestion et effet placebo sont des facteurs intervenant dans l’asthme également.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Psychothérapie : trois approches évaluées [ 2003 ]

Indication du niveau de preuve, données générales sur l’évaluation de l’efficacité, approche psychodynamique ou psychanalytique (présentation, aspects méthodologiques, études d’évaluation), approche cognitivo-comportementale (présentation, études d’évaluation), approche familiale et de coupleprésentation, études d’évaluation), données sur les trois approches (bilan des études comparatives, bilan des études d’évaluation),

Voir en ligne : INSERM Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale France

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Puberté : du normal au pathologique

Médecins de famille, nous sommes parfois interpellés par des parents que le développement pubertaire de leur enfant inquiète. Si la plupart du temps, il n’y a pas d‘inquiétude à avoir, il ne faut pas manquer un retard ou une avancée pubertaires réels de même qu’une pathologie potentiellement grave dont l’absence de prise en charge peut avoir des conséquences non négligeables physiques ou psychologiques chez nos jeunes patients. Quand faut-il s’inquiéter ? Quelle mise au point est nécessaire ? Quel traitement appliquer ? Voilà les questions traitées par cet article.

Voir en ligne : Dr Patricia Eeckeleers

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Qu’est ce qu’une gastrite chronique ?

Le terme de gastrite chronique signifie la présence à l’examen histologique de la muqueuse gastrique, de lésions inflammatoires et atrophiques plus ou moins étendues (muqueuse antrale et muqueuse fundique) et plus ou moins sévères. La gastrite chronique est susceptible d’aboutir progressivement à la disparition des glandes gastriques (atrophie gastrique).

Voir en ligne : SNFGE Société Nationale Française de Gastro-entérologie

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Qu’est ce que l’algodystrophie ?

Longtemps appelé syndrome " épaule-main " il s’agit d’un ensemble de symptomes atteignant plusieurs articulations du membre supérieur après un traumatisme ou une intervention chirurgicale, sans relation avec l’acte lui-même. L’ algodystrophie peut se produire après : Un traumatisme qui peut être très banal, comme une luxation ou une entorse
Un acte chirurgical même très simple, comme un syndrome du canal carpien.
Les mécanismes exacts conduisant à l’algodystrophie sont mal connus, et seraient liés à l’hyperactivité d’une partie du système nerveux, le système sympathique ou à des modifications vasculaires en particulier veineuses, plutôt chez des sujets inquiets et anxieux de nature.

Voir en ligne : Dr Patrick HOUVET/I.F.C.M

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Qu’est ce que l’asthme ?

Il s’agit d’une maladie inflammatoire affectant les bronches. C’est une maladie chronique avec des périodes de crises (crise d’asthme). Certains facteurs (inhalation d’agent irritant, d’allergène, effort, émotion forte, infection respiratoire) déclenchent une diminution du diamètre des bronches, un gonflement de leurs parois et une production plus importante de sécrétions. Les bronches deviennent alors obstruées et le flux d’air est diminué. L’obstruction est réversible, spontanément ou avec la prise d’un médicament. Chez les personnes asthmatiques, les symptômes surviennent de manière plus ou moins fréquente et intense selon le degré de sévérité.

Voir en ligne : Capital Souffle

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Qu’est ce que l’hémochromatose ?

L’hémochromatose héréditaire (HH) est une maladie due à une absorption excessive du fer alimentaire au niveau du duodénum. Cette hyperabsorption, due à une anomalie génétique, entraîne une accumulation progressive de fer dans l’organisme. Non traitée, l’hémochromatose évolue insidieusement, et risque de provoquer des atteintes graves (cirrhose, cancer du foie, insuffisance cardiaque...), susceptibles d’entraîner une mort prématurée.

Voir en ligne : hemochromatose.fr

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Qu’est ce que la DHEA ?

La DHEA est aujourd’hui un phénomène médiatique considérable. Les journaux et les télévisions nous vantent tous les jours les mérites de ce qui est présenté comme une pilule de jouvence. Que sait-on au juste de ce produit ? La DHEA, ou déhydroépiandrostérone, est un hormone produite par la glande corticosurrénale (une petite glande endocrine située au dessus du rein). On sait que chez l’homme et la femme normale, c’est un "précurseur" des hormones sexuelles, c’est à dire qu’une partie de la DHEA fabriquée par la corticosurrénale est ensuite modifiée, pour donner les hormones sexuelles (testostérone chez l’homme, oestradiol chez la femme), qui assurent le développement de nos caractères sexuels. Mais outre ce rôle de précurseur chimique, il est possible que la molécule de DHEA elle-même joue un rôle hormonal. Celui-ci n’est pas connu. Le taux sanguin de DHEA diminue chez le sujet âgé, et des chercheurs ont étudié les effets d’une administration de ce produit chez les gens âgés.

Voir en ligne : SFTG

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Qu’est ce que le DMP ?

Clé de voûte du parcours de soins, le Dossier Médical Personnel (DMP) a été lancé par la loi du 13 août 2004. C’est un service conçu pour mettre à la disposition de chacun des bénéficiaires de l’assurance maladie un dossier médical, qui est placé sous son contrôle. Ce dossier médical électronique sécurisé sera accessible par Internet. Il contiendra en permanence les informations médicales pertinentes nécessaires à la prise en charge du patient. Il aura pour vocation première d’améliorer la qualité des soins en facilitant la coordination et les échanges d’information entre les professionnels de santé.

Voir en ligne : Le site du DMP

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Qu’est-ce qu’infection nosocomiale

Une infection nosocomiale (IN) est un « accident médical » encore appelé « évènement indésirable » associé à la pratique des soins de santé. Ce n’est jamais une complication de la maladie à l’origine des soins, mais toujours une conséquence de lacunes ou de défaillances dans la chaîne de soins.

Voir en ligne : ADVIN - Association québécoise de lutte contre les infections nosocomiales

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Qu’est-ce qu’un accident vasculaire cérébral ?

Un AVC ou accident vasculaire cérébral, communément appelé « attaque cérébrale », est une perte soudaine de la fonction du cerveau. Il est provoqué par un arrêt brutal de la circulation sanguine à l’intérieur du cerveau. L’arrêt de la circulation du sang ne permet plus un apport suffisant en oxygène et en éléments nutritifs. Cela entraîne la mort des cellules cérébrales, au niveau de la zone du cerveau touchée.

Voir en ligne : Ameli-santé

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Qu’est-ce qu’un anévrisme cérébral ?

L’anévrisme cérébral apparaît lorsque la paroi d’une artère intracrânienne se dilate de façon anormale sous l’influence de divers facteurs. Il se crée alors une pochette où le sang s’accumule puisque celle-ci communique avec le vaisseau par le biais d’un collet

Voir en ligne : service de neurochirurgie - Centre Hospitalier Universitaire Vaudois Lausanne - CHUV

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Qu’est-ce qu’un cancer ?

La maladie est décrite depuis l’Antiquité. C’est le médecin grec Hippocrate qui, en comparant les tumeurs à un crabe, leur a donné pour la première fois les noms grecs de « karkinos » et « karkinoma ». La comparaison est justifiée par l’aspect de certaines tumeurs, dont les prolongements rappellent les pattes de l’animal.
Longtemps, le cancer a été considéré comme incurable. Aujourd’hui, nombre de cancers sont guéris ou vécus comme des maladies chroniques. Pourtant, lorsqu’il est écrit au singulier, le mot garde une charge symbolique puissante, associée à des évocations particulièrement sombres. Une description de notre compréhension actuelle des cancers, sur le plan médical et biologique, invite à dépasser cette représentation.

Voir en ligne : Cancers - Il y a des moyens pour agir

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Qu’est-ce qu’un fibrome utérin ?

Le fibrome utérin est une tumeur bénigne du corps de l’utérus. C’est une prolifération de fibres musculaires, plus ou moins localisée, responsable d’une augmentation de volume, ou d’une déformation de l’utérus. Le fibrome utérin est une affection bénigne, qui ne se cancérise jamais. En revanche, il peut augmenter de volume plus ou moins rapidement, et peut entraîner certaines complications. Son traitement est parfois nécessaire, médical, ou chirurgical.

Voir en ligne : Dr. JP Aubert, généraliste - SFTG - Dr. C. Pétrequin, gynécologue

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Qu’est-ce qu’une cataracte ? - Les symptômes de la cataracte

L’oeil est muni d’une lentille appelée cristallin qui permet, à la manière de la lentille d’une caméra, de faire la mise au point des images sur la rétine. Lorsque le cristallin devient trouble ou opaque, altérant la vision de près et de loin, on parle de cataracte.

Voir en ligne : Association des Médecins Ophtalmologistes du Québec

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Qu’est-ce qu’une hernie discale

La hernie discale se définit comme une zone de compression nerveuse située entre le disque intervertébral et le nerf ou les racines nerveuses* (on parle de conflit disco-radiculaire). La hernie discale se forme suite à une faillite du disque intervertébral. En temps normal, le disque joue un rôle d’amortisseur entre les deux vertèbres et permet une répartition des contraintes.

Voir en ligne : SOFCOT - Société Française de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique

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Qu’est-ce qu’une hernie hiatale ?

C’est un passage permanent ou intermittent d’une portion de l’estomac à travers l’orifice oesophagien du diaphragme (appelé hiatus œsophagien). Ce passage de la portion supérieure de l’estomac survient lorsque les moyens de fixation de l’estomac et de l’œsophage sont défaillants. C’est la lésion la plus fréquente de l’appareil digestif : 20 à 60% de la population en France.

Voir en ligne : SNFGE - Société Nationale Française de Gastro-entérologie


Qu’est-ce que l’allergie ?

L’allergie est définie comme une réaction anormale de l’organisme à des substances qui n’affectent pas la population en général. Plus de 20% souffrent d’allergie, manifestant leur ’allergie’ de façon variée. On s’expose à notre environnement par trois voies : cutanée, respiratoire ou digestive, c’est-a-dire, les substances qui sont susceptibles de causer des réactions nous touchent, sont respirées ou ingérées.

Voir en ligne : Association des Allergologues et Immunologues du Québec

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Qu’est-ce que l’allergie alimentaire ?

On entend par allergie alimentaire les symptômes anormaux déclenchés par l’ingestion d’un aliment. Les manifestations peuvent quelquefois également apparaître chez un enfant allergique après un contact cutané ou après l’inhalation de l’aliment. L’allergie alimentaire peut être grave, et quelquefois mortelle. Le principal facteur de risque de cette forme gravissime d’allergie est l’existence d’un asthme associé ; l’arachide en est la cause une fois sur deux.

Voir en ligne : Integrascol

Sujets associés


Qu’est-ce que l’arthrose ?

Quelle est l’origine de l’arthrose ?
Comment s’élabore le diagnostic ?
Comment la maladie évolue-t-elle ?
Quels sont les symptômes de la maladie ?
Quel est le traitement à suivre ?
Que peut-on faire soi-même ?

  • Quels sont les différents intervenants au cours du traitement ?

Voir en ligne : Ligue suisse contre le rhumatisme

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Qu’est-ce que l’herpès ?

L’herpès est une maladie de la peau ou des muqueuses, due à un virus appelé Herpes Simplex Virus (HSV). Elle se manifeste par une éruption, en général à proximité de la bouche (c’est le classique « bouton de fièvre », ou « feu sauvage » des québecois), ou sur les organes génitaux. Elle évolue par poussées : l’éruption guérit spontanément sans traitement, mais récidive. En effet l’organisme n’arrive pas à se débarrasser totalement du virus, qui persiste dans les cellules entre deux poussées.

Voir en ligne : SFTG

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Qu’est-ce que l’hyperthyroïdie ?

La thyroïde est une glande située à la base du cou qui fabrique les hormones thyroïdiennes. L’hyperthyroïdie regroupe toutes les situations où cette production d’hormones thyroïdiennes est excessive de manière transitoire ou permanente. Certaines causes sont congénitales (présentes dès la naissance, d’origine génétique ou non), d’autres sont acquises, l’hyperthyroïdie se développant alors au cours de la vie. Les symptômes de l’hyperthyroïdie (goitre, exophtalmie, hyperactivité, tachycardie, perte de poids, diarrhée chronique, accélération de la vitesse de croissance ...) disparaissent sous traitement et l’enfant mène alors une vie normale.

Voir en ligne : Intégrascol

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Qu’est-ce que l’hypothyroïdie ?

La glande thyroïde est une petite glande en forme de papillon, située à la partie antérieure du cou, devant les premiers anneaux de la trachée. Elle est composée de deux lobes (les ailes du papillon) réunis par un isthme. Elle produit des hormones thyroïdiennes qui contiennent de l’iode en grande quantité. Ces hormones, la thyroxine (T 4) et la triiodothyronine (T 3), sont essentielles à la vie et exercent de nombreux effets sur le métabolisme, la croissance et le développement.

Voir en ligne : Association des médecins endocrinologues du Québec

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Qu’est-ce que l’hypothyroïdie ?

La thyroïde est une glande située à la base du cou qui fabrique les hormones thyroïdiennes. L’hypothyroïdie regroupe toutes les situations où la production d’hormones thyroïdiennes est compromise de manière transitoire ou permanente. Certaines hypothyroïdies sont congénitales (c’est-à-dire présentes dès la naissance, mais pas forcément d’origine génétique), d’autres sont acquises, c’est-à-dire qu’elles apparaissent au cours de la vie.

Voir en ligne : Intégrascol

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Qu’est-ce que la conjonctivite ?

La conjonctivite est l’inflammation de la conjonctive, cette mince membrane qui couvre le blanc de l’œil et produit le mucus qui tapisse et lubrifie la surface de l’œil. Une observation minutieuse permet de voir de fins vaisseaux sanguins sillonnant cette membrane. Lorsque la conjonctive est irritée, ces vaisseaux se dilatent et l’œil semble rouge.

Voir en ligne : Le service d’information de la Société canadienne d’ophtalmologie

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Qu’est-ce que la cystite interstitielle ?

La cystite interstitielle est une maladie chronique inflammatoire de la vessie, avec des symptômes très douloureux et affligeants. Elle peut ressembler à prime abord à une infection bactérienne, mais les antibiotiques n’ont aucun effet sur elle ; les tests d’urine sont stériles. Les symptômes caractéristiques sont la douleur, l’urgence et la fréquence urinaires. (accompagné d’une difficulté de plus en plus grande à uriner à mesure que la maladie évolue )

Voir en ligne : Association de la C.I. du Québec

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Qu’est-ce que la douleur ?

La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, associée à un dommage tissulaire présent ou potentiel, ou décrite en terme d’un tel dommage (définition de l’Association Internationale pour l’Etude de la Douleur). C’est une sensation universelle mais aussi une expérience intime à la personne qui l’éprouve, chacun ayant sa sensibilité propre à la douleur.

Voir en ligne : integrascol

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Qu’est-ce que la fatigue ?

La fatigue est une sensation d’épuisement, de lassitude ou de somnolence consécutive au manque de sommeil, à une activité mentale ou physique prolongée, ou à de longues périodes de stress ou d’angoisse. Les tâches fastidieuses ou répétitives peuvent intensifier le sentiment de fatigue. La fatigue peut être décrite comme aiguë ou chronique. La fatigue aiguë est le résultat d’un manque de sommeil pendant une courte période ou de brèves périodes d’activité physique ou mentale intense. Les effets de la fatigue aiguë sont de courte durée et peuvent généralement être éliminés par le sommeil et le repos.

Voir en ligne : Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail (CCHST)

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Qu’est-ce que la grippe ?

La grippe est une maladie infectieuse extrêmement contagieuse. Les épidémies de grippe se produisent chaque année, et chaque épidémie est en général mondiale. En France l’épidémie arrive entre Décembre et Février, et dure en général deux mois. La grippe est due à un virus appartenant au groupe Influenza. Deux grandes familles de virus existent : Influenza A et Influenza B. Les épidépies dues au groupe A sont en général plus sévère

  • Comment attrape-t-on la grippe ?
    La maladie se transmet d’homme à homme. La transmission se fait par l’air : Ce sont les minuscules gouttelettes de salive (véritable aérosol) projetées lors de la toux et des éternuements, qui contiennent le virus et le transmettent

Voir en ligne : SFTG Paris-Nord Société de Formation Thérapeutique du Généraliste

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Qu’est-ce que la maladie d’Alzheimer ?

La maladie d’Alzheimer est une maladie évolutive du cerveau, qui porte gravement atteinte à la faculté de penser et à la mémoire. Il s’agit de la forme de démence la plus courante. (La maladie d’Alzheimer est un syndrôme dont les symptômes comprennent la perte de mémoire, de jugement et de raisonnement, des sautes d’humeur ainsi que des changements de comportement et dans la manière de communiquer.

Voir en ligne : Société Alzheimer (Canada)

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Qu’est-ce que la maladie de Crohn ?

Cette maladie a été décrite pour la première fois en 1932 par le Dr B. Crohn. Il s’agit d’une maladie inflammatoire du tube digestif dont tous les mécanismes ne sont pas connus. Elle peut intéresser un segment de l’intestin ou plusieurs, de façon simultanée ou successive. C’est une maladie chronique avec une alternance de poussées inflammatoires et de périodes de rémission.

Voir en ligne : Intégrascol

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Qu’est-ce que la maladie de Lyme ?

La maladie de Lyme est causée par une bactérie appelée Borrelia burgdorferi. Cette bactérie est transportée par certaines tiques qui la transmettent ensuite à un hôte par morsure. Cette bactérie est généralement présente chez la souris, l’écureuil, le tamia, la musaraigne et d’autres petits mammifères.

Voir en ligne : Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail

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Qu’est-ce que la recto-colite hémorragique (RCH) ?

C’est une maladie inflammatoire chronique de l’intestin (MICI) atteignant le gros intestin (côlon) et sa partie terminale (le rectum et l’anus). L’origine précise de cette maladie est inconnue, plusieurs mécanismes sont probablement en jeu. La RCH n’est pas contagieuse. Les symptômes sont essentiellement digestifs avec des diarrhées sanglantes, accompagnées le plus souvent par des maux de ventre intenses.

Voir en ligne : Intégrascol

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Qu’est-ce que la rétinopathie diabétique ?

La rétine correspond au film d’une caméra ; dans l’oeil, c’est elle qui capte les images à transmettre au cerveau. Sa partie la plus sensible, celle qui nous permet une vision de précision, qui nous permet de lire, d’écrire, d’enfiler une aiguille, bref d’exécuter tout travail minutieux, c’est la macula. Chez une personne diabétique, lorsque la rétine est atteinte, on parle de rétinopathie diabétique.

Voir en ligne : Association des Médecins Ophtalmologistes du Québec

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Qu’est-ce que la sarcoïdose ?

La sarcoïdose est une maladie inflammatoire qui peut affecter n’importe quel organe du corps. Cependant, ce sont le plus souvent les poumons qui en sont atteints. La sarcoïdose est caractérisée par la présence de petites zones de tissu inflammatoire appelées « granulomes ». Ceux-ci se trouvent parfois à l’intérieur de l’organisme, par exemple dans les poumons, sur les parois des bronches et des bronchioles (conduits respiratoires). Les granulomes peuvent aussi se manifester sous forme de lésions sur la peau.

Voir en ligne : Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail (CCHST)

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Qu’est-ce que le glaucome ?

Le glaucome est une maladie de l’œil qui entraîne un dommage (atrophie) du nerf optique et une perte du champ visuel. Le champ visuel, c’est tout ce que l’œil peut apercevoir sur les côtés (ou en bas et en haut) en fixant droit devant soi.

Voir en ligne : Association des médecins ophtalmologistes du Québec

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Qu’est-ce que le phénomène de Raynaud ?

Le phénomène de Raynaud, parfois appelé maladie ou syndrome de Raynaud, est un trouble de la circulation sanguine dans les doigts qui est aggravé par le froid. En effet, le froid produit une réduction anormale de la circulation sanguine, ce qui donne aux doigts un aspect pâle, cireux ou bleuté ; de là le nom de doigt blanc, doigt cireux ou doigt mort parfois donné à cette affection.

Voir en ligne : Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail (CCHST)

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Qu’est-ce que le syndrome du canal carpien ?

Le canal carpien est un espace limité par les os du poignet, et un ligament rigide qui relie des os les uns aux autres (le ligament annulaire du carpe, ou ligament transverse).
A l’intérieur de ce canal passent les tendons qui permettent de fléchir les doigts, et un nerf, appelé nerf médian, qui transmet les sensations venues de certains doigts. Ce nerf commande aussi en partie la mobilité des doigts.
Il arrive que le nerf médian soit comprimé à l’intérieur du canal carpien, ce qui va entraîner des picotements, douleurs, ressenties dans les doigts correspondants.

Voir en ligne : SFTG

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Qu’est-ce que le vitiligo

Le vitiligo ou maladie des taches blanches est une décoloration en forme de taches de la peau qui sera provoquée par une inhibition ou une destruction des cellules formant la pigmentation (mélanocytes). Comme suite à cette atrophie des pigments, la peau présente des zones blanches sous forme de taches. Là, sans protection appropriée au soleil, l’absence de pigments peut conduire rapidement à des brûlures.

Voir en ligne : SPVG - La Société Suisse du Psoriasis et du Vitiligo

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Quand faut-il faire une coloscopie de contrôle après une polypectomie ?

En réponse à une demande du Ministère et de la CNAM concernant la pertinence des endoscopies digestives, la HAS a souhaité associer les professionnels représentés par leur Conseil National Professionnel (CNP-HGE) et la Fédération des Spécialistes des Maladies de l’Appareil Digestif (FSMAD) pour cerner la problématique, élaborer la meilleure réponse et en assurer la promotion au sein de la communauté gastro-entérologique. Ainsi, dans un premier temps, il a été procédé à une actualisation des modalités de surveillance post-polypectomie qui concerne de l’ordre de 1/3 des 1,28 milllion de coloscopies réalisées chaque année en France. Vous trouverez ci-joint :

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé | Recommandations en santé publique

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Quand la malvoyance s’installe

La malvoyance acquise au cours de la vie touche un nombre croissant de personnes, principalement les personnes âgées. Les répercussions et les difficultés rencontrées au quotidien demeurent encore largement méconnues. Pourtant, il est possible de maintenir ou de retrouver une autonomie en aménageant son environnement ou en adaptant ses gestes.

Voir en ligne : INPES Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé

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Quand la migraine passe par l’assiette

La journée semble tellement longue lorsqu’une migraine se pointe à l’horizon. C’est à se demander ce qu’on a bien pu faire pour mériter une telle souffrance. L’alimentation aurait-elle un rôle à jouer dans le déclenchement des migraines ? Extenso fait le point sur la question.

Voir en ligne : Extenso Centre de référence sur la nutrition humaine

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Quand NE PAS prescrire une radio du thorax

Un examen d’imagerie, quel qu’il soit, n’est indiqué qu’après un bilan clinique permettant une prise de décision argumentée. La radio du thorax est très largement utilisée dans l’exploration de nombreuses pathologies touchant le thorax et son contenu. Sa place dans la stratégie diagnostique a cependant diminué avec l’évolution des techniques d’imagerie. La Haute Autorité de Santé (HAS) a évalué et mis à jour ses anciennes indications. Ce faisant, un certain nombre de « non-indications » sont apparues.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Que devraient manger les patients à risque cardiovasculaire ? Recommandations nutritionnelles dans la pratique du médecin de famille

Depuis longtemps nous savons que la modification du style de vie, et plus particulièrement celle de l’alimen- tation, représente une prophylaxie primaire et secon- daire non négligeable de l’artériosclérose. Le conseil en matière d’équilibre nutritionnel dispensé aux per- sonnes à haut risque cardiovasculaire fait partie des compétences centrales du médecin de famille. Dans le contexte des résultats de recherche récents, cette acti- vité de conseil devient-elle plus difficile ?

Voir en ligne : PrimaryCare.ch

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Que faire en cas d’accident nucléaire ?

Ce site web informe sur les risques nucléaires pouvant entraîner l’activation du plan d’urgence. Vous trouverez donc ici les informations concernant la préparation à un éventuel accident nucléaire. Si vous cherchez, de manière générale, plus d’information sur les nombreux aspects relatifs à la présence et à l’utilisation du rayonnement ionisant dans la vie quotidienne (médical, naturel, cosmique, industriel,...) vous pouvez vous rendre sur le site web de l’Agence Fédérale du Contrôle Nucléaire (AFCN)

Voir en ligne : Risque nucléaire (Belgique)

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Que faire en cas de troubles de la déglutition ? La dysphagie, un problème multidisciplinaire

Les troubles de la déglutition et les problèmes nutritionnels qui en résultent sont fréquemment sous-estimés et donc insuffisamment investigués. La déglutition constitue un processus très complexe, dont le dysfonctionnement peut entraîner une malnutrition, voire une cachexie, et qui compromet la qualité de vie. L’origine du dysfonctionnement est neurogène dans plus de 50% des cas.

Voir en ligne : Dr Stefan Schumacher - CH-9007 St. Gallen

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Quel anxiolytique choisir en cours de grossesse

Quel que soit le terme de la grossesse, on choisira si possible : Soit l’oxazépam (Seresta®) (benzodiazépine), soit l’hydroxyzine (Atarax®) (antiH1 sédatif).

Voir en ligne : CRAT - Centre de Référence sur les Agents Tératogènes

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Quel apport de l’Index de Pression Systolique chez le sujet athéromateux ?

artériopathie oblitérante des membres inférieurs (AOMI), index de pression systolique, calcul, indicateur de sévérité de l’AOMI, limites, intérêts, conclusion

Voir en ligne : Université de Rouen, Faculté de Médecine-Pharmacie France

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Quel avenir pour les classifications des maladies mentales ? Une synthèse des critiques anglo-saxonnes les plus récentes

Résumé : Ces dernières années de hauts responsables de la psychiatrie anglo-saxonne ont vigoureusement critiqué la classification américaine des maladies mentales, le DSM, mais ces critiques sont peu connues en France. Cet article en propose une synthèse. Elles montrent que la fiabilité du DSM-IV est satisfaisante pour les pathologies sévères et médiocre pour les autres. De plus, sa validité est faible puisque la plupart des patients souffrent d’une combinaison de troubles mentaux supposés distincts et que la limite entre le normal et le pathologique se révèle très imprécise en pratique clinique. Ce manque de scientificité reflète simplement notre ignorance concernant les troubles mentaux. Le DSM est pourtant largement utilisé par une multitude d’acteurs. S’appuyant sur les études américaines, l’article présente ensuite quelques conséquences découlant de l’état actuel du DSM.

Voir en ligne : François Gonon, Neurobiologiste, directeur de recherche au CNRS, Université Bordeaux-II

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Quel laxatif utiliser en cours de grossesse

La grossesse peut entraîner ou aggraver une constipation. En cas d’échec des mesures hygiéno-diététiques classiques, un traitement laxatif peut être envisagé. Compte tenu de leur absence de passage systémique et de leur assez large utilisation, les laxatifs de lest (mucilages et son) et les laxatifs osmotiques (PEG, lactulose, lactitol, sorbitol) sont préférés en cours de grossesse, quel que soit le terme.

Voir en ligne : CRAT Centre de Référence sur les Agents Tératogènes

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Quel vaccin utiliser contre le virus A(H1N1)2009 ? Mise à jour 29/01/10

Le tableau qui suit, indique les dispositions à appliquer préférentiellement, à ce jour, pour la vaccination contre le virus A(H1N1)2009. Il a été établi à partir des recommandations du HCSP du 28/10, du 27/11/2009, du 11/12/2009 et du 29/01/2010.

  • Les cellules EN JAUNE du tableau, correspondent aux mesures qui s’appliquent en première intention, à ce jour, indépendamment du calendrier d’approvisionnement des vaccins.
  • Dans les cas où deux doses de vaccin sont recommandées, un délai minimum de 3 semaines doit être observé entre les 2 injections.

Voir en ligne : Minstère de la Santé (France)

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Quelle contraception choisir ?

Il existe de nombreux modes de contraception efficaces : du préservatif à la pilule, en passant par l’anneau, le patch, l’implant ou le stérilet (appelé désormais DIU, Dispositif Intra Utérin). Le point sur les principaux moyens de contraception et quelques conseils pour vous aider à choisir celui qui vous convient.

Voir en ligne : La santé pour tous

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Quelle contraception pour les femmes à risque cardio-vasculaire ?

Le choix d’une contraception chez une femme à risque cardiovasculaire n’est pas toujours aisé. Pour aider les professionnels de santé à proposer la contraception la plus adaptée en fonction de la maladie ou du facteur de risque existant, la Haute Autorité de Santé (HAS) publie ce jour une nouvelle fiche mémo. Cette fiche est fondée sur les critères établis par l’Organisation mondiale de la santé adaptés au contexte français.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Quelle coopération entre médecins généralistes et secteurs de psychiatrie ?

Il est maintenant reconnu que les troubles mentaux de toute nature présen- tent, dans les pays développés, une pré- valence annuelle de 15 à 20 % dans la population générale, qu’il s’agisse des adultes, des enfants ou des personnes âgées. Au-delà de la souffrance et du retentissement pour les personnes concernées, les coûts indirects situent les troubles mentaux au deuxième rang pour la société, au premier dans les vingt ans qui viennent (OMS, 2003). Les enjeux de prévention et de traitement sont donc considérables pour les personnes, leur entourage et la société tout entière.

Voir en ligne : MNASM Mission Nationale d’Appui en Santé Mentale

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Quelle est la différence entre une entorse, une foulure et une fracture ?

  • Entorse : Lorsque vous vous blessez à un muscle ou à un ligament, à un tendon ou aux tissus mous entourant vos articulations (coudes, chevilles, genoux, doigts, orteils).
  • Foulure : Lorsque vous vous étirez un muscle.
  • Fracture : Lorsqu’un os est cassé.

Voir en ligne : CSSA

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Quelle est la situation actuelle de Diane 35 en France ?

Diane 35 a obtenu son autorisation de mise sur le marché (AMM) en France en juillet 1987 dans le traitement de l’acné chez la femme. Compte tenu de sa composition (association d’éthinylestradiol et d’acétate de cyprotérone), ce médicament présente un effet inhibiteur de l’ovulation qui est mentionné dans le Résumé des Caractéristiques des Produits (RCP).

Voir en ligne : ANSM - Sécurité sanitaire des produits de santé

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Quelle est la situation actuelle des pilules estroprogestatives en France ?

Les contraceptifs oraux qui contiennet à la fois un estrogène et un progestatif sont appelés contraceptifs oraux combinés (COC) ou pilules estroprogestatives ou encore pilules combinées. L’estrogène le plus souvent utilisé est l’éthinylestradiol. Le type de progestatif utilisé détermine la génération de la pilule. Les COC dits de 2ème génération sont les pilules qui contiennent comme progestatif du lévonorgestrel ou du norgestrel. Elles ont été commercialisées depuis 1973. Les COC dits de 3ème génération sont les pilules qui contiennent comme progestatif du désogestrel, du gestodène ou du norgestimate. Elles ont été mises sur le marché à partir de 1984.

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

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Quelle est votre destination ?

Consultez un médecin, une infirmière ou un fournisseur de soins de santé ou visitez une clinique santé-voyage, de préférence six semaines avant votre départ.

Voir en ligne : ASPC - Agence de santé publique du Canada

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Quelle place pour le vaccin Papillomavirus humain (Gardasil®) dans la prévention du cancer du col ?

Gardasil® est un vaccin destiné à la prévention des infections par les Papillomavirus humains (HPV) des types 6, 11, 16 et 18 : dysplasies de haut grade du col de l’utérus, dysplasies de haut grade de la vulve et verrues génitales externes (condylomes acuminés). 70 % des cancers du col de l’utérus sont liés à ces virus : leur prévention est attendue, mais non démontrée.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Quelle place pour les associations fixes corticoïde / bêta-2 mimétique longue durée d’action dans le traitement de fond de l’asthme persistant ?

Des médicaments de seconde intention sans démonstration de différence d’efficacité ou de tolérance entre eux Ces associations fixes ne sont à utiliser qu’en traitement continu de l’asthme persistant, modéré à sévère. Ces médicaments sont à prescrire en seconde intention dans les cas où les patients sont : insuffisamment contrôlés par une corticothérapie inhalée et un bêta-2 agoniste de courte durée d’action administrés par voie inhalée « à la demande » ; ou contrôlés par une corticothérapie inhalée associée à un bêta-2 agoniste de longue durée d’action par voie inhalée. Aucune de ces associations fixes n’a démontré d’avantage clinique par rapport aux autres.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Quelles recherches d’anticorps prescrire dans la maladie cœliaque ?

La maladie cœliaque est une entéropathie inflammatoire chronique auto-immune provoquée par un antigène alimentaire, la gliadine du gluten (fraction protéique de céréales). Dans le cadre du diagnostic et du suivi de l’observance du traitement (le régime sans gluten), plusieurs tests sérologiques de recherche des anticorps produits au cours de la maladie ont été successivement développés. La HAS les a évalués et préconise une évolution des prescriptions.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Quelles sont les mesures simples de protection solaire ?

Le fait d’adopter les précautions simples qui suivent, qui sont tirées du SunWise School Programme, peut changer le cours des choses. L’ombre, les vêtements et les chapeaux offrent la meilleure protection – l’application d’écran solaire devenant nécessaire sur les parties du corps qui restent exposées comme le visage et les mains. L’écran ne doit jamais être utilisé pour prolonger la durée de l’exposition.

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé

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Quelles sont les pièces qui font légalement partie du dossier médical que la loi impose de transmettre au patient s’il le demande ?

La loi du 4 mars 2002 a effectivement prévu un droit d’accès direct de toute personne à son dossier médical. Ainsi, l’article L 1111-7 du code de la santé publique dispose que "toute personne a accès à l’ensemble des informations concernant sa santé détenues par des professionnels et établissements de santé, qui sont formalisées et ont contribué à l’élaboration et au suivi du diagnostic et du traitement ou d’une action de prévention, ou ont fait l’objet d’échanges écrits entre professionnels de santé (..)". Ce texte vise ainsi (mais la liste n’est pas exhaustive) les résultats d’examen, comptes-rendus de consultation, d’intervention, d’exploration ou d’hospitalisation, les protocoles et les prescriptions thérapeutiques mis en oeuvre, ainsi que la feuille de surveillance et les correspondances entre professionnels de santé.

Voir en ligne : Nicolas Loubry, le Concours Médical

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Quelques conseils pour mieux dormir

  • Seulement 10 à 20% des troubles du sommeil en population générale seraient de vraies insomnies.
  • Un tiers des personnes âgées de plus de 65 ans, soit près de 3,5 millions de personnes, et près de 40% des plus de 85 ans consomment de façon régulière des somnifères (benzodiazépines et médicaments apparentés).
  • Plus de la moitié de ces traitements ne serait pas appropriée, les vraies insomnies étant rares chez la personne âgée.
  • La durée d’exposition moyenne constatée aux somnifères est de 7 mois, or la durée de prescription maximale recommandée pour un somnifère est de 30 jours.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Quelques écoles de psychanalyse francophones présentes sur le Web :

APF Association Psychanalytique de France
SPP Société Psychanalytique de Paris
SPF Société de Psychanalyse Freudienne
AMP : L'école de la Cause freudienne - ACF
Quatrième Groupe
Association de la cause freudienne belgique
Groupe liègeois de l'Ecole Belge de Psychanalyse
Association des Psychotérapeutes Psychanalytiques du Québec

Voir en ligne :

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Quelques règles d’hygiène du sommeil

Pour bien dormir, il est essentiel de respecter certaines règles simples. Voici en dix points le secret pour passer des nuits paisibles. Le sommeil est soumis à un rythme, rythme qui varie selon les personnes. Il convient de le respecter, avec des heures de coucher et surtout de lever qui doivent être constantes. Cet horaire constant a un effet synchroniseur sur le cycle veille-sommeil.

Voir en ligne : Planète Santé

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Quels conseils peut-on donner aux parents pour éviter la surcharge pondérale de leurs enfants ?

Les conseils seront toujours couplés, conseils alimentaires et lutte contre la sédentarité et être renforcés chez des enfants qui ont des parents obèses. Le bébé, le nourrisson : il faut conseiller l’allaitement maternel et un lait maternisé adapté et de ne pas donner de lait de vache avant l’âge de 1 an. La diversification ne doit pas être trop précoce et les portions doivent être augmentées progressivement. Si le bébé pleure, évitez de donner systématiquement le sein, le biberon ou plus tard un biscuit : il n’a pas forcément faim.

Voir en ligne : obesite-enfant.com

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Quels sont les symptômes d’une crise cardiaque chez les femmes ?

Jusqu’à récemment, les recherches sur la crise cardiaque ont porté principalement sur les hommes. Cependant, des études récentes révèlent que les femmes présentent certains symptômes différents de ceux des hommes lors d’une crise cardiaque. Trop souvent, les signes d’une crise cardiaque passent inaperçus chez les femmes ; de fait, les femmes, leurs proches et même leur médecin ne les reconnaissent pas dans bien des cas. Souvent, les femmes attribuent leurs symptômes à un autre problème de santé ou aux effets secondaires d’un médicament ou elles pensent qu’ils disparaîtront tout seuls. Par conséquent, les femmes n’obtiennent pas toujours les soins dont elles ont besoin pour prévenir les complications découlant d’une crise cardiaque et la mort.

Voir en ligne : Réseau canadien pour la santé des femmes

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Question de poids. Le surpoids, pourquoi en parler ?

La France, fleuron de la gastronomie dans le monde, s’inquiète de plus en plus des conséquences que son alimentation pourrait éventuellement avoir sur la santé. Nous mangeons pourtant sans conteste beaucoup mieux qu’il y a cinquante ans mais certains ont du mal à s’adapter à cette évolution.
La multiplicité des produits offerts par l’industrie rend les choix parfois difficiles.

Voir en ligne : Swissweb santé publique-prévention-promotion de la santé

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Questions - réponses sur les cas de syndrome hémolytique et urémique (SHU) en lien possible avec la consommation de steak haché surgelé [ 17 juin 2011 ]

Quelle est l’origine des cas de SHU signalés notamment dans le Nord-Pas-De -Calais ?
Les cas de syndrome hémolytique et urémique (SHU) signalés le 14 juin dans le Nord Pas de Calais sont dus à une infection à Escherichia coli (E. coli) producteur de shigatoxines. On peut retrouver ces bactéries sous diverses appellations : STEC (Escherichia coli produisant des shigatoxines) ou VTEC (Escherichia coli produisant des verotoxines).

Voir en ligne : Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé (Secteur Santé)

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Questions - réponses sur les cas de syndrome hémolytique et urémique (SHU) en lien possible avec la consommation de steak haché surgelé [ 17 juin 2011 ]

Quelle est l’origine des cas de SHU signalés notamment dans le Nord-Pas-De -Calais ?
Les cas de syndrome hémolytique et urémique (SHU) signalés le 14 juin dans le Nord Pas de Calais sont dus à une infection à Escherichia coli (E. coli) producteur de shigatoxines. On peut retrouver ces bactéries sous diverses appellations : STEC (Escherichia coli produisant des shigatoxines) ou VTEC (Escherichia coli produisant des verotoxines).

Voir en ligne : Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé (Secteur Santé)

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Questions / Réponses - Hypertrophie bénigne de la prostate

Qu’est-ce que l’hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) Quelle est la différence entre cancer de la prostate, adénome de prostate et hypertrophie bénigne de la prostate ? ...

Voir en ligne : Professeur Jacques Irani, Service d’Urologie, C.H.U. La Milétrie, Poitiers.

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Questions éthiques soulevées par une possible pandémie grippale

La question qui parait essentielle aux yeux du Comité est celle de savoir si l’état d’urgence induit par une pandémie grippale comporte l’éventualité d’une mise à l’arrière-plan de certains principes éthiques fondamentaux. Faut-il subordonner les libertés individuelles à d’autres valeurs plus ajustées à l’efficacité de la stratégie de lutte contre ce fléau sanitaire ? Jusqu’où une limitation aux allées et venues des personnes peut-elle être imposée ? A quelle condition notre société pourrait-elle accepter que certains de ses membres soient prioritairement vaccinés dans la phase de pénurie vaccinale ?

Voir en ligne : CCNE Comité Consultatif National d’Ethique

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Questions fréquentes sur hypotension orthostatique idiopathique

De nombreuses questions se posent au patient porteur d’une hypotension orthostatique idiopathique, en premier lieu reconnaître l’affection dont il est porteur, ce qui s’assimile parfois à un parcours du combattant, en second lieu de trouver le traitement optimal ce qui demande de la patience. Le corps médical connaît peu cette affection car elle est rare. Les descriptions anciennes mentionnent ainsi que le cœur ne s’accélère pas lorsque le sujet est debout avec une tension basse mais au début de la maladie le cœur a encore cette faculté de s’accélérer lorsque la tension chute.

Voir en ligne : AFHOI Association Française de l’Hypotension Orthostatique Idiopathique

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Questions souvent posées sur les poux

Contrairement à l’avis général, avoir des poux ne signifie pas avoir une maladie ! Tout comme les moustiques, les poux sont des insectes qui se nourrissent de sang. Et tout comme les piqûres de moustiques, celles des poux provoquent aussi des démangeaisons. Le pou est un phénomène très courant et, en fait, il n’y a rien de particulier à cela. Il ne rend pas malade, il n’est pas non plus nocif et vous pouvez vous en débarrasser. Il est tout au plus étrange et gênant d’avoir ces petites bêtes dans les cheveux. Encore une fois, le pou n’est pas synonyme de maladie.

Voir en ligne : Millium

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Questions- Réponses sur la vaccination contre la Rougeole destinées aux parents-patients. Pourquoi parle-t-on tant de la rougeole en ce moment ?

Il y a quelques années, on ne pouvait s’imaginer qu’il y aurait en France une épidémie d’une telle ampleur. Les pédiatres, les médecins généralistes ne voyaient plus de cas depuis des dizaines d’années, et toute une génération de médecin ne savaient plus faire le diagnostic de la maladie tellement elle était devenue rare. Depuis 3 ans on assiste à une flambée. Au moins 10.000 cas ont été déclarés ces 3 dernières années, 5000 sur les 3 premiers mois de 2011, et 3000 en mars 2011

Voir en ligne : Infovac

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Questions-réponses sur la vaccination rougeole - oreillons - rubéole

Le seul moyen efficace de prévenir ces trois mal ontagieuses est la vaccination de tous les enfants, adolescent et je dultes non encore protégés.

Voir en ligne : INPES Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé

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Questions-réponses sur les compléments alimentaires

Les compléments alimentaires sont définis comme « des denrées alimentaires dont le but est de compléter un régime alimentaire normal et qui constituent une source concentrée de nutriments ou d’autres substances ayant un effet nutritionnel ou physiologique ». Ces produits sont destinés à être pris par voie orale et sont conditionnés en doses sous forme de comprimés, gélules, pastilles, ampoules.

Voir en ligne : Ministère des Affaires sociales et de la Santé

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QUESTIONS-RÉPONSES Toxoplasmose : état des connaissances et évaluation du risque lié à l’alimentation - « Toxoplasma gondii » -

Comment attrape-t-on la toxoplasmose ? La toxoplasmose est une infection parasitaire fréquente en France. La consommation de viande contenant des parasites et insuffisamment cuite est à l’origine de la plupart des infections chez l’homme. Les légumes et les fruits insuffisamment lavés, et très exceptionnellement l’eau de boisson peuvent également être source de contamination lorsqu’ils ont été souillés par les parasites.

Voir en ligne : ANSES Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail

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Quinine et crampes musculaires

La crampe musculaire idiopathique est une affection bénigne qui se résout spontanément. La quinine a été proposée dans cette indication. Contrairement à ce qui a été écrit dans les Folia de février 1995, l’utilisation de la quinine dans les crampes musculaires idiopathiques ne se justifie plus étant donné son bénéfice négligeable et le risque d’effets indésirables graves voire fatals.

Voir en ligne : Centre Belge d’Information Pharmacothérapeutique

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Qu´est-ce que la maladie de Parkinson ?

C´est une maladie neuro-dégénérative, chronique et évolutive, se déclarant dans plus de 50 % des cas avant l’âge de 60 ans, avec une évolution qui révèle des cas de plus en plus jeunes. La moyenne d´âge est de 65 ans - 60% d´hommes et 40% de femmes. Elle n´a pas de frontières et touche tous les pays : on compte 6 millions de parkinsoniens dans le monde entier dont plus de 200 000 en France (11000 nouveaux cas pour 2006).

Voir en ligne : Le groupement de Parkinsoniens d’Ile de France

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Qu’est ce que la ménopause ?

Elle est naturelle quand elle est liée à l’épuisement du stock de follicules ou chirurgicale en cas d’ovariectomie bilatérale (ablation des ovaires). L’arrêt de la production d’hormones ovariennes (oestrogène et progestérone) se traduit par la fin des menstruations. La ménopause naturelle ne survient pas brutalement et elle est précédée d’une période plus ou moins longue appelée péri ménopause (en moyenne quatre ans). Une femme est considérée comme étant ménopausée après au moins 12 mois d’arrêt des règles.

Voir en ligne : INSERM

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Qu’est-ce que la cataracte ?

La cataracte est une opacification du cristallin. Celui-ci, situé dans la partie avant de l’oeil, dirige la lumière vers la rétine dans la partie arrière, pour y former les images qu’on voit. La cataracte peut affecter le cristallin en partie ou en entier. Si la vue n’est pas trop embrouillée, il n’est pas nécessaire d’enlever le cristallin, mais, si l’opacité en affecte la partie centrale, il faudra peut-être l’extraire pour restaurer la vue.

Voir en ligne : Société canadienne d’ophtalmologie

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Qu’est-ce que la cholécystite aiguë ?

La cholécystite aiguë est une réaction inflammatoire de la vésicule biliaire. Elle survient le plus souvent lorsque le canal vésiculaire est bouché par un calcul. Cette sorte de dépôt pierreux se forme le plus souvent chez les femmes, les personnes âgées ou en surpoids. La cholécystite aiguë est une forte inflammation de la vésicule biliaire. Cette pathologie, de nature infectieuse, est le plus souvent liée à la présence de calculs (ou "lithiases vésiculaires") dans la vésicule.

Voir en ligne : Ameli-santé

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Qu’est-ce que la cirrhose du foie ?

La cirrhose est une maladie du foie qui endommage irréversiblement cet organe digestif. L’abus d’alcool en est la cause principale. Elle peut aussi survenir à la suite d’une hépatite virale chronique ou d’une maladie rare. La cirrhose est un ensemble de lésions diffuses et irréversibles du foie. Les tissus hépatiques sont envahis de fibrose, qui détruit la structure du foie et crée des nodules anormaux. La cirrhose peut être stable, ou bien évoluer. Mais elle ne peut pas régresser : une fois installée, elle est toujours définitive.

Voir en ligne : Ameli Santé

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Qu’est-ce que la dégénérescence maculaire ?

La rétine a une fonction semblable à celle d’une pellicule photographique. Elle capte les images pour les transmettre au cerveau. Sa partie la plus sensible, située au centre, est la macula ; elle assure la vision de précision. La macula permet de lire, d’écrire, d’enfiler une aiguille, bref, d’exécuter tout travail minutieux. Quand la macula est dégénérée, la vision centrale (vision de précision) diminue et peut même disparaître. Par contre, la vision périphérique n’est pas affectée de sorte qu’en général, la maladie ne conduit pas à la cécité totale et les personnes atteintes peuvent se déplacer seules.

Voir en ligne : Association des Médecins Ophtalmologistes du Québec

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Qu’est-ce que la fibromyalgie ?

La fibromyalgie est une affection chronique caractérisée par une douleur diffuse ou des sensations de brûlure de la tête aux pieds accompagnées d’une fatigue profonde. Etymologiquement, le terme fibromyalgie est constitué de « fibro » pour fibrose, « myo » pour muscles et « algie » pour douleur. Ce terme indiquerait donc une fibrose douloureuse des muscles, la fibrose n’étant cependant pas une lésion que l’on retrouve dans cette maladie.

Voir en ligne : Orphanet base de données sur les maladies rares

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Qu’est-ce que la maladie de Lyme ?

La maladie de Lyme est une maladie infectieuse due à une bactérie (Borrelia, dont il existe plusieurs espèces) transmise à l’homme par l’intermédiaire d’une piqûre de tique. Cette maladie peut toucher plusieurs organes, principalement la peau, les articulations et le système nerveux. Bien que déjà observée depuis de très nombreuses années en Europe, cette maladie a été décrite en 1975 suite à de nombreux cas d’arthrite (inflammation des articulations) chez des enfants et des adultes dans une ville du Connecticut aux Etats-Unis (Lyme).

Voir en ligne : Orphanet base de données sur les maladies rares

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Qu’est-ce que la Maladie de Parkinson ?

La maladie de Parkinson doit son nom à Sir James Parkinson, médecin londonien qui l’a décrite le premier, en 1817. Cette affection neurologique chronique, d’origine encore inconnue, touche une petite structure cérébrale au sein de laquelle une population de cellules nerveuses est atteinte, les neurones dopaminergiques. Ces neurones fabriquent et utilisent de la dopamine, un neurotransmetteur impliqué dans le contrôle des mouvements du corps, en particulier les mouvements automatiques (le clignement des yeux, la marche, certains gestes associés à la parole

Voir en ligne : France Parkinson

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Qu’est-ce que la mauvaise haleine ?

On parle de mauvaise haleine - ou d’halitose - quand l’air que l’on expire par la bouche et par le nez a une odeur désagréable (odeur d’œuf, de poisson "pourri"...) Le phénomène est assez répandu puisqu’il touche entre un quart et la moitié de la population, de manière occasionnelle ou chronique.

Voir en ligne : Ameli-santé

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Qu’est-ce que la sclérose en plaques ?

La sclérose en plaques, aussi appelée enzephalomyelitis disseminata, est une maladie chronique du système nerveux central.
Il s’agit de la deuxième maladie neurologique la plus fréquente à l’âge adulte.
Plus de 10 000 personnes sont atteintes de la SEP en Suisse, plus de 2,5 millions dans le monde.

Voir en ligne : Société suisse de la sclérose en plaques

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Qu’est-ce que la sténose du pylore ?

La sténose du pylore se produit lorsque l’ouverture entre l’estomac et l’intestin est bloquée. Cette ouverture est appelée le pylore . Il y a un muscle autour de cette ouverture. En temps normal, ce muscle permet, lorsqu’il se contracte, de garder la nourriture dans l’estomac et, lorsqu’il se détend, il laisse la nourriture passer de l’estomac à l’intestin. Cette affection est plus courante chez les garçons que les filles.

Voir en ligne : aboutKidsHealth

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Qu’est-ce que le lupus érythémateux systémique (LES) ?

Le LES est une maladie auto-immune susceptible d’entraîner l’atteinte d’organes variés, spécialement la peau, les articulations, le système hématopoïétique et les reins. Le LES est une maladie chronique ce qui signifie qu’elle peut durer longtemps. Auto-immune signifie qu’il s’agit d’une maladie du système immunitaire qui va entraîner une atteinte des propres organes du patient.

Voir en ligne : Pediatric Rheumatology INternational Trials Organisation (PRINTO)

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Qu’est-ce que le syndrome de fatigue chronique ?

Le syndrome de fatigue chronique (SFC) se caractérise par un état de fatigue persistant extrêmement intense, apparaissant soudainement chez une personne jusque là en bonne santé et non dépressive, sans que l’on puisse trouver de cause particulière. D’autres symptômes peuvent être présents, tels que des douleurs des articulations ou des muscles, des maux de tête ou de gorge, des troubles de la mémoire...

Voir en ligne : Orphanet base de données sur les maladies rares et les médicaments orphelins. Direction Générale de la Santé / INSERM

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Qu’est-ce que le trouble bipolaire ?

Affection mentale, le trouble bipolaire est une maladie qui est responsable de dérèglements de l’humeur avec le plus souvent une alternance anormale d’états d’exaltation et de dépression. Favorisée par des facteurs biologiques et génétiques, cette maladie apparaît le plus souvent chez l’adulte jeune voire l’adolescent.

Voir en ligne : Ameli-santé

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Qu’est-ce que l’anémie ?

L’anémie est définie par un faible taux d’hémoglobine. Cette substance est présente dans les globules rouges du sang. Elle leur permet de transporter l’oxygène vers tous les organes du corps. Les principaux signes de l’anémie sont la pâleur et la fatigue

Voir en ligne : Ameli-santé

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Qu’est-ce que l’asthme ?

De 100 à 150 millions de personnes dans le monde soit à peu près l’équivalent de la population de la Fédération de Russie souffrent d’asthme et leur nombre est en augmentation. Au niveau mondial, on enregistre plus de 180 000 décès par an dus à cette affection.

Voir en ligne : OMS

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Qu’est-ce que l’endométriose ?

L’appellation « endométriose » provient du mot « endometrium », tissu qui revêt l’intérieur de l’utérus. Un diagnostic d’endométriose est établi lorsque de tels tissus croissent à l’extérieur de l’utérus, que l’on nomme « adhérences ». L’œstrogène, une hormone féminine, déclenche la croissance, le saignement et la désagrégation de ces adhérences, causant ainsi de la douleur et de l’inflammation. Ce phénomène peut se produire ou ne pas se produire en même temps que vos menstruations.

Voir en ligne : Réseau canadien pour la santé des femmes

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Qu’est-ce que l’hyperthyroïdie ?

Située à l’avant du cou, la thyroïde est une petite glande contrôlée par le cerveau. Parfois, elle produit trop d’hormones, c’est l’hyperthyroïdie. De nombreuses fonctions du corps peuvent alors être perturbées. Cette maladie a des causes multiples. On parle d’hyperthyroïdie lorsque la glande thyroïde produit trop d’hormones. L’excès d’hormones thyroïdiennes engendre des troubles de la santé : la thyréotoxicose.

Voir en ligne : Ameli.fr

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Qu’est-ce que l’hypothyroïdie ?

L’hypothyroïdie est l’incapacité de la glande thyroïde à produire suffisamment d’hormones thyroïdiennes. Son dysfonctionnement retentit sur les grandes fonctions physiologiques de l’organisme. Néanmoins, on peut remplacer les hormones manquantes par un traitement substitutif.

Voir en ligne : Ameli.fr

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Qu’est-ce que l’urticaire ?

L’urticaire est une maladie de la peau qui se manifeste par des plaques rouges, souvent associées à des démangeaisons. En général, les crises sont brèves et isolées. Néanmoins, l’urticaire peut aussi s’établir de façon chronique. La réaction est provoquée par l’activation d’une cellule immunitaire : le mastocyte.

Voir en ligne : Ameli-santé

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  • (Maladies, symptômes et pathologies)

Qu’est-ce qui cause l’acné

La plupart des gens qui souffrent d’acné en auront dès le début de l’adolescence. Pendant cette période, l’organisme sécrète en abondance une substance grasse appelée sébum (ou huile). Certaines personnes ont trop de cellules cutanées « graisseuses ». Chez ceux qui souffrent d’acné, ces cellules se mélangent à l’huile et obstruent les follicules pileux dela peau. Les pores obstrués emprisonnent des bactéries dans les follicules, causent une inflammation et donnent naissance à des boutons. Dans l’acné, les petits boutons rouges peuvent devenir des pustules et même des kystes.

Voir en ligne : Collège des médecins de famille du Canada

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Qu’est-ce qu’un retard de croissance

Le terme retard de croissance (ou retard staturo-pondéral) est habituellement utilisé dans le cas d’un enfant dont le développement et la croissance ne sont pas normaux. Ce terme s’applique couramment à l’enfant qui ne grossit pas ou qui ne grandit pas conformément aux graphiques de croissance médicales standard. Un retard de croissance se manifeste lorsque votre enfant, soit ne reçoit pas la quantité de calories requise, soit est incapable d’utiliser les calories qu’il ingère, ce qui résulte en un manque de croissance ou de prise de poids sur une période de temps. Conformément aux graphiques de croissance standard, l’enfant souffre d’un retard de croissance si son poids ou sa taille tombe en dessous du troisième percentile pour son âge ou

Voir en ligne : NASPGHAN - North American Society for Pediatric Gastroenterology, Hepatology, and Nutrition

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Qu’est-ce qu’une déviation de la cloison nasale ?

La déviation de la cloison nasale est une déformation de la paroi intérieure du nez, vers la droite ou vers la gauche. Elle peut concerner le cartilage ou les os du nez, ou les deux à la fois. Plus précisément : le nez comporte une charpente osseuse délimitant les deux fosses nasales. Cette charpente est constituée des os propres du nez. Ils sont soudés à la face et se prolongent à l’avant par du cartilage.

Voir en ligne : Ameli-santé

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Qu’est-ce qu’une hépatite (...)

Une hépatite est une inflammation du foie entraînant une destruction plus ou moins importante des hépatocytes, les principales cellules du foie. Lorsque cette inflammation est récente, on parle d’hépatite aiguë. Si elle dure depuis plus de six mois, on parle d’hépatite chronique.

Voir en ligne : hepatites-info-service

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Qu’est-ce qu’une parasitose intestinale de l’enfant ?

Très fréquentes dans le monde, les parasitoses intestinales sont des affections dues à la présence de parasites dans l’intestin. Ces petits organismes s’abritent dans le corps d’un autre être vivant, pour s’y nourrir et s’y reproduire.

Voir en ligne : Ameli-santé

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Qu’est-ce-que le plan Alzheimer 2008-2012 ?

La maladie d’Alzheimer et les maladies apparentées progressent inexorablement avec l’âge : à partir de 85 ans, une femme sur 4 et un homme sur 5 sont touchés. Face à ce triple défi scientifique, médical et social, le Président de la République a lancé le 1er février 2008 le plan Alzheimer 2008-2012 doté de moyens spécifiques. Centré sur la personne malade et sa famille, il a pour objectif de fournir un effort sans précédent sur la recherche, de favoriser un diagnostic plus précoce et de mieux prendre en charge les malades et leurs aidants.

Voir en ligne : plan-alzheimer.gouv.fr

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Quels niveaux de cholestérol devrait-on traiter en Suisse ?

Les maladies cardiovasculaires restent la première cause de mortalité et de morbidité dans les pays industrialisés. Le bénéfice de la prescription de statines est clairement établi chez des patients atteints d’une maladie cardiovasculaire (prévention secondaire) [1]. Par contre, il persiste une incertitude quant aux bénéfices de la prévention primaire, comme montré dans la récente revue Cochrane [2].

Voir en ligne : Dr Nicolas Rodond

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Quels niveaux de cholestérol devrait-on traiter en Suisse ?

En prévention primaire, l’indication au traitement médicamenteux hypolipémiant dépend du risque cardiovasculaire estimé et du taux de LDL-cholestérol. Le traitement par statines a été démontré efficace dans la prévention des évènements cardiovasculaires, surtout chez les patients à haut risque cardiovasculaire. Le niveau de preuves du bénéfice de la prise en charge médicamenteuse des dyslipidémies est moins solide dans les groupes à risque intermédiaire et surtout ceux à risque faible pour lesquels on dé- nombre peu d’essais randomisés contrôlés.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Rachialgies aux urgences

Pourquoi parler de la prise en charge des rachialgies dans le cadre de l’urgence ? C’est tout d’abord un motif fréquent de consultation aux urgences : environ 70% de la population a au cours de sa vie une lombalgie et 20%, une cervicalgie. C’est donc un véritable problème de santé publique. Les étiologies sont multiples, certaines sont graves même si elles sont rares. La douleur est de type mécanique ou inflammatoire. La présence d’arthrose est banale et n’est pas forcément en cause. La rachialgie peut être isolée ou s’accompagner d’une atteinte radiculaire (avec radiculalgie +/- déficit sensitivo-moteur). Enfin, elle n’est pas toujours en rapport avec une étiologie rachidienne (ou intrarachidienne), elle est parfois la douleur projetée d’un autre organe.

Voir en ligne : Docteur Carole PAQUIER - Faculté de Médecine de Grenoble

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Radiothérapie : un laser développé en Israël prend pour cible uniquement les cellules cancéreuses

En moyenne, plus de 70% des patients atteints de cancers sont ou seront traités par radiothérapie. C’est un traitement qui consiste à irradier localement la ou les tumeurs, généralement par des rayons X très énergétiques. Ces radiations sont dites ionisantes : elles vont provoquer sur les cellules ciblées des cassures de la molécule d’ADN (cassures double brin) que les cellules cancéreuses, déficientes en systèmes de réparation, seront incapables de réparer correctement, les conduisant vers une mort cellulaire certaine. Les cellules saines vont elles, en théorie, réparer de façon efficace ces cassures et seront donc préservées.

Voir en ligne : Dr. Raphael Bilgraer | siliconwadi.fr

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Rappel des sirops sans sucre pour enfants Rhinathiol, Bronkirex et Carbocistéine Winthrop® 2%

Le laboratoire Sanofi Aventis, en accord avec l’Agence française de sécurité sanitaire de produits de santé (Afssaps), rappelle tous les lots de flacon de sirop sans sucre contre la toux Rhinathiol®, Bronkirex® et Carbocistéine Winthrop® destinés à l’enfant et au nourrisson, présents sur le marché français. Cette décision est motivée par la présence de phénol détectée dans un flacon, à la suite du signalement d’un patient suisse mentionnant une odeur anormale. Des investigations sont en cours pour identifier les causes de la présence de cette substance dans certains flacons. Dans l’immédiat, l’Afssaps recommande de ne pas utiliser les flacons de sirop sans sucre pour enfants Rhinathiol®, Bronkirex® et Carbocistéine Winthrop®, détenus au domicile.

Voir en ligne : AfSSAPS : Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé

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Rappel des sirops sans sucre pour enfants Rhinathiol®, Bronkirex® et Carbocistéine Winthrop® 2%

Le laboratoire Sanofi Aventis, en accord avec l’Agence française de sécurité sanitaire de produits de santé (Afssaps), rappelle tous les lots de flacon de sirop sans sucre contre la toux Rhinathiol®, Bronkirex® et Carbocistéine Winthrop® destinés à l’enfant et au nourrisson, présents sur le marché français. Cette décision est motivée par la présence de phénol détectée dans un flacon, à la suite du signalement d’un patient suisse mentionnant une odeur anormale. Des investigations sont en cours pour identifier les causes de la présence de cette substance dans certains flacons. Dans l’immédiat, l’Afssaps recommande de ne pas utiliser les flacons de sirop sans sucre pour enfants Rhinathiol®, Bronkirex® et Carbocistéine Winthrop®, détenus au domicile.

Voir en ligne : AfSSAPS : Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé

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Rapport annuel sur le dispositif de vigilance relatif à l’assistance médicale à la procréation (2008)

La mise en oeuvre du dispositif de vigilance relatif à l’assistance médicale à la procréation (AMP vigilance) a été confiée à l’Agence de la biomédecine par la loi de bioéthique d’août 2004. Cette nouvelle vigilance porte sur les incidents relatifs aux gamètes, embryons, tissus germinaux utilisés à des fins thérapeutiques, et les effets indésirables chez les donneurs de gamètes ou chez les personnes qui ont recours à l’AMP. Il s’agit d’un système de vigilance transversal pouvant impliquer d’autres dispositifs de surveillance épidémiologique. Une phase test a commencé depuis février 2007.

Voir en ligne : Agence de la biomédecine

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Rapport budget Santé du projet de loi de finances pour 2015

... Dans cette logique de réduction des dépenses publiques, la mission Santé voit le montant de ses crédits en fort recul dans le projet de loi de finances pour 2015 à hauteur de 7 %, contrairement à la tendance qui avait été constatée entre 2013 et 2014. Le tableau suivant récapitule l’évolution des crédits dédiés à la mission :

Voir en ligne : COMMISSION DES FINANCES, DE L’ÉCONOMIE GÉNÉRALE ET DU CONTRÔLE BUDGÉTAIRE SUR LE PROJET DE loi de finances pour 2015

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Rapport de la mission sur la refonte du système français de contrôle de l’efficacité et de la sécurité des médicaments

Sur la base des défaillances et dérives observées dans le système français de contrôle de l’efficacité et de la sécurité des médicaments, et en se référant à l’exemple récent du Mediator ®, la mission conduite par le Professeur Bernard Debré et le Professeur Philippe Even poursuit un double objectif. Elle élabore d’une part un audit sur les causes de ces défaillances et dérives, en analysant le panorama actuel des médicaments, l’industrie pharmaceutique en général, et en France en particulier, les systèmes d’évaluation et de contrôle du médicament en France, aux Etats-Unis, en Angleterre et au niveau européen (Haute autorité de santé - HAS, Agence européenne du médicament - EMA, Food and drug administration - FDA, Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé - AFSSAPS, Comité économique des produits de santé - CEPS), la formation et l’information thérapeutique des médecins. A la suite de ses observations, la mission préconise une refondation des agences de santé, particulièrement de l’AFSSAPS, et à un moindre degré de la HAS.
Télécharger le rapport

Voir en ligne : DEBRE Bernard , EVEN Philippe | La documentation française

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Rapport de la mission sur la refonte du système français de contrôle de l’efficacité et de la sécurité des médicaments

Sur la base des défaillances et dérives observées dans le système français de contrôle de l’efficacité et de la sécurité des médicaments, et en se référant à l’exemple récent du Mediator ®, la mission conduite par le Professeur Bernard Debré et le Professeur Philippe Even poursuit un double objectif. Elle élabore d’une part un audit sur les causes de ces défaillances et dérives, en analysant le panorama actuel des médicaments, l’industrie pharmaceutique en général, et en France en particulier, les systèmes d’évaluation et de contrôle du médicament en France, aux Etats-Unis, en Angleterre et au niveau européen.

Voir en ligne : DEBRE Bernard, EVEN Philippe -ladocumentationfrancaise.fr

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Rapport de la réunion extraordinaire sur la pandémie 2009 de grippe A (H1N1), 7 juillet 2009 à l’OMS

Le Groupe consultatif stratégique d’experts de la vaccination (SAGE) a tenu une réunion extraordinaire le 7 juillet 2009 à Genève (Suisse), afin de faire le point sur les vaccins destinés à lutter contre la pandémie 2009 de grippe A (H1N1) et de formuler des recommandations les concernant

Voir en ligne : OMS Organisation Mondiale de la Santé

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Rapport de synthèse sur le dépistage et le diagnostic du diabète gestationnel

Le diabète gestationnel est un trouble de la tolérance glucidique conduisant à une hyperglycémie de sévérité variable, débutant ou diagnostiqué pour la première fois pendant la grossesse, quels que soient le traitement nécessaire et l’évolution dans le post-partum (OMS).

Voir en ligne : HAS recommandations professionnelles- Juillet 2005

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Rapport du Haut Conseil pour l’Avenir de l’Assurance Maladie

Dans son rapport 2009, le Haut Conseil pour l’avenir de l’assurance maladie analyse l’état des comptes, la prise en charge des dépenses de soins par les différents financeurs et la « maîtrise médicalisée ».

Voir en ligne : Le Figaro

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Rapport d’évaluation du programme national de lutte contre la tuberculose 2007-2009

La tuberculose est un fléau ancien et quelque peu oublié dans les pays développés. Mais la survenue de souches multirésistantes et la levée de l’obligation vaccinale par le BCG en France ont créé un regain d’intérêt pour cette maladie infectieuse qui n’a jamais disparu. En 2007, pour appuyer sa décision de suspension de l’obligation vaccinale et redynamiser la lutte anti tuberculeuse, la ministre de la santé a annoncé un programme national, en cohérence avec l’objectif 38 de la loi de santé publique de 2004.

Voir en ligne : HCSP - Haut Comité de la Santé Publique

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Rapport d’information sur le dossier médical personnel

Pour le législateur de 2004, la création du dossier médical personnel (DMP) devait améliorer la prise en charge des malades par un partage de l’information médicale au moyen d’un outil moderne associant le patient et son – ou ses – médecins. Les progrès attendus concernaient : – une meilleure prise en compte de la santé de la personne dans sa globalité, dans un contexte marqué par une très grande spécialisation et donc un risque de parcellisation ; – une meilleure coordination des intervenants, médecins de ville et praticiens hospitaliers, et une prise en charge plus adaptée ; – une continuité des soins mieux assurée ; – la suppression des actes répétitifs inutiles et des accidents liés à une mauvaise association de médicaments (iatrogénie) ; – une plus grande qualité des soins résultant de l’effort de collecte et de partage de l’information utile, le malade et les différents professionnels de santé participant, chacun dans son rôle, à l’acte de soins.

Voir en ligne : par M. Jean-Pierre Door, Député.

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Rapport sur l’indemnisation des victimes d’infections nosocomiales et l’accès au dossier médical

Afin d’évaluer les évolutions de la relation entre les usagers et les professionnels et établissements de santé depuis l’entrée en vigueur de la loi du du 4 mars 2002 , la commission des affaires sociales et la commission des lois de l’Assemblée nationale ont créé une mission d’information commune sur l’indemnisation des victimes d’infections nosocomiales et l’accès au dossier médical. Au terme de ses travaux, la mission est parvenue à la conclusion que, si les apports de la législation de 2002 peuvent être considérés comme globalement positifs, l’effectivité du droit d’accès au dossier médical doit être renforcée et le régime d’indemnisation des infections nosocomiales doit être rendu plus juste.

Voir en ligne : HUET Guénhaël , Assemblée nationale FRANCE

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Rapport sur la DHEA

Ce rapport a été rédigé par l’AFSSAPS à la suite de la réunion d’un groupe d’experts ad hoc le 3 juillet 2001, en présence de représentants de l’AFSSA et de la DGS. Aux Etats-Unis, depuis 1994, la DHEA a été autorisée comme complément alimentaire, entraînant la commercialisation d’un produit non soumis à des normes pharmaceutiques au plan de la qualité, sans précision de dose ou de population cible. L’engouement du public français pour la DHEA qui promet "une jeunesse éternelle", relayé par la pression des médias, a entraîné une tilisation qui semble désormais importante de ce produit obtenu par internet ou en préparation magistrale. En effet, en l’absence de qualification, rien ne s’oppose à la mise à disposition de la DHEA en France et notamment sous forme de préparations magistrales.

Voir en ligne : Ministère de la Santé - France

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Rapport sur le thème de l’incontinence urinaire

Ce rapport établi à la demande de M. Xavier Bertrand, ministre de la santé et des solidarités dresse un état des lieux sur les modalités de prise en charge de l’incontinence urinaire en France. Il formule plusieurs recommandations pour améliorer la qualité de vie des personnes atteintes d’incontinence urinaire

Voir en ligne : HAAB François - Ministère de la santé et des solidarités

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Réactualisation du traitement hormonal à la ménopause en 2011.

Cet article de revue fait le point de l’actualisation du traitement hormonal de la ménopause (THM). Chez les femmes souffrant de symptômes climatériques, le THM est le traitement le plus efficace. Le THM prévient aussi l’ostéoporose. Néanmoins, étant donné qu’une utilisation prolongée est accompagnée de risques, d’autres médicaments plus spécifiques seront préférés chez des femmes souffrant d’ostéoporose en l’absence de symptômes climatériques, en association à un supplément de calcium et de vitamine D.

Voir en ligne : S. Rozenberg, J. Vandromme et C. Antoine

Sujets associés


Réadaptation après un accident vasculaire cérébral et unités neuro-vasculaires

L’Académie souligne que ces améliorations dans la prise en charge des patients au décours d’un accident vasculaire cérébral impliquent : D’améliorer la formation des médecins à la médecine physique et de réadaptation. De mieux prendre en compte les spécificités de l’acte de kinésithérapie neurologique. De favoriser la spécialisation d’orthophonistes dans la prise en charge des patients neurologiques.

Voir en ligne : Académie nationale de médecine

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Recherche, Evaluation, Prévention et Information en Médecine et Traumatologie de Montagne.

L’Hôpital de Chamonix, reconstruit en 1994, a pour vocation l’accueil et le traitement des pathologies traumatiques et médicales de montagne. Sa spécialisation chirurgicale est la chirurgie osseuse. Sa situation privilégiée lui permet de soutenir de nombreux protocoles d’étude et de recherche, en particulier épidémiologiques.

Voir en ligne : Département de Médecine et Traumatologie de Montagne de l’Hôpital de Chamonix (DMTM)

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Recommandation "diagnostic hépatite aiguë virale"

Le diagnostic d’hépatite aiguë virale A, B ou C repose, selon le contexte clinique, épidémiologique et l’âge, sur e, sur la détection de l’IgM anti-VHA, de l’Ag HBs et des IgM anti-HBc,des Ac anti-VHC.

Voir en ligne : S.N.F.G.E Société Nationale Française de Gastro-Entérologie : Diagnostic Biologique

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Recommandation de Bonne Pratique. Insuffisance cardiaque

L’objectif de cette RBP est de guider le médecin généraliste dans l’identification, le diagnostic, le traitement et le suivi de patients adultes présentant une insuffisance cardiaque. Des recommandations sont également formulées concernant la revalidation multidisciplinaire et le contexte des soins palliatifs adaptés aux patients présentant une insuffisance cardiaque chronique.

Voir en ligne : SSMG - Société Scientifique de Médecine Générale

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Recommandation de Bonnes Pratiques : les lombalgies communes

Les recommandations de bonne pratique pour les lombalgies communes illustrent bien leur intérêt dans ce domaine complexe et, où les étiologies et les symptômes sont particulièrement intriqués, et où l’imagerie n’apporte pas systématiquement une réponse aux multiples questions induites par la clinique

Voir en ligne : RMG - Revue de la Médecine Générale

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Recommandation du collège de la HAS sur les vaccins préventifs de l’infection par les papillomavirus (HPV) Gardasil et Cervarix

L’arrivée de la vaccination anti-HPV suscite un espoir majeur pour la santé des femmes. En effet, l’infection par les génotypes 16 et 18 du HPV est à l’origine d’environ 50% des lésions précancéreuses et 70% des cancers du col utérin. L’infection par les génotypes 6 et 11, si elle ne contribue pas à l’incidence des lésions précancéreuses ou des cancers, est cependant responsable de la plupart des condylomes acuminés.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Recommandation sur « La prise en charge de l’hypertension artérielle de l’adulte »

La Société Française d’Hypertension Artérielle émet en décembre 2012, une recommandation sur « La prise en charge de l’hypertension artérielle de l’adulte ». Pour améliorer la prise en charge de l’HTA, la SFHTA a souhaité réaliser une recommandation ayant comme caractéristique d’être utile à la pratique et d’avoir une forme synthétique pour une lisibilité facilitée. Afin de promouvoir cette recommandation auprès des professionnels de santé, un partenariat avec la Haute Autorité de Santé, avec la Caisse Nationale d’Assurance Maladie et avec l’institut National de Prévention et d’Éducation à la Santé sera proposé. Il est souhaité une large diffusion de ce document auprès des médecins prenant en charge l’HTA, mais aussi aux autres professionnels de santé (pharmaciens, infirmiers).

Voir en ligne : Société Française d’Hypertension Artérielle (SFHTA)

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Recommandations 2009 du du Programme éducatif canadien sur l’hypertension (PECH)

L’hypertension fait partie des principaux enjeux aux- quels fait face le Canada. En 2005, 5,7 millions de Canadiens avaient reçu un diagnostic d’hypertension, et un peu plus de 5 millions suivaient un traitement pharma- cologique. Au cours de la dernière décennie, l’hypertension a figuré au premier rang des diagnostics à l’origine des con- sultations médicales chez les adultes, et la proportion des consultations liées à l’hypertension par rapport à l’ensemble desconsultationsestenhausse.

Voir en ligne : Le Clinicien - la revue de formation médicale continue

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Recommandations : Syndrome d’apnées hypopnées obstructives du sommeil de l’adulte

Ces recommandations concernent le syndrome d’apnées hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS) du sujet adulte.
Objectifs des recommandations
Les objectifs de ces recommandations sont de faire le point sur : • la définition actuelle du SAHOS ; • la stratégie diagnostique ; • la stratégie thérapeutique.

Voir en ligne : SPLF - Société de Pneumologie de Langue Française

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Recommandations canadiennes pour la prévention et le traitement du Paludisme (Malaria) chez les voyageurs internationaux - 2009

Le paludisme est une infection courante et grave causée par cinq espèces du genre Plasmodium : P. Falciparum, P. vivax, P. ovale, P. malariae et P. knowlesi. Les infections à P. Falciparum sont associées aux taux de mortalité les plus élevés, et les infections à P. vivaxet à P. ovale ont des stades hépatiques quiescents qui peuvent entraîner des rechutes ultérieures. P. knowlesi est une espèce de plasmodies de plus en plus signalée en Asie du Sud-Est et se démarque par le fait que les primates en sont le réservoir

Voir en ligne : ASPC - Agence de santé publique du Canada

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Recommandations canadiennes pour le traitement de l’hypertension artérielle

Du nouveau et des rappels importants.

  • La baisse de la pression artérielle chez les patients diabétiques amène une réduction considérable des taux de mortalité et d’accidents cardiovasculaires
  • Misez sur l’efficacité de l’automesure : la mesure à domicile favorise la maîtrise de la pression artérielle

Voir en ligne : Société canadienne d’hypertension artérielle

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Recommandations canadiennes pour le traitement de l’hypertension artérielle Du nouveau et des rappels importants

  • 1. Mesurez la pression artérielle à chaque consultation qui s’y prête.
  • 2.Traitez jusqu’au but (< 140/90 mmHg ; < 130/80 mmHg en présence de diabète ou de néphropathie chronique). L’atteinte des cibles tensionnelles nécessite habituellement la prise de plus d’un médicament.
  • 3.Encouragez les patients hypertendus à utiliser un appareil approuvé ainsi qu’une technique appropriée pour évaluer leur pression artérielle à domicile.
  • 4.Faites le dépistage du diabète chez les hypertendus et le dépistage de l’hypertension chez les diabétiques. En présence de diabète, traitez l’hypertension en alliant la modification des habitudes de vie à la pharmacothérapie en vue de l’atteinte de cibles tensionnelles inférieures à 130/80 mmHg. Dans bien des cas, il faut utiliser au moins trois antihypertenseurs, y compris des diurétiques, pour atteindre les cibles tensionnelles.
  • 5.Évaluez et traitez le risque cardiovasculaire global chez tous les patients hypertendus, y compris dans les cas de tabagisme, de dyslipidémie, de dysglycémie, d’obésité abdominale, de mauvaises habitudes alimentaires et de sédentarité.
  • 6.La modification des habitudes de vie et le maintien d’un mode de vie sain sont la pierre angulaire de la prévention et de la prise en charge de l’hypertension et des maladies cardiovasculaires.

Voir en ligne : Programme éducatif canadien sur l’hypertension (PECH)

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Recommandations canadiennes pour les pratiques optimales de soins de l’AVC

La stratégie rassemble une multitude d’intervenants et de partenaires qui travaillent de concert à l’atteinte d’un objectif commun, c’est-à-dire, concevoir et appliquer une approche coordonnée et intégrée pour la prévention de l’AVC, son traitement, la réadaptation des patients et leur réintégration dans la communauté, dans chaque province et territoire du Canada. Un meilleur accès à des services intégrés de haute qualité et efficaces dans le contexte de l’AVC pour tous les Canadiens confirmera que la Stratégie canadienne de l’AVC constitue un exemple de réformes novatrices et positives du système de santé, tant au Canada qu’à l’échelle internationale.

Voir en ligne : Réseau canadien contre les accidents cérébrovasculaires et de la Fondation des maladies du cœur du Canada

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Recommandations concernant la gestion de la gale dans les établissements de soins et médicaux-sociaux

La gale est une affection connue depuis l’Antiquité. Elle procède par épidémies d’apparition cyclique. Quasiment disparue après la seconde guerre mondiale, elle a repris depuis 1964. Son actualité ne se dément pas. En réaction aux problèmes que pose sa prise en charge au sein des établissements de soins, des recommandations ont été publiées au cours des dernières années. Elles abordent de nombreux champs des connaissances fondamentales à maîtriser par l’hygiéniste tels que la parasitologie et l’épidémiologie. L’arsenal thérapeutique s’est élargi récemment, ouvrant de nouvelles options dans les combinaisons à mettre en place vis-àvis du patient, des personnes contact et de l’environnement. Mais de multiples considérations, notamment organisationnelles, recèlent toujours des difficultés pour les équipes devant faire face à des cas groupés.

Voir en ligne : CCLIN Sud-Ouest

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Recommandations concernant la minimisation du risque de survenue d’effets indésirables des médicaments

Considérant que le risque de survenue d’effets indésirables est la résultante constante de l’utilisation du médicament et que pourtant, il est bien établi que dans une majorité des cas (près de 60 pour cent) ce risque peut être évité, Considérant que la plupart des effets indésirables les plus fréquents étant liés à l’activité pharmacologique du produit, un respect des conditions d’utilisation, des précautions d’emploi et globalement des règles de Bon Usage du Médicament permettent d’optimiser le rapport bénéfice-risques du médicament,

Voir en ligne : ACADÉMIE NATIONALE DE PHARMACIE

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Recommandations de bonne pratique - traitement de l’acné par voie locale et générale - argumentaire

Des recommandations sur la prise en charge médicamenteuse de l’acné par voie orale avaient été élaborées en 1999 par l’Agence du Médicament [1]. Dans le cadre de l’actualisation régulière de ces textes de recommandations de bonne pratique, l’Afssaps a révisé ce document en fonction des nouvelles données scientifiques et des nouvelles Autorisations de Mise sur le Marché (AMM) et a élargi sa réflexion au traitement médicamenteux de l’acné par voie locale. L’acné désigne des lésions folliculaires qui surviennent à l’adolescence et qui sont liées à la fois à la l’hyperséborrhée et à des anomalies de la kératinisation de l’épithélium du canal du follicule pilo-sébacé induisant la formation du comédon.

Voir en ligne : Afssaps – novembre 2007

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Recommandations de bonne pratique - traitement de l’acné par voie locale et générale - recommandations

L’acné est une dermatose chronique très fréquente, évoluant par poussées. Elle touche en premier lieu les adolescents avec une prévalence en France supérieure à 70%. Les adultes, en particulier les femmes, peuvent être atteints, avec une prévalence d’acné conduisant à une demande de soins d’au moins 20%. Il existe des formes sévères et son retentissement psychosocial est généralement important, responsable d’une altération de la qualité de vie.

Voir en ligne : Afssaps – novembre 2007

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Recommandations de la Société française d’endocrinologie pour la prise en charge des nodules thyroïdiens

Le document ici proposé s’inscrit dans la lignée des recommandations pour la pratique que la Société française d’endocrinologie a constituées à l’usage de ses membres et mises à la disposition des communautés scientifiques et des médecins qui le souhaitent. Se fondant sur une analyse critique des données de la littérature, des consensus et recommandations déjà parues au plan international, il constitue une actualisation du rapport sur la prise en charge diagnostique du nodule thyroïdien, proposé en France en 1995 sous l’égide de l’Agence nationale d’évaluation médicale.

Voir en ligne : Société française d’endocrinolo

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Recommandations de vaccination contre la grippe saisonnière (2010-2011)

Au vu des connaissances les plus récentes et de la nouvelle situation virologique suite à la pandémie de l’année 2009, les recommandations de vaccination contre la grippe saisonnière ont été adaptées pour l’automne 2010.

Voir en ligne : Commission fédérale pour les vaccinations (CFV), Suisse

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Recommandations de vaccination contre les papillomavirus humains (HPV)

Les papillomavirus humains (human papillomavirus, HPV) ou virus du papillome humain (VPH) sont la cause la plus fréquente d’infections sexuellement transmissibles (IST). Ainsi, 70 % à 80 % de la population sexuellement active contractera des HPV au cours de sa vie. Certains types de HPV dits « à haut risque » peuvent entraîner des dysplasies du col de l’utérus, du vagin, de la vulve, de l’anus et de la sphère ORL, lesquelles peuvent évoluer vers un cancer invasif.

Voir en ligne : Commission fédérale pour les vaccinations (Suisse)

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Recommandations du Jeudi 13 août 2009 concernant la vaccination contre la grippe A H1N1/09

Le virus de la grippe A H1N1/09 est un nouveau virus identifié au printemps 2009. Se transmettant par contact direct ou indirect avec une personne infectée, il s’est répandu rapidement à travers le monde, déclenchant une pandémie. Le virus A H1N1/09 infecte surtout les enfants et les jeunes adultes, qui n’ont pas d’immunité protectrice, et beaucoup plus rarement les personnes de 65 ans et plus

Voir en ligne : Commission fédérale pour les vaccinations (Suisse)

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Recommandations du Programme éducatif canadien sur l’hypertension

L’hypertension demeure à l’heure actuelle un des principaux problèmes sanitaires et économiques (1 ;2). En 2010, un nouveau sondage de Statistique Canada a révélé que notre pays possède le plus fort taux de personnes ayant reçu un diagnostic d’hypertension, recevant un traitement et dont l’hypertension est maîtrisée

Voir en ligne : Société canadienne d’hypertension artérielle

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Recommandations du Programme éducatif canadien sur l’hypertension pour 2011 : Mise à jour annuelle du bref sommaire clinique

L’hypertension demeure à l’heure actuelle un des principaux problèmes sanitaires et économiques. En 2010, un nouveau sondage de Statistique Canada a révélé que notre pays possède le plus fort taux de personnes ayant reçu un diagnostic d’hypertension, recevant un traitement et dont l’hypertension est maîtrisée. En fait, depuis la dernière étude menée à l’échelle nationale en 1985-1997, le taux de traitement et de maîtrise a quintuplé.

Voir en ligne : Programme éducatif canadien sur l’hypertension

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Recommandations d’éradication de Helicobacter pylori en 2008

La gastrite à Helicobacter pylori est associée à de nombreuses affections digestives et extradigestives. Sa responsabilité est bien établie dans les ulcères gastroduodénaux, l’éradication de H. pylori favorisant la cicatrisation des ulcères duodénaux et prévenant la récidive des ulcères gastriques et duodénaux et de leurs complications. H. pylori et les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont deux facteurs de risque indépendants d’ulcère.

Voir en ligne : ean-Dominique de Korwin, médecine interne, CHU, hôpital Nancy

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Recommandations d’utilisation des répulsifs et biocides contre les moustiques

Les recommandations actuelles concernant l’utilisation contre les moustiques de produits répulsifs reposent essentiellement sur l’avis du Haut conseil de la santé publique (HCSP) en date du 25 avril 2013 et sont reproduites ci-dessous. Il est fortement recommandé de ne pas utiliser : les bracelets anti-insectes pour se protéger des moustiques et des tiques ; les huiles essentielles dont la durée d’efficacité, généralement inférieure à 20 minutes, est insuffisante ; les appareils sonores à ultrasons, la vitamine B1, l’homéopathie, les raquettes électriques, les rubans, papiers et autocollants gluants sans insecticide

Voir en ligne : Sante.gouv.fr

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Recommandations et Références pour l’appendicite

Devant une douleur aiguë de la fosse iliaque droite, les éléments qui, lorsqu’ils sont associés, permettent de surseoir à l’appendicectomie sont :
l’absence de réaction pariétale à la palpation abdominale, l’absence de température supérieure ou égale à 38°, l’absence d’hyperleucocytose supérieure à 10 000 éléments/mL.
Un nouvel examen clinique, à domicile ou en hospitalisation, est souhaitable dans les 6 à 12 heures suivantes. Si des médicaments ont été prescrits (antispasmodiques, antalgiques), ils ne doivent pas être renouvelés avant un nouvel examen clinique effectué au terme de leur délai d’efficacité thérapeutique. Devant une douleur aiguë de la fosse iliaque droite, l’antibiothérapie n’a pas à être utilisée comme test thérapeutique.

Voir en ligne : S.N.F.G.E

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Recommandations et Références pour l’appendicite

Devant une douleur aiguë de la fosse iliaque droite, les éléments qui, lorsqu’ils sont associés, permettent de surseoir à l’appendicectomie sont :
l’absence de réaction pariétale à la palpation abdominale, l’absence de température supérieure ou égale à 38°, l’absence d’hyperleucocytose supérieure à 10 000 éléments/mL.
Un nouvel examen clinique, à domicile ou en hospitalisation, est souhaitable dans les 6 à 12 heures suivantes. Si des médicaments ont été prescrits (antispasmodiques, antalgiques), ils ne doivent pas être renouvelés avant un nouvel examen clinique effectué au terme de leur délai d’efficacité thérapeutique. Devant une douleur aiguë de la fosse iliaque droite, l’antibiothérapie n’a pas à être utilisée comme test thérapeutique.

Voir en ligne : S.N.F.G.E

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Recommandations et références pour l’imagerie dans la lombalgie commune de l’adulte

Ces recommandations et références concernent la radiologie( standard, scanner et image de résonnance magnétique) dans la lombalgie commune de l’adulte définie par une douleur sans irradiation ou une douleur avec irradiation proximale

Voir en ligne : Agence Nationale d’Accréditation et d’Evaluation en Santé

Sujets associés


Recommandations mondiales en matière d’activité physique pour la santé. Prévenir les maladies non transmissibles

L’OMS a mis au point les Recommandations mondiales en matière d’activité physique pour la santé dans le but de fournir aux décideurs politiques nationaux et régionaux des indications sur la relation dose/effet entre la fréquence, la durée, l’intensité, le type et la quantité totale d’activité physique nécessaire pour prévenir les maladies non transmissibles. Sur cette page vous trouverez les recommandations concernant trois groupes d’âge : les 5-17 ans, les 18-64 ans et les plus de 64 ans.

Voir en ligne : OMS Organisation Mondiale de la Santé

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Recommandations pour l’usage approprié des produits contre la toux et le rhume chez les enfants

Des inquiétudes ont été exprimées quant à l’innocuité des produits contre la toux et le rhume offerts en vente libre (non prescrits) pour les enfants. Santé Canada publie à l’intention des consommateurs des recommandations sur l’usage approprié de ces produits, y compris des médicaments et des produits de santé naturels, en particulier chez les enfants de moins de deux (2) ans. Santé Canada a été informé d’effets indésirables menaçant le pronostic vital - incluant des surdoses accidentelles - qui ont été associés à l’usage de ces produits chez les enfants de moins de deux ans.

Voir en ligne : Santé Canada

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Recommandations pour la pratique clinique (RPC) du syndrome d’apnées hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS) de l’adulte

Le syndrome d’apnées hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS) est une pathologie fréquente chez le sujet adulte d’âge moyen, caractérisée par un collapsus répété des voies aériennes supérieures au cours du sommeil. Le diagnostic de SAHOS repose sur la confrontation de signes cliniques non spécifiques, fréquents en population générale, et d’enregistrements polygraphiques complexes dont l’offre est actuellement inadaptée à la prévalence de la maladie. Non traité, le SAHOS expose à d’importantes perturbations de la qualité de vie, à un risque accru d’accidents automobiles et à une augmentation de la morbidité mortalité cardiovasculaire

Voir en ligne : SPLF - Société de Pneumologie de Langue Française

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Recommandations pour la prévention des anomalies de la fermeture du tube neural

La prévalence des anomalies de fermeture du tube neural, essentiellement spina bifida et anencéphalie, concerne en France près de 1 naissance pour mille naissances vivantes et interruptions médicales de grossesse. Ces anomalies se constituent très tôt au cours de la grossesse, lors de la troisième et de la quatrième semaine de vie embryonnaire.

Voir en ligne : DGS Direction générale de la santé

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Recommandations pour la prévention des légionelloses dans les systèmes d’eau potable

Les légionelles sont des bactéries qu’on peut retrouver en très faible concentration dans l’eau potable et les eaux industrielles. Les quantités de bactéries y sont si minimes, qu’il n’y a en principe pas de danger pour l’homme. Au cas où l’eau ne circule pas ou que la température du circuit chaud stagne autour de 40-50 degrés Celsius, les légionelles peuvent se multiplier de façon importante et atteindre des concentrations de sorte à devenir un danger grave pour la santé humaine.

Voir en ligne : Ministère de la Santé - Luxembourg


Recommandations pour le diagnostic, la prévention et le traitement des obésités en France

L’obésité se définit comme un excès de masse grasse entraînant des inconvénients pour la santé.
L’obésité doit être considérée comme une maladie car elle peut mettre en cause le bien-être somatique, psychologique et social de l’individu .
En clinique, l’estimation de la masse grasse repose sur le calcul de l’indice de masse corporelle (IMC). Cet indice est le rapport du poids (exprimé en kg)sur le carré de la taille (exprimée en mètre).

Voir en ligne : Alfediam

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Recommandations pour l’hygiène des mains

Ce document aborde tous les points indispensables à une meilleure connaissance des normes pour un choix éclairé au sein des PHA disponibles sur le marché, à une plus grande maîtrise des techniques adaptées aux situations de soins (friction désinfectante et friction chirurgicale), à la reconnaissance et à la gestion de situations à l’origine d’intolérance. Il n’omet pas d’aborder certaines difficultés auxquels les professionnels sont confrontés, notamment la réglementation incendie sur le stockage des produits inflammables, l’utilisation des PHA dans les secteurs où son usage peut être détourné volontairement ou accidentellement, ni les interrogations comme celle sur l’absorption cutanée du principe actif de ces produits.

Voir en ligne : SFHH Société Française d’Hygiène Hospitalière

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Recommandations relatives à la prévention des maladies cardiovasculaires en pratique clinique.

Depuis plus de 15 ans, des recommandations concernant la prévention des maladies cardiovasculaires sont rédigées par des groupes d’experts de diverses sociétés scientifiques européennes. Tenant compte de l’évolution rapide de la science, il est nécessaire d’adapter régulièrement ces recommandations.

Voir en ligne : Groupe de travail belge de prévention des maladies cardiovasculaires.

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Recommandations relatives au soutien éthique en médecine

Les institutions du système de santé proposent de plus en plus souvent des procédures structurées pour la discussion de problèmes éthiques. L’enquête qu’a menée ASSM auprès d’hôpitaux de soins aigus, de cliniques psychiatriques et d’institutions de soins et de réhabilitation confirme cette tendance. Compte tenu de cette évolution, l’ASSM a élaboré des recommandations « Soutien éthique en médecine ». Elles s’adressent aux personnes qui proposent un soutien éthique, mais aussi à des institutions du domaine stationnaire ou ambulatoire qui souhaitent instaurer ou développer une telle structure.

Voir en ligne : ASSM - Académie Suisse des Sciences Médicales

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Recommandations sanitaires du Plan national canicule 2014

Le Plan national canicule (PNC) a pour objectifs d’anticiper l’arrivée d’une canicule, de définir les actions à mettre en œuvre aux niveaux local et national pour prévenir et limiter les effets sanitaires de celle-ci. Une attention particulière est portée aux populations les plus fragiles.

Voir en ligne : HCSP Haut Conseil de la santé publique

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Recommandations sanitaires en période de grand froid

Alors que Météo France prévoit pour ces prochains jours un renforcement du froid dans certains départements, la direction générale de la santé rappelle les principales mesures à adopter en cas de grand froid, notamment pour les populations vulnérables (sans-abri, nourrissons, personnes âgées ou présentant certaines pathologies chroniques cardiovasculaires, respiratoires ou endocriniennes). Le grand froid, le vent glacé, la neige sont des risques météorologiques qui peuvent être dommageables pour la santé. Leurs effets sont insidieux et peuvent passer inaperçus. Il faut donc redoubler de vigilance.

Voir en ligne : Actualité/Presse - Ministère de la Santé et des Sports

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Recommandations sanitaires pour les voyageurs 2009

La présentation des recommandations sanitaires pour les voyageurs en 2009 s’est enrichie. Le nombre de pages a augmenté, traduisant l’attention portée tant par le Comité des maladies liées aux voyages et des maladies d’importation (CMVI) que par les éditeurs du BEH aux voyageurs internationaux. L’actualité sanitaire de ce printemps 2009, avec la pandémie grippale A(H1N1), leur donne raison. Plusieurs cartes, mises à disposition par le Département international et tropical de l’Institut de veille sanitaire, illustrent maintenant ce numéro. Les tableaux se sont enrichis en nombre et en qualité. Les multiples renvois à des sites Internet achèvent de faire de ce document une source de plus en plus utile d’information pour le médecin conseillant les voyageurs.

Voir en ligne : Pr Eric Caumes, Président de la Société de médecine des voyages INVS

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Recommandations sanitaires pour les voyageurs, 2011

La crise .économique est finie (?), les voyageurs reprennent les chemins du monde semble-t-il, et des pathologies internationales ré-émergent, sans que les voyageurs soient directement en cause. Ces recommandations sanitaires pour les voyageurs 2011 ont l’ambition de les prévenir. Mais les variations climatiques, les migrations humaines et de moustiques vecteurs, le commerce alimentaire international, les catastrophes naturelles, déclenchent des phénomènes imprévus. De plus, les limites des mesures préventives (durée de protection vaccinale plus faible que prévue, résistances de microorganismes aux médicaments, mauvaise observance des voyageurs) facilitent ces ré-émergences

Voir en ligne : InVS Institut de veille sanitaire

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Recommandations sanitaires pour les voyageurs, 2013

Elles concernent tous les voyageurs, quelles que soient leur destination et les conditions du voyage. Elles rappellent l’importance, dans la prévention des pathologies liées aux voyages, de la vaccination, de la chimioprophylaxie du paludisme, des mesures de protection contre les moustiques et autres arthropodes, des mesures d’hygiène alimentaire et de lavage des mains.

Voir en ligne : HSCP

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Recommandations sanitaires pour les voyageurs, 2013

Elles concernent tous les voyageurs, quelles que soient leur destination et les conditions du voyage. Elles rappellent l’importance, dans la prévention des pathologies liées aux voyages, de la vaccination, de la chimioprophylaxie du paludisme, des mesures de protection contre les moustiques et autres arthropodes, des mesures d’hygiène alimentaire et de lavage des mains.

Voir en ligne : HCSP Haut Conseil de la santé publique

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Recommandations sanitaires pour les voyageurs, 2014 (à l’attention des professionnels de santé).

les voyageurs, quelles que soient leur destination et les conditions du voyage, sont fréquemment victimes de problèmes de santé. le taux de voyageurs malades varie de 15% à 70% selon les études, en fonction du type de voyageurs, des destinations et des conditions de séjour. la diarrhée est toujours le plus fréquent des problèmes de santé en voyage, avec les affections des voies aériennes supérieures, les dermatoses et la fièvre. les études les plus récentes montrent aussi l’émergence de pathologies non infectieuses : mal d’altitude, mal des transports, traumatismes et blessures, d’origine accidentelle mais aussi intentionnelle.

Voir en ligne : Avis du Haut Conseil de la santé publique du 28 avril 2014

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Recommandations Sommeil et Obésité

Ces recommandations, rédigées en partenariat avec différentes sociétés savantes(1), mettent en relief les rapports réciproques entre sommeil perturbé et obésité. Un point sur la littérature met en avant l’impact de la qualité et la durée du sommeil sur la prise de poids, puis les pathologies respiratoires du sommeil liées à une obésité sont abordées sous un aspect pratique.

Voir en ligne : SFRMS Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil

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Recommandations suisses pour la prise en charge des infections dues au virus de la varicelle-zoster

Les infections dues au virus de la varicelle-zoster (VZV) sont souvent associées à une morbidité substantielle. Leurs diagnostic et prise en charge sont complexes, en particulier chez l’hôte immunocompromis et durant la grossesse. Les présentes recommandations ont été établies par un groupe multidisciplinaire de spécialistes et adoptées par de nombreuses sociétés médicales suisses impliquées dans la prise en charge médicale de tels patients (voir remarque à la fin). Le but de ces directives consiste à améliorer les soins aux patients concernés et à réduire l’incidence des complications.

Voir en ligne : Article de P. Meylan S. Gerber W. Kempf D. Nadal pour le Swiss Herpes Management Forum - Revue Médicale Suisse

Sujets associés


Recommandations sur les priorités sanitaires d’utilisation des vaccins pandémiques dirigés contre le virus grippal A(H1N1)v

Le Haut Conseil de la santé publique confirme et précise ses recommandations antérieures privilégiant l’utilisation de vaccins ne contenant pas d’adjuvant  :

  • pour les enfants âgés de 6 mois à 23 mois,
  • les femmes enceintes,
  • pour les sujets porteurs de maladies de système ou d’une immunodépression associée à une affection sévère susceptible d’être réactivée par un vaccin contenant un adjuvant (transplantations allogéniques d’organes solides ou de cellules souches hématopoïétiques, maladies auto-immunes sévères touchant des organes centraux).

Voir en ligne : Haut Conseil de la santé publique

Sujets associés


Recommandations sur l’utilisation de Tamiflu® (oseltamivir) chez les nourrissons de moins de 1 an

06/08/2009 - Ces recommandations ont été établies dans le contexte de pandémie de niveau 6 de grippe A(H1N1) déclarée par l’OMS. Elles sont susceptibles d’être modifiées en fonction de l’évolution des données disponibles et des éventuelles modifications des caractéristiques du produit mentionnées dans l’Autorisation de Mise sur le Marché de Tamiflu®.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

Sujets associés


Recommandations thérapeutiques relatives aux troubles bipolaires

La Société Suisse de Psychiatrie et Psychothérapie (SSPP) a chargé la Société Suisse des Troubles Bipolaires d’élaborer des recommandations thérapeutiques pour les troubles bipolaires. Les préconisations suivantes abordent uniquement les traitements de premier choix afin de circonscrire l’étendue des recommandations. Par conséquent, les recommandations ne contiennent pas de suggestions en cas d’échec des traitements de première ligne

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

Sujets associés


Recommandations vaccinales contre la coqueluche

Vaccination de rappel contre la coqueluche des enfants à 11-13 ans Le calendrier vaccinal français recommande (i) une primo vaccination à l’âge de 2, 3 et 4 mois, un rappel à l’âge de 16-18 mois et prévoit, depuis 1998, un rappel de vaccin coquelucheux entre 11 et 13 ans (ii).

Voir en ligne : HCSP Haut Conseil de la santé publique

Sujets associés


Recommandations Ventes de médicaments à partir de sites internet

Considérant que les risques de contrefaçon, de défaut de composition, de conditionnement, de conservation, d’information et de pharmacovigilance des médicaments constituent des menaces majeures pour la sécurité des patients et pour la santé publique, qu’ ils justifient pleinement la surveillance de la production, de l’importation, de la distribution et de la dispensation des médicaments sous contrôle pharmaceutique, que ces risques ont été très substantiellement et internationalement accrus par l’essor de la vente et de la fraude sur des sites Internet souvent incontrôlés et incontrôlables,

Voir en ligne : Académie Nationale de Pharmacie

Sujets associés


Rectocolite hémorragique

  • Qu’est ce que la rectocolite hémorragique ?
  • Quels sont les symptômes de la rectocolite hémorragique (RCH) ?
  • Quels examens permettent le diagnostic de rectocolite hémorragique ?
  • Quels sont les aspects endoscopiques d’une rectocolite hémorragique ?
  • Existe t-il des manifestations non intestinales de la rectocolite hémorragique ?
  • Quelles sont les complications possibles de la rectocolite hémorragique ?
  • Comment évolue une poussée de rectocolite hémorragique ?
  • Existe t-il un lien entre rectocolite hémorragique et cancer ?
  • Quel est le traitement de la rectocolite hémorragique ?
  • Quelle est la place du traitement chirurgical dans la rectocolite hémorragique ?
  • Quelles différences entre rectocolite hémorragique et maladie de Crohn colique ?

Voir en ligne : Collège des enseignants d’hépato-gastroentérologie.

Sujets associés


Réduire l’exposition aux ondes des antennes-relais n’est pas justifié scientifiquement

Ce rapport représente une somme de travail considérable et couvre avec pertinence et pédagogie les questions posées par l’impact sanitaire éventuel des communications sans fil et en particulier de la téléphonie mobile. Il donne aux citoyens et aux élus les éléments scientifiques nécessaires à une gestion apaisée des questions posées par la téléphonie mobile et permet d’éclairer la justice. Il montre tout d’abord que les hypothèses concernant les mécanismes biologiques qui auraient pu être à l’origine d’un effet sanitaire des radiofréquences n’ont pas été confirmées

Voir en ligne : Académie nationale de Médecine, Académie des Sciences, Académie des Technologies

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Réévaluation des contraceptifs oraux de 3ème génération

Suite à une saisine du Ministre de la santé et des solidarités, la Commission de la transparence réévalue les contraceptifs oraux de 3ème génération sur la base d’un « état actuel de la science en vue d’une éventuelle admission au remboursement ».

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Réévaluation des contraceptifs oraux de 3ème génération

Compte tenu de l’augmentation du risque de survenue d’accidents thromboemboliques veineux et d’AVC ischémique associée aux contraceptifs oraux de 3ème génération, de l’absence d’étude prospective comparative permettant d’évaluer le bénéfice apporté par les contraceptifs oraux de 3ème génération versus les contraceptifs oraux de 2ème génération, la Commission de la transparence considère que les contraceptifs oraux de 3ème génération n’apportent pas d’amélioration du service médical rendu (ASMR V) par rapport aux contraceptifs oraux de 2ème génération.

Voir en ligne : COMMISSION DE LA TRANSPARENCE - AVIS du 10 octobre 2007

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Référentiel 2009 de la Société Française d’Hématologie (SFH)

Anémies hémolytiques auto-immunes. Aplasie médullaire idiopathique. Leucémies aiguës lymphoblastiques (LAL) de l’adulte. Leucémies aiguës myéloïdes (LAM) de l’adulte. Leucémie lymphoïde chronique. Leucémie myéloïde chronique. Lymphomes diffus à grandes cellules. Lymphomes folliculaires. Lymphome de Hodgkin. Lymphomes du manteau. Lymphomes de la zone marginale. Maladie de Waldenström. Myélofibrose primitive. Myélome multiple. Polyglobulie primitive. Syndromes myélodysplasiques. Thrombopénies auto-Immunes.

Voir en ligne : SFH - Société Française d’Hématologie

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Référentiel de bonnes pratiques à l’usage des médecins qui sont amenés à demander ou à réaliser des examens d’imagerie médicale

Le Guide du bon usage des examens d’imagerie médicale est le fruit d’un travail conjoint des Sociétés Françaises de Radiologie (SFR) et de Médecine Nucléaire (SFMN) et de leurs collèges nationaux d’enseignants. De nombreux partenaires ont collaboré à sa réalisation, dont l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN), la Société Française de Physique Médicale (SFPM) et les sociétés savantes et professionnelles listées dans la liste des contributeurs. Cette publication a disposé du soutien de la Haute Autorité de Santé (HAS) et de l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN).

Voir en ligne : Edité par la Société Française de Radiologie et la Société Française de Médecine Nucléaire sous l’égide de la Haute Autorité de Santé et de l’Autorité de sûreté nucléaire

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Référentiel National des complications neurologiques de l’alcoolisme

Les complications neurologiques de l’alcoolisme résultent des effets toxiques + des carences + atteinte d’autres fonctions (ex, hépatique) + accidents induits (ex, traumatismes). Prévention systématique de ces complications par un supplément vitaminique. Nécessaire information sur les modalités de prise en charge pour un sevrage ambulatoire ou hospitalier

Voir en ligne : Collège des Enseignants de Neurologie

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Référentiel régional Prise en charge des mélanomes cutanés

Le mélanome est un cancer fréquent. Il représente 7200 nouveaux cas par an et se place ainsi aux 13ème et 7ème rangs par sa fréquence chez les hommes et les femmes respectivement. Son incidence est en constante augmentation de 10% par an depuis 50 ans. 1300 décès par an lui sont attribuables (1). Le mélanome apparaît dans 70 à 80% des cas de novo, c’est-à-dire sur peau saine sans lésion préexistante et dans 15-20% des cas après transformation maligne d’un naevus. Environ 10% des mélanomes sont des formes familiales (1).

Voir en ligne : Réseau de Cancérologie Aquitaine

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Référentiels concernant la durée d’arrêt de travail : saisine du 10 novembre 2009

Référentiels concernant la durée d’arrêt de travail pour 6 pathologies ou interventions :

  • les pathologies anxio-dépressives mineures,
  • les varices suite à intervention chirurgicale,
  • la gastro-entérite virale,
  • la lombalgie commune,
  • le canal carpien après chirurgie,
  • la ligamentoplastie du croisé antérieur du genou.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Reflux gastrique ou « brûlements d’estomac »

Après un repas copieux et bien arrosé, vous ne vous sentez pas très bien au moment d’aller dormir. Votre estomac est rempli à craquer, vous avez des éructations (des rots) et vous sentez tout à coup un liquide amer vous remonter dans la bouche. Vous finissez par vous endormir, mais vous vous réveillez quelques heures plus tard avec une désagréable sensation de brûlement à l’estomac et derrière le sternum (au milieu de la poitrine), et un goût d’acidité dans la bouche.

Voir en ligne : Collège québécois des médecins de famille.

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Reflux gastro-oesophagien : IPP en continu ou à la demande ?

Quelle est l’efficacité d’un traitement par inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) donnés à la demande (c’est-à-dire en fonction des plaintes), versus traitement administré pendant des périodes fixes ou même en continu, sur les plaintes liées à un reflux gastro-oesophagien ?

Voir en ligne : Minerva

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Refonder la gouvernance de la politique d’informatisation du système de santé

Douze propositions pour renforcer la cohérence et l’efficacité de l’action publique dans le domaine des systèmes d’information de santé. Les difficultés de mise en oeuvre du dossier médical personnel ont contribué à mettre en évidence les faiblesses de la gouvernance du système d’information de santé : réticences psychologiques et culturelles chez certains professionnels de santé, complexité d’organisation du système de santé et rigidités de sa gouvernance ont été des freins à la pleine utilisation des technologies de l’information et de la communication dans le domaine de la santé.

Voir en ligne : GAGNEUX Michel - Ministère de la santé et des sports FRANCE

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Regards croisés sur la maladie d’Alzheimer : perceptions, opinions et attitudes du grand public, des aidants proches et des aidants professionnels

Selon les données de la Caisse nationale de l’assurance maladie des travailleurs salariés [1], en 2007, 400 000 personnes de plus de 60 ans (tous régimes confondus) sont déclarées en affection de longue durée (ALD) et/ou traitées pour une maladie d’Alzheimer ou apparentée. Sur cette base, le taux de prévalence est de 2,7 % sur l’ensemble de la population âgée de 60 ans et plus. Mais ce taux progresse rapidement à partir de 75 ans pour atteindre plus de 14 % à 90 ans.

Voir en ligne : INPES Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé

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Regards sur l’épicondylite

L’épicondylite est un trouble musculo-squelettique qui fait partie des premiers résultats de consultations répertoriées par l’Observatoire de la médecine générale. La SFMG et ses experts en proposent une synthèse référencée. L’augmentation de la fréquence de l’épicondylite comme celle de tous les troubles musculo-squelettiques (TMS) est constatée par tous et dans tous les pays industrialisés :

Voir en ligne : Observatoire de la Médecine Générale

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Régime hypo-uricémiant

Votre taux d’acide urique sanguin est élevé, et vous risquez de faire une crise de goutte, ou vous en avez fait une. Nous disposons aujourd’hui de médicaments très puissants pour faire baisser ce taux, mais néanmoins des précautions diététiques peuvent rester nécessaires, soit pour éviter d’avoir à prendre un médicament, soit en complément du traitement médicamenteux. Les principes du traitement médicamenteux font l’objet d’une autre fiche de cette série.

Voir en ligne : SFTG Paris-Nord Société de Formation Thérapeutique du Généraliste

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Régime hypocholestérolémiant

Votre taux de cholestérol sanguin est trop élevé. Comme vous le savez, cette anomalie expose au développement de l’athérome (dépôt de cholestérol dans la paroi des artères) et à ses complications (maladies coronariennes, artérite, accidents vasculaires). Même si des médicaments existent, la première étape du traitement consiste à réduire, dans votre alimentation, les apports de certaines graisses dites acides gras saturés, qui sont transformés en cholestérol par votre organisme. De façon très schématique, ces produits sont essentiellement contenus dans les corps gras issus des mammifères.C’est leur réduction qu’il faut viser. Les corps gras issus des végétaux, mais aussi ceux provenant des oiseaux, des poissons, des crustacés, sont beaucoup mois athérogènes. C’est la logique des conseils qui suivent. Les principes de régime qui suivent visent uniquement à diminuer votre taux de cholestérol sanguin. Ils ne visent pas à obtenir une perte de poids.

Voir en ligne : SFTG

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Régimes amaigrissants : des pratiques à risque

L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) publie ce jour un rapport d’expertise sur l’évaluation des risques liés aux pratiques alimentaires d’amaigrissement. La quête de la minceur et le foisonnement de régimes qu’il est possible de suivre seul, sans avis médical, amènent en effet les pouvoirs publics à s’interroger sur les risques liés à ces pratiques. Ce travail va être mis en consultation auprès des parties prenantes, en vue d’établir des recommandations dans un avis à paraitre début 2011.

Voir en ligne : ANSE Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail

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Réinventons notre système de santé

Ce rapport est composé de cinq parties, consacrées à la lutte contre les inégalités sociales de santé, à la définition d’une politique de prévention, à la régulation de l’assurance maladie, à l’élaboration d’une stratégie explicite d’organisation des soins et à la réforme des structures de gouvernance. Ces thématiques permettent d’embrasser une grande part des dynamiques et des transformations du système de santé, afin de dessiner ses évolutions progressistes. Pour chaque thématique, les chapitres apportent des éléments de diagnostic et de bilan des politiques mises en œuvre ces dernières années, tout en proposant des orientations assorties de propositions.

Voir en ligne : Terra Nova

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Renacoq : surveillance de la coqueluche à l’hôpital en 1999 - bilan de 4 années de surveillance

Objectif du réseau : Ce réseau a pour objectif de permettre la description des caractéristiques épidémiologiques des coqueluches de l’enfant, vues à l’hôpital et de suivre ainsi les tendances au cours du temps.

Voir en ligne : I.Bonmarin*, C.Six*, E. Laurent, S. Baron*, S. Haeghebaert*, N.Guiso** Et les laboratoires de bactériologie et pédiatres hospitaliers participant à RENACOQ

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Renouveler ses lunettes de vue : mode d’emploi – Document pour les usagers

Depuis 2007*, les opticiens-lunetiers peuvent adapter, dans le cadre d’un renouvellement, les prescriptions médicales initiales de verres correcteurs datant de moins de 3 ans, chez les personnes d’au moins 16 ans, à la condition que l’ophtalmologiste n’ait pas notifié son opposition sur l’ordonnance. En effet, l’ophtalmologiste peut décider, dans des situations particulières qui nécessitent un suivi médical rapproché, de limiter ou de s’opposer au renouvellement par l’opticien. Dans certains cas également, l’opticien devra orienter la personne vers l’ophtalmologiste avant toute délivrance de lunettes.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé


Renouveler ses lunettes de vue : mode d’emploi – Document pour les usagers

Depuis 2007*, les opticiens-lunetiers peuvent adapter, dans le cadre d’un renouvellement, les prescriptions médicales initiales de verres correcteurs datant de moins de 3 ans, chez les personnes d’au moins 16 ans, à la condition que l’ophtalmologiste n’ait pas notifié son opposition sur l’ordonnance. En effet, l’ophtalmologiste peut décider, dans des situations particulières qui nécessitent un suivi médical rapproché, de limiter ou de s’opposer au renouvellement par l’opticien. Dans certains cas également, l’opticien devra orienter la personne vers l’ophtalmologiste avant toute délivrance de lunettes.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Renouvellement par le pharmacien du traitement d’une ordonnance périmée

Le patient souffrant d’une maladie chronique ou suivant un traitement régulier peut obtenir de son pharmacien son traitement même si l’ordonnance est périmée. Les pharmaciens se trouvent fréquemment confrontés à des patients souffrant de maladies chroniques qui, faute d’avoir pu revoir en temps utile leur médecin traitant, ne disposent plus de médicaments pour assurer la continuité de leur traitement. Ces médicaments, le plus souvent des prescriptions obligatoires, ne peuvent être dispensés par le pharmacien sans prescription médicale et en dehors d’une ordonnance en cours de validité. Mais pour éviter notamment l’interruption du traitement, le pharmacien est autorisé, sous condition, à renouveler un traitement

Voir en ligne : Le 19/07/2012, par la Rédaction de Net-iris, dans Santé / Droit Médical.

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Renseignements pour le personnel et les employeurs du secteur de la santé - Nouveau coronavirus nCoV-EMC

Mise à jour : 7 mai 2013 Ces renseignements nécessitent une interprétation avertie et sont principalement destinés aux travailleurs de la santé et aux employeurs du secteur de la santé dans tous les établissements.

Voir en ligne : ministère de la Santé et des Soins de longue durée (Ontario)

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Réorganisation des vigilances sanitaires

Les récents événements, intéressant notamment le fonctionnement de la pharmacovigilance (Médiator™) et de la matériovigilance (prothèses PIP), ont mis en évidence la nécessité de revoir l’organisation du système des vigilances, depuis le signalement des incidents jusqu’à leur gestion opérationnelle. Par ailleurs, plusieurs situations ont mis en évidence les grandes difficultés des ARS à pouvoir répondre aux responsabilités qui leur sont confiées en termes de sécurité sanitaire et notamment à disposer des informations nécessaires.

Voir en ligne : Jean-Yves Grall - DGS - Rapport de mission | Ministère des Affaires sociales et de la Santé

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Réparation d’un préjudice consécutif à un acte médical

  • Caractérisitiques des différentes instances de recours
  • Recours à la commission des relations avec les usagers
  • Recours à la commission régionale de conciliation et d’indemnisation (CRCI)
  • Recours devant le tribunal pour un préjudice en matière de santé

Voir en ligne : Service-public est un site édité par la Documentation française

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Réponses aux questions fréquemment posées concernant la propagation, les symptômes, le traitement et la prévention de la maladie à virus Ebola

Une épidémie de maladie à virus EBOLA touche actuellement l’Afrique de l’Ouest. La propagation du virus Ebola dans toute l’Afrique de l’Ouest est préoccupante. Le foyer actuel s’est étendu au point de devenir le plus important jamais enregistré, des cas et des décès ayant été rapportés en Guinée, au Liberia, à la Sierra Leone et au Nigeria. Des chiffres mis à jour sont publiés à l’adresse suivante : http://www.who.int/csr/don/fr/.

Voir en ligne : URPS médecins libéraux Ile-de-France

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Reproduction - sexualité : études et synthèses (Bioéthique)

L’assistance médicale à la procréation (AMP) induit des conséquences à court et long termes. Les premières impliquent le couple qui désire un enfant et mettent en jeu son information et son consentement quant aux pratiques mises en oeuvre. Les secondes concernent l’enfant et son avenir (tiers intialementt absent auprès duquel aucun consentement ne peut être recueilli) et les incertitudes qui lui sont liées tant au plan psychologique, sociologique et médical. Il importe donc d’évaluer de manière précise, l’impact des techniques d’AMP en terme de qualité de prise en charge des couples, d’information, de consentement au sein d’une nouvelle dimension de la relation médecin-malade (médecin-couple), et de suivi des enfants. Par ailleurs, l’AMP met en jeu des techniques nouvelles dont les retentissements biologiques (risque infectieux, génétique...), médicaux (respect des indications, secret...), sociologiques (structuration de la famille...) voire juridique et politique doivent être pris en compte et également évalués.

Voir en ligne : INSERM

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Réseau de prise en charge et traitement de l’insuffisance cardiaque

Attentifs à la nécessité d’organiser une meilleure prise en charge des patients atteints d’insuffisance cardiaque sur leur lieu de vie, de favoriser la coordination des soins, la qualité de vie et l’auto-prise en charge par l’éducation thérapeutique, le Centre Hospitalier Universitaire de Nantes et des professionnels de santé libéraux et hospitaliers ont initié une réflexion commune sur la base du volontariat pour créer une Association d’Aide aux Insuffisants Cardiaques conformément aux orientations définies par la Loi n° 2002-303 du 4 mars 2002 relative à la notion de réseau de soins.

Voir en ligne : RESPECTI – CŒUR

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Résistance aux antibiotiques

Pour être efficace, un antibiotique doit parvenir au contact de la bactérie, ce qui implique qu’on tienne compte, dans la prescription, des données pharmacologiques telles que la posologie, la voie d’introduction, la diffusion tissulaire et le métabolisme de la molécule. Il doit ensuite pénétrer dans la bactérie, n’y être ni détruit ni modifié, se fixer à une cible et perturber ainsi la physiologie bactérienne. Si l’une de ces conditions n’est pas remplie, l’antibiotique, même correctement administré, se révèle inefficace. Ce phénomène appelé résistance est lourd de conséquences et doit être, si possible, dépisté au laboratoire.

Voir en ligne : Pr ag. Anne Decoster

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Résistance aux antibiotiques : le NDM-1, une nouvelle bactérie coriace, se répand dans le monde

Le NDM-1 inquiète la communauté scientifique. Cette bactérie semble résister à tous les antibiotiques. Le NDM-1, dont on ne connaît pas encore entièrement le fonctionnement, avait été identifié pour la première fois en 2009 chez un patient suédois qui avait été hospitalisé en Inde. L’étude publiée mercredi dans la revue britannique The Lancet Infectious Diseases, faisant état de 37 cas, interpelle le monde médical.

Voir en ligne : Centre de Documentation en Santé Publique

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Résistances aux antibiotiques

La découverte des antibiotiques a constitué une véritable révolution dans le domaine des maladies infectieuses. L’antibiothérapie a sauvé un très grand nombre de vies et l’on a cru que les maladies infectieuses seraient un jour toutes jugulées. L’apparition et l’extension rapide du phénomène de résistance aux antibiotiques a assombri ce brillant tableau. Les antibiotiques perdent de leur efficacité et des maladies que l’on croyait maîtrisées réapparaissent. La menace existe dans les pays développés et plus encore dans les pays en voie de développement. Le phénomène est donc mondial et pour espérer renverser la tendance, il devient urgent de soutenir la recherche de nouveaux modes d’actions pour les antibiotiques et de changer certains de nos comportements

Voir en ligne : Patrick Berche, Hôpital Necker Enfants Malades, Paris - Patrice Courvalin, Institut Pasteur, Paris - Xavier Nassif, Hôpital Necker Enfants Malades, Paris.

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Résultats du tableau de bord des infections nosocomiales 2009

En 2009, 92 % des établissements figurent dans les meilleures classes, en A ou B, sur les résultats de l’indicateur ICALIN, qui porte sur les moyens et les actions de prévention des infections nosocomiales. Ces chiffres, qui témoignent d’une réelle progression de notre système de santé, attestent également d’une forte mobilisation des professionnels.

Voir en ligne : Communiqué du Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé

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Retard de croissance statural (orientation diagnostique)

Par définition on parle de retard de croissance statural lorsque la taille est inférieure à la taille moyenne pour l’âge (moins 2 écarts-types), en utilisant les valeurs de référence définies pour une population donnée (courbes de Sempé et Pédron pour la population française). Il suffit donc de disposer d’une mesure précise de la taille et de courbes de référence pour reconnaître un retard de croissance. La recherche d’une cause est essentielle pour le pronostic de taille et la discussion thérapeutique. Elle repose avant tout sur des données cliniques, la courbe de croissance et l’âge osseux qui permettent le plus souvent une première orientation diagnostique.

Voir en ligne : L. De Parscau, M. De Kerdanet - Institut Mère-Enfant, annexe pédiatrique Rennes

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Retard de croissance staturo-pondérale

L’auxologie est la science métrique de la croissance. La connaissance de la croissance normale est essentielle car elle permet de situer l’enfant vu sous l’angle de sa croissance dans le normal ou dans le pathologique. Une croissance pathologique est un signe derrière lequel peut se masquer un processus organique.

Voir en ligne : ©Collège des Enseignants d’Endocrinologie, Diabète et Maladies Métaboliques. Mise à jour Novembre 2002

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Retrait du tétrazépam : un problème dans notre pratique

Le tétrazépam n’est désormais plus disponible en pharmacie. Pourtant, nous étions nombreux à l’utiliser largement dans le traitement des lombalgies, et les patients nous demandent : « Qu’allez-vous me donner à la place ? ». C’est à cette question que le présent article propose de répondre, sur base de la démarche Evidence Based.

Voir en ligne : RMG - Revue de la Médecine Générale

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Révision des recommandations françaises sur la prise en charge de l’infection par Helicobacter pylori

Les ulcères duodénaux et gastriques sont des indications formelles de la recherche et de l’éradication de H. pylori. L’éradication de H. pylori favorise la cicatrisation et prévient la récidive des ulcères qu’ils aient été hémorragiques ou non. L’éradication de H. pylori fait partie de la prise en charge initiale de tous les lymphomes gastriques du MALT. Elle peut suffire à obtenir une rémission durable particulièrement en cas de lésion localisée (stade I de la classification de Ann Arbor) et d’absence de la translocation t(11\ ;18).

Voir en ligne : John Libbey Eurotext

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Révision des recommandations relatives à la vaccination antiamarile [fièvre jaune] des voyageurs internationaux, 2011

Des rapports persistants faisant état de manifestations indésirables rares mais graves associées au vaccin antiamaril et l’évolution de l’épidémiologie et de la fièvre jaune ont attiré l’attention sur la nécessité de revoir les critères de désignation dans les zones où il existe un risque d’activité du virus amaril et de réviser les recommandations vaccinales pour les voyages internationaux.

Voir en ligne : OMS Organisation Mondiale de la Santé

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Révolution médicale israélienne : vers un diagnostic précoce du cancer du poumon

Une invention israélienne permettant de détecter le cancer du poumon de manière non-invasive à partir de l’air expiré sera bientôt commercialisée en joint-venture (coentreprise) entre le célèbre Institut de Technologie israélien, le Technion et Alpha Szenszor, un fabricant basé à Boston aux Etats-Unis, spécialisé dans les détecteurs à base de nanotubes de carbone. Le professeur du Technion, Hossam Haick travaille depuis 2007, sur le “Na-Nose” (nano-nez électronique ) permettant de donner une lecture instantanée de la présence et de l’avancée d’un cancer (même dans les premiers stades). Il a été prouvé dans de nombreux essais cliniques internationaux que cet appareil permet de différencier les types et les classifications de cancer, jusqu’à à 95% d’exactitude.

Voir en ligne : siliconwadi.fr

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Revue d’utilisation des antibiotiques dans les infections des voies respiratoires

Cette étude a pour principal objectif d’apprécier l’usage des antibiotiques dans le traitement des IVR courantes chez les enfants, au regard de sept critères d’usage optimal élaborés à partir des lignes directrices reconnues. Ces critères concernent le choix de l’antibiotique prescrit, la dose de l’antibiotique et la durée du traitement, l’usage des antibiotiques pour traiter les infections virales et la prescription d’un test diagnostique préalable à l’antibiothérapie dans le cas des pharyngites-amygdalites non compliquées.

Voir en ligne : CDM - Conseil Du Médicament Québec

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Rhinite allergique

La rhinite allergique est l’expression de symptômes dus à une inflammation de la muqueuse nasale lors du contact avec un allergène auquel le patient est déjà sensibilisé (présence d’IgE).

Voir en ligne : Recos Vidal

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Rhinite et conjonctivite allergiques de l’adulte - bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance

"L’allergie est une réaction excessive de notre organisme vis-à-vis de substances qu’il considère, à tort, comme nocives : les allergènes. Les allergènes sont les substances déclenchant l’allergie et les troubles qui y sont associés. Les allergènes sont issus de plantes, de poils d’animaux, d’acariens, de moisissures, d’aliments ou sont des substances d’origine professionnelle..."

Voir en ligne : AFSSAPS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Rhinorrhée (écoulement nasal)

L’écoulement nasal ou rhinorrhée acqueuse, symptôme banal en ORL revêt toujours une valeur sémiologique qu’il soit isolé ou associé à d’autres symptômes comme une obstruction nasale, des éternuements, une rhinorrhée purulente ou des épistaxis.(saignements de nez)

Voir en ligne : Faculté de Médecine de Rennes

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Rhinorrhée (écoulement nasal)

L’écoulement nasal ou rhinorrhée acqueuse, symptôme banal en ORL revêt toujours une valeur sémiologique qu’il soit isolé ou associé à d’autres symptômes comme une obstruction nasale, des éternuements, une rhinorrhée purulente ou des épistaxis.

Voir en ligne : Faculté de Médecine de Rennes

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Rhume - rhume de cerveau

Le rhume est une infection virale qui occasionne principalement de l’écoulement et de la congestion nasale, des éternuements, des maux de gorge, de la toux et parfois une légère fièvre. La meilleure prévention contre le rhume est le lavage des mains. Se reposer et boire beaucoup de liquide, voilà le meilleur traitement pour le rhume. Toutefois, vous devriez consulter un médecin si vous souffrez d’une maladie chronique, ou encore si vos symptômes sont sévères.

Voir en ligne : Portail Québec

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Risques de cancers et perturbateurs endocriniens

Depuis le début des années 1990, la problématique des effets sanitaires des perturbateurs endocriniens (PE) a émergé auprès du grand public à partir d’observations réalisées dans les divers écosystèmes aquatiques sur la faune vivant en liaison directe ou indirecte avec des milieux pollués. La contamination de la chaîne alimentaire a provoqué des phénomènes de perturbation significatifs sur la reproduction et le développement et des malformations des organes sexuels chez diverses espèces animales (poissons, oiseaux, batraciens ou mammifères)1.

Voir en ligne : INCa Institut National du Cancer

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Risques d’intoxication liés à la consommation de champignons - Recommandations de cueillette et de consommation

Chaque année, on déplore en France un millier d’intoxications dues aux champignons. Les conséquences sur la santé peuvent être graves : troubles digestifs sévères, complications rénales, atteintes du foie pouvant nécessiter une greffe. Ces intoxications peuvent nécessiter une hospitalisation et conduisent parfois au décès.,En cette saison de cueillette des champignons, il est important de rappeler les recommandations suivantes :

  • ne pas ramasser un champignon si vous avez le moindre doute sur son état ou son identification, certains champignons vénéneux hautement toxiques ressemblent beaucoup aux espèces comestibles ;

Voir en ligne : InVS Institut de veille sanitaire

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Risques vasculaires de la contraception estroprogestative

La contraception orale se trouve aujourd’hui sous les feux ­ brûlants ­ de l’actualité, dans un contexte confus que d’autres pays ont connu avant la France. Ainsi, en Grande-Bretagne, dans les mois qui ont suivi la parution de 3 articles du Lancet en 19951, 12 % des femmes avaient rapidement cessé leur contraception hormonale, avec comme conséquences l’année suivante 8 % (13 600) d’interruptions volontaires de grossesse (IVG) et 12 400 naissances supplémentaires \ ; en Norvège, 25 000 femmes avaient cessé leur contraception hormonale (36 % d’IVG supplémentaires chez les moins de 25 ans durant le premier trimestre de 1996) \ ; même constat au Québec [4]...Risques vasculaires de la contraception estroprogestative

Voir en ligne : John Jean-Pierre Vallée, Pierre Gallois, Yves Le Noc | John Libbey

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Rôle de l’approche psychologique dans la prise en charge des patients obèses

La prise en charge des patients obèses est complexe et génère souvent un sentiment d’impuissance de la part des soignants. Les psychopathologies associées à l’obésité sont omniprésentes et nécessitent la plus grande attention de la part des somaticiens afin de mieux accompagner leurs patients dans cette maladie chronique et d’orienter leur prise en charge. Malgré la réticence souvent légitime des patients, il reste fondamental de questionner le symptôme, le poids, au-delà de tout préjugé. L’obésité, avec ou sans projet de bypass, nécessite une prise en charge au long cours par une équipe pluridisciplinaire, avec une approche holistique afin d’éviter d’engendrer un nouvel échec comme c’est le cas avec les méthodes de restrictions alimentaires qui perpétuent les troubles du comportement alimentaire.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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  • (Maladies, symptômes et pathologies)

Rôle du traitement endovasculaire dans l’insuffisance artérielle des membres inférieurs selon les nouvelles directives européennes

La Société européenne de cardiologie propose pour la première fois un document de consensus concernant la prise en charge de la maladie vasculaire périphérique. En ce qui concerne la modalité du traitement de revascularisation des membres inférieurs, le traitement endovasculaire est recommandé dans la majorité des cas, indépendamment de la présentation clinique (claudication ou ischémie critique) et de la complexité des lésions (TASC II A-B-C). En ce qui concerne les lésions très complexes (TASC II D), le traitement chirurgical est préféré. Toutefois, ces directives suggèrent que ce type de lésion complexe peut aussi être pris en charge de façon percutanée dans des centres expérimentés, surtout en cas de risque chirurgical élevé.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Rougeole - Mise en contexte

La rougeole est l’une des maladies contagieuses donnant une éruption cutanée (« picots », « rash »). Parmi ces maladies, c’est celle qui cause le plus de complications et de décès. Le vaccin contre la rougeole fait partie du calendrier de vaccination des enfants du Québec. Habituellement, on ne retrouve donc chez nous que 1 ou 2 cas de rougeole par année, le virus étant contracté à l’étranger la plupart du temps.

Voir en ligne : Collège québécois des médecins de famille

Sujets associés


Rougeole, oreillons, rubéole : n’attendez pas que ça devienne plus méchant !

Vaccinez votre enfant dès 1 an, c’est la seule solution pour le protéger efficacement contre ces maladies et leurs complications. Parlez-en à votre médecin. Le vaccin est gratuit jusqu’à 13 ans.

Voir en ligne : AMELI.fr

Sujets associés

  • (Maladies, symptômes et pathologies)
  • (Maladies, symptômes et pathologies)
  • (Maladies, symptômes et pathologies)

Rubéole

  • La rubéole est une infection virale contagieuse, généralement bénigne, qui touche le plus souvent les enfants et les adultes jeunes.
  • Chez la femme enceinte, la rubéole peut entraîner la mort du fœtus ou des malformations congénitales (syndrome de rubéole congénitale).
  • On estime que 110 000 enfants par an naissent avec un syndrome de rubéole congénitale.
  • Il n’y a pas de traitement spécifique contre la rubéole mais il existe un vaccin.

Voir en ligne : Aide-mémoire OMS

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Rupture aiguë du tendon d’Achille

La rupture aiguë du tendon d’Achille est une des lésions les plus fréquentes en pathologie du sport. Le patient type est un homme âgé entre 30 et 40 ans présentant souvent dans l’anamnèse une histoire de douleurs chroniques au niveau du tendon d’Achille. Si le diagnostic de la lésion est aisé, son traitement prête aujourd’hui encore à controverse.

Voir en ligne : Hôpitaux Universitaires de Genève

Sujets associés


Ruptures de stock et arrêts de commercialisation des médicaments

Cette rubrique recense les médicaments faisant l’objet de difficultés d’approvisionnement en France connues par l’ANSM.  Elle ne concerne que les médicaments à usage humain sans alternative thérapeutique disponible pour certains patients ou dont les difficultés d’approvisionnement à l’officine et/ou à l’hôpital, peuvent entraîner un risque de santé publique. Ces informations sont destinées aux professionnels de santé et aux patients. Le laboratoire responsable de sa commercialisation en France est l’interlocuteur privilégié des personnes souhaitant des informations complémentaires.

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

Sujets associés


S’agit-il de la Sarcoïdose ?

  • présentation systémique est rare
  • lymphocytose CD4+ dans le lavage broncho-alvéolaire
  • granulomes dans les biopsies bronchiques
  • hyperplasie parotidienne bilatérale

Voir en ligne : Cliniques Universitaires St-Luc - Service de Médecine Interne Générale

Sujets associés


S’y retrouver dans les anémies

L’anémie est un terme générique médical qui est presque passé dans le langage courant : on " fait de l’anémie ". Un symptôme qui paraît banal entre tous, et qui révèle en fait un éventail de maladies très diverses. Bizarrement, en dehors de la pâleur habituelle des anémiques et de leur fatigue, aucun symptôme clinique ne peut à lui seul affirmer l’existence d’une anémie.

Voir en ligne : Docteur G. DUTRAC – Limoges

Sujets associés


Saisie record de faux médicaments vendus sur internet

C’est ce qu’on appelle un très beau coup de filet. Les services de police et des douanes de 100 pays ont saisi 3,75 millions de doses de médicaments contrefaits vendus sur internet, d’une valeur de 10,5 millions de dollars (8,10 millions d’euros), soit un nouveau record, lors d’une opération d’une semaine coordonnée par Interpol.

Voir en ligne : Le HuffPost/AFP

Sujets associés


Salmonella enterica sérotype Typhi

Agent pathogène et pathologie
Que faire en cas d’exposition ?
Cas particulier du laboratoire
Eléments de référence

Voir en ligne : INRS, l’Institut National de Recherche et de Sécurité

Sujets associés


Salmonelles multirésistantes

La salmonellose est l’une des toxi-infections alimentaires les plus courantes et les plus répandues. Elle représente une charge importante pour la santé publique et un coût considérable pour la société de nombreux pays. Chaque année, des millions de cas sont signalés partout dans le monde, entraînant des milliers de décès. Cette maladie est provoquée par la bactérie Salmonella (salmonelle). A ce jour, on connaît plus de 2500 types ou de sérotypes de Salmonella.

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé

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Salmonelloses

Bactéries Salmonella enterica, dont il existe de très nombreuses variétés appelées sérovars ; les plus connues sont Salmonella typhi, Salmonella typhimurium et Salmonella enteritidis. La contamination par Salmonella typhi se fait entre humains : ce n’est donc pas une zoonose

Voir en ligne : Ministère de l’agriculture et de la pêche

Sujets associés


Santé de l’enfant. Propositions pour un meilleur suivi

Au cours du siècle dernier, la morbidité et la mortalité infantiles ont été de mieux en mieux maîtrisées. Cependant, les évolutions des modes de vie, de l’environnement écologique, économique et social ainsi que les progrès médicaux ont fait émerger de nouvelles problématiques de la santé physique et mentale. Des instances consultatives et en particulier la Conférence nationale de santé de 1997 ont pointé des aspects de la santé chez les enfants et adolescents (obésité, santé mentale…) devant être considérés comme prioritaires en santé publique.

Voir en ligne : INSERM

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Santé mentale - La dépression

Au Canada, environ 11 % des hommes et 16 % des femmes feront une dépression majeure au cours de leur vie. La dépression peut diminuer la qualité de vie, entraîner des difficultés relationnelles et une perte du temps consacré au travail ou aux étude, engendrer des maladies chroniques comme le diabète ou les maladies du coeur et, parfois, mener au suicide. Heureusement, dans la plupart des cas, il y des traitements efficaces pour traiter la dépression.

Voir en ligne : Agence de santé publique du Canada.

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Santé mentale et vieillissement

  • La population mondiale vieillit rapidement. Le nombre de personnes de 60 ans ou plus devrait plus que tripler d’ici 2100.
  • La santé mentale et le bien-être psychique sont aussi importants pendant la vieillesse qu’à tout autre moment de la vie.
  • Les troubles neuropsychiatriques chez les adultes âgés représentant 6,6% des incapacités totales (DALY) dans ce groupe d’âge.
  • Environ 15% des adultes âgés de 60 ans et plus souffrent d’un trouble mental.

Voir en ligne : OMS | Organisation mondiale de la Santé

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Santé physique et psychique des médecins généralistes

Les médecins généralistes des cinq régions du panel (Basse-Normandie, Bretagne, Bourgogne, Provence-Alpes-Côte d’Azur, Pays de la Loire) ont été interrogés à l’automne 2008 sur leur état de santé et sur les facteurs liés à leurs conditions d’exercice pouvant y être associés. Huit médecins sur dix se déclarent en bonne santé, un médecin sur trois indique pourtant souffrir de problèmes de santé chroniques.

Voir en ligne : Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports

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Santé Voyages

Santé Voyages donne des conseils de santé pour toutes les personnes se rendant à l’étranger, notamment sur le paludisme, la malaria, les vaccins, la turista, et renvoie vers d’autres liens médicaux.

Voir en ligne : CHU ROUEN - Dr. Jean Michel Droy - Dr. Jean Philippe Leroy

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Sarcoïdose

La sarcoïdose ou maladie de Besnier-Boeck-Schaumann est un syndrome plus qu’une véritable maladie car d’une part l’agent étiologique n’a pas été identifié, et d’autre part les lésions histopathologiques ne sont spécifiques de la maladie.

Voir en ligne : C. Brambilla - 1995 - Faculté de Médecine de Grenoble

Sujets associés


Sarcoïdose : nouveaux concepts pathogéniques et thérapeutiques pour une « vieille » maladie

La sarcoïdose est une affection multisystémique d’étiologie indéterminée caractérisée par la présence de granulomes épithélioïdes non caséeux. Ses manifestations cliniques sont protéiformes et l’absence de test diagnostique spécifique peut rendre le diagnostic difficile. La cause de cette affection est toujours inconnue, mais les diverses manifestations de cette maladie donnent des arguments à l’hypothèse prévalente que l’étiologie de la sarcoïdose est multifactorielle. Des progrès récents, en particulier en immunologie et en biologie moléculaire, ont fait avancer notre compréhension de la pathogenèse de la sarcoïdose et ont amélioré notre capacité de diagnostiquer et de traiter cette affection complexe. Cet article fait le point sur la sarcoïdose en mettant l’accent sur les aspects immunopathogéniques et thérapeutiques.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Saturnisme

Le saturnisme est une intoxication par le plomb. C’est une maladie très dangereuse surtout pour les enfants et les femmes enceintes.

Voir en ligne : La santé pour tous - INPES

Sujets associés


Saurons nous empêcher l’épidémie d’obésité de devenir une épidémie de diabète ?

L’obésité infantile, dont le développement a les caractéristiques d’ une épidémie aux Etats Unis (au moins 10% dans l’âge scolaire, avec un taux de croissance de l’ordre de 20% en 20 ans) , est contemporaine d’une augmentation de la prévalence du diabète de type 2 chez les enfants et les adolescents. Chez l’adulte, l’apparition d’une " intolérance au glucose " est un bon facteur de prédiction du risque de diabète de type 2 et de maladies cardio-vasculaires. Plusieurs études ont montré qu’une modification du mode de vie à ce stade permettait de diminuer, voire de prévenir, le risque de progression vers un diabète franc.

Voir en ligne : SFTG PARIS-NORD

Sujets associés


Savourer un petit carré de chocolat pour baisser votre tension artérielle !

Évaluer l’efficacité de petites doses de chocolat noir riche en polyphénols sur la tension artérielle. À la lumière de ces résultats, et compte tenu de l’excellent profil de risques et bénéfices, recommander à nos patients de se faire plaisir et de déguster chaque jour un petit carré de chocolat noir riche en polyphénols me semble justifié voire indiqué. ?

Voir en ligne : Critique et Pratique, Université Laval, Faculté de médecine

Sujets associés


Scarlatine : définition, symptômes et modes de transmission

Maladie infectieuse due à une bactérie, la scarlatine se transmet par voie aérienne, ou encore par contact direct ou indirect. Cette affection provoque une forte fièvre, une inflammation de la gorge (angine) et une éruption cutanée. Elle touche surtout les enfants scolarisés de 5 à 10 ans pendant l’hiver, et rarement, les adultes.

Voir en ligne : Ameli-santé

Sujets associés


Schémas thérapeutiques des endocardites - [2006]

"Protocole antibiotiques, indications chirurgicales, suivi, bibliographie ..."

Voir en ligne : IFR 48 Institut Fédératif de Recherche 48 Marseille

Sujets associés


Sciatique vertébrale commune

La sciatique vertébrale commune est l’expression d’un conflit discoradiculaire, se produisant au niveau des disques L4-L5 ou L5-S1. Elle est en général secondaire à une hernie discale postéro-latérale du disque L4-L5 irritant la racine L5 ou d’une hernie discale du disque L5-S1 irritant la racine S1.

Voir en ligne : B. Troussier CHU de Grenoble

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Scintigraphie V/Q ou angio-tDM en cas de soupçon clinique d’embolie pulmonaire ?

Déterminer si l’angiographie pulmonaire par tomographie axiale (angio-TDM pulmonaire) peut être considérée comme une solution de rechange sécuritaire à la scintigraphie pulmonaire de ventilationperfusion (scintigraphie V/Q) pour exclure le diagnostic d’embolie pulmonaire chez des patients symptomatiques.

Voir en ligne : Association médicale canadienne

Sujets associés


Sclérose en plaques

  • La sclérose en plaques est une pathologie démyélinisante inflammatoire chronique du système nerveux central de cause inconnue. C’est la plus fréquente des pathologies neurologiques chroniques invalidantes du sujet jeune.
  • Son expression clinique est très polymorphe. Son diagnostic est difficile du fait de l’absence de test spécifique ; il repose sur des critères de dissémination dans le temps et dans l’espace des lésions, et d’inflammation du LCR. L’IRM et la ponction lombaire sont les principaux examens d’aide au diagnostic.
  • L’évolution se fait le plus souvent initialement par poussées avec apparition secondaire d’un handicap, mais le pronostic est très variable individuellement.
  • Le traitement repose principalement sur les corticoïdes en bolus pour les poussées, et sur les interférons β dans les formes rémittentes pour le traitement de fond.

Voir en ligne : Docteur Anne MONAVON - Faculté de médecine de Grenpble

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Sclérose en plaques

La Sclérose en Plaques (SEP) a une prévalence en France de l’ordre de 50/100.000 habitants. Elle est plus fréquente chez la femme que chez l’homme et se manifeste le plus souvent entre 20 et 40 ans. Elle n’a pas véritablement de caractère familial, mais la maladie est plus fréquente dans certains groupes tissulaires HLA DW2, lesquels obéissent à une certaine transmission héréditaire. La répartition géographique de la SEP apparaît comme inégalitaire, avec une fréquence d’autant plus grande que l’on s’écarte de l’équateur. Il a été noté, à partir d’enquêtes sur des populations qui se sont déplacées en grand nombre, que le sujet migrant porte en lui le risque lié à la zone géographique où il résidait avant l’âge de 15 ans, comme si ce qui déterminait la maladie "se jouait" avant cet âge.

Voir en ligne : Faculté de Médecine d’Angers - 1999-2000 - Pr. J. EMILE

Sujets associés


Sclérose en plaques (SEP)

La sclérose en plaques est une maladie auto-immune qui affecte le système nerveux central. Elle entraine des lésions qui provoquent des perturbations motrices, sensitives et cognitives. A plus ou moins long terme, ces troubles peuvent progresser vers un handicap irréversible. Les traitements actuels permettent de réduire les poussées et améliorent la qualité de vie des patients, mais ils ont une efficacité insuffisante pour lutter contre la progression de la maladie. Cependant, de nouvelles stratégies thérapeutiques particulièrement prometteuses pourraient changer la donne dans les années à venir.

Voir en ligne : Dossier INSEM réalisé en collaboration avec Bernard Zalc, Directeur de recherche à l’Inserm, à l’Institut du cerveau et de la moelle épinière (Paris) - Octobre 2014

Sujets associés


Sclérose en plaques : au-delà des traitements de première ligne

Nous vivons actuellement une période charnière dans la prise en charge des patients atteints de sclérose en plaques de forme récurrente rémittente. En effet, l’application de nouveaux critères permet de poser un diagnostic précoce, soit à une étape où les traitements immunitaires disponibles ont le plus de chances de montrer leur maximum d’efficacité. Le choix thérapeutique s’élargit mais sa complexité aussi. Il convient donc, pour chaque patient individuellement, d’apprécier précisément le degré de sévérité de la maladie afin d’offrir le traitement ayant le plus haut taux possible de bénéfices par rapport aux risques.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

Sujets associés


Scoliose structurale évolutive

La HAS a publié en 2008 dans la série des guides médecins pour les ALD, un guide sur la prise en charge des scolioses idiopathiques évolutives. La détection la plus précoce possible d’une scoliose est un enjeu essentiel de la prise en charge. Le médecin traitant à toute sa place dans ce repérage. Il peut être aussi particulièrement impliqué en coordination avec les autres spécialistes de l’équipe multidisciplinaire pour le soutien du patient lors du traitement au long cours. De même sa participation est importante pour la surveillance d’une scoliose d’un adolescent devenu adulte. Suite aux propositions formulées par la HAS, les critères médicaux d’admission publiés par le décret n° 2011-77 du 19 janvier 2011 définissent la scoliose idiopathique structurale comme « évolutive », supprimant la référence à un angle ou a une maturation rachidienne.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Scope Santé

"Scope Santé vous informe sur le niveau de qualité de tous les hôpitaux et cliniques de France, soit plus de 5000 sites au total. Il vous permet de choisir l’établissement qui correspond le mieux à vos besoins et de les comparer sur les critères adaptés à vos besoins

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Se préparer à la pandémie grippale

La pandémie actuelle due au nouveau virus grippal A/H1N1 concerne toutes les entreprises et leurs salariés. L’INRS propose une sélection d’outils pour aider les entreprises à se préparer, établir un plan de continuité d’activité, afin d’assurer leur fonctionnement en mode dégradé, tout en protégeant la santé de leurs salariés : organisation du travail, protection collective, règles d’hygiène, protection respiratoire, sensibilisation des personnels.

Voir en ligne : INRS, l’Institut National de Recherche et de Sécurité

Sujets associés


Secret médical : des règles à la pratique

Ce texte a été élaboré par les commissions éthiques Sfar-Srlf pour répondre aux demandes de communication d’informations médicales dans le respect du secret professionnel. Il comporte le rappel des règles, avec des explications et des exemples de la jurisprudence, ainsi que des cas concrets, avec des courriers types.

Voir en ligne : SFAR - Société Française d’Anesthésie et de Réanimation

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Sécurité en été : Prévention des maladies dues à la chaleur

Avec l’arrivée de l’été, de longues journées chaudes passées à l’extérieur s’annoncent. Mais, à mesure que la température et l’humidité augmentent, les risques de maladies attribuables à la chaleur s’intensifient. Pour passer l’été en santé et en toute sécurité, assurez-vous de savoir comment prévenir, reconnaître et traiter les maladies dues à la chaleur.

Voir en ligne : AboutKidsHealth.ca

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Sécurité routière : impact des médicaments sur la conduite automobile

Les résultats montrent que la prise de médicaments comportant un pictogramme de niveau 2 (de couleur orange) ou de niveau 3 (de couleur rouge) est associée à une augmentation significative du risque d’être responsable d’un accident, que ce risque augmente avec le nombre de ces médicaments potentiellement dangereux consommés, que la proportion d’accidents de la route qui leur est attribuable est estimée à environ 3 %.

Voir en ligne : Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé)

Sujets associés


Sédatifs chez les personnes âgées insomniaques

Cette méta-analyse montre qu’une utilisation à court terme d’un somnifère chez des personnes âgées apporte un bénéfice statistiquement significatif pour leur sommeil, mais que la pertinence clinique de ce gain est douteuse. L’effet limité ne contrebalance pas le risque d’effets indésirables. Chez les personnes âgées de plus de soixante ans, une prudence particulière est de mise en raison du risque accru de chutes et de troubles cognitifs.

Voir en ligne : Analyse de Glass J, Lanctôt KL, Herrmann N et al. - Minerva

Sujets associés


Semaine 01 - Situation au 12/01/2011 | surveillance de la grippe

En métropole, • Poursuite de l’épidémie de grippe • Virus A(H1N1)v majoritaire dans les prélèvements depuis la semaine 52/2010 • Augmentation du nombre de cas graves admis en réanimation, essentiellement liés au virus A(H1N1)V

Voir en ligne : InVS Institut de veille sanitaire

Sujets associés


Sérologie amibiase

Très fréquemment positive dans le cas d’amibiase viscérale Pourrait permettre de différencier le portage d’E.histolytica (sérologie positive) d’E. dispar (sérologie négative)

Voir en ligne : Memo Bio

Sujets associés


Sérologie de la toxoplasmose chez la femme enceinte : caractéristiques et pièges

Le programme de dépistage de la toxoplasmose congénitale repose principalement sur le screening sérologique des femmes enceintes séronégatives en début de grossesse et de leur suivi. Ce programme est particulièrement efficace puisque la majorité des cas de séroconversion obstétricale est diagnostiquée et secondairement suivie. Les techniques sérologiques évoluent et sont particulièrement nombreuses sur le marché.

Voir en ligne : Annales de Biologie Clinique. mars-avril 2009 - Auteur(s) : P Flori, G Chene, M-N Varlet, R Tran Manh Sung

Sujets associés


Serveur francophone tabac-tabagisme

Ce serveur est un point de rencontre de tous ceux qui veulent vivre et aider les autres à vivre libre du tabac.

Voir en ligne : TABAC-net

Sujets associés


Si vieillir est inéluctable, la vitesse du phénomène est façonnée par l’évolution

Le pouvoir de la sélection naturelle. Il y a dix ans, un gérontologue russe s’est livré à un exercice de classification des théories du vieillissement : il en a dénombré plus de trois cents ! Ce domaine de recherche serait-il condamné au désordre et à l’incohérence ? Depuis la fin des années 1940, un cadre unificateur s’est pourtant patiemment construit au sein de la théorie de l’évolution. Il s’organise autour d’un principe simple : les effets de la sélection naturelle diminuent avec l’âge.

Voir en ligne : La Recherche

Sujets associés


Signes d’alerte

Les cancers entraînent des symptômes qu’il est important de bien avoir présent à l’esprit. Certains sont extrêmement banals (la toux ou l’enrouement chez un fumeur) et peuvent ne pas attirer l’attention, d’autres sont spécifiques à un ou plusieurs cancers (la liste est détaillée dans chaque fiche « cancer » ), ou beaucoup plus généraux.

Voir en ligne : INCA Institut National du Cancer

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Simulations de la dispersion atmosphérique du panache radioactif formé par les rejets de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, entre le 12 mars et le 20 mars 2011

L’interprétation de ces informations a permis à l’IRSN d’élaborer des scénarios probables de dégradation des 3 réacteurs depuis le 12 mars, en s’assurant de leur cohérence avec les mesures de débit de dose obtenues sur le site. L’IRSN a également retenu l’hypothèse que ces rejets se poursuivent jusqu’au 20 mars. Les éléments radioactifs rejetés au cours des différents épisodes de rejet sont des gaz rares (éléments radioactifs chimiquement peu réactifs, restant dans l’atmosphère sans se déposer au sol) et des éléments volatiles, principalement de l’iode radioactif, dont l’iode 131 qui a une période radioactive de 8 jours, et du césium radioactif, dont le césium 137.

Voir en ligne : IRSN Institut de radioprotection et de sureté nucléaire

Sujets associés


Sinusite - Mise en contexte

La sinusite est une inflammation des sinus qui peut être provoquée par une infection ou de l’allergie. Les sinus sont des cavités remplies d’air, situées derrière le front, les yeux et les pommettes. Ils communiquent avec l’intérieur du nez par des ouvertures qui permettent à l’air de circuler et aux sécrétions de s’écouler à l’extérieur.

Voir en ligne : Guide Santé du gouvernement Québécois

Sujets associés


Situation épidémiologique des gastro-entérites aiguës en France métropolitaine - Point au 9 mars 2010

Pour la semaine n°9 du 1er au 7 mars 2010, d’après le réseau Sentinelles (http://websenti.u707.jussieu.fr/sentiweb), l’incidence nationale de la diarrhée aiguë ayant conduit à une consultation de médecin généraliste était de 340 cas pour 100 000 habitants, au-dessus du seuil épidémique (230 cas pour 100 000 habitants) pour la dixième semaine consécutive cette saison (Figure 1). Le réseau Sentinelles estime que 2 672 000 personnes ont consulté pour gastro-entérite en 10 semaines. Seize régions étaient au-dessus du seuil national au 7 mars 2010.

Voir en ligne : InVs Institut de veille sanitaire

Sujets associés


Situation Epidémiologique en France métropolitaine - Semaine 1 du 04/01/2010 au 10/01/2010

Syndromes grippaux : Fin de l’épidémie
En France métropolitaine, la semaine dernière, l’incidence des syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimée à 130 cas pour 100 000 habitants, en dessous du seuil épidémique (182 cas pour 100 000). Voici les premières estimations(1) des caractéristiques de cette épidémie : L’activité de la semaine 2009s53 s’étant consolidée en-dessous du seuil épidémique, l’épidémie aura donc duré 16 semaines (de la semaine 2009s37 à 2009s52). Durant cette période, environ 3 465 000 personnes ont consulté leur médecin généraliste [intervalle de confiance à 95% : 3 389 000 ; 3 542 000]. Concernant les cas rapportés, l’âge médian a été de 15 ans et les hommes ont représenté 49% des cas.

Voir en ligne : INSERM

Sujets associés


Situations pathologiques pouvant relever de l’hospitalisation à domicile au cours de l’ante et du post-partum

L’objectif de ce travail est d’optimiser la prise en charge de la femme et de son enfant dans le cadre d’une hospitalisation à domicile (HAD). Des protocoles de prise en charge et de suivi en HAD ont été proposés pour chaque situation pathologique pouvant relever de cette offre de soins.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Société Francophone de Médecine d’Urgence

Consensus, Recommandations, Textes d’Expert

Voir en ligne : sfmu.org/fr/

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Soleil : connaître sa peau pour se protéger

Le phototype caractérise la sensibilité personnelle au soleil : plus il est faible, plus on doit se protéger. Attention : la crème solaire ne suffit pas. Elle complète les autres précautions (port de lunettes de soleil, chapeau et vêtements légers pour protéger les zones découvertes du corps, éviter de s’exposer au soleil entre 12 h et 16 h, rechercher l’ombre le plus possible et protéger plus particulièrement les enfants et les adolescents).

Voir en ligne : INC Institut National du Cancer

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Soleil : conseils de protection

S’exposer au soleil, ce n’est pas seulement se faire dorer sur la plage dans le but de bronzer. C’est aussi mettre sa peau au soleil quelle que soit l’activité et le lieu où l’on se trouve : au sport, en pique-nique, en balade, au travail, à la campagne, à la mer, en ville, etc. On est tout aussi exposé aux rayonnements UV lorsqu’on est allongé sur sa serviette de plage qu’en s’activant au soleil.

Voir en ligne : Institut National Du Cancer

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Soleil : quels sont les risques ?

Le soleil joue un rôle important dans notre vie et participe à notre bien-être physique et moral. Il « dope » le moral et il favorise la fabrication de vitamine D. Mais quelques minutes par jour suffisent à profiter de ses bienfaits. Au-delà, il peut provoquer de graves dommages pour les yeux (cataracte, atteintes de la rétine), un vieillissement prématuré de la peau (rides, tâches brunes) et des cancers de la peau.

Voir en ligne : Institut National Du Cancer

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Soleil : quels sont les risques ?

Le soleil joue un rôle important dans notre vie et participe à notre bien-être physique et moral. Il « dope » le moral et il favorise la fabrication de vitamine D. Mais quelques minutes par jour suffisent à profiter de ses bienfaits. Au-delà, il peut provoquer de graves dommages pour les yeux (cataracte, atteintes de la rétine), un vieillissement prématuré de la peau (rides, tâches brunes) et des cancers de la peau.

Voir en ligne : Institut National Du Cancer

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Soleil et cancer : UVA, les risques démasqués

Même si les UVB sont largement responsables des effets nocifs du soleil, les UVA n’en sont pas pour autant inoffensifs, comme viennent de le montrer, pour la première fois sur des cellules humaines, des chercheurs fran&ccedilais réunis autour d’Alain Sarasin, CNRS, Villejuif (1). Ces chercheurs ont en effet observé que, pour une dose provoquant une mortalité cellulaire équivalente, les UVA sont au moins aussi mutagènes - donc potentiellement responsables de cancers de la peau - que les UVB. Pour ce faire, ils ont étudié l’effet d’irradiations aux UVA et aux UVB de cellules épithéliales humaines en culture dans lesquelles ils avaient préalablement introduit une construction génétique originale, porteuse d’un gène cible pour la mutagenèse et aisément identifiable. Tous les rayons ultraviolets sont donc, à plus ou moins forte dose, dangereux pour l’intégrité du matériel génétique. Ces nouveaux travaux sur les UVA montrent qu’en se protégeant contre les UVB et en se croyant à l’abri des effets néfastes du soleil, nous sommes en fait insidieusement conduits à nous exposer à des doses tout aussi dangereuses d’UVA. Outre les écrans solaires, ces résultats remettent en question l’usage des lampes à bronzer.

Voir en ligne : CNRS Centre national de la recherche scientifique

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Sommeil mon ami. Le sommeil aussi c’est la santé

Le sommeil est constructif. Le corps récupère ses capacités ("regonfle ses batteries "). Le sommeil est un besoin qui varie d’un enfant à l’autre, parfois d’un jour à l’autre. Le meilleur guide d’un bon sommeil, c’est la forme de l’enfant dans la journée.

Voir en ligne : Comité français d’éducation pour la santé

Sujets associés


Somnolence au volant

La fatigue est reconnue comme la cause de 3 % des accidents de la route mais ce pourcentage est bien sûr largement sous-estimé, il se situerait aux environs de 15 à 20 % sur le tout réseau routier.
La somnolence au volant est la première cause de mortalité sur autoroute (30 à 35 % des accidents).

Voir en ligne : Unité provinciale de sommeil, Belgique

Sujets associés


Sondage TNS Sofres : le web renforce la relation médecin-patient et les ePatients sont plus nombreux !

Pour la première fois, Patients & Web et LauMa communication ont interrogé les Français, avec TNS Sofres, et les malades chroniques présents sur le web, en partenariat avec Doctissimo, pour connaître leurs pratiques, leurs usages et leurs attentes en termes d’e-santé. Premiers enseignements, l’internet santé est une réalité pour 49% des Français (57% des internautes) [1] et plus d’1 patient sur 3 en ALD (Affection de Longue Durée) seraient potentiellement un ePatient [2].

Voir en ligne : capgeris

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SOS - AIT AVC - France

L’accident vasculaire cérébrale (AVC) est une maladie grave, elle est la première cause de handicap en France et peut toucher des individus de tous âges. Il est fondamental de connaitre les signes de l’attaque cérébrale pour agir dans les plus brefs délais. Prévenir l’AVC, c’est identifier et traiter les facteurs de risque de cette maladie.

Voir en ligne : Accident vasculaire cérébral – Le site de l’attaque cérébrale

Sujets associés


SOS médécins - N° téléphone national 3624

...Le 20 juin 1966, le Docteur LASCAR, médecin généraliste à Paris, créait SOS MÉDECINS suite à un fait tragique. Un de ses patients, décède d’une crise cardiaque, faute d’avoir pu joindre un médecin un samedi après-midi.

Voir en ligne : sosmedecins-france.fr/

Sujets associés


Soulager la douleur : Guide à l’intention des personnes atteintes de cancer

Ce guide a pour but d’aider les personnes atteintes de cancer et les membres de leurs familles à comprendre ce qu’est la douleur associée au cancer et à savoir comment l’atténuer.

Voir en ligne : Société Canadienne du Cancer

Sujets associés


Spina bifida

Le spina bifida est un type de malformation qui apparaît au début de la formation du fœtus. Elle est connue comme un type de malformation du tube neural (MTN), dans laquelle ni le cerveau, ni la colonne vertébrale ne réussit à se développer normalement dans l’utérus. Il existe trois sortes de spina bifida, différenciées par la gravité de la malformation.

Voir en ligne : Santé Ontario

Sujets associés


Spondylarthrite ankylosante

La spondylarthrite ankylosante fait partie des "spondylarthropathies’’, terme général qui recouvre également les arthrites réactionnelles, les rhumatismes psoriasiques, la maladie de Crohn, la recto-colite hémorragique, et quelques sous-groupes d’arthrites juvéniles chroniques. En Europe continentale, la prévalence de cette maladie est comprise entre 0,2 à 1% ; il ne s’agit donc pas d’une maladie rare. Elle est, cependant, sous-diagnostiquée. Les principaux symptômes sont des douleurs inflammatoires au niveau de la colonne vertébrale et une limitation de la mobilité du rachis et de l’ampliation thoracique. Le diagnostic repose sur des signes cliniques et radiologiques (sacro-iliite), et surtout sur la présence d’une prédisposition génétique (présence de l’antigène HLA-B27). Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et la kinésithérapie sont la pierre angulaire du traitement. Pour les formes graves et réfractaires de la maladie, les agents anti-TNF sont très prometteurs. *Auteur : Pr M. Dougados (février 2005)*.

Voir en ligne : Orphanet base de données sur les maladies rares

Sujets associés


Spondylarthrites : un diagnostic précoce prévient les complications

Affections douloureuses et invalidantes, les spondylarthrites graves doivent bénéficier d’un diagnostic aussi précoce que possible afin de prévenir ou limiter les complications et leur retentissement. Des recommandations de bonne pratique ont été publiées par la HAS pour améliorer leur prise en charge. Avec une prévalence faible et des premiers signes souvent insidieux, les spondylarthrites posent un problème diagnostique. Le rythme inflammatoire des douleurs et leur persistance doivent faire penser à une spondylarthrite et motiver un bilan radiographique des zones douloureuses, notamment si la douleur est soulagée par la prise d’un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS)

Voir en ligne : Has Haute Autorité de Santé

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Statines à doses élevées : quelles sont les preuves ?

Les statines ont une place importante dans la prévention des maladies cardio-vasculaires chez les patients à risque cardio-vasculaire élevé. On s’intéresse ces dernières années à l’utilité éventuelle d’un traitement hypocholestérolémiant plus intensif, consistant à viser des taux de cholestérol plus faibles que ceux qui étaient recommandés auparavant, par exemple en utilisant une statine à doses élevées.

Voir en ligne : Centre Belge d’Information Pharmacothérapeutique

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Statines à doses élevées : quelles sont les preuves ?

Les statines ont une place importante dans la prévention des maladies cardio-vasculaires chez les patients à risque cardio-vasculaire élevé. On s’intéresse ces dernières années à l’utilité éventuelle d’un traitement hypocholestérolémiant plus intensif, consistant à viser des taux de cholestérol plus faibles que ceux qui étaient recommandés auparavant, par exemple en utilisant une statine à doses élevées. Chez les patients à risque élevé avec des antécédents d’accidents cardio-vasculaires ou atteints d’un syndrome coronarien aigu , on a observé dans certaines études - mais pas toutes - une diminution légèrement plus prononcée de la morbidité et de la mortalité cardio-vasculaires avec une statine à doses élevées par rapport aux doses standard. Cet avantage doit toutefois être mis en balance avec le risque accru d’effets indésirables et le coût plus élevé. A l’heure actuelle, il n’est pas prouvé que des doses élevées d’une statine aient un avantage supplémentaire chez les patients à risque élevé sans antécédents d’accidents cardio-vasculaires . On ignore quels sont les risques éventuels de maintenir de très faibles taux de LDL-cholestérol à long terme.

Voir en ligne : CBIP - Centre Belge d’Information Pharmacothérapeutique

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Statines pour la prévention primaire de la maladie cardio-vasculaire

La maladie cardio-vasculaire (MCV) constitue la première cause de mortalité et une cause majeure de morbidité partout dans le monde. L’un des principaux objectifs du traitement médical est la réduction du taux de cholestérol dans le sang, un facteur de risque d’événements MCV. Les statines sont les agents de premier choix. Depuis les premiers essais étudiant les statines, plusieurs revues ont été publiées qui soulignent leurs effets bénéfiques, en particulier chez les patients présentant des antécédents de MCV.

Voir en ligne : Taylor F, Ward K, Moore THM, Burke M, Davey Smith G, Casas JP, Ebrahim S. | cochrane.fr

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Statistiques publiques, domaine Santé et social

Le Portail de la statistique publique a été créé à la demande du Conseil national de l’’Information statistique (Cnis) pour permettre au public d’’accéder plus facilement à l’’ensemble des informations statistiques produites par la statistique publique

Voir en ligne : Portail de la statistique publique

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Sténose du pylore du nourrisson

généralités, clinique, radiologie, biologie, formes cliniques, étiologie - pathogénie, traitement, complications, résultats

Voir en ligne : Université de Rouen, Faculté de Médecine

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Stocks limités de vaccins combinés avec valence coqueluche. Recommandations d’utilisation

Des tensions ou des ruptures d’approvisionnement en vaccins combinés tétravalents et pentavalents contenant la valence coqueluche sont à prévoir. Dans cet avis, le HCSP a pris en considération les risques liés à une baisse de la couverture vaccinale pour la coqueluche et pour les infections invasives à Haemophilus influenzae de type b, les données concernant les ventes annuelles et les stocks disponibles à ce jour au niveau national, ainsi que les recommandations vaccinales actuelles concernant la valence coquelucheuse.

Voir en ligne : HCSP Haut Conseil de la santé publique

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STOP Tabac, comment Arrêter de fumer ?

Le tabac est la drogue qui fait le plus de dégâts dans le monde. Selon un rapport de l’OMS, le tabac est à l’origine de 4 millions de décès chaque année. Cette drogue enlève une vie toutes les 8 secondes.

Voir en ligne : tabac-cigarette

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Stratégie d’action alcool : intensifier la prévention et du traitement des problèmes de santé liés à la consommation d’alcool

L’alcool est responsable de 45000 décès par an, dont 16000 sont dus à des cancers, 8200 à des affections digestives, 7600 à des maladies cardiovasculaires, 7700 à des accidents et traumatismes. Au total, l’alcool contribue à 14% des décès masculins et 3% des décès féminins. La mortalité a baissé régulièrement compte tenu de la baisse continue de la consommation d’alcool en France depuis 50 ans. Elle reste très inégalitaire en termes de catégories sociales et de disparités régionales.

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Sports [français]

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Stratégie d’antibiothérapie et prévention des résistances bactériennes en établissement de santé

Depuis que les médicaments anti-infectieux sont utilisés, la résistance des micro-organismes (bactéries, champignons, parasites mais également virus) à ces médicaments n’a cessé d’augmenter. Cette évolution a été particulièrement spectaculaire pour les antibiotiques depuis une vingtaine d’années. La prévalence de la résistance bactérienne aux antibiotiques est préoccupante dans les établissements de soins en France. Le choix d’antibiotiques efficaces y est rendu difficile, voire impossible dans certaines infections à bactéries totalement résistantes aux antibiotiques.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Stratégie médicamenteuse du contrôle glycémique dans le diabète de type 2, recommandation de bonne pratique

La HAS (Haute Autorité de Santé) et l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) publient une recommandation de bonne pratique sur la stratégie médicamenteuse du contrôle glycémique dans le diabète de type 2.
Deux arbres décisionnels interactifs
Une vidéo pédagogique

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Stratégie vaccinale grippe pour la saison 2010-2011

L’historique des pandémies antérieures a montré que les virus grippaux A gardaient le même profil prépondérant au cours de plusieurs saisons successives, par rapport aux autres virus circulants. Ces recommandations sont donc basées sur l’hypothèse que le virus A(H1N1)v 2009 présentera pour la saison 2010-2011, des caractéristiques épidémiologiques et de pathogénicité similaires ou proches de celles de la saison 2009.

Voir en ligne : Haut Conseil de la santé publique

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Stratégies de dépistage biologique des hépatites virales B et C

Recommander la meilleure stratégie de tests biologiques pour le dépistage de l’hépatite B et de l’hépatite C permettant de déterminer le statut immunitaire de la personne à risque par rapport à l’infection par les virus VHB ou VHC et de proposer la bonne prise en charge médicale suite à l’annonce du résultat du dépistage.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Stratégies de Dépistage de l’Infection à Neisseria gonorrhoeae en France en 2009

Les gonococcies, infections due à Neisseria gonorrhoeae ou gonocoque, font partie des Infections Sexuellement Transmissibles (IST) bactériennes. Parmi les infections sexuellement transmissibles, et plus particulièrement les urétrites et cervicites non compliquées, les deux agents infectieux les plus fréquemment retrouvés en France sont Neisseria gonorrhoeae et Chlamydia trachomatis, isolément ou en association.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Stratégies de traitement et de surveillance dans le mélanome

stratégies de prise en charge des mélanomes, exérèse de la tumeur initiale, conseils pour le suivi après exérèse d un mélanome primitif isolé, prise en charge des mélanomes avec envahissement locorégional, prise en charge des mélanomes avec envahissement métastatique à distance

Voir en ligne : Onco Pays de la Loire réseau régional de cancérologie de le Région des Pays de la Loire

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Stratégies recommandées par l’OMS contre les maladies transmissibles – prévention et lutte

Les maladies transmissibles représentent une source majeure de souffrance, d’incapacité et de mort de par le monde. Le programme de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) sur les maladies transmissibles apporte aux gouvernements les conseils et l’appui techniques requis pour élaborer et mettre en oeuvre des programmes destinés à installer ou à renforcer une lutte continue contre les maladies les plus fréquentes, à réduire leur transmission ainsi que la mortalité, la morbidité et la souffrance humaine qu’elles entraînent et à progressivement éliminer ces maladies en tant que problème de santé publique. Dans certains cas, le but sera aussi d’arriver à l’éradication de certaines maladies transmissibles.

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé

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Stratégies thérapeutiques d’aide au sevrage tabagique : efficacité, efficience et prise en charge financière

Les bénéfices de l’arrêt du tabac ont été clairement démontrés en termes de mortalité comme de morbidité. Parce que le tabagisme est un comportement renforcé par une dépendance, dont la nicotine est principalement responsable, seule une minorité de fumeurs parvient à une abstinence permanente dès la première tentative d’arrêt. Une aide au sevrage tabagique s’avère dès lors indispensable afin d’accompagner le fumeur dans sa tentative d’arrêt. A la demande de M. le Ministre de la Santé et des Solidarités, la Haute Autorité de Santé a évalué dans le cadre de ce rapport :

Voir en ligne : Ministère de la Santé et des Solidarités, Haute Autorité de Sant

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Stratégies thérapeutiques dans la maladie de Parkinson avancée

La prise en charge thérapeutique de patients souffrant d’une maladie de Parkinson [1] à un stade évolué présente de nombreuses difficultés qui résultent de l’interaction complexe de certains facteurs spécifiques à cette affection neurologique, qu’il convient, à titre préliminaire, de rappeler ici. Premièrement, la symptomatologie motrice initialement limitée au parkinsonisme (tremblement de repos, rigidité et bradykinésie) unilatéral va d’une part se bilatéraliser et s’aggraver progressivement, et d’autre part s’enrichir de nouveaux symptômes qui résultent non seulement de l’évolution naturelle de la maladie de Parkinson elle-même mais aussi de complications du traitement dopaminergique, telles que troubles de la marche, instabilité posturale, fluctuations motrices, dyskinésies et dystonie.

Voir en ligne : Pierre R. Burkhard - Service de Neurologie, Département des Neurosciences Cliniques, Hôpitaux Universitaires et Faculté de Médecine de Genève

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Stratégies thérapeutiques médicamenteuses et non médicamenteuses de l’aide à l’arrêt du tabac

Le tabagisme est un problème majeur de santé publique. Tous les professionnels de santé doivent intervenir en ce domaine en adaptant le type d’intervention aux caractéristiques du tabagisme de chaque fumeur. En complément des actions générales, les stratégies individuelles d’aide à l’arrêt du tabac sont nécessaires pour prévenir les complications du tabagisme. Elles doivent prendre en compte des effets psycho-actifs de la nicotine, la vulnérabilité psychologique et des facteurs environnementaux.

Voir en ligne : AFSSAPS : Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé

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Stress chronique : panorama et focus sur de nouveaux indicateurs biologiques et biomécaniques

Après quelques rappels de base sur les mécanismes neuro-psychoimmunologiques impliqués dans la réponse de stress et les notions d’acuité et de chronicité, deux nouveaux indicateurs de stress sont présentés : le cortisol endogène capillaire (CeC) et le Syndrome algodysfonctionnel de l’appareil manducateur (SADAM). Les travaux sur le CeC et le SADAM sont abordés en lien avec des situations de stress chronique. La pertinence de ces derniers, en matière de prévention et de perspectives de recherche en santé au travail, est discutée.

Voir en ligne : INRS

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Stress et cancer

De nombreuses recherches ont examiné la relation entre le stress psychologique et le risque d’apparition d’un cancer (ce qu’on appelle la « psychogénèse » des cancers). Les études les plus importantes ont traité du cancer du sein. La plupart de ces études se sont centrées sur les événements de vie stressant, comme par exemples un divorce ou le décès d’un proche. Ces études n’ont pas permis de conclure que le stress, ou le fait d’avoir vécu un évènement de vie stressant augmente directement le risque d’apparition d’un cancer. Aujourd’hui, on pense que s’il existe un lien entre stress et cancer, c’est parce que le stress peut pousser à adopter des comportements qui ont prouvé leur caractère cancérigène. Il est important de rester ouvert et de chercher à entendre et comprendre la souffrance psychologique de la personne, et la soulager au mieux si nécessaire, notamment par une aide psychologique adaptée.

Voir en ligne : INCA Institut National du Cancer

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Stressé, moi ?

Paul, Juliette et Pierre se presentent à leur premier emploi : à chacun sa manière de ressentir la situation.
Que se passe-t-il dans le corps ? Pour réagir nos organes ont chacun un rôle bien défini. Le cerveau est le centre des perceptions et des commandes. L’alerte est transmise par les nerfs et le sang a travers le corps. Certains organes sont alors activés : cerveau, coeur, foie, muscles, poumons. Le coeur bat soudain plus vite, la respiration est plus rapide. D’autres modifient leur fonctionnement : tube digestif, peau, " l’estomac est noué " " la gorge est serré "
Les mains deviennent moites ... Et peuvent trembler. Ainsi Paul, Juliette et Pierre sont prêts a faire face : leur organisme est en état d’éveil pour commander une réponse, un combat, une fuite, mais un silence aussi .

Voir en ligne : Service de santé de la jeunesse - Genève

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Sucrose, glucose, fructose : quels sont les effets des sucres sur la santé métabolique ?

Plusieurs observations justifient de suspecter un rôle des sucres ajoutés dans l’augmentation récente des maladies métaboliques : 1) la consommation de sucres ajoutés a augmenté de manière importante dans la période au cours de laquelle la prévalence d’obésité a augmenté et 2) les données épidémiologiques ainsi que des études de suralimentation montrent une relation positive entre consommation de sucre, de fructose, ou de boissons sucrées et les maladies métaboliques. Plusieurs questions regardant l’effet des sucres naturels sur la santé restent actuellement sans réponse, en particulier les interactions entre apports en sucres et facteurs de l’environnement comprenant l’ethnicité et l’activité physique. Seules des études d’intervention permettront d’évaluer si les apports en sucres naturels jouent un rôle causal dans la survenue des maladies métaboliques humaines.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Suggestion, placebo et mensonge

Le phénomène « placebo » sort de l’ordinaire : tout le monde peut constater qu’il existe, mais personne ne sait de façon précise comment il fonctionne. Les phar- macologues et les thérapeutes le mesurent assez facilement, mais se hasardent rare- ment à en creuser les mécanismes.

Voir en ligne : Jean-Loup Rouy - Exercer

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Suggestions pour aider à vivre au quotidien, la Maladie d’Alzheimer (MA) et la Démence Sénile de Type Alzheimer (DSTA)

Troubles de la mémoire - L’aide à l’habillage - L’aide au coucher - Pour pallier à l’incontinence urinaire - L’aide à la toilette - L’aide à l’alimentation - Relations avec les autres - Troubles de l’orientation - Orientation vers la réalité - Troubles de la connaissance - Troubles de la parole - Troubles de la réalisation et la compréhension des gestes - Déambulation - Angoisse - La communication - La souffrance de la famille

Voir en ligne : Docteur Lucien Mias et collaborateurs

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Suivi de Pharmacovigilance des vaccins grippaux A(H1N1)

Dans le cadre de la campagne nationale de vaccination contre la grippe A (H1N1) liée à la pandémie grippale actuelle, l’Afssaps a mis en place un programme de surveillance des effets indésirables médicamenteux des vaccins grippaux A (H1N1) sur le territoire français s’intégrant dans le plan de gestion des risques européen et le complétant.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Suivis renforcés / enquêtes de pharmacovigilance en cours - liste des médicaments

Tous les médicaments disponibles sur le marché en France font l’objet d’une surveillance dans le cadre de la pharmacovigilance. Figurent sur la liste ci-dessous des médicaments ou classes de médicaments faisant l’objet, à ce jour, d’un suivi renforcé ou d’une enquête de pharmacovigilance : parce que les autorités sanitaires ont jugé nécessaire, à titre préventif, de renforcer ce suivi soit parce que des signaux de risque ont été détectés, justifiant une vigilance accrue.

Voir en ligne : Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé)

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Sujets "métaboliquement obèses" sans excès de poids : un phénotype interpellant

L’obésité, notamment abdominale, est le facteur de risque principal du syndrome métabolique. Cependant, il existe manifestement des personnes non obèses qui sont métaboliquement anormales et, donc, vraisemblablement exposées à un risque accru de complications cardio-vasculaires. Hélas, elles passent souvent entre les mailles du filet du dépistage cardio-vasculaire en raison d’un poids corporel faussement rassurant. Cet article vise à mieux comprendre l’étiopathogénie et la physiopathologie de ce phénotype particulier, à présenter ses conséquences cliniques potentielles et à décrire les grands principes de sa prise en charge thérapeutique

Voir en ligne : Revue Médicale de Liège

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Supplémentation en vitamine D : pourquoi et comment ?.

En plus de l’ostéomalacie et du rachitisme, conséquences classiques de la carence sévère en vitamine D, et de l’ostéoporose, des manifestations extra-squelettiques ont été plus récemment associées à des taux diminués de vitamine D. Des douleurs musculaires, certains cancers, des pathologies auto-immunes et probablement des évènements cardiovasculaires et métaboliques sont plus prévalents chez les adultes carencés en vitamine D. Les patients âgés et les femmes enceintes sont les groupes principalement à risque de déplétion en vitamine D. Les recommandations visant à se protéger des rayons UV en vue de prévenir les cancers de la peau sont en partie responsables de l’augmentation de la prévalence de la carence en vitamine D.

Voir en ligne : E. Cogan - Revue Médicale de Bruxelles

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Supplémentation en vitamine D et en calcium

D’après les dernières recommandations, la supplémen- tation en vitamine D constitue une stratégie essentielle et avérée de santé publique pour favoriser la santé os- seuse à tout âge et réduire le risque de fractures et de chutes chez les sujets âgés. Les bénéfices supplémen- taires potentiels de la vitamine D en termes de santé cardiovasculaire, de prévention du cancer et de système immunitaire sont suggérés par des études observation- nelles, des études mécanistiques et de petites études interventionnelles, mais ils ne sont actuellement pas dé- montrés en raison de l’absence de grandes études inter- ventionnelles.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Sur la voie de la réussite - Guide pour devenir un non-fumeur

Le présent guide vous aidera à vous préparer et à agir pour réussir à cesser de fumer. Prenez le temps de réfléchir aux questions en jeu et suivez les étapes une à une, à votre propre rythme. De cette façon, vous serez en mesure d’établir votre objectif et de l’atteindre avec succès.

Voir en ligne : Santé Canada


Surdiagnostic : une surmédicalisation à risque pour le patient et pour la société

On parle beaucoup de surdiagnostic dans l’analyse des essais concernant le dépistage des cancers du sein et surtout de la prostate. Au-delà des faux positifs en général identifiés par les examens complémentaires, il s’agit surtout de la mise en évidence par ces examens d’anomalies évocatrices de la maladie recherchée, mais dont les études montrent qu’ignorées, elles le seraient restées au long cours. Il en résulte un bénéfice absent ou très incertain et surtout beaucoup de préjudices. En fait, ce concept n’est pas réservé au dépistage du cancer : dans une société dominée par le principe de précaution, la prévention et le diagnostic précoce des maladies et, surtout, de leurs facteurs de risque, conduit à multiplier les examens, à baisser les seuils et normes de non risque, à considérer de plus en plus de personnes comme malades, et ainsi à médicaliser de plus en plus la vie individuelle et la société.

Voir en ligne : Pierre Gallois , Président Fondateur de l’Unaformec


Surdité

L’oreille est un organe complexe et les causes de la surdité sont si diverses que nous ne pouvons les décrire ici. Elles ont des conséquences différentes suivant l’âge où la surdité est décelée et suivant son degré.

Voir en ligne : Foyer Handicap Neuchâtel - Ateliers Bartimée

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Surdosage avec les spécialités contenant de la colchicine : Importance du respect des règles de bon usage - Point d’information

La colchicine (Colchicine Opocalcium® et Colchimax®) est notamment indiquée dans le traitement et la prévention de la crise de goutte. Le surdosage de colchicine provoque des effets indésirables graves. De nouveaux cas de décès sont rapportés pour des patients traités pour des accès aigus de goutte, principalement en raison d’un non respect des contre indications médicamenteuses, d’une prise en charge inappropriée des signes de surdosage (diarrhées, nausées, vomissements), ou encore en raison d’un non respect des posologies et des recommandations d’adaptation posologique notamment en cas d’insuffisance rénale.

Voir en ligne : ANSM - Sécurité sanitaire des produits de santé

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Surmonter le stress et éviter le surmenage : techniques adaptées au juriste

Le stress est une situation que nous connaissons toutes et tous, et les avocats et avocates n’y font pas exception. Le niveau de gravité varie d’une situation stressante à l’autre, mais toutes génèrent cependant une série de réactions biologiques et comportementales pour nous aider à surmonter cette situation. Bien que ces changements soient adaptatifs à court terme, à la longue le stress peut finir par déclencher des maladies physiques et/ou mentales.

Voir en ligne : par Owen Kelly

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Surpoids chez l’enfant et l’adolescent

Consultez et téléchargez ci-dessous les supports mis à votre disposition sur la prévention et la prise en charge du surpoids chez l’enfant et l’adolescent :

Voir en ligne : AMELI

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Surpoids et obésité de l’adulte : prise en charge médicale de premier recours. Recommandation pour la pratique clinique

L’objectif de ce travail est l’élaboration de recommandations de bonne pratique dans le but d’améliorer la qualité de la prise en charge médicale des adultes ayant un surpoids ou une obésité. La prise en charge de l’obésité comporte les quatre axes suivants : - prévenir la prise de poids supplémentaire chez les sujets en surpoids ou ayant une obésité ; - prendre en charge la morbidité associée à l’obésité ; - favoriser la perte de poids ; - stabiliser le poids à long terme.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Surpoids et obésité de l’enfant et de l’adolescent. Recommandation pour la pratique clinique

L’objectif de ce travail est l’élaboration de recommandations de bonne pratique dans le but d’améliorer la qualité de la prise en charge médicale des enfants et adolescents ayant un surpoids ou une obésité. La prise en charge de l’obésité comporte les quatre axes suivants : - prévenir la prise de poids supplémentaire chez les sujets en surpoids ou ayant une obésité ; - prendre en charge la morbidité associée à l’obésité ; - favoriser la perte de poids ; - stabiliser le poids à long terme.
actualisation 2011 des recommandations de 2003

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Surveillance de la consommation des antibiotiques

La surveillance de la consommation des antibiotiques s’intègre dans la politique nationale de bon usage des antibiotiques et de maîtrise de la résistance bactérienne aux antibiotiques. En effet, devant la fréquence élevée des bactéries multirésistantes aux antibiotiques en France et le constat de prescriptions d’antibiotiques inappropriées, des recommandations ont concerné, d’une part la maîtrise de la diffusion des souches résistantes, d’autre part le bon usage des antibiotiques.

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire

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Surveillance de la grippe en France

L’Institut de veille sanitaire (InVS) coordonne la surveillance de la grippe en France, notamment celle due au virus A (H1N1)2009. Cette surveillance repose sur plusieurs outils et reste évolutive et fonction de la circulation du virus.

Voir en ligne : InVS Institut de Veille Sanitaire

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Surveillance de la Qualité de l’Air en Ile-de-France

  • Qualité de l’air pour le ......... :
  • Indice ATMO de l’agglomération de Paris :
  • Maximum d’ozone sur les stations urbaines de fond compris entre :
  • Maximum de dioxyde d’azote sur les stations urbaines de fond compris entre
  • Situation météorologique

Voir en ligne : airparif

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Surveillance de la santé au travail

Le risque psycho social prend la première place dans les consultations de pathologies professionnelles. Depuis 2001, les 32 centres de consultation de pathologie professionnelle de France ont constitué un réseau d’experts médicaux, le Réseau national de vigilance et de prévention des pathologies professionnelles (RNV3P), placé sous la coordination de l’Afsset. Ils agrègent leurs données de consultation, anonymisées, dans une base commune. Plus de 100.000 consultations sont enregistrées dans cette base, et 15.000 nouvelles consultations viennent la compléter chaque année.

Voir en ligne : Afsset, agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail

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Surveillance des infections liées au nouveau coronavirus (NCoV). Point au 3 mai 2013.

En septembre 2012, un nouveau coronavirus a été identifié chez deux patients présentant des pneumonies sévères et résidant en Arabie Saoudite et au Qatar. Suite à cette découverte, une surveillance a été mise en place sous la coordination de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et de l’European Centre for Disease Prevention and Control (ECDC) afin de détecter d’autres cas éventuels (OMS : http://www.who.int/csr/disease/coro... - ECDC : http://www.ecdc.europa.eu/EN/HEALTH...). En France, cette surveillance a été mise en place par l’Institut de veille sanitaire.

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire

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Surveillance des infections liées au nouveau virus aviaire A(H7N9). Point au 5 avril 2013.

Au 03 avril 2013, un total de 9 cas humains d’un nouveau variant d’influenza aviaire A(H7N9) dont 3 décès ont été rapportés sans lien épidémiologique entre eux dans 4 provinces différentes de la Chine (voir BHI du 03/04/2013). L’apparition d’un nouveau virus grippal chez l’homme incite à la plus grande prudence, d’autant plus que les formes cliniques observées sont graves et que la source de contamination et la voie de transmission restent inconnues. Le risque de propagation du virus en Europe est considéré comme faible à ce stade. Cependant, l’entrée sur le territoire français de certains patients en provenance de Chine ne peut pas être exclue : la surveillance doit être renforcée dans ce sens pour rechercher une grippe A(H7N9) chez les personnes présentant un tableau respiratoire sévère après un retour de Chine.

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire

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Surveillance des manifestations indésirables consécutives à la vaccination contre la fièvre jaune

Les évènements indésirables liés à la vaccination antiamarile sont généralement bénins. Mais on peut observer parfois des réactions d’hypersensibilité aux composants du vaccin, de même que des manifestations systémiques. Ces dernières sont extrêmement rares et peu documentées. Les atteintes systémiques peuvent être d’ordre neurologique, hépatique, rénal ou hémorragique.

Voir en ligne : Organisation mondiale de la Santé 2010

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Surveillance des syndromes grippaux

Syndromes grippaux* : Première semaine au-dessus du seuil épidémique
En France métropolitaine, la semaine dernière, l’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimée à 204 cas pour 100 000 habitants (soit 130 000 nouveaux cas), au-dessus du seuil épidémique (174 cas pour 100 000 habitants). Au niveau régional, les incidences les plus élevées ont été notées en : Champagne-Ardenne (682 pour 100 000 habitants), Nord-Pas-de-Calais (475), Poitou-Charentes (347), Aquitaine (298) et Provence-Alpes-Côte-d’Azur (190).

Voir en ligne : Réseau Sentinelles

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Surveillance épidémiologique des pathologies hivernales de la sphèr e ORL chez l’enfant en France

L’observatoire des pathologies de la sphère ORL chez l’enfant a pour objectif d’estimer les incidences des épisodes aigus de rhino- pharyngite, d’otite moyenne, d’angine, de sinusite et de laryngite en période hivernale en France métropolitaine.

Voir en ligne : InVS Institut de veille sanitaire

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Surveillance sérologique et prévention de la toxoplasmose et de la rubéole au cours de la grossesse

A l’issue d’une revue systématique de la littérature et en accord avec le groupe de travail, la HAS formule les recommandations suivantes concernant la surveillance sérologique et la prévention de la toxoplasmose et de la rubéole au cours de la grossesse. Ces recommandations concernent l’ensemble des femmes enceintes asymptomatiques se présentant aux consultations prénatales instituées dans le cadre du suivi de la grossesse, hors notion de contage (pour la rubéole) et à l’exclusion de la survenue de signes cliniques évocateurs.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Surveillance sérologique et prévention de la toxoplasmose et de la rubéole au cours de la grossesse

À la demande de la Direction Générale de la Santé, la Haute Autorité de Santé a évalué l’intérêt et la nécessité d’une mise à jour de la surveillance biologique obligatoire pour toutes les femmes enceintes, concernant la toxoplasmose et la rubéole. Les recommandations publiées en décembre 2009 ne proposent pas, en l’état actuel des connaissances, de modifications majeures du schéma de suivi sérologique pendant la grossesse, sauf pour la rubéole avec l’introduction d’une deuxième sérologie à 20 semaines d’aménorrhée chez les femmes séronégatives. En revanche, elles mettent l’accent sur la prévention primaire et insistent sur l’importance de l’information à fournir aux femmes enceintes aux différents temps de la séquence de dépistage. De plus, la HAS recommande l’organisation d’une prise en charge structurée en cas de séroconversion en cours de grossesse.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Survenue de cas de syndrome hémolytique et urémique en lien possible avec la consommation de viande hachée surgelée d’origine industrielle.

A la suite de la survenue, entre le 10 et le 16 juin 2011, de 8 cas de syndrome hémolytique et urémique chez des enfants âgés de 20 mois à 8 ans résidant dans le nord de la France, les investigations menées par les autorités sanitaires ont mis en évidence un lien épidémiologique entre la survenue de ces cas et la consommation de viande de bœuf hachée surgelée, aliment susceptible d’être à l’origine d’infections à Escherichia Coli producteur de shigatoxines (STEC). Les résultats des analyses microbiologiques réalisées chez les patients confirment, pour 6 d’entre eux, un E coli 0157 qui diffère de la souche retrouvée en Allemagne (E coli 0104) . La viande de bœuf hachée surgelée est vendue sous différentes formes : steaks hachés, boulettes, hamburgers et viande hachée égrenée. Ces produits sont commercialisés en France par l’enseigne LIDL sous la marque « STEAK COUNTRY » (DLC/DLUO : 10/05/12 ; 11/05/12 ; 12/05/12. Période de commercialisation : mai / juin 2011) dans les magasins de l’enseigne LIDL situés majoritairement en Nord-Pas-de-Calais, mais également dans d’autres départements. En conséquence, nous vous demandons, devant un cas de diarrhée sanglante et/ou de syndrome hémolytique et urémique de rechercher la consommation d’un de ces produits dans les jours précédents et d’en réaliser le signalement auprès de l’ARS afin que des investigations puissent être rapidement menées en lien avec les services vétérinaires.

Voir en ligne : Communiqué urgent de DGS-urgent.sante.gouv.fr’

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Survenue de un ou plusieurs cas de gale. Conduite à tenir

La gale humaine est due à un arthropode, acarien, dénommé Sarcoptes scabiei. var. hominis. Il s’agit d’une maladie infectieuse contagieuse, d’expression dermatologique.
L’incidence de cette maladie a augmentée en France de 10 % depuis 2002. Cette estimation d’incidence est semblable à celle observée dans la plupart des autres pays occidentaux.

Voir en ligne : HCSP Haut Conseil de la santé publique

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Suspicion de carence en fer : quels examens prescrire ?

A la demande de l’Assurance maladie, la Haute Autorité de Santé a évalué les choix d’examens du métabolisme du fer à réaliser lorsqu’un médecin suspecte une carence en fer. Différents marqueurs peuvent être dosés pour étudier le métabolisme du fer et on observe une grande diversité dans les prescriptions, ainsi qu’une augmentation du nombre de dosages réalisés. Dans ce contexte, la HAS a évalué la pertinence des différents examens et précisé le choix de l’examen le plus approprié dans les situations les plus fréquemment rencontrées.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Syndicat National des Praticiens Hospitaliers d’Anesthésie-Réanimation

Voir en ligne : www.snphar.com/

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Syndrome algodystrophique

Ce syndrome associe : des douleurs d’une articulation ou d’une extrêmité, responsables d’une impotence ; des troubles trophiques avec troubles vaso-moteurs et apparition retardée d’une déminéralisation épiphysaire ; une évolution régressive, en théorie sans séquelle ; une fréquente migration à d’autres localisations.

Voir en ligne : JD LAREDO Hôpital Lariboisière - Paris

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Syndrome coronaire aigu : pas de marqueurs biologiques en médecine ambulatoire

Le syndrome coronaire aigu (SCA) est une urgence vitale. Si le patient lui-même n’a pas appelé le Samu - Centre 15, la suspicion d’un SCA peut suffire au praticien (généraliste ou spécialiste) pour décider l’hospitalisation immédiate sur la base de l’interrogatoire et de l’examen clinique (et de l’ECG, s’il peut être fait). Il n’y a donc pas lieu de prescrire un dosage des marqueurs biologiques de nécrose myocardique.

Voir en ligne :

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Syndrome d’apnée du sommeil de l’adulte

Le Syndrome d’Apnée du Sommeil est une pathologie souvent méconnue et pourtant fréquente. Par le danger qu’il fait courir au patient sur le plan cardio-respiratoire et par ses répercussions neuro-psychiatriques, sociales et professionnelles, c’est un syndrome qu’il faut savoir reconnaître et traiter à temps.

Voir en ligne : S.H. Onen | Journal du Jeune Praticien

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Syndrome de fatigue chronique

L’Agence d’évaluation des technologies et des modes d’intervention en santé (AETMIS) publie aujourd’hui son rapport sur le syndrome de fatigue chronique (aussi appelé encéphalomyélite myalgique) au terme duquel elle conclut qu’il faut améliorer les connaissances des intervenants ainsi que les capacités du réseau de la santé et des services sociaux de prendre en charge de façon globale les personnes atteintes. Ces améliorations pourraient s’appuyer, entre autres, sur la création de un ou de deux centres spécialisés offrant un soutien pour le diagnostic et la réadaptation.

Voir en ligne : AETMIS - Agence d’Evaluation des Technologies et des Modes d’Intervention en Santé (Québec)

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Syndrome de malabsorption

On doit évoquer une malabsorption si on constate les signes cliniques suivants même en l’absence de diarrhée chronique, et d’autant plus que plusieurs d’entre eux sont associés :

  • une diarrhée chronique ;
  • une altération de l’état général, amaigrissement ;
  • des odèmes déclives ;
  • une anémie microcytaire ferriprive ;
  • des douleurs osseuses révélatrices d’une ostéomalacie ;
  • des crises de tétanie ;
  • un syndrome hémorragique sans insuffisance hépatocellulaire ni maladie hématologique connue ;
  • des altérations de la peau et des phanères (koïlonychie).

Voir en ligne : SNFGE Société Nationale Française de Gastro-entérologie

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Syndrome douloureux persistant médicalement inexpliqué : une approche psychanalytique

La psychanalyse, par certains aspects de sa théorie et de sa pratique, donne au médecin un éclairage différent du syndrome douloureux persistant. Au moment de l’accueil du patient, le regard du thérapeute porte sur l’intrication complexe de la douleur somatique et de la souffrance psychique et sur l’énigme de la plainte exprimée. Puis, le médecin diffère son désir de guérison et centre son écoute sur le long processus relationnel qui se met en place. Il travaille avec son patient moyennant de multiples associations de sensations, d’émotions et de pensées, associations qui changent très légèrement et qui doivent être travaillées répétitivement. La douleur et la souffrance quittent alors peu à peu leur position centrale dans la dynamique psychique du patient.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Syndrome du burn-out : à propos du traitement professionnel d’un nouveau défi clinique gérer l’exposition professionnelle au stress en milieu hospitalier

Le syndrome du burn-out est devenu l’un des tableaux cliniques les plus médiatisé de notre culture. Il n’existe actuellement dans l’ICD-10 aucune définition uniformisée de cette affection, ni de critères diagnostiques clairs. Si cette thématique est largement acceptée dans la population, il s’agit toujours d’un sujet plus ou moins tabou dans l’environnement professionnel : l’épuisement semble être considéré comme un signe de manque de résistance au stress.

Voir en ligne : Rolf Heima, Beate Schulzeba - Zürich

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Syndrome du canal carpien

Description générale : un canal trop étroit
Electromyogramme : l’examen-clé du canal carpien
Traitement initial : l’infiltration est fréquemment proposée. Comment éviter l’opération ? La chirurgie est rarement indispensable. Mais il faut s’embêter un peu.
Traitement chirurgical : le plus efficace pour être définitivement tranquille. Il y a quelques déceptions.

Voir en ligne : rhumatologie en pratique

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Syndrome du canal carpien : Optimiser la pertinence du parcours patient

La patiente (trois femmes pour un homme), d’un âge moyen de 50 ans, a une atteinte uni- ou bilatérale (un tiers des cas), avec des paresthésies dans le territoire du nerf médian (décrites comme des fourmillements, picotements, engourdissements, décharges électriques, etc.), fréquemment associées à des douleurs irradiant à l’avant-bras, au coude ou à l’épaule. Le mécanisme est multifactoriel, lié à une augmentation de la pression intracanalaire variable en fonction de la position du poignet, avec œdème par stase veineuse puis ischémie et altération de la conduction du nerf médian.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Syndrome du canal carpien : Optimiser la pertinence du parcours patient

"De la prévention du syndrome du canal carpien à son traitement en passant par le diagnostic, cinq outils sont mis à votre disposition : Un référentiel présentant le parcours de soins pour les cas les plus courants du syndrome. Deux mémos d’information, relatifs à la détection et à la prévention du syndrome en entreprise., Une fiche repère des durées indicatives d’arrêt de travail enrichie pour la phase des traitements conservateurs. Un livret d’information et de prévention à destination des patients chez qui le syndrome a été détecté ou chez qui il est suspecté."

Voir en ligne : AMELI-santé

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Syndrome du côlon irritable : fibres, antispasmodique ou antidépresseur ?

La physiopathologie du syndrome du côlon irritable (SCI) n’est toujours pas élucidée. Son traitement reste basé sur la réassurance explicative et un contrôle des symptômes. Parmi les interventions pharmacothérapeutiques, les régimes et laxatifs de lest sont proposés pour leur effet favorable sur le transit, les antispasmodiques pour leur effet sur la motilité intestinale et les antidépresseurs souvent utilisés dans les douleurs chroniques.

Voir en ligne : Minerva

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  • (Maladies, symptômes et pathologies)

Syndrome fibromyalgique de l’adulte

Le syndrome fibromyalgique est un ensemble de symptômes dont le principal est une douleur chronique (persistant plus de trois mois), étendue et diffuse, permanente, fluctuante, majorée notamment par les efforts. Cette douleur singulière s’accompagne notamment de fatigue, de perturbations du sommeil, de troubles dépressifs et anxieux. Ce syndrome n’a pas de cause connue. Le diagnostic est posé devant la persistance des symptômes et l’absence d’autre maladie identifiée et d’anomalie biologique (en particulier pas de syndrome inflammatoire) et radiologique.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Syndrome fibromyalgique de l’adulte : des orientations pour la prise en charge

Saisie par le Ministère de la Santé, la Haute Autorité de Santé a réalisé un état des lieux des données disponibles concernant le syndrome fibromyalgique de l’adulte et propose des orientations aux professionnels de santé pour prendre en charge les personnes qui en souffrent. Ces travaux sont publiés aujourd’hui sous la forme d’un rapport d’orientation.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Syndrome fibromyalgique : nouvelles connaissances relatives au diagnostic et au traitement

Le syndrome fibromyalgique est un problème douloureux très répandu, qui est à l’origine d’altérations considérables de la qualité de vie, ainsi que de coûts médicaux et sociaux élevés.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Syndrome grippal chez l’enfant

Le syndrome grippal survient la plupart du temps à la fin de l’automne, en hiver ou au début du printemps, lors d’épidémies. Sa période d’incubation est de 24 à 72 heures. Les premiers symptômes de la grippe apparaissent très rapidement :

  • une fièvre de modérée à forte, accompagnée de frissons, de fatigue, de douleurs musculaires et articulaires
  • une toux sèche et creuse souvent accompagnés de vomissements, de douleurs abdominales et de diarrhée

Voir en ligne : Portail Québec

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Syndrome hémolytique et urémique (SHU) [ 18 août 2010 ]

Le syndrome hémolytique et urémique (SHU) est une maladie le plus souvent d’origine alimentaire, rare en France mais potentiellement grave aux âges extrêmes de la vie ; elle est la principale cause d’insuffisance rénale aiguë chez les enfants de moins de trois ans. C’est une maladie à déclaration obligatoire dans le cadre des toxi-infections alimentaires collectives.

Voir en ligne : DGS Direction générale de la santé

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Syndrome post-thrombotique : la complication négligée de la maladie thromboembolique veineuse

Le syndrome post-thrombotique (SPT) est la complication chronique la plus fréquemment observée au décours de la thrombose veineuse profonde (TVP), avec une incidence cumulée estimée entre 20 et 50%. Ce syndrome est caractérisé par la survenue de signes et de symptômes d’insuffisance veineuse chronique au niveau d’un membre inférieur ayant présenté une TVP. Le SPT a des répercussions importantes tant sur la qualité de vie des patients que sur les coûts générés pour la société. Actuellement, les options thérapeutiques du SPT sont limitées et les stratégies visant à en prévenir sa survenue sont donc très importantes. Cet article présente de façon critique la définition, les méthodes diagnostiques, l’incidence, les facteurs de risque ainsi que les stratégies préventives et thérapeutiques de ce syndrome.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Syndrome pulmonaire à hantavirus (SPH)

Risques de contamination par hantavirus au Parc national de Yosemite (USA) : mise en place d’un numéro d’information des touristes français (2 septembre 2012)
Qu’est-ce qu’un hantavirus ?
Un hantavirus est un virus présent dans l’urine, la salive ou les excréments de rongeurs sauvages infectés. Il entraîne différentes maladies, dont une maladie pulmonaire rare, mais grave, appelée syndrome pulmonaire à hantavirus (SPH).

Voir en ligne : Direction Générale de la Santé

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Syphilis

La syphilis est une Infection Sexuellement Transmissible (IST) présente partout dans le monde et touchant particulièrement l’Afrique subsaharienne et l’Asie du Sud. On peut être infecté pendant des années avant que la maladie n’entraîne des complications parfois mortelles. Traitée à temps, elle se soigne pourtant très bien : c’est pourquoi le dépistage est essentiel.

Voir en ligne : La santé pour tous - INPES

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Système national d’alerte canicule et santé

Si les prévisions météorologiques indiquent un risque d’atteindre ou de dépasser ces seuils, le PNC active son niveau de "mise en garde et actions". D’autres paramètres sont également pris en compte dans la décision, par exemple l’intensité de la vague de chaleur, sa durée et son extension géographique.

Parallèlement, en cas de vague de chaleur, un système de surveillance d ’indicateurs sanitaires non spécifiques (décès enregistrés par les bureaux d’état-civil, interventions du Samu, fréquentation des services d ’urgences hospitaliers) est activé afin d’apprécier l’impact éventuel.
Pour l’été 2009, en cas d ’activation du niveau de mise en garde et actions, l’InVS publiera un bulletin sur son site Internet avec une description de la situation et les recommandations à adopter en cas de fortes chaleurs.

Voir en ligne : INvS Institut de Veille Sanitaire

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Systèmes ABO et Rh

Chez les êtres humains, le groupe sanguin est déterminé en fonction des substances présentes à la surface des globules rouges, appelées « antigènes ». Les groupes sanguins sont regroupés en « systèmes ». Dans le système ABO, il existe quatre groupes sanguins possibles : A, B, O et AB. Dans le système Rh, la présence ou l’absence de substance « D » à la surface du globule rouge détermine si on est Rh positif (+) ou négatif (-).

Voir en ligne : Fondation Héma-Québec

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S’informer et participer à la recherche clinique en France

Le site Notre-Recherche-Clinique.fr a pour vocation d’informer le grand public sur la recherche clinique et de faciliter l’accès aux protocoles d’essais en cours de recrutement ayant lieu en France. Les essais cliniques représentent une étape cruciale dans la découverte de traitements innovants ainsi que leur mise à disposition auprès de tous. C’est en effet à ce stade que l’innocuité des médicaments (le fait qu’ils soient bien tolérés par l’organisme) et leur efficacité sont étudiées. Personnes en bonne santé et patients, nous sommes tous concernés.

Voir en ligne : notre-recherche-clinique.fr

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Tabagisme passif. Risques significatifs et morts prématurées

Il est largement démontré que le tabac est avec l’alcool l’un des plus dangereux pourvoyeurs de maladies cardiovasculaires, respiratoires, et autres cancers. Ce qui justifie de très loin tout « interventionnisme » médical dans ce domaine, dans un combat comportemental difficile et au long cours. Nous avons publié antérieurement (juin 2007) un dossier consacré à la dépendance et au sevrage tabagique. Mais qu’en est-il pour l’entourage du fumeur ? Que savons-nous des risques encourus par les proches, famille d’abord, professionnels concernés ensuite, même si l’interdiction de fumer dans les lieux publics, bars compris, commence à s’imposer un peu partout depuis le 1er janvier dernier. De nombreuses études ont analysé ces 30 dernières années les risques associés au tabagisme passif et les morts prématurées qui lui sont liées.

Voir en ligne : Pierre Gallois, Jean-Pierre Vallée, Yves Le Noc , Société française de documentation et de recherche en médecine générale

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Tableau comparatif des moyens de contraception

Pour vous aider dans le choix de votre contraception, nous mettons à votre disposition un nouvel outil. Notre tableau dynamique vous présente l’ensemble des méthodes contraceptives et vous donne la possibilité de les trier en fonction du critère qui est le plus important pour vous : efficacité, absence d’hormones, fréquence de prise, absence de pose par un professionnel de santé, prix, protection contre les infections sexuellement transmissibles, absence de manipulation pendant le rapport. Ce tableau vous permettra de discuter de votre contraception avec un professionnel de santé en ayant, au préalable, interrogé vos besoins et vos envies.

Voir en ligne : choisirsacontraception.fr

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Talalgie : définition et causes possibles

La talalgie est une douleur au talon, qui se manifeste souvent pendant la marche ou les activités sportives. Ce symptôme est généralement dû à des causes mécaniques (inflammation au niveau de la plante du talon, tendinite). Il peut aussi révéler un traumatisme ou diverses pathologies (maladies inflammatoires ou cutanées, atteintes des nerfs, artérite, anomalie de la croissance).

Voir en ligne : Ameli-santé

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Tamiflu et grossesse

L’oseltamivir est un antiviral administré par voie orale dans le traitement et la prévention de la grippe. Il est administré sous forme d’une pro-dogue (phosphate d’oseltamivir) dont le métabolite carboxylé est actif (carboxylate d’oseltamivir).

Voir en ligne : CRAT - Centre de Référence sur les Agents Tératogènes

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Tchernobyl : quelles conséquences 20 ans après l’accident ?

Le 26 avril 1986, l’explosion sur le réacteur n°4 de la centrale de Tchernobyl entraîne pendant environ dix jours l’émission et la dispersion d’éléments radioactifs dans des directions différentes. Environ un millier de travailleurs ont été fortement irradiés et contaminés. Depuis 1990, plus de 2000 cancers de la thyroïde ont été diagnostiqués chez les enfants des régions proches les plus contaminées (Biélorussie, Fédération Russe et Ukraine). Comment évaluer les conséquences sur la radioactivité de l’environnement et les effets sur la santé ? Ce dossier « Tchernobyl » rassemble les résultats (résumés et rapports) des analyses internationales de 1988, 2000 et 2005.

Voir en ligne : CEA Direction des sciences du vivant

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Téléphone (s) mobile (s) : santé et sécurité

[ 2 janvier 2008 ] Les technologies de transmission par radiofréquences, utilisées pour les téléphones et télévisions portables, le Wifi sont en plein développement. De nouveaux modèles d’appareils de téléphonie mobile, dont certains destinés aux enfants, sont actuellement mis sur le marché, en particulier dans le contexte des fêtes de fin d’année. Ces appareils simplifiés ont principalement pour objectif de permettre la géo-localisation des enfants et un contact avec la famille.

Voir en ligne : Le ministère de la santé, de la jeunesse et des sports

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Téléphone et cancer du cerveau : l’emballement médiatique après une étude controversée

Le 9 mai dernier, un groupe de chercheurs de l’Institut de santé publique, d’épidémiologie et de développement de Bordeaux publiait une énième étude sur l’impact possible des ondes de téléphones portable sur la santé. Comme souvent, on ne sait pas trop pourquoi une étude ressort plus qu’une autre dans la presse, mais l’AFP a décidé de mettre les gros titres pour cette dépêche qui a été reprise par la quasi-totalité des médias internationaux depuis hier.

Voir en ligne : Mac4ever

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Téléphone portable et risque de cancer : que disent les dernières études ? (janvier 2008)

Alors que les techniques de téléphonie mobile sont en plein développement, plusieurs études scientifiques parues récemment mettent en évidence la possibilité d’un risque faible d’effet sanitaire lié aux téléphones portables après une utilisation intense et de longue durée.

Voir en ligne : Institut National Du Cancer

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Téléphones mobiles et santé

Le GSM est devenu quasiment incontournable dans notre société. Dans les années 90, la diffusion de la téléphonie mobile a connu une croissance exponentielle. En 2009, la téléphonie mobile ne comptait pas moins de 11 millions d’abonnés en Belgique. Chaque année, près de 4 millions de GSM sont vendus. Auprès des jeunes également, le téléphone mobile est sans cesse plus populaire. Aujourd’hui, plus de 90 % des 10-17 ans possèdent un GSM… Mais l’usage intensif du GSM est-il à long terme nocif pour la santé ou pas ?

Voir en ligne : SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement (Belgique)

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Test de détection de la production d’interféron γ pour le diagnostic des infections tuberculeuses

La tuberculose est la première cause de mortalité infectieuse dans le monde (3 millions de décès par an). On estime qu’un tiers de la population mondiale est infecté, avec plus de 8 millions de nouveaux cas de tuberculose active par an. La tuberculose est une infection mycobactérienne chronique liée, dans la majorité des cas, à M. tuberculosis (ou bacille de Koch). La contamination par inhalation se traduit par la tuberculose-infection récente. Dans 90 % des cas, la prolifération de M. tuberculosis est arrêtée par les défenses immunitaires de l’hôte. Les bacilles peuvent cependant rester vivants, sous forme latente dans l’organisme, d’où la notion de tuberculose-infection latente. Dans environ 10 % des cas, la tuberculose-infection latente peut évoluer en tuberculose active ou tuberculose-maladie. La tuberculose-maladie prend la forme de tuberculose pulmonaire dans environ trois quarts des cas, et/ou une forme extrapulmonaire, dans environ un quart des cas.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Testicule non descendu : diagnostic, contrôle, traitement

Le terme « cryptorchidie » signifie « testicule caché » ; dans le langage clinique, ce terme est utilisé pour désigner toutes les formes de testicule non descendu, ainsi que pour désigner une anorchidie ou une agénésie testiculaire. Dans la pratique quotidienne, les questions suivantes se posent : Un testicule est-il palpable des deux côtés ? Le testicule est-il situé dans le scrotum et y reste-t-il ? Si aucun testicule n’est palpable des deux côtés, il convient d’exclure un trouble du développement sexuel. Une classification clinique est disponible dans le tableau 1.

Voir en ligne : PrimaryCare - Journal suisse de médecine de premier recours

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Tests diagnostiques rapides (TDR) : la panacée pour le praticien ?

De nombreux tests diagnostiques rapides (TDR) ont été développés ces dernières années en infectiologie. Ils permettent : 1) d’administrer un traitement immédiat en cas de maladie potentiellement fatale ; 2) de donner un traitement spécifique plutôt que présomptif ; 3) d’instaurer immédiatement les mesures visant à prévenir une transmission de la maladie ; 4) d’éviter un traitement antibiotique inutile et 5) de faire une demande d’examens paracliniques de manière séquentielle. Pour la malaria, une stratégie diagnostique a été introduite à Lausanne en 1999 et évaluée pour sa sécurité. Elle inclut un TDR en première intention ; lors de résultat négatif, une microscopie est retardée jusqu’à l’ouverture du laboratoire. Chaque TDR a ses caractéristiques propres qui doivent être connues par le praticien s’il veut les utiliser d’une manière rationnelle.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Thérapeutiques antiémétiques chez l’adulte associées à la chimiothérapie anticancéreuse

Les médicaments anticancéreux ont un potentiel émétisant variable, sur le plan de la sévérité des délais d’apparition et de la durée des nausées et vomissements. Les polychimiothérapies anticancéreuses rendent pratiquement systématique un traitement antiémétique. Le traitement antiémétique devra prendre en compte : 1°) le potentiel émétisant de chaque anticancéreux 2°) le délai d’apparition et la durée des symptômes 3°) les facteurs de risque personnel du patient L’efficacité du traitement devra être évalué au cours des différentes cures et adapté en fonction des résultats.

Voir en ligne : OMéDIT Centre Observatoire des Médicaments, des Dispositifs médicaux et des innovations Thérapeutiques de la région Centre

Sujets associés


Thérapie familiale et individuelle (C.E.F.A.)

Depuis 1978, le C.E.F.A. reçoit des familles confrontées à la pathologie récente voire déjà très ancrée d’un des leurs. Sont également pratiquées des thérapies de couple, de fratrie. Cette consultation permet aussi d’accompagner des ruptures familiales, des deuils, des traumatismes, des problèmes de communication.

Voir en ligne : therapie-familiale.com

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Thérapie individuelle pour l’état de stress post-traumatique

Différentes approches thérapeutiques sont recommandées pour la prise en charge de l’état de stress post-traumatique. Les directives et les preuves donnent des indications quant au choix de la démarche la plus adaptée. Mais qu’est-ce qui est vraiment utile ?

Voir en ligne : PrimaryCare - Journal suisse de médecine de premier recours

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Thérapie par ondes de choc extracorporelles pour épine calcanéenne

La fasciite plantaire touche environ 10% de la population, surtout d’âge moyen et avancé 1,2 . Au début des années 90, l’extracorporeal shock wave therapy (ESWT) fut introduite comme traitement des tendinopathies d’insertion chroniques résistantes au traitement. Ce traitement d’ESWT devait engendrer une analgésie prolongée et stimuler le processus de guérison. Les études précédentes avec l’ESWT comme traitement de la fasciite plantaire sont de moins bonne qualité.

Voir en ligne : Minerva

Sujets associés


Thrombose veineuse profonde des membres inférieurs
étiologie, physiopathologie, diagnostic, évolution, pronostic et traitement.

La thrombose veineuse profonde des membres inférieurs est due à l’activation localisée de la coagulation avec constitution d’un thrombus dans le système veineux profond.Sa principale complication immédiate est l’embolie pulmonaire. Sa complication secondaire est le syndrome post-phlébitique. Malgré la description de plus en plus précise du schéma de la coagulation, avec la découverte depuis près de 30 ans des déficits de protéines favorisant la thrombose, bon nombre de thromboses veineuses profondes demeurent inexpliquées.

Voir en ligne : Centre Universitaire Hospitalier de Besançon

Sujets associés


Thromboses veineuses profondes

Existence d’un thrombus oblitérant en partie ou totalement la lumière veineuse. Affection fréquente et grave en raison de 2 complications majeures : l’E.P. et la maladie post-phlébitique. Le traitement par héparine, validé depuis 1960 en a modifié considérablement le pronostic. De nouvelles modalités thérapeutiques sont disponibles depuis peu. La prévention des TVP reste un des problèmes fontamentaux de cette pathologie.

Voir en ligne : Dr. Jean-Marc Schleich - Département de cardiologie et maladies vasculaires CHU de Rennes

Sujets associés


Thyroïdites

La possibilité d’une thyroïdite doit être envisagée dans le diagnostic différentiel chez tous les patients porteurs d’un goitre (diffus) et/ou d’une hyper ou hypothyroïdie sans étiologie déterminée. La thyroïdite lymphocytaire chronique de Hashimoto, fréquente, est caractérisée par un goitre diffus, des titres élevés d’anticorps antithyroperoxydase et une hypothyroïdie.

Voir en ligne : Ulrich Bürgi | Inselspital Bern

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Tics et tremblements

Les tics et les tremblements sont des mouvements incontrôlables du corps. Cependant, il ne faut pas les confondre. Les tics sont des gestes brefs, automatiques et répétitifs, sans but fonctionnel. Ils apparaissent souvent au cours de l’enfance et sont héréditaires dans 30 % à 50 % des cas. Ils peuvent consister à cligner des yeux, à tourner la tête, à lever les épaules, etc. Quant aux tremblements, il s’agit d’une agitation musculaire anormale du corps ou d’une partie du corps, par petites oscillations rapides, continues et involontaires. Ils se développent davantage chez les adutes de plus de 40 ans et ils peuvent affecter autant les mains et les doigts que la tête et le tronc. Il existe plusieurs types de tics et de tremblements.

Voir en ligne : Portail Santé - Grand-Duché de Luxembourg

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Tics ou tremblements

Les tremblements sont une succession d’oscillations rythmées et involontaires d’une ou de plusieurs parties du corps. Ils affectent surtout les mains ou la tête, et peuvent également affecter la voix. Certains types de tremblements peuvent êtres aggravés par le stress, la fatigue ou le froid. Ils peuvent avoir de multiples causes, comme l’anxiété, le stress, certains médicaments et certaines drogues, certaines maladies héréditaires ou des troubles du métabolisme.

Voir en ligne : Portail Québec

Sujets associés


Tics ou tremblements à l’oeil

Un tic est une brève contraction involontaire d’une petite partie du corps, à intervalles de temps variables. Le problème peut être de naissance ou être apparu ou avoir augmenté récemment. L’anxiété peut jouer un rôle important dans l’intensité de ce symptôme. Une fatigue importante peut aussi causer des tremblements à l’œil ou aux deux yeux. Un tic douloureux peut apparaître, affectant la moitié du visage, par crises de quelques secondes à quelques minutes, ou encore par accès de tics durant quelques jours. Certains médicaments peuvent causer ce problème ; discutez-en avec votre pharmacien.

Voir en ligne : Portail Québec

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Tous les Français pourront se former à l’utilisation des défibrillateurs cardiaques

Un nombre croissant de collectivités ou de grands services publics - comme la SNCF - installent des défibrillateurs dans les lieux publics. Un arrêté du ministère de la Santé met sur pied une initiation à leur utilisation. Chaque année, les accidents cardiaques provoquent environ 50.000 décès. Une partie d’entre eux pourrait être évitée par une intervention immédiate, en attendant l’arrivée des secours (pompiers, Samu...). L’utilisation de défibrillateurs automatisés externes (DAE) - couramment appelés défibrillateurs cardiaques - permet ainsi de multiplier par quatre ou cinq les chances de survie.

Voir en ligne : [hopital.fr]

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Tout savoir sur l’amiante

La maintenance et la rénovation ne sont pas sans risque car de nombreux bâtiments contiennent encore de l’amiante. Les expositions courtes et répétées aux poussières d’amiante peuvent provoquer de graves maladies respiratoires. Professionnels du second œuvre du bâtiment, vous trouverez dans ce site des conseils pour repérer les risques d’exposition, vous protéger et protéger vos salariés. Avec l’amiante, ne pariez pas. - Protégez vous !

Voir en ligne : INRS, l’Institut National de Recherche et de Sécurité

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Toxoplasmose

La toxoplasmose, parasitose cosmopolite par excellence, est une anthropozoonose due à un protozoaire : Toxoplasma gondii. La maladie reste le plus souvent latente, elle n’est patente que chez certains sujets non immunisés, les nouveaux-nés infectés in utero ou les immunodéprimés. Depuis les années 1980, la toxoplasmose est devenue un important problème de santé publique dans les régions tropicales à cause de sa gravité au cours de l’infection à VIH/Sida

Voir en ligne : Professeur Pierre Aubry | Médecine tropicale - Diplôme de Médecine Tropicale des Pays de l’Océan Indien

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Toxoplasmose : définition, symptômes et complications possibles

Maladie infectieuse due à un parasite, la toxoplamose peut se contracter en consommant de la viande contaminée mal cuite, des crudités mal lavées ou de l’eau souillée. Elle reste souvent sans symptôme et sans gravité. Cependant, elle provoque parfois des complications chez les femmes enceintes non immunisées et les patients au système immunitaire affaibli.

Voir en ligne : ameli-santé

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Toxoplasmose et grossesse

La Toxoplasmose est une maladie infectieuse le plus souvent sans gravité sauf en cas de grossesse. Le risque de séroconversion est 8 fois plus élevé chez les femmes n’ayant pas bénéficié d’une information suffisante...

Voir en ligne : LAM - Jacques d’HALLUIN et Christophe LEGROUX - 59130 LAMBERSART

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Toxoplasmose et grossesse

On en parle toujours lors d’une grossesse et elle est toujours contrôlée mais qu’est-ce exactement ? Pourquoi la contrôle-t-on lors d’une grossesse ? Quels sont les risques pour le bébé ? Existe-t-il un traitement ? .... Autant de question que l’on se pose lors d’une grossesse, cette page va essayer d’y répondre point par point.

Voir en ligne : Bébé arrive !

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Toxoplasmose et Grossesse Précautions Prévention Suivi Médical

Le toxoplasme se rencontre : soit dans la viande, soit dans la terre souillée par les déjections de chat. Pour éviter d’être contaminée par le Toxoplasme, prenez chaque jour les précautions suivantes.

Voir en ligne : planning-familial-Belgique

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Toxoplasmose pendant la grossesse : Prévention, dépistage et traitement

Indication du niveau de preuve, "Objectif : Analyser la prévention, le diagnostic et la prise en charge de la toxoplasmose pendant la grossesse

Voir en ligne : SOGC - Société des Obstétriciens et Gynécologues du Canada

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Traduction française des recommandations pratiques pour la prise en charge de l’HTA

HTA : de nouvelles recommandations ESH/ESC qui élargissent plus qu’elles ne restreignent la prise en charge 26 JUIN 2007 | Pascale Solère Milan, Italie — La présentation des recommandations de prise en charge de l’hypertension (HTA) dont la dernière version datait de 2003, a constitué le point d’orgue du dernier congrès de l’European Society of Hypertension qui s’est tenu à Milan. Premier point, ces recommandations ne sont pas gradées (Ia, Ib, etc…). « Parce qu’il nous est apparu plus important de prescrire que de proscrire » résumait Alberto Zanchetti (Milan). (lire la suite)

Voir en ligne : ESH/ESC 2007

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TRAITEMENT ANTIBIOTIQUE DE LA MALADIE DE LYME

La Maladie de Lyme ou borréliose est aujourd’hui largement connue du public. Celui- ci est d’ailleurs parfois tellement informé du risque, qu’il devient souvent difficile de refuser un traitement antibiotique systématique en cas de morsure de tique. N’est-il pas temps de faire le point sur les risques réels et la prise en charge adéquate ?

Voir en ligne : INVS Institut de veille sanitaire

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Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées

Au cours des infections sexuellement transmissibles, notamment des urétrites et cervicites non compliquées, les deux agents infectieux le plus souvent isolés en France sont Neisseria gonorrhoeae (gonocoque) et Chlamydia trachomatis, seuls ou associés entre eux dans de nombreux cas. En raison de l’augmentation de la résistance du gonocoque aux fluoroquinolones (9,7 % en 2001/2003 et 31 % en 2004/2005), une mise au point de l’Afssaps (2005) avait abouti à l’établissement d’une nouvelle stratégie de traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées. Ainsi, la ciprofloxacine qui avait été largement utilisée en traitement probabiliste des urétrites n’était plus recommandée en première intention.

Voir en ligne : AFSSAPS : Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé

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Traitement anticoagulant et éducation du patient : une nécessité

Pour qu’un traitement anticoagulant soit bien conduit et que le patient suive son traitement, il faut qu’il puisse bénéficier d’un programme d’éducation. La pratique des traitements ambulatoires et le développement des techniques d’autocontrôle rendent cette éducation encore plus nécessaire. L’enseignement devra être structuré et documenté, défini quant à ses objectifs et évalué. L’enseignement est au mieux dispensé par des équipes interdisciplinaires telles qu’elles existent au sein des cliniques d’anticoagulation. À une époque où les ressources sont limitées, il importe de convaincre les autorités de la nécessité de telles structures qui permettent de diminuer les complications hémorragiques et/ou thrombotiques et, ainsi, les coûts de la santé.

Voir en ligne : Philippe de Moerloose - Unité d’hémostase, hôpital universitaire de Genève, Bernard Boneu - Laboratoire d’hématologie, hôpital Purpan, 31059 Toulouse

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Traitement arthroscopique de l’épicondylite

L’objectif de ce rapport est d’évaluer le traitement arthroscopique de l’épicondylite. L’épicondylite est une souffrance à l’insertion des tendons des muscles épicondyliens liée à une sur-utilisation, avec un processus de cicatrisation pathologique et dés-insertion minime progressive. Elle est particulièrement fréquente chez le sujet jeune amené à frapper très fort et de manière très prolongée avec le membre supérieur, par exemple lors d’un sport (dont l’exemple est le tennis).

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Traitement chirurgical de l’instabilité antérieure de l’épaule

Le traitement chirurgical de l’instabilité antérieure de l’épaule comprend les réinsertions capsulo-ligamentaires à la partie antéro-inférieure de la glène ( intervention de Bankart ) et les butées osseuses pré glénoïdiennes ( intervention de Bristow-Latarjet, intervention de Patte...). Le choix de l’intervention est déterminé par l’âge du patient, la pratique d’une activité sportive, le type d’instabilité (luxations vraies ou accident mineur d’instabilité) et l’importance des lésions osseuses et capsulo-ligamentaires.

Voir en ligne : C Maynou - Faculté de Médecine Henri-Warembourg CHRU de Lille

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Traitement conservateur des fibromes : recommandations pour la pratique

Le traitement conservateur des fibromes utérins repose essentiellement sur la symptomatologie et le désir de chaque patiente. Le gynécologue doit alors s’orienter vers un protocole thérapeutique bien défini basé sur l’examen clinique, les examens complémentaires et les préférences de la patiente. Les principales possibilités thérapeutiques sont la surveillance régulière, la prescription de traitements hormonaux, la réalisation d’une endoscopie opératoire conservatrice ou l’embolisation des artères des fibromes par radiologie interventionnelle.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Traitement de fond de l’asthme chez l’adulte : Place des associations fixes* dans la stratégie thérapeutique

Les associations fixes sont des traitements de seconde intention dans le traitement de fond des patients atteints d’asthme persistant pour lesquels l’administration par voie inhalée d’un médicament associant un corticoïde à un bronchodilatateur bêta-agoniste de longue durée d’action est justifiée, c’est-à-dire :

  • Chez des patients insuffisamment contrôlés par une corticothérapie inhalée et la prise d’un bronchodilatateur ß2 agoniste de courte durée d’action par voie inhalée à la demande,
  • Ou chez des patients contrôlés par l’administration d’une corticothérapie inhalée associée à un traitement continu par ß2 agoniste de longue durée d’action par voie inhalée.

Voir en ligne : Ameli

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Traitement de l’amibiase

Qu’il s’agisse d’une dysenterie vraie ou d’une diarrhée, l’amibiase avec formes histolytica dans les selles impose un traitement d’attaque par les amœbicides tissulaires : métronidazole (Flagyl.â) ou ses dérivés, ou 2-déhydroémétine (Déhydroémétine.â). Ce traitement suffit presque toujours à obtenir une guérison clinique, rectoscopique et parasitologique complète de la phase aiguë. Les antibiotiques, les antidiarrhéiques, les adsorbants sont rarement utiles. En revanche, la prescription complémentaire d’amœbicides de contact est indispensable. On peut proposer le schéma suivant :

Voir en ligne : Pr Gentilini

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Traitement de l’hypertension artérielle essentielle : point d’information de l’ANSM

S’appuyant sur les résultats d’une méta-analyse récente (1) remettant en cause l’efficacité du "double blocage" du système rénine-angiotensine, l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) rappelle, dans un point d’information publié le 13 mars 2013, que les associations entre IEC ou ARA II avec l’aliskirène, ou entre IEC et ARA II, sont dangereuses.

Voir en ligne : Isabelle COCHOIS | Vidal

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Traitement de l’hyperthyroïdie à l’iode radioactif

L’iode radioactif est une forme d’iode chimiquement identique à l’iode non radioactif. Par conséquent, la glande thyroïde, qui absorbe l’iode pour produire l’hormone thyroïdienne, ne peut faire la distinction entre les deux. Toutefois, le noyau d’une molécule d’iode radioactif possède un excédent d’énergie et émet des radiations qui agissent sur les cellules dans lesquelles elles sont concentrées.

Voir en ligne : La Fondation canadienne de la Thyroïde.

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Traitement de l’Hypertrophie Prostatique Benigne par le Laser Green Light®

Le laser Green Light® est une nouvelle technique de vaporisation de la prostate par énergie laser qui permet de traiter l’hypertrophie bénigne de la prostate (HBP).

Voir en ligne : Groupe Hospitalier Diaconesses Croix Saint-Simon – Paris

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Traitement de l’otite moyenne aiguë. La revanche des bonnes vieilles gouttes de mon enfance !

Dans l’otite moyenne aiguë OMA chez l’enfant de 6 mois à 12 ans, une approche d’observation et de traitement symptomatique durant 48 heures suivie, au besoin, d’une antibiothérapie selon l’évolution est efficace et comporte moins d’effets secondaires qu’une antibiothérapie immédiate.

Voir en ligne : Critique et Pratique, Université Laval, Faculté de médecine

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Traitement de la diarrhée associée au Clostridium difficile

Depuis quelques années, on assiste à une recrudescence de cas de diarrhées à Clostridium difficile. Cette infection est typiquement nosocomiale. Chez la population hospitalisée, 20% des patients auront un test de détection positif à C. difficile contre seulement 3% dans la communauté.( 1) Parallèlement, 99% des cas de diarrhée à C. difficile surviennent chez des patients hospitalisés ou qui quittent l’hôpital.(2) Selon des estimations effectuées en 1994, environ 2% des patients atteints de colite à C. difficile mourront des complications reliées.(3)

Voir en ligne : Folia Pharmacotherapeutica

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Traitement de la diarrhée ou de la colite associée au Clostridium difficile

Prévalence de porteurs asymptomatiques :

  • 1 % dans la population générale
  •  5%enCHSLD - 10 % d’acquisition/semaine d’hospitalisation pour atteindre un plateau de 50 %
  • Infection de la muqueuse du côlon par le C. difficile, une bactérie anaérobie Gram+ productrice de spores.
  • Principalement transmise par les spores présentes dans l’environnement du patient, d’où l’importance du lavage des mains. • L’émergence clinique de l’infection est précipitée par la prise d’antibiotiques chez les porteurs asymptomatiques.
  • La majorité des patients répondent à un premier traitement, 25 % connaîtront une récidive.

Voir en ligne : CDM - Conseil Du Médicament Québec

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Traitement de la neuropathie diabétique

Il n’y a pas de « traitement miracle » pour faire disparaître les symptômes de la neuropathie diabétique, et même si de nombreuses recherches portent sur la mise au point de médicaments agissant sur les mécanismes de la neuropathie, le parfait contrôle du diabète est actuellement le meilleur traitement préventif et curatif de la neuropathie.

Voir en ligne : DiabSurf

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Traitement de l’anxiété en médecine générale

De nouvelles études confirment que les troubles anxieux figurent parmi les pathologies les plus fréquentes avec lesquelles les patients se présentent chez leur médecin traitant, et qu’ils restent toujours méconnus trop longtemps. Trop de temps se perd avec des examens inutiles avant la mise en route du traitement adéquat. La méthode d’exploration et de traitement des troubles anxieux sur deux voies parallèles est particulièrement adéquate pour la consultation de médecine générale.

Voir en ligne : PrimaryCare - Journal suisse de médecine de premier recours

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Traitement dermatologique : stéroïdes topiques

De nouveaux corticostéroïdes topiques ont été développés ces dernières années, tout aussi puissants mais ayant moins d’effets indésirables que les plus anciens. L’effet anti-inflammatoire et antiprolifératif des corticostéroïdes permet de traiter de très nombreuses maladies dermatologiques, dont surtout eczémas, psoriasis, lichen plan et dermatoses bulleuses auto-immunes. Leurs effets indésirables et leurs coûts peuvent être abaissés par une application journalière unique, de même que par un traitement par paliers ou intermittent

Voir en ligne : Monika Weber, Stephan Lautenschlager - Ambulatoire de Dermatologie, Stadtspital Triemli, Zurich

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Traitement des accès palustres

Un accès palustre est une urgence diagnostique et thérapeutique qui doit être systématiquement évoqué en présence d’une fièvre chez un sujet ayant séjourné en zone d’endémie palustre. 2. Tout accès à Plasmodium falciparum doit être traité immédiatement : on considère de principe qu’il s’agit d’un Plasmodium falciparum chloroquino-résistant. 3. Le traitement est débuté après : frottis, goutte épaisse et test de diagnostic rapide (résultats en urgence), NFS plaquettes, TP, transaminases, créatinine, ionogramme sanguin, hémoculture, bandelette urinaire.

Voir en ligne : OMéDIT Centre Observatoire des Médicaments, des Dispositifs médicaux et des innovations Thérapeutiques de la région Centre

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Traitement des aphtes idiopathiques récidivants

Les aphtes idiopathiques récidivants disparaissent spontanément en 1 à 2 semaines. Un traitement n’est donc pas nécessaire en soi, et est surtout indiqué en cas d’aphtes fréquents et gênants. Un traitement local à base de lidocaïne (de préférence en solution visqueuse), de chlorhexidine ou d’acétonide de triamcinolone (pâte gingivale à 0,1%) peut être proposé, mais les preuves d’une efficacité sont limitées, et des effets indésirables ne peuvent être exclus. Un traitement par voie systémique n’est indiqué qu’exceptionnellement.

Voir en ligne : Centre Belge d’Information Pharmacothérapeutique

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Traitement des cystites aigues hors grossesse

Escherichia coli est le germe le plus souvent retrouvé devant d’autres bactéries (Staphylococcus saprophyticus, Proteus, Klebsiella) L’antibiorésistance étant croissante, les aminopénicillines, pefloxacine cephalosporine 1ère (C1G) et 2ème génération C2G, pivmecillinam ou cotrimoxazole ne doivent plus être utilisés dans cette indication, en traitement probabiliste.

Voir en ligne : OMéDIT Centre Observatoire des Médicaments, des Dispositifs médicaux et des innovations Thérapeutiques de la région Centre

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Traitement des douleurs neurogènes

Aussi appelées douleurs neuropathiques, les douleurs neurogènes sont consécutives à une lésion du système nerveux. La lésion peut être d’un nerf périphérique ou d’une région de la moelle épinière ou du cerveau. Elle conduit à une diminution des influx (on parle de désafférentation) de la région douloureuse. Le caractère neurogène d’une douleur est suggérée cliniquement par la présence associée de sensations anormales non douloureuses (paresthésies, dysesthésies) et de la présence de déficits neurologiques variables (parésie ou paralysie, déficit sensoriel, troubles cognitifs). Les paresthésies sont des sensations anormales comme des picotements, fourmillements ou sensations d’engourdissement. Les dysesthésies correspondent aux même type de sensations mais ont en plus un caractère nettement désagréable. L’hyperalgésie désigne des douleurs déclenchées par des stimulations tactiles légères. Un exemple typique en serait la douleur fulgurante provoquée par le frottement du drap sur une région de peau bien après cicatrisation des vésicules d’un zona (douleur post-zostérienne). Ces douleurs tardives correspondent à la lésion du nerf périphérique par le virus du zona.

Voir en ligne : OMÉDIT

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  • (Maladies, symptômes et pathologies)
  • (Spécialités)
  • (Maladies, symptômes et pathologies)

Traitement des infections urinaires chez l’homme (Prostatites aiguës

Toute infection urinaire, hors sondage urinaire, survenant chez un homme, hors sondage, doit être considérée et traitée comme une prostatite aiguë (sauf cas exceptionnel). Elle doit donc être explorée et traitée en conséquence. Les bactéries sont par ordre de fréquence E. coli, Klebsiella, entérocoques. L’antibio résistance étant croissante, les AMINOPÉNICILLINES SEULES, AMOXICILLINE ou le COTRIMOXAZOLE ne doivent plus être utilisés dans cette indication, en traitement probabiliste.

Voir en ligne : OMéDIT Centre Observatoire des Médicaments, des Dispositifs médicaux et des innovations Thérapeutiques de la région Centre

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Traitement des infections urinaires simples : impact des résistances antibiotiques croissantes dans la communauté

L’infection urinaire non compliquée est une cause fréquente de consultation chez le médecin de premier recours et un motif important de prescriptions d’antibiotiques empiriques. Le développement de résistances aux antibiotiques dans la communauté explique certains échecs de traitement avec des molécules largement utilisées comme les quinolones ou le co-trimoxazole. Cet article décrit l’épidémiologie de la résistance aux antibiotiques des germes impliqués dans les infections urinaires simples et ses conséquences concernant les recommandations de traitements empiriques récemment révisées.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Traitement des ulcères veineux : la thérapie de compression

La compression est le traitement le plus utilisé pour contrôler l’hypertension veineuse et favoriser la cicatrisation des ulcères veineux

Voir en ligne : OIIQ - Ordre des Infirmières et Infirmiers du Québec

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Traitement du pied diabétique infecté : une approche multidisciplinaire par excellence

Le pied diabétique septique est une pathologie fréquente et plurifactorielle, dont la prise en charge nécessite une collaboration multidisciplinaire. De la prévention des complications à leur traitement, de multiples spécialités sont mises à contribution. Les modèles de prise en charge par des cercles de suivi spécialisés ont montré une diminution significative des taux d’amputation. L’objectif de cet article est de revoir les bénéfices de cette collaboration dans la prévention et le traitement de l’infection du pied diabétique.

Voir en ligne : Revue médicale suisse

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Traitement et prévention de la maladie thromboembolique veineuse : quoi de neuf ?

La maladie thromboembolique veineuse est une pathologie fréquente et les questions quant à sa prévention et son traitement sont nombreuses. Afin d’aider le praticien à y répondre, nous avons regroupé dans cet article un résumé des principales recommandations issues de la huitième conférence de l’American college of chest physicians. Plusieurs nouveautés font partie de ces recommandations 2008, dont l’utilisation du fondaparinux, le rôle actif joué par le patient dans les décisions thérapeutiques et la gestion de l’anticoagulation ainsi que l’utilisation en première intention des héparines de bas poids moléculaire chez la femme enceinte. Le but de cet article n’est pas de donner une marche à suivre stricte mais de fournir au médecin de premier recours un outil sur lequel s’appuyer pour prendre la meilleure décision thérapeutique.

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

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Traitement médicamenteux de la dysménorrhée

La dysménorrhée constitue une plainte fréquente chez les jeunes femmes, souvent sans cause organique apparente. On ne dispose que de peu de données quant à l’efficacité des différents traitements proposés. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens sont les médicaments pour lesquels il existe le plus de preuves d’une efficacité, et ils sont proposés comme traitement de premier choix. Les contraceptifs oraux (en cycles mensuels ou en cycles prolongés) sont une autre possibilité en cas d’efficacité insuffisante ou de contre-indication aux anti-inflammatoires non stéroïdiens, ou si la femme souhaite une contraception. En cas d’échec de ces traitements, il convient de procéder à un examen gynécologique plus approfondi afin de rechercher une éventuelle cause organique sous-jacente.

Voir en ligne : Folia Pharmacotherapeutica

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Traitement médicamenteux de l’angine de poitrine stable

Le traitement médicamenteux de la cardiopathie ischémique stable vise l’amélioration du pronostic par la réduction des infarctus du myocarde et des décès d’origine cardiovasculaire, ainsi que la diminution des symptômes, dont ceux de l’angine de poitrine en première ligne. Pour des raisons pronostiques, il faut traiter chaque patient avec de l’acide acétylsalicylique, une statine et, dans les cas d’antécédent d’infarctus, d’insuffisance ventriculaire gauche et/ou d’insuffisance cardiaque, avec un inhibiteur de l’ECA et un bêtabloquant.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Traitement medicamenteux du diabète de type 2

Le diabète est défini par une glycémie supérieure à 1,26 g/l (7 mmol/l) après un jeûne de 8 heures et vérifiée à deux reprises. Il est aussi défini par la présence de symptômes de diabète (polyurie, polydipsie, amaigrissement) associée à une glycémie (sur plasma veineux) supérieure ou égale à 2 g/l (11.1 mmol/L ) ainsi que par une glycémie supérieure ou égale à 2 g/l (11,1 mmol/l) 2 heures après une charge orale de 75 g de glucose (critères proposés par l’Organisation Mondiale de la Santé).

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Traitement par antidépresseur chez l’adulte

Vous recevez un médicament antidépresseur pour traiter un épisode dépressif.
Ce traitement vous est nécessaire mais impose certaines précautions.
Lisez attentivement ces informations qui peuvent vous aider à assurer l’efficacité et la sécurité de votre traitement.

Voir en ligne : afssaps Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

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Traitement par statines et risque musculaire

L’intérêt de prendre une statine est il supérieur au risque ? Oui, le bénéfice obtenu grâce au traitement par une statine est aujourd’hui largement démontré et bien supérieur au risque de développer un problème musculaire, et en particulier une rhabdomyolyse, qui reste un événement exceptionnel. Des dizaines de millions de personnes dans le monde, parmi lesquels environ 3 millions de patients en France, prennent aujourd’hui un traitement hypocholestérolémiant par statine. Ceci permet de réduire la fréquence des accidents cardiovasculaires et de sauver des milliers de vies : • de l’ordre de 41 infarctus ou menace d’infarctus du myocarde évités, pour 1000 patients traités pendant 5 ans après un premier infarctus du myocarde ou une angine de poitrine, • de l’ordre de 17 infarctus ou menace d’infarctus du myocarde évités, pour 1000 patients sans problème coronaire connu traités par statine pendant 5 ans.

Voir en ligne : ANSM - Sécurité sanitaire des produits de santé

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Traitement somatique des troubles dépressifs unipolaires

Cette recommandation de traitement suit les lignes directrices internationales de la World Federation of Societies of Biological Psychiatry (WFSBP) [1] et nationale S3 de la Deutsche Gesellschaft für Psychiatrie, Psychotherapie und Nervenheilkunde (DGPPN) [2]. Elle reprend les stratégies basées sur des preuves (l’ensemble des dernières connaissances scientifiques selon les critères de la médecine basée sur des preuves) du traitement aigu des épisodes dépressifs selon les critères de l’« International Classification of Diseases » (ICD-10, OMS 1992) et du « Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders » (DSM-IV).

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

Sujets associés


Traitement « hormonal » Suppression androgénique pour le cancer de la prostate

Cette fiche d’information, rédigée par l’Association Française d’Urologie, est destinée aux patients ainsi qu’aux usagers du système de santé. Remise lors de votre consultation d’urologie avant de pratiquer un acte à visée diagnostique ou thérapeutique, elle est destinée à vous aider à mieux comprendre l’information délivrée par votre Urologue. Il vous a expliqué la maladie dont vous souffrez ou dont il doit faire le diagnostic. Il vous a exposé les différentes modalités et alternatives de prise en charge et de traitement et les conséquences prévisibles en cas de refus de l’acte proposé.

Voir en ligne : Association Française d’Urologie

Sujets associés


Traitements de fer : preuves de l’efficacité et bonne pratique clinique[1]

L’efficacité des traitements de fer, oraux ou intraveineux, sur les marqueurs biologiques des réserves en fer est bien démontrée dans la littérature, mais les études disponibles sont très hétérogènes, de qualité parfois médiocre, et rapportent rarement des critères d’évaluation cliniques. Ce n’est qu’en néphrologie que l’on dispose de recommandations de pratique clinique précises et étayées. Les traitements intraveineux d’emblée sont à réserver aux insuffisants rénaux chroniques et aux patients présentant une malabsorption ou une maladie intestinale inflammatoire chronique. Dans toutes les autres situations, en raison du risque non négligeable de réactions d’hypersensibilité, des perfusions de fer ne se justifient que lors d’indications avérées et d’impossibilité de mener à bien un traitement oral.

Voir en ligne : Revue médicale suisse

Sujets associés


Traitements de la maladie hémorroïdaire

Les règles de prise en charge thérapeutique de la maladie hémorroïdaire demeurent classiques. En première intention, traitement médical quelque soit le grade de la maladie hémorroïdaire, plus particulièrement les grades 1 et 2. Traitement instrumental en cas d’échec du traitement médical ; avec une place particulière pour la ligature élastique d’emblée en cas de prolapsus unique complet. Le traitement le plus efficace de la maladie hémorroïdaire reste l’hémorroïdectomie pédiculaire.

Voir en ligne : SNFGE - Société Nationale Française de Gastro-entérologie

Sujets associés


Traitements des varices des membres inférieurs

Les techniques développées pour le traitement des varices des membres inférieurs ont pour objectifs, outre de corriger le préjudice esthétique, de prévenir les complications (œdème d’origine veineuse, troubles trophiques, ulcères de jambes), et les récidives et d’améliorer les symptômes veineux liés aux varices. Ce rapport fait le point sur les différentes techniques interventionnelles possibles proposées en substitution aux techniques d’exérèse des veines vatiques par chirurgie conventionnelle qui est le traitement de référence.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Traitements hormonaux et nutritionnels en médecine anti-âge

La découverte des traitements de substitution hormonale pour les patients souffrant de diabète, d’hypothyroïdie ou de maladie d’Addison a représenté l’une des grandes avancées de la médecine. Il est ainsi compréhensible que l’efficacité de la substitution hormonale ait été investiguée pour les personnes vieillissantes, chez qui on assiste à un déclin physiologique des hormones stéroïdiennes sexuelles, de DHEA ou d’hormone de croissance. L’utilisation d’hormones comme thérapie anti-âge est en augmentation, et fait courir des risques potentiels d’effets secondaires mal ou sous-évalués à la population vieillissante.

Voir en ligne : Société Suisse d’Endocrinologie et de Diabétologie

Sujets associés


Traitements médicamenteux du fibrome utérin

Les fibromes utérins (ou myomes ou léiomyomes) sont des tumeurs bénignes de líutérus humain issues de cellules musculaires lisses. La prévalence des fibromes utérins augmente à partir de 30 ans ; elle est díenviron 25% chez les femmes entre 40 et 50 ans et peut atteindre 50% des femmes âgées de plus de 50 ans. Aucun fibrome nía été décrit avant la puberté. Après la ménopause sans traitement hormonal substitutif, les fibromes régressent. Le symptôme le plus fréquemment associé aux fibromes est la ménorragie, sans quíil existe une relation causale systématique. La principale conséquence du trouble des règles est líanémie par carence martiale. Cíest également une source de gène personnelle et sociale pour les patientes. Les fibromes peuvent être associés à des troubles de la fonction reproductrice, mais leur imputation réelle, toujours difficile à établir, ne dépasse probablement pas 2% ou 3% des cas. Si la cavité utérine est déformée par un fibrome, le risque díinfertilité est augmenté.

Voir en ligne : AFSSAPS - Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé

Sujets associés


Traiter la démence modérée à sévère. Comment y voir clair ?

La démence affecte 8 % de la population canadienne âgée de plus de 65 ans. Environ la moitié de ce nombre représente des patients en phase modérée à sévère. Alors que 90 % des personnes souffrant d’une démence et vivant dans la collectivité sont en phase légère à modérée, 55 % des personnes institutionnalisées atteintes d’une démence sont en phase sévère. Le diagnostic de la démence en phase avancée.

Voir en ligne : Céline Chayer, MD, FRCPC - Les entretiens neurologiques annuels, Université de Montréall

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Traiter la goutte sans être débordé

Les différentes phases de la maladie goutteuse (hyperuricémie asymptomatique,goutte aiguë,phases intercritiques et forme chronique) sont fréquemment confondues,ce qui engendre une utilisation non optimale de l’arsenal thérapeutique antigoutteux.

Voir en ligne : Hélène Demers et Michel Lapierre - Fédération des médecins omnipraticiens du Québec

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Traiter la maladie artérielle périphérique, marcher mieux et vivre mieux

Comme la maladie coronarienne, la maladie artérielle périphérique (MAP) se rencontre un peu plus chez les fumeurs et les diabétiques que chez les patients atteints de dyslipidémie et d’hypertension. La maîtrise incomplète des facteurs de risque ne peut donc empêcher l’état du patient d’évoluer jusqu’à devenir symptomatique.

Voir en ligne : Dr André Roussin, hôpital Notre-Dame du Centre hospitalier de l’Université de Montréal | Le Médecin du Québec

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Traiter la maladie de Dupuytren sans opérer (Aponévrotomie percutanée à l’aiguille)

Cette notice d’information a pour but de présenter le traitement de la maladie de Dupuytren sans opération chirurgicale, les avantages et les limites de cette technique appelée aponévrotomie percutanée à l’aiguille. Votre cas peut être différent de ce qui y est décrit : votre médecin vous donnera des explications plus personnelles.

Voir en ligne : Groupe Hospitalier Diaconesses Croix Saint-Simon – Paris

Sujets associés


Traiter la scoliose

Si vous avez la scoliose, cela veut dire que votre colonne vertébrale est courbée ou tordue au lieu d’être droite. Votre médecin vous suggérera le meilleur traitement en fonction de votre âge, de votre croissance encore à venir ainsi que du type et de l’ampleur de la courbure de votre colonne.

Voir en ligne : Hôpital de Montréal pour Enfants - Info-santé

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Traiter l’angine de poitrine en ciblant la fréquence cardiaque : validation par des données récentes

Une fréquence cardiaque élevée se traduit à la fois par une augmentation de la consommation myocardique en oxygène, ainsi que par une diminution des apports en oxygène. Il a été ainsi démontré que la probabilité de développer une ischémie myocardique est doublée chez les patients ayant une fréquence cardiaque de repos supérieure à 80 bpm comparés à ceux dont la fréquence cardiaque est inférieure à 60 bpm

Voir en ligne : Revue Médicale Suisse

Sujets associés


Traiter l’infarctus aigu du myocarde | Être un bon stratège !

Au Canada, l’infarctus aigu du myocarde (IAM) représente à chaque année, toutes causes confondues, 3,8 % des hospitalisations et 8,6 % des décès. C’est pourquoi il faut reconnaître précocement et traiter agressivement cette condition.

Voir en ligne : Van Hoai Viet Lê, MD et Philippe L.-L’Allier | Université de Montréal

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Traumatisme de l’ongle et de l’extrémité des doigts

Les traumatismes de l’ongle sont des lésions provoquées par un choc reçu sur l’extrémité des doigts ou des orteils. La nature de la blessure (hématome, plaie, arrachement…) dépend du type d’accident qui l’a provoquée : doigt coincé dans une porte, coup de marteau, ongle retourné, etc. Les traumatismes de l’ongle sont le plus souvent d’origine accidentelle. Par exemple, ils peuvent faire suite à un doigt coincé dans la charnière d’une porte, ou être provoqués par un outil utilisé dans le cadre du travail ou d’un loisir (coup de marteau, coupure de scie…) Parfois, ils apparaissent à la suite de microtraumatismes : ces blessures de faible intensité sont peu perceptibles et restent inoffensives lorsqu’elles sont occasionnelles. En revanche, elles peuvent provoquer une lésion de l’ongle lorsqu’elles sont répétées. C’est par exemple le cas lorsque l’orteil frotte de manière prolongée au bout de la chaussure.

Voir en ligne : Ameli-santé

Sujets associés


Troisième Baromètre santé nutrition : douze ans d’habitudes alimentaires passées au crible

L’Inpes publie le Baromètre santé nutrition 2008, troisième vague d’une enquête téléphonique initiée en 1996 et menée également en 2002. Le contenu de l’assiette et du verre des Français, la composition de leurs repas, leurs connaissances et perceptions en matière d’alimentation et d’activité physique ont été analysés sur une période de douze ans. Les résultats laissent apparaître des évolutions : la connaissance des repères de consommation du Programme National Nutrition Santé (PNNS) a progressé favorablement, les Français grignotent moins mais mangent davantage de plats tout prêts, leur niveau d’activité physique reste insuffisant, ils déclarent plus qu’avant manger de façon équilibrée…

Voir en ligne : Inpes Institut national de prévention et d’éducation pour la santé

Sujets associés


Troisième enquête nationale sur la sensibilité aux antibiotiques des salmonelles et shigelles

introduction, matériels et méthode, résultats concernant la Salmonella (souches et sérovars, sensibilité aux antibiotiques) et la Shigella, discussion, conclusion

Voir en ligne : INVS Institut de Veille Sanitaire

Sujets associés


Trouble obsessionnel-compulsif

Le trouble obsessif-compulsif (TOC) est un trouble anxieux chronique, potentiellement invalidant. Il est caractérisé par des pensées (obsessions) indésirables et récurrentes et par des comportements répétitifs et dénués de sens, mais extrêmement difficiles à maîtriser (compulsions). Les personnes atteintes ont souvent un sentiment d’impuissance, souffrent psychologiquement et sont anxieuses à cause de leur état.

Voir en ligne : Santé Ontario

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Troubles anxieux graves

Ce guide a pour objectif d’informer le patient admis en ALD, au titre de troubles anxieux graves, sur les principaux éléments du traitement et du suivi. Il fournit également plusieurs sources d’informations complémentaires. Ce guide est remis par le médecin traitant et peut constituer un support de dialogue.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de santé

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Troubles bipolaires : diagnostic

Sont typiques des troubles bipolaires des épisodes d’humeur maniaque et dépressive alternant avec des phases d’humeur (relativement) équilibrée. La séquence de ces phases est très variable, de même que leur fréquence. Pour le diagnostic, il est impératif qu’un épisode d’au moins 4 jours ou d’une semaine se manifeste. Un trouble bipolaire est également diagnostiqué si un patient ne présente que des épisodes maniaques (manie unipolaire). L’évolution de ces dernières années demande un élargissement du concept de la bipolarité vers le spectre bipolaire

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Troubles de la réfraction : délivrance de verres correcteurs par les opticiens dans le cadre d’un renouvellement

Les présentes recommandations concernent la délivrance de verres correcteurs, à l’exclusion de la délivrance de lentilles de contact, dans le cadre du renouvellement avec adaptation, chez des personnes de 16 ans ou plus, atteintes d’un trouble de la réfraction.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Troubles de la réfraction : délivrance de verres correcteurs par les opticiens dans le cadre d’un renouvellement

Il est recommandé que l’opticien oriente la personne vers l’ophtalmologiste dans les situations suivantes :
• si acuité visuelle non connue de l’opticien : toute meilleure acuité visuelle corrigée < 10/10 de loin et/ou plus faible que Parinaud 2 de près
• si acuité visuelle connue de l’opticien : toute baisse de la meilleure acuité visuelle corrigée par rapport à la précédente mesure
• modification de la réfraction ≥ 1 dioptrie sur 1 an (cylindre et/ou sphère)
• changement d’axe ≥ 20° chez une personne présentant un astigmatisme ≥ 0,75 dioptrie • toute création ou modification de la correction prismatique

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Troubles de la sudation : hyperhidrose et hypohidrose

L’hyperhidrose correspond à une sécrétion sudorale excessive . Elle a un impact non négligeable sur la qualité de vie car elle interfère avec les activités quotidiennes et engendre des répercussions psychologiques et sociales. L’hyperhidrose peut être primitive ou secondaire à une pathologie interne ou à de désordres neurologiques.

Voir en ligne : Thérapeutique Dermatologique

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Troubles de la voix - Dysphonie

  • Rhume et Laryngite
  • Des nodules sur les cordes vocales
  • Laryngite pseudo-myxomateuse
  • Des polypes sur les cordes vocales
  • Des vaisseaux sanguins sur mes cordes vocales
  • Une verrue sur les cordes vocales ?
  • Une dysplasie du larynx ?
  • Larynx et tabac

Voir en ligne : Conseils ORL

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Troubles des conduites alimentaires

Les conduites alimentaires sont déterminées par trois ordres de facteurs :

  • neuro-physiologiques (la régulation de la faim et de la satiété se fait au niveau de l’hypothalamus surtout, mais en connexion avec l’ensemble du cerveau ;
  • socio-culturelles (il y a un apprentissage des conduites alimentaires, culturel et familial),
  • enfin, des facteurs reliés au développement de la personnalité, où le sens conscient et inconscient de l’alimentation va jouer un grand rôle (le lien aliment-mère reste prédominant dans les significations conscientes et inconscientes en relation avec la phase orale du développement qui marque la première année de l’enfant).

Voir en ligne : Ph. Dardenne - Institut Mère-Enfant, Hopital sud, Rennes

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Troubles des règles de l’adolescente

L’apparition des premières règles chez l’adolescente, qui se situe à 12-6 mois en France, ne traduit pas pour autant, la fin de la maturation hypothalamo-hypophyso-ovarienne. Dans la majorité des cas, il faut attendre 12 à 18 mois, pour que les cycles soient réguliers et que s’établisse l’ovulation. C’est dire que les troubles de l’installation des règles qui surviennent dans l’année / les années qui suivent la ménarche sont d’origine fonctionnelle : leur persistance au-delà de l’âge de 14-15 ans impose une prise en charge active. Il peut s’agir de cycles longs (spanioménorrhées), d’hémorragies utérines fonctionnelles (métrorragies), d’absence prolongée de règle (aménorrhée) ou de règles douloureuses (dysménorrhées).

Voir en ligne : Charles Sultan, Claire Jeandel et Françoise Paris | CHU de Montpellier

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Troubles du rythme - Généralités

Qu’ils surviennent sur un cœur sain ou pathologique, qu’ils soient bénins ou potentiellement dangereux (risque de mort subite), les troubles du rythme constituent un chapitre important de la cardiologie. Ils posent d’importants problèmes d’ordre diagnostique, pronostique, et thérapeutique. C’est un domaine qui a particulièrement évolué ces dernières années, non seulement grâce à une meilleure connaissance du mécanisme physiopathologique, mais surtout par le développement de nouveaux moyens diagnostiques et thérapeutiques.

Voir en ligne : Pr. Philippe Mabo | Département de cardiologie et maladies vasculaires CHU de Rennes,

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Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Après 65 ans, le sommeil évolue : nuits plus courtes, réveils plus fréquents, sommeil fractionné sur la journée, ... Ces modifications d’ordre physiologique chez les personnes âgées sont source de plaintes du sommeil en consultation et débouchent trop souvent sur une prescription de somnifères. Près d’un tiers des personnes de plus de 65 ans consomme des somnifères de manière chronique, et dans plus d’un cas sur deux, ces traitements ne seraient pas indiqués.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Troubles du sommeil chez l’enfant 1

Au cours de son développement, un enfant sur trois présente un trouble du sommeil. Il s’agit la plupart du temps de manifestations comportementales causées par des évaluations inappropriées des besoins des enfants. Plus rarement, ces problèmes sont dus à des causes organiques comme des troubles respiratoires nocturnes, les reflux gastro-œsophagiens ou des troubles convulsifs.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Troubles du sommeil d’origine somatique chez l’enfant

Les origines somatiques les plus fréquentes dans cette tranche d’âge sont : une hygiène du sommeil insuffisante, des troubles du rythme circa- dien, le syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS), le syndrome des jambes sans repos (SJSR), des troubles psychiatriques, des épilepsies liées au sommeil, ainsi que la narcolepsie.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Troubles fonctionnels intestinaux

  • Syndrome de l’intestin irritable.
  • Troubles de l’ensemble de la sphère digestive + ou - extra-digestive (motricité, sensibilité, ± sécrétion).
  • Traduction clinique polymorphe : => Douleurs. => Ballonnements. => Troubles du transit.
  • Signes cliniques présents en alternance ou associés.
  • Cette définition exclut toute pathologie organique.

Voir en ligne : Pr Gosselin (Faculté de médecine de Rennes)

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Troubles fonctionnels intestinaux - diagnostic et prise en charge

Les troubles fonctionnels intestinaux (TFI), mieux connus sous le terme de « colopathie fonctionnelle » ou « syndrome du côlon irritable », sont attribués à un trouble de la sensibilité et de la motricité du côlon et touchent 15 à 20% de la population en France. Ils représentent la plus fréquente des affections intestinales et constitue donc un motif fréquent de consultation, non seulement auprès du gastro-entérologue, mais surtout auprès du médecin généraliste qui va jouer un rôle important dans la prise en charge de cette affection, tant sur le plan diagnostique et thérapeutique que sur le plan du suivi psychologique des patients qui en souffrent.

Voir en ligne : Dr Astrid Lièvre

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Troubles obsessionnels compulsifs

La vie est un " enfer " pour 2 à 3 % des Français atteints de troubles obsessionnels compulsifs (Toc), maladie loin d’être rare mais dont on parle peu. Les étranges pensées et les irrésistibles manies qui la caractérisent envahissent chaque jour des centaines d’enfants, dont seulement 1 % sont réellement pris en charge. Pourtant, il suffit de quelques mois de psychothérapie et de recours éventuel à des médicaments du type antidépresseurs, pour aller vers une amélioration et reprendre une vie normale.

Voir en ligne : Diane Mottez, AP-HP

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Troubles obsessionnels compulsifs (TOC) résistants : prise en charge et place de la neurochirurgie fonctionnelle

Les données de prévalence de sources américaines et anglaises récentes montrent que le trouble obsessionnel compulsif (TOC) toucherait environ 2 % de la population adulte. Le TOC serait ainsi la 4e pathologie psychiatrique la plus fréquente après les troubles phobiques, les troubles liés aux toxiques (alcool et drogue) et les troubles dépressifs. Le début du trouble est précoce, son évolution est chronique dans la plupart des cas. Les études montrent l’hétérogénéité clinique de la maladie et l’importance de la typologie a été soulignée pour la prise en charge des patients. Les études familiales et de ségrégation ont montré l’influence de facteurs génétiques et/ou environnementaux dans la genèse de la maladie. L’hypothèse de l’implication d’un dysfonctionnement du circuit orbito-fronto-striato-thalamocortical dans le TOC est confortée par les données cliniques et la neuro-imagerie fonctionnelle.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Tuberculose

Pour la plupart des Canadiens, le risque de développer la tuberculose est minime. Toutefois, on rapporte annuellement quelque 1 600 nouveaux cas de tuberculose au Canada. Il importe donc de connaître les symptômes de la maladie et de savoir comment réduire les risques.

Voir en ligne : Agence de santé publique du Canada.

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Tuberculose : examen et recommandations

En 2008, on estimait qu’il y avait environ 9,4 millions de cas de tuberculose dans le monde, dont 1,4 million de cas liés au VIH. Cette maladie a fait 1,8 million de morts, dont 0,52 million chez des patients positifs pour le VIH. La même année, on estimait qu’il y avait 0,5 million de cas de tuberculose multirésistante.(tuberculose MR), c’est-à-dire d’une forme de la maladie causée par des souches résistantes à au moins 2 des principaux médi- caments de première intention, l’isoniazide et la rifampicine, et que cette tuberculose MR a fait ≥0,15 million de morts.

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé

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Tumeurs de l’ovaire présumées bénignes

Indication du niveau de preuve, "Ces recommandations du Collège national des gynécologues et obstétriciens français sur le diagnostic et le traitement des tumeurs ovariennes présumées bénignes (TOPB) s’adressent aux praticiens qu’ils soient gynécologues, obstétriciens, chirurgiens, radio - logues, pédiatres, ou omnipraticiens.

Voir en ligne : CNGOF Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français

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Ulcère de jambe

L’ulcère de jambe est une perte de substance cutanée chronique sans tendance à la cicatrisation spontanée. Elle concerne 1 à 2% de la population âgée de plus de 60 ans et entraîne un coût majeur en terme de santé publique. La majeur partie des ulcères de jambe est d’origine vasculaire, compliquant une pathologie veineuse (le plus souvent), artérielle ou microcirculatoire.

Voir en ligne : Collège de Médecine Vasculaire et de Chirurgie Vasculaire

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Ulcères peptiques - Mise à jour 2011

Dans les pays industrialisés d’Europe de l’Ouest et d’Amérique du Nord, la prévalence des d’infections à H. pylori est en déclin. Les ulcères induits par l’acide acétylsalicylique (AAS) ou les anti- inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont un problème survenant chez les sujets âgés multimorbides. Une endoscopie est uniquement indiquée en première intention pour expliquer des symptômes épigastriques chez les patients de plus de 55 ans ou en présence de signes d’alarme

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Un acouphène c’est quoi ?

Ce terme désigne des bruits qui sont entendus “ dans l’oreille ” ou “ dans la tête ” sans que ces sons existent dans l’environnement. Ce phénomène est très commun puisqu’il affecte environ 15% de la population générale à un moment ou l’autre de la vie. Dans 95% des cas, les acouphènes ne sont pas graves. Ils signalent l’existence d’une anomalie éventuellement très légère, à un niveau quelconque du système auditif, oreilles, voies auditives ou centres. Ils peuvent survenir brutalement ou progressivement, de manière isolée ou en relation avec une pathologie, le plus souvent liée au système auditif. Très souvent ces bruits apparaissent suite à un traumatisme acoustique ou à une baisse de l’audition. Celle liée au vieillissement de l’oreille ou presbyacousie explique la grande fréquence d’apparition de l’acouphène aux environs de la cinquantaine.

Voir en ligne : France Acouphènes

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Un bon départ - Un guide santé à l’intention des voyageurs canadiens

Le gouvernement du Canada a créé la présente brochure pour vous aider à protéger votre santé lorsque vous voyagez ou vivez à l’étranger. Elle comprend de l’information essentielle sur les risques pour la santé des voyageurs, sur les mesures préventives à prendre avant, pendant et après votre voyage, sur la façon de gérer une urgence de santé à l’étranger et sur l’accès aux services consulaires en cas d’urgence médicale.

Voir en ligne : Agence de la santé publique du Canada

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Un cadre de jeu psychothérapeutique

La Table-de-Sable est un “outil”, un dispositif de jeu psychothérapeutique. Cette pratique de soin s’inscrit dans un esprit et une orientation psychanalytique. Née en 1995 dans une institution de soin pour enfant en région Centre, notre pratique spécifique autour de la Table-de-Sable représente un cadre de travail dont l’élaboration ne cesse de se poursuivre... Ce site en est le témoignage et l’espace de partage.

Voir en ligne : Table-de-Sable

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Un malade bien informé est-il un meilleur malade ? La place de l’Internet dans la relation médecin-patient

L’accès à l’information médicale pour n’importe qui, n’importe quand, va-t-il modifier la relation médicale que le médecin entretient avec son patient ? Un danger inhérent à cette information libre, souvent de qualité, peu onéreuse, est que le consommateur de la santé se tourne dans l’avenir vers l’Internet plutôt que vers son médecin pour trouver une réponse aux questions qui l’angoissent, et n’y trouve en définitive qu’une information de masse inadaptée à sa situation propre, quand elle n’est pas simplement inexacte, trompeuse et dangereuse.

Voir en ligne : C. VANWELDE - Centre Universitaire de médecine générale (Pr D.Pestiaux), Université Catholique de Louvain.

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Un marqueur du risque de décès en cas d’insuffisance cardiaque

Une équipe Inserm a mis en évidence un marqueur sanguin prédictif du risque de mortalité dans les trois ans en cas d’insuffisance cardiaque : un outil pronostic qui pourrait s’avérer utile pour la sélection des patients devant bénéficier en priorité d’une greffe cardiaque.

Voir en ligne : INSERM

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Un médicament anti-cholestérol efficace contre le cancer de la prostate

Des chercheurs canadiens ont découvert qu’un médicament communément prescrit aux patients atteints d’un taux élevé de cholestérol pouvait aussi être efficace pour traiter le cancer de la prostate, selon une étude publiée ce mois-ci. La rosuvastatine, vendue au Canada sous le nom de Crestor, semble empêcher la croissance d’une tumeur de la prostate chez les souris, selon l’étude parue dans European Urology, la revue de l’association européenne d’urologie.

Voir en ligne : AFP


Un Monde sans fil : les ondes en questions ?

Les services sans fil se multiplient dans notre quotidien : téléphone portable, Wi-Fi, souris et clavier sans fil, et bientôt télévision mobile… Mais quelles sont les ondes qui permettent à ces systèmes de fonctionner ? et que sait-on de l’influence des ondes radiofréquences sur notre santé ? La Fondation Santé et Radiofréquences vous permet de faire le point sur ces questions.

Voir en ligne : Un monde sans fil : les ondes en question ?

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Un nouveau dispositif de sécurité sanitaire : la nutrivigilance

L’Anses procède ce jour au lancement du dispositif de nutrivigilance sur les nouveaux aliments, les aliments enrichis, les compléments alimentaires et les denrées destinées à une alimentation particulière. Ce système permet d’identifier d’éventuels effets indésirables liés à leur consommation et de lancer des expertises ciblées. Le bilan de la phase pilote lancée en 2009 sur les compléments alimentaires montre la pertinence du dispositif, au service d’une meilleure protection des consommateurs.

Voir en ligne : Anses Agence nationale de sécurité sanitaire Alimentation Environnement Travail

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Un nouveau dispositif pour permettre et sécuriser l’accès aux traitements dans d’autres indications que celles de leur AMM : les recommandations temporaires d’utilisation (RTU) - Point d’information

Les nouvelles dispositions qui se mettent en place en France pour encadrer les prescriptions de médicaments en dehors du cadre de leur autorisation de mise sur le marché (AMM) sont relayées dans un article du New England Journal of Medicine qui parait aujourd’hui. Le dispositif novateur des Recommandations temporaires d’utilisation (RTU), qui vise à sécuriser des prescriptions hors AMM en objectivant leur intérêt thérapeutique, apparaît comme un modèle susceptible d’être reproduit dans d’autres pays. L’ANSM, qui a la responsabilité de ce dispositif, a rendu publics le 27 septembre 2012 les principes généraux et les éléments d’information concernant les modalités d’élaboration et de mise en œuvre des RTU

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

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Un nouveau facteur de susceptibilité génétique de la maladie d’Alzheimer découvert grâce à l’étude d’une maladie rare

Une étude internationale de grande ampleur, impliquant des chercheurs français de l’Unité mixte de recherche Inserm-Institut Pasteur Lille-Université Lille Nord de France « Santé publique et épidémiologie moléculaire des maladies liées au vieillissement », dirigée par Philippe Amouyel, vient de mettre au jour un gène de susceptibilité d’une maladie rare à l’origine de la susceptibilité à une maladie fréquente, la maladie d’Alzheimer, témoignant ainsi de l’hétérogénéité de l’étiologie de la maladie d’Alzheimer. Cette approche de séquençage systématique des exons est détaillée dans un article paru dans la revue The New England Journal of Medicine datée du 14 novembre 2012.

Voir en ligne : INSERM

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Un nouveau rapport catégorique : La victoire sur la cigarette passe par une hausse des taxes

L’augmentation des taxes constitue un moyen de choix pour faire reculer la consommation de cigarettes, notamment chez les pauvres, les jeunes et les moins instruits. On s’est en effet aperçu qu’une mesure fiscale de ce genre permet très efficacement de réduire la consommation de tabac, surtout dans les pays en développement. Ce même rapport montre qu’une augmentation des taxes sur les cigarettes ne conduit pas à une réduction nette du nombre d’emplois. En outre, il remet en cause l’idée communément admise selon laquelle les avantages de cette formule seraient annulés par l’augmentation de la contrebande des produits du tabac : en réalité, s’il y a contrebande, c’est que la législation n’est pas appliquée comme elle le devrait.

Voir en ligne : Organisation mondiale de la santé (OMS) et la Banque mondiale

Sujets associés


Un nouveau vaccin conjugué contre le méningocoque : Que devraient faire et savoir les médecins ?

Un vaccin conjugué quadrivalent contre le méningocoque de sérogroupes A, C, Y et W135 (MCV4 [Menactra, sanofi pasteur, Canada]) a été lancé au Canada en 2007 pour les personnes de deux ans ou plus. Le MCV4 ajoute trois sérogroupes aux vaccins conjugués contre le méningocoque de sérogroupe C, utilisé depuis plusieurs années. Les taux de méningococcies invasives du sérogroupe C ont fléchi depuis dix ans grâce au vaccin conjugué contre le méningocoque de sérogroupe C.

Voir en ligne : R Bortolussi, M Salvadori ; Société canadienne de pédiatrie, comité des maladies infectieuses et d’immunisation

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Un objectif pour 2015 : 70 % des hypertendus traités et contrôlés

Le Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle (CFLHTA), la Société Française d’Hypertension Artérielle (SFHTA) et la Société Française Neuro-Vasculaire (SFNV) avec le soutien de la Direction Générale de la Santé (DGS) souhaitent que 70 % des hypertendus traités en France atteignent l’objectif du contrôle de leur pression artérielle d’ici l’année 2015.

Voir en ligne : CFLHTA - SFHTA - SFNV

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Un prototype de médicament basé sur des cannabinoïdes pour prévenir l’ostéoporose

Pour les chercheurs de l’Université Hébraïque de Jérusalem, certaines substances produites dans notre corps qui agissent de la même manière que celles trouvées dans le cannabis aident à la conservation de la densité osseuse. C’est sur cette base que l’équipe a développé un prototype de médicament qui lutte contre l’ostéoporose sans effets secondaires.

Voir en ligne : Université Hébraïque de Jérusalem

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Un refus de greffe de foie crée la polémique au Royaume-Uni

Un jeune Britannique de 22 ans, atteint par une cirrhose après avoir abusé de l’alcool pendant la moitié de sa vie, est décédé après que les autorités médicales lui ont refusé une greffe de foie. Une décision qui fait grand bruit au Royaume-Uni. Fallait-il refuser de greffer un nouveau foie à un jeune homme alcoolique de 22 ans souffrant de cirrhose, parce que les autorités médicales n’avaient pas l’assurance qu’il ne boirait jamais plus ? La polémique est lancée, au Royaume-Uni, après le décès de Gary Reinbach, ce lundi.

Voir en ligne : Par Marie Simon - L’Express

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Un système de surveillance écologique de la santé des enfants pour l’obésité infantile : étude de faisabilité

Les taux de prévalence de l’embonpoint et de l’obésité chez les enfants et les jeunes font de ce problème de santé publique une urgence1-4. Compte tenu de l’étiologie complexe de l’embonpoint et de l’obésité, du faible taux de réussite du traitement de l’obésité chez l’enfant et de l’absence d’un système de surveillance global de la santé infantile au Canada, une stratégie de surveillance écologique de la santé des enfants est nécessaire pour éclairer les recherches, les politiques et les pratiques liées à ce problème de santé publique

Voir en ligne : ASPC - Agence de santé publique du Canada

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Un traitement innovant et efficace pour l’Accident vasculaire cérébral

Une étude (RECANALISE) conduite à l’hôpital Bichat (AP-HP) par le Professeur Amarenco, dans le service de Neurologie et Centre d’accueil et de traitement de l’attaque cérébrale en collaboration avec le service de Radiologie, suggère que l’approche neuro-interventionnelle, au sein d’une unité de soins intensifs (USI) neuro-vasculaires, est réalisable, qu’elle est efficace, et qu’elle pourrait être l’avenir du traitement de l’attaque cérébrale. Le Professeur Pierre Amarenco (AP-HP) répond à nos questions.

Voir en ligne : Hôpitaux de Paris (AP-HP)

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Une contraception d’urgence : la pilule du lendemain

La contraception d’urgence, dite "pilule du lendemain" réduit le risque de grossesse non désirée après un rapport sexuel non protégé ou mal protégé. Elle doit être prise le plus tôt possible, dans les trois jours qui suivent le rapport non protégé. Disponible en pharmacie sans prescription médicale, la délivrance de la pilule du lendemain est gratuite et anonyme pour les jeunes filles mineures.

Voir en ligne : AMELI Assurance Maladie En Ligne

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Une démangeaison incurable : Les poux

La pédiculose (infestation par des poux de tête, Pediculus humanus capitis) est l’infection parasitaire la plus courante chez les enfants1. Sa plus forte prévalence se trouve chez les enfants de 3 à 11 ans, plus souvent les filles, sans qu’il n’y ait de variation pertinente selon la saison, ni de lien avec le degré d’hygiène2.

Voir en ligne : College of Family Physicians of Canada

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  • (Spécialités)
  • (Maladies, symptômes et pathologies)

Une estimation des risques d’accidents cardio-vasculaires,

Présentation : Ce dossier permet de montrer par 2 sortes de petits programmes comment on peut estimer ses risques d’accidents cardio-vasculaires, en tenant compte de différents paramètres plus ou moins contrôlables (âge, sexe, régime, tabac...) Mots-clés : Age - sexe - tabac - poids (idéal) - Indice de Masse Corporel - régime alimentaire - tabac - cholestérol - hérédité - activité physique - cycle cardiaque. Public visé : Enseignants, élèves de lycée et de collège. Objectif principal : Montrer qu’un accident cardio-vasculaire n’est pas qu’une fatalité et que des personnes ont sans doute des risques plus importants que d’autres tout en donnant des pistes pour diminuer ces risques.

Voir en ligne : Auteur : F. LABAUNE

Sujets associés


Une étude de l’OMS révèle que le gaz d’échappement des moteurs diesel est cancérigène

Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) a annoncé mardi que le gaz d’échappement des moteurs diesel est cancérigène, dix ans après sa classification comme « probablement cancérigène ».Le CIRC, qui dépend de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), avait réuni des experts internationaux qui se sont appuyés sur des preuves scientifiques pour mettre en évidence le lien entre l’exposition aux gaz d’échappement des moteurs diesel et le risque de développer un cancer des poumons.

Voir en ligne : OMS

Sujets associés


Une étude révèle les risques associés à une attaque à la bactérie du charbon

Si une attaque à la bactérie du charbon survenait dans une ville de 10 millions d’habitants, plus de 123 000 personnes en mourraient, et ce, même si elles recevaient des antibiotiques appropriés dans les 48 heures suivant cette attaque. C’est ce que prétendent des chercheurs américains, qui invitent les autorités de leur pays à mieux se préparer en distribuant des antibiotiques de façon préventive.

Voir en ligne : Association médicale canadienne

Sujets associés


Une étude sur les systèmes d’aide à la décision médicale

La Haute Autorité de Santé rend publique une étude présentant un état des lieux des systèmes d’aide à la décision médicale (SADM) disponibles, en France et à l’étranger. Cette étude formule, en conclusion, des préconisations afin que leur développement contribue à la qualité des soins.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé


Une étude sur les systèmes d’aide à la décision médicale

La Haute Autorité de Santé rend publique une étude présentant un état des lieux des systèmes d’aide à la décision médicale (SADM) disponibles, en France et à l’étranger. Cette étude formule, en conclusion, des préconisations afin que leur développement contribue à la qualité des soins.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Une gastro-entérite à 82 ans

Les principes de prise en charge d’une gastro-entérite chez le sujet âgé ne diffèrent pas de ceux mis en ?uvre chez l’adulte plus jeune. Le risque de déshydratation doit toutefois être soigneusement évalué et prévenu par les mesures de réhydratation.

Voir en ligne : Dr Pascale Naudin-Rousselle (rédactrice, [email protected]) avec le Pr Pierre JOUANNY (Pôle de Gérontologie, CHU d’Amiens)


Une grossesse en bonne santé

Vous êtes enceinte ? Votre grossesse peut être suivie médicalement, par un médecin ou par une sage-femme, en libéral, à l’hôpital ou dans un centre de Protection Maternelle et Infantile (PMI). La sage-femme peut assurer en toute autonomie la surveillance de votre grossesse, si celle-ci ne présente pas de risques particuliers.

Voir en ligne : Ameli-santé

Sujets associés


Une nouvelle pilule du lendemain arrive cette semaine en France

Une nouvelle pilule "du lendemain", EllaOne, surnommée "pilule du surlendemain" car utilisable jusqu’à cinq jours après un rapport à risque de grossesse non désirée, arrive à partir de jeudi dans les pharmacies françaises. EllaOne, fabriquée avec une nouvelle molécule -l’ulipristal- "ne sera accessible que sur ordonnance et sera vendue au prix indicatif de 30 euros", a précisé à l’AFP le Dr Erin Gainer, PDG du laboratoire pharmaceutique HRA Pharma, basé en France.

Voir en ligne : Brigitte CASTELNAU (AFP)

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Une pompe cérébrale

Les attaques et les lésions cérébrales représentent un formidable défi pour la médecine moderne. Même lorsque le dommage initial n’est pas massif, il peut provoquer un processus de destruction en cascade qui entraîne des dégâts irréversibles au niveau des tissus cérébraux. Ceci est causé par le fait qu’au niveau des lésions cérébrales, concernant les attaques et certaines maladies neuro-dégénératives, les cellules endommagées du cerveau libèrent de grandes quantités d’un messager chimique qu’est le glutamate. En temps normal, cette substance joue un rôle dans la transmission des signaux entre les cellules nerveuses du cerveau. Cependant, un excès de glutamate va endommager les cellules nerveuses.

Voir en ligne : BE Israël 69

Sujets associés


Unité de Diagnostic Anténatal

Les progrès de la médecine amènent fréquemment à répondre à des doutes, des inquiétudes... L’équipe de l’hôpital A. Béclère a été parmi les premières à travailler en commun afin de mêler nos savoirs et nos sensibilités pour mieux accompagner les couples en questionnement. Ce site permet de vous connecter et de trouver le lien direct avec l’un d’entre nous pour répondre à votre demande quelle qu’elle soit. Il n’y a pas de bonnes et de mauvaises questions, il n’y a que l’échange qui permet d’y voir plus clair.

Voir en ligne : Gynécologie - Hôpital Antoine Béclère, Clamart

Sujets associés


Uréthrites et autres MST aux urgences

Infection génitale basse :
chez l’homme : urétrite avec écoulement urétral, dysurie, brûlures mictionnelles
chez la femme :cervicite avec leucorrhées, dysurie, dyspareunie

Voir en ligne : SAU Cochin-StVP Dr Aurélie Dabreteau, Dr Jean-Christophe Allo

Sujets associés


Urétrite et cervicite aiguës non compliquées

• Homme : écoulement urétral en dehors des mictions, dysurie, brûlures mictionnelles, prurit canalaire. • Femme : leucorrhées, dysurie, dyspareunie • apyrexie : si fièvre savoir évoquer une forme compliquée • Les localisations pharyngée ou anorectale habituellement asymptomatiques doivent toujours être recherchées

Voir en ligne : OMéDIT Centre Observatoire des Médicaments, des Dispositifs médicaux et des innovations Thérapeutiques de la région Centre

Sujets associés


Urétrite et cervicite aiguës purulentes avec écoulement purulent (Nesseiria gonorrhoeae, Chlamydia trachomatis)

• écoulement urétral purulent ou muco-purulent ou séreux (chez les hommes) ou cervicite • des signes fonctionnels associés : prurit canalaire, brûlures mictionnelles, dysurie, pollakiurie • apyrexie : si fièvre savoir évoquer une forme compliquée

Voir en ligne : OMéDIT Centre Observatoire des Médicaments, des Dispositifs médicaux et des innovations Thérapeutiques de la région Centre

Sujets associés


Urgences en allergologie

Les allergies en général, et les formes graves en particulier, sont actuellement de plus en plus fréquentes dans nos pays développés. Si les causes de cette augmentation de fréquence ne sont pas encore bien claires, et ne constituent d’ailleurs pas le sujet de cet exposé, il importe de bien connaître les formes graves, car elles peuvent mettre la vie en danger.

Voir en ligne : par le Dr Xavier Van der Brempt - Pneumo-allergologue, 5500 Dinant,

Sujets associés


Urgences en médecine générale (compte-rendu de réunion SFTG, Mars 2004)

  • Asthme
  • embolie pulmonaire
  • accident allergique aigu
  • syndrome coronarien aigu
  • infarctus du myocarde
  • urgence hypertensive
  • agitation

Voir en ligne : Dr. N. Gauffier , membre de SFTG Paris-Nord - Expert : Dr. C. Choquet, médecin urgentiste

Sujets associés


Urgences neuro méningées

L’urgence neuro-méningée requiert un traitement urgent et ne doit pas être méconnue. Elle concerne la méningo-encéphalite herpétique, la méningite purulente (20% de décès à la phase aigue) et l’hémorragie méningée. Doute sur PL = PL

Voir en ligne : Dr Romain Dufau- urgences-serveur.fr

Sujets associés


Urticaire

On parle d’urticaire lorsqu’il apparaît sur la peau des boursouflures, ressemblant à des piqûres de moustique, qui changent de place, se déforment et causent des démangeaisons. Dans certains cas, les lésions se joignent les unes aux autres pour former des plaques assez grandes. Les lésions disparaissent généralement en quelques heures.

Voir en ligne : Portail Québec

Sujets associés


Usagers, votre santé, vos droits

Ce guide, composé de 26 fiches pratiques réparties entre six thématiques, aborde les grands domaines de la prise en charge sanitaire : l’accès aux soins, le patient acteur de sa santé, l’information sur la qualité des soins, l’information sur la fin de vie, la valorisation des droits et des annexes détaillées.

Voir en ligne : Espace droits des usagers - Ministère des Affaires sociales et de la Santé

Sujets associés


Utilisateur de pression positive continue

L’association a pour objet :

  • d’aider et d’accompagner les personnes atteintes du Syndrome d’Apnées Obstructives durant le Sommeil (S.A.O.S) déjà appareillées.
  • de faire connaître notre affection auprès du grand public, de contribuer au dépistage des personnes susceptibles d’être atteintes du SAOS et de favoriser leur prise en charge médicale.

Voir en ligne : UPPC SAOS

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Utilisation de la Médecine Nucléaire dans l’Evaluation des Cardiopathies Ischémiques

Malgré les progrès des méthodes de prévention, les maladies cardiovasculaires restent l’une des principales causes, sinon la première cause de mortalité dans les pays industrialisés. Le diagnostic de la maladie coronaire, son évaluation pronostique chez le coronarien avéré, et le choix de la thérapeutique appropriée est un objectif fondamental du Cardiologue. La Médecine Nucléaire peut et doit avoir une place importante dans cette évaluation. Très souvent cependant cette place est sous-évaluée ; assez souvent aussi, son utilisation est inappropriée, entraînant alors des déceptions quant aux renseignements apportés.

Voir en ligne : J. Machecourt - G. Vanzetto - D. Fagret - M. Comet | CHU de Grenoble

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Utilisation des antidépresseurs chez l’enfant et l’adolescent

L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) diffuse une Mise au point sur le bon usage des antidépresseurs au cours de la dépression chez l’enfant et l’adolescent destinée aux professionnels de santé. Ce document rappelle que le traitement de première intention des troubles dépressifs est psychothérapique. La mise en place d’un traitement médicamenteux est possible dans certaines situations particulières, mais elle doit être accompagnée d’une surveillance étroite du patient et de la recherche de tout signe d’apparition d’un comportement suicidaire.

Voir en ligne : AFSSAPS : Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé

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Utilisation des antiviraux en extra-hospitalier en période de grippe saisonnière

Les antiviraux (inhibiteurs de la neuraminidase) ont une efficacité démontrée en traitement curatif sur la réduction du risque d’hospitalisation dans les cas de grippes saisonnières touchant des personnes à risque de complications. Toutefois, il existe un risque d’acquisition de résistance et des données récentes incitent à une utilisation raisonnée de ces antiviraux.En période de circulation des virus de la grippe saisonnière, le HCSP recommande donc une utilisation ciblée des antiviraux en population générale et dans les collectivités de personnes à risque aussi bien en traitement curatif qu’en traitement post-exposition.

Voir en ligne : HCSP Haut Conseil de la santé publique

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Utilisation des ceintures lombaires pour prévenir la lombalgie professionnelle

Le Groupe d’étude canadien sur les soins de santé préventifs conclut que les données probantes actuelles sont contradictoires et qu’il ne peut pas formuler de recommandations pour ou contre l’utilisation des ceintures lombaires pour prévenir la lombalgie professionnelle ou pour réduire le temps de travail perdu à cause de la lombalgie professionnelle

Voir en ligne : Groupe d’étude canadien sur les soins de santé préventifs

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Utilité clinique du dosage de la vitamine D - Note de cadrage

La saisine de la CNAMTS est motivée par une augmentation très importante du nombre d’actes de dosage de la vitamine D (ou 25 OH hydroxycalciférol) réalisés en France. Entre 2007 et 2009, ce dosage, a priori fréquemment intégré sans justification au bilan phosphocalcique, a augmenté de 250 % et a été multiplié par 10 depuis 2005, le montant remboursable de cet acte s’élevant à 52 M€. Dans un objectif de maîtrise des dépenses de biologie médicale, la CNAMTS souhaite redéfinir les conditions de prise en charge financière du dosage des dérivés monohydroxylés et dihydroxylés de la vitamine D.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

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Utilité clinique du dosage de la vitamine D - Rapport d’évaluation (octobre 2013)

L’objectif de cette évaluation est de préciser les situations cliniques pour lesquelles la mesure de la concentration sérique en 25(OH)D est utile. Pour ce faire, il a été proposé lors du cadrage de cette évaluation de répondre successivement aux trois questions suivantes :

  • Question 1 : Existe-t-il une association entre une hypovitaminose D et la survenue de pathologies identifiées ...

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé | Recommandations en santé publique

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Vaccin antipneumococcique polyosidique 23-valent

Streptococcus pneumoniae (S. pneumoniae) est une cause importante de morbidité et de mortalité chez l’enfant et l’adulte dans le monde entier. Malgré cela, les informations disponibles sur la charge de morbidité associée aux différentes formes de pneumococcies sont limitées, notamment pour les jeunes et les adultes des pays à revenu faible ou moyen, et les estimations existantes sont très variables. Cette variabilité refl ète probablement certaines évolutions de l’épidémiologie des infections à pneumocoques, des différences dans la conception des études, des variations saisonnières et les diffi cultés pour établir un diagnostic étiologique rencontrées dans la plupart des cas de pneumonie.

Voir en ligne : Note de synthèse de l’OMS

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Vaccin antipneumococcique polyosidique 23-valent Note de synthèse de l’OMS

(...) La relation entre grippe saisonnière et pneumonie acquise en collectivité (PAC) est peu claire,4, 5 mais la PAC a été signalée comme une complication fréquente de la grippe pandémique. Au cours de la pandémie de 1918-1919, on estime qu’une pneumonie bactérienne secondaire est apparue chez 7 à 20% des victimes de la grippe, avec un taux de létalité de 20 à 36%. On pense que les taux d’atteinte par une pneumonie secondaire ont été plus faibles ( 5%) lors des pandémies moins graves du vingtième siècle. (...)

Voir en ligne : OMS Organisation Mondiale de la Santé

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Vaccin grippe A (H1N1) et grossesse

Les vaccins contre la grippe A (H1N1) sont constitués de virions inactivés (fragmentés ou entiers). Certains d’entre eux contiennent un adjuvant. Ces vaccins sont dépourvus de pouvoir infectant. Il n’y a donc pas lieu de craindre une infection embryo-fœtale par le virus de la grippe A (H1N1) lors d’une vaccination en cours de grossesse. Le Haut Conseil de la Santé Publique recommande la vaccination des femmes enceintes à partir du 2ème trimestre de grossesse et si possible avec un vaccin sans adjuvant. Pour voir les recommandations du HCSP,

Voir en ligne : CRAT - Centre de Référence sur les Agents Tératogènes

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Vaccin grippe saisonnière et grossesse

Le vaccin grippal est constitué d’antigènes de surface ou de fragments de virions. Il est dépourvu de pouvoir infectant. Il n’y a donc pas lieu de craindre une infection embryo-fœtale par le virus de la grippe lors d’une vaccination en cours de grossesse.

Voir en ligne : CRAT - Centre de Référence sur les Agents Tératogènes

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Vaccin Pandemrix contre la grippe H1N1 : aucun effet indésirable grave notifié

50.000 doses environs de vaccin Pandemrix contre la grippe H1N1 pandémique ont été administrées entre le 21 octobre et le 5 novembre aux personnels de santé des établissements hospitaliers, sans qu’il y ait eu d’effets indésirables graves notifiés à ce jour, selon l’agence du médicament (Afssaps). Durant cette même période, l’agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) indique dans son premier bilan de suivi de pharmacovigilance des vaccins grippaux A (H1N1), mis en ligne lundi, avoir "eu connaissance de 36 signalements d’effets indésirables par un professionnel de santé".

Voir en ligne : AFP

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Vaccination : êtes-vous à jour ? L’ANSM est partenaire de la Semaine européenne de la vaccination - Point d’information

Depuis maintenant sept ans, la France participe à la Semaine européenne de la vaccination. Cet événement est porté, en France, par le Ministère de la Santé et l’Institut national de prévention et d’éducation de la santé (Inpes). Il a pour principal objectif de favoriser une meilleure compréhension des enjeux de la vaccination. L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM), de par son rôle dans l’évaluation et la surveillance des vaccins, est partenaire de cette semaine et y a apporté son expertise.Du 20 au 27 avril 2013, de nombreuses actions de prévention sont organisées au niveau national et régional en direction des professionnels de santé, mais surtout du grand public. N’hésitez pas à vous rendre sur le site de la Semaine européenne de la vaccination.

Voir en ligne : ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

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Vaccination anti-pneumococcique - Recommandations de la Direction générale de la santé

Les infections à Pneumocoque (Streptooccus pneumoniae) sont d’une grande fréquence, surtout aux âges extrêmes de la vie : le nourrisson et le sujet âgé. Le Pneumocoque est l’un des germes le plus souvent en cause au cours d’infection bactériennes des voies respiraloires Il peul être notamment responsable, selon l’âge, d’otites, de sinusites, de pneumonies, de septicémies, de méningites.

Voir en ligne : AMELI Assurance Maladie En Ligne

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Vaccination anticoquelucheuse

Depuis plusieurs années, on assiste à une augmentation générale du nombre de cas rapportés de coqueluche dans divers pays possédant une bonne couverture vaccinale, tant en Europe que sur le continent américain et australien. Cette augmentation a été mise en évidence dès le milieu des années 1990, avant l’introduction généralisée des vaccins acellulaires. Elle se retrouve pour différents groupes d’âge, en particulier les adolescents et les adultes.

Voir en ligne : conseil Supérieur de la Santé Ministère des Affaires Sociales, de la Santé publique et de l’Environnement [belge]

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Vaccination contre la grippe saisonnière

La campagne nationale de vaccination contre la grippe saisonnière se déroule du 10 octobre 2014 au 31 janvier 2015. Le point sur la campagne, le dispositif mis en place et les modalités pratiques.

Voir en ligne : ameli-santé

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Vaccination contre la grippe saisonnière : Lancement de la campagne 2011-2012

Nora Berra, Secrétaire d’Etat à la Santé a annoncé, en présence du Dr BISMUTH, Directrice des assurés de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie (CNAM-TS), de Jean-Yves GRALL, Directeur général de la Santé, et de Françoise WEBER, Directrice de l’Institut national de veille sanitaire, le lancement de la campagne de vaccination contre la grippe saisonnière organisée chaque année, à l’approche de l‘hiver.

Voir en ligne : Secrétariat d’Etat chargé de la Santé

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Vaccination contre la varicelle et contre le zona

Les deux vaccins contre la varicelle disponibles en France sont des vaccins vivants atténués et dérivés de la souche Oka, utilisée au Japon depuis 1974. Ils sont indiqués chez les sujets sains à partir de douze mois selon un schéma à une dose jusqu’à douze ans. Au-delà, deux doses sont recommandées, espacées de quatre à huit semaines. Ces vaccins entraînent une séroconversion dans plus de 95% des cas et le maintien des anticorps au-delà de cinq ans.

Voir en ligne : Daniel FLORET | Université Claude Bernard Lyon 1

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Vaccination contre les infections causées par le papillomavirus humain

introduction et question, élaboration et argumentation, le papillomavirus humain, mode de contamination, pathogénèse, temps d’incubation, symptômes cliniques, évolution et complications des affections muqueuses, épidémiologie, Comportement sexuel des jeunes en Belgique, vaccination, conclusion et recommandations, champ d’application, résumé des informations scientifiques sur lesquelles reposent les recommandations, Recommandations concernant la vaccination anti-HPV

Voir en ligne : Conseil Supérieur de la Santé Ministère des Affaires Sociales, de la Santé publique et de l’Environnement [belge]

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Vaccination contre l’hépatite B : schémas vaccinaux accélérés

Le calendrier vaccinal en vigueur recommande, dans certains cas particuliers nécessitant l’acquisition rapide d’une immunité contre le virus de l’hépatite B, un schéma vaccinal accéléré à la place du schéma habituel. Le Haut Conseil de la santé publique a pris en considération les situations cliniques pouvant être concernées et l’immunogénicité comparée des deux schémas de primo-vaccination accélérés contre l’hépatite B disposant d’une Autorisation de mise sur le marché (AMM).

Voir en ligne : HCSP Haut Conseil de la santé publique

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Vaccination des adultes contre le zona avec le vaccin Zostavax®

Le zona est une pathologie fréquente qui touche particulièrement les personnes à l’âge adulte. Le risque de survenue et de persistance des douleurs post-zostériennes (DPZ) est fortement lié à l’âge et aux comorbidités ayant comme conséquence un important « fardeau » chez les personnes âgées altérant considérablement la qualité de vie. Le vaccin Zostavax®, vaccin vivant atténué, dispose d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) européenne.

Voir en ligne : HSCP Haut Conseil de la santé publique

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Vaccination grippe A(H1N1) L’organisation de la campagne de vaccination

  • Les centres de vaccination
  • Questions-réponses sur la vaccination
  • Vaccination des enfants et adolescents scolarisés de la maternelle au lycée
  • Dispositif de communication
  • Rubrique vaccination destinée aux professionnels de santé

Voir en ligne : Info’ pandémie grippale

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Vaccination grippe H1N1 : le couple pharmacien-médecin prend le relais

Fermeture des centres, vaccins dans les pharmacies : à compter du 1er février, les médecins libéraux vont reprendre la main sur la vaccination contre la grippe H1N1, mais le retour au système traditionnel va demander des ajustements. "Nous avons conclu hier (jeudi, ndlr) un accord avec les 23.000 pharmaciens, donc à partir du 1er février, les médecins généralistes vont pouvoir se procurer les vaccins dans les pharmacies, ce qui va lever les dernières réticences", a annoncé vendredi Roselyne Bachelot.

Voir en ligne : Véronique MARTINACHE (AFP)

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Vaccination, où en êtes-vous ? CALENDRIER VACCINAL 2009 SIMPLIFIÉ

Pour acquérir une immunitée de base, plusieurs injections sont souvent nécessaires (par exemple, trois injections à un mois d’intervalle avec rappel un an après). Par la suite, l’immunité doit être entretenue par la pratique de rappels réguliers définis dans le calendrier vaccinal afin de maintenir une protection suffisante et durable.

Voir en ligne : INPS Institut national de prévention et d’éducation pour la santé

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Vaccins anticholériques : note d’information de l’OMS

Le choléra est une maladie diarrhéique entraînant une déshydratation rapide qui est provoquée par l’ingestion du toxico- gène Vibrio cholerae appartenant aux sérogroupes O1 et, moins souvent, O139. L’être humain est le seul hôte naturel connu de V. cholerae et la maladie se propage principalement par contamination fécale de l’eau et des aliments. La transmission directe d’un individu à l’autre est rare. Le choléra est une maladie de la pauvreté associée de près au manque d’hygiène et à l’absence d’eau de boisson salubre.

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé

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Vaccins antityphoïdiques : note d’information de l’OMS

La fièvre typhoïde est une affection généralisée grave causée par une entérobactérie pathogène. Salmonella enterica, serovar Typhi. S. Typhi se propage par la voie féco-orale. Bien qu’il s’agisse d’une maladie la plupart du temps endémique, S. Typhi peut provoquer des épidémies. Des données provenant principalement d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine montrent que la fi èvre typhoïde constitue toujours un problème de santé publique dans de nombreux pays en développement, les enfants d’âge scolaire (5 à 15 ans) étant atteints de façon disproportionnée. Dans certaines régions d’endémie, les enfants de <5 ans montrent des taux d’incidence identiques ou supérieurs à ceux des enfants d’âge scolaire.

Voir en ligne : OMS Organisation mondiale de la Santé

Sujets associés


Vaccins contre la varicelle et le zona : note de synthèse de l’OMS

Cette note de synthèse actualisée sur les vaccins contre la varicelle et le zona remplace la note d’information de l’OMS de 1998 sur les vaccins antivaricelleux et récapitule les faits récents dans le domaine. Elle intègre de nouvelles informations concernant la prévalence et la charge mondiale de morbidité due à la varicelle et au zona et des données sur l’innocuité, l’immunogénicité et l’efficacité des vaccins contre ces maladies, ainsi que sur la durée de la protection qu’ils confèrent, et des considérations sur leur rapport coût/efficacité. Les recommandations relatives à l’utilisation des vaccins contre la varicelle et le zona ont été examinées par le SAGE en avril 2014

Voir en ligne : OMS - Organisation Mondiale de la Santé 2014 Suisse

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Vaccins contre le virus de la varicelle et du zona

Le vaccin de la varicelle connu depuis 1970 (souche Oka V) est efficace et bien toléré. Deux nouveaux vaccins contenant la même souche sont le vaccin quadruple rougeole-rubéole-oreillons-varicelle (ProQuad ®) et le vaccin du zona pour les personnes de plus de 60 ans (Zostavax ®). La politique vaccinale de la varicelle reste controversée, partagée entre vaccination sélective et généralisée. Les États-Unis ont instauré une vaccination universelle en 1995.

Voir en ligne : Bégué , Académie de médecine, 16 rue Bonaparte, 75006 Paris.

Sujets associés


Vaccins contre les rotavirus (RotaTeq et Rotarix) et rappel sur la prise en charge de l’invagination intestinale aiguë du nourrisson - Point d’Information

L’ANSM rappelle aux professionnels de santé le risque, très rare mais pouvant potentiellement entraîner des complications graves, d’invagination intestinale aiguë associé à ces vaccins et les invite à attirer l’attention des parents d’enfants vaccinés sur la nécessité d’une prise en charge médicale précoce dès l’apparition des premiers signes, notamment digestifs, évocateurs d’une invagination intestinale.

Voir en ligne : ANSM - Sécurité sanitaire des produits de santé

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Vaincre l’anorexie mentale

Revue critique du livre de Johan Vanderlinden : « Vaincre l’anorexie mentale », par le Dr Brigitte REMY et le Dr Delphine Barbier, MGEN, Paris. Johan Vanderlinden, psychologue clinicien et psychothérapeute, travaille avec l’équipe de renommée internationale du Professeur Vandereycken à l’université de Louvain (Belgique). Le Professeur Philippe Jeammet a écrit la préface de ce livre en insistant sur l’aspect pratique et didactique de cet ouvrage

Voir en ligne : AFDAS-TCA : Association Française pour le Développement des Approches Spécialisées des Troubles du Comportement Alimentaire


Vaincre la peur en avion

Un passager sur quatre est encore victime de stress et d’angoisses importantes à l’idée de prendre l’avion ; et cela aussi bien avant le départ que pendant le trajet.
Trucs et astuces pour diminuer ses appréhensions...

Voir en ligne : Aventure du Bout du Monde (ABM)

Sujets associés


Variabilité des pratiques médicales en médecine générale : la prescription d’antibiotiques dans la rhinopharyngite aiguë

Les antibiotiques sont parmi les médicaments les plus prescrits et les plus consom¬més en France. Ils sont souvent d’un usage inapproprié – notamment pour infection aiguë des voies aériennes supérieures – et, de ce fait , problématiques en termes de santé publique (résistance bactérienne) et de maîtrise des dépenses de santé. A partir des données d’activité d’un panel de généralistes français en 2001, nous montrons qu’une consultation sur deux pour rhinopharyngite aiguë donne lieu à un traitement par antibiothérapie. Dans la plupart des cas, les caractéristiques cli¬niques des patients déterminent le recours à l’antibiothérapie mais ne suffisent pas à le justifier, selon les recommandations de pratiques médicales élaborées notam¬ment par l’AFSSAPS

Voir en ligne : Centre de Recherche, d’Etude et de Documentation en Economie de la Santé

Sujets associés


Variabilité des pratiques médicales en médecine générale : la prescription d’antibiotiques dans la rhinopharyngite aigue

Les antibiotiques sont parmi les médicaments les plus prescrits et les plus consom- més en France. Ils sont souvent d’un usage inapproprié – notamment pour infection aiguë des voies aériennes supérieures – et, de ce fait , problématiques en termes de santé publique (résistance bactérienne) et de maîtrise des dépenses de santé.

Voir en ligne : CREDES

Sujets associés


Vasectomie

La vasectomie est une méthode définitive de contraception masculine. C’est une opération bénigne qui consiste à ligaturer les canaux déférents pour empêcher les spermatozoïdes de se mélanger au liquide spermatique. Extrêmement efficace, elle ne diminue en rien la puissance sexuelle ni la virilité. La rencontre d’un spermatozoïde et d’un ovule entraîne la survenue d’une grossesse. En l’absence de spermatozoïde dans le liquide séminal, la fécondation n’est plus possible. Les spermatozoïdes, fabriqués dans les testicules, passent dans 2 canaux dits canaux déférents, logés dans les bourses et se mélangent avec le liquide spermatique avant l’éjaculation. La vasectomie consiste en une ligature et section des canaux déférents pour empêcher les spermatozoïdes de se mélanger au liquide spermatique.

Voir en ligne : AFU Association Française d’Urologie

Sujets associés


Vente de médicaments sur internet : la France en infraction ?

A la fin du mois de décembre le gouvernement a pris une ordonnance autorisant la vente sur internet des médicaments accessibles sans prescription. Ce texte qui permettait à la France de se conformer aux réglementations européennes en la matière, a provoqué une quasi unanimité contre lui. Porte ouverte aux trafics de faux médicaments, augmentation du risque de mésusage, impossibilité de vérifier le bon respect des règles de déontologie : cette pratique ne présenterait selon ses opposants que des défauts. Quelques rares voix discordantes se font cependant entendre qui estiment au contraire que la nouvelle législation française ne va pas assez loin.

Voir en ligne : JIM

Sujets associés


Ventes de médicaments à partir de sites Internet

Des enjeux importants pour aujourd’hui et demain La vente de divers types de marchandises sur Internet connaît depuis ces dernières années un développement important – avec néanmoins des différences très significatives d’une région du monde à l’autre - et c’est notamment le cas des pays européens et de la France, en particulier.

Voir en ligne : Académie nationale de pharmacie

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Verrues - Mise en contexte

La plupart d’entre nous connaissons la verrue classique : une petite bosse ronde et rugueuse, mesurant quelques millimètres de diamètre, retrouvée la plupart du temps sur les mains des enfants, mais aussi des adultes. Il peut y en avoir plusieurs (formant parfois une plaque), ou encore une seule.

Voir en ligne : Portail Québec

Sujets associés


Verrues plantaires

Les verrues ou papillomes humains sont des tumeurs bénignes liées à une prolifération localisée de l’ épiderme. Leur origine virale suspectée par leur contagiosité a été affirmée par de nombreuses études au microscope électronique. On distingue aujourd’hui plus d’une dizaine de virus des papillomes humains (HPV), ceux intervenant dans les verrues plantaires étant de type 1-HPVI et HPV2. Il s’agit d’une infection virale et contagieuse (vestiaire, douche) particulièrement fréquente chez les danseurs.

Voir en ligne : Dr Michel Canesi | noureev-medical.org/

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Vers un hôpital de Rambouillet...cuivré

Lutter contre les maladies nosocomiales est une gageure pour les cliniques et les hôpitaux. D’après une étude, présentée, en juillet, lors de la conférence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) intitulée « Prevention and Infection Control » (ICPIC) à Genève, l’utilisation de surfaces en cuivre antimicrobien dans les unités de soins intensifs permettrait de réduire de plus de 40 % les risques de contracter une infection nosocomiale. Suite à ces données, l’hôpital de Rambouillet a décidé de sauter le pas et de « cuivrer » son service de réanimation.

Voir en ligne : Information hospitalière

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Vers une contraception mieux adaptée au profil de chacun

Deux grossesses non prévues sur 3 surviennent alors qu’une méthode contraceptive est utilisée. Plusieurs facteurs expliquent cette situation : tout d’abord. il y a un écart entre l’efficacité théorique d’une méthode contraceptive et son efficacité en vie réelle. En effet, la méthode utilisée par la personne n’est pas toujours la plus adaptée à sa situation personnelle. Par ailleurs, il existe en France une notion de « norme contraceptive » qui est utilisée pour caractériser les pratiques contraceptives au cours de la vie. En France, cette norme se traduit par un recours au préservatif en début de vie sexuelle, à l’utilisation de la pilule dès que la vie sexuelle se régularise et au recours au dispositif intrautérin (DIU) comme alternative à la pilule à partir de 30 à 35 ans, une fois que les femmes ont eu les enfants qu’elles désiraient. Le manque d’information sur les autres possibilités de contraception et cette norme sociale guident souvent le choix et n’aident pas à identifier la méthode la plus adaptée à ses besoins.

Voir en ligne : HAS Haute Autorité de Santé

Sujets associés


Vertige ou étourdissements

Le vertige est une erreur de perception, donnant l’impression de déplacement des objets environnants par rapport au corps ou inversement, de rotation de la personne sur elle-même. Lorsqu’on ressent un vertige, on se dit « Ça tourne, tout bouge ! » Les étourdissements sont une sensation interne de malaise ou d’instabilité. Lorsqu’on ressent un étourdissement, on se dit surtout « Je me sens faible, j’ai peur de ne pas tenir debout ! »

Voir en ligne : Portail Québec

Sujets associés


Vertige paroxystique positionnel bénin : de quoi s’agit-il ?

Comme son nom l’indique, il s’agit d’un vertige lié à une position particulière de la tête. Vous ressentez un violent vertige rotatoire, très angoissant, pour une position donnée de la tête, en général toujours la même. C’est le plus souvent lors d’un mouvement de tête fait au lit que se déclenche le vertige, mais il peut aussi apparaître pour un mouvement de tête vers le haut. La durée du vertige est brève, environ 30 secondes, et il se reproduit lorsque vous ramenez votre tête dans la position initiale. Au cours de l’examen, le médecin a pu reproduire ce vertige en mobilisant votre tête et votre corps (manœuvre d’Hallpike).

Voir en ligne : SFTG Paris-Nord

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Vertiges chez l’adulte : stratégies diagnostiques

En première intention, et en particulier en crise # L’interrogatoire doit faire préciser : l’illusion de mouvement ;la notion de crise(s) antérieure(s) ;l’existence de symptômes auditifs (acouphènes, hypoacousie) ;d’éventuels antécédents otologiques (chirurgicaux, traumatiques, infectieux). # L’examen clinique doit rechercher : le nystagmus qui objective l’atteinte vestibulaire, il faut noter le côté de la secousse rapide ; la présence de signes neurologiques. # L’examen otoscopique recherche une pathologie de l’oreille moyenne.

Voir en ligne : Recommandations et références médicales ANAES

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Victimes d’accident médical, d’infection nosocomiale ou d’affection iatrogène : quelles démarches ?

Cette fiche pratique poursuit l’objectif de guider les victimes et leurs proches dans les procédures à mettre en oeuvre dans le cas d’un accident médical.

Voir en ligne : Collectif Interassociatif Sur la Santé

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Vidéo : L’accident vasculaire cérébral

Vous avez eu une attaque cérébrale, aussi appelé AVC : accident vasculaire cérébral. Ce film retrace les différentes étapes de votre prise en charge dès votre arrivée aux urgences. Son but est de vous aider à comprendre ce qui vous est arrivé, à repérer les signes en cas de récidive et à vous expliquer comment agir pour prévenir un nouvel AVC.

Voir en ligne : HUG - Hôpitaux Universitaires de Genève

Sujets associés


Vieillir... et alors ?

Destinée aux jeunes retraités, cette brochure prend en compte les dimensions physiologiques, psychologiques et sociales de toutes les évolutions liées à l’avancée en âge. Elle livre à travers recommandations pratiques et conseils toutes les clés essentielles pour bien manger et bouger, garder son cerveau en éveil, mais aussi pour penser à soi, partager et rester connecté, sans oublier comment adopter des comportements protecteurs pour son corps et sa santé.

Voir en ligne : INPES - Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé

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Virus de la grippe : une nouvelle stratégie thérapeutique universelle

L’équipe du Dr. Béatrice Riteau (Université Claude Bernard Lyon 1/INRA) de l’unité VirPath de l’Université Claude Bernard Lyon 1 dirigée par le Pr. Bruno Lina vient de montrer l’action thérapeutique d’une molécule maitrisant les effets délétères de la réponse immunitaire et de l’inflammation dans le poumon suite à une infection par le virus de la grippe. Cette molécule cible directement les cellules de l’hôte infecté, et non le virus, ce qui permet à l’organisme de se défendre efficacement sans encourager la sélection de virus résistants à ce type de traitement.

Voir en ligne : INRA - Université de Lyon 1

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Virus des hépatites

Une hépatite correspond à une inflammation du parenchyme hépatique survenant en réponse à une agression et pouvant conduire à une nécrose hépatocytaire. Le terme d’hépatite virale est réservé aux hépatites provoquées par des virus à hépatotropisme dominant.

Voir en ligne : Pr ag. Anne Decoster,

Sujets associés


Visiteurs médicaux indépendants : un changement de cap s’impose

A la demande de l’Agence Fédérale des Médicaments (AFMPS), le Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) a étudié l’impact des visiteurs médicaux indépendants et ce en collaboration avec les chercheurs de Spiral (ULG) et Medsat (Leuven). L’objectif de ces visites est d’offrir aux médecins généralistes une information scientifique indépendante. L’AFMPS a investi cette dernière année plus d’un million d’euros dans le projet. Le KCE n’a pu formuler de conclusion définitive au sujet de l’impact de l’initiative en Belgique, suite au manque de données disponibles.

Voir en ligne : Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé


Vitamines & régimes, des clés pour un bon équilibre

Le principe de tout régime amaigrissant consiste à diminuer l’apport énergétique donc à restreindre l’apport en calories. Il devient dès lors indispensable de ne pas réduire en même temps les apports en nutriments essentiels : minéraux et vitamines.

Voir en ligne : CENTRE D’ETUDE ET D’INFORMATION SUR LES VITAMINES

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Vivre 120 ans - Le vieillissement est-il soluble dans les hormones ?

"Il est dommage que pour vivre longtemps, il faille vieillir."
"Les vieilles personnes ne devraient pas naître"
La ménopause est inéluctable. La chute associée de la production d’hormones féminines, les oestrogènes, induit un certain nombre de troubles, dont l’ostéoporose ou des accidents cardio-vasculaires. Ils peuvent être évités par un traitement hormonal de substitution. Le vieillissement est associé à d’autres troubles hormonaux. Pourrait-on les traiter de la même manière ?

Voir en ligne : Étienne-Émile Baulieu - La Recherche

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Vivre avec une hépatite chronique B

L’hépatite chronique B est une maladie du foie qui peut présenter des répercussions plus larges : fatigue, problèmes de peau, douleurs articulaires, etc. Elle nécessite une surveillance régulière, car elle évolue plus ou moins rapidement selon les personnes et se complique parfois de cirrhose ou de cancer. La présence d’autres maladies (séropositivité au VIH, autre hépatite virale, hémochromatose, etc.) ou la consommation de drogues ou d’alcool accélère sa progression.

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Vivre, comprendre les cancers

Ces fiches sont destinées avant tout à vous aider. Elles ne constituent pas, pour autant, des consultations médicales ou juridiques et ne se substituent pas aux conseils des professionnels.

Voir en ligne : INCA Institut National du Cancer

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Voix rauque

  • Mise en contexte
  • Motifs justifiant une consultation
  • Conseils pratiques
    La voix devient rauque lorsque les cordes vocales sont enflées et ne vibrent plus normalement.

Voir en ligne : Portail Québec

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Vos démarches - Arrêt maladie

Toutes les informations sur l’arrêt de travail pour maladie : formalités à effectuer, indemnités journalières, ainsi que sur l’attestation de salaire, une obligation légale pour l’employeur.

Voir en ligne : AMELI Assurance Maladie En Ligne

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Vos droits et démarches : santé - Vaccinations

Vaccinations - Calendrier des vaccinations - Tuberculose - Diphtérie - Poliomyélite - Tétanos - Typhoïde - Hépatite - Grippe - Oreillons - Rougeole - Rubéole - Variole - Coqueluche - Vaccinations internationales

Voir en ligne : La Documentation française

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Votre enfant a la diarrhée. Que faire ?

La gastro-entérite est une des maladies les plus fréquentes de l’enfant. Dans l’immense majorité des cas elle est bénigne, mais il faut la prendre en charge précocément afin d’en éviter les complications, en particulier la déshydratation. Elle repose sur la réhydratation orale (donc sur vous) et non sur les médicaments. Il est important de reconnaître les signes de gravité afin d’accélérer la prise en charge d’urgence.

Voir en ligne : SFTG PARIS-NORD

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Votre fibrillation auriculaire en quelques lignes

La fibrillation auriculaire est un trouble du rythme cardiaque qui provoque des battements rapides et irréguliers. Ce trouble du rythme peut être permanent ou non. Elle bénéficie de nombreux traitements qui permettent de prévenir les complications, de ralentir le coeur et parfois de le rendre à nouveau régulier. La principale complication est l’embolie artérielle. La fibrillation auriculaire favorise la formation de caillots dans le coeur qui risquent de migrer dans les vaisseaux de la tête et provoquer une attaque cérébrale. C’est pourquoi un traitement anticoagulant* qui évite la formation de caillots est souvent prescrit. La fibrillation auriculaire diminue aussi l’efficacité du coeur qui effectue moins bien son travail de pompe et peut entraîner des symptômes (fatigue, palpitations, essoufflement, etc.).

Voir en ligne : HAS - Haute Autorité de Santé

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Votre guide sur le diabète

Le diabète est une maladie chronique qui survient lorsque le corps est incapable de produire suffisamment d’insuline ou d’utiliser cette dernière adéquatement. L’insuline est une hormone de régulation de l’emmagasinage et de l’utilisation du glucose (sucre) dans l’organisme, qui a besoin d’insuline pour se servir du glucose comme source d’énergie.
Il y a différents types de diabète : le diabète de type 1, le diabète de type 2 et le diabète de grossesse.

Voir en ligne : Agence de la santé publique du Canada

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Votre jeune enfant et la grippe A(H1N1)

En cohérence avec le dispositif du plan national de prévention et de lutte contre la pandémie grippale, le ministère du Travail, des Relations Sociales, de la de la Famille, de la Solidarité et de la Ville marque son engagement auprès des parents de 1,2 million de jeunes enfants bénéficiant habituellement d’un mode d’accueil de la petite enfance

Voir en ligne : pandemie-grippale.gouv.fr

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Vous avez dit " épileptique " ?

L’épilepsie est une maladie neurologique. Elle est l’expression d’un fonctionnement anormal, aigu et transitoire de l’activité électrique du cerveau, se traduisant par des crises épileptiques appelées aussi crises comitiales. Elle se définit par la répétition des crises pendant un certain temps de la vie d’un individu. Le médecin spécialiste de l’épilepsie est un neurologue ou un neuropédiatre. Compte tenu des multiples formes d’expression des crises et de leur évolution, il n’y a pas une mais des épilepsies.

Voir en ligne : Fondation Française pour la Recherche sur l’Epilepsie

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Vous avez dit “tennis elbow” ?

Quel médecin n’a pas entendu un patient lui demander ce qu’il pense de l’acupuncture, du laser, des ondes de choc ou de l’ostéopathie pour soigner un “tennis elbow” qui, souvent, traîne depuis des semaines si pas des mois. Que penser des possibilités thérapeutiques actuelles ? Mais avant tout, comment faire un diagnostic correct face à une épicondylalgie ?

Voir en ligne : par le Dr Jacques Vanderstraeten - SSMG Société Scientifique de Médecine Générale

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Vous avez un rhumatisme psoriasique

Dr Marie-Pascale Manet | Service de médecine interne, Groupe Hospitalier Diaconesses Croix Saint-Simon Le psoriasis est une maladie de peau caractérisée par des plaques rouges recouvertes de squames situées sur certaines zones de prédilection comme les coudes ou les genoux. Quand il se localise dans le cuir chevelu, il entraîne la formation de grosses pellicules. Cette maladie est assez fréquente puisqu’elle touche 3 à 5% de la population. Son évolution est souvent chronique avec des poussées et des remissions qui se font sans cicatrice. Dans 5 à 7% des cas le psoriasis peut être accompagné d’une atteinte articulaire appartenant au groupe des spondylarthropathies. Le rhumatisme psoriasique est un rhumatisme inflammatoire touchant les articulations périphériques (arthrites) et parfois la colonne vertébrale (ou atteinte axiale) ainsi que l’insertion des tendons (ou enthéses).

Voir en ligne : Dr Marie-Pascale Manet | Service de médecine interne, Groupe Hospitalier Diaconesses Croix Saint-Simon

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Vous avez une hernie discale

Votre colonne vertébrale ou rachis est un édifice formé par un empilement de vertèbres et de disques. Chaque vertèbre est constituée en avant par un corps cubique (corps vertébral) et en arrière par un arc osseux (arc postérieur). Entre chaque vertèbre, se situe un disque intervertébral qui est une sorte de coussin gélatineux. Cet empilement forme un canal (le canal vertébral) qui contient la moelle épinière, les racines nerveuses et le liquide céphalo-rachidien (LCR). Quand le poids du corps est trop important et/ou quand les mouvements de la colonne sont inappropriés, le disque intervertébral peut se déformer et sortir de son enveloppe fibreuse pour former une hernie discale. Si elle se développe à l’intérieur de la colonne, elle peut venir au contact de certaines racines nerveuses et entraîner le plus souvent une névralgie sciatique ou crurale.

Voir en ligne : Groupe Hospitalier Diaconesses Croix Saint-Simon

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Vous avez une maladie de Paget

L’os est un tissu vivant. Il est formé de cellules qui le construisent (ostéoblastes) et qui le détruisent (ostéoclastes) en permanence appelé le « turn over osseux ». Dans certain cas, ces cellules s’emballent et produisent un os plus gros associé à des déformations. C’est la maladie de Paget qui représente la deuxième maladie osseuse la plus fréquente après l’ostéoporose. Elle a été décrite en 1876 par Sir james Paget qui a vu les premiers symptômes de la maladie arriver à l’âge de 46 ans.

Voir en ligne : Dr Manet MP - Groupe Hospitalier Diaconesses Croix Saint Simon

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Vous êtes en arrêt de travail pour maladie

Dossier mis à jour le 1 janvier 2009
Votre médecin a rempli un avis d’arrêt de travail en trois volets. Vous devez les adresser sous deux jours à votre caisse d’Assurance Maladie ainsi qu’à votre employeur (ou à votre centre Assedic, si vous êtes chômeur indemnisé). Attention, l’Assurance Maladie est en droit de contrôler votre période d’arrêt : vos sorties, notamment, sont soumises à des horaires autorisés.

Voir en ligne : AMELI Assurance Maladie En Ligne

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Vous êtes traité pour une spondylarthrite ankylosante (SPA)

La SPA est un rhumatisme inflammatoire touchant la colonne vertébrale (ou atteinte axiale) et parfois les articulations périphériques (arthrites) ainsi que l’insertion des tendons (ou enthéses). Elle entraîne des douleurs inflammatoires (à prédominance nocturne avec un dérouillage matinal) de la colonne vertébrale et des fesses avec un enraidissement progressif. L’atteinte des articulations périphériques se manifeste par de véritable arthrite pouvant entraîner leur destruction. L’atteinte des tendons se caractérise par des douleurs localisées sur leur insertion sans risque de rupture. Les autres signes extra-articulaires sont rares en dehors de l’inflammation de la partie antérieure de l’œil (uvéites).

Voir en ligne : Groupe Hospitalier Diaconesses Croix Saint Simon

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Vous êtes traité pour votre polyarthrite rhumatoïde (pr)

La PR est un rhumatisme inflammatoire chronique. Elle touche les articulations (d’où le nom « arthrite ») et s’accompagne d’épanchement articulaire. Cet épanchement est agressif pour les articulations et les tissus environnants (le cartilage qui recouvre l’os, l’os, les ligaments et les tendons) et entraînent des destructions. A la longue, des déformations articulaires peuvent apparaître surtout en l’absence de traitement. Il faut souvent quelques mois d’évolution avant de pouvoir le poser car les premiers signes de la maladie peuvent se retrouver dans d’autres pathologies. La PR est le rhumatisme inflammatoire chronique le plus fréquent puisqu’il touche entre 0.3 et 1.5% de la population globale en France. Les femmes sont plus souvent touchées que les hommes (2 à 4 femmes pour un homme). L’âge de début se situe en général vers de 45 ans.

Voir en ligne : Groupe Hospitalier Diaconesses Croix Saint Simon

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Vous suivez un traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K)

Avez-vous votre carnet ?
1 Respectez la dose prescrite et les heures de prise
2 Faites pratiquer très régulièrement vos examens de laboratoire (INR)
3 Signalez que vous suivez un traitement par AVK à tout professionnel de santé que vous consultez
4 Contactez rapidement votre médecin si vous présentez un saignement
5 Remplissez régulièrement votre carnet
6 Ayez une alimentation équilibrée
7 Demandez l’avis de votre médecin AVANT toute prise de nouveau médicament, injection, extraction dentaire, soin de pédicurie, petite chirurgie, projet de voyage…

Voir en ligne : AFSSAPS : Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé

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Voyage en pays tropical, conseils avant le départ

  • Liés au voyage
    Les éléments à prendre en compte pour évaluer les risques éventuels sont la durée du séjour, les moyens de déplacement, les conditions d’hébergement, les activités envisagées.
  • Liés au voyageur
    Certains voyageurs doivent être considérés comme des sujets à risques particuliers : les femmes enceintes, les nourrissons, les personnes âgées, les diabétiques, les patients atteints de cardiopathies, les insuffisants rénaux, les immunodéprimés.
  • Liés au pays du séjour
    Certaines destinations peuvent nécessiter des précautions ou des conseils particuliers liés aux conditions sanitaires ou épidémiologiques locales. Cela peut avoir une influence sur les vaccinations à pratiquer, la prophylaxie antipalustre, les règles d’hygiène.

Voir en ligne : Association des Professeurs de Pathologie Infectieuse et Tropicale - Juin 2003

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Voyages : recommandations sanitaires

Quelle que soit la destination envisagée, l’annonce d’un projet de voyage à l’étranger nécessite l’examen d’un certain nombre de questions : Des vaccinations (rappels ou vaccins particuliers liés à la destination, au type de séjour, mais aussi au terrain) sont-elles nécessaires ? Des soins particuliers (dentaires, cutanés, proctologiques, etc.) doivent-ils être réalisés avant le départ ? L’âge, la situation et/ou l’état de santé du patient voyageur (jeune âge, grossesse en cours, pathologie chronique, etc.) sont-ils compatibles avec le projet de voyage ? Existe-t-il des risques d’interactions entre un traitement habituel et des médicaments prescrits pour le

Voir en ligne : Vidal Recos

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Voyageuses enceintes

Bon nombre de femmes voyagent pendant leur grossesse, que ce soit pour affaire ou pour le plaisir. En général, les femmes enceintes peuvent voyager sans danger. Toutefois, il ne faut pas oublier que la grossesse est une période au cours de laquelle les femmes sont exposées à d’autres risques et font face à d’autres difficultés, souvent en raison des changements physiologiques qu’elles subissent, de même que leur fœtus.

Voir en ligne : Division de la santé-voyage, Agence de la santé publique du Canada

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Vulvites et vulvo-vaginites de la petite fille

La vulvite est souvent signalée par la maman au décours de la consultation. Elle est parfois même un motif de consultation.
Ce signe clinique justifie un examen soigneux du périnée de la petite fille pour permettre de distinguer les vulvites simples des autres affections plus complexes.

Voir en ligne : Résumé : Nora GAUFFIER | SFTG (Collège de gynécologie du Centre-Val de Loire)

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 Obésité : prise en charge chirurgicale chez l’adulte

Améliorer l’efficacité à long terme de la chirurgie bariatrique et réduire la survenue des complications par :
une meilleure sélection, information et préparation des patients

  • le choix de la technique apportant le meilleur rapport bénéfice/risque chez les patients sélectionnés une meilleure formalisation de la constitution et du rôle de l’équipe pluridisciplinaire
  • Réduire la gravité des complications par leur détection et leur prise en charge précoce

Voir en ligne : Haute Autorité de Santé (HAS)

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« Entre nous » - Outil d’intervention en éducation pour la santé des adolescents

Conçu par et pour des professionnels de santé travaillant avec des adolescents, cet outil permet d’initier et de mettre en œuvre une démarche d’éducation pour la santé par des médecins, pharmaciens, et tout autre professionnel de santé exerçant en situation d’entretien individuel de santé avec un adolescent.

Voir en ligne : INPS

Sujets associés


« Grossesse et accueil de l’enfant » Outil d’intervention en éducation pour la santé des femmes enceintes

Conçu par et pour des professionnels de santé travaillant avec des femmes enceintes, cet outil permet aux médecins, sages-femmes, pharmaciens et autres professionnels de santé qui les côtoient, de débuter et mettre en place des actions d’éducation pour la santé avec elles et leur conjoint. La finalité de ces actions est de donner aux (futurs) parents les moyens de vivre au mieux la grossesse et l’arrivée de l’enfant et de les soutenir dans leur accession à la parentalité.

Voir en ligne : INPES Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé

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« Hypertendus, dormez-vous bien ? »

Hypertendus, dormez-vous bien ? » est le nouveau thème de la campagne d’information du (CFLHTA) lancée, le 14 décembre 2010, à l’occasion de la Journée Nationale de lutte contre l’Hypertension. Le CFLHTA propose un test pour dépister des troubles du sommeil chez les hypertendus. Un nouveau livret d’information du CFLHTA "Hypertendus, dormez-vous bien" est disponible.

Voir en ligne : CFLHTA Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle

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« Le médecin face aux indications chirurgicales et arthroscopiques au membre inférieur »

La majorité des ruptures complètes ou partielles au cours des tendinopathies trochantériennes intéressent soit la lame latérale, soit la partie antérieure du moyen fessier, soit le petit fessier et dans bon nombre de cas, ces deux derniers tendons associés.

Voir en ligne : http://corine.bensimon.pagesperso-o...

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« Mieux connaître son allergie respiratoire pour mieux la combattre ».

Les allergies respiratoires sont candidates au label « Grande Cause Nationale 2011 ».Aujourd’hui 1 Français sur 4 souffre d’allergies respiratoires, ils n’étaient que 4% en 1968 Les allergies respiratoires (rhinite et asthme allergiques), sont classées au quatrième rang des maladies mondiales par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Elles touchent, aujourd’hui, une personne sur quatre en France. Dans 15% à 20% des cas, la rhinite allergique est qualifiée de sévère en raison de sa récurrence, de son fort impact sur la qualité de vie et de sa résistance aux traitements symptomatiques.

Voir en ligne : CARMF

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« Pour une conduite adaptée à sa santé : Médecin, quel est votre rôle ? »

Le maintien de l’autonomie de déplacement et la préservation de la capacité de conduire sont des enjeux importants de la santé et du bien-être de chaque individu. Médecin, vous êtes l’interlocuteur privilégié de vos patients conducteurs. Le dépistage et la prise en charge précoce des affections permettent le plus souvent de maintenir la capacité de conduire au prix d’une surveillance régulière. Quel que soit l’état de santé du patient, une adaptation de son comportement et/ou une modification de ses habitudes de conduite permettront de réduire significativement la morbi-mortalité sur la route.

Voir en ligne : document élaboré par un groupe pluridisciplinaire piloté par la Sécurité routière et la Direction générale de la santé

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« Télémédecine : le temps de la généralisation »

Depuis plusieurs années, pour répondre aux problématiques de démographie médicale en baisse, au défi sanitaire posé par les maladies chroniques et à la nécessité d’assurer une égalité d’accès aux soins, la pratique médicale à distance s’est développée. En France, au niveau local, des établissements de santé, des professionnels, ont mis en place des dispositifs leur permettant d’échanger à distance avec leurs correspondants, d’interpréter des clichés radiologiques, ou d’apporter une expertise médicale à un confrère éloigné.

Voir en ligne : Jean-Yves ROBIN, directeur de l’ASIP Santé (Agence des Systèmes d’Information Partagés de santé)

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« J’ai brièvement perdu conscience » – définitions et recommandations actuelles pour la mise au point des syncopes

Les syncopes sont fréquentes et elles sont une source d’inquiétude pour les personnes concernées. Les causes sont très variées et le diagnostic différentiel est large. Souvent, une anamnèse minutieuse fournit des indices précieux sur l’étiologie de la syncope. Dans cet article, nous mettons l’accent sur l’interrogatoire et proposons une mise au point rationnelle, en accord avec les recommandations actuelles.

Voir en ligne : PrimaryCare - Journal suisse de médecine de premier recours

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‘Leviers pour une meilleure participation des patients’

Des initiatives récentes sur le terrain montrent que divers acteurs de la santé dans notre pays veulent donner une forme concrète à la participation des patients. Mais il reste encore un chemin à parcourir avant que toutes les parties prenantes du secteur de la santé puissent expérimenter et souscrire à la plus-value de la participation des patients. Les initiatives actuelles sont encore trop isolées et on ne partage pas suffisamment les apprentissages. Ceci est une invitation à tous ceux qui portent des responsabilités, à n’importe quel niveau, dans le secteur de la santé. Une invitation à acquérir prochainement de l’expérience en matière de participation des patients, en vue de rassembler ces expériences et d’ancrer cette participation par la suite.

Voir en ligne : Fondation Roi Baudoin

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Maladie de Crohn et colite ulcéreuse – l’essentiel pour les non-gastro-entérologues

Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI, en anglais inflammatory bowel disease ou en abrégé IBD) sont subdivisées en maladie de Crohn, en colite ulcéreuse et – si la MICI ne peut pas être classifiée de façon formelle – en colite indéterminée (qui est aussi depuis peu dénommée inflammatory bowel disease type unclassified dans la terminologie internationale). Les MICI se manifestent le plus souvent entre l’âge de 20 et 30 ans, mais en principe, la première manifestation peut survenir à tout âge (particulièrement pour la colite ulcéreuse). Comme il s’agit de maladies chroniques, les patients atteints de MICI peuvent également être amenés à consulter à tout âge.

Voir en ligne : Klinik für Gastroenterologie und Hepatologie, Departement für Innere Medizin, UniversitätsSpital Zürich

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Refroidissement, mal de gorge, toux, bronchite, grippe – les infections respiratoires aiguës dans la pratique

Les infections respiratoires aiguës sont fréquentes. Elles sont le plus souvent d’origine virale et guérissent sans antibiotiques. La durée des symptômes est souvent plus longue que supposée – il est essentiel de fournir des explications adéquates au patient au sujet de la bénignité de la maladie et de l’inefficacité des antibiotiques et de lui ex- pliquer concrètement comment doit se dérouler le suivi. Les patients âgés et ceux présentant des comorbidités doivent faire l’objet d’une évaluation médicale plus stricte, car les pneumonies sont fréquentes chez ces patients.

Voir en ligne : Forum Médical Suisse

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Notes

[1] méditerranéenne


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Mise à jour le
lundi 27 avril 2015

Aucun renseignement médical d’ordre personnel ne peut être fourni par correspondance.

Il faut consulter son médecin pour obtenir, après un entretien, un examen clinique et d’éventuels examens complémentaires, des recommandations et prescriptions personnelles et précises, notamment en matière de diagnostic et de traitement.

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